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VENDREDI 16 DÉCEMBRE 2016 – 19H30SAMEDI 17 DÉCEMBRE 2016 – 19H30DIMANCHE 18 DÉCEMBRE 2016 – 14H30 et 19H30GRANDE SALLE PIERRE BOULEZ – PHILHARMONIE

CINÉ-CONCERT

Amadeus Live

Amadeus, film de Miloš Forman (1984)Musique de Wolfgang Amadeus Mozart

Diffusion du film en version originale sous-titrée en français.

En partenariat avec Avex Classics International.

Les Siècles PopEnsemble AedesLudwig Wicki, directionMathieu Romano, chef de chœurMarion Ralincourt, flûteColine Jaget, harpeNathanaël Gouin, piano

PREMIÈRE PARTIE : 102 MINUTES.

ENTRACTE

DEUXIÈME PARTIE : 57 MINUTES.

DURÉE GLOBALE : 3H.

CAHIERSCINEMAUD

LISTE DES ŒUVRES INTERPRÉTÉES

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)Ouverture de Don Giovanni K 527Symphonie n° 25 en sol mineur K 183 (Allegro con brio)

Antonio Salieri (1750-1825)Aria « Aspasia » et Finale extraits de l’opéra Axur

Giovanni Battista Pergolèse (1710-1736)Stabat Mater (« Quando corpus morietur »)

Musique tzigane (début XIIIe siècle)

Wolfgang Amadeus Mozart Sérénade pour 13 instruments à vent en si bémol majeur K 361 (Adagio et Finale)

L’Enlèvement au sérail K 384 (Acte II n° 1 ; Acte III n° 21 ; Acte III n° 5)

Messe en do mineur K 427 (Kyrie)

Concerto pour flûte et harpe K 299 (Andantino)

Symphonie n° 29 en la majeur K 201 (Allegro moderato)

Concerto pour 2 pianos K 365 (Rondo)

Symphonie concertante pour violon, alto et orchestre K 364 (Allegro maestoso)

Concerto pour piano et orchestre n° 15 en si bémol majeur K 450 (Allegro)

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Ein deutsches Kriegslied « Ich möchte wohl der Kaiser sein » K 539

Les Noces de Figaro K 492 (Acte IV, Andante – Finale : Marcia)

Concerto pour piano et orchestre n° 22 en mi bémol majeur K 482 (Allegro)

Don Giovanni K 527 (Finale)

Concerto pour piano et orchestre n° 20 en ré mineur K 466 (Allegro – Adagio)

Requiem K 626 (Introitus – Dies Iræ – Rex tremendae – Confutatis – Lacrimosa)

La Flûte enchantée K 620 (n° 14 : Aria – n° 20 : Aria – n° 21 : Allegro)

Six Danses allemandes K 509 (N° 1)

Un an et demi après son ouverture, la Cité de la musique – Philharmonie de Paris met en place une :

Afin de mieux connaître le profil des spectateurs et leurs pratiques, en partenariat avec le ministère de la Culture et de la Communication, la société TEST, institut d’études spécialisé,

viendra à votre rencontre à la fin du concert.

Nous vous remercions de lui réserver le meilleur accueil.

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Un phénomène. Tel apparaît aujourd’hui encore Amadeus de Milos Forman qui, malgré sa durée (2h40), remporta un triomphe à travers le monde lors de sa sortie en 1984. Production américaine (Forman, d’origine tchécoslovaque, s’étant exilé aux États-Unis à la fin des années 1960), le film fit une véritable razzia aux Oscars, décrochant huit statuettes dont celle du meilleur film. En France, il reçut le César du meilleur film étranger en 1985 et attira plus de 4,5 millions de specta-teurs dans les salles.

Prenant allègrement le parti de la fiction, Amadeus se base sur la pièce de théâtre éponyme de l’Anglais Peter Shaffer, créée pour la première fois en 1979 et elle-même inspirée de Mozart et Salieri, une courte pièce de Pouchkine parue en 1830. À l’instar de ces deux pièces matricielles, le film – dont le scénario a également été écrit par Schaffer – place au cœur du récit la jalousie éprouvée par Antonio Salieri, compositeur officiel de la cour viennoise, vis-à-vis de Wolfgang Amadeus Mozart, son jeune homologue aussi virtuose que fantasque.

