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[ Pierre-Marie, 21 ans ] FAC DE SCIENCES ET TECHNIQUES PUIS ECOLE POLYTECHNIQUE Après mon bac scientifique avec men- tion, j’ai préféré aller étudier à la faculté des Sciences et Techniques de Brest plutôt que d’aller en classe prépa. Je souhaitais continuer à avoir des loisirs. J’ai suivi un double parcours et j’ai obtenu une licence de Physique et une licence de Mathématique, en 2013, les deux avec mention très bien. Puis, je me suis inscrit aux concours des grandes écoles d’ingénieurs et j’ai décroché mon admission dans la plus prestigieuse d’entre elles : l’Ecole Polytechnique. [ Antoine, 23 ans ] IUT, FAC DE SCIENCES ET TECHNIQUES Après un DUT génie Mécanique et Productique (GMP) à l’IUT de Brest, Antoine a intégré la 3ème année de licence Sciences pour l’Ingénieur, parcours technologie mécanique, puis il a obtenu un master professionnel Génie Méca- nique en apprentissage à la faculté des Sciences et Techniques de Brest. Ce parcours l’a amené à remplir une obligation de stage de 3 mois au cours de sa L3 dans un pays anglo-saxon. Intéressé par le sec- teur ferroviaire, Antoine a été embauché en CDI par la compagnie britannique EAST COAST Main Lines, à Londres, après avoir donné toute satisfaction pendant sa période d’alternance de 4 mois. Il a même été élu « graduate of the year » au concours national « Rail Staff Awards » en 2014. [Arthur, 19 ans ] DOUBLE CURSUS FAC DE MÉDECINE ET ECOLE DE L’INSERM LILIANE BETTENCOURT Après un bac S, j’ai tenté le concours PACES (1ère année commune aux études de santé) et suis actuellement en médecine FGSM2 (2e année de formation générale en sciences médicales) à la faculté de Brest. Bien qu’engagé dans des études médicales, je sou- haitais demeurer proche des sciences fondamentales. J’ai donc rejoint le double cursus médecine-sciences proposé par l’École de l’Inserm Liliane Bettencourt, où seuls 50 candidats sont retenus. Ce parcours a pour but de former des médecins à la recherche scientifique, en les accompagnant dans une double qualification. Mon objectif est bien sûr de devenir médecin, précisément neurochirurgien, mais aussi contribuer à l’avancée des neurosciences. Je joue du violon depuis plusieurs années. Il n’y a rien de tel pour se détendre et se faire plaisir, de même que le sport, que je pratique de temps à autre sein du SUAPS. [ Sophie, 28 ans ] INSTITUT UNIVERSITAIRE EUROPÉEN DE LA MER (IUEM) Après une licence en sciences de la vie obtenue à Paris VI, j’ai continué sur un master en écologie avec une spécialisation en biologie de la conservation. Puis, j’ai découvert le milieu marin, à la faveur d’un sujet de stage de master sur les pêche- ries. J’ai ensuite fait une thèse à l’Ecole Doctorale des Sciences de la Mer (IUEM/UBO) en co-tutelle avec l’Université de Tasmanie en Australie et j’ai voyagé entre la France et l’Australie. Mon sujet de thèse : la modéli- sation bioéconomique pour la gestion durable de pêche- ries mixtes. J’ai maintenant un poste de chercheur en modélisation écologie-économie au sein de l’unité d’économie maritime de l’Ifremer, UMR AMURE. [ Javier, péruvien ] IUT DE QUIMPER, IUEM En France depuis 2011 pour mes études supérieures, j’ai suivi un BTSA Aquacul- ture par apprentissage avant d’intégrer la Licence Professionnelle « AQUAVAL » à l’IUT de Quimper (2013-2014), car c’est une formation à double compétence dans les domaines de l’aquaculture et de la biotechnologie. Puis, j’ai choisi de poursuivre en Mas- ter Sciences Biologiques Marines à l’IUEM (UBO). J’envisage d’intégrer la spécialité Valorisation Biotechno- logique des Ressources Marines (VALBIOREM). Actuelle- ment en stage au Laboratoire Universitaire de Biodiver- sité et d’Écologie Microbienne (LUBEM), je travaille sur des bactéries observées sur une espèce d’étoile de mer. Mon objectif : travailler dans une multinationale spéciali- sée dans la biotechnologie pour acquérir de l’expérience et du savoir-faire puis créer ma propre entreprise. [ Thibault, 23 ans ] FAC DE SPORT ET D’EDUCATION PHYSIQUE Après mon bac S-SVT mention « assez-bien » en sport- étude section « football », je me suis inscrit en licence STAPS. Alors joueur au sein de l’équipe réserve du Stade Brestois 29 (niveau CFA 2), je m’entrainais 6 à 7 fois par semaine plus le match le weekend, j’ai obtenu le statut « sportif de haut niveau » à l’UBO. Je me suis inscrit dans le Master STAPS mention « Expertise Performance et Intervention » (EPI) pour continuer à me former tout en ayant accès à de jeunes joueurs prometteurs au sein du centre de formation du stade brestois, la psycho- logie du sport s’avérant être un domaine qui m’intéres- sait vraiment. J’ai décidé d’orienté ma formation vers la « recherche » : je suis en stage au Centre Européen de Réalité Virtuelle (CERV). Mon projet est de poursuivre mes études comme doctorant. A terme, j’aimerais m’orienter vers l’enseignement à l’université ou travailler dans la recherche en psychologie appliquée au sport. [ Florence, 25 ans ] IUT DE BREST, UNIVERSITÉ TECHNOLOGIQUE DE BELFORT-MONTBÉLIARD Au lycée, Florence choisit la filière technologique indus- trielle (STI) par goût de la technologie. Puis, elle opte pour le DUT Génie électrique et informatique industrielle à Brest : le DUT GEII est généraliste, il associe théorie et pratique. Peu à peu, elle s’intéresse aux énergies et pos- tule alors au cursus ingénieur à l’UTBM, Université tech- nologique de Belfort-Montbéliard où elle est admise sur dossier et entretien. Diplômée en 2012, elle est depuis 6 mois ingénieure en CDI au Bureau d’études électriques spécifiques à SDMO Industries à Brest, premier fabri- cant français, 3e mondial de groupes électrogènes et solutions d’énergie. Florence doit imaginer des solutions techniques adaptées à chacun de ses clients internatio- naux. Des défis quotidiens qu’elle aime relever. [ Manon, 20 ans ] DOUBLE CURSUS EN FAC DE LETTRES ET SCIENCES HUMAINES Après mon bac scientifique avec men- tion très bien, j’ai choisi une filière litté- raire : LEA anglais-espagnol. LEA me paraissait le bon choix car incluant des cours tels que du droit, économie, marketing, management, comptabilité. En 3ème langue, j’ai choisi le chinois avec l’idée qu’apprendre la langue n’était pas suffisant, je voulais en apprendre plus sur la culture et la civilisation. En commençant ma 2ème an- née, j’ai opté pour le double cursus et j’ai suivi les deux licences en parallèle : anglais-espagnol et anglais- chinois. J’ai validé mes deux licences et j’ai même eu la surprise d’être major de promo dans les deux licences avec une moyenne de 15,94 en anglais-espagnol et 16,125 en anglais-chinois. Pour le stage à l’étranger de troisième année, j’ai réussi à trouver un stage en Chine de 13 semaines. Pour la suite, les relations internationales ou la diplomatie m’intéressent particulièrement. [ Marjorie, 22 ans ] FAC DE LETTRES ET SCIENCES HUMAINES Passionnée par les langues étrangères et attirée par l’international, après un Bac Littéraire, j’ai choisi de me tourner vers une Licence de Langues Etrangères Appliquées (anglais-chinois) à l’UBO. En 3ème année de licence, j’ai effectué un stage de 3 mois au sein d’une entreprise d’Etat à Qingdao, en Chine. Puis, j’ai fait une année de césure dans la même entreprise où l’on m’a formée au métier d’assistante inter- nationale des ressources humaines, ainsi qu’au métier de professeur de français langue étrangère. Ces diverses expériences en Chine ont été très enrichissantes tant sur le plan personnel que professionnel. A mon retour, j’ai intégré le Master MPIM « Management de Projets In- ternationaux Multilingues » pour me spécialiser dans l’organisation de projets événementiels à l’international et continuer à développer mes connaissances en langue et culture chinoise. Ce master est particulièrement ori- ginal car il allie un 1er semestre de cours avec un 2nd semestre consacré à la création et la mise en place de projets tutorés menés par groupes d’étudiants. Ce sera l’occasion de combiner deux axes qui me passionnent : l’inter culturalité et l’événementiel. [ Simon, 19 ans ] PÔLE UNIVERSITAIRE PJH QUIMPER Après une première année de bilicence droit/histoire de l’art à Quimper, j’ai souhaité approfondir ces deux matières et me suis orienté vers un double cursus dès ma se- conde année. Actuellement en dernière année de licence, j’espère suivre un Master 1 en droit privé à l’étranger l’année prochaine, dans le cadre du programme Eras- mus proposé par l’UBO. Je pense ensuite effectuer un Master 2 en droit fiscal avant de terminer mon cursus par une école de commerce. Cela me permettrait d’avoir de solides connaissances afin d’exercer dans le domaine de la gestion de patrimoine, et idéalement me spécialiser dans la fiscalité du marché de l’art. [ Laurie, 27 ans ] FAC DE DROIT-ECONOMIE-GESTION-AES, IAE Après mon bac S et ne voulant pas aller en prépa, j’ai cherché des études qui me permettaient de garder une certaine polyvalence. J’ai obtenu une licence d’éco- nomie-gestion à Brest, en prenant surtout des options orientées finance et comptabilité. Par la suite, j’ai inté- gré le Master 1 Sciences du Management (option Finance-Comptabilité) à l’IAE de Brest. J’ai conclu mes études par le Master 2 Administration, Manage- ment et Economie des Organisations, option mana- gement des Entreprises Mutualistes et Coopéra- tives. Moins de 6 mois après l’obtention de mon master, j’ai trouvé un poste en adéquation avec ma formation : j’ai été recrutée en CDI en tant que Chargée de Clien- tèle au CMB en mars 2012. Témoignages ÉTUDIANTS [ [ Réussite Université DE LA

