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LES EMPLOYEURS FAVORIS DES ÉTUDIANTS SUISSES L´ENQUÊTE UNIVERSUM STUDENT 2013 DÉCOUVREZ 12 EMPLOYEURS DU TOP 100 DES ENTREPRISES EN ENTRETIEN EXCLUSIF ENTRETIEN AVEC PETTER NYLANDER ET YVES SCHNEUWLY

Universum TOP 100 - CHFR - 2013

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Le classement des 100 employeurs les plus attractifs en Suisse

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Page 1: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

LES EMPLOYEURS FAVORIS DES ÉTUDIANTS SUISSES

L´ENQUÊTE UNIVERSUM STUDENT 2013

DÉCOUVREZ 12 EMPLOYEURS DU TOP 100 DES ENTREPRISES EN ENTRETIEN EXCLUSIF

ENTRETIEN AVEC PETTER NYLANDER ET YVES SCHNEUWLY

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1UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Editorial

Les classements des meilleurs employeurs réa-lisés par Universum sont-ils vraiment uniques ? Cette année, nous nous sommes posé une fois de plus la question de manière critique – car il existe de plus en plus de classements. Person-nellement, c’est pour moi aussi une question de grande importance : depuis le début de l’année, je suis responsable du marché suisse et je dois me poser la question de ce que nous offrons aux employeurs et aux futurs employés.

Oui, nos classements sont uniques : l’Enquête Universum Student constitue, avec ses 10'094 participants, la plus vaste du genre en Suisse – et avec ses 460'000 participants autour du globe, la plus vaste du monde. Notre enquête a dans le viseur les besoins des étudiants interrogés et représente bien plus qu’une simple évaluation des plus grands employeurs. Nous interrogeons de manière systématique les étudiants sur leurs désirs concrets et évaluons ensuite leurs employeurs préférés à cette aune. Quant aux employeurs, ils tirent leurs conclusi-ons de nos résultats et orientent leur offre selon les désirs de leur groupe cible.

Même si nos chercheurs et analystes font un excellent travail : ceci n’a sans nul doute été uniquement grâce aux participants, qui ont pris chacun 20 minutes de leur temps, grâce au soutien hors pair des employeurs ainsi que des hautes écoles pour l’extraction des données. Que vous ayez participé à l’enquête

ou que l’ayez soutenue, je vous remercie pour votre exceptionnel engagement, qui a permis à Universum de rapprocher les deux univers parallèles des employeurs et de leurs futurs employés.

Il ne me reste qu’à vous souhaiter, en mon nom et en celui de mon équipe, une lecture passionnante et plein de nouvelles découvertes, que vous croyiez connaître ou qui n’étaient pas encore entrées sur votre écran radar. Nous nous réjouissons de vos commentaires afin de pou-voir continuer à jouer notre rôle d’ambassadeur.

Cordialement vôtre

Yves SchneuwlyCountry Manager Switzerland

Je me réjouis de vos commentaires :[email protected]

CHÈRES LECTRICES, CHERS LECTEURS

universumglobal.com 2Petter Nylander, CEO d’Universum, en discus-sion avec Yves Schneuwly, Country Manager Switzerland

ALDI Suisse 12

UBS 13

Credit Suisse 14

Ernst & Young 15

PwC 16

Administration Fédérale 17

La Mobilière 18

TCS 19

CFF 21

RUAG 22

Bühler 23

Georg Fischer 24

Les classements Universum TOP 100 4

Très attendue : L’Enquête Universum Student. Qui sont les employeurs préférés des étudiants en 2013 ?

Sommaire

www.universumglobal.com

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2 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Petter Nylander, CEO d’Universum, et Yves Schneuwly, Country Manager Switzerland, livrent leurs réflexions concernant le classement Universum TOP 100.

Qu’est-ce qui vous fascine dans votre travail chez Universum ?Petter Nylander : À l’origine de la création de notre société, voilà plus de 25 ans, il y avait une idée : les étudiants et les jeunes professionnels d’une part, et les entreprises d’autre part, vivent dans des univers parallè-les. Universum favorise une meilleure compréhension mutuelle entre ces deux mondes. Nous sommes une source d’information et d’inspiration – afin d’aider les futurs employés à planifier leur carrière, et les entreprises à mieux comprendre les attentes et les désirs de leurs groupes cibles. En collaboration avec 2'000 hautes écoles leaders du monde entier, Universum réalise la plus grande enquête internationale parmi les étudiants et les jeunes professionnels.

Yves Schneuwly : Ce qui continue à me fasciner dans mon travail, c’est que grâce à cet effort pour sensibiliser les deux mondes, nous construi-sons un pont entre les jeunes talents et les entreprises les plus attrayan-tes de Suisse. Je voulais contribuer à cet objectif et après la fin de mes études, il y a trois ans, j’ai entamé un stage chez Universum. Depuis mon avancement, dans mon rôle actuel de responsable pour le marché suisse, je peux faire bouger beaucoup de choses. Et mon travail est d’autant plus extraordinaire que les exigences des employeurs et des jeunes ta-lents sont très élevées.

Les résultats de l’enquête Universum Student 2013 viennent de sor-tir – quels sont les résultats clés du nouveau classement Universum TOP 100 ?P. N. : Etant donné que nous réalisons cette étude dans ne nombreux pays du monde entier, nous acquerrons une perspective « glocale », ce qui est vraiment passionnant : chaque année, nous observons, dans les différents pays, des changements con-cernant les préférences des emplo-yeurs, et dans les résultats de l’étude, nous pouvons tirer des tendances mondiales. Cette année, ce qui m’a personnellement frappé, c’est que de nombreuses entreprises numériques tout autour de la planète – qui avaient commencé toutes petites il y a quel-ques années – sont devenues des em-ployeurs considérés comme très attrayants. Elles constituent une forte concurrence pour les entreprises plus traditionnelles.

Y. S. : En revanche, en Suisse, les entreprises traditionnelles, dans des branches comme la banque, le conseil et l’audit, restent très appréciées. Ceci est dû au fait qu’elles s’adaptent aux changements de compor-tement des consommateurs et se tournent vers le numérique dans de nombreux secteurs. Selon moi, un résultat clé de l’Enquête Universum Swiss Student 2013 est que les banques internationales ont chuté dans le classement. Les banques suisses, quant à elles sont demeurées relati-vement stables – même si à y regarder de plus près, elles ont clairement perdu de leur éclat. Je trouve également captivant le fait que les sociétés d’audit aient grimpé dans les bonnes grâces des étudiants – avec Ernst & Young qui se trouve désormais dans le Top 5 et Deloitte qui est classé parmi les employeurs qui ont connu la meilleure progression, nous ob-servons un évident essor de cette branche. Du côté des ingénieurs, les CFF poursuivent sur la voie du succès. Ce qui m’a aussi étonné cette

année, c’est le grand intérêt porté à notre enquête par les étudiants en droit, ce qui nous a amené à publier pour la première fois un classement de leurs employeurs préférés (voir p. 9). Les résultats ont créé la sur-prise : les futurs juristes apprécient apparemment aussi les employeurs d’autres branches – ce qui laisse augurer pour les cabinets d’avocats suisses un combat acharné pour attirer les meilleurs cerveaux.

Universum a également demandé aux étudiants quels étaient leurs objectifs et leurs préférences. Qu’est-ce qui en ressort en particulier ?Y. S.  : En ce qui concerne les résultats suisses, nous voyons que le souhait d’un bon équilibre vie privée et vie professionnelle reste fort

et n’a pas été influencé par les événe-ments qui ont touché l’économie. Les entreprises doivent comprendre ce que la génération Y entend par là si elles veulent en recruter. Aujourd’hui, pas un employeur ne peut faire l’impasse là-dessus.

P. N. : En ce qui concerne les objectifs et les préférences, nous devons consi-

dérer deux dimensions : la perspective à long terme et le climat sur le marché du travail. L’équilibre vie privée, vie professionnelle est un exem-ple que l’on observe dans de nombreux marchés. D’autre part, il existe de nombreuses tendances à court terme qui dépendent de la situation actuelle de l’économie et de la politique dans le pays.

Y. S. : Cette année en Suisse par exemple, il a été intéressant de cons-tater que le désir de la sécurité de l’emploi augmente pour la quatrième année consécutive chez les étudiants. Plus l’économie est incertaine, plus on mettra l’accent sur ce facteur, semble-t-il – un désir que l’on voit en particulier chez les futurs ingénieurs. Ce que je trouve remarquable en relation avec le classement des employeurs, c’est que moins de 30 % des étudiants associent jobs dans les banques avec sécurité de l’emploi.

P. N. : Nous avons également eu une nouvelle question cette année, que je trouve personnellement très intéressante : nous avons demandé à des étudiants s’ils envisageaient de se mettre à leur compte ou d’entrer dans

universumglobal.com

Petter Nylander | CEO Universum

« Pour les jeunes diplômés, la recher-che d’un premier emploi est un proces-sus très émotionnel qui pose la questi-

on de leur propre identité. »

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une start-up. Nous avons été étonnés de constater que de nombreux étudiants sont intéressés par cette alternative. Evidemment, il y a de grandes différences selon les pays, mais c’est une nouvelle tendance que nous observons.

Y. S. : En Suisse, en revanche, seuls 5 à 10 % des étudiants envisagent de créer leur propre entreprise ou de rentrer dans une start-up. Ce qui est surprenant, car la Suisse est une place forte pour les start-up. J’ai éga-lement trouvé passionnante la question portant sur la taille du premier employeur. Les résultats ont montré que la Suisse est véritablement un pays de PME : 58 % souhaitent commencer dans une entreprise de 500 collaborateurs au maximum.

Le magazine Universum TOP 100 est une publication mondiale. Que peuvent en attendre les lecteurs ?P. N. : Pour les jeunes diplômés, la recherche d’un premier emploi est un processus très émotionnel qui pose la question de leur propre iden-tité : qui suis-je et quel est mon objectif ? Par conséquent, le choix de l’employeur est étroitement lié à leurs aspirations  : est-ce que je veux faire partie de cette culture d’entreprise, de cette équipe ? Ce que nous savons, c’est que les étudiants et les jeunes professionnels apprécient de lire des histoires authentiques, venant de véritables collaborateurs, et qui livrent un aperçu de la culture et du travail au quotidien dans l’entreprise. Les retours de nombreux marchés indiquent que nos lecteurs, apprécient vraiment ce format développé avec des étudiants et de jeunes professionnels.

