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Centre de Recherche en Santé de Nouna Bulletin météorologique (Temps passé et temps observé, échéance 2184h00) Séraphin SIMBORO Avril, Mai, Juin 2015

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Trimestriel Météorologique d’Information

0 Table des matières | SGI

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Centre de Recherche en Santé de Nouna

Bulletin

météorologique

(Temps passé et temps observé,

échéance 2184h00)

Séraphin SIMBORO

Avril, Mai, Juin 2015

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I. TABLE DES MATIERES I. TABLE DES MATIERES ...................................................................................................................... 1

II. Sigles et messages : ......................................................................................................................... 2

NDVI, (Indice de végétation par la différence normalisée) .................................................... 2

RFE, (Estimation de la pluviométrie, par NOAA/CPC) ............................................................ 2

SOS, (Début de saison ou start of season) .............................................................................. 2

WRSI, (Indice de satisfaction des besoins en eau) ................................................................. 2

III. Observatoire du Centre ............................................................................................................... 3

Le Facies climatologique.......................................................................................................................... 3

III.1 Les températures moyennes ....................................................................................... 3

III.2. Les précipitations ......................................................................................................... 4

III.3 L’Humidité relative ...................................................................................................... 5

III. 4 Les températures, l’humidité et les précipitations ..................................................... 5

III. 5 La Radiation ................................................................................................................. 6

III. 6 La vitesse et la direction des vents .............................................................................................. 7

III. Le Burkina Faso : la sécurité alimentaire ..................................................................................... 8

III.1 Situation actuelle ......................................................................................................... 9

III.2 Perspectives estimées jusqu’en juin 2015 ................................................................. 10

IV. CONCLUSION ............................................................................................................................. 11

VI. INFOS PRATIQUES ...................................................................................................................... 12

VI.1 Précautions à prendre en cas d’éclair et de tonnerre pour éviter les risques liés à la

foudre 12

VI.2 Conduite à tenir en cas de risque d’inondation ........................................................ 13

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II. SIGLES ET MESSAGES :

NDVI, (Indice de végétation par la différence normalisée)

Indicateur de la performance générale de la végétation, ou “indice de verdure” de la

végétation dominante en un lieu donné.

Donne une idée sur la vigueur et la densité de la végétation.

RFE, (Estimation de la pluviométrie, par NOAA/CPC)

Estimation de la pluviométrie basée sur de données satellitaires et d’observation au sol. RFE

constitue une information utile sur les quantités et répartition spatio-temporelle des pluies.

SOS, (Début de saison ou start of season)

Indication de la période de début de la saison de croissance. Ce produit est basé sur la

recherche de critères quantitatifs et qualitatifs de RFE pour caractériser et identifier la

période de semis à partir de la première décade d’avril.

WRSI, (Indice de satisfaction des besoins en eau)

Indicateur de la performance d’une culture hautement lié au rendement dans certaines

régions.

Basé sur le rapport entre besoins en eau de la plante et l’eau disponible dans le sol dont les

pluies constituent l’apport essentiel.

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III. OBSERVATOIRE DU CENTRE

Le Facies climatologique

La période comprise entre avril et juin est une période d’alternance saisonnière. De

par sa situation en latitude, la zone d’étude du Centre de Recherche en Santé de Nouna

connaît au début de cette période un vent poussiéreux, chaud et sec, de direction nord-

nord-est sud-sud-ouest, l'harmattan (fin de saison sèche) et connaît également les

premières précipitations pluviales (début de saison pluvieuse).

Les périodes les plus chaudes se situent en avril, les plus basses températures étant

enregistrées en juin.

L’air connait un début de saturation en vapeur d’eau, et les précipitations qui

favorisent ce phénomène apparaissent en fin d’avril, s’estompent quelque peu en mai, avant

d’observer une reprise à la fin du même mois.

III.1 Les températures moyennes

R² = 0,2705

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Station automatique de NounaEvolution des températures moyennes

TM Linéaire (TM)

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La température moyenne de la période est de 33 degré, avec les amplitudes

thermiques de 26,9° et 35,8°, ce qui traduit une forte chaleur par rapport aux autres

moments de l’année.

D’une manière générale, on observe une baisse progressive des températures durant

le trimestre.

III.2. Les précipitations

Le cumul pluviométrique en fin de période est de 85,6 millimètres, soit la moitié de

celui de l’année précédente pour la même période (175,1 millimètres).

On observe à la première décade de mai de traces de précipitations, mais leur

régularité et leur fréquence ne sont significatives qu’à partir de la seconde décade de juin.

Par rapport à l’année dernière, pour la même période, le début de la saison hivernale

est non seulement tardif mais les quantités d’eau recueillies sont faibles.

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Station automatique de NounaEvolution des précipitations

P

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III.3 L’Humidité relative

La moyenne trimestrielle au cours de la période a été de 42,9%, avec un minima de

13,2% observé le 15 avril et un maxima de 79,6% observé le 26 juin. Ces extrêmes

hygrométriques s’observent donc en début et fin de période.

De façon générale, on observe une hausse progressive d’avril à juin et les forts taux

d’humidité s’observent en début de journée. Cette tendance s’explique par les fortes

chaleurs en début de période et le début des précipitations pluviales observé en juin.

III. 4 Les températures, l’humidité et les précipitations

R² = 0,8471

0102030405060708090

Station automatique de NounaEvolution journalière de l'humidité

HR Linéaire (HR)

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On observe une baisse légère mais progressive des températures, ce qui est

significatif, avec les précipitations qui s’installent à la première décade de mai avec des

traces, même si leur régularité et leur fréquence ne sont significatives qu’à partir de la

seconde décade de juin.

La tendance linéaire dégressive des températures moyennes traduit la transition

d’une saison sèche, chaude, vers une pluvieuse, moins chaude, justifiée par le phénomène

des précipitations pluviales, phénomène qui accroit la saturation de l’air en vapeur d’eau.

III. 5 La Radiation

Dans l’observatoire démographique de Nouna, la radiation moyenne observée au

cours du trimestre est de 145,4W.m- 2.

On observe une tendance linéaire à la baisse au cours du trimestre avec cependant

des particularités par moments qui n’ont aucune cyclicité.

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Station automatique de NounaEvolution des températures, de l'humidité et des précipitations

TM HR P

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III. 6 La vitesse et la direction des vents

La vitesse moyenne des vents observée à cette période est de 3,8m/s. On observe

une légère augmentation de 0,2 mètre par seconde des vitesses moyennes par rapport à la

même période de l’année 2014. Une baisse progressive de la vitesse tout au long de la

période s’observe également.

Quant aux directions des vents, on observe (02) principaux types de vents :

Les vents transitoires : ils succèdent aux vents d’harmattan d’avril à mai. Ils

n’ont pas de direction fixe : tantôt nord-est, tantôt sud-ouest ou encore ouest. Cette

instabilité directionnelle ne favorise que des transports de gènes à une échelle locale. Leurs

vitesses décroissent légèrement d’avril à mai.

Les vents de direction sud-ouest qui soufflent en juin : ce sont des vents de

mousson, chauds et pluvieux. Leur transport de gènes est limité par les précipitations

pluviales qu’ils engendrent eux-mêmes.

Ces principaux types de vents qui balayent sans cesse l’observatoire, bien que

relevant d’un dynamisme local, s’inscrivent également dans une climatologie dynamique

générale.

R² = 0,4503

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Station automatique de NounaRadiation Globale

RG Linéaire (RG)

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III. Le Burkina Faso : la sécurité alimentaire

Ces cartes représentent les résultats actuels de l’insécurité alimentaire aigüe pertinents. Source: FEWS NET

Due à l’épuisement précoce de leurs réserves alimentaires ainsi qu’à une absence

quasi-totale de fourrage pour leurs animaux, beaucoup de ménages pauvres de l’extrême

nord du pays (Zone 8), sont contraints à un exode et à une fréquentation des sites

d’orpaillage beaucoup plus accentués que d’habitude pour des revenus. Les mouvements de

transhumance vers les zones de pâturage sont plus précoces avec une amplitude plus

importante.

Dans les communes de Nassoumbou, Koutougou et Tin-Akoff, les ménages pauvres

vivent déjà une insécurité alimentaire de Stress (Phase 2 de l’IPC) et les prix des céréales de

base et de l’aliment pour bétail sont particulièrement élevés. Par contre leurs revenus

principalement issus de la vente du bétail est en-dessous de la moyenne quinquennale du

fait des prix relativement bas des animaux.

Dans le reste du pays sur les marchés, l’offre des produits alimentaires de base

notamment céréaliers est supérieure à la normale, alors que la demande des ménages reste

faible, ce qui fait que les prix de ces denrées restent globalement similaires à la moyenne

quinquennale.

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III.1 Situation actuelle

A l’exception de l’extrême nord du pays (zone de moyen d’existence n°8), la plupart

des ménages pauvres ont toujours recours à leurs propres productions pour leur

alimentation, ce qui fait que la demande sur les marchés est réduite de moitié pendant que

l’offre en céréale est au moins 40 pour cent supérieur à la normale.

Dans les zones de grande production, notamment l’ouest du pays, les prix aux

producteurs des céréales sont similaires à la moyenne quinquennale pour le mil et le sorgho

et en dessous de la moyenne quinquennale de 10 pour cent pour le maïs. Cette situation

serait due au contexte actuel du marché beaucoup plus orienté vers la collecte et la

commercialisation des produits agricoles de rente tels le niébé, le sésame et l’arachide ainsi

que des produits du cru tels les amandes de karité et les graines de néré destinés à

l’exportation.

Dans la zone agropastorale nord du pays (zones 7 et 8), malgré des récoltes en-

dessous de la normale du fait de l’irrégularité des pluies, les prix des céréales sont

globalement similaires à la moyenne quinquennale. Toutefois, exception est faite sur

certains marchés où les prix sont plus élevés que la moyenne quinquennale. Il s’agit

notamment des marchés de Bogandé où le prix du mil et du sorgho sont supérieurs à la

moyenne quinquennale de 11 pour cent, ainsi que le marché de Sebba où le mil et le sorgho

s’échangent respectivement à 25 pour cent et 15 pour cent plus chers que la moyenne

quinquennale. Cette quasi-stabilité générale des prix dans cette partie du pays pourrait

s’expliquer par le bon niveau d’approvisionnement des marchés à partir des zones de grande

production.

Dans cette partie du pays, l’alimentation du bétail devient difficile du fait du déficit

fourrager (surtout dans les provinces du Séno et de l’Oudalan). En vue de réduire l’impact de

ce déficit sur le cheptel, les mouvements de transhumance se sont intensifiés précocement

dès le mois de décembre en direction des régions du Sud ou vers le Mali. Par ailleurs, sur les

marchés, on constate une hausse des offres, en particulier des petits ruminants qui sont en

majorité de mauvaise conformation par rapport à la normale. Ainsi, sur les marchés de Djibo

et de Gorom-Gorom, les offres en caprins sont en hausse de 77 et 10 pour cent

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respectivement et celles des ovins également en hausse de 21 et 9 pour cent respectivement

par rapport à la moyenne quinquennale. En conséquence, les prix des animaux sont 10 à 30

pour cent en-dessous de la moyenne quinquennale, d’où une dégradation des termes de

l’échange bétail/céréales. Les ventes servent généralement à l’achat de céréales pour la

consommation du ménage, mais aussi à l’achat d’aliments pour entretenir le troupeau resté

sur place.

Dans les communes de Nassoumbou, Koutougou et Tin-Akoff dans l’extrême nord du

pays (Zone 8), la situation alimentaire des ménages en particulier les ménages pauvres est

de Stress (Phase 2 de l’IPC) à cause des attaques d’oiseaux granivores et d’une pluviométrie

médiocre qui ont eu pour conséquence des productions agricoles largement en dessous de

la moyenne quinquennale. Cette situation a intensifié plus que d’habitude les départs en

exode vers les grands centres urbains et le recours à l’orpaillage. La réduction du nombre de

repas quotidien de 1 à 2 contre 2 à 3 habituellement est aussi une pratique fréquente dans

les ménages.

III.2 Perspectives estimées jusqu’en juin 2015

Comme évoqué dans les perspectives ci-dessus, à partir de mars, les ménages très

pauvres et pauvres des communes de Nassoumbou, de Koutougou et de Tin-Akoff

connaitront une Crise (Phase 3 de l’IPC) pendant que ceux des autres communes de la région

du Sahel et environ (Zones 7 et 8) vivront en insécurité alimentaire aigue Stress (Phase 2 de

l’IPC). Ces situations devraient restées inchangées jusqu’à la fin de la période habituelle de

soudure, c’est-à-dire en fin septembre. En effet, même si les termes de l’échange

bétail/céréales vont continuer à se détériorer jusqu’en août (hausse des prix des céréales et

baisse des prix des animaux), les revenus procurés par l’orpaillage jusqu’en juin, les revenus

rapportés de l’exode et de la migration avec les retours en juin-juillet du fait de l’installation

normale de la saison et l’amélioration de la disponibilité de lait à partir du mois d’août,

permettront aux ménages de couvrir le minimum des besoins alimentaires sans dégrader de

façon irréversible les stratégies et avoirs relatifs aux moyens d’existence.

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IV. CONCLUSION

Cette période transitoire inter saisons se traduit par une baisse régulière des

températures et une saturation progressive de l’air en vapeur d’eau.

La tendance linéaire dégressive des températures moyennes traduit la transition

d’une saison sèche, chaude, vers une pluvieuse, moins chaude, justifiée par le phénomène

des précipitations pluviales.

Quand à la radiation globale, on observe une tendance linéaire à la baisse au cours

du trimestre avec cependant des particularités par moments qui n’ont aucune cyclicité.

Quant aux vents, on observe une baisse progressive de leur vitesse tout au long de la

période.

Les télé connexions prévues sont faibles pour la saison à venir, la structure étant

cohérente entre les modèles de Météo-France et du CEPMMT sur le Pacifique central, mais

différente sur l'Atlantique.

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VI. INFOS PRATIQUES

VI.1 Précautions à prendre en cas d’éclair et de tonnerre pour éviter les

risques liés à la foudre

Si vous êtes dans un bâtiment :

Restez à l’intérieur. Ne sortez pas à moins que ce ne soit absolument nécessaire ;

Éloignez-vous des portes et fenêtres ouvertes, des téléphones, des installations de

plomberie et des objets métalliques ;

Débranchez les dispositifs électroniques fragiles et les appareils électriques.

Si vous êtes à l’extérieur :

Mettez-vous à l’abri dans un immeuble, une cavité ou un fossé ;

Si vous ne trouvez pas d’abri, agenouillez-vous sur le sol et penchez-vous vers l’avant

jusqu’à que vous ayez la tête plus basse que le dos et placez les mains sur les cuisses pieds

collés ;

Éloignez-vous du sommet des collines, des grands arbres, des espaces ouverts et des objets

ou constructions en métal (clôtures, machines, hangars, etc.).

Si vous êtes dans un véhicule :

Restez dans votre véhicule ;

Ne touchez pas les surfaces métalliques à l’intérieur de la voiture ;

Ne stationnez pas à proximité de grands arbres ni de structures élevées ;

Couper l’autoradio. Où que vous soyez, évitez d’utiliser votre téléphone.

Premiers soins :

Si vous apercevez quelqu’un frappé par la foudre, appelez une ambulance immédiatement.

Donnez les premiers soins nécessaires (si vous avez reçu une formation en la matière). Les

victimes de la foudre ne retiennent pas de charge électrique et il n’est donc pas dangereux

de les toucher.

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VI.2 Conduite à tenir en cas de risque d’inondation

S’il y a risque d’inondation:

Faire des réserves d’eau potable car les sources d’approvisionnement habituelles peuvent

être contaminées ;

Enlever tous les produits chimiques du sol et des endroits susceptibles d’être inondés ;

Transporter les bagages et effets personnels sur des parties surélevées ;

Préparer le nécessaire à emporter avec vous au cas où il y a évacuation : Il s’agit entre

autres et dans la mesure du possible des effets suivants : lampe de poches, radios avec piles

de rechange ; vêtements et draps de couchage ; vêtements de rechange et imperméables ;

médicaments et eau potable de survie ; documents d’identification des membres de la

famille.

Pendant la phase active d’inondation :

Couper l’alimentation électrique en sautant le disjoncteur (compteur de courant) ;

Faire un compte-rendu d’urgence aux services de secours en décrivant la situation qui

prévaut (contacts gratuits joignables au n° 18 ou 112) ;

Ecouter la radio en permanence et suivre les consignes de sécurité qui vous seront

communiquées ;

Eviter de rester dans les maisons menaçant ruines ou de s’adosser aux murs de clôture ;

Empêcher les enfants de sortir ou de se promener n’importe où ;

Faire si possible de petites canalisations pour permettre l’évacuation des eaux ;

Fermer ou faire fermer les bouteilles de gaz ;

Si vous êtes en déplacement en véhicule, moto, bicyclette ou même à pieds, éviter de

franchir sans précaution les coupures d’eaux ou les zones inondées car vous pouvez être

emporté par le courant d’eau.

En cas de pluie torrentielle ou orageuse :

Stationner à l’aire libre et attendre qu’elle baisse d’intensité pour poursuivre votre

déplacement ;

Eviter de stationner sous les arbres, les hangars menaçant, les ruines, les poteaux

électriques;

Eviter l’usage du téléphone portable car il peut vous attirer une décharge électrique ;

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Après l’inondation (eaux évacuées entièrement) :

S’assurer de l’accessibilité de votre logement avant d’y entrer ;

S’assurer que tout est bien sec et fonctionnel avant de remettre le compteur électrique en

marche.