Trédé - Kairos chez Aristote

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  • 8/10/2019 Trd - Kairos chez Aristote

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    KAIROS

    l'intelligence,

    en

    relation avec le devenir

    par

    la sensation, le philosophe qui vit

    dans une sorte d tat de lvitation (que Platon dpeint propos de Thals dans le

    Thtte

    peut seul raliser, par le relais de la oU(J.1tox1

    OIIOIJ.cX'tWII,

    l'inscription

    dans le discours de

    la

    xowwv(a des Formes. Le discours

    du

    philosophe est bien le

    seul qui respecte la loi du kairos et du

    1tpt1tOV.

    On

    ne

    saurait plus radicalement tourner le dos

    au

    kairos technique

    du v

    sicle.

    Bien

    qu on

    dcouvre chez le Platon du Politique, du Philbe ou des Lois un senti-

    ment croissant de la relativit

    et

    de l'instabilit des choses humaines, et, en cons-

    quence, la recherche obstine d un art

    du

    mlange et de la proportion

    203

    qui

    conduit dans le Philbe faire de la juste mesure

    ,.

    - xa(pwv et IJ.'tpwv - le pre-

    mier

    des

    biens qui contribueront la vie heureuse

    2

    04,

    cette volution ne s'accom-

    pagne aucun moment

    d une

    promotion du modle technique qui mettait kairos au

    centre

    des

    activits humaines le s plus concrtes.

    La

    position

    de

    Platon reste fonda-

    mentalement celle qu'il exprimait

    dans

    le Phdon rien n'est plus -propos

    (tXOttp6upov) que de prendre soin de son me et sauver

    la

    philosophie

    205

    En ri-

    geant

    la

    connaissance

    du

    Bien et des Formes comme norme

    de

    toute activit

    humaine, Platon renouerait plutt, par-del le kairos technique du v sicle, avec

    la dfinition thique et divine

    du

    kairos archaque.

    203. Art du mlange proportionn

    et

    de l'entrelacs entre les tempraments (

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    Alors

    que

    l'intellectualisme platonicien

    ne

    connat pas de faille,

    ramne

    toute

    forme

    de

    savoir la connaissance

    du

    Bien

    et,

    faisant de la science

    des Formes

    la

    norme de toute action droite, contraint ainsi kairos

    entrer

    dans le champ de

    l'lmadu.t.TJ,

    Aristote, le pr emier, tablit

    une

    distinction nette

    entre deux

    formes

    de

    savoir:

    - d une

    part

    la connaissance spculative

    et les

    sciences exactes qui portent sur

    le ncessaire et doivent

    atteindre

    une prcision parfaite,

    - d autre

    part la

    connaissance pratique

    et

    les sciences de l'action

    qui

    portent

    sur le contingent

    et

    ne comportent

    pas

    de relle prcision

    C'est ce second type de savoir qu'Aristote rattache

    l thique.

    Au livre I de

    l thique d Nicomaque, il tablit

    sa

    thorie

    de la

    morale

    conue

    comme savoir pra-

    tique et

    donne sa

    dfinition

    de la

    vertu.

    La

    liste

    canonique

    des

    savoirs techniques

    revient plusieurs fois

    dans

    l'expos, et au

    premier

    rang d entre eux, navigation et

    mdecine

    2

    Tous

    ces arts, par:ni lesquels la morale

    prend

    place dsormais, sont

    prsents comme les arts du kairos

    Ce qui

    concerne

    les actions (lv

    tOtt 7tpat

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    KAIROS

    Et

    la suite du texte de l thique rappelle l Ancienne mdecine

    5

    La vertu est donc une sorte de moyenne (tJ.ta6't1} 'tL

    &poe)

    puisqu'elle vise

    un point d'quilibre t oaoc 'tO tJ.aou). Ajoutons que nos

    fautes peuvent prsenter mille formes tandis qu'il n'y a

    qu'une

    faon de

    russir l'action droite (xoc'top9ov). C'est pourquoi il est facile de manquer

    le but

    (&7to't1.1xtrv

    'tO

    axo1to)

    et difficile de l'atteindre (tm't1.1xtrv). Toutes

    ces raisons font

    que

    l'excs et le dfaut dnoncent le vice tandis que la

    juste moyenne (tJ.ta6't1}) caractrise la vertu.