université [ Manon, 20 ans ]DOUBLE CURSUS EN FAC DE ... · classe prépa. Je souhaitais continuer à avoir des loisirs. J’ai suivi un double parcours et j’ai obtenu une licence

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[ pierre-Marie, 21 ans ]FAC DE SCIENCES ET TECHNIQUES PUIS ECOLE POLyTECHNIQUEAprès mon bac scientifique avec men-tion, j’ai préféré aller étudier à la faculté

des Sciences et Techniques de Brest plutôt que d’aller en classe prépa. Je souhaitais continuer à avoir des loisirs. J’ai suivi un double parcours et j’ai obtenu une licence de physique et une licence de Mathématique, en 2013, les deux avec mention très bien. Puis, je me suis inscrit aux concours des grandes écoles d’ingénieurs et j’ai décroché mon admission dans la plus prestigieuse d’entre elles : l’ecole polytechnique.

[ Antoine, 23 ans ]IUT, FAC DE SCIENCES ET TECHNIQUESAprès un Dut génie Mécanique et productique (GMp) à l’iut de Brest,

Antoine a intégré la 3ème année de licence sciences pour l’ingénieur, parcours technologie mécanique, puis il a obtenu un master professionnel Génie Méca-nique en apprentissage à la faculté des sciences et techniques de Brest. Ce parcours l’a amené à remplir une obligation de stage de 3 mois au cours de sa L3 dans un pays anglo-saxon. Intéressé par le sec-teur ferroviaire, Antoine a été embauché en cDi par la compagnie britannique eAst coAst Main lines, à Londres, après avoir donné toute satisfaction pendant sa période d’alternance de 4 mois. Il a même été élu « graduate of the year » au concours national « Rail Staff Awards » en 2014.

