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Si l’Aquitaine offre aujourd’hui l’image d’une région dynamique, où il fait bon vivre mais aussi innover, c’est bien le fruit d’une stratégie menée sur le long terme, tout au long de ces10 dernières années. Plus que jamais, les résultats que nous obtenons aujourd’hui démontrent l’impact à moyen et long terme des décisions prises par l’institution régionale.
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Un visage nouveau pour l'Aquitaine
En l'espace de 10 ans, l'Aquitaine a rattrapé son retard pour reprendre un temps d'avance en
matière de développement durable. Le Conseil régional a joué son rôle d'animateur du territoire pour
réveiller une région qui s'était endormie sur ses atouts naturels. En 2009, l'image de l'Aquitaine a
bien changé par rapport à1998.
Si l’Aquitaine offre aujourd’hui l’image d’une région dynamique, où il fait bon vivre mais aussi innover,
c’est bien le fruit d’une stratégie menée sur le long terme, tout au long de ces10 dernières années.
Plus que jamais, les résultats que nous obtenons aujourd’hui démontrent l’impact à moyen et long
terme des décisions prises par l’institution régionale. Il est possible de construire un nouveau
modèle de développement durable, de tisser de nouvelles solidarités, de combler les retards ou les
absences d’infrastructures et de services publics en se donnant le temps d’agir en profondeur. La
Région a l’ambition d’apporter chaque jour des réponses aux enjeux du XXIe siècle par l’action
de terrain : sur la formation professionnelle (premier poste budgétaire de l’administration), sur
l’emploi, sur l’aide aux entreprises, à la “recherche et le développement” et à l’innovation, sur la
construction dans les lycées, sur les infrastructures de transport, sur la préservation de
l’environnement, sur la valorisation des ressources naturelles d’un territoire riche de ses paysages,
de ses traditions, de ses forces vives et créatives.
En 10 ans, la majorité PS-Verts-PRG a propulsé l’Aquitaine dans le peloton de tête des régions
françaises. C’est à un projet collectif, rassembleur que je souhaite aujourd’hui inviter les Aquitains.
Nous pouvons nous appuyer sur les politiques menées au cours de la dernière mandature pour
inventer l’Aquitaine de 2025. Nous avons aujourd’hui les moyens de choisir. C’est tout l’enjeu des
élections de mars 2010.
Alain Rousset
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L'Aquitaine a longtemps vécu sur les ressources qu'une nature généreuse et une géographie
providentielle lui ont données : le pin maritime, le vin de Bordeaux, le tourisme du bassin
d'Arcachon à la corniche basque, l'industrie de défense. Dans un monde en pleine mutation,
l'Aquitaine ne pouvait se contenter de préserver son économie de cueillette à l’abri des regards.
Il a donc fallu engager un travail en profondeur pour transformer les traditions en forces
d'innovation. La Région a poussé ce mouvement, a encouragé les acteurs économiques dans
cette diversification des activités. Aujourd'hui les résultats sont probants et récompensent cette
stratégie d'accompagnement qui a pilotée l’institution régionale.
L'innovation : un pari gagnant pour donner un second souffle àl'industrie aquitaine
- Avec 9% de son budget consacré à la recherche et à l’innovation, l’Aquitaine est en tête du
classement des régions françaises.
- 14 fois plus d'aides à l'innovation pour les entreprises industrielles depuis 2004 pour un montant
20 fois plus important : 14,4 M¤ en 2009.
- Depuis 2004, une hausse des effectifs universitaires supérieurs en Aquitaine par rapport au reste
de la France (+7,9 % depuis 2000 contre + 5,8 % au niveau national).
- L'Aquitaine au 4ème rang des régions françaises pour le taux de créations d'entreprises.
- L'Aquitaine est la 5ème région française pour les investissements internationaux en 2008.
- L'Aquitaine perd moins d'emplois industriels que la moyenne française (environ –5 % depuis
1998 contre -10 %).
