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102 DECEMBRE 2009 FÉVRIER 2010 d’Union Trait

Trait d'Union n°102

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Magazine du Comité d'Entreprise du journal "L'Alsace-Le Pays"

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102DECEMBRE 2009

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de -18 % à fin septembre. Selon le président Etienne Pflimlin, « la dégradation particulière-ment sévère de l’économie alsacienne se réper-cute plus fortement qu’ailleurs sur les quoti-diens ». Cette question est « à mettre en relation avec la forte hausse du chômage dans notre région ».

Cette situation est d’autant plus tendue que l’en-treprise bénéficie d’aides publiques impor-tantes pour le portage, avec une subvention de 1,5 Me, ainsi que de l’exonération des cotisa-tions sociales du portage, mesures qui devraient être reconduites jusqu’en 2011.

Pour M. Pretet, « la bonne nouvelle concerne le taux d’audience, qui progresse », malgré une nouvelle érosion de la diffusion de toutes les

éditions, à moins de 100 000 exemplaires. Pour faire face, M. Pflimlin a prôné l’adaptation per-manente des entreprises aux contraintes écono-miques. En clair, il convient d’aller vite sur les chantiers à finaliser : plate-forme téléphonique du groupe, automatisation du système Eidos, investissement X-Média pour la gestion et la fabrication publicitaires, rapprochements inter-services, restructuration permanente au niveau du groupe.

Ainsi est justifié l’empressement à tout mettre en place, alors que les représentants des salariés dénoncent le manque de concertation et l’ab-sence de perspectives clairement identifiables, peu propices au dialogue social.

En réponse, pour M. Pflimlin, « la finalité du Crédit Mutuel vise à constituer un grand groupe de presse couvrant toute la façade Est de la France, mais les entraves juridiques freinent cette démarche ». Ce qui n’empêche pas, en attendant, de mettre en place les organisations adaptées à cet objectif : l’investissement Eidos

Dans le flot incessant de l’actualité médiatique, difficile de faire le tri entre le primordial et le secondaire. Pourtant, la technique gouvernementale, inlassablement répétée, de bousculer le calendrier et d’ouvrir de nouveaux dossiers à flux tendu, la mise en coupe réglée des objectifs de ce qui est dénommé abusivement " politique de réformes ", n’empêche pas Sarkozy et consorts, arc-boutés sur la prise en compte des revendications patronales, d’essuyer des revers majeurs.Il s’agit d’une donnée nouvelle dans le paysage politique et social dont les salariés ne peuvent que se féliciter. Rien n’est fatal, rien n’est écrit d’avance ! Dans ce contexte, il faut affirmer avec force que, pour ce qui concerne les préoccupations majeures du monde du travail, les jeux sont loin d’être faits, comme voudrait nous le faire

croire la cohorte de médias bien-pensants, pour qui la pensée unique est devenue une seconde nature, doublée d’une forme de censure sous-jacente permanente. Soyons-en assurés : en matière d’emploi, de garanties sociales, de défense des services publiques, les jeux sont loin d’être faits, pour peu que les salariés prennent conscience du caractère décisif de leur intervention, dans la lutte.Tout près de nous, à l’imprimerie Braun de Vieux-Thann, les salariés, unis dans l’action, ont prouvé récemment que les arguments massifs de cette multinationale allemande, justifiant restructuration et licenciements, ne pesaient pas bien lourd face à leur détermination : la direction a été contrainte de remiser les licenciements au placard.Dans le secteur de la presse écrite, les événements se bous-culent et nous sommes passés à l’étage supérieur.

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 des salariés doit primer

Lors du Conseil de surveillance qui s’est tenu le 4 novembre 2009, les représentants des salariés ont engagé le débat sur les choix de gestion en œuvre dans le groupe « L’Alsace ».

Si nous sommes dans les clous des objectifs fixés par le plan d’économies et de restructura-tion - qui n’a pas été approuvé par le comité d’entreprise - en terme de masse salariale, liée à la baisse des effectifs, il n’en va pas de même sur le plan du redressement des finances. Le résultat, négatif à -4 Me, devrait connaître une amélioration, les prévisions pour la fin d’année tablant sur une légère progression des recettes publicitaires pour ramener les pertes à -1,7 Me.

Pour l’heure, les recettes publicitaires sont très fortement dégradées avec une baisse globale

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batailles à menerEntre la prise de contrôle des titres du groupe BRA (Bien Public, JSL, Progrès et Dauphiné Libéré) par le Crédit Mutuel, et les envolées tonitruantes du sieur Lucas lors des C.E. extraordi-naires, l’heure est à la mobilisation pour défendre emploi, statuts et indépendance rédactionnelle.Autant d’objectifs ambitieux qui ne sont pas gagnés d’avance, mais que nous aurions tort d’éluder : Henri Krasucki affirmait, avec justesse, que " les seules batailles perdues d’avance sont celles qui ne sont pas menées ". Une posture que nous souhaitons partager avec tous les salariés de l’entreprise, tant le climat d’inquiétude persiste. A ce titre, l’intersyndicale qui s’est expri-mée à deux reprises depuis l’automne dernier, les convergences d’analyse entre CGT et CFDT à " L’Alsace-Le Pays ", marquent un tournant dans les relations entre syndicats et contribuent à redonner espoir à l’ensemble du personnel.