[Arthur, 19 ans ]DOUBLE CURSUS FAC DE MÉDECINE ET ECOLE DE L’INSERM LILIANE BETTENCOURTAprès un bac S, j’ai tenté le concours

pAces (1ère année commune aux études de santé) et suis actuellement en médecine fGsM2 (2e année de formation générale en sciences médicales) à la faculté de Brest. Bien qu’engagé dans des études médicales, je sou-haitais demeurer proche des sciences fondamentales. J’ai donc rejoint le double cursus médecine-sciences proposé par l’École de l’inserm liliane Bettencourt, où seuls 50 candidats sont retenus. Ce parcours a pour but de former des médecins à la recherche scientifique, en les accompagnant dans une double qualification. Mon objectif est bien sûr de devenir médecin, précisément neurochirurgien, mais aussi contribuer à l’avancée des neurosciences. Je joue du violon depuis plusieurs années. Il n’y a rien de tel pour se détendre et se faire plaisir, de même que le sport, que je pratique de temps à autre sein du SUAPS.

[ sophie, 28 ans ]INSTITUT UNIVERSITAIRE EUROPÉEN DE LA MER (IUEM)Après une licence en sciences de la vie obtenue à Paris VI, j’ai continué sur un

master en écologie avec une spécialisation en biologie de la conservation. Puis, j’ai découvert le milieu marin, à la faveur d’un sujet de stage de master sur les pêche-ries. J’ai ensuite fait une thèse à l’ecole Doctorale des sciences de la Mer (iueM/uBo) en co-tutelle avec l’Université de Tasmanie en Australie et j’ai voyagé entre la France et l’Australie. Mon sujet de thèse : la modéli-sation bioéconomique pour la gestion durable de pêche-ries mixtes. J’ai maintenant un poste de chercheur en modélisation écologie-économie au sein de l’unité d’économie maritime de l’ifremer, UMR AMURE.

[ Javier, péruvien ]IUT DE QUIMPER, IUEMEn France depuis 2011 pour mes études supérieures, j’ai suivi un BTSA Aquacul-ture par apprentissage avant d’intégrer

la licence professionnelle « AquAvAl » à l’iut de

quimper (2013-2014), car c’est une formation à double compétence dans les domaines de l’aquaculture et de la biotechnologie. Puis, j’ai choisi de poursuivre en Mas-ter sciences Biologiques Marines à l’iueM (uBo). J’envisage d’intégrer la spécialité Valorisation Biotechno-logique des Ressources Marines (VALBIOREM). Actuelle-ment en stage au Laboratoire Universitaire de Biodiver-sité et d’Écologie Microbienne (LUBEM), je travaille sur des bactéries observées sur une espèce d’étoile de mer. Mon objectif : travailler dans une multinationale spéciali-sée dans la biotechnologie pour acquérir de l’expérience et du savoir-faire puis créer ma propre entreprise.

[ thibault, 23 ans ]FAC DE SPORT ET D’EDUCATION PHySIQUEAprès mon bac S-SVT mention « assez-bien » en sport-étude section « football », je me suis inscrit en licence stAps. Alors joueur au sein de l’équipe réserve du Stade Brestois 29 (niveau CFA 2), je m’entrainais 6 à 7 fois par semaine plus le match le weekend, j’ai obtenu le statut « sportif de haut niveau » à l’UBO. Je me suis inscrit dans le Master stAps mention « expertise performance et intervention » (epi) pour continuer à me former

tout en ayant accès à de jeunes joueurs prometteurs au sein du centre de formation du stade brestois, la psycho-logie du sport s’avérant être un domaine qui m’intéres-sait vraiment. J’ai décidé d’orienté ma formation vers la « recherche » : je suis en stage au Centre Européen de Réalité Virtuelle (CERV). Mon projet est de poursuivre mes études comme doctorant. A terme, j’aimerais m’orienter vers l’enseignement à l’université ou travailler dans la recherche en psychologie appliquée au sport.

[ florence, 25 ans ]IUT DE BREST, UNIVERSITÉ TECHNOLOGIQUE DE BELFORT-MONTBÉLIARDAu lycée, Florence choisit la filière technologique indus-trielle (STI) par goût de la technologie. Puis, elle opte pour le Dut Génie électrique et informatique industrielle à Brest : le DUT GEII est généraliste, il associe théorie et pratique. Peu à peu, elle s’intéresse aux énergies et pos-tule alors au cursus ingénieur à l’UTBM, Université tech-nologique de Belfort-Montbéliard où elle est admise sur dossier et entretien. Diplômée en 2012, elle est depuis 6 mois ingénieure en CDI au Bureau d’études électriques spécifiques à sDMo industries à Brest, premier fabri-cant français, 3e mondial de groupes électrogènes et solutions d’énergie. Florence doit imaginer des solutions techniques adaptées à chacun de ses clients internatio-naux. Des défis quotidiens qu’elle aime relever.

[ Manon, 20 ans ]DOUBLE CURSUS EN FAC DE LETTRES ET SCIENCES HUMAINESAprès mon bac scientifique avec men-tion très bien, j’ai choisi une filière litté-

raire : LEA anglais-espagnol. LEA me paraissait le bon choix car incluant des cours tels que du droit, économie, marketing, management, comptabilité. En 3ème langue, j’ai choisi le chinois avec l’idée qu’apprendre la langue n’était pas suffisant, je voulais en apprendre plus sur la culture et la civilisation. En commençant ma 2ème an-née, j’ai opté pour le double cursus et j’ai suivi les deux licences en parallèle  : anglais-espagnol et anglais-chinois. J’ai validé mes deux licences et j’ai même eu la surprise d’être major de promo dans les deux licences avec une moyenne de 15,94 en anglais-espagnol et 16,125 en anglais-chinois. Pour le stage à l’étranger de troisième année, j’ai réussi à trouver un stage en Chine de 13 semaines. Pour la suite, les relations internationales ou la diplomatie m’intéressent particulièrement.