- D’une région qui comptait plus d’un point de chômage au-dessus de la moyenne nationale
en1998, l’Aquitaine a resserré progressivement l’écart pour inverser la tendance à partir de 2006.
Le taux de chômage de l’Aquitaine est désormais systématiquement inférieur à la moyenne
nationale.
- Une progression des effectifs salariés de 21,5 % entre 1998 et 2008 (contre 14, 6 % en
France) soit 131100 emplois créés en Aquitaine sur cette période.
Les pôles de compétitivité et les clusters : comment transformerun héritage en atout pour l'avenir
En s’appuyant sur ses activités traditionnelles, l’Aquitaine a su structurer les filières industrielles
et les ancrer dans la compétitivité internationale pour développer des emplois sur son territoire.
- 1ère forêt cultivée d'Europe, le massif des Landes de Gascogne est à la fois un puits de
carbone extraordinaire, une source d'emploi pour 35 000 personnes et un potentiel d'activité
tourné vers l'avenir : c'est tout l'objectif du cluster pour la construction durable Creadh et pôle
labellisé Xylofutur qui peut compter sur 3,2 M ¤ d’aides du Conseil régional, regroupe1700
entreprises et 250 chercheurs.
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1. Une région qui bouge
- S'appuyant sur les technologies et les activités générées par les industries de défense présentes
en Aquitaine, la Région a soutenu la constitution du pôle de compétitivité Aerospace Valley en
partenariat avec Midi-Pyrénées et son industrie aéronautique civile. Le pôle qui regroupe 600
entreprises, 600 chercheurs et 42 000 emplois peut ainsi compter sur 10 M¤ d’aides du
Conseil régional d’Aquitaine. De la même manière les travaux autour du laser méga joule ont
produit une formidable force d'entraînement pour la filière laser, elle aussi organisée en pôle de
compétitivité et soutenue par la Région à hauteur de 5,6 M¤ pour ses 44 entreprises et ses 600
chercheurs.
- L'océan et ses « spots » de surfs mondialement connus sont à l'origine d'une concentration
des grands noms de la glisse sur la côte basque, base d'un cluster industriel innovant avec ses
385 entreprises et ses 3 200 emplois.
- Première région exportatrice de produits agricoles mais aussi première région française pour
la production sous signe de qualité avec 42 % d’exploitations contre 26 % au niveau national,
l'Aquitaine s’est engagée à préparer son agriculture et les100 000 emplois qu'elle représente
aux défis de la mondialisation et du développement durable. 4 000 exploitations ont déjà
bénéficié du dispositif AREA (Agriculture respectueuse de l'environnement) et plus de 1 000
agriculteurs se sont convertis au bio. Enfin, le pôle de compétitivité Prod'Innov engage ce
secteur traditionnel vers les perspectives ouvertes par les alicaments, les nutraceutiques et la
prévention en matière de santé grâce à l'alimentation. Ce sont 40 000 emplois industriels qui
sont en jeu et 600 entreprises qui peuvent compter sur l’appui de la Région (6,9 M¤) et de
1500 chercheurs.
- La Région a porté le projet d'un Institut des sciences de la vigne et du vin pour que les vignobles
bordelais et aquitains puissent disposer des moyens de leur ambition et de leur avenir, toute la
recherche nationale étant partie à Montpellier.
- Une réactivité sans faille pour lutter contre les risques de délocalisation des entreprises
industrielles qui jouent un rôle moteur pour le tissu économique aquitain : qu’il s’agisse du
sauvetage de Ford ou de Sogerma ou au contraire du plan de formation-investissement mis en
place pour Turbomeca à Bordes.
- La Région a enfin fait très tôt le pari des éco-activités avec la création en1998 d’une direction
des technologies de l’environnement et l’orientation de plus en plus marquée des investissements
vers les énergies renouvelables (SEM), la formation et la production dans l’éolien ou le
développement de l’usage de la biomasse.
