DU 17 AU 23

JANVIER 2004

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magazine

LES CHEVAUX DE VENTLe nouveau spectacle de Bartabas

et du Théâtre Zingarosamedi 17 janvier

à 22.30

LE FORUM DES EUROPÉENS : LA 100E

Animé par Anne-Sophie Mercier et Matthias Beermann, un numéro spécialdu magazine d’information consacré à l’Europe. Page 5Samedi 17 janvier à 19.00

DIMANCHE 18/1 THEMA Vivre au Moyen ÂgeLes Européens du Moyen Âge sonthabités par le désir d’explorer lemonde… (suite page 12)

LUNDI 19/1 CINÉMA InvincibleAu début des années 30,Zishe Breitbart, forgeron juifd’une force peu commune…(suite page 15)

LE PRIME TIME

17 JANVIER | 23 JANVIER 2004

SAMEDI 17/1L’AVENTURE HUMAINE La terre des Peaux-RougesDeux mille tribus d’Indienspeuplaient le continent américain…(suite page 6)

Les âmes fortesde Raoul RuizDimanche 18 janvier à 00.40 et lundi 19 janvier à 15.15

Invinciblede Werner HerzogLundi 19 janvier à 20.45

Que la fête commencede Bertrand TavernierLundi 19 janvier à 00.40

Le kidde Charlie ChaplinMardi 20 janvier à 15.15

Une vie de chiende Charlie ChaplinMardi 20 janvier à 16.05

Modsde Serge BozonMardi 20 janvier à 00.35

Chen Mo et Meitingde Liu Hao Mercredi 21 janvier à 22.45

L’empereur et l’assassinde Chen KaigeJeudi 22 janvier à 20.45

L’oie sauvagede Hassanpoor SiroosVendredi 23 janvier à 15.15

LES FILMS

MARDI 20/1 THEMA Trafics d’enfantsLes trafics d’organes en Turquieet les réseaux pédophiles mis enplace à partir de la Roumanie…(suite page 19)

MERCREDI 21/1 LES MERCREDIS DE L’HISTOIRE 1944, la redditionde la colonne ElsterEn 1944, trois mois après ledébarquement…(suite page 23)

JEUDI 22/1CINÉMAL’empereur et l’assassinAu IIIe siècle avant J.-C.,le roi de Qin tente d’unifier les sept royaumes de Chine…(suite page 27)

VENDREDI 23/1 FICTIONLa fauxToujours entre Paris et New York,Régis Faucheur-Quitus est le maître des marchésfinanciers internationaux…(suite page 31)

KARAMBOLAGE Patrick Bruel est-il soluble dans le Rhin ? Un nouveau magazine plein d’humour pour mieux connaîtreles coutumes françaises et allemandes.Page 10. Dimanche 18 janvier à 20.00

LOUNGTA, LES CHEVAUX DE VENTLa nouvelle création de Bartabas :la rencontre magique du théâtre équestreZingaro et des rituels ancestraux tibétains.Page 8“Musica”, samedi 17 janvier à 22.30

14.00BiographieNorman MailerDocumentaire de Gero von Boehm(Allemagne, 2003, 41mn)ZDF

Ayant rencontré le succès dès sonpremier roman, Les nus et lesmorts paru en 1948, l’enfant ter-rible de la littérature américaines’est maintenant assagi. Âgé de81 ans, il vit dans une petite villede province du Massachusettsavec sa sixième épouse.Chroniqueur hors pair del’Amérique contemporaine, il sepenche aujourd’hui sur sonpassé.

14.45Création(s)Série de Serge MoatiRéalisation : Patrice Le Van Hiep(France, 2003, 26mn)ARTE FRANCE

La comédienne Dörte Lyssewskirépète Hedda Gabler d’Ibsen auSchauspielhaus de Bochum ; lestyliste marocain NourredineAmir prépare une exposition aumusée de la Mode à Anvers ; lachef d’orchestre et clavecinisteEmmanuelle Haïm s’apprête àcréer Orfeo de Monteverdi àLondres. Le médecin volant et Le médecin malgré lui :

un diptyque mis en scène par Dario Fo à la Comédie-Françaisependant la saison 1990-1991.

14.00Biographie14.45Création(s)15.15Comedia17.15Kaléidoscope17.50Tracks(Rediffusion du 15 janvier)

18.45ARTE Info19.00Le forum des Européens19.45ARTE Info20.00Le journal de la culture20.10ARTE Météo20.15ART ET CULTUREPalettesClaude Monet (1840-1926)

20.45L’AVENTURE HUMAINELa terre des Peaux-Rouges Documentaire de Jean-Claude Lubtchansky

21.40360° Le reportage GÉO22.30MUSICALoungta,les chevaux de vent Conception et mise en scène : Bartabas

23.45Metropolis00.35ARTE Info00.45LA LUCARNEUn mal fouDocumentaire de Marianne Gosset

01.50Filmer le désir(Rediffusion du 16 janvier)

samedi17/1

15.15ComediaLe médecin volantComédie de MolièreMise en scène : Dario FoRéalisation : Yves-André Hubert(France, 1992, 43mn)ARTE FRANCE(Rediffusion du 17 décembre 1997)

Sganarelle s’affuble en docteurpour permettre à Lucile, la fille deGorgibus, d’épouser le jeuneValère malgré l’opposition de sonpère. Mais, surpris en habit devalet par celui-ci, Sganarelle s’in-vente un frère jumeau qui seraitson sosie…

Le médecin malgré luiComédie de MolièreMise en scène : Dario FoRéalisation : Yves-André Hubert(France, 1992, 1h20mn)ARTE FRANCE(Rediffusion du 16 juin 1992)

Sganarelle, ivrogne, paresseux etfaraud, se querelle avec Martine,sa femme, et finit par la battre.Pour se venger, celle-ci le fait pas-ser pour un médecin ne pouvantexercer son art qu’une fois qu’il aété convenablement rossé…

Câble et satellitede 14.00 à 19.00

Les horaires correspondent aux codes PDC,sauf indication contraire.

17.15KaléidoscopeRéalisation : Gerry Maudre (France, 2003, 26mn)ARTE FRANCE

Le cirque American Togni,ItalieUn cirque, c’est une famille. C’estaussi une entreprise avec sa hié-rarchie, ses codes, ses traditions.Kaléidoscope vous emmène dansles coulisses de l’un des plusgrands chapiteaux d’Europe, celuide la famille Togni.

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Rédaction en chef : Jürgen Pfeiffer,Astrid Emerit-Le FicherRéalisation : Guy Saguez (France, 2004, 43mn)Coproduction : ARTE France,Compagnie des Phares et BalisesARTE FRANCE

Émission consacrée aux grandssujets de l’actualité européenne,Le forum des Européens reste àce jour le seul magazine hebdo-madaire d’information, deréflexion et de débat spécifique-ment consacré à l’Europe. Par-delà les frontières historiques quiont façonné l’identité de chacun,Le forum des Européens organiseune confrontation de points devue qui ne sont plus strictementnationaux et qui dépasse de lasimple comparaison des situa-

tions existantes. Sélectionnésdans l’actualité immédiate ouplus permanente, les thèmesabordés concernent aussi bien lesgrands débats politiques que lavie culturelle, sociale et écono-mique. Dans chaque émission,trois reportages originaux tour-nés dans différents pays permet-tent d’apporter au téléspectateurles informations indispensablesà la compréhension du sujet dujour. En deux ans et demi, prèsde trois cents reportages ont étéréalisés dans vingt pays d’Europe.Cent invités ont jusqu’à ce jourparticipé à l’émission : des minis-tres, des élus, un cardinal, ungénéral, des chercheurs, des créa-teurs, des syndicalistes, des chefs

d’entreprise, des responsablesd’association… L’émission estprésentée en duo par deux jour-nalistes (une Française, Anne-Sophie Mercier, et un Allemand,Matthias Beerman) qui parlentchacun leur langue et organisentun débat à trois voix avec l’in-vité. Le comité de rédaction,dirigé par Jürgen Pfeiffer et AstridEmerit-Le Ficher, est franco-alle-mand et les journalistes quimènent les enquêtes sont de dixnationalités différentes. À euxtous, ils parlent huit langues. Unconcentré d’Europe !Rediffusion le 19 janvier à 17.00

> www.arte-tv.com/fde

En partenariat avec

Diffusé par ARTE depuis le 29 septembre 2001, Le forum desEuropéens fête cette semaine son 100e numéro. Ce rendez-voushebdomadaire reflète l’esprit nouveau qui anime les Européensd’aujourd’hui. Une exception dans le paysage audiovisuel !

19.00

Le forum des Européens100e numéro

samedi17/1

En 2003, l’audience du Forum des Européens

progresse de 34 %.L’émission a réussi à fidéliser

chaque semaine plus de 427 000 spectateurs,

soit 3,3 % de part de marché(contre 347 000 spectateurs

et 2,4 % de pdm en 2002).

Anne-Sophie Mercier et Matthias Beermann animent un débat à trois voixavec l’invité duForum des Européens.

samedi17/1

20.15 |ART ET CULTURE

PalettesClaude Monet (1840-1926)La couleur de l’instantBassins aux nymphéasDocumentaire d’Alain Jaubert(France, 1991, 30mn)Coproduction : ARTE France, France 3,Delta Image, Musée d’OrsayARTE FRANCE(Rediffusion du 14 mai 1999)

Alain Jaubert analyse la série desBassins aux nymphéas, fondatrice del’art moderne.

En achetant sa maison de Givernyen 1883, Claude Monet inventeun des dispositifs les plus origi-naux de toute l’histoire de la pein-ture. Le jardin, ses allées, la cam-pagne environnante : tout lepaysage devient peu à peu ungigantesque canevas. Le principede la série, inauguré avec les pay-sages de la Creuse, poursuivi avecla cathédrale de Rouen, continueavec les peupliers des bords del’Epte, avec les meules, le bassinaux nymphéas et le pont japo-nais. Ce numéro de “Palettes”analyse les cinquante-quatre toi-les de la série des Bassins auxnymphéas, commencée parMonet en 1895 et qui s’achèveraà sa mort, en 1926.Rediffusion le 25 janvier à 02.15

En partenariat avec

La collection Palettes est éditée en

cassettes par ARTE Vidéo.

Documentaire de Jean-Claude LubtchanskyD’après La terre des Peaux-Rougesde Philippe Jacquin(France, 2001, 52mn)Coproduction : ARTE France, Trans EuropeFilms, GallimardARTE FRANCE(Rediffusion du 2 mars 2002)

Au commencement, il y a les Indiens. Au XVIe siè-cle, les premiers missionnaires, établis dans l’est ducontinent nord-américain, nouent des relations ami-cales avec les Hurons et les Algonquins. Puis, avecl’arrivée des trappeurs et des soldats, de nombreu-ses tribus prennent peur et fuient. L’offensive euro-péenne commence véritablement au XVIIe siècle.Les Blancs s’approprient les terres sous prétexte queles Indiens ne les cultivent pas ; or, ceux-ci n’ontaucune notion de la propriété privée. Guerres et épi-démies les déciment…

Ethnocide et choc des culturesLa photo sépia d’un Indien orné de plumes, deboutau bord d’un précipice, se superpose à une prise devue en couleur d’un aigle en vol : cette premièreimage suggère l’osmose entre les Indiens et lanature. Pour les Indiens, le sol est fait de la pous-sière des os, de la chair et du sang des ancêtres, et

“La terre est notre corps,notre esprit vient du soleil et notre pensée est une étincelle du soleil.”