    W.

    D. Ross a montr que l'on

    a,

    dans ces chapitres du livre II de l thique, le

    germe de la thorie du tJ.aov 6, Il est clair, comme l'a bien vu

    W.

    Jaeger

    7

    , que

    cette thorie s'labore dans le

    cadre

    d'une comparaison entre morale et mdecine.

    Mais au kairos hippocratique est substitue dsormais la notion de tJ.taov;

    car

    l'poque d'Aristote, en cette fin du JV sicle, kairos n'est plus li qu' la seule

    catgorie

    du

    temps comme il est dit clairement dans l thique Nicomaque au

    livre 1, chapitre 4 (1096 a 25 sqq.) :

    Dans la catgorie de l'essence, le bien suprme s'appelle dieu ct l'intelli-

    gence; en tant que qualit,

    ce

    sont les vertus; en tant

    que

    quantit, la juste

    mesure; en tant que relation, l'utile; dans le temps on l'appelle kairos,

    l'occasion.

    Le kairos n'est donc plus que le temps envisag comme bon; mais le tJ.taov aris-

    totlicien hrite

    en

    quelque sorte des caractres

    du

    kairos hippocratique. Car dfi-

    nir la vertu comme visant un juste milieu " correspond bien sOr l'ide que

    chaque vertu (ou perfect ion - est entoure

    de

    deux imperfections et que

    tout cart par rapport c e point juste fait disparatre la vertu. Mais surtout, comme

    le kairos, ce juste milieu " est dfini comme relatif: ce n'est pas une moyenne

    arithmtique; et

    sur ce

    point encore le modle mdical semble avoir

    t

    dtermi-

    nant pour Aristote :

    Ne concluons pas du fait qu e dix mines de nourriture constituent une forte

    ration et deux mines

    une

    faible ration, que le matre de gymnastique

    en

    prescrira six tous les athltes. Car une semblable ration peut tre, pour

    qui la reoit, excessive ou insuffisante.

    Pour

    un Milon elle peut tre insuffi-

    sante, mais pour

    un

    dbutant, elle

    peut

    tre excessive .. Ainsi tout homme

    de savoir fuit l'excs et le dfaut, recherche le juste milieu ('to

    t tJ.aov

    T)'tt'i) et lui donne la prfrence, juste milieu tabli non relativement

    l'objet, mais relativement nous .. Ainsi encore les bons ouvriers (o

    cXjot9ot

    'ttXVr'totL)

    ont toujours les yeux fixs

    sur ce

    point d'quilibre

    (7tpO

    'tO'tO Or la vertu, comme la nature, l'emporte en exactitude et

    en

    valeur

    sur

    toute espce

    d'art

    :

    sa

    vise peut donc tre

    le

    juste milieu "

    (tO

    tJ.taou &v tl'T)

    (thique Nicomaque, II, 6, 1106 b 5-16; notre traduction)

    S. Cf. Ancienne Mdecine, chap. 9, texte cit et comment supra, p. 163-170.

    6.

    Cf. W. D. Ari.stotle, p.

    193.

    7. W. Jaeger, Aristotle's Use of Medicine

    as

    Mode) of Method in his Ethics

    ].

    H. S.

    77, 1957,

    p

    54-61;

    repris in

    Scripta minora,

    p.

    491-509.

    PILOGUE

    299

    . Aristote emploie le verbe dont

    Pour

    dsigner la vtse la :ertu,mdecines dans

    un

    contexte trs proche.

    usait avant lui l'auteur de 1Anctenne .. concrte des sujets, des cas, des ctr-

    1 kairos suppose une satste d ns .

    le

    tJ.aov

    comme e . . li le recours au tmoignage es

    se

    .

    constances et un jugement qut tmp que

    tv 'tf1

    oc a91 att

    xp(at (1109 b 24). . .

    . . . trv

    'tO

    taov) dans chaque cas est donc et

    Saisir

    ce

    JUSte " II r thique voque encore le chapttre

    9

    de

    la conclusion d'Anstote au livre e

    l Ancienne Mdecine: ' . . ment le juste milieu ('to tJ.aou

    Puisqu'il est difficile d attemdre pdrctrts rse comme dit le proverbe, il

    6 ) la secon e ave '

    't1.1Xtrv

    xptl'W

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    ON LUSION

    301

    CONCLUSION

    Kcx\pov

    yvw9\,

    connais le

    kairos.