Certes, il convient de rester lucides : nous n’en sommes qu’au début d’un processus que nous souhaitons pérenne. Toutefois, ne nous y trompons pas, il s’agit bien d’un événement majeur dans la perspective des mobilisations que nous aurons à construire.Comment ne pas terminer ce tour d’horizon sans évoquer ce qui sera l’un des défis majeurs que les salariés auront à relever en cette année 2010, à savoir les négociations qui vont s’engager sur la question des retraites.On se rappellera les discours préliminaires du président de la République : " Aucun sujet ne sera tabou, on met tout sur la table " et que " la question des retraites serait le curseur de la volonté de réformes de l’Etat ".En clair, et avec le décodeur toujours nécessaire en pareille cir-constance, tant que les actes font le grand écart avec les dis-cours, il fallait bien comprendre que le droit à la retraite à 60 ans

est le seul tabou qui va sauter, et que l’avenir s’écrirait à grands coups de capitalisation et de fonds de pension, ainsi que le revendique le Medef de Madame Parisot.Dire qu’il n’y pas si longtemps, les mêmes vantaient le système social à la française, formidable amortisseur de la crise écono-mique ! Mais quand tintent les milliards de la Sécu, les rapaces ont vite fait de renier leurs convictions de circonstance !Nul doute que, malgré le conditionnement et le consensus dont on nous abreuve, les salariés sauront faire entendre leur voix pour défendre leurs intérêts. Car, pour la CGT, comme elle l’a affirmé lors de son 49e congrès, les négociations sur la retraite seront " le curseur de la volonté de résistance des salariés ".Alors... Chiche ?

(développé dans l’ensemble des titres) et X-Média pour la publicité (à «L’Alsace-Le Pays», «Cime» et au « Républicain lorrain», ainsi qu’à « L’Est républicain» courant 2010). Les représentants salariés au Conseil de surveillance estiment nécessaire, dans l’intérêt des relations sociales, de mettre en place un comité de groupe réunissant toutes les entreprises de presse du pôle média du Crédit Mutuel.

Cette proposition, qui aurait le mérite d’associer les représentants des salariés et de débattre des choix stratégiques, n’a pas l’air de convenir à M. Etienne Pflimlin qui, pour toute réponse, botte en touche et ferme la porte : « Ce n’est pas un comité de groupe qui permettra de régler les problèmes, il ne faut pas créer des illusions. Si j’étais à votre place, je me foca-liserais sur ce qu’il convient de faire évoluer pour redresser les entreprises et sur ce qui doit être opé-rationnel ».

En clair, chacun s’occupe de sa petite cuisine, le Crédit Mutuel se chargeant de l’addition. Cette déclaration a le mérite de la clarté. Et s’est rapide-ment concrétisée puisque, fin décembre, moins de

deux mois après ce Conseil de surveillance, le rachat par le Crédit Mutuel des journaux de la région Rhône-Alpes a été avalisé, malgré les dénégations qui nous ont encore été livrées en réponse à l’interrogation des élus sur le futur du groupe EBRA : « Il n’y a rien de neuf à brève échéance, c’est un dossier qui va prendre du temps.»

Et, pour bien faire comprendre qui est maître à bord, M. Michel Lucas s’est empressé de détailler sa façon de concevoir les relations sociales : selon lui, « le SPQR serait voué à la casse (ce sont des gogos !), les relations sociales seront réduites au minimum légal, les journalistes (qui ne noircissent que 11 % de la surface de nos journaux !) sont trop nombreux, les négociations de branche, c’est fini, tout se réglera à l’échelle de l’entreprise, etc.» Tout cela se passe de commentaire et doit nous inciter à retrousser les manches. Il convient de tirer les leçons d’une année 2009 catastrophique dans tous les domaines : ça ne peut plus durer !

L’emploi : à l’évidence, on atteint le seuil critique avec 398 salariés en janvier 2010. On ne peut indéfi-

niment gérer une entreprise et rechercher l’équi-libre financier par le seul levier des départs non remplacés.

Les salaires : là aussi, après une année blanche en terme d’augmentation générale des salaires (une première), il conviendra de revenir à des pratiques plus en harmonie avec ce qui se faisait encore naguère. Les négociations qui viennent de s’ouvrir semblent promises à des finalités plus conformes à ce que nous en attendons...

Négociations de branche : un accord de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compé-tences) est en cours de négociation. Objectif : apporter des réponses en terme d’évolution pro-fessionnelle, assortie d ’une garantie de maintien du contrat de travail pour tous les salariés. Quelle que soit l’opinion de M. Lucas, un éventuel accord conclu dans la branche doit trouver son prolonge-ment et son aboutissement par la négociation d’un accord d’entreprise.

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4Rappelons le partenariat de la commis-sion vacances avec Adagio qui vous proposetrois types d’appartements jusqu’à six personnes.Rendez-vous sur le site www.adagio-city.compour consulter les suites proposées.

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Janvier Jusqu’au 1er juin et après le 1er octobre Juin et septembre Juillet et août congés scolaires hors congés scol.

ANTIBES 150 260 230 260 380ARDÈCHE - 220 200 260 380AVORIAZ 240 4401 - 3002 260 150 200BALARUC 180 180 160 240 320MALBUISSON - 180 160 200 220PORT BOURGENAY 150 260 220 260 380VERDON - 200 180 220 320VIAS - 200 180 250 350

TARIFS 2010

DeNIS SOurD

Plan du nouveau mobile-home de Vias

Pour oublier la rigueur du froidet la neige, préparez vos futurs congés.

