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Vaad Harabanim - Hanouka 2012

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Vaad Harabanim - Hanouka 2012

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C’est l’époque de ‘Hanouka, époque où les Guedolé Israël tiennent à remercier la communauté française pour son soutien au Vaad Harabanim. Nos Sages adressent un « merci » chaleureux et vibrant à la communauté, et l’invite à leur rendre visite…

- Allo ? Je pourrais s’il vous plaît parler avec

M. R. ?

- C’est moi !

- Je vous appelle de la part du Vaad Harabanim

pour vous annoncer que vous avez été tiré

au sort pour représenter la communauté

française lors d’un voyage en Erets …

- Comment ?

- Oui, vous avez participé au tirage au sort « Sur

les ailes de l’aigle » et vous avez gagné deux

billets d’avion afin de rencontrer les Guedolé

Israël !

- Ça alors ! Merci ! C’est génial !

M. R. n’en revenait pas… Ce jeune homme de

Strasbourg allait être littéralement propulsé vers

les Grands Sages de la génération afin de recevoir

leur marque de confiance et leurs bénédictions

pour toute la communauté française ! Il allait gravir

une à une les marches menant aux portes de nos

prestigieux décisionnaires. Cela fait maintenant

quatre ans que le Vaad Harabanim a imaginé et

lancé le concept du tirage au sort « Sur les ailes

de l’aigle » et le minhag s’est instauré pour la plus

grande joie du public. Le principe est simple :

parmi les participants à la campagne du Vaad

Harabanim, l’un d'entre vous est choisi par le sort

afin de rencontrer les plus grands Rabbanim de

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notre peuple et de recevoir leurs bra’hoth au nom de toute la communauté française.

La voie royaleDepuis plusieurs années, alors que l’œuvre du Vaad Harabanim s’intensifie, permettant à davantage de familles dans la précarité de vivre une vie normale, les Grands de notre génération mènent une action concertée et constatent avec émotion et reconnaissance que la communauté française tient un rôle important dans la réussite de leurs projets. Mus par ce sentiment de reconnaissance, les Sages

ont tenu à exprimer leurs

sentiments aux Juifs français.

Ceux-ci, actifs et vivants, vibrant

dès qu’il s’agit de venir en aide

à leurs frères dans la douleur,

font le maximum pour répondre

positivement aux appels lancés.

Petites ou grandes sommes, le

cœur y est et c’est ce qui compte

le plus. Grâce à des milliers de

dons, réunis dans un même

trésor de ‘hessed redistribué

avec discrétion et sensibilité,

l’Association peut continuer sa

mission aux quatre coins du

globe. Ce qu’auraient souhaité

les Sages, s’ils en avaient eu la

possibilité, c’est d’inviter chacun

des donateurs. Mais ne pouvant

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•Leshorairessontà titre indicatif.Vous pourrezchoisir les datesdevotrevoyage

Participezànotreactionetgagnezpeut-êtreunvoyagechezlesGrandsdenotregénération.Cetteannée,letirageauralieuleMardi26Tevet5773(8Janvier2013)parleRavAzrielAuerbach,directeurduVaadHarabanim,enprésenced’unnotaire.

réaliser techniquement ce désir, ils ont décidé de

nommer des ambassadeurs lors d’un tirage au

sort. Ceux-ci peuvent témoigner de la sollicitude

et de l’empathie de leurs hôtes et utiliser la voie

royale qui mène chez les plus grands hommes de

ce monde.

Un parcours merveilleuxToute personne connaissant les activités des

Guedolim savent qu’elles sont nombreuses et que

pour nos dirigeants spirituels chaque minute est

comptée. Les charges qu’ils assument pour le

public sont lourdes et les efforts pour les accomplir

intenses. C’est la raison pour laquelle, même s’ils

savent se rendre disponibles, c’est au prix d’une

course contre la montre qui les oblige parfois à

faire attendre leurs très nombreux visiteurs. Mais

dans le cas des représentants de la communauté

française, les portes se sont ouvertes en grand et

M. R. a pu bénéficier d’un véritable « raccourci du

chemin ».

Le jeune homme, à son arrivée en Erets, en compagnie de l’un des membres de sa famille, a été accueilli par les représentants du Vaad Harabanim. Puis il a été accompagné à Bné Brak où le merveilleux parcours a commencé.