L'économie de proximité comme force de développement et decohésion pour tout le territoire :
- Un ratio d'entreprises artisanales supérieur à la moyenne nationale :174/10000 en Aquitaine
contre 148/10000 pour la France, d'où une stratégie résolument innovante de transmission-
reprise d'entreprises qui a déjà permis de sauver au moins 7 000 emplois depuis 2005.
- Une volonté forte de la Région de revaloriser l'apprentissage qui porte ses fruits : entre 2004
et 2008, le nombre d'apprentis a progressé de 20 %, 5 000 jeunes reçoivent une prime de la
Région qui les aide à poursuivre leur formation.
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- La priorité donnée à la formation professionnelle pour maintenir et développer les compétences,
meilleur rempart contre la crise et les délocalisations :16 000 demandeurs d’emplois suivent
chaque année une formation financée par la Région et 7 stagiaires sur10 trouvent un emploi
dans les 6 mois, la moitié de manière pérenne.
Un retard en passe d'être comblé en matière d'infrastructuresde transports :
- L'autoroute Bordeaux-Pau sera livrée en 2011 : les efforts de la Région depuis 1998 se
concrétisent enfin, après l'inauguration de la déviation d'Aire sur l'Adour.
- La LGV Sud Europe Atlantique est sur les rails grâce au volontarisme du Conseil régional à Paris
comme à Bruxelles, mais aussi grâce à un engagement financier jamais égalé pour une
collectivité : 600 M¤ soit 28 mois de fiscalité.
La Région a permis de dessiner une Aquitaine qui allie désormais qualité de vie et ouverture,
développement économique et cohésion sociale, connexion au reste de l'Europe et préservation
de l'environnement. La Région Aquitaine est aujourd’hui attractive pour les travailleurs comme pour
les investisseurs, elle doit jouer à fond la carte du rayonnement international sur la base de ses
pôles d’excellence qui se sont structurés.
Les Régions se sont vues transférer par l'Etat la gestion de services publics qui nécessitaient de
forts investissements pour leur rendre la qualité que les citoyens attendaient : trains vétustes,
lycées ou écoles d'infirmières en piteux état, agents des lycées en situation précaire, inégalité
de traitement des étudiants des formations sanitaires et sociales etc. Le nouveau visage de
l'Aquitaine, ce sont aujourd'hui des services publics considérablement améliorés.
Le TER, un transport plébiscité par les Aquitains
La Région a considérablement transformé l’image du TER, transport vétuste et poussif à la fin
des années 1990, devenu en moins de 10 ans et grâce aux investissements consentis par le
Conseil régional, un mode de déplacement en phase avec les attentes des citoyens en matière
de mobilité douce.
- + 43 % de fréquentation depuis 2002, 35 000 voyageurs / jour.
-130 dessertes en plus depuis 2002.
- La modernisation et le renouvellement de toutes les rames achevé en 2010.
- La régénération de 5 voies régionales qui, sans la participation de la Région, seraient fermées
à la circulation.
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2. Une Région qui améliore les services publics
- Le TER comme armature du schéma régional des infrastructures de transports et de
l'intermodalité : près de 2 milliards d'investissements prévus d'ici 2020 et une intégration
progressive des TER aux modes de transports urbains collectifs.
La réduction des inégalités grâce à la décentralisation :
Contrairement à une idée reçue encore très présente, l’Etat est loin d’assurer l’égalité de traitement
des individus et des territoires dans le cadre de ses compétences.
- La Région a rendu gratuit le cursus de formation pour les aides soignantes, soit 1 100
places par an et quasiment 100 % de chances de trouver un emploi à la sortie pour des
personnes en situation précaire.
- Dé précarisation des agents des lycées.
- Création du revenu social de formation qui permet essentiellement à 5 000 jeunes de moins
de 25 ans qui ne pouvaient bénéficier des Assédic de toucher un revenu pendant leur formation.
- Appui à la création des maisons de santé permettant de lutter contre la désertification médicale
des zones rurales.