Evadez-vous en consultant les sites de vacances proposés par le comité d’entreprise dans le trait d’union n°100 : http://issuu.com/alsacece/docs/tu100 et reportez-vous aux nou-veaux tarifs sur le tableau ci-joint (les presta-tions dans les sites étant toujours négociéesau mieux, malgré l’augmentation des charges)et réservez votre choix au CE, poste 7034.

Rappel des conditions de location des apparte-ments et mobile-homes du comité d’entreprise du journal « L’Alsace-Le Pays » :- la location est ouverte et réservée au person-

nel et aux retraités du journal- le personnel des filiales peut également béné-

ficier de la location , il y a lieu d’y ajouter un supplément de 10 % sur le tarif en vigueur.

Devant la recrudescence de réclamations concernant la propreté des biens, la com-mission vacances envisage, si la situation ne s’améliore pas, de confier à une entreprise qualifiée le nettoyage complet des apparte-ments et mobile-homes, sur chaque site, avant toute nouvelle location. Cela entraînera un surcoût qui sera répercuté sur le prixde location.

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La rédaction(de gauche à droite) : Edouard Cousin,Elisa Meyer,Jean-Michel Cuenot, Severine Depond, Isabelle Bollène, Daniel Kuhnelet Laurent Bodin

Les secrétaires : Denise Gelebart, Martine Demolleet Geneviève Py

(secrétaire à la rédac-tion) et Michel Girod,

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SIN Pas facile de passer après « La Ré-

publique » ! A Thann, l’agence de « L’Alsace - Le Pays » est implantée dans les anciens locaux d’une brasserie, « La Rep’ » pour les intimes.

Quand, à la mi-2002, le journal déménage de quelques dizaines de mètres (passant du 48 rue de la Première-Armée au 3 rue du Général-de-Gaulle), on frôle la révolution. Le maire de la Cité de Saint-Thiébaut monte même au créneau pour défendre le troquet. Il faut dire que c’était le lieu de tous les stammtisch, des débats politiques, des petits noirs, des grands blancs (d’Alsace) et des tournées générales.

Depuis, les choses sont rentrées dans l’ordre. L’Alsace a su gagner sa place. L’agence est la base avancée du journal en direction des vallées de Saint-Amarin et de Masevaux, du secteur deCernay, de Thann et d’une partie du Bassin po-tassique qui constituent l’édition Thur et Doller. Une édition dont le taux de couverture s’élèveà 59 % (c’est, de loin, le meilleur taux de péné-tration de tout le journal).

Les pourcentages, c’est très bien. Mais les hommes et les femmes, c’est encore mieux ! Lorsque l’on passe la porte de l’agence de Thann, on rencontre d’abord les deux secré-taires, Martine Demolle et Denise Gelebart.

Puis l’inspecteur, Michel Girod. Ainsi que le commercial pub, Olivier Benoin (qui remplace actuellement la « titulaire du poste », Severine Cardot, jeune maman d’une petite Camille).Sans oublier Cosimo Corigliano et sa collègue Nathalie Schmitt, commerciaux abonnements.

Côté rédaction, l’équipe est composée de sept journalistes et d’une secrétaire, Geneviève Py. La rédac’ c’est Laurent Bodin, Isabelle Bollène, Edouard Cousin, Jean-Michel Cuenot, Severine Depond, Daniel Kuhnel et Elisa Meyer.

Chacun son secteur géographique : Cernay et le Bassin potassique pour Laurent et Elisa. Le premier a un faible pour la politique, ses enjeux et ses petits secrets. La seconde craque pour les bêtes à poils, à plumes ou à écailles ! La vallée de Masevaux est couverte par Isabelle, égale-

ment « branchée » politique, éducation et santé. La vallée de Saint-Amarin, c’est pour Séverine. Cette dernière gère également la très appréciée « Page des enfants » du mercredi.

Le secteur de Thann est dévolu à Edouard, le chef d’agence, qui suit également l’actualitésociale et économique de l’arrondissement, malheureusement marquée, ces derniers mois, par les diffi cultés rencontrées par de nom-breuses entreprises.

Jean-Michel, c’est le « sportif » de l’équipe. Grand amateur de ski et d’athlétisme notam-ment, il se consacre aussi au suivi de l’actualité locale du secteur de Thann.

Daniel, enfi n, se consacre aux tâches de relec-ture, de correction et de mise en page, de desk en somme !

Une grande équipe qui comptait, il y a encore quelques mois et années de cela, plusieurs collègues très appréciées. Violette Cirillo et Yolande Haffner, qui avaient fait de l’agence de Wittelsheim un véritable lieu de convivialité ouvert à tous. Elles ont rejoint le service lecteurs. Béatrice Scheubel, qui tenait l’agence de Masevaux avec la même passion, est aujourd’hui affectée au standard du journal. Sans oublier Nicole Puech, à l’agence de Cernay.

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Les joueurs corpo de la section badminton se sont dotés d’une tenue sportive complète aux couleurs de « L’Alsace - Le Pays » (survêtements complets siglés, maillots nominatifs, shorts et jupettes).

C’est donc avec les nouvelles tenues que les sept joueurs de l’équipe Corpo vont entamer, courant mars 2010, leur troisième saison de championnat interentreprises du Haut-Rhin, motivés par des résultats de plus en plus encoura-geants de saison en saison. De mars à juin 2010, « L’Alsace » rencontrera cinq autres équipes lors de matchs aller/retour.