Il a d’abord rencontré Rav Aharon Leib Steinman, qui l’a reçu très chaleureusement et a lui a prodigué de nombreuses bénédictions.

Il s’est ensuite rendu chez le Rav Guershon Edelstein, Roch Yechiva de Poniovitch qui a tenu à souligner l’importance de l’action du Vaad Harabanim et de la participation du public français. Il s’est ensuite dirigé vers la maison de l’un des plus grands décisionnaire de notre temps, Rav Nissim Karelitz. Celui-ci, malgré son grand âge, a écouté attentivement son hôte et a réitéré son soutien à l’Association en vertu de l’importance que requiert la tsedaka au sein du peuple juif, en particulier à notre époque.

Après avoir quitté le Rav, les « ambassadeurs » se sont dirigés vers la demeure de l’Admour de

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Nom : ______________________

Prenom : ___________________

Adresse : ______________________________________________

Tel :________________________

Pour participer au tirage au sort veuillez remplir le bon ci dessous et le renvoyer au Vaad Harabanim

Vichnitz. Celui-ci devait se rendre à Jérusalem et,

malgré son départ imminent, a pris le temps de

le recevoir. Ce fut un moment de grande émotion

durant lequel l’Admour bénit ses interlocuteurs et

toute la communauté française.

Pour finir la soirée, le petit groupe se dirigea vers la

maison de l’un des grands dirigeants du judaïsme,

notre maître Rav Haïm Kanievsky. Le Rav accueillit

ses invités dans sa pièce d’étude où d’habitude,

seuls les invités de marque peuvent pénétrer.

Comme chacun sait, chaque mot et chaque minute

du Gadol est compté et c’est ainsi qu’il écouta ses

hôtes en leur prêtant attention et en répondant à

chacune de leurs questions.

Deux jours plus tard, les représentants de la

communauté française poursuivirent leur visite à

Jérusalem et furent accueillis par le Rav Chmouel

Auerbach. Le grand Rav fut aussi chaleureux que

ses illustres prédécesseurs et encouragea le public

français, par l’intermédiaire de ses ambassadeurs,

à poursuivre ses efforts en faveur des familles en

difficulté. Pour clore ce merveilleux périple chez

les grands tsadikim de notre temps, c’est le Rav

Azriel Auerbach, Président du Vaad Harabanim

qui exposa à ses invités de marque les projets de

l’Association ainsi que ses récentes réalisations.

C’est, émus et rassérénés, plein de force et de

courage, que les ambassadeurs ont terminé

leur tournée de kedoucha. Le cœur touché

par l’attention et l’amour inconditionnel de nos

dirigeants pour notre peuple et les bagages emplis

de bénédictions pour le judaïsme français, ils sont

repartis, porteurs d’espoir d’un temps nouveau et

salvateur.

Cette année encore, l’un d’entre vous aura

le mérite d’être choisi lors du tirage «Les

ailesdel’aigle»quiauralieumardi26teveth

- 8 janvier 2013 dans les bureaux du Vaad

Harabanim par le Rav Azriel Auerbach. Et

chacunprierapourêtreledignereprésentant

d’une noble communauté comme celle de

France.

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« Bané, ‘hayé ou mezoné »Un an déjà. Dans une lettre datant de ‘Hanouka

5772, Rav Yossef Chalom Elyachiv zatsal –

quelques semaines avant son hospitalisation –

bénissait chaque participant à la campagne du

Vaad Harabanim afin qu’il puisse recevoir le mérite

de la réussite de ses enfants, d’une vie pleine et

heureuse et d’une bonne parnassa (« Bané, ‘hayé

ou mezoné »). Ces mots résonnent aujourd’hui

d’un son particulier, à la lecture des lettres

parvenues au bureau du Vaad Harabanim et qui

racontent les délivrances personnelles de familles

qui ont bénéficié de l’aide de la tsedaka et celles de

personnes qui ont su tendre la main. Nous avons

tenu à ouvrir les dossiers du Vaad et à livrer au public

certaines de ces lettres émouvantes et troublantes,

afin de montrer la force de la Providence divine.

Tous les jours, ces lettres ravivent la flamme des

bénévoles de l’Association qui se sentent

investis d’une véritable mission. Nous

tenions à vous en faire part, afin que

vous puissiez partager notre émotion.