Faire du lycée un lieu d'enseignement, de réussiteet d'épanouissement
Compétente en matière d’équipement et de construction dans les lycées, la Région a choisi de
jouer un effet levier en investissant dans l’amélioration des conditions d’enseignement et de vie
dans les lycées, offrant aux professeurs et aux élèves des moyens pédagogiques modernes et
adaptés. Le lycée aquitain se veut numérique, international et durable.
- Renforcer l'égalité d'accès à la formation initiale avec les aides Coup d'Pouce : plus de
30 000 bénéficiaires par an (soit près de 30 % des lycéens, la quasi-totalité des premiers
entrants au lycée).
- 7 546 places créées ou restructurées dans les résidences lycéennes depuis1998.
- Favoriser la mobilité internationale des lycéens quelle que soit leur condition sociale :
10516 jeunes ont ainsi pu partir grâce à la Région soit 2,4 % de plus qu’en 2004.
- 6,6 M¤ consacrés à l'équipement pédagogique des lycées, le renouvellement informatique et
les ateliers média-langues.
- 5 000 lycéens participent chaque année au Festival des Lycéens créé en1999.
- L'Aquitaine est passée en10 ans du14ème au 7ème rang des régions pour le taux de réussite au
bac, la remontée la plus spectaculaire étant pour le bac pro où l'Aquitaine est passée du13ème
au 4ème rang entre1999 et 2008.
- Un taux de réussite au bac de 86,3 % en 2008 soit près de 3 points au dessus de la moyenne
nationale.
-1 milliard ¤ sera encore investi dans les lycées aquitains d'ici 2015.
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Favoriser l'attractivité de l'université
- En 2008, 1/3 des logements étudiants neufs en France ont été construits en Aquitaine,
grâce à l'aide du Conseil régional. En 2010, avec10,7 logements sociaux pour100 étudiants,
l'Aquitaine sera la région de plus de100 000 étudiants la mieux dotée de France.
- 111M¤ d’ores et déjà investis par la Région dans l’implantation ou l’extension de laboratoires de
recherche depuis 2003 (IECB, ISVV, LABRI, CELIA, INRIA, PETAL etc.), 68 M¤ sont programmés
pour le neurocampus et le pôle océanographique.
- 80 bourses doctorales pluriannuelles attribuées chaque année.
- Création des cellules de transfert technologique pour accompagner les laboratoires universitaires
vers l’entreprise : une innovation aquitaine.
- Des effectifs étudiants en hausse de 4,5 % entre 2003 et 2008 en Aquitaine contre +0,8 %
pour la France métropolitaine.
Nous avons décidé de miser sur une jeunesse active et créative, c'est pourquoi la Région investit
pour donner aux jeunes les moyens d'aller au bout de leurs choix en donnant des perspectives
à long terme aux nouveaux métiers et en appuyant les projets innovants ou portés par de jeunes
entrepreneurs. La Région doit protéger les plus fragiles qui sont menacés de décrocher du
système scolaire ou de l’emploi. Notre projet pour l’Aquitaine ne doit laisser personne au bord du
chemin.
Dans un contexte de profondes mutations, le Conseil régional se doit d'accompagner les acteurs
économiques, sociaux, culturels, etc. pour leur permettre de s'adapter à ces changements.
Echelon stratégique, la Région met en place les outils qui lui permettent à la fois d'anticiper ces
évolutions mais aussi d'agir sur le long terme. Sur la base d’une gestion budgétaire rigoureuse et
anticipatrice, l’élaboration des politiques publiques, les modes de décision, ainsi que l’ensemble
des investissements de l'institution ont ainsi été amenés à s'adapter pour répondre aux besoins
immédiats et à venir de notre société
Une gouvernance renouvelée où la concertation est le gage de l'appropriationdes principes de développement durable et donc de réussite sur le long terme :
- Cap Métiers pour la mise en place d'un service public de la formation, de l'orientation et de
l'emploi capable de guider l'individu vers un parcours professionnalisant en lien avec la situation
du marché de l’emploi.