Notre section, dont les membres proviennent de tousles horizons professionnels du journal, se réjouiraitd’accueillir de nouveaux adhérents ; tous les niveaux étant représentés dans notre team. Venez faire un test !

Vous pouvez nous retrouver tous les lundis et jeudis entre 12 h et 14 h sur les terrains du Squash 3000à Mulhouse dans un contexte convivial et décontracté.

Renseignements : [email protected],[email protected] ou [email protected]

Une pensée pour Yannick Bohn qui était animé du même enthousiasme à la pratique du badminton.

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ntça y est ! 

Jean-Jacques et Louis se serrent la main à l’issue d’un match sous l’œil de Carlos

Raymond prépare son revers

Alain, moteur de la section

Louis s’élance pour son coup droit

L’ensemble des adhérents à la section bad

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Raymond prépare son revers

Recto, l’équipe presque au grand complet lors de l’épreuve du Waldeck

Verso, chaquecoureur de l’équipe

est identifi able grâce aux nouvelles tenues

Karine et Mathieu tout sourire malgré l’épreuve

Alain un peu court en souffl e sur les premières épreuves

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ldu crossPour la reprise de la saison de cross Corpo, les coureurs de « L'Alsace - Le Pays » ont réceptionné de su-perbes tenues aux couleurs du journal, avec des pages de journal imprimées sur les débardeurs, maillots à manches longues et coupe-vent, le bas des tenues restant rouge.

Avec un tel équipement, les coureurs ne sont évidemment pas passés inaperçus lors des épreuves de Wintzenheim, du Waldeck et d'Orbey.

Belles tenues, belles places pour Denis, Laurent, Jean-Marie, Karine et les autres, mais la section a malheureusement dû faire face à de nombreuses absences, et le classement fi nal risque d'être douloureux à la fi n de la saison... sauf si tous les coureurs qui ont réceptionné ce bel équipement se mobilisent pour les trois dernières épreuves. Ensuite, il sera temps de trouver une épreuve sur route pour remobiliser des troupes un peu dispersées en cette fi n d'année 2009.

La section accueille évidemment toujours de nouveauxcoureurs tout au long de l'année, et il suffi t simplementde téléphoner à Denis Sollier, le président, au pôle Icono, pour se faire inscrire... et courir sous les couleurs du journal.

Au propre comme au fi guré.

Richard, en retraite mais toujours au top !

Karine et Mathieu tout sourire malgré l’épreuve

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Daniel la Boucle est bouclée

www.lalsace.fr

24 NOVEMBRE 1980 - LUNDI 7 DÉCEMBRE 2009

DEF2009

Le film de 30 ansde passions

1987

1987

1988

1989

1994

1994

1995

2000

2002

Daniel Schwartzmann vient de bou-cler sa Grande Boucle. A l'arrivée dece " Tour de vie professionnelle ", iln'a pas levé les bras en triompha-teur. Modeste, il a simplement sa-vouré l'humble fierté de terminer unparcours professionnel marqué toutau long par le souci du travail bienfait, un travail unanimement appré-cié et reconnu. Equipier modèle, il atoujours su, quand les circons-tances l'imposaient, endosser natu-rellement le maillot de leader.Etudes, apprentissage, débuts dansle monde du travail, entrée à " L'Al-sace "... Depuis, Daniel n'a pluschangé d'équipe. Il s'y est trouvébien, sans doute. Pour le plus grandbonheur de ses coéquipiers de ladalle, de la pub et de la rédaction.De tout le peloton, en fait. Ce fintechnicien a su se faire apprécierunanimement par le team" L'Alsace " grâce à sa modestie, sescompétences, son expérience, sonhumour et son grand sens du dia-logue. Pas un mot plus haut quel'autre, mais des mots, simplement,qui gommaient bien des maux.Quand il posait ses pages spécialesou ses suppléments, c'était pourlancer une échappée amicale dansune salle de sport, sur un court detennis, ou chez Moussa, pour dispu-ter le maillot à pois (chiches) grâceaux côtes (d'agneau), diététiqueoblige !

Toujours positif (bien que jamais dopé) ce maillot jaune de laconvivialité va désormais poursuivre sa route en roue libresur les routes des contreforts vosgiens, du Sundgau ou del'Ardèche, en footing dans les sous-bois, au tennis-club, ouencore au foot en salle. Il laissera une grande place aux co-pains, autour d'une table d'amitié, par exemple. Et, entredeux voyages à un rythme de croisière avec son épouse, ils'attaquera à une pyramide de livres sur les civilisations dis-parues…

Bonne route, Daniel.

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lDaniel Schwartzmann vient de bouclersa Grande Boucle. A l'arrivée de ce « Tour de vie professionnelle », il n'a pas levé les bras en triomphateur.

Modeste, il a simplement savouré l'humble fierté de ter-miner un parcours professionnel marqué tout au longpar le souci du travail bien fait, un travail unanimement apprécié et reconnu. Equipier modèle, il a toujours su, quand les circonstances l'imposaient, endosser naturel-lement le maillot de leader.

Etudes, apprentissage, débuts dans le monde du travail, entrée à « L'Alsace - Le Pays »... Depuis, Daniel n'a plus changé d'équipe. Il s'y est trouvé bien, sans doute. Pour le plus grand bonheur de ses coéquipiers de la dalle,de la pub et de la rédaction. De tout le peloton, en fait.