Au-delà de cette rivalité, Milos Forman s’attache à brosser avec flamboyance le portrait de Mozart, incarné à l’écran par Tom Hulce et montré sous un jour plutôt inattendu : un jeune homme impétueux et impertinent, à la chevelure en bataille et au rire en cascade, sorte de punk avant l’heure. Cette approche iconoclaste de Mozart et de sa musique – et de la musique classique en général – explique sans doute pour beaucoup le succès du film et de sa bande originale, les deux ayant amené de nombreuses personnes à (re)découvrir le compositeur autrichien.

Amadeus entame à présent une nouvelle vie sous la forme d’Amadeus Live, un ciné-concert de grande ampleur proposé à la Philharmonie après avoir été présenté en création mondiale à Lucerne (Suisse) en mars 2016. Contrairement à la plupart des ciné-concerts qui reposent sur une musique créée spécifi-quement pour accompagner (de manière plus ou moins illustrative) les images, Amadeus Live donne à entendre l’intégralité de la bande originale du film, inter-prétée en direct par un orchestre, un pianiste soliste et un ensemble choral.

À la baguette officie Ludwig Wicki, chevronné chef d’orchestre suisse allemand (également compositeur) qui s’est affirmé comme l’un des principaux maestros dans le domaine (fertile) des ciné-concerts. En 1999, il a même fondé un ensemble orchestral, le 21st Century Orchestra, spécialement dévolu à l’interprétation

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de musiques de films. À l’occasion des représentations parisiennes d’Amadeus Live, l’ensemble orchestral Les Siècles Pop, le pianiste Nathanaël Gouin et l’ensemble choral Aedes sont placés sous la direction de Ludwig Wicki.

« Ce ciné-concert représente un défi particulier dans la mesure où il faut vraiment coller à la seconde près aux images, déclare Mathieu Romano, fondateur/directeur de l’ensemble Aedes. C’est un défi d’abord pour le chef d’orchestre mais également pour les interprètes – musiciens ou choristes – qui doivent être extrêmement attentifs et réactifs. Ce défi s’accroît du fait que nous devons interpréter des extraits d’œuvres, parfois très courts. Nous devons ainsi passer d’un fragment du Requiem de Mozart, par exemple, à un fragment d’une pièce de Salieri et ainsi de suite pendant tout le ciné-concert. Il faut réussir non seulement à s’investir pleinement dans chaque extrait, aussi court soit-il, mais également à changer très vite d’univers musical. »

Mozart se taille bien sûr la part du lion dans la partition d’Amadeus Live. Plusieurs œuvres emblématiques figurent au programme, parmi lesquelles le Requiem, La Flûte enchantée, Don Giovanni ou encore la Symphonie n° 25 en sol mineur. S’y ajoutent plusieurs extraits de pièces d’Antonio Salieri, notamment Axur, ainsi qu’un fragment du Stabat Mater de Pergolèse.

« Restituer au plus juste la musique de Mozart constitue l’enjeu principal de ce projet, précise Mathieu Romano. C’est une musique d’une grande simplicité (au sens fort du terme), à la fois très épurée – aucune note écrite n’est superflue – et très aérée. Nous nous efforçons de respecter la simplicité de cette musique tout en la chargeant d’émotion car c’est aussi une musique très dramatique, pleine de caractère et d’intensité. Parvenir à rendre toutes les nuances et les subtilités de la musique de Mozart requiert une excellente technique – vocale ou instrumentale – de la part des interprètes. »

Jérôme Provençal

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Nathanaël GouinSoliste et chambriste recherché, Nathanaël Gouin se produit en Europe, en Asie, ou encore aux États-Unis. Invité à donner des concerts dans le cadre de festivals tels que La Roque-d’Anthéron ou la Folle Journée de Nantes, ou dans des salles telles que la Cité de la musique à Paris, le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles ou encore la salle Rameau à Lyon, il se produit fréquemment avec orchestre ainsi qu’en récital. Natha-naël Gouin collabore avec de nombreux ensembles tels que l’Orchestre philharmo-nique de Liège, l’Orchestre national d’Île-de-France, le Brussels Philharmonic, le Sin-fonia Varsovie ainsi que le Chœur de Radio France. Passionné également de musique de chambre, il partage l’affiche avec de bril-lants musiciens dont Maria João Pires, Gary Hoffman, Augustin Dumay, Jean-Claude Pennetier, les Quatuors Voce et Cavatine, Bruno Delepelaire, Michel Dalberto, François Salque, José Van Dam, Raphaël Pidoux, Raphaël Sévère ou encore Fabrice Millischer. Né en 1988, Nathanaël Gouin commence l’étude du piano et du violon à l’âge de 3 ans. Formé au Conservatoire de Toulouse et de Paris, à la Juillard School de New York, mais également à la Hochschule für Musik de Freiburg et à celle de Munich ainsi qu’à l’Académie Musicale de Villecroze, il a été aussi en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Belgique, auprès de Maria João Pires. En 2016, l’enregistrement du Concerto pour piano et orchestre d’Édouard Lalo avec l’Orchestre sympho-nique de Liège sous la direction de Jean-Jacques Kantorow (Outhere) est salué par la critique. Nathanaël Gouin a également