Y. S. : En Suisse, notre concept a eu tellement de succès que nous avons de nombreux imitateurs. Mais ce qui rend notre magazine si unique, c’est que nous en dérivons les sujets de notre recherche et de notre dialogue avec nos lecteurs. Nous menons des interviews et posons des questions centrales de telle manière que le lecteur peut se faire une vraie image de leur employeur idéal. Notre magazine ne doit évidemment pas rester leur seule source d’information dans ce processus déterminant, mais il est sans aucun doute une source essentielle, réalisée par une équipe à qui les besoins des jeunes talents tiennent vraiment à cœur. X

Yves Schneuwly | Country Manager Switzerland Universum

classements

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4 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Le recrutement de diplômés en pleine mutationDepuis qu’en 1997, le cabinet de

conseil McKinsey a utilisé pour la première fois l’expression « guerre des talents », cette métaphore reste vissée dans les cerveaux des responsables de ressources humaines et des dirigeants d’entreprise. A raison ? La répon-se est : oui et non. Oui, car compte tenu de l’évolution démographique, le problème est le suivant: malgré une académisation croissan-te de la Suisse – d’ici à 2020, 1,5 millions de Suisses posséderont un diplôme universitaire ou de haute école – les entreprises ne par-viennent plus à couvrir leurs besoins en per-sonnel hautement qualifié. Aujourd’hui déjà, la pénurie d’ingénieurs ou d’informaticiens ne peut plus être compensée. Cette pénurie de main d’œuvre spécialisée sera à son comble en 2025, lorsque les derniers babyboomers parti-ront à la retraite, et qu’aucun talent ne viendra prendre leur place. Non, car sur le marché du travail, les opportunités offertes aux diplômés ne sont pas égales et les employeurs – évolution démographique ou pas - sont très exigeants. Il peut arriver que la réalité rattrape les acteurs au plus tard au moment de la candidature : les possibilités des uns se heurtent aux attentes des autres. Il est donc d’autant plus important de savoir quel employeur offre quelles oppor-tunités et d’utiliser ce tremplin avant de se mettre à la recherche de l’employeur de rêve, qui recèle dans son ADN ses propres besoins en matière de compétences.

« All Stars » du Classement des employeurs 2013Un coup d’œil sur l’ensemble du classement Universum TOP 100 dévoile qu’il existe des employeurs qui occupent les 50 premières places pour toutes les filières : l’Administration

fédérale, McKinsey, Nestlé, Novartis, Roche, SBB, Swiss et UBS.

Auprès des étudiants HEC, «The Winner Takes It All»Symboliquement, cette chanson du grou-pe ABBA, dans laquelle un homme quitte une femme pour une autre, vaut également pour les étudiants et les employeurs : ainsi, pendant des années, les grandes banques ont été les préférées des étudiants. Cela a chan-gé. Dans les classements 2013, les cabinets de « conseil stratégique et en management » passent clairement devant le secteur bancaire. Ce qui peut apparaître comme une «  mini crise d’identité  ». On peut se permettre une comparaison  : imaginons qu’en Allemagne, la branche préférée des diplômés ne soit plus l’industrie automobile – impensable ! Les gagnants sont Nestlé et Google – cette an-née encore, ils n’ont rien à craindre et peuvent sans peine défendre leur position en tête du peloton. En revanche, UBS et Credit Suisse ont subi une rocade. Certes, UBS peut se réjouir d’être à nouveau dans le TOP 3 des étudiants HEC. Mais les deux poids lourds de la banque devraient s’inquiéter de leur perte de popularité mesurée en points de pourcen-tage relativement à l’année dernière. Il s’agit de reprendre de la vigueur face aux étudiants.

Parmi les gagnants de la branche des services aux entreprises, c’est Ernst & Young qui a fait le plus grand bond en avant passant du rang 10 au rang 5. PwC tire également profit de la popularité de la branche en atteignant une excellente 7e place. Les « highest climbers » 2013 auprès des étudiants HEC sont : VZ Vermögenszentrum, suivi par Deloitte, Baloise et ALDI SUISSE. Ce dernier est également bien placé dans la branche du commerce de détail avec une position au sommet.

Surprise chez les futurs ingénieursLes étudiants des secteurs commerciaux et techniques ne sont pas seulement différents en ce qui concerne leurs domaines d’activité respectifs, mais ils parlent un autre langage en matière de critères de choix et d’attentes. Ainsi, bien plus que les étudiants HEC, les futurs ingénieurs recherchent, à côté d’un en-vironnement innovant, la sécurité de l’emploi. Les vainqueurs sont ABB et Siemens. Les CFF remportent le 3e rang. Alstom compte égale-ment parmi les gagnants avec une 5e place, du moins si l’on se base sur le pourcentage de votes favorables, et le CERN se trouve donc au 6e rang. La branche de l’énergie est la pré-férée des étudiants en ingénierie. C’est Axpo et Alpiq qui en ont le plus clairement profité. Cette année, les « highest climbers » sont

Le classement Universum TOP 100

Les résultats sont issus des réponses de 10'094 étudiants, pricipalement des filières commerce, ingénieur, IT,

sciences naturelles et droit. Entre décembre 2012 et mars 2013, ces étudiants ont effectué au total 28'396 évaluations individuelles d’entreprises. Les résultats de cette enquête

indépendante sont la base du classement des employeurs.

« Top of Mind »-Associations d’étudiants en commerce F

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L'Oréal -3

Banque nationale suisse 3

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Procter & Gamble -3

SWISS -5

The Boston Consulting Group 2

Novartis 6

Administration fédérale p. 17 2

Coca-Cola Schweiz -3

Richemont 12

SBB CFF FFS p. 21 7

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Goldman Sachs -10

Microsoft 12

Lindt & Sprüngli 1

ABB 11

CICR -2

Suisse tourisme -11

Deloitte 23

Migros 5

J.P. Morgan -7

Unilever -1

Four Seasons -3

Bank Julius Bär -13

Swisscom -6

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Raiffeisen 7

Deutsche Bank – 0

PostFinance 10

Kuoni 5

Roche 7

Philip Morris International – 0

HSBC Private Bank -16

IKEA -5

Glencore -12

Pictet & CIE -3

Johnson & Johnson -1

Heineken 2

Swiss Re 2

Swarovski new

Siemens 7

Zürcher Kantonalbank -5

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Bain & Company 2

La Poste – 0

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Chopard new

Lombard Odier Darier Hentsch & Cie. 6

H&M 1

Inter Continental Hotel Group new

Morgan Stanley -19

Roland Berger -1

Mandarin Oriental Hotel Group new

Hyatt -10

AXA Winterthur 4

Coop 8

Victorinox -2

Accenture -1

IATA new

Manor -2

SRG SSR -8

Bally -14

Emmi -7

Zurich Insurance Group -4

La Mobilière p. 18 -3

Feldschlösschen Getränke -1

VZ Vermögenszentrum 26

British American Tobacco -1

HP -6

Hilti -9

Bank of America Merrill Lynch -40

Kühne + Nagel – 0

Allianz -5

BNP Paribas new

Bayer 1

Booz & Company -5

Banque Cantonale Vaudoise 5

Schindler -12

Bosch Gruppe Schweiz -2

Citi -11

Holcim -11

Accor 1

Swiss Life -9

Caterpillar 1

Syngenta -10

BDO -6

Baloise Group 14

Helbling Management Consulting -9

ALSTOM -3

Cisco Systems new

Mondelez International -44

BASF -3

ALDI SUISSE p. 12 12

Depuis 2012 Depuis 2012

Andrea Schneebeli et Christian Leupoldt, responsables régionaux : « Je ne peux pas m’imaginer un autre emploi qui offre plus de variété. » P. 12

ALDI SUISSE

La Mobilière

Aurea Fernandes, actuaire responsable de la prévoyance privée : « Ma carrière ici s’est effectivement déroulée comme je me la suis imaginée. » P. 18

Administration fédérale

Emi Georgieva, directrice Marketing, RH et Concours : « Un engagement au plus haut niveau pour la Suisse. » P. 17

TCS

Martial Pidoux, Directeur des Ressources Humaines : « Chez nous, vous pouvez faire bouger les choses  ! » P. 19

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« Celui qui attire de jeunes talents avec de l’argent, les perdra aussitôt à cause de cela. Une bonne image,

un aménagement concret de l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle sur le lieu de

travail ainsi que la promesse d’un vrai défi intellectuel prennent tou-

jours plus d’importance. » Nelly Riggenbach Hasler, spécialiste

de l'employer branding

Losinger et Georg Fischer. Les deux entre-prises ont gagné 20 places. Les nouveaux ar-rivants Zühlke Engineering et Meyer Burger ont marqué des points auprès des étudiants grâce à leur offre attrayante et ont attiré une plus vaste communauté d’intéressés.

La branche des télécommunications: un ai-mant pour les futurs informaticiens L’image de la branche des télécoms auprès des informaticiens est intacte : Swisscom a recueilli plus de 2  % de voix supplémentaires et ren-force ainsi son 4e rang. L’employeur favori reste Google avec presque deux tiers des votes. Cette année, avec son 2e rang, IBM défie Microsoft. Seules quelques voix séparent les deux entre-

prises. Le nouvel arrivant Zühlke Engineering a créé l’étonnement avec son 27e rang. Sur le tableau d’honneur des « highest clim-bers » 2013 figurent Migros, Hilti et La Poste.

Les vieux et les nouveaux fa-voris des étudiants en sciences naturellesLes gagnants dans le domaine des sciences naturelles sont ha-bitués depuis de nombreuses an-nées à l’air des sommets et ne va-rient que de quelques points de pourcentage. Novartis: 1er rang, Roche: 2e rang et le CERN, qui a retrouvé son charme d’antan,

3e rang. Quant à Nestlé, il a été renvoyé à un impensable 4e rang. Le « highest climber » 2013 de la catégorie : UBS. A marche forcée, le géant bancaire est passé du 21e au 8e rang. La SSR et ABB ont retrouvé les faveurs des interrogés et ont pu clairement redorer leur position dans le classement.

Les juristes ne recherche plus forcément un cabinet d’avocatsPlus de 700 étudiants en droit ont exprimé leur opinion sur les employeurs à l’occasion de l’Enquête Universum Student 2013 – une raison suffisante pour publier pour la première fois les noms de leurs favoris dans le magazine Universum TOP 100. Ce qu’apprécie l’un des gagnants du classement des employeurs : « Je trouve très positif que ce classement prenne en considération un secteur d’activité qui joue un si grand rôle aujourd’hui dans l’économie, mais également dans la société », dit Daniel Schafer du vainqueur de la branche, Lenz & Staehelin. Mais, les favoris des futurs juristes créent la surprise : seuls 10 cabinets d’avocats sont classés parmi les 50 meilleurs, les autres rangs étant occupés par des entreprises actives dans d’autres secteurs. Un signe que toutes les branches économiques ont aujourd’hui besoin de juristes – et qu’elles en sont conscientes.