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le serpent apporte la pluie. L’arrivée des Blancs,avec leurs armes à feu et leur notion de propriété,brise cette harmonie avec la nature. Le génocidedes Indiens d’Amérique qui, en quatre siècles, sontpassés de 7 millions à 400 000 individus, se dou-ble d’un ethnocide, et le documentaire de Jean-Claude Lubtchansky souligne cette destruction cul-turelle. Mais ce choc brutal de deux cultures a aussientraîné une réflexion inédite sur l’autre. Par exem-ple, deux officiers du jeune gouvernement améri-cain, chargés en 1804 d’explorer les terres qui s’étendent jusqu’au Pacifique, observent les traitsculturels des “sauvages” et en livrent une descrip-tion utile, malgré leur vocabulaire évolutionnisted’un autre temps.Rediffusion le 18 janvier à 14.00 et le 24 janvier à 01.35

Sous-titrage pour sourds et malentendants

> www.arte-tv.com

En partenariat avec

21.40360°Le reportage GÉOLe tournoi équestre du buzkashiRéalisation : Svea Andersson(Allemagne, 2001, 26mn)ARTE G.E.I.E.(Rediffusion du 2 janvier 2002)

Dans le sud du Tadjikistan, lors duNavroz, fête marquant le débutdu printemps, des cavaliers s’af-frontent au jeu de buzkashi, uneépreuve d’adresse qui remonte àGengis Khan. Autrefois, l’objec-tif était de s’emparer des trou-peaux de l’ennemi. Aujourd’hui,le buzkashi est une lutte paci-fique qui consiste, d’un chevalau galop, à s’emparer du cada-vre d’une chèvre…

Les seigneurs des aiglesRéalisation : Svea Andersson(Allemagne, 2001, 26mn)(Rediffusion du 5 décembre 2002)

Depuis 4 000 ans, les Berkoutchi,hommes de lignée noble deMongolie occidentale, domesti-quent les aigles royaux pour chas-ser. Aralbay a apprivoisé le sienil y a six ans…Rediffusion le 18 janvier à 14.55

20.45 |L’AVENTURE HUMAINE

La terre des Peaux-RougesDeux mille tribus d’Indiens peuplaient le continentaméricain avant que celui-ci ne soit “découvert”par les Européens. Chasseurs, cueilleurs, pêcheursvivaient selon un syncrétisme religieux régi par la nature. Ce beau documentaire retrace l’histoired’un génocide et d’un bouleversement culturel.

samedi17/1

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Slow Bull photographié par Curtis (en haut) et Sitting Bullavant la bataille de Little Big Horn(en médaillon).

Conception, scénographie et mise en scène : BartabasRéalisation : Sylvain Bergère et Bartabas (France, 2003, 1h)Coproduction : ARTE France, Équidia, MK2TV et le Théatre ZingaroARTE FRANCE

Musiques berbères pour Opéra équestre, sonoritésdu Rajasthan pour Chimère, chants coréens pourÉclipse, partitions contemporaines pour Triptyk…Depuis vingt ans Bartabas parcourt le monde à ladécouverte de toutes ses musiques. Pour Loungta,les chevaux de vent, il est allé rencontrer des moi-nes tibétains. Dix d’entre eux, âgés de 20 à 70 ans,ont accepté de quitter leur monastère pour parta-ger pendant trois ans la vie de la compagnieZingaro. Loungta, les chevaux de vent est issu decette expérience.

Spectacle totalUne trentaine de chevaux, vingt cavaliers et danseurs,des rituels ancestraux, des divinités… Bartabas réus-sit la prouesse de monter un spectacle total où semêlent la danse, le chant et la prière. Toute l’Asie desmythes et des légendes est convoquée, sur un rythmetantôt lent, tantôt endiablé qui emporte littéralementle spectateur. L’accent n’est jamais mis sur la diffi-culté technique des figures, mais sur leur enchaîne-ment fluide et sur la beauté des séquences, conçuescomme de véritables ballets où l’homme et le chevalinterprètent leurs rôles avec passion. Envoûtant.Rediffusion le 27 janvier à 01.50 et le 7 février à 01.25

En partenariat avec

Bartabas est également dans Metropolis, à 23.45.

22.30 |MUSICA

Loungta,les chevaux de vent

La rencontre magique du théâtre équestre Zingaro et des rituelsancestraux tibétains. Le nouveau spectacle de Bartabas que le créateur et metteur en scène a lui-même réalisé pour ARTE.

Loungta, les chevaux

de vent est à l’affiche

du Théâtre équestre Zingaro,

à Aubervilliers,

jusqu’au 29 février 2004.

samedi17/1

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00.45 | LA LUCARNE

Un mal fouDocumentaire de Marianne Gosset(France, 2003, 1h06mn)Production : Les Films d’IciARTE FRANCE

Un terrifiant voyage au cœur d’unerelation mère-fille, que MarianneGosset, osant se mettre en danger, atourné en partant de son expérience.Audacieux.Au cœur de ce film tourné àOstende en studio, il y a unechambre dans laquelle MarianneGosset rassemble différents élé-ments : un film tourné il y a vingtans dans lequel apparaît sa mère ;des images d’archives de sesparents lors d’émissions littérai-res ou de séances de signatures ;des photographies ; son fils ; troisfemmes analystes qui éclairentdifférents aspects de la relationmère-fille…

Ma mère, ce monstre“Ce film est un violent puzzle deregards et de mémoire. J’avais unemère, moitié d’un couple de jour-nalistes célèbres, qui m’a léguél’absence. J’avais une mère quim’a légué la folie. Et son statut desorcière, qu’elle revendiquait pourmoi. Elle fit du mal. Ses motsd’humour étaient comme des bal-les, son regard celui de Méduse.Plus tard, elle m’envoya au sui-cide et à l’hôpital. Aujourd’huiqu’elle est morte, elle demeureencore en moi, intuable.”(Marianne Gosset)

Une mise à mort imaginaire dont la mère est l’enjeu permanent.

En février 2003, Bartabas a ouvert l’Académie du spec-tacle équestre dans la Grande Écurie du châteaude Versailles. Avec cette nouvelle structure quimarie art équestre et enseignements artistiques,Bartabas offre aux écuyers de l’école un cadre péda-gogique complet. Cette académie renoue avec l’unedes plus belles traditions équestres françaises, l’É-cole de Versailles. Pour Bartabas, la maîtrise de l’artéquestre s’acquiert lentement, à la vitesse d’unhomme et d’un cheval qui (s’)apprennent mutuel-lement : “Pour parler à un cheval, il n’y a pas besoinde mots. C’est une étreinte charnelle qui alimentenos rêves.”

samedi17/1

Une académie pour le spectacleéquestre

23.45MetropolisMagazine culturel européen(France, 2004, 52mn)Coproduction : ARTE France, On LineProductionARTE FRANCE

BartabasLoungta, les chevaux de ventmarque le vingtième anniversairede la compagnie Zingaro.Bartabas raconte l’aventure qu’areprésentée cette nouvelle créa-tion, qui mêle profane et sacrédans un rituel théâtral inspiré parla tradition tibétaine.Voir “Musica” à 22.30.

Bal blancLe 6 décembre, Lille a lancé avecun peu d’avance son année “Lille,capitale européenne de la culture”en s’offrant une nuit blancheentièrement dédiée à la fête, à lamusique et aux jeux de lumière. LesLillois étaient notamment invitésà venir danser vêtus de blanc,pour servir d’écran aux images defilms muets projetés en extérieur.Alain Fleischer, écrivain, réalisa-teur, photographe et directeur duFresnoy (Studio national d’artscontemporains à Tourcoing), pré-sente ce “bal blanc” réalisé par leséquipes du Fresnoy.

AirAprès avoir signé la musique deVirgin suicides, de Sofia Coppola,et créé un environnement sonorepour une lecture d’AlessandroBarrico, Nicolas Godin et JeanBenoît Dunckel sont cet hiver auThéâtre de la Ville, à Paris, pour lenouveau spectacle d’AngelinPreljocaj, Near life experience ; surles écrans de cinéma avec lamusique du deuxième film de SofiaCoppola, Lost in translation ; etchez les disquaires avec leur nouvelalbum, Talkie walkie. Rencontre.Rediffusion le 18 janvier à 17.50

14.00La terre des Peaux-Rouges (Rediffusion du 17 janvier)

14.55360° Le reportage GÉO(Rediffusion du 17 janvier)

15.50Pepe Carvalho :Histoire de famille(Rediffusion du 3 août 2002)

17.20Cuisines des terroirsPays de Galles(Rediffusion du 4 mai 2003)

17.50Metropolis(Rediffusion du 17 janvier)

18.45ARTE Info19.00MAESTRORicardo Muti dirige Tchaïkovski19.45ARTE Info20.00Karambolage20.10ARTE Météo20.15DANSELe Ballet de Mayence20.45>00.40THEMAVivre au Moyen ÂgeMoines, menestrels et bâtisseurs

20.45Voyage au temps des ténèbres (2)Documentaire d’Uwe Kersten et Christian Feyerabend

21.40Voyage au temps des ténèbres (3)

22.30Cadfael :l’apprenti du diableTéléfilm de Herbert Wise

23.45 (PDC : 23.50)

Voyage au temps des ténèbres (4)

00.40Les âmes fortes(Rediffusion du 5 janvier)

02.25Les adieux(Rediffusion du 14 janvier)

dimanche18/1

19.00 | MAESTRO

Ricardo MutidirigeTchaïkovskiAvec l’Orchestre symphonique de la Radiotélévision bavaroiseRéalisation : Hugo Käch(Allemagne, 2003, 44mn)BR

Enregistré en mai 2003 à la Philharmonie de Munich

Ricardo Muti dirige l’Orchestre de laRadiotélévision bavaroise dans laSymphonie n° 1 en sol mineur op. 13,première symphonie de Tchaïkovski.Quand Tchaïkovski se mit, à 26ans, juste après la fin de ses étu-des au conservatoire de Saint-Pétersbourg, à écrire cette sym-phonie dite “Rêves d’hiver”, il selançait dans une entreprise àhauts risques. Il venait de com-mencer à enseigner au conserva-toire de Moscou et composaitdonc la nuit. C’était la premièrefois qu’il s’attaquait à une formeaussi exigeante, sans pouvoirs’appuyer sur une tradition sym-phonique russe alors inexistante.Les premiers signes de sa grandefaiblesse nerveuse font leur appa-rition. Les médecins estimentmême que Tchaïkovski est prochede la folie… Selon son frèreModeste, qui fut son premier bio-graphe, aucune autre œuvre nelui aura coûté autant d’efforts etde souffrances. La symphonie futfinalement créée à Moscou enfévrier 1868 et très bienaccueillie…

Aujourd’hui directeur du Balletde Mayence, Martin Schläpfersigne des chorégraphies inclas-sables. Le concerto du composi-teur russe Alfred Schnittke sem-ble avoir été écrit pour cetensemble, qui fait partie desmeilleures compagnies alleman-des. La partition, qui fait le grandécart entre Bach et Schoenberg,butine le blues et la musiquesacrée orthodoxe, possède unesonorité très particulière et ainspiré au chorégraphe suissel’une de ses plus belles créations.En partenariat avec

Câble et satellitede 14.00 à 19.00

Les horaires correspondent aux codes PDC,sauf indication contraire.

20.00

KarambolageMagazine franco-allemand de Claire Doutriaux (France, 2003, 11mn)Production : Atelier de recherche d’ARTE France ARTE FRANCE

Tous les dimanches à 20.00, Karambolage décrypte les sociétés française et allemande de façon ludique et impertinente.

Karambolage, c’est un maga-zine léger, plein d’humour,composé de rubriques courtes(autour d’un mot, d’un rite,d’une image), dans lequel legraphisme et le dessin tiennentune grande place.