    Fidle

    au

    conseil du sage Pittacos, nous avons

    tent

    de

    retracer les mtamorphoses du

    kairos,

    d Homre Aristote.

    Les textes homriques suggrent que la notion s'est dfinie d abord en rapport

    avec l'art de la chasse et le tir de

    l archer:

    dcocher le trait trop loin ou trop prs

    - U1ttp

    XCX\pov

    ou 1tpo

    xcx\po

    - c'est manquer le point dcisif qui fait de l'adver-

    saire ou de l'animal une proie conquise. Et

    d emble

    apparat l'ambivalence fon-

    damentale du kairos point dcisif qui signe pour

    l un

    l heure fatale, quand c est

    pour l'autre le succs.

    La posie archaque met au

    centre

    de sa

    morale le

    kairos

    de la juste mesure

    et

    du

    parfait -propos, qui exclut l'excs comme le dfaut. Ni en de, ni au-del, ni

    avant, ni aprs, point d'quilibre instable

    et

    seuil mouvant, la notion dfinit un

    art

    de la O'UfJ.fJ.t'tp(cx qui fuit

    la

    prcipitation aventureuse - f.I.T)Otv &ycxv cmtuotw rpte

    Thognis

    1

    comme la lenteur inopportune.

    Kairos

    en tout est le meilleur Le

    laboureur, l'aurige, l'archer, le pilote du navire, comme le mdec in, le politique, le

    pote ou l'orateur, voient

    dans

    la saisie

    du

    kairos

    objet

    de

    leurs vux

    et

    de

    leurs

    efforts, le signe de la bienveillance

    des

    dieux envers qui respecte leurs lois - ces

    dieux qui seuls .. accomplissent tout leur gr (xcx't aq>tnpov 1tcXVtCX noaw

    v6ov)

    2

    Au v sicle, la conscience grecque dcouvre l'immensit des pouvoirs de l'intel-

    ligence

    et

    les ressources infinies de l'art. L'homme

    se

    considre comme le principe

    de son action. Partout il s'efforce de reculer les limites de l'imprvisible, et, pour

    ce faire, recherche

    des

    rgles permettant

    de

    matriser le

    kairos.

    Les thories du

    kairos s'efforcent de circonscrire les chances et les risques

    de

    l'action humaine sur

    le monde. Le temps n'est plus le lieu de la rptition, mais celui de l'innovation

    et

    toute volution, tout changement, toute action paraissent ponctus d'instants dci-

    sifs. Mais le kairos est fugitif, imprvisible, irr versible. Loin de conclure de ce fait

    la ncessit d une improvisation dsinvolte,

    sans

    principes ni lois, mdecins,

    sophistes, stratges

    et

    orateurs

    se

    font

    les

    ingnieurs

    de

    l'occasion

    3

    Ils tudient

    les modes de capture du kairos et laborent un art de la prvision (1tp6vo\cx) ou du

    pronostic (1tpO '(VWa't\Xov) fond

    sur

    l'interprtation du pass et l'analyse des signes

    prsents, tay par le calcul des vraisemblances, afin d adapter le mieux possible

    les moyens aux fins vises. La rflexion,

    l intelligence- qu on

    les appelle

    '(VWfJ.T),

    86cx,

    aUVEO'\,

    rxfvo\cx ou mme

    fJ.Tj't\

    - vivifies par l'exprience : il

    n'est aucune autre

    arme

    pour matriser ce kairos. Cette intelligence mobile, tendue

    vers le mouvement des chost s. comme le regard du chasseur l'affat, doit tre

    l.

    Cf. Thognis,

    v.

    335 et 401. Platon se fait l'cho

    dt>

    ce prcepte dans le Politique,

    277

    A.

    o il voqut> la hte intempestive des sculpteurs : 7tatp XatLpv cmtu8ovu ..

    2. Cf. Thognis.

    v. 142.

    3.

    La formule est dt> W. Janklvitch Leje-ne-sais-qrwi et le presque-rien, 1, p. 120).