Objectifs de carrière et préférences des étudiants: «  Take the Money and Run  »? – L’argent ne fait pas toutCette années, les préférences et objectifs expri-més le montrent clairement : 60 % des 10'094 participants mettent leur désir d’un bon équi-libre entre vie privée et vie professionnelle au sommet de leurs priorités, et ce critère, avec celui d’une bonne image de l’entreprise, est décisif pour le choix de son futur employeur. L’employeur qui réussi à satisfaire à long terme ces exigences, prendra le pas sur ses concurrents en matière de recrutement de talents. La grande surprise de l’année 2013 est le désir exprimé par les étudiants de trouver une sécurité de l’emploi, un critère qui gagne en importance depuis quatre années consécutives, ainsi que le besoin de servir l’intérêt général – ce qui a renvoyé le souhait de faire une carrière inter-nationale au 4e rang des priorités.

« Top of Mind »-Associations d’étudiants en ingénierie

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IBM – 0

Bombardier Transportation 2

RUAG p. 22 -1

Nestlé -1

Pilatus Aircraft – 0

Swatch Group 9

Alpiq 3

Logitech -2

Stadler Rail -1

Axpo 6

McKinsey & Company 9

Hilti 2

Bosch Gruppe Schweiz -2

SWISS -7

Administration fédérale p. 17 2

Roche 5

Microsoft 2

The Boston Consulting Group 6

Novartis -10

CICR 3

Johnson & Johnson 9

Caterpillar 9

Implenia -5

Holcim 5

Schindler – 0

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BASF 13

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Sulzer -2

Swisscom -18

BKW -3

Sensirion 6

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Losinger 17

Zühlke Engineering new

Medtronic new

Leica Geosystems 7

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Cisco Systems – 0

OC Oerlikon -7

Romande Energie -6

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La Poste 13

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Tetra Pak -1

ThyssenKrupp Presta – 0

Coca-Cola Schweiz -12

Geberit 1

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Syngenta 2

BOBST new

Unilever 13

Helbling Management Consulting 34

Georg Fischer p. 24 20

Rheinmetall Air Defence -26

Roland Berger 2

Cambridge Technology Partners 2

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Philip Morris International -14

Schneider Electric -6

Swiss Re -20

Sonova -48

Coop -12

Deloitte 24

Bystronic Laser 8

Synthes -42

Merck Serono -33

Accenture -12

Ascom -7

Dell -33

Endress+Hauser Flowtec new

PwC p. 16 -19

Lonza Group -9

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PostFinance 1

Raiffeisen -6

Open Systems -14

Booz & Company -17

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Depuis 2012 Depuis 2012

Samuel Schär, Head of Advanced Materials, et Christof Oswald, Head of Corporate HR : « Nous favorisons les souhaits de chacun. » P. 23

Bühler

RUAG

Dr. Christian Ferber, Chief Human Re-source Officer : « Chez nous, les employés trouvent inspiration, conseil et soutien. » P. 22

CFF

Markus Jordi, directeur RH : «  Nous transformons les CFF en employeur de première classe.  » P. 21

Georg Fischer

Yves Serra, président de la direction du groupe : « L’esprit d’équipe caractérise notre culture d’entreprise. » P. 24

Page 10: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

8 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Les préférences des étudiants au ni-

veau internationalNatural Sciences

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Novartis – 0

Roche – 0

CERN 1

Nestlé -1

Google – 0

Administration fédérale p. 17 – 0

Bayer 3

UBS p. 13 13

IBM – 0

Syngenta -3

BASF 2

Migros 3

Credit Suisse p. 14 3

Johnson & Johnson -3

CICR -7

Swiss Re 2

SBB CFF FFS p. 21 3

ABB 7

Merck Serono -7

Pfizer -3

Lindt & Sprüngli -2

Logitech 4

The Boston Consulting Group 9

McKinsey & Company – 0

Emmi 2

Actelion 4

Coop -13

SRG SSR 24

Lonza Group – 0

Siemens 5

Coca-Cola Schweiz -8

Microsoft -10

Unilever 3

Sensirion 12

AXA Winterthur 38

Clariant 12

Ernst & Young p. 15 24

ALSTOM 17

Vifor Pharma/OM Pharma new

Leica Geosystems 17

Givaudan -7

Bain & Company 26

Swatch Group 10

Raiffeisen 44

Holcim 32

SWISS -6

Alpiq -16

Zurich Insurance Group 24

Accenture 25

Axpo -6

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98.

IKEA -2

Allianz 13

Cambridge Technology Partners -10

Romande Energie -7

Synthes -13

Tetra Pak -23

Medtronic new

Sonova 11

Bühler p. 23 41

Oracle 27

BKW 19

Dell 28

Firmenich -24

Deloitte 28

PwC p. 16 2

DSM -3

OC Oerlikon -29

La Poste -4

Cisco Systems -10

Philip Morris International -19

Procter & Gamble – 0

Baloise Group 9

DuPont -32

RUAG p. 22 -18

Stadler Rail -9

UCB Farchim -16

Swiss Life -27

Swisscom 6

KPMG -4

Gruner new

Hilti 8

Zühlke Engineering new

Ericsson -13

Wärtsilä 1

Helvetia Versicherungen 13

Pilatus Aircraft -24

Schindler -2

HP -51

PostFinance -44

Man 7

SAP 12

IATA new

Implenia -2

Bombardier Transportation -40

Caterpillar 1

Geberit 7

British American Tobacco -18

ThyssenKrupp Presta new

Ascom new

Open Systems new

Les attentes à l’égard de l’employeur idéal varient clairement d’un pays à l’autre. Ci-après, nous comparons les employeurs pré-férés des étudiants HEC.

Un salaire de base compétitifUn environnement de

travail cordialLa sécurité de

l'emploi

De bonnes références pour ma future carrière

De bonnes références professionnelles pour

ma future carrière

Des perspectives de futurs revenus élevés

Des perspectives de futurs revenus élevés

Un environnement créatif et dynamique

Développement et formation prof.

Le respect des employésLa sécurité de

l'emploiDes leaders pour me

développer

Développement et formation prof.Des perspectives de

futurs revenus élevésUn salaire de base

compétitif

Développement et formation prof.De bonnes références

pour ma future carrièreUne vision claire du

parcours professionnel

Un environnement de travail cordialDes perspectives de

futurs revenus élevésLe respect des

employés

Depuis 2012 Depuis 2012

Page 11: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

9UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

IT

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Google – 0

IBM 1

Microsoft -1

Swisscom – 0

CERN – 0

Oracle 4

Cisco Systems 4

SBB CFF FFS p. 21 10

Logitech -3

UBS p. 13 -1

Credit Suisse p. 14 -3

HP -5

SAP 1

Administration fédérale p. 17 -1

Nestlé -3

Dell 3

Swatch Group 13

PostFinance -3

Migros 26

La Poste 18

SWISS -5

Accenture -2

Open Systems 3

ABB – 0

McKinsey & Company -4

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Ernst & Young p. 15 1

Zühlke Engineering new

CICR 12

Novartis – 0

Hilti 39

PwC p. 16 -6

Lindt & Sprüngli 18

Deloitte 23

Siemens -17

ELCA Informatik 1

RUAG p. 22 -5

Roche -15

SRG SSR -1

AdNovum new

Raiffeisen -7

Philip Morris International – 0

Baloise Group 10

Swiss Re 16

IKEA -9

Kudelski Group 4

UPC Cablecom new

Procter & Gamble -3

Bombardier Transportation 29

Ericsson -21

Zurich Insurance Group 38

Depuis 2012 Depuis 2012

Law

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Administration Fédérale p. 17

CICR

Nestlé

Lenz & Staehelin

UBS p. 13

Banque nationale suisse

Ernst & Young p. 15

Credit Suisse p. 14

Homburger

Baker & McKenzie

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20.

PwC p. 16

Swisslegal

Novartis

Pestalozzi Rechtsanwälte

SWISS

Bär & Karrer

Wenger Plattner

Raiffeisen

Schellenberg Wittmer

L'Oréal

Pour la première fois, le classement des étudiants en droit !

IT Mentions légales

PublisherUniversum Communications Switzerland AGMülhauserstrasse 504056 Basel

Tel. 061 385 55 00, Fax 061 385 55 99www.universumglobal.com

CEO Petter Nylander

Head of ProductionSanna Burman

Editor | Project ManagerJörg Sackmann [email protected] [email protected]

Art Direction & LayoutIsabelle Schneider [email protected] Persson

PhotographySimone Schuldis – www.neonair.deLinda Pollari – [email protected] Evard – www.olivier-evard.chChristian Gustavsson

Sales Nelly Riggenbach [email protected] [email protected] de [email protected]

Téléchargez maintenant l’App « Universum TOP 100 », l’instrument parfait pour les étudiants ambitieux et les jeunes professionnels qui recher-chent leur employeur idéal !

Page 12: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

10 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Classements Annexes

1.

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Swarovski

Chopard

InterContinental Hotels Group

Mandarin Oriental Hotel Group

IATA (International Air Transport Association)

TOP 5 Nouveaux arrivants – BUSINESS

1.

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Zühlke Engineering

Medtronic

Emch+Berger

Meyer Burger

SR Technics

TOP 5 Nouveaux arrivants – ENGINEERING

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Administration fédérale p. 17

La Poste

PostFinance

La Mobilière p. 19

Schweizerische Nationalbank

Migros

SBB CFF FFS p. 23

Bayer

Swiss Re

Zürcher Kantonalbank

La sécurité de l'emploi – BUSINESS

1.

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Google

Hilti

Logitech

CERN

Medtronic

Leica Geosystems

Roche

RUAG p. 22

Swatch Group

ABB

Innovation – ENGINEERING

1.

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10.

Administration fédérale p. 17

Bühler p. 23

Swisscom

SBB CFF FFS p. 21

Leica Geosystems

Sulzer

Losinger

Romandie Energie

Hilti

RUAG p. 25

La sécurité de l'emploi – ENGINEERING

1.

2.

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9.

10.

Google

Logitech

Schindler

Microsoft

Roche

Siemens

Bayer

HP

Swatch Group

IKEA

Innovation – BUSINESS

1.

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10.

Google

AXA Winterthur

Administration fédérale p. 17

Microsoft

Swisscom

La Poste

La Mobilière p. 18

IBM

Accenture

HP

La flexibilité des conditions de travail – BUSINESS

1.

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9.

10.