L’objetMichael Rutschky vit à Berlin.Documentariste et écrivain, ilest devenu un spécialiste de la cul-ture quotidienne. Aujourd’hui,il essaie de lire un livre fran-çais…

Le motWaltraud Legros nous met engarde devant un couple de fauxamis : la salopette française et lesalopp allemand.

Le riteAu cœur des rites républicains :avec Corinne Delvaux, nousregardons Jean-Louis Debré pénétrer dans l’hémicycle del’Assemblée nationale et nous fai-sons de même avec son équiva-lent allemand.Et aussi : la devinette.

20.15 |DANSELe Ballet de MayenceChorégraphie : Martin SchläpferAvec : Kirsty Ross, le Ballet de Mayence Réalisation : Andreas Morell (Allemagne, 2000, 26mn)ZDF

Le Concerto pour piano et cordes d’Alfred Schnittke chorégraphié par Martin Schläpfer.

> Karambolage peut être visionné en ligne sur www.arte-tv.com.

ZDF

“Malgré la création d’ARTE il y a bientôt douze ans,

les Français ne sont toujours pas très intéressés

par ce qui se passe de l’autre côté du Rhin.

Ils ont bien tort car, de la confrontation avec une autre

culture, jaillissent encore mieux les contours et les formes

de sa propre culture. Le principe de Karambolage permet

de s’approcher au plus près du cœur de nos cultures

respectives, tout en évitant de tomber dans les stéréotypes

et les poncifs. Puisque seul le détail nous intéresse –

le mot, l’objet, etc. – et que le détail ne ment pas !

Ayant vécu quinze ans en Allemagne, j’ai eu envie de faire

partager aux téléspectateurs d’ARTE ce jeu de l’esprit qui

consiste à être dans un va-et-vient constant entre deux pays,

deux mondes, deux cultures.”

(Claire Doutriaux, responsable du magazine)

dimanche18/1

21.40Voyage au tempsdes ténèbres (3)Adam, le ménestrelSérie documentaire en quatre parties d’Uwe Kersten et Christian Feyerabend(Allemagne, 2004, 52mn)

Les aventures d’Adam, ménestrelet bateleur, nous font découvrir lavie des paysans, les transforma-tions du monde rural et les pre-mières étapes de la modernisationde la société.Au Moyen Âge, les paysans, lesserfs et les journaliers repré-sentent les trois quarts de lapopulation et nourrissent lequart restant, formé par leschevaliers et les ecclésias-tiques. Eux-mêmes vivent

dimanche18/1

ZDF

20.45Voyage au tempsdes ténèbres (2)Le moine EdwardSérie documentaire en quatre parties d’Uwe Kersten et Christian Feyerabend(Allemagne, 2004, 52mn)

Parti d’Écosse pour gagner Tolède en passant par Saint-Jacques-de-Compostelle, le pays cathare et Rome,le moine Edward revient riche desavoir et plein de foi en… la raisonhumaine.Edward appartient au monastèreSaint Andrews en Écosse. Surordre du père supérieur, il part enmission à Tolède. Il doit en rap-porter un précieux ouvrage pourla bibliothèque du monastère.Mais il profite aussi du voyagepour suivre d’abord le chemin de

Saint-Jacques. Les pèlerinagessont l’une des grandes aventuresdu Moyen Âge et le Codex calix-tinus, qui décrit les différentesroutes menant à Saint-Jacques,est en quelque sorte le premierguide touristique européen. Surle chemin du retour, Edward tra-verse le Languedoc, pays de “l’hé-résie cathare”. Trouvé en posses-sion d’une bible cathare, il esttraîné devant un tribunal del’Inquisition. Où l’on découvreque les procès de l’Inquisition,qui ont beaucoup contribué à l’image d’obscurantisme duMoyen Âge, jettent en fait lesbases de la juridiction moderne :l’innocence ou la culpabilité del’accusé ne dépendent plus du“jugement de Dieu”, mais d’uneenquête de l’inquisiteur…Rediffusion le 25 janvier à 14.50

Vivre au Moyen Âge : deux soirées “Thema”à découvrir les dimanches 11 et 18 janvier à 20.45.

En partenariat avec

> www.arte-tv.com

20.45>00.40 |THEMA

Vivre au Moyen ÂgeMoines, ménestrels et bâtisseursLes Européens du Moyen Âge sont habités par le désir d’explorer le monde extérieur, mais aussi leur univers intérieur.Un mouvement qui fonde l’époque moderne et caractérise encore l’Europe d’aujourd’hui.

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pourtant dans un grand dénue-ment. Or, la misère rend inven-tif. L’assolement triennal etl’invention du harnais (qui per-met de faire tirer la charrue pardes chevaux au lieu de bœufs)sont à l’origine d’une véritablerévolution agraire. Puis vientl’utilisation de l’eau et du ventcomme forces motrices, débou-chant sur le développementdes moulins qui vont faire del’Europe un continent céréalier.La révolution agraire et lacroissance des villes, induitepar une explosion démogra-phique inédite, favorisent àleur tour le développement dusystème fiscal : impôt sur lerevenu, taxe sur le chiffre d’af-faires et taxe à la valeur ajou-tée ont été créés entre le XIIIe etle XVe siècle…

22.30CadfaelL’apprenti du diableTéléfilm de Herbert Wise(Royaume-Uni, 1994, 1h15mn, VF)Scénario : Christopher Russel,d’après le roman d’Ellis PetersAvec : Derek Jacobi (Cadfael), TerrenceHardiman (Radulfus, le père supérieur), EionMcCarthy (Hugh Beringar), Michael Culver(Robert), Julian Firth (frère Jérôme),Christien Anholt (Meriet)Musique : Colin Towns

Un jeune homme qui semble possédépar le diable demande l’hospitalité àl’abbaye de Shrewsbury… Un polarmédiéval adapté des best-sellers dela romancière anglaise Ellis Peters.Dès sa première nuit à l’abbaye,le jeune Meriet, qui affirme vou-loir être moine, intrigue la com-munauté religieuse. Il fait d’hor-ribles cauchemars et semblepossédé par le démon. Peu après,on apprend que Peter Clemens,un dignitaire de l’Église apparentéà Meriet, a été assassiné. Unvagabond, soupçonné du meur-tre, est jeté dans la prison deShrewsbury. Lorsque Meriet ap-prend cela, il s’accuse du crime.Mais Cadfael, qui ne croit pas àcette version, mène l’enquête…Rediffusion le 21 janvier à 00.55

ARTE diffuse une première enquête

de Cadfael le dimanche 11 janvier.

23.45Voyage au tempsdes ténèbres (4)Heinrich Schuder,cosmographeSérie documentaire en quatre parties d’Uwe Kersten et Christian Feyerabend(Allemagne, 2004, 52mn)

La passion de Heinrich Schuder estd’explorer et de décrire l’univers. Aveclui, nous découvrons le développe-ment de l’urbanisme et les progrèsde la cartographie qui vont permettred’aborder de nouveaux mondes.Heinrich Schuder est en missionsecrète à Venise où il doit copierdes cartes marines pour le comptede la ville de Nuremberg, dési-reuse de s’associer aux Portugaispour commercer avec l’Inde. Il ydécouvre pourquoi les commer-çants vénitiens n’ont pas besoind’argent liquide : ils ont déjà ima-giné le principe de la monnaiefiduciaire et mis en place le sys-tème bancaire qui, à peu de cho-ses près, est toujours le nôtre – etdont l’origine italienne se litencore dans des mots commeagio. À Venise, Schuder rencontreaussi la peste, mais parvient àquitter la ville avant d’être mis enquarantaine. Sur le chemin duretour, il s’arrête à Fribourg. Duhaut de la cathédrale, il contemplela vie animée des rues et des ruel-les. Nous découvrons que la crois-sance des villes médiévales n’était pas aussi désordonnéequ’on l’imagine…

dimanche18/1

ZDF

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14.00Voyage au centre du Gulf Stream (1)(Rediffusion du 12 janvier)

14.45Lola(Rediffusion du 5 janvier)

15.15Les âmes fortes(Rediffusion du 5 janvier)

17.00Le forum des Européens(Rediffusion du 17 janvier)

17.45Pour une danse ou pour la vie (6)(Rediffusion du 12 janvier)

18.15Lola(Rediffusion du 5 janvier)

18.45ARTE Info19.00ARTE DÉCOUVERTEÀ la recherche des émeraudes19.45ARTE Info20.00Le journal de la culture20.10ARTE Météo20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIREPremiers secours (1)

20.45CINÉMAInvincibleFilm de Werner Herzog

22.45GRAND FORMATThalidomide :les parents trahisDocumentaire d’Andreas Fischer

00.30ARTE Info00.40Que la fête commence(Rediffusion du 8 janvier)

lundi19/1

19.00 | ARTE DÉCOUVERTE

À la recherchedes émeraudesLa chasse auxpierres précieusesen ColombieDocumentaire de Sylvio Heufelder(Allemagne, 2003-41mn)ZDF

Dans “ARTE Découverte” cettesemaine : un tour du monde des pier-res précieuses. Première étape enColombie, premier producteur mon-dial d’émeraudes.La Colombie fournit 60 % de laproduction mondiale d’émerau-des. Les gisements les plus fabu-leux, comme celui de Muzo, setrouvent dans les petits villagesde la partie orientale des Andes.Ces dernières années, les pro-priétaires des mines et les patronsdu cartel de la drogue se sontlivrés autour de cette pierre pré-cieuse une guerre sans merci, quis’est soldée par la victoire desexploitants. Le documentaire suitl’itinéraire d’une émeraude,depuis son extraction jusqu’auxâpres tractations des négociantssur le marché aux pierres pré-cieuses de Bogota. Il nous offreaussi une interview exception-nelle de Victor Carranza, le roi del’émeraude.Rediffusion le 26 janvier à 14.00

Au cours de l’été 2003, les consé-quences dramatiques de la cani-cule ont révélé aux Français unemisère humaine et sociale que lessapeurs-pompiers de Paris combattent quotidiennement.Premiers secours nous fait parta-ger la vie de ces hommes, loin del’image mythique du pompier lut-tant contre le feu du haut de lagrande échelle. Pendant plusieurssemaines, Philippe Borrel a suiviles premiers pas de trois jeunesrecrues âgées de 20 ans à peine.Avec eux, nous vivons les pre-mières interventions, les premierssecours, les premiers doutes, lespremiers nerfs qui craquent…

1. Le baptême de QuentinQuentin a une dette envers lespompiers, qui l’ont secouru aprèsun accident de vélo. Aujourd’hui,il veut à son tour sauver des vieset a choisi de s’engager dans labrigade des sapeurs-pompiers deParis. Lorsqu’arrive le jour de sonaffectation en compagnie d’in-cendie, Quentin sait que rien n’estgagné. Pendant ses deux premiersmois sur le terrain, il peut êtrerenvoyé, ou démissionner. Passéce délai, il sera engagé pour cinqans. Quentin ignore encore ce quil’attend. Sera-t-il à la hauteur ?Rediffusion le 26 janvier à 17.45

Câble et satellitede 14.00 à 19.00

Les horaires correspondent aux codes PDC,sauf indication contraire.

20.15 | LE FEUILLETON DOCUMENTAIRE

Premiers secours (1)Feuilleton documentaire de Philippe Borrel (France, 2003, 5x26mn)Coproduction : ARTE, 2P2LARTE G.E.I.E.

Quentin, Ludovic et Samir rêvent de devenir soldats dufeu. Avec eux, pénétrez dans l’univers d’un corpsd’élite : la brigade des sapeurs-pompiers de Paris. Tousles soirs à 20.15, jusqu’à vendredi.