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    302

    KAIROS

    aussi circonspecte

    dans

    la prparation que rapide

    el

    hardie

    dans

    l'action. Circons-

    pection et hardiesse, telles sont les qualits contradictoires qu'exige la saisie du

    kairos, l'image mme de cet art o s'unissent, dans une synthse chaque fois

    singulire, vue d'ensemble et sens

    du

    particulier, thorie et pratique, inspiration et

    exprience, idalisme et empirisme. Confronte un univers opaque o tout n'est

    pas

    rationnel, mais qui fait

    une

    place

    au

    rationnel, la pense

    du v

    sicle a assign

    pour but cet art du calcul d'asservir, autant que faire se peut, le hasard la rai-

    son, afin que, selon le mot d'Agathon,

    L'art aime le hasard et le hasard aime l'art

    4

    Sans doute le spectacle de la 1tOLXL(cx du monde tait-il alors, chez nombre de

    Grecs, li au sentiment d'une ignorance inessentielle et provisoire, que les progrs

    du temps et de l'intelligence viendraient un jour combler. Telle semble tre la con-

    viction de

    l'auteur

    du trait hippocratique

    De l art

    qui va jusqu' affirmer

    que"

    le

    hasard n'existe pas (Littr, VI, p. 10).

    Mais cet optimisme n'a pas dur. Dmosthne, Eschine, Isocrate remettent entre

    les mains du hasard ou

    des

    dieux une part croissante de responsabilit. La raison

    avoue ses limites; et le temps n'est pas loign o Aristote reconnatra dans la con-

    tingence

    une

    constante

    des

    rapports de

    l'homme au

    monde.

    Ainsi, partir des emplois du mot se dessine une volution intellectuelle pro-

    fonde. Car l'usage continu

    du

    vocable ne doit

    pas

    masquer les dplacements

    d'accent ou les ruptures qui affectent sa valeur. On peut en effet opposer le kairos

    archaque, li un temps o la sagesse tait centre sur la conscience des limites

    de l'homme

    5

    au

    kairos des techniques qu'exalte

    une

    poque o l'homme affirme

    ses pouvoirs. Kairos devient l'incarnation omnipotente (1tcxvcx J.&'twp) du temps

    de l'action au moment o l'homme dcouvre l'tendue de

    sa

    responsabilit.

    Dans tous les domaines, individuel ou collectif, il cherche matriser son destin.

    La maladie n'est plus pour lui l'un des flaux envoys par les dieux: c'est le signe

    d'un

    dsquilibre, conscutif un traumatisme ou une

    erreur de

    rgime; et

    l'on peut tenter d'y remdier

    6

    Le sort des cits et des guerres se joue l'assem-

    ble o, par ses votes, le peuple dcide

    des

    alliances conclure,

    des

    campagnes

    entreprendre, orientant lui-mme son sort

    par

    ses actes ou ses paroles. C'est le

    moment o nat l'histoire politique : Thucydide fait le rcit de la guerre du Plo-

    ponnse, moins pour conserver le souvenir de hauts faits - comme le voulait

    encore Hrodote

    -

    que pour

    comprendre

    et

    dvoiler les ressorts les plus cachs

    de l'action.

    Et l'on est tent de voir dans ce mouvement des ides qui fit un temps de kairos

    le mal tre-mot du succs, comme le reflet de l'volution historique. Car la foi pro-

    clame dans les pouvoirs

    de

    l'intelligence et le dveloppement du rle attribu au

    kairos sont contemporains de l'enthousi asme qui suivit la victoire de la Perse, de la

    libert du monde grec dsormais garantie, de la dmocratie triomphante. Cette foi

    subsiste tant que demeure vivant, l'espoir

    de

    maintenir l'indpe ndance de la cit :

    Thucydide

    dans

    l Oraison funbre, pourtant crite aprs la dfaite de 404, affirme

    encore sa confiance dans l'analyse rationnelle pour fonder l'action et saisir le

    4. Fr. 6 Nauck ct Snell .

    5. Voir le chapitre Il

    6. Voir le chapitre 111.

    CONCLUSION

    303

    kairos

    (II,

    40,

    2

    et

    3). Mais le IV sicle, ge la crise

    de

    cit,. voit cett e con-

    fi

    t Et l'on mesure ainsi le pathtique du dermer kalroS de Dmos-

    Iance s

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    6/14

    304

    KAIROS

    gramme de Poseidippos I l on copiera l uvre de Lysippe 12. Mais l on ne retrou-

    vera plus l nergie cratrice du kairos tel

    que

    l avait conu le

    v

    sicle grec, au

    cur de l action humaine la plus pratique, la jonction du rationnel et du rel. Cet

    lan

    du

    kairos symbole d un temps optimiste et dynamique, la n o convergeaient

    la joie

    de

    l acte et l vidence rationnelle des moyens et des fins, est dsormais

    perdu.

    11. Cf. Phdre,

    Fable5,

    V, 8, et Ausone,

    pigramme,

    33.

    12.

    Voir Appendice B, p. 76-80 et les figures d locum.

    BIBLIOGRAPHIE

    305

    BIBLIOGRAPHIE

    Compte tenu de la diversit de s questions abordes et des uvres tudies, on a jug pr-

    frable de prsenter la bibliographie correspondant

    chaque chapitre. Le relev exhaustif

    des ouvrages effectivement utiliss ou consults comporte plus

    de

    six cents titres. Nous

    n en

    avons retenu

    que

    l essentiel et la liste qui suit exclut trois types

    de

    travaux :

    1) Les instruments de travail usuels , indispensables toute tude de vocabulaire : dic-

    tionnaire de Liddell-Scott-Jones; dictionnaires tymologiques de Boisacq, Frisk, Chantraine,

    ou Pokorny; indices, lexiques

    et

    concordances des auteurs tudis; lexicographes antiques;

    ditions des fragments (comme les

    Vorsokratiker

    de Diels-Kranz,

    Tragicorum Groecorumfrag-

    menta de Nauck ou

    de

    Kannicht, Radt et Snell, etc.); ditions et traductions de laC. U.

    F.

    auxquelles nous avons constamment fait appel partir du chapitre

    11

    , quitte parfois les

    modifier.

    2) Les ouvrages gnraux - grammaires grecques de Khner-Gerth ou Schwyzer;

    histoires

    de

    l Antiquit comme la Cambridge Ancient History ou les tudes

    de

    E. Will, C.

    Moss et P. Goukowski sur les v et

    IV

    sicles grecs; encyclopdie comme la

    Real

    Encyklopiidie

    de Pauly-Wissowa; dictionnaire mythologique de W. H. Roscher; histoires de

    la philosophie grecque de Brhier ou de Guthrie (6 vol.,

    1962-1986);

    histoires

    de

    la littra-

    ture comme celles de Christ-Schmidt-Stahlin, de Lesky, ou la

    Cambridge History ofClaJsical

    Literature

    dite

    par

    P. Easterling et

    B.

    Knox-

    , dont l intrt est vident pour notre tude.

    3) Quelques tudes d intrt ponctuel pour notre enqute qui n ont t mentionnes

    qu une fois

    en

    note.

    Pour les ditions et commentaires on a, en gnral, co nsult les derniers auteurs en date et

    les plus autoriss. Mais parmi ceux-ci ne figurent dans la bibliographie que les ouvrages

    apportant une contribution

    l analyse du xcxLp6 ou qui concernent

    des

    textes fondamentaux

    pour cette tude. On a fait prcder

    d une

    astrisque les articles traitant plus particulire-

    ment du

    xcxLp6

    ou les ouvrages qui consacrent des dveloppements notables

    l tude

    de

    la

    notion.

    Les abrviations utilises sont celles de

    l Anne Philologique

    - par exemple

    R.H.R.

    pour

    Revue de l histoire des Religions - mais on a souvent prfr des indications plus explicites,

    par exemple

    Quad. di Storia

    plutt que

    Q. S.

    CHAPITRE

    1 :

    L ANALYSE

    S

    MA.,TIQ

    UE

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    MDECINS

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    Outre l'dition d E.

    LITTR,

    Oeuvres compltes d Hippocrate, 10 vol., Paris,

    1839-1861,

    qui reste fondamentale pour toute tude du Corpus hippocratique, nous mentionnons les di-

    tions

    critiques ou commentes

    de certains

    traits

    qui

    furent

    prcieuses

    pour

    notre travail :

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    INDEX

    TEXTES

    GRECS

    ET LATINS MENTIONNS ET COMMENTS

    AU

    COURS

    DE L'OUVRAGE *

    Agathon

    Fr.