[ Marjorie, 22 ans ]FAC DE LETTRES ET SCIENCES HUMAINESPassionnée par les langues étrangères et attirée par l’international, après un Bac

Littéraire, j’ai choisi de me tourner vers une licence de langues etrangères Appliquées (anglais-chinois) à l’UBO. En 3ème année de licence, j’ai effectué un stage de 3 mois au sein d’une entreprise d’Etat à Qingdao, en Chine. Puis, j’ai fait une année de césure dans la même entreprise où l’on m’a formée au métier d’assistante inter-nationale des ressources humaines, ainsi qu’au métier de professeur de français langue étrangère. Ces diverses expériences en Chine ont été très enrichissantes tant sur le plan personnel que professionnel. A mon retour, j’ai intégré le Master MpiM « Management de projets in-ternationaux Multilingues » pour me spécialiser dans l’organisation de projets événementiels à l’international et continuer à développer mes connaissances en langue et culture chinoise. Ce master est particulièrement ori-ginal car il allie un 1er semestre de cours avec un 2nd semestre consacré à la création et la mise en place de projets tutorés menés par groupes d’étudiants. Ce sera l’occasion de combiner deux axes qui me passionnent : l’inter culturalité et l’événementiel.

[ simon, 19 ans ]PÔLE UNIVERSITAIRE PJH QUIMPERAprès une première année de bilicence droit/histoire de l’art à quimper, j’ai souhaité approfondir ces deux matières

et me suis orienté vers un double cursus dès ma se-conde année. Actuellement en dernière année de licence, j’espère suivre un Master 1 en droit privé à l’étranger l’année prochaine, dans le cadre du programme eras-mus proposé par l’uBo. Je pense ensuite effectuer un Master 2 en droit fiscal avant de terminer mon cursus par une école de commerce. Cela me permettrait d’avoir de solides connaissances afin d’exercer dans le domaine de la gestion de patrimoine, et idéalement me spécialiser dans la fiscalité du marché de l’art.

[ laurie, 27 ans ]FAC DE DROIT-ECONOMIE-GESTION-AES, IAEAprès mon bac S et ne voulant pas aller en prépa, j’ai cherché des études qui me permettaient de garder une certaine polyvalence. J’ai obtenu une licence d’éco-nomie-gestion à Brest, en prenant surtout des options orientées finance et comptabilité. Par la suite, j’ai inté-gré le Master 1 sciences du Management (option finance-comptabilité) à l’iAe de Brest. J’ai conclu mes études par le Master 2 Administration, Manage-ment et economie des organisations, option mana-gement des entreprises Mutualistes et coopéra-tives. Moins de 6 mois après l’obtention de mon master, j’ai trouvé un poste en adéquation avec ma formation : j’ai été recrutée en cDi en tant que chargée de clien-tèle au cMB en mars 2012.

témoignagesÉTUDIANTS

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Réussiteuniversité

De lA

Étudiant, la vie en grand !

sports l’uBo en pôle position !richesse de l’offrele SUAPS (Service Universitaire des Acti-vités Physiques et Sportives) propose à tous les étudiants de l’UBO plus de 50 activités sportives, un encadrement de qualité, des équipements de haut niveau et des infrastructures récentes. Autant de raisons pour inciter les jeunes à cultiver leur bonne forme ! Les étudiants-athlètes de haut niveau sont de plus en plus nom-breux chaque année et sont plus de 120 à porter les couleurs de l’UBO cette année.

Le site de Brest dispose de 4 salles mul-tisports, 1 terrain de foot synthétique, 1  terrain de rugby, 1 piste d’athlétisme, 1 salle de musculation, 1 salle d’escalade, 1  salle de Combat, 1 salle de Danse, 1  salle de remise en forme et l’accès aux infrastructures des collectivités par-tenaires BMO Ville de Brest (Piscines, Centre Nautique). Les autres sites de formation de l’UBO se dotent progressive-ment de nouvelles propositions et d’infras-tructures, ainsi de Quimper qui inaugurera prochainement un mur d’escalade flam-bant neuf.

conditions d’accès30 €/an pour obtenir la carte SPORT, + certificat médical, + 20 € pour les activi-tés nautiques.

u Contact :www.univ-brest.fr/suaps

Si l’université est avant tout un lieu d’études et de travail, c’est aussi un lieu de vie au sein duquel vous pouvez vous engager, vous divertir, vous informer et être accompagné.

La vie étudiante à l’Université de Bretagne Occidentale est riche et permet à chacune et chacun de s’épanouir et de réussir ses études grâce à des services qui vous facilitent le quotidien, des ressources qui vous guident dans votre parcours et des activités pour vous changer les idées ou vous engager dans la vie associative.

Espace ouvert sur la société, l’UBO offre ainsi la possibilité à ses étudiants de s’investir pleinement dans de nombreuses activités, couvrant différents domaines  : culturel, associatif, sportif, solidaire, citoyen, et cela à travers de nombreux évènements et projets organisés tout au long de l’année.

Étudiant citoyen, vous pourrez aussi vous investir dans la gouvernance de votre université en intégrant ses diffé-rents conseils  : Conseil d’Administration, Commission Recherche et Commission de la Formation et de Vie Universitaire ou conseil de composantes.

Les occasions de croiser le chemin du Service culturel de l’UBO au cours du cursus universitaire peuvent être nom-breuses. En effet, l’envie pourrait vous venir de suivre une UE libre culturelle ou de participer à un atelier de pratique artistique (théâtre, chant, photo, écriture de scénario, danse, radio, etc.) ou à un des orchestres (jazzband, orchestre sym-phonique, fanfare), de flâner dans la salle d’exposition de la faculté Victor Segalen, d’assister à un concert au Clous autre-ment dénommé les soirées « À gauche après le pont », de prendre quelques places à tarif réduit pour le Quartz, la Carène, le Vauban, la Maison du théâtre ou le cinéma Les Studios, ou encore d’assister à la programmation spéciale-ment concoctée pour les étudiants de certains festivals brestois (le festival de danse La Becquée, l’Atlantique Jazz fes-tival et ses concerts inédits à la salle du Clous, le Festival du film court et ses ren-contres autour des métiers du cinéma, Longueur d’ondes, le festival de la radio et de l’écoute qui invite à la fac aussi bien Brigitte Lahaie (RMC) qu’Emmanuel Lau-rentin (France Culture) pour des débats sur différents thèmes autour de la radio).

En parlant de festival, pourquoi ne pas être à l’initiative d’un projet artistique qui serait programmé lors du festival « Ubo roi  », festival de la création étudiante en mars, rassemblant des projets aussi divers que courts métrages ou créations sonores, spectacles de danse ou de théâtre, performance artistique réalisés par des étudiants ? Voilà de bonnes rai-sons, vous ne trouvez pas, de venir frap-per à notre porte, au rez-de-chaussée du restaurant universitaire Armen, tous les jours, sans interruption le midi, de 10 heures à 17 heures ? Vous pourrez aussi avoir un premier aperçu de ce qu’est le Service culturel en participant à sa soi-rée de rentrée nommée Préambule (en septembre ou octobre).u www.univ-brest.fr/serviceculturel

université connectéel’ueB c@mpus1er campus numérique régional conçu par l’Université Européenne de Bretagne.

Un peu partout sur nos campus de Brest, Quimper et Morlaix, des travaux ont lieu pour accueillir l’UEB c@mpus. Grâce à des services en ligne innovants et des équipements de dernière génération, UEB C@mpus facilite l’enseignement à

distance et la recherche en réseau. Dé-veloppé pour les étudiants et les ensei-gnants-chercheurs, le campus numérique gomme l’éloignement géographique et préfigure une nouvelle manière de communiquer et de travailler ensemble. Salles immersives, télé-amphis, salles de TD connectées et ressources multimé-dias pour se former et s’informer. L’uni-versité de demain est déjà l’UBO !

tous créatifs ! avec le service culturel

Les Pétarades (festival organisé par la Fédé B) © Benjamin Deroche

La participation étudiante brestoise aux activités physiques et sportives est excellente et largement supérieure à la moyenne nationale (37,5 % UBO contre 18 % moyenne nationale).

Avec l’As (Association sportive) uBoVous pouvez participer aux cham-pionnats universitaires proposés par la FFSU (Fédération Française de Sport Universitaire). Dans le cadre de la compétition, toutes les activités, même celles non pro-posées par le SUAPS, sont acces-sibles, et ce à différents niveaux de pratique.Conditions d’accès :Adhérer à l’AS UBO pour 15 €/an + le certificat médical.

u Contact :www.univ-brest.fr/suaps/menu/l_ASUBO/Presentation

« Entrer à l’université, c’est changer d’échelle, et devenir acteur de son histoire*. » L’université s’est transformée pour accueillir dans les meilleures conditions possibles des générations d’étudiants de plus en plus nombreux, exigeants et relever le défi des transformations de notre société. Elle s’appuie pour cela sur ses activités de recherche et un personnel hautement qualifié : nos chercheurs forment les étudiants.

Au bout d’une formation universitaire, qui offre des sor-ties possibles à tous les niveaux, il y a des métiers et des emplois. On compte trois fois moins de chômeurs chez les diplômés du supérieur que chez les non-diplômés**. Aujourd’hui à l’université, vous pourrez découvrir aussi bien des formations en alternance, construites avec des entreprises, que des créateurs de start-up accompagnés dans leur projet d’entrepreneur. Au bout d’une formation universitaire, il y a aussi des citoyens mieux armés pour comprendre et agir dans la société.

L’UBO, université publique et pluridisciplinaire, offre une palette de parcours de formation très complète, coordon-née avec les autres établissements de Bretagne et bien-tôt des Pays de Loire. Avec le déploiement d’outils numé-

riques de pointe, elle est un des maillons essentiels du tout nouveau c@mpus numérique de Bretagne (UEB c@mpus) et elle accompagne ses étudiants dans la construction de leur futur, quels que soient leurs choix ou leurs envies.

Du DUT au doctorat, en passant par les licences et les masters, l’offre de formation de l’UBO est reconnue pour son excellence. Elle s’adapte aux publics ayant des be-

soins spécifiques pour lesquels des aménagements sont proposés. Ainsi un sportif ou un artiste de haut de niveau pourra concilier l’exercice de son art avec ses études. De la même manière une personne en situation de handicap ou exerçant une activité pourra bénéficier d’un accueil et d’une organisation adaptée. Une reprise d’études est également possible dans le cadre de la formation tout au long de la vie..

Enfin, l’université c’est aussi l’ouverture sur le monde, avec la rencontre de près de 1500 étudiants étrangers en études à l’UBO, ou l’échange avec d’autres pays, au travers de nos 260 accords de mobilité en Europe et 150 conventions cadres dans le reste du monde.

l’université est une chance, saisissons-là !

*G. Fioraso, Secrétaire d’Etat à l’enseignement supérieur et à la recherche**Bref du Cereq, n° 319 mars 2014

Des formations à la pointe, portées par la recherche

pourquoi choisir l’université ?

u Faculté des Lettres et Sciences Humainesu ESPEu École doctorale des Arts, Lettres et Languesu École doctorale des Sciences de l’Homme,

des Organisations et de la Sociétéu École doctorale des Sciences Humaines

et Socialesu Formation Continue

Arts, lettres et langues9 licences9 mastersDoctoratsciences humaines et sociales8 licences2 licences professionnelles14 mastersDoctorat

u Faculté de Droit, Économie, Gestion et AESu IUT de Brest, Quimper, Morlaixu IAEu IPAGu École doctorale des Sciences de l’Homme,

des Organisations et de la Sociétéu Formation Continue

u Faculté de Sciences et Techniquesu Faculté de Médecine et Sciences de la Santéu IUT de Brest , Quimper et Morlaixu ESIABu École doctorale Santé, Information-

Communication, Mathématiques, Matièresu Formation Continue

u IUEMu Faculté de Droit, Économie, Gestion et AESu École doctorale des Sciences de la Meru Formation Continue

u Faculté des Sports et Éducation Physiqueu Formation Continue

la recherche à l’uBo la formation à l’uBoLa recherche est au coeur de l’université. C’est dans les laboratoires de l’université que naissent de nouvelles avancées dans les connaissances donnant lieu à des in-novations que nous valorisons en créant des emplois et de l’activité économique.

C’est le fruit d’un travail mené conjointe-ment entre les enseignants-chercheurs et les étudiants qui permet de faire pro-gresser la société toute entière. À l’UBO, 37 laboratoires de recherche travaillent chacun sur un domaine spécifique tout en renforçant leur collaboration pour ré-pondre aux enjeux sociétaux de plus en plus complexes.

Nous sommes structurés en 4 axes thématiques transversaux à différentes disciplines, identifiant ainsi notre acti-vité de recherche de l’UBO que nous menons avec nos partenaires bretons et les grands organismes de recherche (CNRS, IFREMER, IRD, INSERM) :

les sciences de la Meru Le changement climatique, la « blue eco-nomy », les énergies marines…

santé-Agro-Matièreu Les maladies génétiques, la chirurgie assistée, la médecine personnalisée, l’alimentation de demain…

Maths-sticu L’internet du futur, l’ultra haut débit, la cyber sécurité…

sciences de l’homme et de la sociétéu Le vieillissement, le genre, les représenta-tions, les mondes armoricains et atlantiques…

Dans chacun de ces axes, l’UBO est impliquée dans de grands programmes de recherche, dont ceux financés par le Programme Investissement d’Avenir sur le territoire national, ainsi que par des programmes de recherche Européens, en tissant des collaborations inter-régionales et internationales.

Jean-Marie FilloqueVice-Président Formation tout au long de la vie

stAps (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives)1 DEUST/4 licences /2 Licences professionnelles/4 Masters

sciences de la Mer et du littoral7 masters

sciences, technologies, santé1 DEUST4 DUT10 licences16 licences professionnelles9 masters2 diplômes d’ingénieurDoctorat

Droit, Économie, GestionCapacité en DroitPréparation aux concours A4 DUT5 licences7 licences professionnelles4 mastersDoctorat

les diplômes universitaires

on compte trois fois moins de chômeurs chez les diplômés du supérieur que chez les non-diplômés**

il est également possible d’intégrer l’université après :

u un bac + 2 (ex : classes prépa, BTS...)u un bac + 3 (ex : bachelor, diplôme du secteur social...)u un bac + 4 (ex : certaines écoles de com-merce ou écoles d’ingénieurs...)u un bac + 5 (ex : diplôme d’ingénieur...)

chaque diplôme universitaire permet : u Une poursuite d’études (de droit ou sur dossier) ouu Une insertion professionnelle, dès le Bac + 2 (Deust, DUT).

© Erwan Amice CNRS

© Franck Betermin

La réussite des étudiants et leur insertion professionnelle sont une priorité de notre université. Dans une perspective de carrières professionnelles longues et évolutives, l’enjeu est de doter nos étudiants de compétences et outils favorisant leur réussite tout au long de la vie.

S’inscrire à l’université, c’est se donner le temps de construire son parcours de formation, au fil des semestres, des choix d’options, des discussions avec les équipes pédagogiques et des rencontres avec des intervenants du monde socio-économique. Construire son parcours, c’est également y intégrer des modalités d’études particulières, comme une forma-tion suivie en alternance ou un semestre à l’étranger. C’est aussi élaborer ou affiner un projet professionnel, et le confronter aux réalités du terrain. A cette fin, toutes nos formations intègrent des modules de

Préparation à la Vie Professionnelle. Si les DUT, Licences professionnelles, Masters font depuis longtemps la part belle aux ex-périences et rencontres professionnelles, l’UBO a devancé le cadrage national en proposant au minimum un stage dans toutes les Licences. L’UBO cultive cette ouverture sur le monde socio-éonomique, avec près de 4000 entreprises ou struc-tures professionnelles intervenant dans la formation de nos étudiants.En complément de ces enseignements et stages, Cap’Avenir, le service d’Orien-tation et D’Insertion Professionnelle de l’UBO, accompagne les étudiants lors la construction de leur parcours et les guide dans leurs recherches de stages et de 1er emploi. u www.univ-brest/cap-avenir

« et si je changeais de voie ? »La spécialisation progressive des forma-tions offre une certaine souplesse aux étudiants désireux de modifier leurs choix initiaux de formation, et pour ceux qui souhaitent changer de voie, Cap’Avenir a conçu un dispositif d’accompagnement

renforcé, O2 (Objectif Orientation) qui les aidera à construire un nouveau parcours pour la rentrée suivante.u www.univ-brest.fr/cap-avenir/o2

pour les jeunes diplômés…Le dispositif Du Diplôme à l ‘Emploi, à Cap’Avenir, les accompagne l’année qui suit l’obtention de leur diplôme. Un petit plus qui peut faire toute la différence, comme en témoigne Ludivine Hayano (voir encadré).u www.univ-brest/cap-avenir, rubrique Jeunes diplômés.

que deviennent nos diplômés ?Tous ces dispositifs s’appuient notam-ment sur les enquêtes réalisées par l’Observatoire des Parcours de Forma-tion et de l’Insertion Professionnelle de Cap’ Avenir. Vous souhaitez vous informer sur le devenir des diplômés de l’UBO, vous vous interrogez sur leurs parcours après l’obtention de leur diplôme, ces enquêtes répondent à vos questions : quelles poursuites d’études après une Licence ? Qui recrute les diplômés de

Masters et de Licences Profession-nelles ? Quelles fonctions occupent-ils et quelles sont leurs rémunérations ? Dans quels départements français ou pays étrangers travaillent-ils ? L’ensemble des enquêtes menées par l’Observatoire sont accessibles sur le site de Cap’ Avenir. u www.univ-brest.fr/cap-avenir

Chaque année, ils sont environ 280 étu-diants à bénéficier d’une mobilité d’études. Si le programme européen «Erasmus +» est incontournable et permet à beaucoup de partir aux quatre coins de l’Europe pour un semestre ou une année, la Chine, les Etats-Unis, le Canada ou encore l’Ar-gentine ou le Brésil attirent également les étudiants de l’UBO. Les stages consti-tuent également l’opportunité d’une expé-rience internationale. Près de 600 étu-diants effectuent des stages à l’étranger

et se forment en entreprise dans plus de 80 pays du Monde.

Une mobilité réussie est une mobilité qui s’insère dans le parcours universitaire de l’étudiant et dans son projet profession-nel, sans rupture. Un départ avec l’uni-versité permet de bénéficier d’un cadre juridique sûr et d’un accompagnement dans les établissements d’accueil. Des bourses d’aide à la mobilité, d’un mon-tant variant entre 200 et 400 € par mois, sont disponibles et la majeure partie des étudiants en bénéficient. Les services de l’université apportent l’aide administrative et financière tandis que les enseignants poursuivent l’encadrement des étudiants sur le plan pédagogique.