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Film de Werner Herzog(Allemagne/Royaume-Uni/États-Unis/Irlande,2000, 2h04mn, VOSTF)Scénario : Werner HerzogAvec : Jouko Ahola (Zishe Breitbart),Tim Roth (Hanussen), Anna Gourari (Marta Farra), Max Raabe (le conférencier),Jakob Wein (Benjamin), Gustav-PeterWöhler (Landwehr), Udo Kier (Helldorf),Herbert Golder (le rabbin Edelmann), GaryBart (le père), Renate Krößner (la mère)Image : Peter ZeitlingerMontage : Joe BiniMusique : Hans ZimmerProduction : Tatfilm, Werner Herzog Film,LittleBirdARTE FRANCE / WDR

Zishe Breitbart, fils aîné d’une famille juive, vit dansun shetl en Pologne et travaille avec son père à laforge. D’une force hors du commun, il est repérépar un agent d’artistes de variétés. C’est ainsi qu’ildébarque un beau jour à Berlin, où il est embau-ché comme Hercule dans le show d’Hanussen. Cedernier, dans son “Palais de l’occulte”, joue lesdevins, attise la ferveur des nazis et prédit l’avène-ment d’Hitler. Zishe, lui, doit se transformer chaquenuit en Siegfried, héros germanique, et épater lajeune garde nazie en brisant des chaînes et en tor-dant des sabres. Mais un soir, sur scène, après lavisite de sa mère et de son petit frère Benjamin(aussi intelligent que lui-même est fort), Zishe,dégoûté par le jeu qu’Hanussen lui fait jouer, retiresa perruque blonde et révèle au public sa judaïté.Désormais, il sera Samson, colosse défenseur dupeuple juif…

Au bord du gouffreAvec ces deux personnages aux antipodes l’un del’autre, Zishe le simple forgeron et Hanussen le magemanipulateur, Werner Herzog met en scène les des-tins hors du commun de deux juifs entraînés dansle tourbillon de l’histoire. Leurs parcours tragiquesse croisent dans le scintillant décor d’une scène devariétés berlinoise. Confrontés à la montée dunazisme, ils ont tous deux saisi, avant l’heure, l’am-pleur du drame qui est sur le point de frapper lesjuifs en Europe. Hanussen, brillant meneur d’hom-mes, profite de la situation pour se hisser au sommetdu pouvoir, jouant le jeu de l’ennemi et misant surla crédulité des humains. Zishe, droit et intègre,pense avoir été choisi pour sauver son peuple et veutle préparer à se défendre. Ils voient tous deux plusloin que le commun des mortels, mais seront tousdeux stoppés net par un destin contraire, à la veillede l’accession d’Hitler au pouvoir…

20.45CINÉMA

Invincible

Au début des années 30, Zishe Breitbart, forgeron juif d’une forcepeu commune, devient artiste de variétés à Berlin et incarne surscène les héros germaniques devant des nazis enthousiastes…Une histoire vraie dont Werner Herzog s’est inspiré pour son retour au cinéma, après dix ans consacrés à la télévisionet au documentaire.

lundi19/1

Connu dans les pays francophones sous le nom dethalidomide (et sous celui de Contergan enAllemagne), ce médicament aux propriétés tran-quillisantes et sédatives a été prescrit aux femmesenceintes par de nombreux médecins allemands àla fin des années 50. Or, la thalidomide agit sur ledéveloppement du fœtus, provoquant chez lui desmalformations morphologiques. En Allemagne,entre 1959 et 1962, 5 000 bébés sont nés avec detrès graves déformations congénitales. Les médiasavaient publié à l’époque de terribles photos : desenfants aux bras réduits à l’état de moignons, auxmains dépourvues de doigts… La moitié de cesenfants handicapés n’ont pas survécu.Ce documentaire donne la parole aux pères et auxmères de ces enfants, qui évoquent tour à tour leurrencontre, leur mariage, la grossesse, les premièresinquiétudes, la naissance du bébé, le choc de ladécouverte de sa malformation. Puis, par la suite,les difficultés rencontrées pour élever cet enfanthandicapé, le sentiment de culpabilité permanent…Andreas Fischler a imaginé un dispositif original et

pudique pour laisser s’exprimer les parents sur cetteexpérience traumatisante, grâce à trois paroles quise relaient en permanence : une personne raconteson histoire, une deuxième la poursuit à partir de sonpropre vécu et une troisième commente les événe-ments racontés. Ainsi, les parcours de chacun secroisent et s’interpénètrent, l’histoire de chaqueparent touché par le drame s’exprime en même tantque l’histoire générale de ce scandale médical degrande ampleur.> www.arte-tv.com

22.45 |GRAND FORMAT

Thalidomide : les parents trahis Comment les parents des bébés victimes de la thalidomide ont-ils vécu le fait de mettre au monde et d’élever un enfanthandicapé ? Andreas Fischler donne la parole à ces pères et mères longtemps tenaillés par la culpabilité.

La thalidomide a fait desravages à la fin des années50 et au début des années 60,principalement en Europe,et au Canada, entraînant de graves malformations chez les nouveau-nés.

Documentaire d’Andreas Fischler(Allemagne, 2002-1h40mn)

WDR

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FILM

sortie DVD le 20 janvier

Étape au bord de la Baltique, eldoradodes chercheurs d’ambre.L’ambre est un don de la mer. Il“vogue” sur la crête des vagues,avant de s’échouer sur les plagesau gré des tempêtes. Car l’ambren’est pas une pierre : il provientd’éléments de résine fossilisésissus de cèdres qui ont vécu il ya 40 à 60 millions d’années.L’ambre est aussi présent dans le

14.45Hippocrate(Allemagne, 2003, 26mn)ZDF

Si les Français connaissent main-tenant mieux la mucoviscidosegrâce au Téléthon, les autresEuropéens se mobilisent aussipour lutter contre cette maladiegénétique. En Allemagne, onestime à 8 000 le nombre de per-sonnes atteintes. Hippocratefait le point sur les traitementsactuels, les recherches en courset les campagnes d’informationnécessaires.

17.10Les grandsduels du sportBoxe : Cuba / États-UnisRéalisation : Gonzalo Arijon(France, 2003, 41mn)ARTE FRANCE

Le contentieux politique entreCuba et les États-Unis s’exprimepériodiquement à travers le base-ball, et plus encore à travers laboxe. Dans cette discipline long-temps reine chez l’oncle Sam, les“petits Cubains” s’offrent desacrées revanches…

sous-sol : une carrière à cielouvert (unique au monde) estexploitée depuis plus de cent ansprès du petit village de Jantarny,dans la province de Kaliningrad.À l’origine entreprise prussienne,ce site minier est ensuite devenu un combinat soviétique.Aujourd’hui encore, l’État russea le monopole de l’exploitation…Rediffusion le 27 janvier à 14.00

14.00Voyage au centre du Gulf Stream (2)(Rediffusion du 13 janvier)

14.45Hippocrate15.15Le kid(Rediffusion du 1er janvier)

16.05Une vie de chien(Rediffusion du 1er janvier)

16.40Chaplin aujourd’hui(Rediffusion du 30 décembre 2003)

17.10Les grands duels du sport17.50Pour une danse ou pour la vie (7)(Rediffusion du 13 janvier)

18.15Hippocrate(Rediffusion du 20 janvier)

18.45ARTE Info19.00ARTE DÉCOUVERTEL’ambre,l’or de la mer Baltique19.45ARTE Info20.00Le journal de la culture20.10ARTE Météo20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIREPremiers secours (2)

20.45>22.45THEMATrafics d’enfants20.45Organes à vendreDocumentaire d’Hervé Martin Delpierre

21.35 (PDC : 21.40)

Débat21.50 (PDC : 21.55)

Enfants prostitués :le marché de la honteDocumentaire d’Andrew Smith et Liviu Tipurita

22.45FICTIONAu commissariat !Téléfilm d’Andreas Dresen

00.20ARTE Info00.35MEDIUMMods01.30 (PDC : 01.35)

Cadfael : un cadavre de trop(Rediffusion du 11 janvier)

mardi20/1Câble et satellitede 14.00 à 19.00

Dans “ARTE Découverte” cette semaine : un tour du monde des pierresprécieuses.

19.00 | ARTE DÉCOUVERTE

L’ambre, l’or de la merBaltiqueDocumentaire de Monika von Behr (Allemagne, 2003, 43mn)ZDF

2. Le choix de SamirSamir, 23 ans, a grandi dans unecité au nord de la capitale. À l’École des sapeurs-pompiers deParis, il s’est révélé l’un desmeilleurs élèves de son contin-gent et un bon camarade appré-cié de tous. En même temps queson nouveau métier, Samir a

découvert l’islam. Depuis unesemaine, il est en poste dans unepetite caserne de banlieue où lerythme est infernal. Et les priè-res de Samir en font les frais. Lemétier de sapeur-pompier est exi-geant. L’islam de Samir aussi.Réussira-t-il à concilier les deux ?Rediffusion le 27 janvier à 17.45

20.15 | LE FEUILLETON DOCUMENTAIRE

Premiers secours (2)Feuilleton documentaire de Philippe Borrel (France, 2003, 5x26mn)Coproduction : ARTE, 2P2LARTE G.E.I.E.

Quentin, Ludovic et Samir rêvent de devenir soldats du feu. Avec eux,pénétrez dans l’univers d’un corps d’élite : la brigade des sapeurs-pompiersde Paris. Tous les soirs à 20.15, jusqu’à vendredi.

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Dans le feu de l’action avec les sapeurs-pompiers de Paris.

mardi20/1

ARTE FRANCE

20.45Organes à vendreDocumentaire d’Hervé Martin Delpierre (France, 2003, 52mn)Coproduction : ARTE France, Génération Vidéo

La Turquie, plaque tournante du trafic d’organes prélevéssur des enfants ? À travers les destins croisés de Nezihaet Metin, Hervé Martin Delpierre enquête sur la réalité dece trafic, ses réseaux et son fonctionnement. Pendant deux ans, le réalisateur et son équipe onttenté d’infiltrer ce commerce de la honte. Avec la com-plicité du journaliste Metin Karaarslan, Hervé MartinDelpierre s’est fait passer pour un riche Européen quicherche un rein pour son fils. Il a ainsi rencontré tousles acteurs du trafic d’organes (vendeurs, médecinsvéreux, acheteurs…) et localisé les cliniques où les“patients”, enlevés ou achetés, sont opérés de force.Parallèlement, on suit l’histoire de Neziha, dont le filsa “perdu” un rein. Devant la justice locale et nationale,Neziha se bat pour faire reconnaître la notion de vold’organe. Mais elle se heurte à la réticence des auto-rités et des juges, ainsi qu’à une législation ambiguë.

Réseaux criminelsAvec ce documentaire tourné comme un polar, HervéMartin Delpierre aborde la question du crime orga-nisé aux marches de l’Europe. Pour la société turque,le trafic d’organes est un fléau. Les victimes sontpresque toujours pauvres ou en marge de la société –une fragilité dont profitent les mafieux. Les séquen-ces où Metin Karaarslan négocie le prix d’un rein mon-trent le cynisme des trafiquants : on marchande, onaccorde une ristourne, on fait jouer la concurrence…La seule chose qui importe, c’est de faire correspondrel’offre à la demande. Le rein d’un enfant peut ainsi semonnayer jusqu’à 70 000 euros. Pour les populationsles plus misérables ou les plus endettées, il est difficilede résister à la tentation de cet argent facile.

20.45>22.45 |THEMA

Trafics d’enfantsLes trafics d’organes en Turquie et les réseaux pédophiles mis en place à partir de la Roumanie : deux enquêtes édifiantes sur l’exploitation des enfants aux marches de l’Europe.

En Turquie, faute de législation spécifique, les affaires de trafic d’organes sont considérées comme des faits divers.

