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Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. Transpose au présent Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n’ avait rien sur la tête, elle était pieds nus. La petite fille aux allumettes - Andersen Transpose au présent À sept ans, Jojo se portait plutôt bien. Il mangeait bien, dormait bien, jouait bien, cassait bien. Jusqu'au jour où, en fouillant dans le réfrigérateur en quête d'un goûter supplémentaire, il s'aperçut que là-dedans rien n'était bleu. Les idées bleues de Jojo – Bruno Heitz Emma était une petite fille très gentille mais plutôt têtue. Elle remarquait qu'après un câlin, tous les soucis s'envolaient et on devenait plus gentil. Or on lui parlait toujours du méchant loup de la forêt qui mangeait Transpose au présent les enfants. Pour elle, si le loup était méchant c'est parce qu'on ne lui avait pas fait assez de câlins. Transpose au présent Mais dès qu’ils eurent touché la baguette, Tony se transforma en carotte, et Dolly en lapin qui aimait les carottes. Quant à la coccinelle... La fée lui réserva un autre sort. En un clin d’œil, elle retrouva la beauté et la gentillesse que la sorcière lui avait enlevées. Belle la coccinelle - Antoon KRINGS

Transpose au présent

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Page 1: Transpose au présent

Il faisait effroyablement froid ; il neigeaitdepuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soirapprochait, le soir du dernier jour de l’année.

Transpose au présent

Au milieu des rafales, par ce froidglacial, une pauvre petite fillemarchait dans la rue: elle n’avait riensur la tête, elle était pieds nus.

La petite fille aux allumettes - Andersen

Transpose au présent

À sept ans, Jojo se portait plutôt bien. Ilmangeait bien, dormait bien, jouait bien,cassait bien. Jusqu'au jour où, en fouillantdans le réfrigérateur en quête d'ungoûter supplémentaire, il s'aperçutque là-dedans rien n'était bleu.

Les idées bleues de Jojo – Bruno Heitz

Emma était une petite fille très gentille maisplutôt têtue. Elle remarquait qu'après uncâlin, tous les soucis s'envolaient et ondevenait plus gentil. Or on lui parlait toujoursdu méchant loup de la forêt qui mangeait

Transpose au présent

les enfants. Pour elle, si le loup étaitméchant c'est parce qu'on ne luiavait pas fait assez de câlins.

Transpose au présent

Mais dès qu’ils eurent touché la baguette,Tony se transforma en carotte, et Dolly enlapin qui aimait les carottes. Quant à lacoccinelle... La fée lui réserva un autre sort.

En un clin d’œil, elle retrouva labeauté et la gentillesse que lasorcière lui avait enlevées.

Belle la coccinelle - Antoon KRINGS

Page 2: Transpose au présent

Il fait effroyablement froid ; il neige depuis lematin ; il fait déjà sombre ; le soir approche, lesoir du dernier jour de l’année. Au milieu desrafales, par ce froid glacial, une pauvre petitefille marche dans la rue: elle n’a rien sur latête, elle est pieds nus.

La petite fille aux allumettes - Andersen

À sept ans, Jojo se porte plutôt bien. Ilmange bien, dort bien, joue bien, cassebien. Jusqu'au jour où, en fouillant dans leréfrigérateur en quête d’un goûtersupplémentaire, il s'aperçoit que là-dedansrien n’est bleu.

Les idées bleues de Jojo – Bruno Heitz

Emma est une petite fille très gentille maisplutôt têtue. Elle remarque qu'après un câlin,tous les soucis s'envolent et on devient plusgentil. Or on lui parle toujours du méchantloup de la forêt qui mange les enfants. Pourelle, si le loup est méchant c'est parce qu'onne lui fait pas assez de câlins.

Mais dès qu’ils touchent la baguette, Tony setransforme en carotte, et Dolly en lapin quiaime les carottes. Quant à la coccinelle... Lafée lui réserve un autre sort.En un clin d’œil, elle retrouve la beauté et lagentillesse que la sorcière lui a enlevées.

Belle la coccinelle - Antoon KRINGS

Page 3: Transpose au présent

Il était une fois un petit fromage dontpersonne ne voulait. Trop ferme. Aujourd'hui,on aime le fromage onctueux. Le petitfromage dur qui n'était point sot savait bienque personne ne l'aimerait.

Transpose au présentTranspose au présent

Transpose au présentTranspose au présent

Inutile dans cette société deconsommation, abandonné par tous,il devint fort dépressif.

Raymond Brunner.

Ce matin-là, les habitants de la forêt étaientconsternés. Arbres, champignons, arbustes etanimaux gémissaient. Les troncs désoléscraquaient, les oiseaux se taisaient, leruisseau coulait en silence, même lessangliers avaient les larmes aux yeux.Chacun pleurait à l’enterrement desjolies fleurs mortes.

Guy Berger

Louis était un petit garçon aveugle. Mais sesparents voulaient le voir vivre comme unenfant normal. Il avait des tâches à accomplir.Son père, Simon Braille, lui avait appris

comment polir le cuir avec du cirage etun chiffon doux. Louis ne voyait pas lecuir devenir brillant, mais il le sentaits’adoucir sous ses doigts.Louis Braille, l’enfant de la nuit, de M. Davidson

J’avais peur des voleurs. Toutes les nuits, jeles entendais fouiller dans mon placard.Vite, j’allumais ma lampe de chevet, maisc’était toujours trop tard. Ils sentaient toutde suite que j’étais réveillé, et ils filaient

sans laisser de traces. Quand j’enparlais à papa, il se moquait de moi.

Nouvelles histoires pressées - Bernard Friot

Page 4: Transpose au présent

Il est une fois un petit fromage dontpersonne ne veut. Trop ferme. Aujourd'hui,on aime le fromage onctueux. Le petitfromage dur qui n’est point sot sait bien quepersonne ne l'aime. Inutile dans cette sociétéde consommation, abandonné par tous, ildevient fort dépressif.

Raymond Brunner.

Louis est un petit garçon aveugle. Mais sesparents veulent le voir vivre comme unenfant normal. Il a des tâches à accomplir.Son père, Simon Braille, lui a appris/ apprendcomment polir le cuir avec du cirage et unchiffon doux. Louis ne voit pas le cuir devenirbrillant, mais il le sent s’adoucir sous sesdoigts.

Louis Braille, l’enfant de la nuit, de M. Davidson

Ce matin-là, les habitants de la forêt sontconsternés. Arbres, champignons, arbustes etanimaux gémissent. Les troncs désoléscraquent, les oiseaux se taisent, le ruisseaucoule en silence, même les sangliers ont leslarmes aux yeux. Chacun pleure àl’enterrement des jolies fleurs mortes.

Guy Berger

J’ai peur des voleurs. Toutes les nuits, je lesentends fouiller dans mon placard. Vite,j’allume ma lampe de chevet, mais c’esttoujours trop tard. Ils sentent tout de suiteque je suis réveillé, et ils filent sans laisserde traces. Quand j’en parle à papa, il semoque de moi.

Nouvelles histoires pressées - Bernard Friot

Page 5: Transpose au présent

Transpose au futur. Transpose au futur.

Là-bas, au moins, il y a un arbuste. Un bancaussi. Il s’y allonge, ferme les yeux et part surson ile déserte. Sur son ile à lui, on n’entendque le bruit de la mer, que le chant desoiseaux. Sur son ile à lui poussent desmilliers de bleuets.

Momo, petit prince des bleuets - Yaël Hassan

Dès qu’il est assis en classe, Gaëtan sort laboîte de feutres que sa grand-mère lui adonnée. Sur son cahier, Gaëtan se met àdessiner avec le feutre vert. Il fait le portraitde sa voisine. Gaëtan lui fait des nattes

vertes, des yeux verts, un nez vert,une bouche verte avec une langueverte.« Gaëtan de toutes les couleurs » - L. Lentin

Malgré la réussite du premier vol dansl’espace par les russes en 1961, c’estfinalement la fusée américaine Apollo XI quise pose la première sur la lune le 21 juillet1969. Les deux astronautes Armstrong

Transpose au futur.

et Aldrin sortent de la fusée et vontplanter le drapeau américain. Ilsprélèvent des cailloux pour lesscientifiques.

Alain marche sur le sentier, et sur sesépaules, son sac à dos se balance doucement.Il fait des pas réguliers sous les sapins etquelquefois, par une trouée, il observe lesminuscules maisons du village. Bientôt, il

Transpose au futur.

arrive aux alpages, franchit untorrent et gagne le col. Il est fatiguémais il peut admirer les millecouleurs de la forêt automnale.

Page 6: Transpose au présent

Là-bas, au moins, il y aura un arbuste. Unbanc aussi. Il s’y allongera, fermera les yeuxet partira sur son ile déserte. Sur son ile à lui,on n’entendra que le bruit de la mer, que lechant des oiseaux. Sur son ile à luipousseront des milliers de bleuets.

Momo, petit prince des bleuets - Yaël Hassan

Malgré la réussite du premier vol dansl’espace par les russes en 1961, ce serafinalement la fusée américaine Apollo XI quise posera la première sur la lune le 21 juillet1969. Les deux astronautes Armstrong etAldrin sortiront de la fusée et iront planter ledrapeau américain. Ils prélèveront descailloux pour les scientifiques.

Dès qu’il sera assis en classe, Gaëtan sortirala boite de feutres que sa grand-mère lui adonnée. Sur son cahier, Gaëtan se mettra àdessiner avec le feutre vert. Il fera le portraitde sa voisine. Gaëtan lui fera des nattesvertes, des yeux verts, un nez vert, unebouche verte avec une langue verte.

« Gaëtan de toutes les couleurs » - L. Lentin

Alain marchera sur le sentier, et sur sesépaules, son sac à dos se balanceradoucement. Il fera des pas réguliers sous lessapins et quelquefois, par une trouée, ilobservera les minuscules maisons du village.Bientôt, il arrivera aux alpages, franchira untorrent et gagnera le col. Il sera fatigué mais ilpourra admirer les mille couleurs de la forêtautomnale.

Page 7: Transpose au présent

Transpose au futur. Transpose au futur.

Le chef cuisinier va au marché et il achètetous les produits frais. Il cuisine lui-même lesviandes et les poissons ; d’autres cuisinierssont à la cuisson des légumes. D’autresencore préparent les desserts.Des apprentis garnissent lesassiettes. Tout le monde a beaucoupde travail !

Un lapin à croquer - Picot

Le sculpteur déchire la terre, puis la jette surla table. Il la pétrit, la tape, la tourne, laretourne. Il malaxe, inlassablement, ce qui laréchauffe. Enfin, il la pose sur le plateau detravail. Et là, il la façonne, à pleinesmains, puis avec la paume. Il la lisseavec le pouce, caresse les courbes,appuie les creux.

Je suis magicien ! Je présente mon spectacle :je prends un chapeau, je le montre au public :il est vide ! Je donne un coup de baguettemagique : un lapin apparaît !

Transpose au futur.

Je l’attrape par les oreilles pour lesortir de sa cachette puis je leremets.

Côté vestimentaire, monsieur, vous portezune chemise odorante ; et elle change decouleur en fonction du rayonnement dusoleil. Quand les enfants salissent leursvêtements, plus de dispute avec les

Transpose au futur.

parents ! Les vêtements se lavent toutseuls car ils possèdent des capsuleschargées de produits nettoyants.

Page 8: Transpose au présent

Le chef cuisinier ira au marché et il achèteratous les produits frais. Il cuisinera lui-mêmeles viandes et les poissons ; d’autres cuisiniersseront à la cuisson des légumes. D’autresencore prépareront les desserts.

Des apprentis garniront les assiettes. Tout lemonde aura beaucoup de travail !

Un lapin à croquer - Picot

Je serai magicien ! Je présenterai monspectacle : je prendrai un chapeau, je lemontrerai au public : il sera vide ! Jedonnerai un coup de baguette magique : unlapin apparaîtra !

Je l’attraperai par les oreilles pour le sortir desa cachette puis je le remettrai.

Le sculpteur déchirera la terre, puis la jetterasur la table. Il la pétrira, la tapera, latournera, la retournera. Il malaxera,inlassablement, ce qui la réchauffera. Enfin,il la posera sur le plateau de travail. Et là, il lafaçonnera, à pleines mains, puis avec lapaume. Il la lissera avec le pouce, caresserales courbes, appuiera les creux.

Côté vestimentaire, monsieur, vous porterezune chemise odorante ; et elle changera decouleur en fonction du rayonnement dusoleil. Quand les enfants saliront leursvêtements, plus de dispute avec les

parents ! Les vêtements se laveront toutseuls car ils possèderont des capsuleschargées de produits nettoyants.

Page 9: Transpose au présent

Les loups sont nombreux dans les régions dunord de l’Europe. Durant les longs moisd’hiver, quand une épaisse couche de neigecouvre les champs et les bois, ils trouventdifficilement à se nourrir et la faim

Transpose à l’imparfait

les rend redoutables. Réunis enbandes, ils ne craignent pas depénétrer jusque dans les villages, oud’attaquer les hommes .

Transpose à l’imparfait

Je réfléchis, j’écris quelques mots, je me relis.Quelle catastrophe ! Mon texte ne veut riendire. Je gomme, je griffonne, je rature et puisje m’énerve : « Zut, je n’arrive pas à trouverles mots pour écrire ce texte ! ».

Alors je m’arrête, pour recommencerplus tard. J’écris, je réécris, je fais lestransformations et un nouveau texteest écrit.

Tous les matins c’est pareil. Elle se lève etc’est ainsi que tout commence. Elle balaie,aspire les saletés et époussette ses bibelots.Ensuite, elle nettoie le sol, astique sonargenterie. Puis elle lave la vaisselle,

Transpose à l’imparfait

récure les casseroles et les essuieune à une pour les ranger. Quellejournée !

Transpose à l’imparfait

Nous sommes en décembre. Il neige depuis lematin. Un tapis blanc recouvre la campagne,on ne voit plus le sol. Notre voisin donne desgraines aux oiseaux car la nourriture devientrare. Nous pouvons ainsi les observer

de près ! Nous prenons même desphotos. Finalement, le temps d’hivera aussi du bon !

Page 10: Transpose au présent

Les loups étaient nombreux dans les régionsdu nord de l’Europe. Durant les longs moisd’hiver, quand une épaisse couche de neigecouvrait les champs et les bois, ils trouvaientdifficilement à se nourrir et la faim lesrendait redoutables. Réunis en bandes, ils necraignaient pas de pénétrer jusque dans lesvillages, ou d’attaquer les hommes .

Tous les matins c’était pareil. Elle se levait etc’était ainsi que tout commençait. Ellebalayait, aspirait les saletés et époussetaitses bibelots. Ensuite, elle nettoyait le sol,astiquait son argenterie. Puis elle lavait lavaisselle, récurait les casseroles et lesessuyait une à une pour les ranger. Quellejournée !

Je réfléchissais, j’écrivais quelques mots, jeme relisais. Quelle catastrophe ! Mon textene voulait rien dire. Je gommais, jegriffonnais, je raturais et puis je m’énervais :« Zut, je n’arrive pas à trouver les mots pourécrire ce texte ! ».Alors je m’arrêtais, pour recommencer plustard. J’écrivais, je réécrivais, je faisais lestransformations et un nouveau texte étaitécrit.

Nous étions en décembre. Il neigeait depuisle matin. Un tapis blanc recouvrait lacampagne, on ne voyait plus le sol. Notrevoisin donnait des graines aux oiseaux car lanourriture devenait rare. Nous pouvions ainsiles observer de près ! Nous prenions mêmedes photos. Finalement, le temps d’hiveravait aussi du bon !

Page 11: Transpose au présent

Transpose à l’imparfait Transpose à l’imparfait

Le seigneur chasse avec un faucon. Lors desbanquets, le seigneur et ses invités mangentle gibier rapporté de la chasse. Les repasdurent longtemps. Pendant les repas, lesjongleurs récitent des poèmes, des

musiciens jouent. Les paysans viventune vie plus difficile. Ils travaillentdur et mangent bien peu.

Des lutins habitent dans la montagne. L’été,ils travaillent, ils jouent. Ils ont bien chaud.Ils sont heureux. Mais l’hiver, ils subissent laneige et le froid. Ils n’ont pas d’abri. Alors,chaque jour, ils vont chez le magicien

de la forêt. Ils demandent à cethomme un sapin géant en guise demaison : le sapin n’est jamais assezgrand.

Le jeudi est un jour de grande toilette, et mamère prend ces choses-là très au sérieux. Jecommence par m’habiller des pieds à la tête,puis je fais semblant de me laver à grandeeau… J’ouvre d’abord le robinet du lavabo,

Transpose à l’imparfait

et je le mets adroitement dans unecertaine position qui fait ronfler lestuyauxD’aprèsMarcel Pagnol, La gloire de mon père.

Transpose à l’imparfait

A l’endroit le plus profond se trouve lechâteau du roi de la mer, dont les murs sontde corail, les fenêtres de bel ambre jaune etle toit de coquillages qui s’ouvre et qui seferme pour recevoir l’eau ou la rejeter.

Dans chacun de ces coquillages onvoit des perles brillantes.

Page 12: Transpose au présent

Le seigneur chassait avec un faucon. Lorsdes banquets, le seigneur et ses invitésmangeaient le gibier rapporté de la chasse.Les repas duraient longtemps. Pendant lesrepas, les jongleurs récitaient des poèmes,des musiciens jouaient. Les paysans vivaientune vie plus difficile. Ils travaillaient dur etmangeaient bien peu.

Le jeudi était un jour de grande toilette, etma mère prenait ces choses-là très ausérieux. Je commençais par m’habiller despieds à la tête, puis je faisais semblant de melaver à grande eau… J’ouvrais d’abord lerobinet du lavabo, et je le mettaisadroitement dans une certaine position quifaisait ronfler les tuyauxD’aprèsMarcel Pagnol, La gloire de mon père.

Des lutins habitaient dans la montagne.L’été, ils travaillaient, ils jouaient. Ils avaientbien chaud. Ils étaient heureux. Mais l’hiver,ils subissaient la neige et le froid. Ilsn’avaient pas d’abri. Alors, chaque jour, ilsallaient chez le magicien de la forêt. Ilsdemandaient à cet homme un sapin géanten guise de maison : le sapin n’était jamaisassez grand.

A l’endroit le plus profond se trouvait lechâteau du roi de la mer, dont les mursétaient de corail, les fenêtres de bel ambrejaune et le toit de coquillages qui s’ouvrait etqui se fermait pour recevoir l’eau ou larejeter.

Dans chacun de ces coquillages on voyaitdes perles brillantes.