Ces mobilités, imposées dans certaines formations, sont possibles dans toutes les disciplines de l’UBO, et à différents mo-ments de la scolarité des étudiants. Elles renforcent le parcours universitaire des étudiants, leur autonomie, leur vision du monde et sont un facteur important d’em-ployabilité comme l’a montré une étude récente de la commission européenne.

Mobilité internationale toujours + à l’uBo !

Étudier et Être…Vous êtes étudiant mais pas uniquement ! Selon votre situation, l’université vous propose des aménagements sur-mesure d’emplois du temps, d’examens, un suivi et certaines aides qui vous permettent de réussir vos études sans compromis.

Artiste de haut niveauVous êtes artiste, musicien, danseur, acteur, plasticien (...) à un haut niveau, vous pouvez soumettre votre dossier à notre commission « Art-Études », qui se réunit à la rentrée pour bénéficier du sta-tut « étudiant artiste de haut niveau ». u Contact : [email protected]

u Informations et dossier de candi-dature sur www.univ-brest.fr/deve/menu/scolarite/Regimes_et_Statuts/Artistes_de_haut_niveau

sportif de haut niveauL’université vous propose un enca-drement personnalisé par un binôme constitué d’un référent «Sport de Haut Niveau» qui vous suit quotidiennement dans votre parcours universitaire et d’un référent « SUAPS » qui lui est res-ponsable du sport de haut niveau, dans la discipline qui est la vôtre. Vous êtes ainsi accompagné au plus près dans la réussite de votre double projet, études supérieures et sport de haut niveau. L’UBO propose 5 sections sportives de haut niveau (SSU) : handball fémi-nin, Athlétisme, Basket-ball féminin, Cyclisme, Voile. u Contact : [email protected]

u www.univ-brest.fr/deve/menu/scolarite/Regimes_et_Statuts/Sportifs-tives_de_haut_niveau

en situation de handicap ou avec des problèmes de santéUn espace d’écoute dédié, l’espace « handiversité », fait le point sur vos besoins avec le médecin du centre de

santé des étudiants. Puis un accom-pagnement spécifique et des amé-nagements vous sont proposés pour l’organisation de la scolarité, les aides techniques et pédagogiques, l’accessi-bilité aux lieux de formation et une aide à l’insertion professionnelle.u Contact : 02 98 01 82 99 handiversité@univ-brest.fr

salariéSi vous êtes salarié et que votre acti-vité atteint au minimum 15 heures par semaine ou 60 heures par mois sur 2 mois consécutifs au sein d’un semestre, vous pouvez bénéficier du Régime Spé-cial d’Etudes (RSE) qui vous permet d’aménager vos horaires et les moda-lités d’examens selon votre emploi du temps. Ce statut se demande dans un délai de 4 semaines après la rentrée universitaire auprès de la scolarité de la faculté à laquelle vous appartenez.

u www.univ-brest.fr/deve/menu/scolarite/Regimes_et_Statuts/Regime_special_d_etudes_-_RSE

entrepreneur« PÉPITE », ce nom prometteur cache le nouveau programme d’incitation à la création ou à la reprise d’entreprises au sein de l’enseignement supérieur.

Dans ce cadre, le Statut d’Etudiant-En-trepreneur a été créé à la rentrée 2014 pour les étudiants porteurs d’un projet entrepreneurial, pour les accompagner et les former à l’entrepreneuriat.

Grace à ce statut, l’étudiant-entrepre-neur peut consacrer une période de stage à son projet d’entreprise, d’ins-crire au diplôme d’étudiant-entrepreneur (D2E), profiter d’un lieu de co-working « PÉPITE », être coaché par un profes-sionnel de l’entrepreneuriat et un ensei-gnant-chercheur, être guidé dans la recherche de financements...

u www.univ-brest.fr/menu/formation/Insertion-professionnelle/?contentId=67107

En novembre, j’ai intégré le dispositif du « Diplôme à l’emploi ». En peu de temps, ma recherche d’emploi a abouti à deux entretiens et j’ai été embauchée dans la foulée comme responsable juridique à la Mairie de Gometz le Châtel (91940).

son conseil aux futurs diplômés :

Je retiens qu’il faut être acteur de son avenir et accepter de sortir de sa zone de confort, repousser ses limites. Il faut oser se re-mettre en question : ai-je suivi la bonne for-mation ? Suis-je fait pour travailler dans ce domaine ? Suis-je vraiment prêt(e) à démé-nager ? Suis-je prêt(e) à quitter mes proches pour un travail ? Je n’ai pas été chanceuse, j’ai surtout été bien préparée.

Accompagner les étudiantsDe la construction du parcours de formation à l’insertion professionnelleAnne LagadecVice-Présidente orientation et insertion professionnelle

ludivineDIPLÔMÉE

DU MASTER CARRIÈRES

DU DROIT PUBLIC DE L’UBO

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© Franck Betermin

formation continuese former à tous les âges

Apprendre par l’alternance le contrat « gagnant-gagnant »

L’UBO a décidé de soutenir le développement des compétences professionnelles des femmes et des hommes de son territoire en créant un Service de Formation Continue, il y a 40 ans déjà !

Sollicité dans les processus de réorienta-tion professionnelle ou d’amélioration des compétences, le Service de Formation Continue accueille plus de 7 000 stagiaires par an dans plus de 150 formations spé-cifiques dans tous les domaines de for-mation de l’UBO  : Santé, Droit, Gestion, Agroalimentaire, Tourisme, Gérontologie…

Même sans le bac…Soucieux d’apporter une réponse au plus grand nombre, le Service de Formation Continue propose le Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires, formation qui

s’adresse à toute personne n’ayant pas le baccalauréat mais souhaitant obtenir les mêmes droits qui s’attachent à ce dernier.

obtenir un diplôme grâce à son expérience professionnelleLe dispositif de la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) est très régulière-ment utilisé et place l’université parmi les pionnières de cette démarche au niveau national (4ème université de France en nombre de VAE réalisées).