Soirée présentée et animée par Lothaire Burg

En partenariat avec

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20.45>22.45 |THEMA Trafics d’enfants

Enquête sur une réalité terrifiante : comment les enfantsdes rues de Bucarest sont utilisés pour alimenter lesréseaux pédophiles d’Europe de l’Ouest.Après avoir lu un rapport sur l’augmentation sou-daine de la prostitution infantile, Liviu Tipuritadécide d’enquêter dans son pays natal, laRoumanie. Il y fait la connaissance de Laurentiu, 15 ans, qui vit dans le métro de Bucarest avec unebande d’enfants abandonnés. Ceux-ci n’ont d’au-tre ressource que de faire la manche – une situationdont profite un nombre croissant de pédophilesroumains, mais aussi européens. Laurentiu, lui, seprostitue pour des étrangers depuis l’âge de 12 ans.Un de ses clients, un riche Allemand, lui a achetéun passeport qui doit lui permettre de quitter le

pays. Mais cette promesse d’un avenir meilleurcache souvent une réalité terrifiante : le trafic d’en-fants vers les réseaux pédophiles des pays del’Europe de l’Ouest. L’une des principales destina-tions est l’Italie. Liviu Tipurita suit la piste jusqu’àMilan et découvre une sorte de campement rou-main. Aux abords du lieu, les jeunes garçons traî-nent en compagnie de prostitués plus âgés. Un gar-çon de 14 ans propose une passe au réalisateur.Lorsque celui-ci s’enquiert du prix, l’adolescentrépond : “Voyez avec mon père.” Sidéré, LiviuTipurita voit s’approcher le père du garçon qui com-mence à négocier les prix d’une fellation et d’unepénétration…

21.50Enfants prostitués Le marché de la honteDocumentaire d’Andrew Smith et Liviu Tipurita(Royaume-Uni, 2003, 49mn)Production : Hardcash Productions, Channel 4

21.35Débat(2004, 15mn)

Animé par Lothaire BurgLes noms des intervenants serontcommuniqués ultérieurement

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mardi20/1

(Die Polizistin)Téléfilm d’Andreas Dresen(Allemagne, 2000, 1h36mn, VF)Scénario: Laïla StielerAvec : Gabriela Maria Schmeide (Anne),Axel Prahl (Mike), Jevgenij Sitochin (Jegor),Katrin Saß (Mme Kubitschek), Horst Krause(Albert), Martin Seifert (M. Kubitschek),Klaus Manchen (Wagner), HeidemarieSchneider (Mme Seifert), Ursula Werner(Mme Schmiedel), Peter Pauli (Papa Schmiedel), Eberhard Bremer (Otto)Image : Michael HammonMontage : Monika SchindlerSon : Peter SchmidtProduction : WDR, UFA Film und TVProduktion WDRPRIX ADOLF-GRIMME 2001

PRIX DU MEILLEUR TÉLÉFILM DE L’ACADÉMIE

ALLEMANDE DES ARTS VIVANTS 2000

Anne, 27 ans, vient de terminer àBerlin une formation dans lapolice. Pour son premier poste,elle est affectée au commissariatd’une banlieue défavorisée deRostock, sur les bords de laBaltique. Tours de béton, avenuessans âme, chômage chronique,vies sans avenir, délinquance… :Anne a du mal à faire face à tou-tes les détresses et à conserver ladistance qui s’impose pour unofficier de police. Par ailleurs, elleaimerait bien tomber amoureuse,mais la perspective d’une liaison

avec un de ses collègues mariésn’est pas réjouissante. Un jour,Anne croise le chemin de Benny,10 ans, qui pique dans les super-marchés. Peu après, elle fait laconnaissance de son père Jegor,petit malfrat d’origine russe…

Situation grave, mais pas désespéréeS’inspirant de faits réels consignésdans le journal d’une fonctionnairede police, le réalisateur est-alle-mand Andreas Dresen (Ours d’or en2001 pour Grillpoint) pose unregard presque documentaire sur lavie quotidienne à Rostock. Le tan-dem qu’il forme avec Laïla Stieler,sa scénariste attitrée, excelle àdécrire sans fard la société alle-mande, avec ses marginaux et seslaissés-pour-compte. Seule lueurd’espoir : une solidarité qui dépasseles frontières et les barrières socia-les et une chaleur humaine quirésiste à tout, même aux situationsles plus désespérées. Au commis-sariat ! a reçu en 2001 le Prix Adolf-Grimme (or) et le Prix du meilleurtéléfilm de l’Académie allemandedes arts vivants en 2000.Rediffusion le 25 janvier à 00.40

00.35 | MEDIUM

ModsMoyen métrage de Serge Bozon(France, 2002, 59mn) Scénario : Axelle RopertAvec : Laurent Lacotte (Édouard), GuillaumeVerdier (François), Serge Bozon (Paul),Vladimir Léon (Charles), Axelle Ropert(Anna), Patricia Barzyk (Catherine)Image : Céline BozonSon : Laurent Gabiot et Mélissa PetitjeanMusique : Phil and the Frantics, The AlarmClocks, The Seeds, The Callico Wall,The Unrelated SegmentsProduction : ShellacPRIX LÉO-SCHEER, BELFORT 2002

PRIX DE LA PRESSE, PANTIN 2003

“Medium”, le troisième mardi du mois vers 00.30 : diffusésdepuis février 2001 sur le câble et le satellite dans Court-circuit (le magazine), les moyens métragesarrivent sur le réseau hertzien !

Une comédie musicale sur le campus,le deuxième film réalisé par l’acteurSerge Bozon (L’amitié, 1998).Deux militaires arrivent sur uncampus universitaire pour aiderleur frère, étudiant, qui est tombémalade. Dans cet univers étranger,à l’écoute des souvenirs de leurfrère et des rumeurs venuesd’ailleurs, ils vont de surprise ensurprise…

À venir dans “Medium” :

Le pré de Béjine de Sergeï Eisenstein

(le 17 février), Seule d’Erick Zonca

(le 16 mars), Les hommes

qui marchent sur la queue du tigre

d’Akira Kurosawa (le 23 mars).

22.45 | FICTION

Au commissariat !Pour son premier poste dans la police allemande, Anne est envoyée dans une banlieue défavorisée de Rostock… Une fiction dure,au plus près du réel, mais qui montre que la solidarité peut dépasser les frontières et les barrières sociales.

Sous les yeux de la jeune policière Anne (Gabriela Maria Schmeide), son collège Albert (Horst Krause) vire sans ménagements un SDF.

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Ça vous rappelle qui ?

19.00 | ARTE DÉCOUVERTE

Chercheursd’opales en AustralieDocumentaire de Sylvio Heufelder(Allemagne, 2001, 41mn)ZDF(Rediffusion du 13 mars 2002)

Dans “ARTE Découverte” cettesemaine : un tour du monde des pierres précieuses. Troisièmeétape dans le désert australien,chez les chercheurs d’opales.

Vu d’avion, le désert de CooberPedy, situé au cœur de l’outbackaustralien, ressemble à un pay-sage lunaire. Mais ces monticu-les de terre qui ont l’air de taupinières recèlent en fait une intense activité humaine.Géologues, aventuriers et hom-mes d’affaires y sont attirés parles plus grands gisements aumonde d’opale. De la mine à lajoaillerie en passant par la tailleet le commerce de gros, SylvioHeufelder a suivi le parcours de cette pierre vert bleuâtre auxreflets irisés, à laquelle une vieille superstition attribue uneinfluence malfaisante.

Rediffusion le 28 janvier à 14.00

14.00J’étais chasseur de baleines(Rediffusion du 14 janvier)

14.45Capté !15.15Oumou Sy(Rediffusion du 9 janvier)

16.05À la mama Benz !(Rediffusion du 9 janvier)

17.15Cuisines des terroirsPays de Galles(Rediffusion du 4 mai 2003)

17.45Pour une danse ou pour la vie (8)(Rediffusion du 14 janvier)

18.15Capté !(Rediffusion du 21 janvier)

18.45ARTE Info19.00ARTE DÉCOUVERTEChercheurs d’opales en Australie19.45ARTE Info20.00Le journal de la culture20.10ARTE Météo20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIREPremiers secours (3)

20.45LES MERCREDIS DE L’HISTOIRE1944, la reddition de la colonne ElsterDocumentaire de Barbara Dickenberger et Mike Conant

21.40 (PDC : 21.45)

ARTE Reportage22.30 (PDC : 22.40)

Le dessous des cartes22.45 (PDC : 22.50)

CINÉMAChen Mo et Meiting Film de Liu Hao

00.00 (PDC : 00.05)

ARTE Info00.10 (PDC : 00.15)

Court-circuit (le magazine) n° 15600.55 (PDC : 01.00)

Cadfael : l’apprenti du diable(Rediffusion du 18 janvier)

02.15Prisonnier de l’attente(Rediffusion du 15 janvier)

mercredi21/1

20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIRE

Premierssecours (3)Feuilleton documentaire de Philippe Borrel(France, 2003, 5x26mn)Coproduction : ARTE, 2P2LARTE G.E.I.E.

Quentin, Ludovic et Samir rêvent dedevenir soldats du feu. Avec eux,pénétrez dans l’univers d’un corpsd’élite : la brigade des sapeurs-pom-piers de Paris. Tous les soirs à 20.15,jusqu’à vendredi.

3. Le feu sacré d’AurélienEn six ans de service, AurélienUlmer n’a jamais craqué. Il n’aque 25 ans mais beaucoup deprincipes. Déjà gradé, le caporal-chef Ulmer est chargé de mettreà l’épreuve les nouvelles recrues :il ne supporte pas la mollesse deses bleus, à peine plus jeunes quelui. Aussi exigeant pour lui-mêmeque pour les autres, Aurélien rêvede devenir sergent. Lors d’unstage commando, il se retrouvesous le feu des critiques d’unlieutenant : il doit prouver qu’il estcapable de commander ungroupe et de combattre le feu, dese remettre en question…Rediffusion le 28 janvier à 17.45

Câble et satellitede 14.00 à 19.00

14.45Capté !(Allemagne, 2003, 26mn)ZDF

Au sommaire cette semaine : lenouveau marché noir du charbonen Silésie ; le travail médiatiquedes altermondialistes d’Attac enAllemagne ; visite au centre deformation des futurs soldats dela Jesus Revolution Army, fondéeà Oslo en 1997 ; l’université deBayreuth a créé un mastère euro-péen de management sportif…

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Deux chercheurs d’opales sur leur concession.

mercredi21/1

Documentaire de Barbara Dickenberger et Mike Conant

(Allemagne, 2003, 59mn)HR

Le général prussien Botho Henning Elster (1894-1952) participe dès le 1er août 1939 aux opérationsmilitaires allemandes, d’abord à la tête d’unitésblindées. Un temps en réserve de l’état-major dela Wehrmacht – où il a l’impression d’être mis auplacard parce qu’“antinazi” –, il est finalementaffecté en France en 1943. Entre avril et septem-bre 1944, il dirige la Feldkommandantur deMarseille puis de Biarritz. Lors du repli, Elster estchargé, à sa grande surprise, de commander unearrière-garde de 25 000 hommes. Tout en remontantvers le nord, il prend secrètement contact avec laRésistance puis avec les Américains, pour préparersa capitulation. Convaincu de la défaite imminentede son pays, Elster estime qu’il faut arrêter les hos-tilités et épargner la vie des soldats. Mais il ne veutse rendre qu’à une unité militaire régulière.

