UIDE PRATIQUE l’éclairage comme moyen d’expression

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FORUM TOUTE LA LUMIERE SUR L’ECLAIRAGE

www.nlight.frChaque mois un ateliers pédagogiques à télécharger

l’éclairage comme moyen d’expressionpar Clarke

GUIDE PRATIQUE

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www.nlight.frIntroduction

Valeur des éléments techniques sur l’image photographiqueLors de la prise de vue photographique d’une scène en mouvement, quatre éléments importants interviennent :1° L’appareil de prise de vues,2° Le système optique,3° Le capteur CCD (ou l’émulsion photographique),4° L’éclairage.

L’appareil n’a qu’une importance très relative sur l’image obtenue, il protège le capteur ou le film de la lumière parasite, il n’est différent d’un autre et n’est apprécié que par son format, ses caractéristiques logicielles et son ergonomie.

L’objectif n’a que peu d’influence sur le rendu de l’image, les différentes focales ne modifient pas la perspective mais le cadrage. Il n’est en rien responsable de la qualité artistique de l’image.

Le capteur ou l’émultion reproduisent la réalité de la manière la plus fidèle possible, l’influence sur le rendu de l’image reste limité et conditionne assez peu sa qualité intrinsèque.

La lumière avec la composition de l’image, sont quant à elles, les comoposantes fondamentales de l’expression photographique. La perception de la lumière reste très difficile à décrire, elle éveille en nous des sentiments, des souvenirs… Grâce à elle, il est possible de présenter un sujet sous les aspects les plus divers afin de provoquer un impact sensible et émotif. C’est par elle que s’ouvre ànous la liberté d’intervenir sur la réalisation effective de l’image photographique.

> Rappel

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www.nlight.frEtape 1 : Trouver l’inspiration> L’histoire

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www.nlight.frEtape 2 : Composer l’image et cadrer> Les détails narratifs

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www.nlight.frEtape 3 : Créer l’ambiance par l’éclairage> Le style

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www.nlight.frEtape 4 : rechercher l’expression juste

V.3.0

> Message et émotion

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www.nlight.frInspiration Composition Eclairage Conviction> Introduction

AVEC LA COMPOSITION DE L’IMAGE

L’ECLAIRAGE

EST LA COMPOSANTE FONDAMENTALE

DE L’EXPRESSION PHOTOGRAPHIQUE

Saisir l’émotion au moment de sa plus grande intensité

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www.nlight.frPost traitement numérique> Introduction

Analyse d’image

1 Cadre2 Flamme bougies3 Chromie mur4 Boîtier électrique5 Semelle chaussure6 Cheville7 Plis sofa8 Recadrage gauche9 Chromie robe9b Chromie modèle10 Vernis et ongles11 Chromie moquette12 Pied photo

H/V Correction des perspectives

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Appliquer un traitement

chromique zone par zone

Traitement du décor

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Traitement dumannequin

Appliquer un traitement

chromique zone par zone

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Image finale

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www.nlight.frÉclairage ponctuel ou diffus

Influence sur le contraste et la saturation des couleurs

Une source de lumière est dite ponctuelle lorsque que l’on peut la comparer à la lumière du soleil, dans ce cas le contraste est fort avec une bonne saturation des couleurs. C’est typiquement le cas d’un éclairage au bol. Éclairage direct.

Une source de lumière est dite diffuse lorsque que l’on peut la comparer à une lumière par ciel couvert, dans ce cas le contraste est plus faible et la saturation moins importante. C’est typiquement le cas d’une boîte à lumière ou d’un parapluie. Éclairage direct ou indirect.

Plus la source de lumière est petite plus elle est ponctuelle et contrastée.

Plus on éloigne une source de lumière d’un sujet plus elle devient ponctuelle, une boîte à lumière très éloignée devient par conséquent ponctuelle. En résumé, si on approche une boîte à lumière très près d’un modèle, par exemple 30 cm, on obtient un éclairage très doux et peu contrasté.