Les trois chapitres suivants forment

l’histoire haute en couleurs, bien

qu’écrite en noir et blanc, de la

bénédiction du Rav.

« Bané »les enfantsLes enfants sont notre bien le plus précieux et nous sommes prêts à tout pour eux… Voici un exemple de l’investissement permanent de l’Association envers la jeunesse, gage de notre avenir.

« Eloul 5772

Mon petit Méïr n’avait plus la force d’aller à l’école.

Je le comprenais si bien. Mon cœur se serra et

sembla exploser dans ma poitrine lorsque je

l’accompagnai à la porte. Je lui donnai un petit sac

de friandises pour égayer son départ

et l’apaiser en ce premier jour de

classe où il se rendrait à l’école

sans la présence de

son papa. Je

me mis à la

fenêtre

a v e c

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appréhension pour le regarder : il traînait les pieds. Mon fils, qui était tellement heureux autrefois, avait perdu son entrain.

Après qu’il fut monté dans le bus du ramassage scolaire, je m’assis, pris mon Tehilim et me mis à pleurer. Pour mon fils, pour ma famille. Mon mari n’était plus là et je suppliais Hachem que nous puissions continuer notre chemin sans nous décourager.

J’attendis tout l’après-midi, inquiète. Comment allait se passer cette journée cruciale ? Quand mon fils revint à la maison et que je perçus les coups énergiques qu’il donnait à la porte avant d’entrer, je compris que quelque chose avait changé. Méïr ouvrit la porte avec un large sourire au visage : contre toute attente, sa journée s’était bien passée.

« Maman ! maman ! s’exclama t-il, enthousiaste. Un monsieur est venu étudier avec moi à la fin des cours. Il était tellement gentil, tellement attentionné… Il a su m’écouter ! Nous avons parlé de papa. Je sais qu’il me comprend ! Merci maman de lui avoir demandé d’étudier avec moi. J’ai pu faire mes devoirs avec lui ! »

Je regardai Méïr en tentant de retenir les larmes que je sentais poindre sous mes paupières. Dans mon for intérieur, je remerciais le Vaad Harabanim qui avait mis en place cette aide providentielle financée par des dons généreux. Le jeune homme, contacté par l’Association, allait s’occuper de mon

fils de tout son cœur. Conscient de l’épreuve que Méïr traversait, il serait digne de notre confiance... »

Deux jours plus tard, une lettre arrive au Vaad Harabanim. Ce n’est sans doute pas un hasard que ces deux témoignages soient parvenus au même moment sur le bureau du Vaad. Ils décrivent le lien invisible qui unit la personne dans le besoin et le donateur.

« Monsieur,

Je tiens à vous raconter un vrai miracle qui a eu lieu grâce à votre Association. Jeudi soir, Yoav, mon fils de quatorze ans, qui est en pleine crise d’adolescence, est rentré du collège. J’étais assise dans la cuisine et il m’a posé une question que j’ai mal comprise. Irritée, j’ai répondu d’une façon non appropriée. S’est ensuivi un vrai dialogue de sourds. Mon fils a alors commencé à crier. Mon mari est alors arrivé et l’a puni, lui interdisant de s’adresser à moi de cette manière. Le matin, Yoav a refusé d’ouvrir la porte de sa chambre.

Il y est resté enfermé toute la matinée en affirmant ne plus vouloir se rendre à l’école. C’était vendredi matin et j’ai tenté de l’approcher mais je me suis heurtée à un mur.

Il ne voulait ni sortir de sa chambre ni se préparer pour chabbath et finalement le lendemain, toute

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la journée, il a fait la tête, même durant les repas.

Après chabbath, je ne pouvais plus supporter cette situation. Je me suis souvenu de la lettre du Rav Elyachiv que j’avais lue dans un prospectus du Vaad Harabanim et dans laquelle il parle de la satisfaction que l’on aura de ses enfants. J’ai alors fait un don afin que la situation puisse s’améliorer. Après deux heures, mon mari prit par la main mon fils et entama avec lui une conversation qui dura quatre heures. Yoav explosa en sanglots et nous expliqua tous ses

soucis. Cette discussion nous permit de mieux comprendre ses problèmes et nous fit entrevoir sa vie avec ses yeux à lui, adolescent de quatorze ans. Depuis deux semaines, nous avons pu établir un lien puissant et authentique avec notre fils et je suis certaine que c’est la force du don à la Tsedaka qui a été décisif dans cette transformation radicale. »