Ce sera chose faite le 14 septembre 1944 àBeaugency, sur la Loire, où la 822e Military PoliceCompany américaine entérine sa reddition.Jusqu’en février 1947, Elster sera donc prisonnierde guerre, d’abord des Américains puis desBritanniques. Pendant sa captivité, il doit essuyerles insultes de nombreux codétenus allemands,pour lesquels il est un traître. Quelques semainesavant la capitulation de l’Allemagne nazie, il serad’ailleurs condamné à mort par contumace par laVolksgerichthof.Des entretiens avec des historiens, des résistants,des civils et des proches du général permettent dedresser le portrait d’un homme qui a décidé detransgresser les ordres de ses supérieurs.Rediffusion le 23 janvier à 16.45

En partenariat avec

20.45 |LES MERCREDIS DE L’HISTOIRE

1944, la reddition de la colonne ElsterEn 1944, trois mois après le débarquement allié en Normandie,un général de division allemand organise une spectaculaireopération de reddition. Portrait de Botho Henning Elster, héros pour les uns et traître pour les autres.

de certains Pékinois, ainsi que des problèmessociaux tels que la prostitution, la toxicomanie, lechômage ou l’urbanisation effrénée, n’était pas faitepour plaire aux autorités chinoises. Celles-ci ontdonc fait jouer la censure pour empêcher le filmd’exister. Les rushes ont alors été sortis clandesti-nement de Chine et le film a été terminé à Berlinavant d’y être présenté. Ces images d’un Pékin hiver-nal, de la grisaille omniprésente dans les rues et lesintérieurs, ont constitué une découverte pour lepublic comme pour la critique. Ce jeune réalisateurqui filme uniquement en extérieurs et sans lumièreadditionnelle est aux antipodes des cinéastes chi-nois de la génération précédente, qui produisaientdes images lourdement chargées de symboles. Ici,l’approche est réaliste, presque documentaire – LiuHao a commencé sa carrière comme journaliste-reporter. Il a par ailleurs remporté un prix pour leclip musical Drunk concubine qui présentait unemise en scène de l’Opéra de Pékin.

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mercredi21/1

21.40 ARTE ReportageMagazine de l’actualité internationale(France, 2004, 52mn) ARTE G.E.I.E.

Présenté par Vladimir Vasak

Ce nouveau magazine abordechaque semaine deux ou troisthèmes de l’actualité internationale.Des rappels historiques, des don-nées géopolitiques, géogra-phiques ou économiques vien-nent compléter les reportages –dont un de 26 minutes – afin demieux décrypter les grandsenjeux de la planète.Rediffusion le 22 janvier à 16.50

En partenariat avec

Le sommaire de cette émission sera

communiqué ultérieurement.

Contact presse : Nadia Refsi,

01 55 00 70 23, n-refsi@artefrance.fr

22.30Le dessous des cartesMagazine géopolitique de Jean-Christophe VictorRéalisation : Alain Jomier (France, 2003, 10mn)ARTE FRANCE

Définir les génocidesÀ l’occasion de la Journée de lamémoire de l’holocauste, le 27 janvier, Catherine Coquio, pré-sidente de l’Association interna-tionale de recherche sur les crimes contre l’humanité et lesgénocides (AIRCRIGE), et Jean-Christophe Victor réfléchissent surles formes passées et présentes del’extrême violence politique et surla définition du génocide.En partenariat

Meiting a accepté un boulot de coiffeuse parceque le salon met un logement à sa disposition. Unjour, un jeune homme poursuivi par la police luiremet précipitamment les fleurs qu’il était en trainde vendre. L’inconnu vient le lendemainrécupérer son bien. Il s’appelle Chen Mo et estvenu en ville gagner de l’argent pour payer uneopération des yeux à son jeune frère menacé decécité. Une étrange relation s’instaure entre ChenMo et Meiting. Ils s’épaulent mutuellement etfinissent par se créer un semblant de foyer dansune chambre minuscule et minable. Mais leurhistoire tourne court et Meiting prend la fuite.Ayant perdu son emploi, elle commence àtravailler dans une boîte de nuit. Chen Mo part àsa recherche…

Pékin en hiverPremier film de Liu Hao, Chen Mo et Meiting a étéparticulièrement remarqué lors du Festival de Berlin2002 (il figurait dans la section Forum), obtenantune mention spéciale dans le cadre du Prix Première.L’idée de présenter les conditions de vie misérables

22.45 |CINÉMA

Chen Mo et Meiting À Pékin, un vendeur de fleurs à la sauvette et une coiffeuse se rencontrent par hasard et décident de se soutenir mutuellement.Tourné clandestinement, un portrait sans fard des déshérités de la société chinoise actuelle.

Film de Liu Hao (Chine/Allemagne, 2002, 1h15mn, VOSTF)Scénario : Liu HaoAvec : Wang Lingbo (Chen Mo),Du Huanan (Meiting)Image : Li BingqiangSon : Wang YuMontage : Li QingMusique : Song GeProduction : Liu Hao Film ProductionZDF

★ Année de la Chine

mercredi21/1

Court-circuit (le magazine) estdésormais rediffusé sur le câble et le satellite le vendredi à 15.15.À découvrir également le vendredi 23 janvier : L’oie sauvage, moyenmétrage de Hassanpoor Siroos.

Spécial Iran

Le court métrage en IranEn octobre dernier a eu lieu àTéhéran la 20e édition du plusimportant festival iranien de court métrage. Court-circuit (lemagazine) a rencontré HassanDezvareh, directeur du festival,Mohammed Shaba, directeur del’École nationale du cinéma àTéhéran, et Mohammed Afarideh,président de l’Institut du jeunecinéma iranien.

Le vent rougeCourt métrage d’Ali Mohammad Ghasemi(Iran, 2002, 14mn)

Production : Iranian Young Cinema Society

Un homme croit qu’il doit sacri-fier des gens pour satisfaire lavolonté de Dieu. Cette convictionle conduira à sa perte.

ShalizehCourt métrage d’Azam Najafian (Iran, 2002, 15mn)

Production : Iranian Young Cinema Society

Une jeune fille attend tous lesjours le retour de son grand frèreparti à la guerre il y a un an etdont on est sans nouvelles. Ellese souvient des jours heureux.

RooznamehCourt métrage de Safoura Mohammadali(Iran, 2002, 6mn)Production : DEFC

Durant le printemps 2002, sixjeunes se noient dans le bassindu parc de Téhéran…

00.10Court-circuit (le magazine) n° 156Le rendez-vous du court métrage (Allemagne, 2004, 45mn)ZDF

En quinze ans, le cinéma iraniens’est imposé dans tous les festivalsinternationaux. Une soixantainede films et près de sept centscourts métrages sont produitschaque année. Comment expli-quer un tel engouement desIraniens pour le 7e art ? Lorsqu’onobserve la production cinémato-graphique, on se rend comptequ’en Iran, tout est prétexte àfaire un film. Des prisons pourfemmes aux toilettes publiquesen passant par les écoles de théo-logie ou les anciens bordels trans-formés en centres d’alphabétisa-tion, rares sont les lieux qui n’ontpas encore reçu la visite d’unecaméra… Dans ce pays régi par lesmollahs depuis vingt-cinq ans,filmer est devenu le principalmoyen de s’évader, quelquechose de l’ordre de la survie, unesorte d’auto-analyse. On racontedes histoires pour ne pas mourir,un peu comme Shéhérazade dansLes contes des mille et une nuits.Pour la jeunesse iranienne, lecinéma est un moyen de s’expri-

mer, de se défouler, de soignerses névroses…Paradoxalement, le succès dujeune cinéma iranien doit aussibeaucoup au pouvoir islamique,notamment à travers l’Institut dujeune cinéma iranien. Cette insti-tution réputée ne possède pasmoins de cinquante-trois bureauxrépartis sur l’ensemble du terri-toire, chargés de repérer les futurstalents et de les former. Mais c’estsurtout le succès obtenu parAbbas Kiarostami et MohsenMakhmalbaf qui a provoqué unboom des vocations : pour beau-coup de jeunes Iraniens, devenircinéaste est devenu synonymed’enrichissement, d’ascensionsociale, de reconnaissance inter-nationale, de voyages à l’étran-ger… Un fantasme largemententretenu par le succès des nouveaux “golden boys”, parmilesquels Samira Makhmalbaf(Le tableau noir) et BahmanGhobadi (Un temps pour l’ivressedes chevaux).Nader Takmil Homayoun

Filmer pour voyager

En Iran, les jeunes ne rêvent pas de devenir footballeurs,mais cinéastes ! Éléments d’explicationpar Nader TakmilHomayoun, cinéaste et historien du cinéma.

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Shalizeh

Dans “ARTE Découverte” cettesemaine : un tour du monde des pier-res précieuses. Aujourd’hui, les facet-tes cachées des rubis de Birmanie. Les rubis de Birmanie, et plusparticulièrement ceux de Mogok,comptent parmi les pierres pré-cieuses les plus belles et les pluspures. On en oublierait presqueles autres facettes du diamantrouge : il est à la fois symbolereligieux, mais aussi la cause de l’exploitation de la population.Jeanette Erazo et SylvioHeufelder ont pris la route histo-rique du rubis jusqu’en Birmanieet ont filmé les conditions de viedans ce pays gouverné d’unemain de fer par les militaires. ÀMogok, ils ont découvert uncomptoir où, si l’on ne trouveplus de chevaliers d’industrie, lestraditions, elles, sont maintenues.Rediffusion le 29 janvier à 14.00

Comment devient-on un êtrehumain, capable d’établir desrelations avec les autres, d’agirde façon autonome et d’appren-dre ? La série s’appuie sur lesrecherches les plus récentes, surles travaux des précurseurs et desthéoriciens. Un détour vers d’au-tres pays montre la place de l’en-fant dans différents milieux etcultures.

3. Devenir pèreRéalisation : François Cardon

Le dialogue entre le père et l’en-fant s’établit dans le jeu et l’action.Pour l’enfant, la présence quoti-dienne du père ouvre de nouvel-les possibilités relationnelles.Jean Lecamus, l’un des pionniersde la recherche sur la fonctionpaternelle, a observé les échan-ges parents-enfants lors d’uneséance de “bébés nageurs”. Ilmontre comment, dans un milieu“à risques”, l’enfant oscille entrele besoin de protection et le désird’exploration.

En partenariat avec

14.00L’épave de l’Umbria(Rediffusion du 15 janvier)

14.45L’enfance pas à pas (3)

15.15Zéro défaut(Rediffusion du 16 janvier)

16.50ARTE Reportage(Rediffusion du 21 janvier)

17.45Pour une danse ou pour la vie (9)(Rediffusion du 15 janvier)

18.15L’enfance pas à pas (3)(Rediffusion du 22 janvier)

18.45ARTE Info19.00ARTE DÉCOUVERTELa fièvre du rubis19.45ARTE Info20.00Le journal de la culture20.10ARTE Météo20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIREPremiers secours (4)

20.45CINÉMAL’empereur et l’assassinFilm de Chen Kaige

23.25TracksSpécial Chine

00.20 (PDC : 00.15)

ARTE Info00.30 (PDC : 00.25)

Le canal impérialDocumentaire de Peter Brugger

jeudi22/1

20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIRE

Premierssecours (4)Feuilleton documentaire de Philippe Borrel(France, 2003, 5x26mn)Coproduction : ARTE, 2P2LARTE G.E.I.E.

Câble et satellitede 14.00 à 19.00

Les horaires correspondent aux codes PDC,sauf indication contraire.

14.45

L’enfancepas à pas (3)Série documentaire de Valérie Lumbroso(France, 2003, 13x26mn)Coproduction : ARTE France, GuilgameshARTE FRANCE

Une nouvelle série qui explore “pas àpas” l’évolution du jeune enfant,de la naissance à l’âge de 4 ans.

Quentin, Ludovic et Samir rêvent dedevenir soldats du feu. Avec eux,pénétrez dans l’univers d’un corpsd’élite : la brigade des sapeurs-pom-piers de Paris.

