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11 Animaux fantastiques 139 Photo B : 4. Ces animaux ressemblent à des éléphants. Plus grands, plus fins, d’une autre couleur. 5. Échange libre. Ils ont l’air calmes. 6. Ce monde a plusieurs astres. Il a l’air vide, désert et calme. Photo C : 7. Un dragon. 8. Il n’existe que dans les récits fantastiques. 9. Il crache du feu normalement, mais là, on dirait que c’est de l’eau. 10. Échange libre. Je parle (45 min) Lire la consigne. Temps individuel permettant à l’élève de dessiner un animal imaginé pour préparer son exposé. Rappeler le vocabulaire de « Ma boite de mots ! » et lire les consignes de « J’écoute mes camarades ». En groupe, chacun fait son exposé. Les élèves du groupe prennent la parole à tour de rôle. Les animaux des élèves du groupe peuvent être mis en scène dans une œuvre collective à présenter à la classe. L’enseignant circule dans la classe, observe et écoute. J’écoute mes camarades : grille d’écoute CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉES • Écouter pour comprendre des messages oraux ou des textes lus par un adulte. • Dire pour être entendu et compris. • Participer à des échanges dans des situations diver- sifiées. • Adopter une distance critique par rapport au lan- gage produit. Présentation de la séquence Aller à la rencontre d’animaux fantastiques et en inventer un. Observons et échangeons (45 min) Demander aux élèves d’observer les photographies et de faire leurs remarques après un temps de réflexion individuelle. L’objectif est de recueillir des indices sur les images et de découvrir des animaux fantastiques. Le vocabulaire de « Ma boite de mots ! » sera donné par l’enseignant au fur et à mesure des besoins. Photo A : 1. Cet animal peut faire peur. Il a l’air d’être agressif et donne l’impression d’être vrai alors que sur la photo C, on voit qu’il s’agit d’une sculpture. 2. Le plus petit animal doit se sentir menacé. 3. Cette image a été tirée d’un film. Présentation de l’unité L’unité précédente avait entrainé les élèves dans un monde imaginaire. Cette unité les emmène sur des terres inconnues : celles du fantastique. Les animaux propo- sés ici sont tous plus étonnants les uns que les autres et relèvent de la pure ima- gination : dragon, gremlins, phénix, licorne… La page Lexique évoque même les animaux hybrides : la sirène, le centaure… Les textes proposés à la lecture sont de type narratif, et la page d’écriture porte sur le conte des origines. On pourra donc utiliser ces pages en résonance. Pistes possibles en histoire des arts : recherche des animaux fantastiques dans la mythologie, analyse de « La Dame à la licorne ». Manuel, pp. 170-171 Oral Matériel : manuel, cahier d’écriture, tableau collectif. Unité 11 Animaux fantastiques Manuel, pp. 170-185

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11 Animaux fantastiques139

Photo B :

4. Ces animaux ressemblent à des éléphants. Plus grands, plus fins, d’une autre couleur.

5. Échange libre. Ils ont l’air calmes.

6. Ce monde a plusieurs astres. Il a l’air vide, désert et calme.

Photo C :

7. Un dragon.

8. Il n’existe que dans les récits fantastiques.

9. Il crache du feu normalement, mais là, on dirait que c’est de l’eau.

10. Échange libre.

Je parle (45 min)

Lire la consigne. Temps individuel permettant à l’élève de dessiner un animal imaginé pour préparer son exposé. Rappeler le vocabulaire de « Ma boite de mots ! » et lire les consignes de « J’écoute mes camarades ».En groupe, chacun fait son exposé. Les élèves du groupe prennent la parole à tour de rôle. Les animaux des élèves du groupe peuvent être mis en scène dans une œuvre collective à présenter à la classe.L’enseignant circule dans la classe, observe et écoute.

J’écoute mes camarades : grille d’écoute

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉES• Écouter pour comprendre des messages oraux ou des textes lus par un adulte.• Dire pour être entendu et compris.• Participer à des échanges dans des situations diver-sifiées.• Adopter une distance critique par rapport au lan-gage produit.

Présentation de la séquenceAller à la rencontre d’animaux fantastiques et en inventer un.

Observons et échangeons (45 min)

Demander aux élèves d’observer les photographies et de faire leurs remarques après un temps de réflexion individuelle. L’objectif est de recueillir des indices sur les images et de découvrir des animaux fantastiques. Le vocabulaire de « Ma boite de mots ! » sera donné par l’enseignant au fur et à mesure des besoins.

Photo A :

1. Cet animal peut faire peur. Il a l’air d’être agressif et donne l’impression d’être vrai alors que sur la photo C, on voit qu’il s’agit d’une sculpture.

2. Le plus petit animal doit se sentir menacé.

3. Cette image a été tirée d’un film.

Présentation de l’unitéL’unité précédente avait entrainé les élèves dans un monde imaginaire. Cette unité les emmène sur des terres inconnues : celles du fantastique. Les animaux propo-sés ici sont tous plus étonnants les uns que les autres et relèvent de la pure ima-gination : dragon, gremlins, phénix, licorne… La page Lexique évoque même les animaux hybrides : la sirène, le centaure… Les textes proposés à la lecture sont de type narratif, et la page d’écriture porte sur le conte des origines. On pourra donc utiliser ces pages en résonance.

Pistes possibles en histoire des arts : recherche des animaux fantastiques dans la mythologie, analyse de « La Dame à la licorne ».

Manuel, pp. 170-171Oral

Matériel : manuel, cahier d’écriture, tableau collectif.

Unité11 Animauxfantastiques Manuel, pp. 170-185

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6. Individuel : dessin en rapport avec le texte de la ligne 15 à la ligne 19. Par groupes de quatre : comparaison des des-sins et argumentation des choix.

Je repère la structure d’une légende (15 min)

Rappel des apprentissages lors de la lecture, pp. 28 et 29.

Travail en groupe puis retour au collectif. Apport de voca-bulaire.

1. Dans ce texte, on rencontre :Un héros, c’est Susanoo ; un lieu en danger, c’est la région du vieillard ; un ennemi, c’est le dragon ; un personnage à sauver, c’est Kunisado ; une récompense, c’est de pouvoir protéger Kunisado en l’épousant.

2. Susanoo rencontrera des difficultés. Il réussira à vaincre le dragon. Kunisado ne se fera pas dévorer. Le dragon pourrait mourir ou se transformer en un personnage plus doux, déli-vré d’un sort. Le récit pourrait se finir par la libération des sept filles du vieillard et le mariage de Susanoo et Kunisado.

Il est intéressant d’associer ce travail à la lecture en réseau proposée dans « L’univers du texte », et de lire la fin de cette légende. Puis de travailler sur des contes détournés.

Je lis à haute voix (10 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESLire à voix hauteIdentification et prise en compte des marques de ponc-tuation.

La consigne est lue en collectif. Entrainements individuels puis par trois en se partageant les rôles. Passage des volon-taires devant la classe.

J’enrichis mon vocabulaire (30 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESIdentifier des relations entre les mots, entre les mots et leur contexte d’utilisation – Synonymie. – Sens propre ; sens figuré.

Matériel : cahier de brouillon et dictionnaire.

1. En binôme puis retour au collectif. Manger, avaler, se restaurer, se nourrir, consommer, grigno-ter, ingurgiter…

2. Individuel, puis collectif. Lister les propositions argumen-tées. Vérification dans le dictionnaire.

3. En binôme, puis en collectif. Voix brisée : sens figuré ; il dévore : sens propre ; cracher du feu : sens propre ; donne-moi ta fille en mariage : sens figuré.

Prolongement possible : utiliser ces mots avec leur sens propre ou figuré selon leur utilisation dans le texte.

Enregistrement du texte

Présentation du texte

Susanoo a une légende. C’est le dieu des tempêtes. Après avoir causé divers désagréments à plusieurs membres de sa famille, il est chassé du ciel et se réfugie dans une province du Japon. Il chasse le dragon qui terrifie une autre province et se réconcilie avec sa sœur, Amaterasu. L’histoire du « Dra-gon à huit têtes » se passe au moment où il est banni du ciel et où, déguisé en cavalier, il rencontre un couple de vieillards.

« L’univers du texte » propose un réseau de lectures sur les contes et légendes. Le conte est un récit d’aventure imagi-naire, la légende est un récit où les faits historiques sont défor-més par l’imagination populaire ou par l’invention poétique.

Avant de lire (10 min)

Travail individuel puis retour au collectif. Chaque réponse doit s’appuyer sur le texte pour être argumentée.

1. Ce texte est une légende.

2. Le titre permet d’imaginer la chasse à un dragon à huit têtes.

Cet exercice pourra constituer une évaluation formative sur la connaissance des élèves des caractéristiques des contes et des légendes.

Lecture du texte (10 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESPratiquer différentes formes de lecturePrise en compte des enjeux de la lecture, notamment : lire une histoire pour la comprendre et la raconter à son tour.

Lecture individuelle pour s’approprier l’histoire. Lecture magistrale si nécessaire. Retour collectif : « De quoi parle ce texte ? » Faire raconter brièvement l’histoire pour s’assu-rer de la compréhension globale.

Je comprends (20 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESComprendre un texteMise en œuvre (guidée puis autonome) d’une démarche pour découvrir et comprendre un texte.

Travail en binôme avant retour au collectif.

3. Le vieillard est malheureux parce que sa dernière fille sera enlevée le soir même par le dragon comme ses autres filles (lignes 2 à 4).

4. Cette histoire se passe au printemps (ligne 7).

5. Elle est belle, gracieuse (ligne 8), avec un regard doux et une peau veloutée (ligne 21).

Le dragon à huit têtesManuel, pp. 172-173Lecture 1

Matériel : manuel, cahier d’écriture, tableau collectif.

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11 Animaux fantastiques141

4. Individuel, en binôme puis en collectif. Je vois des visages marqués par le chagrin. Je suis révolté. Le dragon détruit notre région.

Je débats avec les autres (durée à évaluer par l’enseignant)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESParticiper à des échanges dans des situations diversifiées

1. Lire la question. Laisser un temps de réflexion indivi-duelle avant de lancer l’échange. L’objectif est de travailler le résumé des histoires connues et de voir que de nombreux contes ont le même déroulement. Cette légende peut faire penser à ces contes : « Le Petit Pou-cet » (sept frères, un ogre qui mange les enfants) – « Le loup et les sept chevreaux » (sept biquets, un loup qui les mange tous sauf un) – « Barbe bleue » (un homme cruel qui tue ses sept épouses).

2. Lire la consigne. Laisser un temps de réflexion indivi-duelle avant de lancer l’échange.L’objectif est de se mettre à la place du héros et d’imaginer des stratégies pour vaincre le dragon en réinvestissant les connaissances des autres contes.

J’écris (durée à évaluer par l’enseignant)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESProduire des écrits en commençant à s’approprier une démarche

Différenciation : La différenciation se fait au niveau du support. Les élèves choisiront l’exercice 1 (support concret, début de l’his-toire), ou 2 (support plus abstrait, changement de point de vue).

Exemple de corrigé

1. Susanoo est solitaire. Il parcourt le pays en s’arrêtant rarement. Dans chaque village traversé, il trouve à boire et à manger avant de continuer son chemin. Le village dans lequel il arrive a l’air désert. Les volets des maisons sont clos, les rues sont vides. Il sent qu’un danger le guette sans parvenir à le définir. C’est alors qu’il aperçoit, assis sur une pierre au milieu d’un jardin, un vieillard en train de se lamenter avec, à ses côtés, deux femmes qui paraissent être sa femme et sa fille.

2. – Pourquoi dévores-tu une fille à chaque printemps ?– Je ne les dévore pas ! Je les emmène avec moi, dans ma tanière. – Sais-tu que leurs parents sont malheureux ?– Je suis si seul dans ma tanière. Chacune de mes têtes veut prendre la parole en même temps que les autres. J’ai besoin d’une jeune fille pour chacune de mes têtes, sim-plement pour qu’elles puissent parler à quelqu’un d’autre qu’à elles-mêmes !– Ne peux-tu pas trouver des amies qui seraient d’accord pour t’accompagner ?– Je ne peux pas. À chaque fois que je m’approche, tout le monde s’en va et je me sens de plus en plus seul. Ça me met en colère. J’essaie de leur expliquer mais personne ne m’entend. Les kidnapper et ensuite les rassurer, c’est le seul moyen que j’aie trouvé.

Cherchons

Il s’agit de comprendre que le terme générique n’est pas suffisamment précis pour permettre de différencier les dif-férentes propositions. L’ajout de mots dans le GN permet de préciser le sens du nom noyau.Une carte à jouer – une carte bancaire – une carte de géo-graphie – une carte de vœux.

SÉANCE 2 : Mise en pratique de la notion (30 min)

Je m’entraine

Les trois exercices entrainent les élèves à agrandir les GN d’abord hors puis en contexte : GN isolés puis phrase, et à réaliser la chaine d’accords : déterminant / nom / adjectif

1 Un vendeur souriant ; un vendeur de voitures – des voi-tures grises ; des voitures de sport – le chat ; le vieux chat –les montagnes ; les montagnes de l’Atlas – un livre ; un livre d’histoire – un pantalon vert ; un pantalon de sport.

Exercices supplémentaires

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESRaisonner pour résoudre des problèmes orthographiques, d’accord essentiellement Compréhension que des éléments de la phrase fonctionnent ensemble (groupe nominal).

SÉANCE 1 : Découverte de la notion (30 min)

Cette leçon complète les leçons précédentes sur le GN. Elle a pour double objectif de :

– Travailler sur le sens des GN en les précisant à l’aide d’ad-jectifs et/ou de compléments du nom.

– Systématiser la chaine d’accord dans le GN

Cette notion peut être mise en lien avec les notions lexi-cales : Les familles de mots (manuel, p. 134) et Le champ lexical (manuel, p. 230).

Allonger le groupe nominal Grammaire Manuel, p. 174

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sapin de Noël décoré de boules et de guirlandes – la petite route de campagne bordée de platanes.

Il s’agit d’exercices de manipulation hors contexte (ex. 2) puis en contexte (ex. 3) dans lesquels le sens doit être respecté.

2 Les cars – la maison – un voyage – les mangas – le trottoir – les élèves – une découverte – le destin – le film – les indices.

3 Depuis des heures, la pluie tombe sur les Pyrénées. Les vacanciers ont délaissé les sentiers de randonnée pour se réfugier dans les salles de cinéma et les musées.

Je cherche

4 Je cherche la réponse.

J’écris

5 On pourrait d’abord procéder à une description collec-tive orale, noter le lexique nécessaire au tableau, puis faire produire un écrit individuel aux élèves.

Exemple de corrigé

Le dragon est installé sur le toit. Sa tête est verte et rouge. Son corps ondule. Il a quatre pattes. Sa queue ressemble à une flamme. Son dos est recouvert d’épines. Chaque doigt se termine par une griffe. Sa gueule et ouverte.

Exercices supplémentaires

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESRaisonner pour résoudre des problèmes orthographiques, d’accord essentiellement Compréhension que des éléments de la phrase fonctionnent ensemble (groupe nominal).

SÉANCE 1 : Découverte de la notion (30 min)La leçon complète la précédente. Elle s’appuie principale-ment sur la notion de sens du GN.

Cherchons

1. Le/un château.

2. Adjectif : fort, vieux, hanté, ancien. – Autre complément : du Moyen Âge, de Versailles, à vendre, de contes de fées, qui est en construction, en ruines, du marquis de Carabas.

SÉANCE 2 : Mise en pratique de la notion (30 min)

Je m’entraine

1 Il s’agit de vérifier que les élèves ont compris la notion de nom noyau.Une petite fourchette à dessert – les règles de conjugaison du cahier de français – une corbeille pleine de pain – un grand piano à queue noir – la jeune princesse Yasmine – le

2 La capitale de la Hongrie – un gros hippopotame – une perruque emmêlée – le jeune dauphin – des films d’horreur – les histoires passionnantes.

3 Mon grand frère mange un gâteau à la framboise. ⦁ Les voitures anciennes roulent sur la route de montagne. ⦁ Ma tasse à café est sur la table basse. ⦁ L’exposition de sculp-ture a lieu au musée municipal. ⦁ Le vendeur de chaussures annonce le prix soldé à ma vieille tante. ⦁ Les cahiers rouges sont rangés dans l’armoire en bois.

Je cherche

4 Le vieux chat tigré en peluche de ma cousine Manon.

1 2 3 4

J’écris

5 Il s’agit d’écrire un texte descriptif sur un sujet simple. Les élèves pourront travailler en autonomie.

Exemple de corrigé

Dans ma nouvelle chambre, il y a un parquet foncé et des meubles clairs. Mon bureau blanc et mon lit en bois sont installés contre le mur de gauche. Des rideaux transpa-rents sont accrochés à la fenêtre du fond.

Réduire le groupe nominal Grammaire Manuel, p. 175

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11 Animaux fantastiques143

4 ⦁ Ils aperçoivent soudain le sommet du mont Blanc der-rière les nuages. ⦁ Cette femme avait certainement beaucoup de qualités. ⦁ Les pompiers arrivent aussitôt sur les lieux de l’incendie. ⦁ Mathilde a rempli son caddie abondamment. ⦁ Tous les matins, son réveil sonne très tôt.

5 L’objectif est de classer les mots invariables selon leur sens.Le temps : pendant, toujours, enfin, ensuite, jamais, tôt, tard, après, avant, parfois, souvent, depuis, longtemps. – Le lieu : parmi, sur, dessus, dessous, dedans, dehors, devant, der-rière, sous, loin, près. – La quantité : deux, beaucoup, peu, moins, plus, guère. – La manière : sans, avec. – Autre : À, de, aussi, mais, en, voici, et, n’, pas, y.

6 Cet exercice introduit la notion d’adverbe comme nature de mots invariable.faible ➞ faiblement ⦁ fraiche ➞ fraichement ⦁ grave ➞ gra-vement ⦁ lente ➞ lentement ⦁ poli ➞ poliment ⦁ grande ➞ grandement ⦁ vrai ➞ vraiment ⦁ sportive ➞ sportivement.

7 Il permet une synthèse des connaissances acquises dans les exercices précédents.Plus – dans – dont – de – plus – longtemps – pour – avant – de – où – de – pour – dans – à – si – vite que – qui.

Les exercices 8 à 12 permettent d’utiliser différents types de mots invariables dans des situations variées : d’abord des conjonctions de coordination puis des adverbes.

8 ⦁ Je vais au Maroc et en Tunisie cet été. ⦁ Elle s’est bien couverte car il fait froid. ⦁ Il ne veut ni fromage ni dessert. ⦁ J’aime le chocolat mais ça fait grossir !

9 ⦁ Le chien s’est caché sous la table. ⦁ Je te l’ai déjà dit hier ! ⦁ La voiture est garée juste devant la maison. ⦁ Je me couche souvent trop tard le soir.

10 ⦁ Autrefois, les seigneurs vivaient dans des châteaux forts. ⦁ Les livres sont posés sous l’étagère. ⦁ Il court très vite. ⦁ Pendant trente ans, nous avons habité la même mai-son. ⦁ Camille habite loin de chez Zoé. ⦁ Mon père est arrivé en retard parce qu’il a raté le train. ⦁ Mon frère est vrai-ment malade.

11 ⦁ Les enfants répondent aux adultes poliment. ⦁ Il répond aux questions précisément. ⦁ La danseuse effectue ses sauts légèrement. ⦁ L’escargot avance lentement. ⦁ Le boxeur affronte son adversaire courageusement. ⦁ Nous avons répondu joyeusement à leur invitation. ⦁ Cet exercice se résout logiquement. ⦁ Adèle et Charles ont sympathisé rapi-dement. ⦁ Lucien a lu ce gros livre facilement.

12 ⦁ Tous les mardis après-midi, ma grand-mère allait chez le coiffeur. ⦁ Regardez bien, voici un nouveau tour de magie ! ⦁ Louise est avec nous aujourd’hui pour nous présenter son exposé. ⦁ Je n’aurais jamais cru que qu’elle puisse courir si vite ! ⦁ Mathilde n’aime ni la salade ni les épinards, mais elle raffole des gâteaux. ⦁ Alors ? Que fait-on aujourd’hui ? ⦁ Les pompiers sont arrivés rapidement sur les lieux de l’in-cendie. ⦁ Antoine rêve de partir en Alaska avec son ami Abel pour ses prochaines vacances.

Exercices supplémentaires

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESMémoriser et se remémorer l’orthographe de mots fré-quents et de mots irréguliers dont le sens est connuMots invariables.

SÉANCE 1 : Découverte de la notion (45 min)

Des listes de mots invariables ont commencé à être construites au CP et au CE1, on s’appuiera donc sur les connaissances antérieures des élèves. Il s’agit de procéder à la mémori-sation de nouveaux mots invariables. Ces mots mémorisés seront réutilisés dans toutes les disciplines.

Cherchons

L’objectif est d’identifier l’invariabilité morphologique des mots invariables : leur prononciation et leur orthographe ne changent jamais.

1. Actuellement, nous terminons des exercices très difficiles ; ensuite, nous irons chez nos copains.

2. Tous les mots ont changé sauf : actuellement, très, ensuite, chez.

3. Les mots qui s’écrivent toujours de la même façon ne changent ni de personne, ni de genre, ni de nombre, ni de temps. Ce sont des mots invariables.

SÉANCE 2 :Mise en pratique de la notion (45 min)

Je m’entraine

1 Il s’agit d’un exercice de discrimination qui incite à véri-fier par manipulation (changement de genre et de nombre par exemple) si le mot proposé est variable ou invariable.À – de – deux – sans – pendant – aussi – toujours – parmi – enfin – ensuite – jamais – mais – tôt – sur.

2 Cet exercice s’appuie sur une recherche de vocabulaire pour trouver d’autres mots invariables.Jamais / toujours – dessus / dessous – dedans /dehors – tôt / tard – avec / sans – devant / derrière – sous / sur – après / avant – loin / près – beaucoup / peu – moins / plus.

Les exercices 3 et 4 sont des exercices de discrimination plus complexe car en contexte.

3 Parfois, j’oublie mon cartable. ⦁ Léa prend une entrée, ensuite un plat. ⦁ Il est souvent en retard le matin. ⦁ Voici mes deux chats, Frison et Frisette. ⦁ Je n’ai guère travaillé pendant mes vacances. ⦁ Je t’attends depuis longtemps. • Je voulais venir mais je n’ai pas pu. ⦁ Maxime ne prend jamais l’avion. ⦁ Sans ton aide, je n’y serais pas arrivée. ⦁ Luc se déplace beaucoup en taxi.

Les mots invariables Orthographe Manuel, pp. 176-177

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peu déroutant car il a une visée personnelle. Certains élèves n’auront peut-être jamais écrit d’invitation, donc ils ne sauront peut-être pas ce qui doit y figurer. Il faudra donc les guider.

Exemple de corrigéJe t’invite bientôt à mon anniversaire. Mercredi prochain, je t’attends à 15 h chez moi pour une fête entre amis. Tu peux venir avec un déguisement si tu veux. Il y aura plein de surprises et un gros gâteau à partager.

Dictée préparée Il faudra revoir les signes de ponctuation. On verra aussi l’orthographe du mot composé par-dessus et l’orthographe des mots comportant des consonnes doubles.

Je cherche

13 Car : Je suis couché car je suis malade. (mot invariable) / Le car est garé devant l’école. (nom commun) – Or : Le train était prévu à midi, or il n’est toujours pas arrivé. (mot invariable) / L’or est un métal précieux (nom commun) – Avant : Je me lave les dents avant de me coucher. (mot inva-riable). / L’avant de la voiture est défoncé. (nom commun).

J’écris

14 La consigne implique le destinataire en indiquant qu’il doit rédiger l’invitation à son anniversaire. L’exercice est un

Je comprends (10 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESComprendre un texteMise en œuvre (guidée puis autonome) d’une démarche pour découvrir et comprendre un texte.

En binôme avant retour collectif.

3. Vrai : le lieu dans lequel la petite sirène habite est rem-pli de créatures fabuleuses, ce qui implique que la sirène, ni poisson, ni homme, est elle aussi une créature fabuleuse.

Faux : à 18 ans, elle peut observer le pays d’en haut. C’est donc qu’elle n’y habite pas.

Vrai : (dernière ligne du texte).

4. On dit qu’elle n’est pas tout à fait comme les autres car elle se pose beaucoup de questions : qui sont les sirènes ? Où est leur place puisqu’elles ne sont ni poisson, ni homme (introduction : elle médite sur ces questions). De plus, elle n’a pas un jardin comme celui de ses sœurs. Elle collec-tionne les objets, vestiges des navires.

5. Le pays d’en haut est celui des hommes. On peut l’appe-ler : « la terre », en opposition à « la mer ».

6. Si un marin vient dans le pays des sirènes, c’est qu’il s’est noyé et cela rend la petite sirène très triste.

Je découvre l’univers du merveilleux (15 min)

1. Échange en collectif avec argumentation. Cet extrait se passe au plus profond de la mer (première ligne de l’introduction). Lister les passages permettant la description de ce lieu :La nuit ressemble au jour, il est empli de créatures fabu-leuses, il y a des jardins avec des coraux, des algues, des coquillages, des galets, des vestiges d’épaves de navires.On ne peut pas y voyager parce qu’il est imaginaire. C’est un univers merveilleux.

2. Individuellement, dessiner une créature fabuleuse ou, en binôme, la décrire à l’oral.

Enregistrement du texte

Présentation du texteUn artiste indien s’approprie le conte de « La petite sirène » et en propose une version poétique très proche du conte ori-ginel d’Andersen. L’album est très agréable à feuilleter : deux types de papier qui donnent une impression de « fait main » et des illustra-tions très colorées et graphiques.Il sera possible de lire d’autres versions pour proposer une lecture en réseau hypertextuel et pointer ainsi les variants et les invariants.« L’univers du texte » peut se travailler après l’étude du texte pour découvrir d’autres animaux que l’on pourrait rencon-trer lors de nouvelles lectures.

Avant de lire (10 min)

Laisser les élèves observer le texte. Travail collectif et obser-vation dirigée. Le point 2 propose un point d’ancrage pour se projeter dans le texte.

1. Ce texte est un récit (le texte est organisé en paragraphe il y a un tiret qui indique que quelqu’un parle).

2. La petite sirène : les élèves connaissent certainement ce conte, soit grâce à des lectures précédentes, soit à travers le dessin animé de Walt Disney. C’est un temps de langage d’évocation à plusieurs voix pour organiser le discours et dessiner la chronologie de ce conte que l’enseignant pourra prendre en note.

Lecture du texte (15 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESPratiquer différentes formes de lecturePrise en compte des enjeux de la lecture, notamment : lire une histoire pour la comprendre et la raconter à son tour.

Lecture individuelle pour s’approprier l’histoire. Lecture magistrale ensuite si nécessaire.

La petite sirèneManuel, pp. 178-179Lecture 2

Matériel : manuel, cahier d’écriture, tableau collectif.

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11 Animaux fantastiques145

Afficher les productions dessinées.En collectif, l’enseignant note les propositions au tableau sous la dictée des élèves. Enchainer ensuite sur l’exercice 3.

3. On ne peut pas rencontrer ces créatures au zoo parce qu’elles sont imaginaires. Elles font partie de l’univers du merveilleux.

4. En collectif, échanges sur ce que nous avons l’habitude de voir et que les sirènes ne connaissent pas : le ciel, la verdure, les animaux, tout ce que l’homme a construit…

Je lis à haute voix (15 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESLire à voix hauteMobilisation de la compétence de décodage et de la com-préhension du texte.

La consigne est lue en collectif. Il est nécessaire de s’assu-rer du repérage de l’extrait à lire en demandant aux élèves de poser un doigt au début du texte et à la fin de la ligne 9.Temps individuel pour la lecture en chuchotant. Temps collectif : tout le monde lit en articulant et lentement pour être synchrone.Temps individuel pour s’entrainer à lire de plus en plus vite.Temps en binôme : l’un chronomètre l’autre et inversement.Possibilité de noter son meilleur temps et de s’enregistrer pour garder une trace de la performance (évaluation de sa propre pratique).Retour collectif : mutualisation des stratégies (place du regard, souffle, intonation, articulation…)

J’enrichis mon vocabulaire (30 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉES• Identifier des relations entre les mots, entre les mots et leur contexte d’utilisation ; s’en servir pour mieux comprendre – Synonymie.– Polysémie ; relation avec les contextes d’emploi.• Mémoriser et se remémorer l’orthographe de mots fréquents et de mots irréguliers dont le sens est connu Séries de mots (séries correspondant à des familles de mots).

Cahier de brouillon. Le dictionnaire est à disposition sans être imposé. Possibilité d’utiliser un dictionnaire des syno-nymes et un dictionnaire étymologique.

1. En binôme, sans dictionnaire pour laisser les élèves cher-cher un sens similaire, avant retour en collectif pour véri-fier les propositions et lister les différents synonymes. Pos-sibilité de chercher d’autres synonymes dans le dictionnaire.Méditait : rêvait, pensait, réfléchissait, se posait des ques-tions, songeait. – Se distinguer : se faire remarquer, se sin-gulariser, se démarquer, se différencier, se caractériser. – Brulait : avait hâte, s’impatientait, était pressée. – Vestiges : restes, traces, ruines. – Épave : carcasse, débris.

2. Collectif, faire la liste des mots de la même famille connus des élèves. Possibilité d’utiliser le dictionnaire étymologique

pour trouver d’autres mots, puis, en groupe de trois ou quatre, trier ces mots par classe de mots sur une feuille A3. Mise en commun : afficher les productions des groupes, les comparer, corriger en argumentant.

Je débats avec les autres (durée à évaluer par l’enseignant)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESParticiper à des échanges dans des situations diversifiées

1. Lire la question. Laisser un temps de réflexion individuelle avant de lancer l’échange. Proposer un débat en groupe de six, avant retour collectif pour donner l’essentiel des échanges de chaque groupe. L’objectif est de mettre en relief le fait que souvent les gens veulent ce qu’ils n’ont pas en pensant que c’est mieux, sans prendre conscience de la valeur de ce qu’ils possèdent déjà.

2. Lire la question. Laisser un temps de réflexion indivi-duelle avant un échange en collectif. L’objectif est de mettre en relief le rôle de la tristesse et l’utilité de l’exprimer en pleurant pour ne pas garder son chagrin à l’intérieur ou en le camouflant derrière de la colère.

J’écris (durée à évaluer par l’enseignant)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESProduire des écrits en commençant à s’approprier une démarcheIdentification de caractéristiques propres à différents genres de textes.

Différenciation : La différenciation se fait au niveau du type de texte. Ce travail d’écriture peut prendre appui sur les points 2 et 4 de « Je découvre l’univers du merveilleux ». Les élèves choi-siront l’exercice 1 pour faire une liste ou l’exercice 2 pour rédi-ger un portrait.Les productions de l’exercice 2 peuvent se transformer en carte d’identité, ou en jeu d’écoute et de compréhension de lecture du type « Je lis, je dessine » ou « On me lit, je dessine ».

Exemple de corrigé

1. Voici ce que les sirènes pourraient trouver de merveil-leux :– les arbres– les nuages– le vent– les couleurs– les sons– …

2. La Pitchinette est une créature fabuleuse. De grande taille, les pattes palmées, elle a quatre larges ailes qui la transportent dans les airs à la vitesse de la lumière. Elle vit tout en haut des montagnes et on ne la voit que très rare-ment à cause de sa rapidité.

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4 Payer ➞ payé – entreprendre ➞ entrepris – acquérir ➞ acquis – promouvoir ➞ promu – admettre ➞ admis – craindre ➞ craint – serrer ➞ serré.

5 Rentrer = rentré – sortir = sorti – tenir = tenu – briser = brisé – atterrir = atterri – coiffer = coiffé – grandir = grandi – écrire = écrit – danser = dansé – grossir = grossi – venir = venu – mettre = mis – faire = fait – arriver = arrivé – voir = vu – adorer = adoré – vouloir = voulu – finir = fini.

L’exercice 6 permet de travailler les personnes de la conju-gaison à partir de formes verbales données.

6 ⦁ Pierre a tenu sa promesse, il est venu deux jours à Paris. ⦁ Léo et moi avons pris un raccourci pour venir. ⦁ Je me suis promené au zoo. ⦁ J’ai avalé de travers. ⦁ Tu as pris les jouets d’Anaïs. ⦁ Ton amie et toi avez décidé de faire de la gym.

Les exercices 7 à 9 permettent de conjuguer au passé com-posé de nombreux verbes, sans distinction de groupe. Les élèves s’appuieront sur les personnes de la conjugaison.

7 ⦁ Tu es resté longtemps dehors. ⦁ Vous avez mangé tous les yaourts. ⦁ Je suis arrivé tard hier soir. ⦁ Nous avons senti le poulet grillé en arrivant. ⦁ Elle a fabriqué un robot dan-seur. ⦁ Matthieu est allé chez le dentiste.

8 ⦁ J’ai dansé dans le jardin. ⦁ Vous avez grandi depuis la dernière fois ! ⦁ Tom est né à Paris comme sa sœur. ⦁ Nous avons écrit à tous nos amis. ⦁ Tu es venu par le train de six heures. ⦁ Elle a fait des crêpes pour le gouter. Nous avons vu un film policier. ⦁ Antoine a terminé ce gros roman. ⦁ Luc est arrivé à Paris vendredi.

9 ⦁ Marie a fait la cuisine ce soir. ⦁ Benjamin et moi avons pris notre manteau pour aller dehors. ⦁ Vous avez dormi toute la matinée. ⦁ J’ai mangé beaucoup de crevettes. ⦁ Tu es sorti en vélo toute la journée. ⦁ Léa et Stéphane ont pré-paré le petit déjeuner. ⦁ Christophe est passé à la télévision mardi soir. ⦁ Le chien a dévoré son os. ⦁ Pauline a terminé son roman.

Je cherche

10 Phrase mystère : Tu as trouvé la solution.

J’écris

11 La consigne est relativement explicite ici : contexte clair, protagonistes définis et contrainte de temps.

Exemple de corrigé

Les deux enfants se sont assis par terre et ont regardé le carton mystérieux. Ils ont ouvert le dessus de ce carton et qu’ont-ils aperçu ? D’adorables chatons ont passé la tête par-dessus les bords du carton. Les enfants ont caressé ces petites boules de poils.

Exercices supplémentaires

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESComprendre comment se forment les verbes et ortho-graphier les formes verbales les plus fréquentesNotions de temps simples et temps composés ; formation du passé composé.

SÉANCE 1 : Découverte de la notion (45 min)

Le passé composé est juste approché en CE2 ; c’est surtout au cycle 3 qu’on étudiera ce temps. Dans cette leçon, l’ob-jectif est de comprendre la formation du passé composé et de commencer à utiliser le métalangage associé : auxiliaire, participe passé, temps composé.

Cherchons

Cette activité permet de réinvestir les connaissances sur l’imparfait et d’approcher la différence entre temps simple et temps composé.

1. Il s’agit du verbe « pousser ».

2. L’imparfait : le verbe est composé d’un seul mot. Dans l’autre temps, le verbe compte deux mots.

3. Imparfait : poussait / Autre temps : a poussé – ont poussé – as poussé – avez poussé.

SÉANCE 2 : Mise en pratique de la notion (45 min)

Je m’entraine

Les exercices 1 et 2 visent l’identification, sachant que le cri-tère principal va être de repérer un temps composé.

1 Verbes au présent : ont – pars – aime – as – est. / Verbes au passé composé : avons pris – es parti – a appris – suis parti – avons dormi

2 Hier, Christina et Olga sont revenues à l’école pour rendre leurs livres. Après, j’ai organisé pour elles un gou-ter à la maison, avec du Coca, des choco-BN. La mère de Natacha nous a apporté des cornes de gazelle au miel et des pâtes d’amande trois couleurs. Sonia a apporté un énorme paquet de marshmallows, Olga les adore. Toute notre bande était au complet, ce n’était pas gai comme à mon anniver-saire, c’était un gouter d’adieu.

3 Il s’agit d’apprendre à reconnaitre différentes formes verbales.Faire – visiter – parcourir – voyager – découvrir – enchan-ter – aller

Les exercices 4 et 5 portent spécialement sur le participe passé et la manière de le composer à partir d’un verbe donné.

Approche du passé composé Grammaire Manuel, pp. 180-181

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four/mi – un hérisaure ➞ héri/sson + dino/saure – un bachot ➞ ba/leine + manvchot.

3. Le phénix ➞ oiseau qui renait de ses cendres – le griffon ➞ lion avec des ailes, des griffes et une tête d’aigle – le cen-taure ➞ créature moitié homme, moitié cheval.

4. En binôme.a. ogre – b. loup-garou – c. dragon

5. Production d’écrit en groupe.Il s’agit de créer un animal imaginaire à la manière de l’exer-cice de la rubrique « Je parle » (p. 171). Ce tableau peut être un outil de différenciation.

Exemple de production

Noms des animaux

Association Caractéristiques

Tileine Tigre + baleine Tigre avec une queue de baleine qui vit dans les océans et est carnivore.

Tableau de synthèse (ex. 5) à imprimer.

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESÉtendre ses connaissances lexicales, mémoriser et réu-tiliser des mots nouvellement appris

Présentation du texteLa séance s’articule autour d’une thématique afin d’amener les élèves à utiliser un vocabulaire précis. Ce champ lexi-cal permet de réinvestir la boite de mots de la page d’oral de l’unité 11 et est en lien avec la littérature (fantastique).

Commentaires des exercices (45 min)

1. À l’oral en collectif.A : une licorne ➞ mi-chèvre, mi-cheval, corne coupante, de couleur blanche ; B : une sirène ➞ mi-femme, mi-poisson ; C : un centaure ➞ torse humain et bas de cheval.

2. Individuel avant retour au collectif.Le tiphant ➞ ti/gre + élé/phant – une mourmi ➞ mou/che +

Les mondes imaginairesManuel, p. 182Lexique

Matériel : manuel, cahier d’écriture.

➞ Découverte collective de la rubrique LE PO aime…Demander aux élèves d’expliquer ce que sont des syllabes (voyelle ou groupe de lettres qui se prononcent d’une seule émission de voix).Inviter les élèves à compter le nombre de syllabes qui se trouvent dans chaque vers de Puzzle.Syllabe 1 : é = 4 syllabes.Syllabe 2 : lé = 4 syllabesSyllabe 3 : phant. = 4 syllabesAvec du papier collant, = 7 syllabesTu obtiens un éléphant. = 7 syllabesSyllabe 3 : phant, = 4 syllabesSyllabe 1 : é = 4 syllabesSyllabe 2 : lé. = 4 syllabesSi le colleur s’est trompé, = 7 syllabesÉléphant est faon ailé. = 7 syllabes

Mise en voix (15 min)

1. Lecture individuelle et silencieuse du poème de Luce Guilbaud.Pour la mise en voix, travailler l’expressivité : il s’agit d’ins-pirer la peur. Insister sur les mots qui peuvent faire peur : hantent, je vocifère, je gronde, j’effraie, yeux exorbités, piques,

Enregistrement des poèmes

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉES• Écouter pour comprendre des messages oraux (adres-sés par un adulte ou par des pairs) ou des textes lus par un adulte• Dire pour être entendu et compris• Produire des écrits en commençant à s’approprier une démarche

Découverte (15 min)

Livre fermé, lire les poèmes à haute voix ou faire écouter les enregistrements disponibles sur le CD-Rom.Discussion autour de chacun des poèmes : De quoi parlent ces poèmes ? Que racontent-ils ? Lequel préférez-vous et pourquoi ?Livre ouvert, demander aux élèves de reformuler le contenu des poèmes (cette partie doit être ponctuée de réécoutes totales ou partielles des poèmes). Observation et analyse de l’illustration : que représente-t-elle ?(un éléphant sous forme de patchwork). À quel poème se rapporte-t-elle ? (celui de Pierre Coran). Demander aux élèves comment ils auraient illustré ces deux poèmes.

Manuel, p. 183Poésie

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À l’aide des questions et des réponses apportées à la suite de la lecture de ces deux contes, on peut déjà réaliser une affiche qui reprend les invariants du conte des origines.

Autres lectures :Pourquoi le chameau est-il si laid ?Pourquoi la grenouille coasse-t-elle ?Pourquoi les libellules ont-elles le corps si long ?Pourquoi le hérisson est-il couvert de piquants ?Lire ensuite « Pour écrire… » afin de compléter l’affiche si nécessaire.

J’observe (15 min)

Collectif, oral.1. Cette histoire est imaginaire. Le ciel ne parle pas et on ne peut pas couper un morceau du ciel.2. Le ciel se met en colère car une femme se sert trop copieu-sement d’un morceau de lui-même, si bien qu’elle ne peut pas le manger en entier, elle le jette alors sur un tas d’or-dure, il ne veut pas qu’on le traite ainsi.3. Il y a trois temps différents dans ce texte : le passé (impar-fait et passé simple), le futur et le présent (temps employé dans la dernière phrase).– Imparfait : était, avaient, prenaient, contentaient, man-geaient, coupaient, pouvaient, voulait, jetaient, faisaient, était, restait.– Passé simple : se fâcha, prévint, prêta, coupa, mangea, put, fut, appela, appelèrent, purent, fallut, se mit, s’éleva.– Futur : irait.– Présent : est, doivent.

Présentation du texte et lecture de quelques contes des origines (25 min)Qu’est-ce qu’un conte des origines? (Un conte des origines, c’est un conte qui donne une définition de quelque chose, une explication d’un phénomène, mais la définition ou l’ex-plication est légendaire, inventée. Ce n’est pas la vraie expli-cation scientifique.)En amont de l’étude de « Pourquoi le ciel est loin mainte-nant ? », il serait intéressant de lire en collectif à voix haute un certain nombre de contes des origines afin d’en dégager les invariants.

Premier exemple : Pourquoi certains arbres gardent-ils leurs feuilles en hiver ?Suggestion de questions/réponses :Quand se passe cette histoire ? Il y a très longtemps. Qui sont les principaux personnages ? Le petit oiseau et un sapin. Comment sont-ils au début de l’histoire ? Au début, tous les arbres perdent leurs feuilles en hiver. Comment sont-ils à la fin ? À la fin, seul le sapin garde ses feuilles en hiver.Donne un titre à ce texte. Par exemple : Pourquoi le sapin garde-t-il ses feuilles en hiver ?

Second exemple : Pourquoi les corbeaux sont-ils noirs ?Quel est le personnage principal de cette histoire ? Un cor-beau. Qu’est-ce qui a changé entre le début et la fin de l’his-toire ? Au début, le corbeau possède un plumage de toutes les couleurs et il chante joliment. À la fin du conte, il est noir et il pousse de vilains cris.Quel est le caractère du corbeau ? Il est fier, vaniteux, hautain.Pourquoi le corbeau est-il entré dans le feu ? Il est entré dans le feu car il pense que le feu (avec ses flammes de toutes les couleurs) veut se mesurer à lui. Comment est-il sorti du feu ensuite ? Ses plumes sont toutes brulées et il pousse de vilains cris.

J’écris un conte des originesManuel, p. 184Écriture

fourches, je harcèle, j’étrangle, j’étripe, l’enfer, griffon, cer-bère, chimère et monstre.On peut proposer un travail par groupes de deux (un élève lit le poème en travaillant l’expressivité) et l’autre critique de manière bienveillante son interprétation. Étant donné que c’est lui qui reçoit le poème, il doit pouvoir dire à son camarade s’il a ressenti de la peur en l’écoutant. Il peut alors conseil-ler celui qui interprète « Le monstre de pierre ».

Compréhension fine (5 min)

2. La pluie, le vent, le gel et le soleil sont les ennemis du monstre de pierre car ils l’abiment, le détériorent au fil du temps.

3. Dans « Puzzle », l’animal fantastique créé avec le mot « éléphant » est un faon ailé.

Écriture (30 min)

Cahier de brouillon, individuel.Thon mou = mouton.Paon cerf : serpent.Proposer aux élèves d’écrire le premier poème obtenu avec ce procédé.

Exemple de poème

Syllabe 1 : mou,Syllabe 2 : ton,Avec du papier collant,Tu obtiens un mouton.

Syllabe 2 : ton,Syllabe 1 : mou,

Si le colleur s’est trompé, Mouton est thon mou.

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se mit à moudre des moutons, des chevaux et des cochons. Comme le petit moulin finissait de moudre la queue du der-nier petit cochon, le bucheron s’écria : « Marala-matata-maliba ! » et le moulin s’arrêta. Ensuite, le bucheron fit la même chose avec les vêtements : chaussettes, pantalons, tri-cots, bonnets... Si bien qu’à la fin, il eut tout ce qu’il lui fal-lait. Alors, il rangea le moulin magique et n’y pensa plus.

Un jour, le capitaine d’un grand bateau de pêche arriva chez le bucheron. Il venait acheter le plus beau des arbres de la forêt pour remplacer le mât de son bateau cassé par la tem-pête. Il voulait aussi de belles planches bien solides pour réparer la coque de son bateau qui s’était percée sur des rochers. Le bucheron l’écouta et lui dit : « Ne vous inquiétez pas. Dès demain tout sera prêt ! » Alors, il alla chercher le moulin magique et dit : « Petit moulin, il faut me moudre de belles planches et les moudre bien vite. » Et le moulin se mit à moudre les planches sous les yeux émerveillés du capitaine.

Le lendemain matin, le capitaine vint récupérer les planches et pendant que le bucheron avait le dos tourné, il vola le moulin et courut jusqu’à son bateau. Dès qu’il fut en mer, le capitaine appela les matelots : « Allez chercher les tonneaux de sel, nous allons les remplir ! » Puis il prit le petit mou-lin et lui dit : « Petit moulin, il faut me moudre du sel et le moudre bien vite. » Et le moulin se mit à moudre, à moudre du sel, du beau sel blanc tout en poudre fine. Quand les ton-neaux furent pleins, le capitaine lui dit : « En voilà assez, petit moulin, nous avons de quoi saler toutes les morues et tous les harengs que nous pêcherons. » Mais le moulin conti-nuait de moudre du beau sel blanc tout en poudre fine. Et le sel s’amassait sur le pont du bateau. « Assez, criait le capi-taine furieux, assez ! » Mais le moulin ne voulait rien savoir. Et le sel commençait à remplir les cales du bateau. À la fin, comme le bateau trop chargé allait couler, le capitaine prit le moulin et le jeta par-dessus bord. Le moulin tomba au fond de la mer. Et le moulin continua à moudre du beau sel blanc tout en poudre fine... C’est depuis ce jour, que l’eau de la mer est salée.