Ce fin technicien a su se faire apprécier unanimementpar le team « L’Alsace - Le Pays » grâce à sa modestie,ses compétences, son expérience, son humour et son grand sens du dialogue. Pas un mot plus haut que l'autre, mais des mots, simplement, qui gommaient biendes maux.

Quand il posait ses pages spéciales ou ses suppléments, c'était pour lancer une échappée amicale dans une salle de sport, sur un court de tennis, ou chez Moussa,pour disputer le maillot à pois (chiches) grâce aux côtes (d'agneau), diététique oblige !

Toujours positif (bien que jamais dopé) ce maillot jaune de la convivialité va désormais poursuivre son cheminen roue libre sur les routes des contreforts vosgiens, du Sundgau ou de l'Ardèche, en footing dans les sous-bois, au tennis-club, ou encore au foot en salle.

Il laissera une grande place aux copains, autour d'une table d'amitié, par exemple. Et, entre deux voyagesà un rythme de croisière avec son épouse, il s'attaqueraà une pyramide de livres sur les civilisations disparues.

Bonne route, Daniel.

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Daniel la Boucle est bouclée

www.lalsace.fr

24 NOVEMBRE 1980 - LUNDI 7 DÉCEMBRE 2009

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Le film de 30 ansde passions

1987

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Daniel Schwartzmann vient de bou-cler sa Grande Boucle. A l'arrivée dece " Tour de vie professionnelle ", iln'a pas levé les bras en triompha-teur. Modeste, il a simplement sa-vouré l'humble fierté de terminer unparcours professionnel marqué toutau long par le souci du travail bienfait, un travail unanimement appré-cié et reconnu. Equipier modèle, il atoujours su, quand les circons-tances l'imposaient, endosser natu-rellement le maillot de leader.Etudes, apprentissage, débuts dansle monde du travail, entrée à " L'Al-sace "... Depuis, Daniel n'a pluschangé d'équipe. Il s'y est trouvébien, sans doute. Pour le plus grandbonheur de ses coéquipiers de ladalle, de la pub et de la rédaction.De tout le peloton, en fait. Ce fintechnicien a su se faire apprécierunanimement par le team" L'Alsace " grâce à sa modestie, sescompétences, son expérience, sonhumour et son grand sens du dia-logue. Pas un mot plus haut quel'autre, mais des mots, simplement,qui gommaient bien des maux.Quand il posait ses pages spécialesou ses suppléments, c'était pourlancer une échappée amicale dansune salle de sport, sur un court detennis, ou chez Moussa, pour dispu-ter le maillot à pois (chiches) grâceaux côtes (d'agneau), diététiqueoblige !

Toujours positif (bien que jamais dopé) ce maillot jaune de laconvivialité va désormais poursuivre sa route en roue libresur les routes des contreforts vosgiens, du Sundgau ou del'Ardèche, en footing dans les sous-bois, au tennis-club, ouencore au foot en salle. Il laissera une grande place aux co-pains, autour d'une table d'amitié, par exemple. Et, entredeux voyages à un rythme de croisière avec son épouse, ils'attaquera à une pyramide de livres sur les civilisations dis-parues…

Bonne route, Daniel.

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retraitésà Guebwiller

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Après 29 ans au sein de notre quo-tidien, dont 23 années passées à la tête de l’agence de Guebwiller, Jean-Marie Nick adécidé de tourner la page.

Le journaliste, qui a profi té du dispositif de rup-ture conventionnelle, a débuté sa carrière comme vendeur à Altkirch.

Jean-Marie a ensuite assuré le remplacementdes journalistes durant leurs vacances, avant d’être affecté au bureau d’Illzach. En 1981, le journaliste originaire de Lutterbach a intégré la locale Mul-house avant de faire un bref passage à Wittelsheim en 1985. En juillet 1986, Jean-Marie prenait la tête de l’agence guebwilleroise jusqu’au mois d’avril dernier.

Adjoint au maire à Lutterbach, Jean-Marie Nickse consacre désormais à ses engagements munici-paux et associatifs.

Originaire des Vosges, MartineMarion a travaillé durant plusieurs annéesà « La Liberté de l’Est » avant d’intégrer, en 1985,la rédaction colmarienne de « L’Alsace - Le Pays » en qualité de secrétaire de rédaction. Dans le but de se rapprocher du terrain, de se nourrir de nou-velles rencontres et de rendre compte de l’actua-lité, la journaliste a rejoint l’agence guebwilleroise en 2001.

Depuis l’été dernier, Martine a tout le loisir de se consacrer à ses passions : les voyages, la lecture, la randonnée et prend le temps de se ressourcer dans son chalet vosgien.

Excellente retraite à Martine et Jean-Marie.

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Edmond, Zoé et Rania au jeu des clochettes

M. Loyal en charmante compagnie !

toute la magie

Les enfants de « L’Alsace-Le Pays », qui ont poussé début décembre les portes de l’Espace 110 d’Illzach, ont passé un après-midi riche en surprises, rires et gourmandises.

Après avoir été chaleureusement accueillis par les membres du comité d’entreprise, les petits ont eu l’opportunité de se métamorphoser en fleur, en Spi-derman, en tigre, en princesse ou en pirate. Les mains expertes et le talent des maquilleuses ont fait des mi-racles sur les visages des bambins.

Les enfants ont ensuite consommé sans modération de succulentes crêpes ainsi que des manalas. La dé-gustation a été interrompue par le spectacle que tous attendaient avec impatience.