Google

Swisscom

Losinger

IKEA

Imlenia

IKRK

Holcim

Romande Energie

Administration fédérale p. 17

Axpo

La flexibilité des conditions de travail – ENGINEERING

1.

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3.

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7.

8.

9.

10.

Google

Administration fédérale p. 17

La Mobilière p. 18

Kuoni

La Poste

Swiss Tourism

AXA Winterthur

Zürcher Kantonalbank

IKEA

Migros

La possibilité d'intégrer mes centres d'intérêts personnels à mon emploi du temps – BUSINESS

1.

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3.

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7.

8.

9.

10.

Google

Leica Geosystems

Hilti

Administration fédérale p. 17

IKRK

Romande Energie

Logitech

RUAG p. 22

SBB CFF FFS p. 21

Swisscom

La possibilité d'intégrer mes centres d'intérêts personnels à mon emploi du temps – ENGINEERING

1.

2.

3.

4.

5.

VZ Vermögenszentrum

Deloitte

Baloise Group

ALDI SUISSE p. 12

Microsoft

Highest climbers – BUSINESS

1.

2.

3.

4.

5.

Helbling Management Consulting

Deloitte

Georg Fischer p. 24

Losinger

Ernst & Young p. 15

Highest climbers – ENGINEERING

Ces classements sont basés sur un mo-dèle scientifique comportant quarante facteurs d’attractivité des employeurs, développé par Universum. Les qua-rante facteurs sont classés dans quatre catégories : l’image et la réputation de l’employeur, les caractéristiques de l’emploi/du poste, les employés et la cullture d’entreprise ainsi que la rémunération et les opportunités de carrière.

Page 13: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

business

11UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

business

Page 14: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

business

12 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Les responsables régionaux des ventes Andrea Schneebeli et Christian Leupoldt parlent de leur employeur.

Qu’est-ce qui vous a conduit vers la branche du commerce de détail – et plus spécialement chez ALDI SUISSE ?Christian Leupoldt : Grâce à une entreprise de production familiale et plusieurs stages commer-ciaux, mon intérêt pour cette branche dynamique s’est cristallisé très tôt. En outre, je cherchais à prendre des responsabilités dès la fin de mes étu-des. Dans ce contexte, ALDI SUISSE est très vite devenu mon premier choix. Finalement, c’est mon entretien de recrutement qui m’a convaincu, lorsque le directeur a consacré une matinée en-tière à me rencontrer personnellement malgré un agenda très chargé.Andrea Schneebeli  : Pour moi, l’attrait se si-tuait dans la possibilité de prendre rapidement la direction d’une équipe. En visitant la foire de l’emploi de Zurich, j’ai eu l’opportunité de me faire ma propre image d’ALDI SUISSE et de ses profils de postes. J’ai pu ensuite compléter cette image en parlant directement avec des responsa-bles régionaux des ventes. J’ai beaucoup apprécié que ces collaborateurs aient pu évoquer réellement

leur pratique, et pas seulement les côtés positifs du métier.

Quelles attentes aviez-vous lors de votre enga-gement – et à quoi ressemble le parcours pour devenir responsable régional des ventes ?C. L. : J’avais bien pensé que ce ne serait pas simple

– et en effet, cela n’a pas toujours été simple (rires). Car, en particulier la période « filiales », c’est-à-dire la familiarisation avec le temps de filiale était plus compliquée qu’elle n’en avait l’air. Mais mes efforts ont payé. Je ne peux pas m’imaginer un autre emploi qui offre plus de flexibilité, un salaire plus attrayant ou plus de variété. Il y a deux ans, j’ai commencé en Suisse romande et suivi la formation pratique, entre autres en Autriche. Pendant une année, j’ai appris à connaître chaque tâche, de la disposition des marchandises sur les étalages, à l’activité de caisse, jusqu’à la direction du personnel. Depuis,

je suis devenu responsable d’un secteur avec quatre filiales et plus de 40 collaborateurs.

Dans les classements, ALDI SUISSE caracole en tête de sa branche d’activité. C’est mérité ?A. S. : Oui. Où sinon un jeune diplômé aurait-il la possibilité de connaître une entreprise de sa base à son sommet et de pouvoir faire partie du manage-ment aussi rapidement ? Certes, en Suisse, ALDI est encore un jeune employeur, mais je suis con-vaincu que cette combinaison unique augmentera encore sa notoriété.

À quels profils recommanderiez-vous de s’engager chez ALDI SUISSE ?C. L. : A une personnalité dynamique, qui aime prendre des responsabilités, travaille de manière autonome et ne perd jamais de vue l’essentiel, même dans les périodes de stress. Selon moi, il est important d’apprécier le contact avec diffé-rentes personnes et caractères.A. S. : Je pense que des personnalités très diffé-rentes peuvent s’intégrer chez ALDI SUISSE. Plus importante que les traits de caractères, c’est la volonté de travailler en fonction d’un objectif. Mais, c’est clair, on doit aimer communiquer et être persévérant (rires).

ALDI SUISSE

Andrea Schneebeli & Chrisian Leupoldtd. g. à d. Titre : responsable régionale des ventes Formation : bachelor en gestion d’entreprise, ZHAW Winterthur | Titre : responsable régional des ventes Formation : bachelor en gestion d’entreprise, Université de Fribourg

www.aldi-suisse.ch

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : plus de 2'000 en Suisse, plus de 80'000 dans le monde Recrutement : environ 30 respon-sables régionaux des ventes par année dans toute la SuisseParcours dans l’entreprise : recrute-ment en tant que responsables régionaux des ventes, études en Master, stage en management.Contact pour votre candidature : [email protected] qui nous distingue : La prise rapide de responsabilités en tant que responsable régional des ventes. Après un programme intensif de formation de tout juste un an, vous assumez la direction d’un secteur de vente comptant 4 à 5 filiales et jusqu’à 70 employés. Dans le cadre de votre formation, vous bénéfi-cierez d’un aperçu complet de la structure de notre entreprise et apprendrez à connaître le monde du discount depuis sa base.

Commencez votre carrière en management chez ALDI

SUISSE, la nouvelle marque suisse du commerce de détail.

« Je ne peux pas m’imaginer un autre job qui soit plus varié. »

Photo : Simone Schuldis

Page 15: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

business

13UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Martin Möhrle, Global Head of Talent, donne des conseils pour une recherche d’emploi réus-sie et explique ce qu’UBS réalise en tant qu’em-ployeur et « banque formatrice ».

UBS figure parmi les trois employeurs les plus populaires auprès des étudiants et des diplômés de Suisse. Qu’est-ce qui rend UBS si attrayante ?Nos employés sont issus de 145 pays différents. Ils travaillent avec des collègues de cultures dif-férentes, que ce soit dans des équipes interna-tionales, en collaboration avec nos clients dans le monde entier ou dans différentes filiales. Et en même temps : UBS fait partie intégrante du visage de la Suisse et nous sommes fiers de notre force sur le marché intérieur. C’est notamment pour cela que nous avons, en tant qu’employeur, une image très positive auprès des étudiants et des jeunes diplômés, mais aussi auprès des pro-fessionnels expérimentés.

La formation et les possibilités d’évolution sont des critères importants dans le choix de l’employeur. Quelles sont les offres d’UBS en la matière ?Avec notre offre de formation interne et externe,

nous mettons clairement l’accent sur l’impor-tance que nous accordons à la promotion de nos collaborateurs. Parmi les offres internes, je souhaite tout spécialement mettre en avant le Graduate Training Program en tant que pro-gramme de formation pour les jeunes diplômés.

Nous offrons aussi à tous les autres employés un large éventail de possibilités de développement de carrière, tel qu’un certificat reconnu pour les conseillers à la clientèle.

Le secteur financier est en plein boulever-sement. Quelles sont les compétences et les aptitudes recherchées chez les candidats pour se préparer à cette évolution ?UBS est sur le point de se réinventer. Bien que les compétences techniques fondamentales restent indispensables – chaque (nouveau) salarié doit les posséder – une telle transformation nécessite des

collaborateurs qui trouvent de l’inspiration et de la motivation dans le changement, des employés ayant une vision innovante et déterminés à fa-çonner l’avenir de la banque. La proximité avec nos clients et le désir de comprendre et satisfaire leurs besoins changeants restent extrêmement importants.

À votre avis, à quoi doivent faire attention les jeunes diplômés lors de leur entrée dans la vie active ?Aujourd’hui, il est relativement facile de se por-ter candidat. Tout se passe par voie électronique et il est très rapide d’envoyer son CV. Mais les employeurs veulent voir les candidats analyser le poste qu’ils convoitent avec un esprit critique et réfléchir à ce qu’ils pourraient apporter. Ils doivent se demander ce qui les inspire et cibler les postes souhaités.

UBS

Martin MöhrleTitre : Global Head of Talent Formation : Études d’économie et d’ingénierie auprès de la Wharton School et des universités de Mainz, Karlsruhe et Paris I Parcours professionnel : fondation d’un cabinet de conseil ; Chief Learning Officer et Global Head of Talent & Development, Deutsche Bank

www.ubs.com

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : 22'000 en Suisse, 62'000 dans le mondeRecrutement : UBS cherche en permanence des stagiaires, des jeunes diplômés ainsi que des spécialistes pour tous les secteurs de la banque.Parcours dans l’entreprise : Internship (3–6 mois pendant ses études), Summer Internship de 10 semaines, Graduate Training Program (18 mois), recrutement directContact pour votre candidature : Vous pouvez postuler en ligne sur www.ubs.com/careers

Chez UBS, nous rassemblons les idées de collaborateurs issus

de 145 pays différents afin de répondre aux besoins de nos

clients. Jour après jour.

« Nous avons besoin de collaborateurs déterminés à façonner l’avenir de la banque. »

Photo : Linda Pollari3

Page 16: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

business

14 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Andreas Isler, responsable de la région Winter-thour, parle de son employeur et de l’importance de la relève pour le Credit Suisse.

Que faites-vous en tant que directeur de mar-ché pour le département Private Banking & Wealth Management ?Fondamentalement, mon travail consiste à traiter en interne avec mon équipe et en externe avec les clients. Je suis responsable du secteur Winter-thour. Avec quelque 40 collaborateurs, ma tâche est de l’animer pour nos clients privés. L’année dernière, malgré ma fonction de direction, j’ai pu faire une pause pour réaliser un projet très per-sonnel : pendant six semaines, j’ai pédalé à travers les Etats-Unis dans le cadre du projet caritatif «  Chaque mile compte  ». Le Credit Suisse m’a soutenu. Les collègues et les clients ont accueilli cette intitiative de manière extrêmement positive.