fondé un duo avec le violoniste Guillaume Chilemme, dont le premier enregistrement remarqué des sonates de Ravel et Canal est paru en 2014 (Maguelone). Un disque consacré à la musique de Schubert sortira en 2017. Lauréat du Premier prix au Concours Johannes Brahms en Autriche et au Concours de duos de Suède, récompensé au Concours de musique de chambre de Lyon, Nathanaël Gouin est aussi lauréat de la fondation d’entreprise Banque Populaire et de la Fondation Meyer, et résident à la Fondation Singer Polignac au sein du Quatuor Brahma.

Mathieu RomanoNé en 1984, Mathieu Romano mène une double carrière de chef de chœur et de chef d’orchestre. Après des études musicales de flûte traversière, de piano et de direc-tion de chœur en Bourgogne, il est admis au Conservatoire de Paris en 2005. Il y obtient ses prix de flûte traversière et de musique de chambre à l’unanimité en 2009. Il intègre la même année la classe supé-rieure de direction d’orchestre. Désireux de défendre à la fois l’art vocal et la musique orchestrale, il se perfectionne lors de classes de maîtres auprès de Pierre Boulez, Susanna Mälkki, François-Xavier Roth, Stephen Cleo-bury, Hans-Christoph Rademann, Catherine Simonpietri ou encore Didier Louis. En tant que chef d’orchestre, il est sélectionné pour la finale du 52e Concours international de jeunes chefs d’orchestre de Besançon. En 2011, il est invité par Arie van Beek à diriger l’Orchestre d’Auvergne. En 2012, dans le cadre de la saison musicale de l’Atelier Lyrique de l’Opéra national de

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Paris, il est chef-assistant de Paul Agnew dans une production de La Resurrezionede Haendel. Il est par ailleurs chef assistant de l’Orchestre français des jeunes durant les étés 2013, 2014, 2015, et chef assistant de Marc Minkowski au Festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence en 2014. En octobre 2015, il est également invité à diriger le RIAS Kammerchor au Festival Heinrich Schütz. Il est fondateur et directeur artistique de l’Ensemble Aedes, ensemble professionnel se produisant régulièrement dans les saisons musicales des prestigieux théâtres et festivals français, tels que le Théâtre des Champs-Élysées, la Philharmonie de Paris, le Théâtre Impérial de Compiègne, l’Audi-torium de Dijon, les Festivals de la Chaise-Dieu et d’Aix-en-Provence. Son deuxième disque a cappella, Ludus verbalis, vol. II, a été récompensé d’un Diapason d’Or en janvier 2013. Il est en outre artiste associé du Théâtre Impérial de Compiègne.

Ludwig WickiOriginaire de Lucerne, Ludwig Wicki grandit dans une famille de musiciens. Il commence son éducation musicale par l’étude du trom-bone et intègre quelques années plus tard l’Orchestre de l’Opéra de Lucerne. Il décide ensuite d’étudier la direction de chœur et d’orchestre au Conservatoire de Berne, puis à ceux de Dresde et Pescara. Durant cette période, il consacre beaucoup de temps à la musique de chambre et fonde le Quintet à vent philharmonique de Lucerne. Suite au succès des enregistrements avec l’ensemble, Ludwig Wicki est invité à jouer avec l’Empire Brass Quintet à la Tanglewood Academy à Boston. En tant que tromboniste, il a fré-