Rassemblés devant la scène, les jeunes spectateurs ont passé un agréable moment grâce au show pré-senté par les artistes de la famille Trespolo. Clochettes musicales, marionnettes, tours de magie et moments comiques se sont succédés sur scène lors de ce spectacle de cabaret. Les applaudissements et les rires nourris des enfants ont témoigné de la qualité ar-tistique du spectacle.

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Pas une miettedu spectacle n’aéchappé aux enfants

Zoé, apprentieventriloque

Vincent,gonfl é à bloc

Le moment était ensuite venu pour le Père Noël de faire son entrée. Comme les enfants avaient, semble-t-il, tous été sages, ils se sont vus offrir des chocolats ainsi qu’un ballon.

La fête s’est poursuivie gaiement jusqu’au moment du départ. Les enfants ont alors quitté l’Espace 110 avec leur cadeau sous le bras, un sachet de gourmandises à la main et des souvenirs plein la tête.

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Le calendrier  2010 :25 février : AG avec repas et après-midi dansant6 mai : repas à thème au « Paradis des Sources » à Soultzmatt3 juin : journée à Paris • 26 août : barbecue-loto à l’étang 21 octobre : les cochonnailles • Un voyage en prévision

2002 : le Danube jusqu’à Budapest

2004 : 20 ans, mini-croisière sur le Rhin

Une tablée sympalors d’un repas de

Nouvel An au Château d’Anthès à Soultz !

2006 : le Périgord :Rocamadour

25 ans, et pas une rideA l’origine du mouvement, quelques « jeunes » retraités – à l’initiative de Blanche Etschmann – prirent plaisir à se retrouver pour peaufi ner cette amicale qui allait prendre une sympathique ampleur.

En effet, Blanche Etschmann, René Rohr, Louis Bertoli, Marcel Faes et autres (ils furent bientôt une vingtaine) se mirent – après une vie de labeur bien remplie – à élaborer et organiser un calendrier annuel qui, au fi l des ans, connaît toujours autant de succès auprès des membres et pour cause (voir ci-contre les + de l’ARA, les différents voyages à travers les photos, etc.).

Le changement de présidente, Annemarie Jolicor ayant pris le relais de Blanche en 1999 a pérennisé l’ARA et lui a donné un souffl e nouveau. Daniel Muller, secrétaire du CE, a accompagné l’amicale avec les différents délégués élus durant toutes ces années et pouvait le mieux en faire l’historique et en parler avec son talent habituel.

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Au début de sa présidence,Annemarie et son comité.

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2009 : loto à l’ombre des saules à l’étang, lors de la journée barbecue

2010 : le repas de Nouvel An au Moulin à Ensisheim

2003 : les fjordsde Norvège (croisière)

2009 : repas à thème au Schafert

2000 : le Rhin romantique jusqu’à Amsterdamde la pré

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 teChers membres, un quart de siècle d’existence, ce n’est pas rien ; aussi vais-je profi ter de cette occasion pour remercier chaleureusement toutes celles et ceux qui, par leur engagement et leur présence tout au long de ces vingt-cinq années, que ce soit avec Blanche ou avec moi-même, ont permis de mettre en place un bel « outil » de loisirs grandement apprécié.

Mes pensées émues vont également aux membres qui nous ont prématurément quittés ou qui, sous le poids des ans, éprouvent des diffi cultés.

Enfi n, je m’adresse aux jeunes retraités pour qu’ils nous rejoignent afi n de perpétuer encore des années durant ce que les «anciens» ont mis en place avec enthousiasme.

Pour pouvoir exister, nous avons besoin de votre sympathie agissante. Amicalement !

le mot

Les plus de l’ARA :Une organisation effi cace (présidente dynamique, comité performant) • Une cotisation modique (15 euros par personne, gestion rigoureuse des deniers) • Un excellent rapport qualité-prix aux repas organisés • Convivialité assurée (les membres ont vraiment plaisir à se retrouver, le nombre croissant des adhérents en témoigne, 112 actuellement).

2007 : Pulat en Croatie

3 juin 2010 : notre voyage à ParisPour fêter les 25 ans de l’amicale, le voyage à Paris proposé aux membres connaît un franc succès (67 participants) ;il est vrai que le programme sur une journée est dense et alléchant : voyage aller-retour en TGV, embarquement au pied de la Tour Eiffel pour un déjeuner croisière avec animation musicale en bateau-mouche, petit tour en bus dans la capitale avec visite de la cathédrale Notre-Dame.