4. Ludovic sous influencePour devenir un soldat du feudans l’élite des pompiers, le jeune Ludovic Palanque a quittéMontpellier et fait venir sa copineà Paris. Il est prêt à tout sacrifierpour sa vocation. Il a réussi àbénéficier du soutien d’un mem-bre de sa famille : le capitaineLevasseur, commandant de la 2e compagnie, dont il est devenule protégé. Difficile quand on està la fois pistonné et sousinfluence. Le sapeur Palanquesaura-t-il satisfaire à la fois lesattentes de son protecteur et de sapetite amie ? Rediffusion le 29 janvier à 17.45

19.00 | ARTE DÉCOUVERTE

La fièvre durubisDocumentaire de Jeanette Erazo et SylvioHeufelder (Allemagne, 1999, 43mn)ZDF(Rediffusion du 20 mars 2002)

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jeudi22/1

(Ch’in)Film de Chen Kaige

(Taiwan, 1999, 2h43mn, VOSTF)Scénario : Wang Peigong, Chen Kaige

Avec : Gong Li (dame Zhao), Zhang Fengyi(Jing Ge, l’assassin), Li Xuejian (Ying Zheng,

le roi de Qin), Sun Zhou (Dan, le prince de Yan)

Image : Zhao FeiDécors : Tu Juhua

Son : Tao JingMontage : Zhao Xinxia

Costumes : Mo XiaominMusique : Zhao Jiping

Production : Chen Kaige, Shirley Kao,Satoru Iseki, Shin Corporation

ARTE FRANCE / ARD

IIIe siècle avant J.-C. Le roi de Qin est obsédé parl’idée de réunir les sept royaumes de Chine en unseul dont il prendrait la tête, devenant ainsi le pre-mier empereur chinois. Il promet à dame Zhao, sonamour d’enfance, qu’il accomplira cette destinéesans violences ni tueries. Elle lui propose alors defomenter un faux complot d’assassinat contre lui,qui légitimerait l’invasion du royaume de Van etrallierait les autres parties à sa cause. Pendantqu’elle recherche l’assassin avec qui elle liera uneintrigue amoureuse, le roi de Qin découvre la véritésur sa naissance et déclenche un bain de sang…

Fresque shakespearienne“Porter à l’écran une histoire vieille de plus de deuxmille ans, c’est à la fois un défi énorme et unegrande aventure. J’ai passé des heures en lecture etrecherches sur le sujet et le contexte historique : monintention n’était pas de faire une thèse, mais plu-tôt de tenter une approche shakespearienne du récit,dans le sens où ce film n’est pas une reconstitution

historique, mais plutôt une interprétation. Les per-sonnages surtout me passionnaient : ces gens ont laisséà jamais leur marque dans l’histoire, ce sont dessymboles. Au cours de mes recherches, j’ai comprisqu’ils étaient avant tout des être humains, pas trèsdifférents de nous, bien qu’ayant vécu il y a plusde deux mille ans. Ils ont assisté à l’aube de la civi-lisation chinoise et rêvé d’un avenir radieux. Commenous tous, les personnages ont eu à affronter deschoix difficiles : le pouvoir contre la liberté, la guerrecontre la paix, l’amour contre la haine. Un assas-sin, un homme qui gagne sa vie avec la mort des autres, change par amour et s’élève contre la tyran-nie au péril de sa vie. Une femme, en toute naïveté,croit que la bonté peut éviter un bain de sang. Unroi, dont l’idéal est grand, tombe dans les pièges dupouvoir et de l’ambition et y perd ceux qu’il aimaitle plus au monde…” (Chen Kaige)Le nouveau film de Chen Kaige, L’enfant au violon,

est actuellement en salles.

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20.45 |CINÉMA

L’empereur et l’assassin

Au IIIe siècle avant J.-C., le roi de Qin tente d’unifier les sept royaumes de Chine… Une fresque historique par le réalisateur d’Adieu ma concubine.

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★ Année de la Chine

jeudi22/1

23.25TracksMagazine musical (France, 2004, 52mn)Coproduction : ARTE France, Program 33ARTE FRANCE

Spécial Chine

Interview : Wang LeiAncien élève de l’École d’opératraditionnelle du Seichuan, WangLei a découvert la musique occi-dentale en regardant des vidéospirates de films américains.Auteur de six albums (dont troisde rock’n roll), organisateur deconcerts qui font de lui le parrainde la scène underground deCanton, Wang Lei se consacredésormais à la musique électro-nique. Rencontre.

Vision : Hong HollywoodLes scénaristes Julien Carbon etLaurent Courtiaud travaillent àHong Kong avec les réalisateursTsui-Hark (Black Mask, Time andTide) et Johnny To (The Mission).Ce sont les seuls Français à avoirpénétré les studios de HongKong. Visite guidée à travers lacité où s’écrit aujourd’hui unepage de l’histoire du cinéma.

Chinese avant-gardeOpprimés par Mao pendant laRévolution culturelle, les artisteschinois profitent aujourd’huid’une liberté nouvelle maisencore toute relative. Oubliées lesaffiches de propagande, la calli-graphie traditionnelle ou les fon-taines kitsch pour restaurants :les sculptures de Wang Du, fai-tes de papier journal recyclé, cri-tiquent la société du spectacle.Quant aux images numériques deDu Zhenjun, elles décrivent unmonde étrange et sombre où l’être humain disparaît pour lais-ser la place à un futur virtuel.

Dream : OutcastAu milieu des années 90, enpleine explosion gangsta rap, le duod’Atlanta Outkast met du fun et dufunk dans son hip-hop. Dix ansplus tard, Andre 3000 et Big Boisont toujours LA voix du dirtysouth.

Live : LiarsPunk ou glamour ? Les deux !Liars, c’est un trio installé àBrooklyn, emmené par un géantaustralien adorateur de SonicYouth. Sur scène, cela donne unrock cru avec des tenues à paillet-tes…Rediffusion le 24 janvier à 17.45

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00.30Le canalimpérialDocumentaire de Peter Brugger(Allemagne, 2003, 1h59mn)SR

En Chine, depuis 2 500 ans, le canalimpérial s’étire sur 2 000 kilomètresentre Pékin et Hangzhou. C’est la pluslongue voie d’eau artificielle dumonde et la plus ancienne qui soitencore navigable sur d’importantstronçons. Le canal impérial permettait à lafois de nourrir Pékin et de gou-verner la Chine. Les dynasties sesont succédé mais cette voied’eau est restée l’épine dorsaledu pays. Grâce à elle, les empe-reurs pouvaient se déplacer rapidement vers le sud etconquérir de nouveaux territoi-res. Aujourd’hui encore, voyagerle long de ce canal est une expé-rience inoubliable. Tour à tourmouvementé et paisible, au grédes caprices du fleuve, le périplede Pékin à Hangzhou nous faittraverser cinq provinces. Une for-midable occasion de découvrir lequotidien des Chinois, du moinebouddhiste au marinier, du rizi-culteur au citadin.> www.arte-tv.com

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Le canal impérial à Liaocheng dans la province de Shandong.

★ Année de la Chine

★ Année de la Chine

CATHERINE BREILLAT

ANATOMIE DE L’ENFER, LE PROCHAIN FILM DE CATHERINE BREILLAT,

COPRODUIT PAR ARTE FRANCE CINÉMA, AVEC AMIRA CASAR

ET ROCCO SIFFREDI, SORT EN SALLES LE 28 JANVIER.

À CETTE OCCASION, ARTE ÉDITIONS PUBLIE UN ESSAI DE DAVID VASSE,

CATHERINE BREILLAT, RITES ET DÉPASSEMENTS.

19.00 | ARTE DÉCOUVERTE

La route des diamantsDocumentaire de Sylvio Heufelder(Allemagne, 2001, 45mn)ZDF(Rediffusion du 6 mars 2002)

Dans “ARTE Découverte” cettesemaine : un tour du monde des pier-res précieuses. Dernière étape enAfrique du Sud, pays du diamant.Le premier diamant est découverten 1866 sur les rives du fleuveOrange, en Afrique du Sud. Lafièvre ne tarde pas à s’emparerdes esprits. En quelques années,on trouve dans la région plus dediamants que dans tout le restedu monde au cours des sièclesprécédents. Un nouveau chapitres’ouvre alors : l’industrialisationde l’extraction. Aujourd’huiencore, c’est en Afrique du Sudque se trouvent les mines les plusconnues. Le documentaire mon-tre les différents gisements, les méthodes d’exploitation et lesdivers métiers liés au diamant :chercheur, concessionnaire,mineur, spéculateur, courtier,tailleur, joaillier, etc.Rediffusion le 30 janvier à 14.00

14.45ARTE Europa(2004, 26mn)ARTE G.E.I.E.

Des reportages consacrés à l’his-toire de nos voisins européens, à leur vie quotidienne et aux évolutions en cours dans lesdomaines de la politique, de l’économie, de la société…

15.15Court-circuit (le magazine) n° 156Le rendez-vous du court métrage ZDF(Rediffusion du 21 janvier)

Rediffusion de l’émission du mercrediavec un moyen métrage inédit.

L’oie sauvageMoyen métrage de Hassanpoor Siroos(Iran, 1998, 38mn)

Un petit garçon trouve une oieblessée. Les chasseurs sont à sarecherche, mais le petit garçon lacache. Il la soigne et la guérit. Lasaison migratoire venue, l’oierejoint les siens en lui laissant unsouvenir : un œuf.

14.00La mer des serpents(Rediffusion du 16 janvier)

14.45ARTE Europa15.15Court-circuit (le magazine)16.451944, la reddition de la colonne Elster(Rediffusion du 21 janvier)

17.50Pour une danse ou pour la vie (10)(Rediffusion du 16 janvier)

18.15ARTE Europa(Rediffusion du 23 janvier)

18.45ARTE Info19.00ARTE DÉCOUVERTELa route des diamants19.45ARTE Info20.00Le journal de la culture20.10ARTE Météo20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIREPremiers secours (5)

20.45FICTIONLa fauxTéléfilm de Jean-Dominique de La Rochefoucauld

22.15>02.25THEMAChine : le soleil se lève à l’est22.15Morning sunDocumentaire de Richard Gordon,Carma Hinton, Geremie Barmé

00.15ARTE Info00.25Le pavillon aux pivoinesOpéra de Tang XianzuConception et mise en scène : Chen Shi-Zheng

vendredi23/1

19.45ARTE Info (2004, 15mn)ARTE G.E.I.E.

Le journal de la rédaction, dirigé parGérard Saint-Paul, est présenté enalternance par Jürgen Biehle, NathalieGeorges, William Irrigoyen et Simonevon Stosch.Tous les soirs à 18.45 (sur lecâble et le satellite) puis à 19.45,le journal de la rédaction proposeune vision européenne de l’es-sentiel de l’actualité internatio-nale. Vers 00.15, une édition de nuittout en images résume les prin-cipaux événements de la journée.

20.15LE FEUILLETON DOCUMENTAIRE

Premierssecours (5)Feuilleton documentaire de Philippe Borrel(France, 2003, 5x26mn)Coproduction : ARTE, 2P2LARTE G.E.I.E.

Quentin, Ludovic et Samir rêvent dedevenir soldats du feu. Avec eux,pénétrez dans l’univers d’un corpsd’élite : la brigade des sapeurs-pom-piers de Paris.