quemment joué avec divers orchestres et ensembles utilisant des instruments d’époque, enrichissant ainsi son activité de chef. Ludwig Wicki a collaboré avec des personnalités telles qu’Andrew Parrott, Nikolaus Harnon-court, Jeremy West et Simon Standage. En tant que chef d’orchestre, il ne se limite pas à un répertoire : avec le chœur de l’abbaye Sainte-Trinité de Lucerne, il explore autant le chant grégorien que la musique sacrée contemporaine, les chefs-d’œuvre de Haydn, Mozart, Beethoven et Mendelsson ou les œuvres baroques. Il dirige également l’En-semble Il Dolcimelo qui joue sur instru-ments d’époque. Passionné de musique de films, Ludwig Wicki crée en 1999 le 21st Century Orchestra, dont il est l’actuel directeur artistique, et propose une série de plus de dix projets chaque saison ainsi que des apparitions à Londres, Paris ou New York. L’orchestre collabore avec de prestigieux compositeurs de musique de films tels que Howard Shore, Michael Giac-chino, James Horner, Danny Elfman, Patrick Doyle, Randy Newman, Martin Böttcher et George Fenton. Il accompagne égale-ment les films muets de Charles Chaplin et Buster Keaton, ainsi que des films cultes tels que Nosferatu. En 2008, Ludwig Wicki dirige le 21st Century Orchestra lors de la première mondiale de La Fraternité de l’anneau – première partie de la trilogie du Seigneurs des anneaux – au Palais de la culture et des congrès de Lucerne, inter-prétant en direct la bande-son du film. Il réalise ce même projet à Munich, Wa-shington, Londres, Chicago, Amsterdam, Lyon, Sydney, entre autres. Cette tournée a connu son apothéose avec les concerts

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au Royal Albert Hall à Londres et la colla-boration du 21st Century Orchestra avec le London Philharmonic et le Radio City Music Hall de New York. Ludwig Wicki a également conduit l’ensemble lors des pre-mières mondiales des Deux Tours en 2009 et du Retour du roi en 2010, mais aussi des films de la série Pirates des Caraïbes, de Gladiator, de Fantasia, du Parfum et d’Alice au pays des merveilles. En 2015, il a dirigé la trilogie du Seigneur des anneaux au Lincoln Center de New York, ainsi que les premières mondiales de Titanic au Royal Albert Hall, de Ratatouille à Paris et d’In-diana Jones à Lucerne. En 2016, il a créé la musique de Batman à Lucerne et celle d’Amadeus, de Jurassic Park et d’Aliens au Royal Albert Hall. Ludwig Wicki enseigne la musique de chambre et la direction d’orchestre au Conservatoire de Lucerne et de Berne. En 2007, il a été récompensé par la ville de Lucerne pour son activité de musicien et de pédagogue. Il a reçu en 2013 le Prix d’Excellence des Arts et de la Culture, décerné par le Global Thinkers Forum.

Les Siècles PopLa formation Les Siècles Pop rassemble les musiciens de l’orchestre Les Siècles désireux de participer à des programmes musicaux alternatifs. Ces programmes ont souvent en commun des formats novateurs comme le prouvent ces quatre représenta-tions parisiennes d’Amadeus Live. À la Cité de la musique, en 2008, Les Siècles Pop avaient vécu une autre expérience sous la houlette de leur chef François-Xavier Roth : jouer avec l’Américain Carl Craig, l’un des fondateurs de la techno à Détroit, et le

pianiste luxembourgeois Francesco Tristano. Parallèlement à ces projets « pop », l’en-semble des musiciens des Siècles mettent en perspective plusieurs siècles de créa-tion musicale. L’orchestre est en résidence à la Cité de la musique de Soissons et se pro-duit régulièrement à Paris – Philharmonie, Opéra Comique –, Sénart, Amiens, Nîmes, Caen, Royaumont, Aix-en-Provence, La Côte Saint-André, Metz et sur les scènes internationales, telles que les BBC Proms, le Royal Festival Hall, le Concertgebouw, le Konzerthaus, le Klara Festival à Bruxelles. Leurs enregistrements des trois ballets de Stravinski – L’Oiseau de feu, Petrouchka et Le Sacre du printemps – ont remporté le prix 2015 de la Critique de disque allemande et le prestigieux prix Edison Klassiek 2012 aux Pays-Bas. Leur disque Debussy a été élu « Disque classique de l’année » dans le Sunday Times et Editor’s choice dans le BBC music Magazine et Gramophone. Plus récemment, la sortie du disque France-Espagne réunissant des œuvres de Chabrier, Ravel, Massenet et Debussy a été récompensée d’un Choc par le magazine Classica. Onze albums sont déjà sortis dans leur label Les Siècles Live en coédition avec Musicales Actes Sud : Berlioz, Saint-Saëns, Matalon, L’Oiseau de feu d’Igor Stravinski, Dubois, Liszt, Debussy, Dukas, Le Sacre du printemps et Petrouchka d’Igor Stravinski, le disque France-Espagne et le dernier enregistre-ment consacré à Ligeti.Soucieux de transmettre au plus grand nombre la passion de la musique classique, les musiciens de l’ensemble proposent de nombreuses actions pédagogiques dans