Questions de compréhension sur le texte originelPourquoi la mer est-elle salée ? (Car le moulin déverse du sel dans la mer en continu.)Pourquoi le moulin déverse-t-il du sel dans la mer ? (Car le capitaine n’a pas pu l’arrêter.)Pourquoi le capitaine n’a-t-il pas pu l’arrêter ? (Car il ne connait pas le mot de passe.)Pourquoi ne connait-il pas le mot de passe ? (Car il a volé le moulin, ce n’est pas le sien.)

Faire remarquer aux élèves que dans un conte des origines, tout ce qui arrive a une explication. Finalement, pour écrire son conte, peut-être est-il plus judicieux de partir de la fin du conte en se demandant « pourquoi ? ».

Prévoir éventuellement, selon les difficultés de la classe, des séances décrochées sur la phrase interrogative.

À moi d’écrire ! (45 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESProduire des écrits en commençant à s’approprier une démarche – Identifier les caractéristiques propres au conte des origines.– Mise en œuvre (guidée puis autonome) d’une démarche de production de textes : trouver et organiser des idées, élaborer des phrases qui s’enchainent avec cohérence, écrire un conte des origines.

Par groupes de deux élèves, cahier de brouillon (15 min)Rappel des invariants du conte des origines.Découverte du titre du conte : « Pourquoi la mer est-elle salée ? » Chaque binôme doit écrire le conte qui répondra à cette question. La seule aide : l’affiche des premiers inva-riants réalisée au moment de la présentation du texte.

Collectif, au tableau.L’enseignant relève dans les différents textes des élèves des passages intéressants d’une ou deux lignes (soit qui ne cor-respondent pas aux invariants, soit au contraire qui rentrent parfaitement dans les invariants). Il engage la classe à débattre sur ces phrases. Il faudra prendre plusieurs extraits pour chaque critère. Les extraits sélectionnés sont affichés au tableau, ou vidéoprojetés.On peut sélectionner des débuts qui racontent comment les choses étaient avant, un déroulement qui explique ce qui s’est passé pour que les choses changent, une fin qui répond à la question du titre.

Individuel, écrit.Ensuite seulement, les élèves peuvent reprendre leur conte réalisé en binôme pour écrire cette fois tout seul un conte des origines qui réponde parfaitement à la question du titre.

Collectif, oral.Lecture du conte originel (conte de Chine).

En ces temps-là, il y a très longtemps, les hommes aimaient inventer des histoires pour expliquer ce qu’ils ne compre-naient pas. Voici ce qu’ils racontaient pour expliquer pour-quoi l’eau de la mer est salée.

Il était une fois un pauvre bucheron. Un soir, alors qu’il pré-parait son diner, un tout petit homme apparut et lui dit : « Je suis le nain Flic-Floc, j’ai faim. – Assieds-toi à coté de moi, répondit le bucheron, nous allons partager mon repas. » Ils se mirent à table et vidèrent ensemble une marmite de soupe de légumes bien chaude avec quelques saucisses grillées. À la fin du repas, le nain Flic-Floc dit au bucheron : « Tu es généreux. Alors, je vais te faire un cadeau. Voici pour toi un moulin magique. Il suffit de dire : Petit moulin, il faut me moudre ceci et le moudre bien vite pour qu’il se mette à moudre tout ce que tu désires. Pour l’arrêter, tu n’auras qu’à dire marala-matata-maliba. » Et le nain disparut très vite. Le bucheron posa le moulin devant sa vieille cabane et lui dit : « Petit moulin, il faut me moudre une belle maison et la moudre bien vite. » Et le petit moulin se mit à moudre la plus jolie des maisons. Comme le moulin finissait de moudre la dernière tuile du toit, le bucheron s’écria : « Marala-matata-maliba ! » et le moulin s’arrêta. Émerveillé, le bucheron porta le moulin dans le prés et lui dit : « Petit moulin, il faut me moudre des animaux et les moudre bien vite. » Et le moulin

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Copie (5 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESCopier de manière experte – Maitrise des gestes de l’écriture cursive exécutés avec une vitesse et une sureté croissantes.– Correspondances entre diverses écritures des lettres pour transcrire un texte (donné en script et copié en cursive).– Stratégies de copie pour dépasser la copie lettre à lettre : prise d’indices, mémorisation de mots ou groupes de mots.– Lecture (relire pour vérifier la conformité).

Faire repérer le nombre de mots, les majuscules, le point d’interrogation. Faire repérer l’accent circonflexe. Concer-nant la fluidité de l’écriture, indiquer par exemple aux élèves qu’il ne faut pas lever le stylo pour appris et ont. Une petite précision : l’accent circonflexe se fait à la fin de l’écriture du mot bâtir.

Différenciation : Possibilité de marquer le point de départ. Proposer aux élèves un modèle agrandi pour la majuscule du C avec point de départ et nombre d’interlignes.

2. La consigne est lue en collectif. Temps individuel pour la lecture en chuchotant.

Temps en binôme pour la lecture à haute voix : l’un donne une intonation que l’autre respecte et inversement. La consigne de l’intonation est donnée à n’importe quel moment de la lecture du texte. Les consignes peuvent se succéder. Le but est que la lecture reste fluide et que l’on n’entende pas de coupure lors d’une nouvelle consigne.

Possibilité d’enregistrer la version choisie pour garder une trace de la performance (évaluation de sa propre pratique).

Retour au collectif : écoute des volontaires qui vont suivre les consignes de l’enseignant ou d’un pair pour insérer les différentes intonations successives dans la lecture, sans rompre la fluidité.

Jeu (durée à évaluer par l’enseignant)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESIdentifier des mots de manière de plus en plus aiséeCorrespondances graphophonologiques ; combinatoire (construction des syllabes simples et complexes)

3. Possibilité d’imprimer les deux tableaux (voir ci-dessous) pour que les élèves colorient les bonnes cases.

Grille du jeu (ex. 3) à imprimer.

Je raconte ce que j’ai lu (15 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESPratiquer différentes formes de lecturePrise en compte des enjeux de la lecture, notamment : lire une histoire pour la comprendre et la raconter à son tour.

1. Montrer la compréhension d’une histoire et la restituer de la façon qui convient le mieux à chacun. Temps de travail individuel puis retour au collectif : les dessins sont affichés et discutés, les mises en scène sont montrées, certains élèves racontent l’histoire à leurs pairs sans support…Dans ces restitutions, il est important de voir si l’humour et l’implicite ont été perçus (le fer à cheval porte-bonheur, l’ab-sence du cheval et d’autres fers à cheval).

Je mets le ton (10 min)

CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES ASSOCIÉESLire à voix hauteRecherche d’effets à produire sur l’auditoire en lien avec la compréhension (expressivité).

Manuel, p. 185Atelier de lecture

Quand des pleure matou des console.

Bonsoir je exercice maman me route.

Un gros chagrin

Le voyage beaucoup moins avion des calme.

Je prends fais chaud prendre te France.

Mon souvent Afrique pour fleurs par photos.

De beaux paysages