5. Le bal du capitaineLa caserne Masséna est en pleinepréparation du bal du 14-Juillet.Chaque année, de violentesbagarres gâchent les festivités et la caserne doit fermer en catastrophe. Cette fois, le capi-taine Levasseur s’est juré de faireune fête réussie. Et avec l’argentrécolté pendant la soirée, il pro-jette d’aménager un nouveaufoyer pour le repos de ses hommes.Mais le jour J, les interventionsne s’arrêtent pas pour cause defête… bien au contraire !Rediffusion le 30 janvier à 17.45

Câble et satellitede 14.00 à 19.00

Les horaires correspondent aux codes PDC,sauf indication contraire. ZD

F/A

RTE

Owen Karlstein, tailleur de diamants.

vendredi23/1

Téléfilm de Jean-Dominique de La Rochefoucauld

(France, 2001, 1h30mn)Avec : Jean-Pierre Cassel

(Faucheur-Quitus), Yvon Back (Cominac),Didier Menin (Marcellin), Katherina Marx

(Yvonne), Marc Betton (le curé Antus),Françoise Dorner (Agnès), Sophie de La Rochefoucauld (Madeleine),

Bruno Wolkowitch (Caïus)Image : Alain DucoussetMontage : Frédéric Viger

Coproduction : France 2, ARTE France,Telfrance

ARTE FRANCE

Considéré comme le gourou de la finance, RégisFaucheur-Quitus est un industriel de renomméeinternationale qui a ses entrées à l’Élysée et danstous les ministères. Le jeune Caïus, qu’il a formé,lui livre une guerre financière sans merci. Jusqu’aujour où Faucheur-Quitus apprend qu’il est atteint d’uncancer. Il se retire alors dans les Pyrénées afin deretrouver ses racines lointaines : descendant de labranche maudite d’une famille de faucheurs, il tentede se soigner en réapprenant les gestes de ses ancê-tres. Mais les anciens n’ont pas oublié la faute deson aïeul. Pendant ce temps, la lutte à mort avec Caïuscontinue.

Le rat des villes et le rat des champsReposant sur le contraste entre le superficiel desmarchés financiers et la simplicité de la vie rurale,La faux dépasse les clichés et réunit deux universapparemment inconciliables. Le film dresse égalementun portrait tout en nuances d’un voltigeur de la

haute finance, superbement interprété par Jean-Pierre Cassel : sous ses dehors de businessman invul-nérable, sans états d’âme, l’homme a ses faiblesses(son mariage et sa vie de famille ratés) et ses angois-ses (quel peut être le sens d’une vie dédiée à WallStreet ?). Les personnages secondaires ont unesaveur particulière comme, dans deux registres oppo-sés, Marcellin et le jeune loup Cominac. La relationde tendresse qui s’installe entre Régis Faucheur-Quitus et son infirmière Yvonne est abordée danstoute sa complexité. La faux traite de manière émou-vante de l’attitude d’un homme face à une mortqu’il sait inévitable. Au passage, Jean-Dominique deLa Rochefoucauld remet au goût du jour certainesvaleurs traditionnelles – les racines, la famille – etquelques métiers d’antan, le tout dans le paysage gran-diose des montagnes pyrénéennes.

Rediffusion le 29 janvier à 15.15, le 1er février à 15.40

et le 10 février à 0.15

20.45 |FICTION

La fauxToujours entre Paris et New York, Régis Faucheur-Quitus est le maître des marchés financiers internationaux.Quand on lui annonce qu’il a un cancer, il décide de tout quitterpour se retirer sur les terres de ses glorieux ancêtres… Un hymne aux Pyrénées et à la simplicité.

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22.15>02.25 |THEMA

Chine : le soleil se lève à l’est

L’année du singe commence le 22 janvier. En Chine, le nouvelan lunaire donne lieu à deuxsemaines de réjouissances qui se terminent par la fête des Lampions. ARTE aussi fait la fête, avec une vasteprogrammation consacrée à la Chine. Dans cette “Thema”,on écoutera les témoignages de Chinois qui ont vécu la Révolution culturelle et on savourera l’opéra interdit Le pavillon aux pivoines.ARTE G.E.I.E.

En partenariat avec

vendredi23/1

Mercredi 21 janvier à 22.45Chen Mo et Meiting, film de Liu Hao

Jeudi 22 janvier à 20.45

L’empereur et l’assassin, film de Chen Kaige

Jeudi 22 janvier à 23.25Tracks spécial Chine

Jeudi 22 janvier à 00.30Le canal impérial, documentaire

Vendredi 23 janvier à 22.15Thema “Le soleil se lève à l’est”

Dimanche 25 janvier à 19.00Maestro “50 millions de pianistes chinois”

Lundi 26 janvier à 20.45 Beijing bicycle, film de Wang Xiaoshai

Mercredis 28 janvier et 4 février vers 22.30Le dessous des cartes spécial Chine

Sur >arte-tv.com/Chine : le calendrier de l’année

de la Chine en France, des animations interactives…

★ Année de la Chine

Officiellement, la Révolution cul-turelle chinoise s’étend de 1965à 1976, date de la mort de MaoTse-Toung. Lancée après l’échecdu Grand Bond en avant, cettereprise en main du pays par leGrand Timonier s’est accompa-gnée d’un déferlement de vio-lence qui a traumatisé le payspour des années. Le propos dudocumentaire n’est pas de fairela chronologie exhaustive desévénements, ni d’analyser les lut-tes de pouvoir qui ont successi-vement amené la destruction duParti communiste chinois (souscouvert d’éradication des “oppo-sants”), puis sa réhabilitation. Ils’agit avant tout d’éclairer les fondements psychologiques de ce mouvement de masse.Comment ? En montrant les phé-nomènes culturels, les idéologies

Créé en 1598, Le pavillon auxpivoines fut censuré par tous lesmaîtres de Pékin. Encore inter-dit en Chine aujourd’hui, il rested’une actualité brûlante. ChenShi-Zheng a consacré deux ansde sa vie à le mettre en scène.Les 550 costumes nécessairesaux 160 rôles ont été brodéspendant six mois par 400 arti-sanes à Suzhou, la capitale dela soie, près de Shanghai.Spectacle épique et grandiose,Le pavillon aux pivoines ne durepas moins de dix-neuf heures !À l’occasion du nouvel an chinois,ARTE en propose une versioncourte qui révèle l’essentiel del’intrigue.

Opéra Ming“Le pavillon aux pivoines est uneépopée qui se déroule comme unimmense rouleau de peinture sursoie, décrivant, à travers une cen-taine de personnages, tous lesaspects de la société de son temps.L’héroïne, Du Liniang (Belle Du),a 16 ans au début de l’action, quicommence en 1185 et s’achèvetrois ans plus tard, sous la dynas-tie Song. Elle rencontre LiuMengmei dans un rêve, l’aime, leperd, meurt de mélancolie et vaen enfer. Devenue esprit, elle erresur terre pour rechercher ce jeunehomme qui la ramènera à lavie…” (Extrait du programme duFestival d’Automne 1999).

et l’histoire des années qui ontprécédé et suscité la Révolutionculturelle, façonné son style, sonlangage et ses contenus.Le film s’articule autour destémoignages de la génération née en même temps que laRépublique populaire de Chine etpassée à l’âge adulte pendant laRévolution culturelle. Les inter-views mettent l’accent sur lesimpressions, les sentiments, lesréflexions, les pensées intimes quiont habité les protagonistes – par-tisans ou victimes – au moment oùils ont vécu les événements. Lefait que la réalisatrice chinoiseCarma Hinton, née à Pékin en1949, ait fait elle-même l’expé-rience de la Révolution culturellea sans doute contribué à donnerà ces entretiens une véritablefranchise de ton.

00.25Le pavillon aux pivoinesOpéra de Tang XianzuConception et mise en scène : Chen Shi-ZhengDécors : Huang HaiweiCostumes : Cheng ShuyiAvec : Qian Yi (Du Liniang) et quarante acteurs,chanteurs et musiciensRéalisation : Derek Bailey (France, 2000, 2h)Coproduction : ARTE France, LGM, RM Associates, Mezzo,SFP, Festival d’Automne à Paris, Lincoln Center Festival New York(Rediffusion du 24 janvier 2001)

La belle Du Liniang et le jeune lettré Liu Mengmei s’aiment, tandis que seprofile une invasion mongole… Un spectacle éblouissant, enregistré auFestival d’Automne à Paris en 1999.

vendredi23/1

22.15Morning sunDocumentaire de Richard Gordon, Carma Hinton et Geremie Barmé(États-Unis/Royaume-Uni/France, 2003, 2h)

Une histoire de la Révolution culturelle chinoise par ses acteurs et ses victimes.À l’époque, ils étaient écoliers ou étudiants ; ils remontent aujourd’hui le coursdes événements, évoquent leurs réflexions et leurs sentiments d’alors.

2002

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W E BSur arte-tv.comNouveau : la sélection livresChaque semaine, une sélection de livres selon ungenre ou une thématique : littérature étrangère,littérature française, polar, jeunesse, BD, beauxlivres, curiosités… Une mine d’idées cadeaux !

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PiafDes vidéos inédites, des bandes-annonces et unquiz pour gagner livres et CD.

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En ligne le 25 décembre

Vœux de nouvel anEt n’oubliez pas les cartes de vœux interactivesd’ARTE pour envoyer vos vœux de nouvel an enquelques clics.

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En ligne

Sur arteradio.com Jeunes fillesElles sont sérieuses, discrètes, absolues,obstinées, drôles… À quoi rêvent lespensionnaires d’un foyer de jeunes filles ?

Draguer en pantouflesConfessions de deux fans des rencontres sur Internet(dans la rubrique “Il était une fois dans le ouaib”).

À la fin, on dit toujours “Arte !”Comment se fait le nouvel habillage d’ARTE ?Reportage en coulisses.

En ligne le 24 décembre

Contact presse Agnès Buiche01 55 00 70 47a-buiche@artefrance.fr

F A XARTE fait vibrer le Val-de-MarneEn 2004, ARTE est de nouveau partenaire du festival de musique Sons d’hiver, qui se dérouledans le Val-de Marne du 23 janvier au 14 février.Cette année, ARTE invite le public à se penchersur le mouvement noir américain à travers desdocumentaires et l’émission Tracks sur UrsusMinor enregistrée lors de l’édition 2003 du festival.

Au programme :> les 24, 25 et 29 janvier à Fontenay-sous-Bois,Bonneuil et Alfortville, projection de Tracks.> samedi 7 février à Vitry, projections de BlackMusic - Black Power (de Jean-François Bizot,Simon Njami et Matthias Sanderson), de Voyages,voyages New York (d’Antje Christ) et de Tracks.> vendredi 13 février et samedi 14 février à Créteil,projection de L’homme qui court (de Mark Daniels),de Black Music - Black Power et de The soul of Stax Music (de Philip Pirestley).

Entrée libre, programmation sous réserve.Informations : 01 43 87 31 31, www.sonsdhiver.org

Contact presse ARTE : Martina Bangert01 55 00 72 90m-bangert@artefrance.fr

RécompenseLe module 3D “La formation des cyclones”d’arte-tv.com vient de gagner le Golden Polygon2003.

Comment se forment les cyclones ? Comment se dessine la trajectoire d’un satellite et grâce à quelle technologie ? Pour permettre auxinternautes de comprendre et d’expérimenter eux-mêmes des phénomènes scientifiques dansdes domaines aussi divers que l’environnement,l’espace, la neurologie ou encore la génétique,arte-tv.com propose (en partenariat avec Virtools)une série de six modules interactifs en 3D.

Pour construire votre cyclone, cliquez sur

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la semaine prochaine

UNE FICTION D’ARNAUD DESPLECHIN

Pour son premier film de télévision, Arnaud Desplechin

a adapté une pièce d’Edward Bond et en a fait une série B policière.

FICTION

LÉO EN JOUANT “DANS LA COMPAGNIE DES HOMMES”

MARDI 27 JANVIER À 22.45