> Introduction

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www.nlight.frÉclairage ponctuel ou diffus> Rôle des accessoires

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www.nlight.frL’éclairage de studio >>> le flash

> Fonctions de base

Poignée

Réglage de puissance

Mode pilote

Signal acoustique

Open flash

Cellule infrarouge

Allumage pilote

Mise sous tension

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www.nlight.frL’éclairage de studio >>> les accessoires de base

> Les bols réflecteurs

Grilles nid-d’abeilles

Réflecteurs argentés

Bol beauté spécial portrait

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> Les boîtes et parapluies

Parapluies réflecteurs ou translucides

Boîtes à lumière Octo

Boite à lumière avec masque circulaire et

grille nid-d’abeilles en textile

Inserts Doré / blanc

Le choix de la taille et de la forme d’une boîte à lumière se fait en fonction de la surface à éclairer

et de l’effet recherché

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> Torche poursuite

Idéal pour les effets de fond

Jeu d’iris, de gobos, couteaux à découpe

et lentilles

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www.nlight.frRôle des accessoires

Inventaire d’un studio pour photo club

7 flashs de 400 à 1200 joules (dont un Fresnel)1 Boîte à lumière octogonale 180 cm2 Boîtes à lumière 90 x 110 cm 2 bols réflecteurs argentés de 16 cm à 65° avec volets coupe flux et 1 jeu de 3 grilles nid d’abeille2 bols réflecteurs argentés de 27 cm à 65° avec volets coupe flux et 1 jeu de 3 grilles nid d’abeille1 bol réflecteur argentés de 33 cm à 35° avec volets coupe flux et 1 jeu de 3 grilles nid d’abeille1 bol beauté blanc de 44 cm1 Snoot (Cône) 1 torche à découpe avec un jeu de gobos2 parapluie blancs 1 m avec diffuseurs2 à 3 panneaux réflecteurs blancs 2 m x 0,80 m3 à 4 panneaux coupe flux noirs 2 m x 0,80 mCalques : réf. 216, 250, 251, 252, 253 en feuilles de 120 x 120 et 60 x 60Gélatines : réf. CTB et CTO en full, demi et quart en feuilles de 120 x 120 et 60 x 60Charte gris neutreFonds papier de couleur : blanc, gris, noir, rouge, marron, chamoix1 flashmètre2 autopôles2 bras magiquesJeu de pieds stables, une girafe, 2 ou 3 lests1 émetteur radio et 3 à 4 récepteurs

> Rôle des accessoires

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www.nlight.frLes gélatines> Mixage des sources

Pour simuler et mixer la lumière du jour et la lumière tungstène

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www.nlight.frLes gélatines

Pour corriger la température couleurDans le cas d’un éclairage mixte : ambiance tungstène + flash on coiffera les flash d’une gélatine Full CT Orange 204 (5700 >>> 3200 °K), ayant une incidence – 0,3 IL sur l’exposition.

Dans le cas d’un éclairage mixte : ambiance lumière du jour + tungstène, on coiffera les torches d’une gélatine Full CT Blue 201 (3200 >>> 5700 °K), ayant une incidence – 1 IL sur l’exposition.

Pour corriger l’expositionIl arrive parfois que l’on souhaite approcher une torche très près du modèle,d’une part pour n’éclairer qu’une partiede son visage et d’autre part pour obtenirun éclairage plus doux (typiquement le style Harcourt) et que par ailleurs les appareils numériques ne disposant pas d’une sensibilité inférieur à 100 ISO, nous ayons recours à une gélatine‘’Neutral Density 209’’ ayant une incidence de – 1 IL sur l’exposition.

Elles sont juxtaposables pour augmenterl’effet. La valeur se multiplie.

Gélatine 204

Gélatine 201

Gélatine 209

> Les basics

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www.nlight.frCorrection TC sur le ring flash> Gélatine CTO 204

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www.nlight.frLes calques

Pour corriger les tons ou créer une ambiance Afin de réchauffer le teint d’un visage trop pâle, on aura recours à une gélatine de type Pale Amber Gold 009 appliquée localement grâce à l’usage d’une torche équipée d’un bol et d’une grille, ce qui aura pour effet de préserver les tons du reste de l’image.

Pour diffuser la lumièreAfin de diffuser la lumière avec un effet plus ou moins important, on a recours àdes calques. Il en existe une variétépermettant de répondre aux besoins les plus complexes. Citons un calque standard à diffusion modérée, le White diffusion 216 àl’atténuation régulière (- 0,7 IL). Il se décline en demi ou huitième de diffusion. Un autre calque, le Hanover Frost 253 à l’effet légèrement givrant, atténuant les ombres et permettant de réduire le point chaud de la torche.

Gélatine 009

Calque 253

Calque 216


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www.nlight.frLa vitesse de synchronisation> Réglages

Comment doser l’ambiance et le flash ?