- GIP littoral : une structure originale pour la gestion intégrée du littoral aquitain dont l'objectif
est de conjuguer valorisation économique et préservation d’espaces naturels uniques
éminemment fragiles.
- Des schémas d'aménagement construits dans la concertation sous la supervision et l'animation
du Conseil régional afin de préparer l'Aquitaine de 2020 : SRADDT, SRDE, SRIT.
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3. Une région exemplaire qui s'engage pour l'avenir
Un Conseil régional pionnier en matière de développementdurable
Très tôt, l’Aquitaine s’est engagée dans une démarche qui l’a conduite à intégrer les principes du
développement durable dans toutes ses politiques.
- 1ère Région à mettre en place un Agenda 21 en 2004,1ère collectivité certifiée Iso14001 pour
son système de management environnemental interne.
- 1ère Région a lancé un plan Climat en 2007 : 100 M¤ pour réduire de10 % les émissions de
gaz à effet de serre d'ici 2013.
- 1ère Région à avoir créé un appel à projets pour les éco-innovations et un concours national
pour l'implantation d'entreprises éco-innovantes.
- 1ère structure publique à lancer un fonds de compensation carbone de ses infrastructures avec
pour objectif d'intégrer pleinement le coût environnemental des projets dans leur plan de
financement.
- 1ère Région à mettre en place les éco-prêts à taux zéro pour les particuliers (déjà 1 000
bénéficiaires), dispositif repris par le Grenelle de l'environnement.
- Le1er lycée de France à obtenir les 3 certifications HQE est aquitain.
- L’Aquitaine est passée du16ème au 5ème rang national pour le nombre d’installations d’énergie
solaire (7 % des installations nationales).
En pointe sur cette approche pragmatique du développement durable, la Région est aujourd’hui
en position idéale pour élargir l’éco-conditionnalité des aides ainsi que l’appui à la transition des
entreprises vers l’éco-conception des produits, ou pour développer une stratégie d’économie
circulaire en Aquitaine.
Un redressement spectaculaire des finances de la Région en10ans
- L’Aquitaine est passée de l'avant-dernière place au trio de tête des régions les mieux gérées de
France entre1998 et 2007.
- La dette a été divisée par deux tandis que les recettes de la Région étaient dans le même
temps multipliées par deux.
La Région est ainsi prête à répondre aux besoins d’investissements déterminants pour l’avenir de
l’Aquitaine : Plan rail, Opération Campus notamment.
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Le Conseil régional a pleinement assumé son rôle de chef de file du développement économique
et de l'aménagement du territoire pour accélérer et accompagner la transformation de l'Aquitaine.
Région attractive grâce à sa qualité de vie, l'Aquitaine a su accueillir ces nouveaux investisseurs,
ces nouveaux travailleurs, ces nouveaux résidents grâce au dynamisme de son économie qui
lui permet depuis 2006 d'avoir un taux de chômage systématiquement inférieur à la moyenne
nationale, et ce malgré un solde migratoire en hausse. La Région a aussi acquis dans le même
temps une connaissance fine des acteurs du terrain, de ceux qui feront l’Aquitaine de demain.
Notre institution est désormais en mesure d’adapter ses politiques et ses dispositifs en fonction
des réalités mouvantes que connaissent les socio-professionnels, les enseignants, les chercheurs,
les formateurs, les associatifs, mais aussi et surtout d’anticiper les évolutions à venir en devenant
force de proposition, d’orientation pour une économie et une société plus durables.
L'Aquitaine est entrée de plain-pied dans le XXIème siècle et s'est forgée sa place sur la scène
européenne. Elle a désormais toutes les cartes en main pour reprendre un temps d’avance en
portant haut les couleurs d'une Aquitaine innovante, solidaire et écologique. C’est sous cette
bannière que se construit notre projet.
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