La VAE permet à toute personne engagée dans la vie active d’obtenir un diplôme de l’université en validant son expérience sans nécessairement suivre une forma-tion. Une VAE est envisageable à partir de 3 années d’expériences professionnelles

en lien direct avec le diplôme choisi.

les certifications pour valoriser ses compétencesAu sein de la Formation Continue, le centre de certifications en langues est au-jourd’hui un des plus importants de France (plus de 2300 personnes en 2014). Ces certifications permettent de valider un niveau de langue, facilitent l’accès à l’em-ploi, et favorisent la mobilité éducative et professionnelle.

Chaque individu, quel que soit son niveau d’apprentissage en langue, trouvera dans notre centre des certifications recon-nues au niveau international en Anglais, Français Langue Etrangère et Espagnol. D’autres certifications notamment en in-formatique (C2i, C2i2e) sont accessibles en formation continue.

Il s’agit de formations qui se déroulent à l’université en alternance avec des périodes de formation assez longues et récurrentes «sur le terrain», en entreprise.

L’alternant apporte ses connaissances à l’entreprise, qui en retour le forme et lui transmet son expérience du métier. Un contrat les unit avec des obligations pour les deux parties, ce qui permet à l’alter-nant de pouvoir bénéficier d’un salaire et d’un cadre juridique.

À l’UBO, on compte aujourd’hui 930 alter-nants, qui ont choisi parmi plus de 50 formations accessibles sous ce format, depuis la formation courte directement après le bac, jusqu’au niveau master et

un diplôme d’ingénieur (DEUST, DUT, Licences Professionnelles, Masters pro-fessionnels et la formation d’ingénieur en partenariat ESIAB/IFRIA dans le domaine agroalimentaire ).

les domaines de formations sont variés

u Industrie - Mécanique - Maintenance - Électricité - Electronique

u Travaux publics - Bâtiment - Environne-ment

u Informatique - Réseaux - Télécommuni-cations - Multimédia

u Biologie - Agro-alimentaire - Logistiqueu Management des organisationsu Commerce - Banque - Gestion - Fi-

nance/Comptabilité

« Je souhaitais changer d’orientation professionnelle. J’ai été sensibilisée aux ressources humaines et cela m’a plu, c’est ce qui a motivé mon positionnement sur le Master 2 Res-sources Humaines. Ce qui m’a plu c’est la qualité des intervenants et la mixité du groupe. Il y avait 50% de personnes en formation initiale et 5O% en formation continue. Ça crée des synergies entre les différents profils, les différents parcours, entre les jeunes et les moins jeunes ! Je serais bien restée un an de plus ! ».

« Mes aspirations professionnelles n’étant plus les mêmes, j’ai choisi de faire ce que je n’avais pas pu faire à 19 ans : être « actrice de ma vie » en reprenant mes études. J’ai découvert un monde complètement nouveau, j’étais « sans filet ». « Grâce à mes études j’ai pu porter un regard nou-veau sur le monde. J’ai trouvé très riche de me retrouver avec tous ces jeunes : je l’ai vécu comme une véri-table chance. Ces études, que je fai-sais pour moi, m’ont apportées un vé-ritable enrichissement personnel. J’ai d’ailleurs appris plus ces dernières années qu’en 31 ans de carrière ! Pourtant ça n’a pas été facile tous les jours ! J’ai du réapprendre à prendre des notes, à m’organiser. J’ai eu la chance de trouver des personnes prêtes à m’aider : j’ai été très bien entourée. Le premier examen fut une véritable épreuve, je m’en rappelle encore, mais les suivants sont diffi-ciles aussi, il faut travailler ! »

choisir l’alternance pour apprendre, comprendre, s’insérer sur le marché de l’emploi

catherineMASTER 2

RESSOURCES HUMAINES

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GisèleMASTER 1 ETHNOLOGIE

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Technicien CAO, DAO La philosophie de l’alternance est de posséder une compétence pédagogique et profes-sionnelle dans le but d’augmenter son bagage en sortie d’études, pour être plus attrayant devant les futurs employeurs. L’alternance permet de se tisser un réseau professionnel. Le point financier n’est pas à négliger puisqu’une rémunération est adressée à chaque alter-nant pendant toute la durée de son contrat. J’occupe actuellement un poste de technicien en automatisme à Lannion en contrat de professionnalisation dans une PME de 30 personnes spécialisée dans la fabrication de lentilles intraoculaires. Je remplis diverses missions au sein de mon poste. Je dois effectuer l’étude complète d’une cellule robotisée pour la réalisation automatique de lentilles intraoculaires.

Aymeric22 ANS

LICENCE PROFESSIONNELLE CONCEPTION DE PRODUITS INDUSTRIELS

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Ingénieure au sein d’un service R&D «L’alternance donne du concret à une formation qui pour-rait sembler trop théorique.»Pour moi l’alternance fût une évidence pour acquérir l’expérience. Je re-partais donc pour 3 années d’études. J’étais alors âgée de 24 ans et je ressentais le besoin de m’assumer financièrement. Donc là aussi, l’alternance était une bonne solution pour moi. L’alternance offre une formation rémunérée au cours de laquelle j’ai obtenu une expérience riche et solide. J’apprends tous les jours et je suis capable de mettre en pratique ce qu’on nous enseigne à l’université.

claire25 ANS

FORMATION D’INGÉNIEUR EN PARTENARIAT PROCÉDÉS INDUSTRIELS

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Order manager «Comment on se com-porte maintenant à l’université, on se comportera demain en entreprise» En considérant la situation actuelle du mar-ché du travail, je pense que les études en alternance sont une plus value par rap-

port à une formation classique. Cela permet de découvrir les compétences et les capacités requises à l’exercice d’une profession.Tout cela me procure, en plus d’un diplôme des avantages concurrentiels sur le marché de l’emploi. A mon sens, l’al-ternance est une façon opportune de renforcer son projet professionnel. En effet, c’est souvent en faisant que l’on se rend compte de notre potentiel. En somme, le principe de la formation en alternance m’offre la possibilité de définir mon propre chemin professionnel «être plus attrayant devant les futurs employeurs».

Yanwen25 ANS

MASTER 2 PROFESSIONNEL COMPTABILITÉ, CONTRÔLE ET AUDIT [

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© Franck Betermin