1) Faire une mesure enlumière réfléchie de l’ambiance

2) Reporter la vitesse et l’ouverture sur le boîtier avec +/- 1 IL selon si l’on souhaite ‘’détacher’’le modèle du décor

3) Régler les torches en fonction de l’ouvertureobtenue avec une correction de +/- 1 IL, faire une mesure en lumière incidente

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www.nlight.frLa vitesse de synchronisation

ExplicationsLes boîtiers à obturateur à rideaux synchronisent en général à partir du 250ème jusqu’à‘’n’’ secondes. Certains appareils professionnels disposant d’un obturateur central àlamelles synchronisent à toutes les vitesses.

En studio aveugle, le choix de la vitesse n’a pas d’incidence sur le rendu, à condition de travailler sur pied en dessous du 60ème.

Dans le cas d’une prise de vue en extérieur, il faut doser la puissance du flash en fonction de la lumière ambiante. Soit on souhaite un équilibre entre les deux, soit on souhaite légèrement sous exposer l’ambiance pour détacher le personnage du décor. Le dosage s’effectue en jouant sur la vitesse de synchronisation.

Exemple : la mesure faite au posemètre en lumière réfléchie (diffuseur off) indique f5.6 au 8ème de seconde pour un paysage à la tombée du jour, il faudra régler le flash de manière à mesurer sur le flashmètre un éclair à f5.6 dirigé sur le personnage, en utilisant la méthode de la mesure en lumière incidente (diffuseur on). Ensuite il faudra régler la vitesse de synchronisation au 8ème ou 16ème de seconde selon l’effet désiré.

> Réglages

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www.nlight.frLe flashmètre

Les fonctions :1. Mesure l’éclair du flash

(lumière incidente) 2. Mesure la lumière ambiante

(réfléchie ou incidente) 3. Saisie d’une valeur de correction

(filtre ou gélatine) 4. Réglage de la sensibilité ISO


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www.nlight.frLa mesure

PRINCIPE

Si l’on dirige la cellule vers le sujet, il s’agit d’une mesure par réflexion. La cellule reçoit la quantité de lumière renvoyée par le sujet. Le diffuseur sphérique doit être enlevé, la cellule est en mode posemètre.

Autre possibilité : mesurer la lumière du flash éclairant le sujet, il s’agit d’une mesure par incidence. Adapter le diffuseur sphérique et mesurer en direction des différentes sources pour analyser les contrastes, puis en direction de l’appareil photo pour obtenir le réglage. La cellule est en mode flashmètre.

Dans les deux cas, on admet que le sujet comporteune densité moyenne de tons représentable par un gris moyen de 0,70 ; ce qui correspond au pouvoir de réflexion de 20% de la carte grise Kodak. Si le sujet ne se trouve pas dans cette relation moyenne,le photographe doit alors interpréter les données fournies ou bien éclairer davantage les parties sombres ou peu réfléchissantes.

> Réglages

1. Mesure réfléchieavec l’appareil photo

2. Mesure incidenteavec le posemètre ou le flashmètre

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www.nlight.frLe flashmètre

La conversion des valeursLe flashmètre indique une valeur en 10ème de diaphragme et l’appareil indique une valeur en 1/3 ou demi diaphragme Exemple f5.6 ou f8 sont des valeurs entières. La valeur f6.3 correspond à f5.6 + 1/3 d’IL, f7.1 correspond à f5.6 + 2/3 d’IL.

Pour ces mêmes valeurs f6.3 et f7.1, le flashmètre indique :[f5.6 3] ou [f5.6 7]Il convient de régler l’appareil photo soit en tiers ou demi diaphragme, selon le cas, afin de s’approcher au mieux de la mesure du flashmètre.


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www.nlight.frLes coefficients de réflexion

PrincipeLa cellule du posemètre calcule la valeur d’exposition d’une image en se basant sur le principe universel qu’un sujet reflète en moyenne 18% de la lumière qu’il reçoit. Lorsque le sujet à photographier présente des zones importantes de noir dense ou au contraire de zones très blanches, il devient nécessaire d’apporter une correction de la valeur indiquée. Pour en faire l’expérience, photographiez une feuille noire plein cadre, puis une feuille blanche, vous obtiendrez la même image ! C’est-à-dire une image d’un gris moyen sans pouvoir distinguer la quelle est noire ou la quelle est blanche. Il faut donc sous-exposer les sujets sombres ayant un coefficient de réflexion faible comme une veste en velours noir par exemple et faire l’inverse pour les sujets ayant un coefficient de réflexion élevé.Le problème se complique un peu lorsqu’il s’agit d’une personne au teint clair et à la chevelure blonde, toute habillée de noir. Il faut effectuer une mesure au spot mètre sur chaque zone et calculer la différence en IL entre les valeurs sombres et les valeurs claires. Ensuite vous ajustez l’éclairage proportionnellement, en fonction de l’effet recherché. Par exemple en ajoutant un peu plus de lumière sur les zones sombres.