« ‘Hayé »la vie

La tsedaka peut sauver des vies. Voici deux histoires entrecroisées que nous voulions partager avec vous…

Depuis quelques mois, l’existence d’Avi est devenue un vrai tourbillon. Il passe d’un hôpital à un autre afin de trouver désespérément un médicament

pour soigner la maladie de son fils. Le soir, il rend visite à ses connaissances et

contacte les gma’him afin de leur emprunter les fonds

nécessaires pour mener à bien son combat contre la maladie. Sa tête est pleine de soucis concernant l’état de santé de son fils mais aussi concernant l’argent

qu’il faut trouver pour acheter les médicaments

vitaux.

Le matin, Avi doit se dépêcher d’aller à l’hôpital. Le soir, ce sont des

appels téléphoniques sans fin, des rendez-vous pour obtenir des fonds.

Après des journées épuisantes, Avi observe son chéquier et ses feuilles de comptes. Comment trouvera-t-il l’argent pour payer tous les frais non remboursés par la sécurité sociale et nourrir ses enfants ?

Celui qui n’a jamais éprouvé un tel stress ne peut se représenter le tunnel noir dans lequel Avi cherche une petite lueur d’espoir. Et puis, tout d’un coup, il

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entend frapper à la porte. Qui peut venir lui rendre visite à dix heures du soir ?

Il se lève, angoissé, et ouvre la porte. C’est un envoyé du Vaad Harabanim qui lui tend une enveloppe avec un grand sourire.

Il disparaît aussitôt, comme il était apparu. Avi ouvre l’enveloppe et, en voyant ce qu’elle contient, sent qu’il n’est plus seul. Tout un peuple est là pour l’aider, pour le soutenir.

Cette somme va lui permettre de rembourser une partie de ses dettes et de continuer à se battre. Il se sent plus fort et lorsqu’il entend son fils pleurer, il le serre contre lui, et sent que son épaule a été affermie par le peuple d’Israël.

La lettre suivante est comme un écho puissant au combat mené par Avi. Lorsqu’un Juif se soucie d’un autre Juif, Hachem agit avec lui avec l’attribut appelé « Mida kenegued mida », mesure pour mesure, qui souligne l’attention aimante dont Hachem entoure Ses enfants qui se sont souciés de leurs prochains.

« Mon frère Aharon David était tout à fait équilibré et avait une bonne situation. Du jour au lendemain, il a commencé une grave dépression nerveuse

au point d’être hospitalisé afin de stabiliser sa santé mentale. Il était traité avec des

médicaments et durant des années,

il a fallu le soutenir afin qu’il puisse retrouver

une vie normale. Petit à petit, avec des efforts inouïs, il reprit des forces.

Il y a un an, on a noté un certain progrès et il a pu sortir de l’hôpital psychiatrique. Après avoir retrouvé avec émotion toute sa famille, il s’est mis à pleurer. Aharon David comprenait parfaitement sa situation. Qu’allait-il se passer ? Comment sa famille allait-elle continuer à vivre dans une telle tension ? Ses enfants avaient grandi. Qu’allaient-ils devenir ?

Durant les discussions qu’il eut avec sa femme, celle-ci lui proposa d’adresser un don au Vaad Harabanim. « La tsedaka a toujours fait ses preuves et nous sauvera, lui dit-elle. Tu recouvriras la santé. »

Trois mois plus tard, l’impensable se produisit : Aharon David était rétabli.

Merci à votre Association pour ce véritable miracle. »

« Mezoné »la parnassa

Souvent, la parnassa est une source de soucis et demande une bénédiction particulière. C’est ce qui motive l’action du Vaad Harabanim au jour le jour.

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« Ce jour-là, mon fils me demanda 5 chékels pour prendre le bus. Il était à côté de la porte et commençait à s’impatienter. Je cherchai dans mes poches tout en sachant que je n’y trouverais rien. Dans mon sac, le porte-monnaie était vide. Dans les tiroirs, aucune pièce ne brillait.

Je demandai alors à mon fils de courir demander la somme à la voisine. C’est ce qu’il fit et il put attraper son bus. Il revint à l’heure du déjeuner.