Personnellement, qu’est-ce qui vous fas-cine dans le secteur bancaire – en parti-culier à la lumière de la situation actuelle ?

Après avoir pratiqué du sport de haut niveau (judo), et terminé mes études, je suis arrivé au Credit Suisse par hasard et j’y suis resté. Ici, on

m’a rapidement offert l’opportunité d’assumer des responsabilités et d’évoluer tous les cinq ans. Ce qui m’a fasciné et me fascine encore, c’est le contact avec les clients et la poursuite d’objectifs en équipe. Depuis la crise financière, il y a bien sûr de nouveaux défis. M’impliquer avec l’idée de

faire partie de quelque chose de grand et redéfi-nir une branche en pleine évolution me motive. Oui, je suis fier d’être banquier et de travailler dans le private banking pour un employeur extraordinaire.

De votre point de vue, de quels jeunes talents a besoin le Credit Suisse ?Chaque année, nous embauchons 250 diplômés via les programmes Career-Start et 250 stagiaires, toujours dans le but de s’engager à long terme. Je peux avant tout parler des relations commerciales extérieures et comme le veut mon rôle de

responsable du recrutement sur le campus ici à Winterthour, j’ambitionne d’attirer les étudiants vers nous (rires) : ce que je cherche surtout, ce sont des personnes passionnées. Quand vous êtes dans le secteur commercial, le client sent déjà votre état d’esprit au moment où vous décrochez le téléphone.

Qu’offrez-vous aux débutants et aux salariés promus dans leur carrière et quels conseils donneriez-vous aux jeunes talents ?Nous concevons pour chaque employé un plan de développement personnel qui répond à ses besoins, ses forces et ses faiblesses. Dans la mise en œuvre de ce plan, nous offrons un soutien à divers égards. J’ai moi-même pu suivre un cer-tain nombre de formations durant mes vingt ans de carrière. Enfin, le Credit Suisse en tant que grande banque, a un gros avantage : lorsque vous faites un bon travail ici, vous pouvez vous faire un nom en interne et ainsi vous créer des oppor-tunités. Soyez honnête mais aussi communicatif. Vous devez prendre en main votre carrière. Par conséquent, faites-le bien et parlez-en !

CREDIT SUISSE

Andreas IslerTitre : responsable de la région Winterthour Formation : ZHAW, Swiss Finance Institute, Harvard Business School Parcours professionnel : responsable du service crédit management, responsable de l’équipe planification financière, responsable d’agence

www.credit-suisse.com

L’ENTREPRISENombre d’employés : 47'400 dans le monde, 19'400 en SuisseRecrutement : un début de carrière au Credit Suisse est ouvert aux diplômés de toutes les disciplinesParcours dans l’entreprise : Le Credit Suisse offre un pro-gramme d’intégration sur mesure pour les diplômés des universités et des hautes écoles spécialisées.Contact pour votre candidature : www.credit-suisse.com/careers

La promesse du Credit Suisse : offrir à nos collaborateurs un environnement dans lequel ils

peuvent réussir. Sur le long terme.

« Nous cherchons des personnes passionnées. »

Photo : Linda Pollari4

Page 17: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

business

15UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Barbara Aeschlimann, directrice RH pour la Suisse chez Ernst & Young, livre un aperçu du travail auprès du vainqueur 2013 de la branche.

Cette année, vous êtes le vainqueur de notre classement dans votre branche d’activité, félicitations ! En tant qu’employeur, qu’est-ce que vous faites de mieux que les autres sociétés d’audit ?Nous sommes très heureux de cette réaction venant des étudiants et nous en sommes éga-lement fiers, car cela montre que ce que nous faisons est bien accueilli par eux. Je l’explique par le fait que, chez Ernst & Young, nous vivons ce que nous « prêchons »  : notre objectif est de transformer le temps que nos collaborateurs passent chez nous, en expérience exceptionnel-le et de grande valeur. Notre «  Employer Va-lue Proposition  » dit  : «  Whenever you join, for however long you stay – the exceptional Ernst & Young experience lasts a lifetime.  » Cette expérience comprend d’abord un travail captivant  : chez nous, nos collaborateurs peu-vent apprendre, mais également contribuer, dès le début, au succès commun. Ensuite, elle com-prend aussi diverses possibilités de formation et de développement personnel et professionnel.

Faisant également partie de cette expérience, la participation active à l’important réseau d’alumni, ouvert aux collaborateurs qui travail-lent ou ont travaillé pour Ernst & Young.

Qu’est-ce qui vous fascine dans votre travail ?Je trouve remarquable l’importance accordée au travail en équipe. Chez nous, le travail en équi-pe est au centre de l’attention, car nous sommes convaincus qu’à la fin tous, en particulier nos clients, profitent de ce que les diverses expérien-ces et opinions sont réunies pour former un tout performant. Nos hiérarchies sont plates, et la collaboration s’effectue de manière simple dans des équipes employées et interconnectées dans le monde entier. Cette focalisation sur le travail en équipe favorise l’innovation et permet à nos collaboratrices et nos collaborateurs de grandir en apprenant ensemble et les uns des autres.

Les sociétés d’audit ont mauvaise réputation en raison de leur politique du « up-or-out ». Quel-le est l’attitude d’Ernst & Young à ce propos ?En matière de ressources humaines, nous pri-vilégions une politique durable en offrant à nos collaborateurs et collaboratrices de vastes op-portunités de qualification et de développement continues et de haute qualité. Nos cadres et nos collaborateurs suivent ensemble, et de manière transparente, ce processus de développement à long terme. Et lorsque des collaborateurs dé-cident, à tel moment de leur carrière, de pour-suivre leur parcours dans une autre entreprise, nous considérons que notre politique de déve-loppement du personnel est une contribution à la société tout entière.

Comment se passe, pour un talent, son début de carrière et son développement personnel ?En plus de son initiation, qui exige aussi une cer-taine standardisation, nous essayons, de manière aussi individualisée que possible de tenir compte des besoins de nos collaborateurs. Des entretiens de développement sont menés avec tous nos col-laborateurs à un rythme régulier. Ils sont focali-sés sur le feedback et le coaching.

ERNST & YOUNG

Dr. Barbara AeschlimannTitre : HR Director Switzerland Formation : doctorat en philosophie Parcours professionnel : différen-tes missions d’encadrement et d’expertise RH dans diverses branches

www.ch.ey.com/careers

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : 2'100 en Suisse, 167'000 dans le monde Recrutement : sciences éco-nomiques, droit, sciences mathématiques, informatique et ingénierie appliquées de gestionParcours dans l’entreprise : on-the-job-training intensif comprenant formation professionnelle et développement de la personna-lité ; stage ou embauche en tant qu’assistantContact pour votre candidature : via notre site web www.ch.ey.com/careers – Job SearchCe qui nous distingue : Le groupe mondial Ernst & Young est l’un des leaders dans les domaines de l’audit, de la fiscalité, des transac-tions et du conseil. Nous faisons la différence en aidant nos colla-borateurs et nos clients à identifier et à réaliser leur potentiel. Partout dans le monde, nos 167 000 collaborateurs associent nos fortes valeurs communes à un ferme engagement pour la qualité.

L’expérience que vous acquérez chez nous vous accompagnera

durant toute votre vie. Profitez-en.

« The exceptional Ernst & Young experience lasts a lifetime. »

Photo : Linda Pollari5

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business

16 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Viola Heller, Manager Human Capital/Inclusion & Diversity, parle de son travail en tant que res-ponsable du secteur Inclusion & Diversity.

Qu’est-ce qui vous fascine chez PwC ?Ce qui me fascine au quotidien, depuis mon arri-vée il y a deux ans, c’est la diversité du réseau PwC. Avec leurs connaissances, leurs différents points de vue, leur expérience et leur enthousiasme, nos collaborateurs sont les initiateurs de solutions innovantes et sur mesure pour nos clients. Il n’y a pas un thème que le réseau ne puisse couvrir avec des personnes offrant le savoir adéquat. Je dispose toujours d’éléments auxquels me référer auprès de gens tout autour du globe. Cela rend mon travail quotidien incroyablement captivant et varié.

Pourquoi une section Inclusion & Diversity ?Permettez-moi d’abord d’expliquer ces termes : « In-tégration » désigne une culture d’entreprise et un environnement de travail, où nos collaborateurs sont appréciés pour leur individualité. Nos collaborateurs doivent être eux-mêmes, se développer tant sur le plan personnel que professionnel, et donner le meil-leur d’eux-mêmes. Et « Diversité » concerne les dif-férences qui rendent les personnes uniques. Pas seu-lement le sexe, mais aussi la provenance culturelle

ou l’expérience professionnelle. Nous nous concen-trons sur le développement culturel (Inclusive Culture), sur l’égalité des chances et de l’évolution des deux sexes (Gender Diversity), ainsi que sur la diversité générationnelle de nos employés. Grâce au programme Inclusion & Diversity, nos colla-borateurs peuvent faire converger leurs obligations

privées et professionnelles. Notre modèle de tra-vail flexible nous permet de travailler de manière autonome, partout et à tout moment. Aussi, nous aidons nos collaborateurs à organiser la garde de leurs enfants, notamment grâce au programme Mom4Mom, un système de parrainage.

Comment votre section s’insère-t-elle dans l’organisation de PwC ?I&D est intégrée au département du capital humain et étroitement liée à tous les domaines des RH, comme le recrutement, la gestion des talents ou

la formation & développement. Naturellement, je travaille également avec nos collaborateurs et nos cadres et leur apporte mon aide pour toutes les questions relatives à tel ou tel thème. C’est très important, car ainsi les interventions de I&D sont directement perceptibles au quotidien.

Quelle est votre mission – au quotidien et sur le plan stratégique – et quels sont ses projets et ses résultats concrets ?D’une part, je développe des stratégies pour PwC Suisse à partir de la vision globale d’I&D. L’analyse permanente de groupes cibles détermi-nés en fait partie – par exemple, les mères qui travaillent. Ces résultats servent ensuite à mettre en place des solutions adaptées. Comme notre initiative «In her shoes», grâce à laquelle nous pouvons mettre en œuvre des parcours de car-rière individuels pour nos collaboratrices, ainsi que notre nouveau réseau de femmes. D’autre part, je travaille en étroite collaboration avec tous nos secteurs d’activités. Je dirige entre autres des cours contre les préjugés inconscients et je soutiens notre programme de mentoring à l’aide d’ateliers. En outre, j’interviens en tant qu’experte dans les projets d’I&D conçus et mis en œuvre dans nos différents secteurs d’activité.

PWC

Viola HellerTitre : responsable du Capital Humain / Inclusion & Diversity Formation : Économiste d’entreprise HES Parcours professionnel : assistante Import/Export en Suisse et aux États-Unis; puis assistante Treasury, Interhoerbiger Finanz; assistante GRH/Finance, puis responsable GRH, l’Aide suisse contre le sida

www.pwc.ch/careers

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : 2'800 en Suisse, 180'000 dans le mondeRecrutement : environ 200 diplômés de hautes écoles et 90 stagiaires pour l’année à venirParcours dans l’entreprise : PwC offre des stages et des possi-bilités d’embauche pour les diplômés des hautes écoles et les professionnels expérimentés dans les secteurs de l’audit, du conseil fiscal et juridique et du conseil d’économique.Contact pour votre candidature :  www.pwc.ch/careers

Nos collaborateurs sont essen-tiels pour réaliser la vision de

PwC : être une entreprise leader dans le domaine de l’audit et du

conseil.

« Nos collaborateurs doivent pouvoir se développer tant sur le plan personnel que professionnel. »

Photo : Linda Pollari7

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business

17UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Pour Emi Georgieva, directrice Marketing, RH et Concours, l’administration fédérale offre des possibilités uniques pour les collaborateurs.

Quelle est votre mission en tant que directrice Marketing, RH et Concours ?Je suis moi-même diplomate et j’ai pris ce poste pour quatre ans. Soutenue par une équipe très motivée, j’ai deux tâches principales : première-ment, rendre le DFAE intéressant et attrayant en tant qu’employeur. Deuxièmement, accom-pagner les nouveaux collaborateurs au niveau du recrutement et de la formation en vue de leur carrière diplomatique ou consulaire. Je dois aussi diriger le département et créer un bon environ-nement de travail afin de gérer le quotidien de manière efficace. Au-delà, je dois continuer à développer la stratégie en matière de marketing du personnel et de procédure d’adhésion, appe-lée « concours ».

Qu’est-ce qui distingue l’administration fédé-rale en tant qu’employeur ?Nous contribuons au bien-être de la population, un aspect qui, selon moi, va gagner en attrait auprès des collaborateurs. Le travail au DFAE est la chose la plus excitante que je puisse ima-

giner – une tâche politique effectuée dans le monde entier, mais enracinée dans la politique intérieure. La diversité est un atout : d’un côté, la diversité culturelle de la Suisse qui se rencontre chez nous, et de l’autre côté une large spécialisa-tion. Cela conduit à un éventail de besoins et de

personnes, ce qui est extrêmement enrichissant au quotidien. Ici, aucun risque de tomber dans la routine (rires). Enfin, je vis l’administration fédérale comme un employeur très souple, pré-voyant et équitable. Le travail à temps partiel et la garde d’enfants sont possibles.

A quoi ressemble cette diversité culturelle au quotidien ?Je pense que notre fondement est constitué de tolérance, de respect et d’ouverture aux cultures d’autrui. Chez nous, par exemple, chacun parle sa propre langue maternelle. Cela implique que

nous devons avoir certaines connaissances de base : je ne dois pas maîtriser totalement le fran-çais, mais il est attendu de moi que je le com-prenne et le parle couramment. Notre quotidien est donc très multiculturel. Toutes les langues y sont parlées.

Quels profils recherche l’administration fédérale ?Beaucoup de jeunes talents ! Pratiquement chaque métier est représenté – cela va des médecins œuvrant à l’Office fédéral de la santé publique, aux informaticiens nécessaires dans tous les départements. La condition préalable est un intérêt pour le service public, le sens du bien commun. Pour travailler dans le service diplo-matique ou dans la coopération au développe-ment, une attention au résultat est nécessaire tout comme une attitude positive envers la nou-veauté et les changements de nature thématique, géographique ou culturelle.

ADMINISTRATION FÉDÉRALE

Emi GeorgievaTitre : directrice Marketing, RH et Concours, DFAE Formation : lic. ès lettres Parcours professionnel : formation diplomatique à Berne et mission à Vienne, collaboratrice diplomatique dans le service Asie du DFAE, directrice de la communication de l’Ambassade de Suisse à Washington

www.emploi.admin.ch

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : environ 37'000Recrutement : La Confédération cherche des collaborateurs dans différentes branches et métiers pour des postes en Suisse et à l’étranger.Parcours dans l’entreprise : Il y a environ 500 stages à pourvoir chaque année pour des jeunes provenant de toutes les filières d’études.Contact pour votre candidature : Pos-tulez directement via le système de recrutement de notre portail emploi. Ce qui nous distingue : Dans l’administration fédérale, vous « façonnez le futur de la Suisse » et traitez des dossiers nationaux et internationaux dans un environnement dyna-mique. Grâce à votre engage-ment et à vos connaissances, vous mettez en place des actions dans des groupes de projets interdisciplinaires.

L’administration fédérale est l’un des plus grands employeurs

de Suisse. Les tâches sont variées, tout comme les offres

d’emploi.

« Un engagement au plus haut niveau pour la Suisse. »

Photo : Simone Schuldis16

Scan le code pour

plus d'informations

sur l’entreprise !

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18 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

L’employeur d’Aurea Fernandes propose à ses collaborateurs des missions à la fois exigeantes et stimulantes, des conditions d’engagement attrayantes ainsi que des possibilités de perfec-tionnement et d’évolution, afin qu’ils puissent répondre aux exigences actuelles et futures du monde du travail. Cette actuaire responsable de la prévoyance privée, nous en livre un aperçu en partant de la perspective d’une employée.

Pourquoi avez-vous choisi La Mobilière comme employeur ?En tant qu’actuaire, l’expertise de La Mobilière dans le domaine des assurances risques me per-mettait d’approfondir mes connaissances en la matière. Ma carrière ici s’est effectivement dé-roulée comme je me la suis imaginée : Après mes débuts en tant qu’actuaire, j’ai pu au fil du temps prendre de plus en plus des responsabilités. Aujourd’hui, je suis responsable de l’ensemble du service, composé d’une équipe de quatre actuaires.Mon choix se basait également sur des possibi-lités d’évolution intéressantes : La Mobilière a une offre de formation interne très importante. Il y a des cours généraux ouverts à tous les col-laborateurs et ciblant par exemple la communi-

cation, la gestion du temps ou les techniques de présentation. En plus, La Mobilière propose des programmes spéciaux. J’ai eu l’occasion de suivre entre autre une formation de management « évolution vers le leadership » destinée aux per-sonnes responsables d’un service.

Les conditions de travail permettant de conju-guer facilement vie professionnelle et vie fami-liale ont aussi joué un rôle important dans le choix de mon employeur.

Qu’est-ce qui vous séduit au sein de La Mobilière ?Le travail en équipe et la recherche de solutions aux différents défis qui se présentent sont pour moi les principales sources de satisfaction dans mon travail. Discuter d’un problème en équipe et trouver une solution qui convienne aux différentes parties est à la fois un défi et une source de plaisir.

Cela me donne le sentiment d’avoir apporté ma pierre à l’édifice. Contrairement à ce que l’on pour-rait croire, le travail d’un actuaire ne se résume pas à écrire des formules et à faire des calculs dans un coin (rires). Nous sommes très souvent en contact avec plusieurs services de l’entreprise et c’est ce qui crée aussi le côté enrichissant de notre travail.

Quel parcours allez-vous suivre au sein de La Mobilière ?Je ne fais pas de plan de carrière car cela me donne plus de liberté. Ce qui est important pour moi c’est que le travail soit intéressant et qu’il comporte dif-férents volets tels que l’analyse, la créativité, l’acqui-sition de nouvelles connaissances et compétences.

A qui recommanderiez-vous un début de carrière ici ?Je conseillerais La Mobilière à ceux qui ont l’esprit des bâtisseurs de cathédrales. Ceux qui œuvrent en vue d’aboutir à quelque chose de plus grand, de stable et de pérenne. Pour cela, la remise en ques-tion, la créativité, la capacité de penser hors du cadre habituel et de chercher de nouvelles oppor-tunités, la volonté de s’engager et de trouver des compromis sont des qualités que j’apprécierais beaucoup chez un nouveau collègue.

LA MOBILIÈRE

Aurea FernandesTitre : actuaire responsable de la prévoyance privée Formation : licence en sciences actuarielles Parcours professionnel : cheffe d’équipe du secteur des développements informatiques actuariels, actuaire responsable de la prévoyance privée

www.mobi.ch

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : 4'100 colla-borateurs et 300 personnes en formationRecrutement : Nous cherchons surtout des mathématiciens, des informaticiens, des sci-entifiques, des gestionnaires d’entreprise et des juristes.Parcours dans l’entreprise : Grâce aux premiers emplois « on the job » nous misons sur la pratique et la formation au sens large de nos nouvelles recrues.Contact pour votre candidature : www.mobi.ch/jobsCe qui nous distingue : La Mo-bilière est une entreprise qui fonctionne en coopérative. Elle investit plus que la moyenne des entreprises dans ses collabora-teurs. La motivation, le plaisir et l’identification des collabo-rateurs avec La Mobilière sont garants de la continuité de la relation avec le client et d’une qualité de service supérieure à la moyenne.

En tant que coopérative, nous garantissons nous-même notre succès et notre pérennité. Nos

collaborateurs doivent donc être sensibles à la durabilité.

« Au fil du temps, j’ai pu prendre de plus en plus des responsabilités. »

Photo : Olivier Evard

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19UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Des jeunes collaborateurs ont la possibilité au TCS, en collaboration avec des experts confirmés, de dessiner la mobilité future de la Suisse, dit Martial Pidoux, Directeur des Ressources Humaines.

Le TCS n’emploie pas que des « anges jaunes » (patrouilleurs). De quels métiers proviennent les collaborateurs du Touring Club Suisse ?En tant qu’organisation à but non lucratif dont le point fort est l’assistance, nous travaillons comme une entreprise selon des principes économiques et une orientation résultats. Nous disposons d’une vaste offre de services dans le domaine de la mo-bilité. C’est pourquoi nous cherchons toujours des « têtes bien faites », et ce, dans tous les secteurs. L’univers des métiers du TCS est vaste  : nous employons des personnes qui sont actives dans 80 métiers différents (ingénieurs, marketing & dis-tribution, technologies de l’information, finance, administration, droit, gestion de projet etc.). Du fait de nos sites répartis sur tout le territoire suisse, nos collaborateurs pratiquent au quotidien les différentes langues nationales. Pour de nombreux employés, travailler dans une organisation à but non lucratif dans le secteur de l’assistance fait du sens et s’avère motivant, c’est ainsi que l’expriment les feed-back internes.