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les écoles, les hôpitaux et les prisons. L’orchestre est également partenaire de l’Atelier Symphonique Départemental de l’Aisne, du Jeune Orchestre Européen Hector Berlioz et de DEMOS (Dispositif d’Education Musicale et Orchestrale à vocation Sociale) en Picardie et en Île-de-France. L’orchestre est aussi à l’origine du projet « Musique à l’hôpital » proposé dans le service d’hémato-oncologie pédia-trique à l’hôpital Trousseau à Paris et d’une résidence pédagogique à La Petite Biblio-thèque Ronde de Clamart. Les Siècles sont également l’acteur principal de l’émission de télévision Presto sur France 2 et éditée en DVD avec le concours du Conservatoirede Paris.Mécénat Musical Société Générale est le mécène principal de l’orchestre.L’ensemble est depuis 2010 conventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication et la DRAC Hauts-de-France pour une résidence dans la région Hauts-de-France. Il est soutenu depuis 2011 par le Conseil Départemental de l’Aisne pour renforcer sa présence artistique et pédagogique sur ce territoire, notamment à la Cité de la Musique de Soissons.L’orchestre intervient également à Nanterre grâce au soutien de la municipalité et est artiste en résidence au Théâtre-Sénart et artiste associé au Théâtre de Nîmes, dans le Festival Les Musicales de Normandie et dans le Festival Berlioz à La Côte Saint-André.L’orchestre est soutenu par l’association Echanges et Bibliothèques et ponctuel-lement par le Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique française, par

la SPEDIDAM, l’ADAMI, l’Institut Fran-çais, le Bureau Export, la SPPF et le FCM.Les Siècles sont membre administrateur de la FEVIS, membre de l’Association Française des Orchestres et membre associé du SPPF.

Violons I François-Marie DrieuxJérôme MathieuLaetitia RingevalMatthias TranchantNoémie RoubieuDavid BahonFabien ValenchonPierre-Yves Denis

Violons II Caroline FlorenvilleMathieu KasolterArnaud LehmannRachel RowntreeJulie FriezCatherine JacquetByron WallisEmmanuel Ory

AltosVincent DebruyneLucie UzzeniMarie KuchinskyHélène DesaintCécile BrossardLaurent Muller

VioloncellesEmilie WallynGuillaume Francois

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Pierre CharlesNicolas Fritot

Contrebasses Antoine SobczakDamien Guffroy

FlûtesMarion RalincourtJulie Huguet

HautboisStéphane MorvanPascal Morvan

ClarinettesChristian LaborieRhéa RosselloJérôme SchmittVincenzo Cazale

BassonsMichael RollandAntoine Pecqueur

CorsMatthieu SiegristPierre Rougerie

TrompettesFabien NorbertSylvain Maillard

TrombonesFabien CyprienJonathan LeroiDamien Prado

Timbales, percussionsDavid DewasteGuillaume LepicardNicolas GerbierAdrian Salloum

HarpeColine Jaget

Orgue, célesta Jean Sugitani

Ensemble AedesFondé en 2005 par Mathieu Romano, l’En-semble Aedes a pour vocation d’interpréter les œuvres du répertoire choral des cinq siècles passés, jusqu’à la création contem-poraine. Composé de dix-sept à quarante chanteurs professionnels, l’Ensemble Aedes a déjà inscrit à son répertoire de nombreux cycles a cappella, participé à des projets d’oratorios et d’opéras mis en scène et pro-posé différents programmes pour chœur et piano, orgue ou ensemble instrumental. Il collabore régulièrement avec des en-sembles renommés tels que le Cercle de l’Harmonie, les Musiciens du Louvre Gre-noble, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, le Chœur de la Radio Lettone ou encore la Maîtrise de Paris. L’ensemble, en résidence au Théâtre d’Auxerre, au Théâtre Impérial de Compiègne et à la Cité de la Voix de Vézelay, s’est déjà produit dans de nombreuses salles prestigieuses telles que la Philharmonie de Paris, la Salle Pleyel, le Théâtre des Champs-Elysées, l’Opéra royal de Versailles, l’Opéra de Bordeaux, aux Festivals de Saint-Denis, de La Chaise-