Je le reçus avec un grand sourire qui tentait de cacher mon désarroi. Je lui dis que j’allais lui préparer à manger et me détournai rapidement : il n’avait pas besoin de me voir pleurer. Je lui préparai alors un thé auquel je mêlais mes larmes.

La situation financière est très difficile ces derniers temps. Mon mari a perdu son travail et à 53 ans, il a du mal à retrouver un poste. Nous devons nourrir cinq enfants sans pratiquement aucun moyen.

Le fameux jour où vous avez frappé à la porte, vos envoyés nous ont donné une enveloppe. C’est un jour qui restera gravé dans nos mémoires. Nous avons pu manger normalement, rembourser quelques dettes et prendre des forces pour continuer. »

Et voici la lettre que nous avons reçue de Moché, t é m o i g n a g e vivant de la force de la tsedaka qui peut régler, en en clin d’œil, une s i t u a t i o n sinistrée.

« Je m’appelle Moché et je tiens à vous remercier chaleureusement.

Voici mon histoire. Je suis comptable et j’ai cherché du travail pendant des mois. J’ai envoyé mon CV à de nombreuses entreprises, sans résultat. La semaine dernière, après avoir lu l’un de vos prospectus, j’ai décidé d’adresser un don à votre Association. Ce n’est pas une somme très importante mais je l’ai donnée de tout mon cœur, pour aider les personnes qui en ont encore plus besoin que moi. Et grâce à de nombreuses prières et à ma résolution d’aider mon prochain dès que je le pourrais en donnant mon maasser, Hachem m’a envoyé la délivrance et j’ai enfin reçu une réponse positive. Je commence à travailler demain et j’ai tenu à vous adresser mon don avant. »

MerciauVaadHarabanimdenousoffrirtantdemiracles,etdefaireapparaîtredefaçonsiclairele«mida kenegued mida»d’HakadochBarou’hHou…

Commedesétoilesdans leciel, lesactesde ‘hessedde notre peuple illuminent les vies de centaines defamilles. Chacune brille d’un éclat particulier. Quecesoitlesboursesdesoutienoulesfondsspéciaux,les paniers alimentaires ou le suivi au jour le jour,chaqueactionduVaadHarabanim – renduepossibleparvosdons–représentedesmondesscintillantsaufirmamentdelabonté.Avantlafêtedeslumières,voiciunrappeldesétoilesquibrillentgrâceàvous.

5 217 aides médicales permettent la santé pour tous

6 854 bourses pour personnes en difficulté ont sauvé de la détresse nombre d’oubliés du système

15451 paniers alimentaires ont réjoui les familles qui se situent en-deçà du seuil de pauvreté

2 570 subventions pour des cours particuliers protègent les enfants de l’échec scolaire

4 273 aides pour les veuves et les orphelins : une immense mitsva enfin accessible à tous

1 652 soins dentaires ont été un soulagement immense pour les familles pauvres

945 opérations urgentes ou délicates sauvent des vies

Ces lumières dans la nuit ont resplendi grâce à vous et à votre confiance dans notre Association. Bonne fête de Hanouka. Et encore une fois merci pour les milliers de flammes qui brillent au sein du peuple juif par le mérite de vos actions en faveur des personnes dans la détresse.

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6 854

15 451

945

2 570

4 273

5 217

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Rallumer la flammeChaque année, les Guedolé Hador participent à un allumage en faveur des nécessiteux d’Erets en s’associant à l’œuvre du Vaad Harabanim. Ils adressent un don à l’Association après avoir entonné la bénédiction et prient pour tous les donateurs. Ils rallument ainsi la flamme de la solidarité.

Notre Maitre le Gaon Rav Haim Kaniewsky Chlita,lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka

Notre Maitre le Gaon Rav Aaron Leib SteinmanChlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka

Notre Maitre le Gaon Rav Chmouel AuerbachChlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka

Notre Maitre Rabbi David Abouhatseira Chlita, lorsde l'allumage des bougies de 'Hanouka

Notre Maitre le Gaon Rav Nissim Karelits Chlita,lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka

Notre Maitre le Admour de Tchernobil Chlita, lorsde l'allumage des bougies de 'Hanouka

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Les armes de la victoireLes Cohanim ont tenu une place de choixdurantlesévénementsdeHanoukaetlaluttecontre la culture grecque. Pour perpétuerla tradition de prière propre aux grandsprêtres de notre peuple et qui leur permitde triompher, le Vaad Harabanim organiseune tefila spéciale le 8e jour de la fête deslumières.Un rendez-vousessentiel ànepasmanquer.