Quel est le rôle des Ressources Humaines dans le plus grand Club de la mobilité en Suisse ?En tant que fonction stratégique, nous offrons une contribution essentielle à la mise en œuvre de la stratégie du TCS. Nous sommes un « Busi-ness Partner » qui soutient les projets, l’encadre-ment et les collaborateurs dans la ligne.

Nous encourageons une culture de projets avec des équipes transversales ainsi qu’une approche « hands-on » qui promeut la responsabilité indi-viduelle. Dans le cadre de nos projets RH, nous avons l’ambition de faire du TCS, l’un des em-ployeurs les plus attrayants de Suisse.

Quel types de personnes se sentent bien dans l’environnement professionnel du TCS ?Celles qui ont envie de faire bouger les choses. Chez nous, les jeunes gens ont également la pos-

sibilité de prendre des responsabilités dans de grands projets transversaux. En collaboration avec des experts confirmés, ils peuvent vivre des expériences enrichissantes. Comme c’est le cas actuellement avec la modernisation continue de l’infrastructure IT et l’introduction du système CRM (Customer Relation Management), un des plus grands projets européens, aussi bien sur le plan de sa taille que sur celui de sa complexité.

La « mobilité » a-t-elle une autre signification dans la politique des Ressources Humaines du TCS que dans d’autres entreprises?Je ne peux pas parler pour les autres, mais pour moi, la « mobilité » prend une résonnance particulière : chez nous, les collaborateurs peuvent faire bouger les choses ! Nous apprécions les esprits flexibles et mobiles et dans le travail au quotidien, nous trai-tons d’égal à égal. Cela signifie également que, dans la mesure du possible, nous sommes attentifs aux besoins de chacun et à l’équilibre vie privée vie pro-fessionnelle. L’introduction du « Home Office » et la large possibilité d’emplois à temps partiels sont quelques-un de ces aspects. De plus, nous équipons nos collaborateurs avec les outils de travail les plus modernes, permettant de travailler lors de déplace-ments ou à la maison.

TCS

Martial PidouxTitre : Directeur des Ressources Humaines au TCS Formation : Master en psychologie de l’Université de Lausanne Parcours professionnel : Consultant RH (7 ans), Responsable RH dans une entreprise pharmaceutique (8 ans), Directeur des Ressources Humaines au TCS (5 ans)

www.futur.tcs.ch

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : environ 1'600Recrutement : Diplômés des Universités et des Hautes Écoles de tous les secteurs (marketing, finance, IT, etc.) et de toutes les catégories d’âge. Les candida-tures de « seniors », qui veulent contribuer à dessiner la mobilité future en Suisse et partager leur expérience, sont aussi les bienvenues !Parcours dans l’entreprise : Nous donnons la possibilité aux jeunes de participer à des pro-jets captivants et transversauxContact pour votre candidature : [email protected] qui nous distingue : Avec 1,6 million de membres, le TCS est le plus grand Club de la mobilité de Suisse et offre des possibilités de développement dans plus de 80 métiers. Le TCS est une organisation à but non lucratif avec une vaste offre de prestations dans le secteur de la mobilité. Nous asso-cions Esprit Club et entreprise fonctionnant selon des principes économiques et une orientation résultats.

« Chez nous, vous pouvez faire bouger les choses ! »

Photo : TCS

Avec 1,6 million de membres, le TCS est le plus grand Club de la

mobilité en Suisse et offre des opportunités de carrière dans

plus de 80 métiers.

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engineering

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engineering

En interview, Markus Jordi, directeur RH aux CFF, parle de la politique du personnel systéma-tique d’une entreprise qui a beaucoup à offrir.

Les CFF ont grimpé dans tous les classements, et même jusqu’à la troisième place en ce qui concerne les ingénieurs – que faites-vous de mieux que d’autres employeurs ?Naturellement, ce résultat nous réjouit énormé-ment – c’est la récompense d’un travail très ciblé de plusieurs années. Depuis 2008, nous avons remis notre politique du personnel sur de nouveaux rails et formulé notre stratégie en matière de marketing des ressources humaines sous la devise  : «  Nous transformons les CFF en employeur de première classe  ». En outre, nous nous sommes rendus compte qu’auprès du public, notre image d’entre-prise étatique et poussiéreuse était faussée. Afin de corriger cette image, nous avons systématiquement lancé de nouvelles activités et recherché la commu-nication avec les talents de la relève, afin de faire connaître ce que nous sommes vraiment : une en-treprise incroyablement variée, avec plus de 29‘000 collaborateurs dans 150 métiers et provenant de 93 nations. Chaque jour, les CFF transportent presqu’un millions de personnes et 175'000 tonnes de marchandises. De plus, ils contribuent à la réa-

lisation de projets uniques telle que la construction du tunnel de base du Gothard. Apparemment, nous avons réussi à faire passer cette image authen-tique, ainsi que les opportunités d’épanouissement qui en découlent pour les jeunes talents.

Qu’est-ce qui est décisif pour être embauché ?Aujourd’hui, nous sommes si ambitieux que nous prétendons  : aux CFF, nous voulons vraiment les meilleurs. Cela ne concerne pas seulement le bagage professionnel et les compétences, car nous sommes d’avis que la performance ne légitime pas tout. Il est impératif que les candidats soient adaptés à notre culture  : nous voulons des gens ambitieux, alertes, qui prennent des responsabi-lités tout en traitant les autres avec respect. Qui viennent avec la volonté de faire quelque chose de bien pour notre pays – et qui naturellement pos-sèdent une passion pour le rail.

Quelles sont les possibilités d’évolution pour les nouveaux arrivants ?Pour notre entreprise, la formation est essen-tielle  : nous proposons de nombreuses fonctions pour lesquelles les connaissances acquises sur le marché en général ne suffisent pas. Nous devons donc développer nous-mêmes nos talents – c’est pourquoi, ces dernières années, nous avons ren-forcé le domaine de la formation, par exemple via la mise en œuvre de programmes destinés aux talents et des processus de dépistage des talents. Ce développement des collaborateurs est d’autant plus important que nous avons défini ainsi notre politique de la relève : nous souhaitons que 75 à 80 % de nos fonctions d’encadrement soient pro-gressivement occupées par la relève interne.

Quelle est votre vision des CFF du futur ?D’ici 2016, les CFF veulent faire partie des meil-leures entreprises sur le plan de la satisfaction des clients. Cet objectif a naturellement de nom-breuses incidences sur le travail de nos collabora-teurs, car nous ne l’atteindrons qu’avec leur aide. Nous devons continuer à développer notre culture en ce sens. Une mesure serait de relier entre eux tous les employés au moyen de tablettes ou de smartphones, et ainsi encourager les interactions.

CFF

Markus JordiTitre : directeur RH, membre de la direction du groupe Formation : Licencié en droit, DESS gestion du personnel, SKU Parcours professionnel : directeur des HR auprès de la Bâloise Holding, précédemment DRH Suisse et membre de la direction auprès des assurances La Bâloise

www.cff.ch

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : 29'240 colla-borateurs de 93 nationsRecrutement : Des postes d’ingé-nieurs, de spécialistes des voies ferrées, d’ouvriers et d’informa-ticiens. Mais aussi de candidats issus des sciences économiques, juridiques et naturelles.Parcours dans l’entreprise : embauche directe, programme de formation, stage, alternanceContact pour votre candidature : directement en ligne : www.cff.ch/jobsCe qui nous distingue : Ce qui nous distingue : Les CFF sont le principal fournisseur de mobilité durable. 967'000 passagers et 175'000 tonnes de fret sont transportés chaque jour. Le tout focalisé sur le développement durable au niveau de l’écono-mie, de l’écologie et du social.

Chez nous, vous trouverez des missions exigeantes, des activités captivantes, de nombreux métiers

ainsi que l’opportunité d’aller de l’avant.

« Nous transformons les CFF en employeur de première classe. »

Photo : CFF3

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engineering

22 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

Christian Ferber, docteur en droit et Chief Human Resource Officer, livre un aperçu du travail au sein du leader de l’innovation à la ré-putation mondiale.

Monsieur Ferber, qu’est-ce qui, à vos yeux, fait l’attrait de RUAG en tant qu’employeur ?En tant que groupe technologique international spécialisé dans l’aérospatial et dans les techniques de défense et de sécurité, RUAG contribue au progrès grâce à une dynamique impressionnante : aujourd’hui, nous réalisons plus de la moitié de notre chiffre d’affaires net dans les marchés de croissance extérieurs à la Suisse. En outre, nous travaillons à des projets porteurs d’avenir en par-tenariat avec d’autres leaders technologiques. Nos collaborateurs, ainsi que des produits et des ser-vices de qualité, innovants et hors pair, forment la base de ce succès. Sans parler de nos solutions globales, sur les plans terrestre, aérien et spatial. RUAG offre ainsi des missions captivantes et exigeantes à des collaborateurs motivés et per-formants souhaitant intégrer un environnement international et tourné vers l’avenir.

Que doivent faire les intéressés pour vous rejoindre et quelles perspectives de carrière

offrez-vous ?RUAG accueille les talents de tous âges. Les diplômés de hautes écoles férus de technologies peuvent entrer directement chez RUAG. Nous offrons également la combinaison études et pra-tique. Nous sommes particulièrement intéressés par des ingénieurs spécialisés dans la construc-

tion de machines, l’aéronautique et l’aérospatial, l’électrotechnique et l’informatique.Chez RUAG, les experts, chefs de projets et cadres dirigeants expérimentés peuvent faire avancer leur carrière grâce à des missions at-trayantes et exigeantes. Ils y trouveront des cursus de formation et des programmes de leadership centralisés et certifiés au niveau international.

Comment décririez-vous le contexte cultu-rel dans lequel les collaborateurs de RUAG pourront s’épanouir ?

Chez RUAG, nos collaborateurs trouvent ins-piration, conseil et soutien. Des formations continues internes leur offrent la possibilité de développer et de renforcer leurs compétences. Une culture de la communication ouverte per-met aux dirigeants et aux employés de se ren-contrer. Ensemble, ils fixent des objectifs afin de faire progresser les collaborateurs et d’améliorer notre succès commun. C’est ce qu’exprime notre devise  : « Together ahead. RUAG. » Elle forme le cœur même de la personnalité de RUAG et signifie : « Avec nous, votre succès est garanti. »

Les valeurs ont une forte influence sur l’iden-tification et la loyauté des collaborateurs. Quelles sont celles de RUAG ?L’aspiration à la qualité la plus élevée possible et une orientation client et service sans compro-mis, ainsi que la formation continue permanente constituent le fondement commun grâce auquel nous progressons, ensemble et avec toutes les parties prenantes. Des valeurs et des principes clairs déterminent nos réflexions et actions quo-tidiennes. Travail en partenariat, performance et orientation vers le futur, sont les trois valeurs qui font RUAG et qui indiquent la voie à suivre pour ses collaborateurs.

RUAG

Dr. Christian FerberTitre : Chief Human Resource Officer Formation : doctorat en droit de l’Université de Zurich et diplôme fédéral de responsable en RH Parcours professionnel : fonctions dirigeantes dans les RH auprès du Tribunal de district de Zurich, Ford Motor, Coca-Cola Beverages ainsi que Sunrise

www.ruag.com

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : environ 5'000 en Suisse, 7'739 dans le mondeRecrutement : ingénieurs spécia-lisés dans la construction de machines, l’aéronautique et l’aérospatial, l’électrotechnique et l’informatiqueParcours dans l’entreprise : RUAG offre des stages aux étudiants et un accès direct aux diplô-més dans ses sites de Suisse, Autriche, Allemagne et Suède.Contact pour votre candidature : www.ruag.com/Group/Career/Job-vacanciesCe qui nous distingue ... c’est notre promesse offerte par la certitude de nouer ensemble avec le suc-cès, ainsi que nos trois valeurs « travail en partenariat », « per-formance » et « orientation vers le futur ». En tant que groupe technologique international, RUAG a réussi ceci grâce à ses collaborateurs et à ses parte-naires du monde entier, leaders du secteur technologique.

Chez RUAG, 47 nationalités travaillent à des solutions inno-

vantes afin de relever les défis d’aujourd’hui et de demain.

« Chez nous, les employés trouvent inspiration, conseil et soutien. »

Photo : Linda Pollari9

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23UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

engineering

Samuel Schär, responsable de la division Ad-vanced Materials, et Christof Oswald, respon-sable du département des ressources humaines, s’expriment sur les opportunités de carrière au sein de leur entreprise.

M. Oswald, Samuel Schär a commencé sa car-rière chez Bühler en tant que « collaborateur junior ». En avril, il a été promu responsable de la division Advanced Materials et membre de la direction. Une carrière à la Bühler ?Christof Oswald : Tout à fait. Notre objectif est de fournir des perspectives de carrière à nos employés. Cela peut signifier de devenir un expert ou d’obte-nir un poste dans le management – jusqu’au niveau de la direction de l’entreprise. Nous possédons un système de gestion de performance des collabo-rateurs, grâce auquel nous définissons, évaluons et analysons ensemble les objectifs de chaque em-ployé. Nous examinons également les compétences nécessaires pour franchir les étapes. Si, comme pour Samuel Schär, nous pouvons encourager le développement personnel et professionnel de nos collaborateurs, alors il s’agit de l’un de nos plus beaux résultats en matière de gestion du personnel.

M. Schär, quel jugement portez-vous sur votre

carrière chez Bühler ?Samuel Schär  : Exceptionnelle. Je suis physicien de formation et l’on m’avait conseillé de rejoindre Bühler. J’y ai débuté au sein d’une start-up interne, qui jouit d’une très grande visibilité auprès de l’exé-cutif. Trois ans après, j’ai déjà pu prendre la tête de

15 personnes. Et quatre ans plus tard, j’ai pris la di-rection de la division Grinding & Dispersion, une suite logique de ma fonction précédente. Et désor-mais, quatre ans plus tard, le Comité exécutif et le Conseil d’administration de Bühler m’ont confié la direction d’une division comprenant environ 1000 collaborateurs et réalisant un demi-milliard de chiffre d’affaires.

Quelle est votre mission et qu’est ce qui vousfascine dans cette tâche ?S. Schär : J’ai un rôle typique de gestion avec une exigence de résultats. Comme au commencement,

les interactions entre collaborateurs, clients et technologies sont ce qui me fascine le plus. Un team dynamique pour démarrer à fond, des tech-nologies qui nous donnent le sentiment de travail-ler à quelque chose d’unique et des clients nous mesurant avec des échelles de valeurs totalement différentes. Notre concours global d’innovation interne «  Innovations for a Better World  » me remplit de fierté  : il nous montre comment une organisation est capable de repousser les limites de l’innovation - mais aussi de la confronter à la réalité de la mise en oeuvre.

A qui recommanderiez-vous de rejoindre Bühler – et qu’est-ce qu’ un collaborateur peut attendre de vous ?S. Schär : Toute personne, qui s’identifierait à notre entreprise, à nos valeurs, à nos technologies et qui pense pouvoir apporter sa contribution, est un can-didat pour Bühler – et ce, à tous les stades de sa carrière, qu’il soit apprenti, diplômé d’une haute école ou professionnel. Chez Bühler, un collabora-teur peut bénéficier d’un programme de dévelop-pement individualisé. Au lieu de suivre le principe «  up or out  », nous n’imposons pas de pré-pro-gramme, mais nous favorisons les compétences particulières et les souhaits de chacun.

BÜHLER

Samuel Schär & Christof Oswaldd. g. à d. Titre : responsable de la division Advanced Materials Formation : ingénieur enphysique | Titre : responsable du département des ressources humaines Formation : Technico-commercial / division formation continue

www.buhlergroup.com

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : > 10'000 (Bühler dans le monde)Recrutement : Machines + techno-logie, automatisation, gestion d’entreprise, technologie de l’information numérique et du managementParcours dans l’entreprise : Bühler propose des stages passionnants et des possibilités d’embauche.Contact pour votre candidature : www.buhlergroup.com – CareerCe qui nous distingue : Le succès durable de Bühler par notre initiative internationale « Best People ». Bühler s’engage en faveur du développement de personnalités qui sont prêtes, avec de la passion, des connais-sances à jour, des compétences pratiques de mise en oeuvre, une capacité à travailler en équipe et une grande flexibilité, à exceller, et ce au-delà de la moyenne.

Bühler représente l’innovationet la technologie, tout en offrant

à la relève des opportunitésextraordinaires dans un environ-

nement international.

« Nous favorisons les compétencesindividuelles et les souhaits de chacun. »

Photo : Bühler

Page 26: Universum TOP 100 - CHFR - 2013

engineering

24 UNIVERSUM TOP 100 - 2013www.universumglobal.com

En tant que président de la direction, Yves Serra tient depuis 2008 les rennes de ce groupe industriel actif au niveau international. Dans une interview, le patron livre ses impressions personnelles con-cernant la culture de la relève chez Georg Fischer.

Récemment, vous avez permis à 18 étudiants de l’ETH Zurich de travailler durant deux mois sur des projets concrets au sein de votre entre-prise. Une bonne expérience ?Excellente. Les étudiants ont rendu visite à des clients, travaillé dur et ont rapidement créé des équipes. Ce que ces jeunes provenant de l’ETH ont réalisé en deux mois à peine est remarquable. Leurs travaux de groupe, qui se sont penchés sur des pro-positions stratégiques, sont désormais intégrés aux projets actuels et futurs de Georg Fischer. Nous apprécions beaucoup cette perspective et ces inputs.

Quels défis les diplômés des hautes écoles doi-vent-ils relever pour avoir du succès ?Nous attendons des diplômés des hautes écoles qu’ils sachent se mettre au travail et qu’ils aient le désir de travailler dans un contexte multiculturel. Souplesse et ouverture au monde sont importants, de même que dynamisme et responsabilité indi-viduelle. Nous avons besoin de collaborateurs qui

sachent prendre des responsabilités et s’investir. Ce sont les meilleures conditions préalables d’une carrière couronnée de succès. Georg Fischer mise sur des spécialistes, qui amènent une contribution hors pair dans leur domaine de compétence et qui font avancer l’innovation.

Comment vous assurez-vous que la collabora-tion entre vos employés fonctionne, et ce dans vos 125 filiales ?Du fait que nous sommes actifs dans le monde entier, et par conséquent décentralisés, le travail d’équipe est impératif pour répondre rapidement aux besoins de nos clients. C’est pourquoi, l’esprit d’équipe se trouve au centre de notre formation continue. Chaque année, nous investissons beau-coup dans des formations visant à renforcer la sensibilité et la conscience de nos collabora-teurs à l’égard d’autres cultures. Un bon esprit

d’équipe est un élément essentiel de la culture d’entreprise de Georg Fischer.

Qu’est-ce qui est important pour vous en matière de recrutement de nouveaux talents ?En tant que groupe industriel, nous garantissons un traitement équitable entre les hommes et les femmes. Nous choisissons nos collaborateurs en fonction de leurs qualifications professionnelles, de leurs aptitudes et de leur capacité à travailler en équipe – indépendamment de leur nationali-té ou de leur sexe. Avec au centre, les meilleures qualifications pour un profil de poste donné.

Vous avez travaillé dans différents pays et cul-tures – qu’avez-vous appris et qu’en avez-vous retiré ?J’ai moi-même eu la chance de travailler aux Etats-Unis et en Asie. J’ai, entre autres, vécu au Japon – un pays avec une culture très différente de la nôtre. S’adapter à la culture de ce pays a été très exigeant. Mais faire de nouvelles expéri-ences, apprendre la langue, étudier une culture et m’habituer aux coutumes locales, m’a apporté beaucoup de bonheur. Cet effort d’acclimatation élargit la vision et ouvre de nouvelles perspectives – un défi que j’ai volontiers relevé.

GEORG FISCHER

Yves SerraTitre : président de la direction du groupe Formation : diplôme d’ingénieur et d’ingénieur de la construction (M. Sc.) Parcours professionnel : Diverses fonctions chez Alstom et Agie Charmilles. Chez Georg Fischer responsable GF Piping Systems, depuis 2008 chef d’entreprise de Georg Fischer SA.

www.georgfischer.com

L’ENTREPRISE Nombre d’employés : quelque 13'500 dans le monde, dont 2'500 en SuisseRecrutement : Toute l’année, nous recherchons, en fonction de nos besoin, des talents provenant de plusieurs domaines. La liste des emplois ouverts est régulièrement actualisée sur georgfischer.com Parcours dans l’entreprise : Georg Fischer offre des places de sta-ges, des postes pour les travaux de bachelor et de master, ainsi que des emplois fixesContact pour votre candidature : [email protected] qui nous distingue : Georg Fischer a ses racines en Suisse – depuis plus de 200 ans, son siège se trouve à Schaffhouse. Mais sa croissance se poursuit au plan international, avec 125 filiales dans le monde entier, et une forte présence en Asie et aux Etats-Unis.

Georg Fischer mise sur des spécialistes, qui amènent une

contribution hors pair dans leur domaine de compétence et qui

font avancer l’innovation.

« L’esprit d’équipe caractérise notre culture d’entreprise. »

Photo : Georg Fischer

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