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Dieu, d’Ambronay, de Radio France et Montpellier, ainsi que dans divers théâtres et scènes nationales. En 2014, il assure les chœurs de deux productions du Festival d’Aix-en-Provence. La musique du XXe siècle et la création contemporaine tiennent une place essentielle dans les activités de l’En-semble Aedes. Il a assuré plusieurs créations, dont une commande faite au compositeur Philippe Hersant (2008), un oratorio pour chœur de Thierry Machuel dans le cadre du Festival de Clairvaux (2011), et la création française de Furcht und Zittern, une œuvre de Brice Pauset en partenariat avec l’Or-chestre Dijon Bourgogne (2012). Des œuvres de Philippe Fénelon, Jonathan Harvey ou encore Aurélien Dumont et Philip Lawson font partie de son répertoire. L’Ensemble Aedes a sorti un premier disque consacré au compositeur Franz Liszt, Via crucis, en 2007. Son premier disque a cappella, Ludus ver-balis, (Eloquentia – Harmonia Mundi, 2011), consacré aux musiques profanes du XXe siècle, a été récompensé d’un Diapason Décou-verte et d’un prix de la Deutsche Schallplat-tenkritik. Le deuxième volume, paru en novembre 2012, et le disque Instants limites (Aeon – Harmonia Mundi, 2013), consacré au compositeur Philippe Hersant, ont tous deux été récompensés d’un Diapason d’or. Le double-disque Ludus verbalis, volumes III et IV (NoMadMusic, 2015) est consacré aux musiques sacrées du XXe siècle. En juin 2016, l’Ensemble Aedes est nommé Révélation musicale de la saison par l’Association Pro-fessionnelle de la Critique Théâtre Musique et Danse. L’Ensemble Aedes, en résidence en Bourgogne et Picardie, développe chaque année de nombreuses actions pédago-

giques et culturelles. L’ensemble s’investit dans des projets éducatifs auprès de sco-laires, d’étudiants en direction, et de chanteurs ou chefs, amateurs ou jeunes professionnels. Soucieux de partager la musique partout et avec tous les publics, il a également pour ambition de diffuser la musique dans des lieux qui en sont éloignés, comme les milieux hospitaliers ou pénitentiaires.La Fondation Bettencourt Schueller et Mécénat Musical Société Générale sont les principaux mécènes de l’Ensemble Aedes. Il est conventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Bourgogne-Franche-Comté et est soutenu par la DRAC Hauts-de-France, les Conseils Régionaux de Bourgogne-Franche-Comté et des Hauts-de-France ainsi que les Conseils Départementaux de l’Yonne et de l’Oise. Il reçoit également le soutien de l’ADAMI et de la SPEDIDAM. L’ensemble est en résidence au Théâtre Impérial de Compiègne, au Théâtre d’Auxerre, à la Cité de la Voix de Vézelay ainsi qu’à la Fondation Singer-Polignac. Il est également Lauréat 2009 du Prix Bettencourt pour le chant choral, membre de Tenso (réseau européen des chœurs de chambre professionnels), de la FEVIS et du PROFEDIM.

SopranosAntonine BacquetRoxane ChalardJudith DerouinLaura HolmMathilde MonfrayClémence OlivierAgathe Peyrat

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Marie PlaninsekAmandine Trenc

AltosMyriam ArbouzCorinne BahuaudElise BédènesAnaïs BertrandSarah Breton,Laia Cortés CalafellCharlotte Nait-AbdallahAngélique PourreyronMélodie Ruvio

TénorsCamillo AngaritaPaul CrémazyMartin JeudyAnthony Lo PapaNicolas Rether,Maurizio RossanoMathieu SeptierFlorent ThiouxMarc Valéro

BassesEmmanuel BouqueyFrédéric BourreauNicolas BrooymansHenri de VasselotSorin DumitrascuJean-Louis GeorgelPascal GourgandNicolas-Aimé JosserandLouis-Pierre Patron

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