Quelles sont les armes dont disposaient nos ancêtres et qui leur permirent de triompher de la première puissance mondiale de l’époque ?

Ce n’est ni grâce aux chars rapides ni grâce aux sabres affutés que les Cohanim offrirent la victoire au peuple juif durant les révoltes contre la puissance grecque qui tentait d’imposer des décrets assimilationnistes. Ce sont leurs prières, d’une puissance rarement égalée qui anéantirent les projets des ennemis du peuple juif. Animés d’une foi brûlante, les Cohanim, avec à leur tête les Macabées, combattirent pour la liberté et la foi. D.ieu, voyant la sincérité de leur démarche, les soutint durant de difficiles années de combats

et entendit leurs supplications. Ils l’emportèrent, contre toute attente. Depuis, les Cohanim disposent d’une arme capable de déchirer l’écran opaque qui empêche l’accès aux cieux.

Garder la flammeCette arme est toujours actuelle. Lors de la fête des lumières, elle est à la disposition des descendants des Cohanim. Ils savent qu’au moment propice du dernier allumage, la flamme gardée par eux de génération en génération est encore brûlante. C’est pourquoi le 8e jour de Hanouka, le Vaad Harabanim organise, cette année encore et constatant le succès remporté par cette initiative, la fameuse prière des Cohanim au Kotel Hamaaravi devant le Kodech Hakodachim. Rav David Cohen, Roch Yechiva de ‘Hevron et Rav Lévy Rabinovith HaCohen parmi d’autres Cohanim attestés se réuniront afin de faire bénéficier le public de leur force particulière.

Ils perpétuent ainsi la tradition du miracle et permettront de réaliser tous les souhaits sincèrement prononcés. Joignez vous à eux, pour ces instants d’une rare intensité où l’homme est capable de retrouver la proximité divine.

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L'Admour de Pinsk Karlin Chlita

Le Gaon Rav Levi Rabinovitch Chlita,auteur du Maadanei Hashulchan

Le Gaon Rav David Cohen Chlita, RochYechivat 'Hevron

Le Gaon Rav Yossef 'Haim KopshitsChlita, Roch Yechivat Porat Yossef

Les Rabbanim Ben-Tzion et Haim HakohenKook Chlita

Le Gaon Rav Sim'ha Hakohen KookChlita

Le Gaon Rav Chamai Hakohen Gross,Chlita

Le Gaon Rav 'Haim Yehouda CohenChlita

Le Gaon Rav Elimeleh Hakohen RotmanChlita, Machgiah' de la Yechivat Hevron

Le Gaon Rav Menahem Mendel PekcharChlita

Les Rabbanim du minyan

des Cohanim, spécialement réunis pour

le Vaad Harabanim,

réciteront avec ferveur chaque nom et chaque

demande. Ils seront,

le temps de cette prière

extraordinaire, les délégués du peuple

juif, se tenant devant l’arche sainte comme des chalia’h

tsibour.Cetteannée,

laprièredesCohanimauralieuledimanche

3Tevet5773(16/12/2012)

Prénomenhébreu____________________________________

Prénomdelamère___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite

avec les enfants Succès Autre _______________________________

Prénomenhébreu____________________________________

Prénomdelamère___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite

avec les enfants Succès Autre _______________________________

PourquelesGrandsdelaGénérationprientpourvous

lorsdel'allumagedesbougiesde'Hanouka

5 possibilités pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim :1 2 3 4

Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au

numéro 1-800-22-36-36).

Envoyez votre don dans l'enveloppe

jointe.

Surnotresite:www.vaadharabanim.orgSitesécurisé

Appelezcenuméropourundonparcartedecrédit:1-800-22-36-36

en Israël: 00.972.2.501.91.00

Envoyez votre chèque à :

Vaad haRabanim2 Rehov Yoel Jerusalem

Veuillezlibellervoschèquesàl'ordredeVaad

haRabanimUnreçuseraenvoyépourtoutdon.

1-800-22-36-36Appelgratuit: