12
Georg Friedrich Haendel | Le Messie | Vendredi 20 décembre 2013 VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel Le Messie Academy of Ancient Music Bernard Labadie, direction Lydia Teuscher, soprano Iestyn Davies, contre-ténor Jeremy Ovenden, ténor Brindley Sherratt, basse Ce concert est surtitré. Fin du concert vers 22h50.

VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

Geo

rg F

ried

rich

Hae

nde

l | L

e M

essi

e | V

endr

edi 2

0 d

écem

bre

20

13

VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H

Georg Friedrich HaendelLe Messie

Academy of Ancient MusicBernard Labadie, directionLydia Teuscher, sopranoIestyn Davies, contre-ténorJeremy Ovenden, ténorBrindley Sherratt, basse

Ce concert est surtitré.

Fin du concert vers 22h50.

Page 2: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

2

Première partie

Sinfonia (Grave – Allegro moderato)

Récitatif accompagné (Ténor) : “Comfort ye, my people”

Air (Ténor) : “Ev’ry valley shall be exalted”

Chœur : “And the glory of the Lord shall be revealed”

Récitatif accompagné et air (Basse) : “Thus saith the Lord of Hosts”

Air (Contre-ténor) : “But who may abide the day of His coming”

Chœur : “And He shall purify”

Récitatif (Contre-ténor) : “Behold, a virgin shall conceive”

Air (Contre-ténor) et chœur : “O thou that tellest good tidings to Zion”

Récitatif accompagné (Basse) : “For behold, the darkness shall cover the earth”

Air (Basse) : “The people that walked in darkness”

Chœur : “For unto us a Child is born”

Pifa (Symphonie pastorale)

Récitatif (Soprano) : “There were shepherds”

Récitatif accompagné (Soprano) : “And lo, the angel of the Lord came upon them”

Récitatif (Soprano) : “And the angel said unto them”

Récitatif accompagné (Soprano) : “And suddenly there was with the angel”

Chœur : “Glory to God in the highest”

Air (Soprano) : “Rejoice greatly, O daughter of Zion”

Récitatif (Contre-ténor) : “Then shall the eyes of the blind be open’d”

Duo (Contre-ténor et soprano) : “He shall feed His flock”

Chœur : “His yoke is easy, and His burthen is light”

entracte

Deuxième partie

Chœur : “Behold the Lamb of God”

Air (Contre-ténor) : “He was despised”

Chœur : “Surely He hath borne our griefs”

Chœur : “And with His stripes”

Chœur : “All we like sheep”

Récitatif accompagné (Ténor) : “All they that see Him”

Chœur : “He trusted in God”

Récitatif accompagné (Ténor) : “Thy rebuke hath broken His heart”

Arioso (Ténor) : “Behold, and see if there be any sorrow”

Récitatif accompagné (Ténor) : “He was cut off out of the land of the living”

Air (Soprano) : “But thou didst not leave His soul in Hell”

Chœur : “Lift up your heads, O ye gates”

Récitatif (Ténor) : “Unto which of the angels said He”

Page 3: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

3

vendredi 20 décembre

Chœur : “Let all the angels of God”

Air (Contre-ténor) : “Thou are gone up on high”

Chœur : “The Lord gave the word”

Air (Soprano) : “How beautiful are the feet”

Chœur : “Their sound is gone out unto all lands”

Air (Basse) : “Why do the nations so furiously rage”

Chœur : “Let us break their bonds asunder”

Récitatif (Ténor) : “He that dwelleth in heaven”

Air (Ténor) : “Thou shalt break them”

Chœur : “Hallelujah”

Troisième partie

Air (Soprano) : “I know that my Redeemer liveth”

Chœur : “Since by man came death”

Récitatif (Basse) : “Behold, I tell you a mystery”

Air (Basse) : “The trumpet shall sound”

Récitatif (Contre-ténor) : “Then shall be brought to pass”

Duo (Contre-ténor et ténor) : “O death”

Chœur : “But thanks be to God”

Récitatif accompagné (Soprano) : “If God be for us”

Chœur : “Worthy is the Lamb that was slain” – “Amen”

Page 4: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

4

Le Messie de Georg Friedrich Haendel (1685-1759), un oratorio atypique

Avant d’être l’œuvre la plus célèbre de Haendel, celle qui longtemps masqua de sa stature imposante le reste de sa production, Le Messie fut une pièce atypique et controversée. L’oratorio le plus connu de l’ère baroque, tout en fusionnant bien des traits stylistiques de son temps, se présente en réalité comme en marge des traditions de son époque, dans sa conception comme dans sa forme.

Le Messie apparaît à un moment charnière de la carrière de Haendel. Formé durant sa jeunesse allemande, tout comme Bach et Telemann, à la composition pour la liturgie luthérienne, initié à la vocalité italienne lors d’un voyage déterminant qu’il fit à Rome et à Venise à vingt-deux ans, puis installé à Londres où il acclimata l’opéra italien et produisit durant plus de vingt ans une œuvre lyrique considérable, Haendel a 56 ans en 1741. Le public anglais semble se détourner durablement de l’opéra et de ses fastes ultramontains et préférer le genre plus convenable de l’oratorio que Haendel expérimente alors sous divers aspects, soit sous la forme dramatique de l’histoire sacrée, comme avec Saul, soit sous celle d’une vaste fresque chorale, à la manière d’une grande cantate ou d’un motet élargi, comme avec Israël en Égypte – deux oratorios créés en 1739. Lorsqu’il compose en trois semaines Le Messie, entre le 22 août et le 14 septembre 1741, Haendel choisit une voie médiane qui tient de toutes les traditions sans en respecter aucune. Surtout – et c’est là l’originalité du livret réalisé par Charles Jennens, une habile compilation de textes issus de la Bible, des Évangiles et des lettres de Paul –, l’œuvre se concentre sur un seul personnage mais ne le présente que de façon indirecte, par le biais de prophéties ou de narrations, sans jamais lui donner la parole, contrairement à l’usage des passions allemandes, par exemple. Le personnage n’en est que plus puissant et sa nature divine renforcée par rapport à sa destinée humaine.

Haendel écrivit son nouvel oratorio en vue d’une saison de concerts à Dublin. Il avait été invité par le lord-lieutenant William Cavendish au nom de plusieurs institutions charitables et envisageait de faire entendre également des œuvres profanes, L’Allegro, il Penseroso ed il Moderato, Acis and Galatea, l’Ode for St. Cecila’s Day et Alexander’s Feast. La création du Messie était prévue pour la période de Pâques, ce qui convenait à son caractère sacré, mais eut lieu dans une salle de concert, le Music Hall de Fishamble Street. Cette ambiguïté entre la teneur religieuse de l’oratorio et le contexte séculier qui servait de cadre à son exécution ne posa pas de problèmes en Irlande, où l’œuvre reçut un accueil enthousiaste et déplaça les foules, le 13 avril 1742. On demanda même par voie de presse, pour gagner de la place et accueillir davantage de spectateurs, aux dames de venir sans paniers et aux hommes sans épée. Et lorsque la mezzo-soprano Susanna Maria Cibber chanta l’air émouvant « He was despised », un ecclésiastique se leva dans l’assistance en s’exclamant : « Femme, pour cela, que tous tes péchés te soient pardonnés ! »

À Londres, en revanche, où il fut repris l’année suivante sur la scène de Covent Garden (selon l’habitude de Haendel, qui remplaça les saisons théâtrales d’opéras par des saisons d’oratorios, dans les mêmes théâtres), l’exécution du Messie souleva de multiples objections. Le lieu ne semblait pas convenable pour le caractère sacré du texte chanté.

Page 5: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

5

vendredi 20 décembre

Ce n’est que lorsque Haendel fit don de sa partition en 1750 au Foundling Hospital, pour qu’elle soit exécutée chaque année dans la chapelle de cet établissement charitable, que le public londonien apprécia sans réserves une œuvre qui allait devenir, au XIXe siècle, la plus célèbre du compositeur.

Si l’on compare Le Messie aux oratorios allemands retraçant la vie du Christ (comme l’Oratorio de Noël ou les passions de Bach, pièces intégrées dans la liturgie), l’œuvre de Haendel semble tout à fait exceptionnelle. Ce n’est pas un épisode de la vie de Jésus qui est relaté, mais l’ensemble de sa mission. Le plan ambitieux et remarquablement calibré de Jennens divise l’oratorio en trois parties inégales : la première laisse une large part aux prophéties annonçant la venue du Christ, puis à la nativité (résumée par l’épisode de l’annonce aux bergers par les anges), enfin évoque rapidement le ministère de Jésus en l’assimilant au bon pasteur ; la deuxième partie relate les souffrances et la mort de Jésus dans le style des passions allemandes (la présence d’un ténor narrateur est significative) puis retrouve un ton triomphal pour peindre la résurrection, l’ascension et la pentecôte, épisode culminant dans le fameux et jubilant « Hallelujah ». Plus ramassée, la troisième partie conclut principalement avec des textes de Paul méditant sur le rôle rédempteur du Messie, la résurrection des corps, le jugement dernier et le triomphe final de l’Agneau. Ainsi peinte à larges traits, la mission du Christ, malgré l’intensité pathétique de l’évocation passagère de la passion, laisse prédominer l’image triomphale et optimiste d’un dieu salvateur, bien rendue par les chœurs nombreux et travaillés qui confèrent une particulière grandeur à cet oratorio.

Cette vision théologique du Messie n’est cependant en rien abstraite. En musicien baroque, Haendel sait la peindre avec des couleurs vives et des traits évocateurs, usant de moyens tour à tour simples et savants pour rendre plus vivants ses tableaux sonores. Ainsi la tortueuse vocalise de la voix de basse peignant les peuples qui marchent dans les ténèbres, les mouvements frémissants des violons dans l’aigu pour figurer le battement des ailes des anges, les mesures ternaires et le ton pastoral pour montrer Jésus en berger, ou encore les rythmes pointés, comme chez Bach, imitant les coups de la flagellation… Le texte biblique s’accommodant mal de la forme à reprise de l’aria da capo des opéras, Haendel innove perpétuellement dans la structure de ses airs, soulignant les mots importants par des vocalises illustratives. Quant aux chœurs, particulièrement nombreux et variés, ils mêlent, comme dans l’« Hallelujah », les styles les plus divers, depuis les blocs choraux massifs jusqu’aux contrepoints les plus travaillés, depuis les effets imitatifs les plus parlants jusqu’aux structures les plus abstraites, avec une énergie et une efficacité irrésistibles. On y retrouve l’art du dramaturge qui troquait alors les prestiges de la scène italienne pour un théâtre intérieur, non moins puissant, non moins émouvant, non moins coloré, où la musique prenait en charge décors, gestique et action et où le son devenait image pour créer l’espace de la méditation.

Raphaëlle Legrand

Page 6: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

6

L’ORATORIO

Oratorio : Grande cantate à sujet religieux, pour solistes, chœur et instruments, proche de l’opéra par son caractère dramatique (avec un argument, des personnages) mais qui s’interprète sans décors ni costumes. Il existe aussi des oratorios à sujet profane. L’oratorio apparaît dès la mise en place du langage musical baroque (début XVIIe siècle) : écriture en mélodie accompagnée, souci de vérité dramatique.

Les premiers oratorios baroques

Leur naissance est conjointe à celle de l’opéra. Elle est stimulée en pays catholiques par les besoins « représentatifs » de la Contre-Réforme. Mais les oratorios protestants apparaissent presque en même temps.

L’orchestre, très réduit au début (parfois simple basse continue) devient plus important et coloré à la fin du XVIIe siècle.

Le XVIIIe siècle, âge d’or de l’oratorio

Énorme production de 1720 à 1800, parallèle à une pléthore d’opéras.École napolitaine (Niccolò Porpora, Niccolò Jommelli).Deuxième décennie du XVIIIe siècle : l’oratorio est bien établi en Allemagne à travers des œuvres de Reinhard Keiser, Johann Matheson, Georg Philipp Telemann.Passions de Johann Sebastian Bach (Passion selon saint Jean, 1724, Passion selon saint Matthieu, 1729) et trois oratorios (Ascension, Noël, Pâques).

Les ancêtres de l’oratorio :

- mystères médiévaux ;

- madrigaux et motets sacrés de la Renaissance (Roland de Lassus) ; leur style polyphonique

(nombreuses voix entrelacées) ne permet pas encore une directe expression dramatique ;

- vers 1550 à Rome, Filippo Neri organise des exercices spirituels, assortis de musique,

dans une salle appelée oratorio (L’oratoire).

- 1600, Emilio de’ Cavalieri, La Rappresentazione dell’ anima e del corpo : en fait un opéra sacré (mis en

scène) ;

- milieu XVIIe siècle : oratorios de Giacomo Carissimi (Jephté) ;

- en pays luthériens, dialogues dramatiques également, ou historiae chantées ; Passions de Heinrich

Schütz (autour de 1660) et Histoire de la Nativité (1664) ; Abendmusike de Dietrich Buxtehude à Lübeck ;

- en France : années 1670, oratorios de Marc-Antoine Charpentier, élève de Carissimi.

Page 7: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

7

vendredi 20 décembre

Georg Friedrich Haendel : institue l’oratorio anglais (1720 à 1752, d’Esther à Jephtah) en vingt-trois œuvres dont sept sur des sujets profanes. Beaucoup de chœurs, grands effets tirés de l’opéra italien mais aussi de la musique chorale anglaise.

Après 1750, époque classique : le genre est marqué surtout par Joseph Haydn. Un oratorio italien, Il Ritorno di Tobia (1775), et deux oratorios allemands, l’un sacré (La Création, 1798), l’autre profane (Les Saisons, 1800).

Le XIXe siècle : l’époque romantique

Les oratorios sont nettement moins nombreux, et leur langage essaie de concilier tradition et effets nouveaux.

Jean-François Le Sueur entre 1786 et 1837 affiche son goût du spectaculaire.

Mais les grands compositeurs romantiques écrivent des oratorios de facture très traditionnelle : - Hector Berlioz, L’Enfance du Christ (1854) ;- Felix Mendelssohn, Paulus (1836) et Elias (1845) ;- Franz Liszt, Légende de sainte Elisabeth (1862) – le vaste Christus (1866) et surtout

Via Crucis (1879) sont plus audacieux ;- Antonín Dvořák, Sainte Ludmilla (1886).

Le XXe siècle

Avec la liberté religieuse, à laquelle s’ajoute la liberté d’expérimentation musicale, le genre ne s’illustre plus que dans des œuvres diverses, soit inspirées de la tradition, soit « en style d’oratorio ».

- Edward Elgar, The Dream of Gerontius (1900) ;

- Claude Debussy, Le Martyre de saint Sébastien (1911) ;

- Arnold Schönberg : L’Échelle de Jacob (1922), jamais achevé ;

- Arthur Honegger, Le Roi David (1921), Jeanne au bûcher (1935).

Page 8: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

8

Lydia Teuscher

Née à Fribourg en Allemagne, Lydia

Teuscher a fait ses études au Welsh

College of Music and Drama et à la

Hochschule für Musik de Mannheim.

Ses premières apparitions scéniques ont

eu lieu notamment au Festival Händel

de Göttingen, au Théâtre municipal

de Heidelberg et au Théâtre national

de Mannheim. On a pu l’entendre en

récital accompagnée par Graham

Johnson à Londres, Cologne et Anvers,

ainsi qu’avec Helmuth Rilling et la

Bachakademie de Stuttgart. Invitée au

festival de Ludwigsburg et au Festival

de Musique de chambre du château de

Moritzburg, elle a également chanté avec

la Camerata de Hambourg, l’orchestre

baroque L’Arco, au Festival Fronteras

de Londres et au Festival Roberto

Minczuk de São Paulo. Elle s’est produite

avec le Hanover Band à Brighton

et à Londres, avec l’Orchestre du

Gürzenich de Cologne sous la direction

de Markus Stenz, avec l’Orchestre du

Concertgebouw d’Amsterdam dirigé

par Roger Norrington, avec la Double

Bande sous la baguette de René Jacobs

(avec lequel elle a également enregistré

la Brockes-Passion de Telemann), avec

l’Orchestra of the Age of Enlightenment

à Londres et avec l’Orchestre de la

Tonhalle de Zurich et David Zinman

en tournée en Corée et au Japon.

Elle est également partie en tournée

au Canada avec Bernard Labadie

et en Europe avec Ton Koopman et

l’Amsterdam Baroque Orchestra. Parmi

ses engagements récents, mentionnons

Lucio Silla de J. C. Bach avec Ivor Bolton

pour la Mozartwoche de Salzbourg,

la Paukenmesse de Haydn avec le BBC

Scottish Symphony Orchestra dirigé par

Bernard Labadie, la Messe en si de Bach

avec Arcangelo et Jonathan Cohen, ainsi

que Aci, Galatea e Polifemo de Haendel

avec Le Concert d’Astrée et Emmanuelle

Haïm. Elle chantera prochainement

La Création de Haydn avec l’Orchestre

de Chambre de Cologne et les Magnificat

de Vivaldi et Bach en tournée avec Il

Giardino Armonico. En septembre 2006,

elle est devenue artiste en résidence à

la Semperoper/Sächsische Staatsoper

de Dresde où elle interprète les rôles de

Pamina, Susanna, Ännchen, Valencienne

et Gretel. Elle a incarné Ighino dans la

nouvelle production de Palestrina et

Pamina à la Staatsoper de Bavière, ainsi

que Gretel et Susanna au Festival de

Glyndebourne. Elle s’est aussi produite

au Festival d’Aix-en-Provence et à la

Mozartwoche de Salzbourg où elle a

interprété Pamina sous la direction

de René Jacobs. Prochainement, elle

chantera le rôle de Cherubino au Festival

de Saito Kinen sous la direction de

Seiji Ozawa.

Iestyn Davies

Après avoir obtenu des diplômes

d’archéologie et d’anthropologie au

St John’s College de Cambridge, Iestyn

Davies a étudié à la Royal Academy of

Music de Londres. Il a chanté les rôles

de Creonte (Niobe de Steffani) au Royal

Opera House, Covent Garden, Ottone

(L’Incoronazione di Poppea) à l’Opéra de

Zurich et au Festival de Glyndebourne,

Arsace (Partenope) au New York City

Opera, Oberon (A Midsummer Night’s

Dream) au Grand Opera de Houston

et à l’English National Opera, Apollo

(Death in Venice) à l’English National

Opera et lors de ses débuts à

La Scala de Milan. Il a fait ses débuts

au Metropolitan Opera de New York

dans Rodelinda, avant d’y incarner

Trinculo (The Tempest) et Oberon, au

Lyric Opera de Chicago dans Rinaldo

de Haendel, aux festivals de Munich

et Vienna et à l’Opéra-Comique dans

Written on Skin de George Benjamin.

Au concert, il s’est produit à La Scala

de Milan avec Gustavo Dudamel, au

Concertgebouw d’Amsterdam et à la

Tonhalle de Zurich avec Ton Koopman,

au Barbican Centre, au Théâtre des

Champs-Élysées, au Lincoln Center et

aux Proms de la BBC. Récemment, il a

fait ses débuts en récital au Carnegie

Hall de New York. Il est régulièrement

invité à se produire au Wigmore Hall,

où il a été en résidence au cours de la

saison 2012/2013. Sa dernière parution

discographique est consacrée à des

airs composés pour le castrat Gaetano

Guadagni. Parmi ses projets à venir,

mentionnons le rôle de Bertarido

(Rodelinda) à l’English National Opera

et de nouveaux engagements au

Festival de Glyndebourne et au Royal

Opera House, Covent Garden. Iestyn

Davies est récipiendaire du Prix du

« jeune artiste de l’année » 2010 de

la Royal Philharmonic Society, du Prix

Gramophone de récital 2012 et du Prix

du Cercle des Critiques dans la catégorie

chant 2013.

Jeremy Ovenden

Jeremy Ovenden a étudié avec Norman

Bailey et Neil Mackie au Royal College

of Music de Londres et en privé avec

Nicolaï Gedda. Ses projets pour la saison

en cours et les suivantes comprennent

L’Incoronazione di Poppea de Monteverdi

(Nerone) à l’Opéra National de Paris,

Tamerlano de Haendel (Bajazet) à

Bruxelles et Amsterdam, la Messe en

ut mineur de Mozart avec l’Orchestre

de la RAI de Turin et Ivor Bolton et

Page 9: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

9

biographies

avec l’Orchestre Symphonique de

la WDR et Christoph Eschenbach,

la Missa solemnis de Beethoven avec

le Beethoven Orchester de Bonn,

La Création de Haydn avec le London

Symphony Orchestra et à Lisbonne

avec Paul McCreesh, La Résurrection

de Haendel en tournée en Europe

avec René Jacobs, le War Requiem de

Britten avec l’Orchestre Philharmonique

de Strasbourg et avec l’Orchestre

National du Danemark, La Première

Nuit de Walpurgis de Mendelssohn

avec l’Orchestre du Gewandhaus de

Leipzig, le Requiem de Mozart avec le

BBC Scottish Symphony Orchestra et

Donald Runnicles ainsi que le rôle-titre

du Retour d’Ulysse dans sa patrie de

Monteverdi avec l’Academy of Ancient

Music. Jeremy Ovenden a récemment

interprété Ferrando (Così fan tutte)

au Royal Opera House, Covent Garden

et à la Staatsoper de Berlin, Tigrane

(Radamisto) au Theater an der Wien,

Belfiore (La Finta Giardiniera) et Jupiter

(Semele de Haendel) à La Monnaie de

Bruxelles, Don Ottavio (Don Giovanni)

à Berlin avec Daniel Barenboim,

ainsi que le rôle-titre de L’Orfeo de

Monteverdi, Oronte (Alcina de Haendel)

et Ilio (Ercole Amante de Cavalli) à

l’Opéra des Pays-Bas. En 2004, il a fait

ses débuts à La Scala de Milan dans

L’Europa riconosciuta de Salieri sous la

direction de Riccardo Muti, une salle où

il est revenu chanter Don Ottavio avec

Gustavo Dudamel et Oronte (Alcina)

avec Giovanni Antonini. Au concert,

on a pu l’entendre dans Les Saisons

de Haydn avec le London Symphony

Orchestra et Sir Colin Davis, avec

le Deutsches Symphonie-Orchester

et Andrew Manze et au Festival du

Schleswig-Holstein avec Paul McCreesh,

La Création de Haydn avec l’Orchestre

de l’Académie Sainte-Cécile et avec

l’Orchestre de la RAI de Turin, L’Enfance

du Christ de Berlioz avec l’Orchestre

Symphonique de la MDR et à la basilique

Saint-Denis avec James Conlon, Elijah

avec l’Orchestre Philharmonique de

Bergen, la Sérénade pour ténor, cor

et cordes de Britten avec l’Orchestre

Symphonique de Aarhus, Die letzten

Dinge de Spohr avec l’Orchestre du

Mozarteum de Salzbourg et Ivor Bolton,

la Symphony n° 3 de Szymanowski avec

le London Philharmonic Orchestra et

Vladimir Jurowski, La Finta Giardiniera

(Belfiore), Saul et Il Trionfo del Tempo

de Haendel en tournée européenne

avec René Jacobs, ainsi que des œuvres

de Haydn et Mozart avec Le Cercle de

l’Harmonie et Jérémie Rohrer et avec

l’Ensemble Orchestral de Paris et Fabio

Biondi. Il se produit régulièrement

aux côtés de Nikolaus Harnoncourt

et a notamment interprété sous sa

direction La Betulia liberata de Mozart

au Musikverein de Vienne et les Litaniae

de venerabili altaris sacramento du

même compositeur au Festival de

Salzbourg, où il a également chanté

Fracasso (La Finta Semplice), Don

Asdrubale (Lo Sposo deluso) et Biondello

(L’Oco del Cairo), la Messe en ut mineur

de Mozart avec Yannick Nézet-Séguin

et La Betulia liberata sous la direction de

Christophe Poppen.

Brindley Sherratt

Né dans le Lancashire, Brindley Sherratt

a étudié à la Royal Academy of Music,

dont il est désormais membre et

professeur invité. Ses engagements

cette saison comprennent les rôles de

Sarastro (La Flûte enchantée) pour

ses débuts à la Staatsoper de Vienne,

Claggart (Billy Budd) en tournée

avec le Festival de Glyndebourne à la

Brooklyn Academy of Music et Pimen

(Boris Godounov) pour ses débuts à

la Bayerische Staatsoper de Munich.

Au Royal Opera House, Covent Garden,

il a notamment incarné Sarastro,

Gremin (Eugène Onéguine), Sparafucile

(Rigoletto), Narbal (Les Troyens) et

Ramfis (Aïda) ; à Salzbourg, il a chanté

Balducci (Benvenuto Cellini) avec Valery

Gergiev et Hobson (Peter Grimes)

avec Simon Rattle ; au Festival de

Glyndebourne, il a incarné Claggart,

Rocco (Fidelio) et Le Commandeur

(Don Giovanni). Parmi ses nombreux

rôles à l’English National Opera,

mentionnons Sarastro, Pimen et Fiesco

(Simon Boccanegra). Il a également

interprété Sarastro à la Staatsoper de

Hambourg et à l’Opéra des Pays-Bas,

Banco (Macbeth) à l’Opéra de Bordeaux,

Pimen à l’Opéra de Nice, Rocco à Séville,

Le Commandeur et Claudio (Agrippina) à

Santa Fe, Pogner (Les Maîtres chanteurs

de Nuremberg) à l’Opéra National du

Pays-de-Galles, et Fasolt (L’Or du Rhin)

et Filippo (Don Carlo) pour Opera North.

Durant les prochaines saisons, il fera son

retour à Covent Garden et à l’Opéra des

Pays-Bas, ainsi que ses débuts au Lyric

Opera de Chicago, au Festival d’Aix-en-

Provence et au Metropolitan Opera de

New York. Très demandé au concert,

il s’est produit aux festivals de Bregenz,

Édimbourg, Lucerne, Salzbourg, au

Three Choirs Festival et aux Proms

de la BBC. Il collabore régulièrement

avec des orchestres et des chefs de

renom ; parmi ses partenaires récents,

mentionnons l’Orchestre du Royal

Opera House et Antonio Pappano,

le Philharmonia Orchestra et Andrew

Davis, le Hallé Orchestra et Mark Elder,

Page 10: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

10

le Mahler Chamber Orchestra et Daniel

Harding, l’Orchestre Philharmonique de

Rotterdam et Harry Bicket, le Monteverdi

Choir et John Eliot Gardiner, l’Orchestre

de Chambre d’Écosse et Yannick Nézet-

Séguin, l’Orchestre des Champs-Élysées

et la Deutsche Kammerphilharmonie

de Brême avec Louis Langrée. Il a

enregistré les rôles de Somnus et

Cadmus (Semele), Ariodate (Serse),

Ubaldo (Imelda de Lambertazzi de

Donizetti), Goffredo (Il Pirata de Bellini),

Rocco (Fidelio), Judas (The Apostles)

avec le Hallé Orchestra et Mark Elder,

la Missa solemnis de Beethoven avec le

Chamber Orchestra of Europe et John

Nelson ainsi que des messes de Haydn et

des cantates de Bach avec le Monteverdi

Choir et John Eliot Gardiner.

Bernard Labadie

Reconnu internationalement pour son

expertise dans le répertoire des XVIIe

et XVIIIe siècles, Bernard Labadie est

le directeur artistique des Violons du

Roy et de La Chapelle de Québec, deux

ensembles qu’il a fondés respectivement

en 1984 et 1985 et qu’il dirige dans

le cadre de leurs saisons à Québec

et à Montréal ainsi qu’en tournée en

Amérique et en Europe. Fréquemment

invités par des salles et des festivals

renommés, ils se sont récemment

produits au Festival de Salzbourg,

au Carnegie Hall et au Lincoln Center

de New York, au Walt Disney Concert

Hall de Los Angeles, au Kennedy Center

de Washington, au Barbican Centre

de Londres et au Concertgebouw

d’Amsterdam. Chef invité très recherché,

Bernard Labadie dirige régulièrement

les grands orchestres symphoniques

nord-américains, notamment ceux de

New York, Los Angeles, Philadelphie,

Cleveland, Chicago, Boston, San

Francisco, Saint Louis, Houston, Atlanta,

Detroit, Montréal, Toronto, Vancouver,

le New World Symphony de Miami,

le Saint Paul Chamber Orchestra et

le Los Angeles Chamber Orchestra.

De plus en plus demandé en Europe, il a

fait ses débuts avec l’Orchestre de la

Radio Bavaroise à Munich, l’Orchestre

du Concertgebouw d’Amsterdam,

l’Orchestre Philharmonique de Radio

France et le BBC Scottish Symphony

Orchestra. Il fera prochainement ses

débuts avec l’Orchestre de la Radio

Suédoise, l’Orchestre de la Radio

Finlandaise, l’Orchestre Philharmonique

de Hong-Kong, l’Orchestre

Philharmonique de Strasbourg,

l’Orchestre de Chambre de Suède et

l’Orchestre de Chambre de Norvège,

et se produira à nouveau à la tête de

l’Orchestre Symphonique de Melbourne,

de l’Orchestre Philharmonique de Malaisie,

de l’Orchestre de la NDR de Hanovre, de

l’English Concert, du Northern Sinfonia

et de l’Academy of Ancient Music, dont il

est l’invité régulier. Habitué du répertoire

lyrique, Bernard Labadie a été directeur

artistique et musical de l’Opéra de

Québec (1994-2003) et de l’Opéra de

Montréal (2002-2006). En tant que chef

invité, il a dirigé Così fan tutte au Festival

Mostly Mozart de New York, Orlando avec

la compagnie Glimmerglass Opera, Lucio

Silla à l’Opéra de Santa Fe, L’Enlèvement

au sérail en tournée avec l’Orchestra of

the Age of Enlightenment et La Flûte

enchantée au Metropolitan Opera de New

York et à l’Opéra de Cincinnati. La saison

dernière, il est revenu à Cincinnati diriger

Don Giovanni. Bernard Labadie a été fait

officier dans l’Ordre du Canada en 2005

et chevalier dans l’Ordre national du

Québec en 2006.

Academy of Ancient Music

Fondée par Christopher Hogwood

en 1973, l’Academy of Ancient Music

(AAM) interprète la musique baroque

et classique sur instruments d’époque.

Au cours des quatre dernières

décennies, la formation s’est produite

sur tous les continents à l’exception

de l’Antarctique et a enregistré plus de

300 disques. En 2006, Richard Egarr

a succédé à Christopher Hogwood en

tant que directeur musical. Sous sa

direction, l’orchestre a effectué des

tournées à travers l’Europe, l’Australie,

les États-Unis et l’Extrême-Orient,

et a récemment gravé les Concertos

brandebourgeois de Bach, un cycle

d’œuvres instrumentales de Haendel

et des pièces du compositeur anglais

Christopher Gibbons. En juin 2012,

l’Academy of Ancient Music a été

invitée à se produire lors de la Parade

navale du Jubilé de diamant de la reine

Elisabeth II sur la Tamise ; durant l’été

2013, elle était ensemble en résidence

à la National Gallery de Londres.

L’excellence artistique de l’Academy of

Ancient Music a bénéficié de longue

date de la collaboration de nombreux

artistes invités : le pianiste Robert

Levin et les cantatrices Dame Emma

Kirkby, Dame Joan Sutherland et Cecilia

Bartoli sont de ceux qui se produisaient

régulièrement avec l’orchestre à ses

débuts, et l’orchestre poursuit des

collaborations régulières avec des

artistes comme la mezzo-soprano

Angelika Kirchschlager, le contre-ténor

Andreas Scholl ou la violoniste Alina

Ibragimova ; le Chœur du King’s College

de Cambridge est également au cœur

du succès artistique de l’Academy of

Ancient Music. De septembre 2013

à août 2014, l’Academy of Ancient

Page 11: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

11

biographies

Music célèbre son 40e anniversaire.

En plus de ses concerts au Royaume-

Uni, ses engagements comprennent

une grande tournée en Australie ainsi

que des concerts au Concertgebouw

d’Amsterdam, au Palais des Beaux-Arts

de Bruxelles, à la Salle Pleyel et au

Théâtre des Champs-Élysées à Paris.

AAM Records, le label discographique

de l’orchestre, a été lancé en octobre

2013. Ses parutions à venir comprennent

la Passion selon saint Jean, la Passion

selon saint Matthieu et les suites pour

orchestre de Bach. L’Academy of Ancient

Music est ensemble associé du Barbican

Centre de Londres et orchestre en

résidence à l’Université de Cambridge.

Chœur

Sopranos

Nina Bennet

Elizabeth Drury

Philippa Hyde

Helen Groves

Katie Thomas

Anna Whyte

Altos

Heather Cairncross

Jacqueline Connell

Lucy Goddard

Kate Mapp

Susanna Spicer

Ténors

Darrell Forkin

Edmund Hastings

Sean Kerr

Paul Tindall

Christopher Tortise

Basses

Charles Pott

Samuel Queen

Edmund Saddington

Jonathan Stainsby

Michael Wallace

Orchestre

Violons I

Rodolfo Richter (premier violon solo)

Sijie Chen

Colin Scobie

Stephen Pedder

Kinga Ujszaszi

Violons II

Rebecca Livermore

William Thorp

Pierre Joubert

Marianna Szücs

Altos

Jane Rogers

Ricardo Cuende Isuskiza

Violoncelles

Joseph Crouch

Imogen Seth-Smith

Contrebasse

Judith Evans

Hautbois

Frank de Bruine

Mark Radcliffe

Basson

Ursula Leveaux

Trompettes

David Blackadder

Robert Vanryne

Timbales

Benedict Hoffnung

Clavecin

Alastair Ross

Orgue

Stephen Farr

Page 12: VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013 – 20H Georg Friedrich Haendel …content.citedelamusique.fr/pdf/note_programme/np_13332.pdf · Georg Friedrich Haendel | ... VENDREDI 20 DÉCEMBRE 2013

imp

rim

eur

Fran

e R

epro

• L

icen

ces

: 1-1

05

68

49

, 2-1

05

68

50

, 3-1

05

85

1

Les partenaires média de la Salle Pleyel

Salle Pleyel | et aussi…

SAMEDI 25 JANVIER 2014, 20H

Extraits d’opéras de Wolfgang Amadeus Mozart

Edita Gruberova, sopranoMünchener KammerorchesterDouglas Boyd, direction

MARDI 28 JANVIER 2014, 20H

Extraits d’opéras de Georg Friedrich Haendel

Sonya Yoncheva, sopranoOrfeo 55Nathalie Stutzmann, direction

JEUDI 6 FÉVRIER 2014, 20H

Jan Dismas ZelenkaMiserereWolfgang Amadeus MozartRequiem

Insula OrchestraAccentusLaurence Equilbey, directionSandrine Piau, sopranoSara Mingardo, contraltoWerner Güra, ténorChristopher Purves, basse

MERCREDI 19 MARS 2014, 20H

Johann Sebastian BachPassion selon saint Jean

Bach Collegium JapanMasaaki Suzuki, directionJoanne Lunn, sopranoDamien Guillon, altoGerd Türk, ténorPeter Kooij, basse

LUNDI 7 AVRIL 2014, 20H

Pièces de Matthew Locke, Jean-Baptiste Lully, Marin Marais, Jean-Féry Rebel, Antonio Vivaldi et Jean-Philippe Rameau

Le Concert des NationsJordi Savall, direction

MARDI 15 AVRIL 2014, 20H

Johann Sebastian BachPassion selon saint Matthieu

Amsterdam Baroque Orchestra & ChoirJeune Chœur de DordogneTon Koopman, directionFrank Markowitsch, chef de chœurHana Blažíková, sopranoMaarten Engeltjes, altoTilman Lichdi, L’ÉvangélisteJörg Dürmüller, ténorKlaus Mertens, basseFalko Hönisch, le Christ

SAMEDI 19 AVRIL 2014, 20H

Hear my prayer

Hymnes et anthems de Henry Purcell

Les Arts FlorissantsPaul Agnew, direction

LUNDI 2 JUIN 2014, 19H30

Claudio MonteverdiOrfeo (version de concert)

Les Talens LyriquesChristophe Rousset, directionGulya Orendt, OrfeoEmôke Barath, EuridiceCarol Garcia, La Musica, La Messaggiera, SperanzaElena Galitskaya, Prosperina, NinfaGianluca Buratto, Caronte, PlutoneDamian Tanthrey, Apollo