    6 (Nauck et Snell)

    : 302, n. 4.

    Alcidamas : 254-260.

    Sur Les

    Sophutes

    2:261 n.

    51.

    9 : 269, n. 74.

    22 :

    39.

    n.

    36; 269. n 74.

    27 : 279, n.

    119.

    31 : 262. n. 55.

    33 : 270. n. 79.

    34 :

    261. n.

    51; 270.

    n. 79.

    Alcmon de Crotone

    F

    D.-K. 24 8 4 :

    150 et n. 5.

    Alexis le Comique

    F. K. 149: 50. n. 87.

    F.

    K.

    173 :

    144.

    n

    18.

    Ammonios :

    56.

    Anaxarchos

    F. D.-K. 1 72 : 39, n 43; 64, n 131.

    Anaximandre

    F. D.-K. 1 12 8 1 : 192. n. 8.

    Andocide

    Contre Alcibiade, 7:

    67. n.

    138.

    Anthologie palatine

    X, 52 :

    143, n. I l

    XVI, 275

    (pigr. de Poseidippo)

    : 51; 77-78.

    Antimaque

    F. WyJJ 22 : 62. n.

    123.

    Antiphon

    Premire Ttralogie

    (Il)

    Il,

    1,

    4

    : 165, n. 57.

    Aristide Aetius)

    Dferue de

    l

    att

    135 : 299. n. 8.

    Aristophane

    NueJ,

    112 : 248,

    n.

    5.

    589-590 : 235,

    n.

    165.

    943 : 42,

    n. 60.

    Paix,

    941 :

    62.

    Oueaux,

    640 : 219. n. 105.

    ThesmophorieJ, 462

    :

    43. n. 66.

    660: 50.

    n. 87.

    Grenouilll s,

    797 : 164.

    956

    sq.

    :

    164.

    n. 56.

    PloutoJ,

    255 256:

    49;

    50,

    n.

    87.

    Aristote

    Rfutation. ophutiqueJ, 183 b 28 q. : 252

    Hutoire de

    Animaux

    504 b

    23:

    71,

    n.

    155.

    536

    a

    3 : 71, n. 155.

    PattieJ des

    Animaux

    677

    a 3

    : 40,

    n.

    51.

    Ginration de Animaux

    719 a 16: 40, n. 51.

    766

    a

    24: 27; 40,

    n. 51.

    Mtaphysique

    981 a

    18

    : 149

    et n.

    1; 253, n. 29 .

    985 b 23 : 46 et

    n 76.

    986 a 20 sq. :

    182

    n. Ill

    989

    b

    29 :

    46 et n.

    76.

    1078

    b

    24

    :

    46

    et

    n.

    76.

    1093

    a

    13 :

    46

    et n.

    76.

    thique

    : 297

    299.

    1094

    b

    24

    : 297, n.

    l

    1096 a 24 sq.

    :

    54;

    298.

    1097

    a

    JO; 1102

    a

    18: 297 , n. 2.

    1104 a 4 sq. : 143, n

    8:

    144, n 15; 169.

    n. 75; 297 et n. 2.

    1106 b 5-16 :

    298.

    1106 b 16 Jq. : 297.

    1109 a 34 : 299.

    1109

    b

    24 :

    299.

    Politique

    1331 a 21 : 40. n. 52.

    i:conomique

    1343 a 25

    s

    q. : 90. n.

    28.

    Rhtorique

    1377 b

    20:

    247.

    1391 b 7 sq.

    :

    247,

    n.

    l

    1396 b 5 :

    41 et n.

    56.

    1402 a

    23

    : 248, n. 5.

    1412 b 35 : 137, n. 165.

    1415 a

    7 : 280,

    n.

    123.

    1417 a 16 Jq.: 277,

    n.

    108.

    Potique

    1451 b sq. :

    20, n. 19;

    214. n. 84:

    223. n.

    21.

    Ausone

    pigramme 33 : 77, n. 4: 304, n. I l

    * Les pages ou notes plus spt