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déjà !25 ans

Blanche et René,les « pionniers » de l’Amicale

Le mariage de la présidente n’a en rien, bien au contraire, altéré les activités. C’est beau l’amour…. En 1993, notre présidente nous étonne, une fois de plus, puisqu’elle nous interprète une chanson de sa compo-sition sur l’air de « Mimi peau de chien », chanson qui va devenir le chant de ralliement de l’ARA.1999 : merci Blanche. Eh oui, les années passent, l’amicale fête ses 15 ans d’existence. L’AG 1999 est marquée par un de ces temps forts qu’engendre la vie en communauté, un de ces instants qui font place à l’émotion, où remontent à la surface les moments de joies, de bonheur et de peines partagés tout au long de ces 15 années.Blanche, la présidente, annonce qu’elle va passer la main. « Je ne vous abandonne pas, je resterai avec vous aussi longtemps que ma santé me le permettra. Je cède ma place à Mme Anne-Marie Jolicor (élue à l’unanimité ndlr) qui a des idées jeunes et un enthousiasme qui feront de l’ARA une grande amicale. » C’est sur ces mots que la grande dame tire sa révérence sous un tonnerre d’applaudissements.Cette passation de pouvoir a également été suivie, en 2000, par la décision du CE d’« offi cialiser » l’ARA comme section à part entière de la commission sociale et de lui allouer, dorénavant, une subvention de fonc-tionnement en plus de l’appui logistique du CE qui a toujours été au côté de l’amicale depuis sa création. Il faut reconnaître que cette reconnaissance était une vieille revendication de Blanche, cette ancienne mili-tante syndicale. Elle aurait bien aimé que cela se fasse plus tôt. Le secrétaire du CE de l’époque lui a expliqué que les orientations « politiques » sont souvent longues et compliquées à mettre en pratique.Quoi qu’il en soit et fort de cet appui, qui somme toute sécurise, l’ARA étoffe ses activités (croisière sur le Rhin, les lumières des fjords en Norvège, la Croatie, les ren-dez-vous incontournables des AG, du repas de Nouvel An, du loto sortie à thème et autres cochonnailles).Au fi l des ans l’ARA devient une des sections les plus importantes du CE et, avantage non négligeable, elle a de la marge puisque les patrons de presse, et le nôtre n’est pas le dernier de la classe, multiplie les plans sociaux avec départs à la retraite anticipés.

L’ARA a pris son envol le 13 décembre 1985. Je ne parle pas de l’Ararauna (son nom latin) ou Blue and yellow Macaw (son nom anglais) ni de l’ara (son nom français), le perroquet multicolore, mais de l’ARA : Amicale des Anciens de l’Alsace.

Blanche Etschmann, présidente fondatrice et son comité, ont choisi l’ara comme sigle. Peut-être pour s’identifi er à ce volatile haut en couleur et fort en bec ? Mystère.

1985 a vu, entre autres, la redécouverte du Titanic,le drame du Heysel, l’ouverture des frontières de plusieurs Etats européens à travers les accords de Schengen, l’informatisation progressive des services du journal, qui comptait encore 630 personnes à l’époque contre 400 aujourd’hui, avec en parallèle la signature d’accords par les syndicats garantissant les statuts et autres avantages sociaux pour les actifs et les retraités.

Quoi qu’il en soit, c’est fi n 1985 qu’ont choisi la pre-mière dame de l’ARA et son comité pour créer l’ami-cale. Dire que la création de l’ARA fait suite à l’initiative du CE, en 1983, de mettre en place une sortie annuelle des retraités de l’entreprise n’est pas une contre-vérité.

La première AG de l’ARA s’est tenue le 27 novembre 1986. Au cours de celle-ci, René Rohr a rappelé que l’Amicale, outre les sorties et les rencontres « a égale-ment pour but d’être une sorte de lien afi n de garderle contact avec d’anciens collègues, rendre éven-tuellement visite aux malades, aux personnes seules, accomplir de petits gestes d’amitié et de réconfort ». L’amicale comptait à cette date 49 adhérents.

Puis, régulièrement, sous la houlette de la présidente-secrétaire-conseillère, se tient une AG annuelle pour faire le point sur les festivités et les fi nances de l’exer-cice précédent. Petit à petit l’amicale prend du volumeet de l’assurance.

20 ans. Dire que l’on n’a pas tous les jours 20 ans n’a rien d’original. Mais pour l’ARA cela se doit d’être fêté d’autant plus que c’est de 20 années d’existence de l’amicale qu’il est question.110 personnes ont donc embarqué, à bord du bateau « MS la Bohème » pour une mini-croisière au coursde laquelle, entre la poire et le fromage, la présidente a rendu hommage à quelques membres fondateurs : Blanche Glatz-Etschmann, présidente honoraire,MM. René Rohr, Louis Bertoli, Marcel Faes.25 ans… Cela se fête également. Sûr qu’Anne-Ma-rie et son comité vont nous réserver une de ses sorties dont ils ont le secret. Ainsi va l’ARA, au fi l des ans. Aujourd’hui, en plus de ses activités propres, elle orga-nise, conjointement avec le CE, la sortie des anciens du journal.Avant de conclure, comment ne pas avoir une pensée pour celles et ceux qui nous ont quittés au cours de ces 25 années ?Pouvoir maîtriser le temps reste une utopie, alors profi -tons pleinement du temps présent.2010 sera également l’année des réformes des retraites. Ne laissons pas aux autres le soin de régler les diffi cul-tés sociales et fi nancières dont sont et seront également victimes les retraités.Cela dit, l’ara, le brillant perroquet du même nomque notre amicale, a une espérance de vie de près de 75 ans. Il nous reste au mieux 50 ans à passer ensemble. C’est le moindre mal que nous nous souhaitons.

DANI

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Effectivement, nos « petits garçonset petites fi lles », avaient rendez-vous avec Arthur ce matin du 30 décembre, au Cinéma Gérard-Philipe de Wittenheim.

Prenez une salle assez grande. Mettez-y un grand écran, puis des fauteuils orien-tés vers cet écran. Prenez des jeuneset moins jeunes enfants et asseyez-les sur les fauteuils. Prenez ensuite les bobines du tout nouveau fi lm de Jean-Luc Besson « Arthur et les Minimoys 2 - La vengeance de Maltazard » et donnez-les à un pro-jectionniste. Voilà planté le décor de cette matinée cinématographique.

Les lumières de la salle s’éteignent, l’aventure peut commencer. Arthur appa-raît sur l’écran, il est au comble de l’exci-tation : c’est aujourd’hui la fi n du dixième cycle de la lune, et il va enfi n pouvoir regagner le monde des Minimoys pour y retrouver la princesse Sélénia. Dans le village, tout est prêt pour l’accueillir : un grand banquet a été organisé en son honneur, et la petite princesse a passésa robe en pétales de rose.

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Mais comme souvent quand tout va bien, sans être devin, on peut dire que tout va aller mal. En effet, ce mal incarné par le méchant Maltazardest un véritable concentré de félonie, de forfaiture et de trahison.

Et gare à tous, car, à la fi n du fi lm,cet horrible individu arrive à quitterle monde des Minimoys pour appa-raître dans notre monde. Une fi nqui appelle bien entendu une suite « Arthur et la guerre des deux mondes » dont la sortie est prévueen fi n d’année 2010. À suivre donc…

Lorsque les lumières de la salle obs-cure se sont rallumées, les adjectifs cool, chouette, super, sortaient de la bouche des enfants. Trois mots que l’on pourrait traduire par : « Arthur ça c’est de l’aventure », « Sélénia ça c’est du cinéma » ou encore « Maltazard ça c’est du 7e art ».

Mais comme souvent quand tout va

de « L’Alsace - Le Pays »

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honneur, et la petite princesse a passésa robe en pétales de rose.

et minigirls

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction.La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.

CINÉMAS

MULHOUSE Cinéma Kinépolis...................................... .6,20

WITTENHEIM Salle Gérard-PhilipeRéduction.sur.présentation.de.la.carte.du.CE

EUROPAPARK

Du.27.mars.au.7.novembre.2010.Tarif.unique.à.partir.de.4.ans.................................................................................28.

PISCINES MULHOUSE

Adulte.:.carnet.de.10.............................................................................17,85

Enfant/étudiant.:.carnet.de.10..........................................12,95

RIXHEIMTarif.réduit.sur.présentation.de.la.carte.CE

Pour les piscines hors de MULHOUSE30%.sur.présentation.du.carnet.ou.abonnement

LAGUNA

3 heuresAdulte..................................................................................................................................... .8,00

Enfant....................................................................................................................................... .6,00

Adulte journéeDu.lundi.au.vendredi................................................................................ .8,40

Samedi,.dimanche.ou.férié............................................................9,10

Enfant journéeDu.lundi.au.vendredi.............................................................................. .6,30

Samedi,.dimanche.ou.férié.......................................................... .7,00

BILLETTERIE SPECTACLE Abonnement.spectacle.20%.sur.présentation

de.l’abonnement

MUSCULATION

Complexe CMCAS EdF/GdF à ZimmersheimIndividuel.«.L’Alsace/Le.Pays.»..........................................................60

Couple.«.L’Alsace/Le.Pays.»..............................................................100

(inscription.au.même.moment).Filiale.(AP,.Médiapost,.CIME)..........................................................100

Extérieur.....................................................................................................................................160

BILLETTERIE SPORTIVE

FOOT.MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX2.billets/an,.15.maxi.par.personne

Autres rencontres sportives2.billets./an.ou.20%.sur.présentation.de.l’abonnement.rencontres.sportives

TICKETS RESTAURANTSJusqu’à.épuisement.du.budget,.limité.à.1.carnet/mois.:.valeur.du.chèque.:.3,20,.avec.participation.du.salarié.de.50%.par.chèque.Conditions :.uniquement.personnel.des.agences..Cartes.restaurant.d’entreprise.Clemessy.disponibles.au.CE.:.équipes.de.jour,.admi-nistration.et.personnel.travaillant.toute.la.journée.

ZOOS

MULHOUSETarif.réduit.sur.présentation.de.la.carte.du.CE

BâLEAdulte...........................................................................................................................................7,50

Enfant.(6.à.12.ans)............................................................................................2,50

SKI LA BRESSEPossibilité.de.forfaits,.renseignements.au.CE.

Bulle

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Horaires CERenseignements 

complémentaires :Gisèle Fawer.03 89 32 70 34

Lundi.8.h.30.à.11.h.-..Mardi.14.h.30.à.17.h.15Jeudi.8.h.30.à.11.h.-.Vendredi.14.h.30.-.17.h

Le CE est fermé le mercredi18,.rue.de.Thann,.TSA.68001

68945 MulhouseCedex 9@Retrouvez votre Trait d’Union sur le site :

http://issuu.com/alsacece/docs/tu102

TU 102 sur la toile

MOBICARTEValeur.25..+.5..................................................................................................................24.valable 2 mois

BONS DECATHLON

Bons.à.18..(valeur.20.),.27..(valeur.30),45.(valeur.50)

PATINOIREEntrée.enfant....................................................................................................................... .2,20

METRO

FRIBOURG (Allemagne)Achats.en.gros.:.se.renseigner.au.CE.

METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se.renseigner.au.CE.

MUSÉES et TOURISME ANIMALIER Prix.de.groupe.sur.présentation.de.la.carte.du.CE.ou.20%.sur.présentation.du.billet.d’entrée.

REMBOURSEMENTS Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour :

10.%.sur.présentation.de.la.carte.CE.

Point S :.5.%.sur.présentation.de.la.carte.CE