> Réglages

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www.nlight.frLe rôle des différents éclairages

Lumière clé (key light)La source d’éclairage principale [ P ] doit être assez puissante pour être dominante, elle donne un faisceau de lumière dirigée (dure). Elle a pour mission de situer le modèle dans l’espace, de créer son relief, de définir sa forme et son volume. C’est de son emplacement par apport à l’axe du modèle et du photographe que dépend l’aspect général et l’atmosphère de la photo.

Lumière d’ambiance (fill light)La source d’éclairage d’ambiance [ A ] ou source de remplissage (fill-in) doit être d’une surface assez grande pour donner un large faisceau de lumière diffuse (douce). On peut utiliser un réflecteur passif en remplacement d’une torche d’ambiance. Son rôle est d’éclaircir les zones d’ombre formées par la source clé, mais sans en créer de nouvelles.

Lumière d’effet (kick light)La source d’éclairage d’effet [ E ] est une torche à faisceau étroit, munie d’un cône ou d’un nid d’abeille. Elle est placée en semi contre-jour afin de silhouetter agréablement le modèle en créant une auréole de lumière qui en souligne les contours et le décolle de l’arrière plan.

Lumière de fond (back light)La source d’éclairage du fond [ F ] sert à éclairer séparément le décor du modèle, d’autant plus qu’il s’en trouve éloigné ; le fond ne recevant alors qu’un faible quantité de lumière de la source clé qui décroît selon la loi du carré de la distance. Cette source combinée généralement à des panneaux coupe flux sert également à créer des images en valeur high key.

> Plan d’éclairage

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www.nlight.frExemple 1 >>> Clair obscur avec le Split Lighting

Un éclairage classique comprend les éléments suivants :

1. L’éclairage principal 2. Une dilution des ombres ou

la création de reflets3. Des accents ou des effets

de lumière4. L’éclairage du fond ou du

décor

La dilution des ombres peut être assurée par un réflecteurpassif.


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Plan d’éclairage

1. Eclairage principal 2. Eclairage d’accent (1)3. Dillution des ombres4. Eclairage d’accent (2)5. Eclairage de fond6. Panneaux coupe flux préservant

le décor des éclairages parasites


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ToléranceSelon si l’on travaille enargentique ou en numériqueles réglages peuvent êtredifférents, du fait de latolérance d’une émulsionqui est supérieure à celle du capteur, ce qui est encore plus vrai en N&B.

MesureCommencer par l’éclairageprincipal et finir par lefond. Faire une dernière mesurepour le photographe, qui sera le ratio de l’ensemble.La mesure doit être effectuéeen lumière incidente, le flashmètre dirigé vers la torche, la cellule coifféedu diffuseur blanc.


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www.nlight.frExemple 2 >>> Portrait à la manière des studios Harcourt


Construction très classique de l’époque des studios Harcourt avec trois sources

1. Un éclairage de face sur le visage2. Un éclairage en contre pour les reflets3. Un éclairage de fond

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www.nlight.frExemple 2 >>> Portrait à la manière des studios Harcourt


Le strict minimum !

1. Eclairage principal avec une torche Fresnel

2. Accents et effets de lumière avec un snoot

3. Eclairage du fond avec un bol réflecteur derrière un panneau operculé

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www.nlight.frExemple 2 >>> A la manière des studios Harcourt


Exemple de mesure et réglages

Source 1 à f13Source 2 à f11Source 3 à f9

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www.nlight.frComposition d’un éclairage en intérieur> Créer la vraisemblance

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www.nlight.frComposition d’un éclairage en intérieur> Disposition

Considérer le décor comme un volume à découper en tranches

Appliquer un éclairage différent dans chaque zone en alternant les clair et le sombre

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www.nlight.frComposition d’un éclairage en intérieur> Mesures

Indiquer les mesures

Source 1 : f ____Source 2 : f ____Source 3 : f ____Source 4 : f ____

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Exercice : indiquer les mesures


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www.nlight.frComposition d’un éclairage en intérieur> Plan d’éclairage commenté

Identifer le plan d’éclairage par :

Le type de sources utiliséeLeur emplacementLeur direction

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www.nlight.frComposition d’un éclairage en intérieur> Disposition

Indiquer les mesures


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www.nlight.frExemple 5 >>> expliquer le plan d’éclairage utilisé


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www.nlight.frDiriger le modèle professionnel

La relationIl est important que le modèle prenne connaissance du scénario, de la charge de travail et des horairesParticiper aux préparatifs et donner son avis au styliste ainsi qu’aux coiffeur et maquilleurVeiller à son confort et à son état généralCommuniquez avec elle et encouragez la pendant la séance afin qu’elle vous suive dans l’histoire

En généralLes mannequins professionnels savent poser et s’adaptent à de multiples ambiances. Il faut simplement leur donner une direction générale de votre travail et elles feront le reste. Elle sont assez volubiles, il ne faut donc pas trop les enfermer dans des éclairages trop exsangues afin qu’elles libèrent leurs mouvements. Il est donc très important qu’un assistant surveille et puisse diriger manuellement les éclairages d’effet, ainsi que les réflecteurs.Les modèles amateurs sont en général moins habituées à varier les poses, et ne savent pas toujours se mettre en valeur, elles ont besoins de plus de direction de la part du photographe, sauf exception les danseuses, chorégraphes ou comédiennes. Il faut donc procéder à des pauses et reprendre avec calme et patience la séance photo.

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www.nlight.frDiriger le modèle amateur

Préalable

Faire connaissance. Dans la procédure de photo de charme consistant à révéler le caractère du modèle, lui demander ce qu’elle voudrait être, ce qu’elle ressent dans son quotidien, son travail, ce qui la motive...

Regarder son book attentivement si elle en possède un. Montrer le vôtre…

Ne vous mettez pas la pression. Posez-vous la question de ce que vous allez faire, préparez votre séance à l’avance. On part toujours avec une idée et on finit avec une autre car l’atmosphère change, vous n’êtes plus seul, vous évoluez ensemble avec le modèle.

Décrire au mieux les mises en scènes que vous souhaitez faire, si besoin inspirez vous de photos publiées ou de différents éléments qui les composent.

Ne soyez pas trop bavard, vérifier si le modèle comprend toute la démarche de votre séance, ne soyez pas compliqué. Commencez par faire des essais de poses habillées.

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www.nlight.frDiriger le modèle amateur

Pendant la prise de vues

Dominez vos émotions, c’est le modèle qui a le dessus ! Elle vous donne tout d’elle même, c’est àvous de relever le défi, de révéler sa personnalité sa photogénie… N’ayez pas trop d’hésitation sur le choix des poses, la séance doit être fluide.

La confiance va s’établir progressivement et réciproquement, les choses vont devenir plus facile et votre langage sera différent et plus précis. Déclenchez, même si ce n’est pas parfait, il ne faut pas culpabiliser le modèle ! Travailler les poses avec votre modèle, mimez là ! Exprimez votre enthousiasme lorsque vous sentez que les poses vous plaisent.

Faites des coupures pour parler de votre ressenti, du travail qui vient d’être fait et de la prochaine séquence. Prévoyez un peignoir.

Il y a toujours une sorte de ‘’contrat ‘’ entre le photographe et le modèle. Chacun ayant son objectif ou sa propre idée sur la séance. Il doit y avoir équilibre entre les deux.

Il faut être détendu et en bonne forme psychologique.

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www.nlight.frProtégez vos droits et ceux du modèle

Le droit à l’image

Protégez les droits du modèle et les vôtres en faisant signer l’autorisation d’usage sur l’utilisations des images.

Demandez une photocopie de la carte d’identité. Ceci doit être fait avant de commencer !

Soyez clair sur les utilisations commerciales éventuelles, rémunération (en %), photos libres de droits ou en droits gérés, copyright…

Si vous décidez en accord avec le modèle de publier certaines photos sur les banques d’images, les autorisations en bonnes et dues formes vous seront demandées.

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www.nlight.frVos questions en ligne

Bonne continuation !

Pour continuer et partager votre passion :rendez-vous sur le forum technique NLIGHTNLIGHT

Clarke +33 6 30 43 10 82

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