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document stratégique, année 2010, langue:français
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Favoriser un eFFort mondial de recherche eFFicace sur les maladies liées à la pauvreté
Le tdr en un coup d’œil
“ Le TDR … met la puissance d’une recherche scientifique rigoureuse au service de la lutte contre les maladies infectieuses qui touchent les pauvres.”dr margaret chan, directeur généralOrganisation mondiale de la Santé
2 TDR AT A GLANCE
Qui sommes-nous ?
Le Programme spécial de recherche et de formation concernant les maladies tropicales (TDR) est le principal programme de recherche des Nations Unies sur les maladies liées à la pauvreté.
Il s’agit d’un programme mondial de collaboration scientifique qui aide à coordonner, soutenir et promouvoir les efforts mondiaux de lutte contre les maladies infectieuses touchant les populations pauvres et défavorisées. Créé en 1975, le TDR est parrainé
notre vision
“ Favoriser un effort mondial de recherche efficace sur les maladies
infectieuses liées à la pauvreté, dans lequel les pays d’endémie jouent
un rôle décisif. ”
conjointement par le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), et il est juridiquement placé sous les auspices de l’OMS. Le TDR s’attaque aux causes sous-jacentes des problèmes de santé qui perpétuent le cercle vicieux de la maladie et de la pauvreté, et il contribue ainsi à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD).
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 3
Qu’entend-on par «maladies liées à la pauvreté» ?Plus d’un milliard d’enfants vivent dans la pauvreté et 10 millions d’entre eux
meurent chaque année. Leurs parents souffrent également de toute une
série de maladies qui nuisent à leur capacité de travailler et de
subvenir aux besoins de la famille.
Ce sont des maladies qui touchent
principalement les populations pauvres
des pays en développement. Elles sont
favorisées par les mauvaises conditions
de logement et d’assainissement et se
rencontrent surtout sous les climats
tropicaux. Les principaux « vecteurs » de
ces maladies qui peuvent être mortelles
ou provoquer de graves incapacités sont
les moustiques, les mouches, les insectes
rampants et les gastéropodes aquatiques.
Le portefeuille du TDR comprend les maladies suivantes :
• lepaludisme,leVIH/sidaet la tuberculose ;
• desmaladiesnégligéestellesque la dengue, les helminthiases, la trypanosomiase humaine africaine, la leishmaniose, la lèpre, la filariose lymphatique, l’onchocercose, la schistosomiase et les maladies sexuellement transmissibles.
4 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
TDR AT A GLANCE 5
“Pendant plus de vingt ans, le TDR a été le principal instrument de recherche pour l’effort mondial d’éradication de la cécité des rivières. Il nous a ainsi aidés à réaliser l’une des campagnes de santé publique les plus efficaces jamais menées en faveur de la santé dans le monde. ”uche amizago, Directeur du Programme africain de lutte contre l’onchocercose
6 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
Nos réalisations à ce jourDepuis la création du Programme en 1975, les recherches soutenues
par le TDR ont permis …
• de mener cinq grandes campagnes
d’élimination de maladies négligées
– à l’échelle mondiale pour la lèpre, l’onchocercose (cécité des rivières), la maladie de Chagas et la filariose lymphatique, et dans le sous-continent indien pour la leishmaniose viscérale ;
• de codévelopper douze médicaments
nouveaux pour le traitement de parasitoses tropicales telles que le paludisme, soit plus de la moitié des nouveaux produits thérapeutiques élaborés dans le monde depuis 1975 contre ces maladies ;
• de démontrer l’efficacité des asso-
ciations médicamenteuses à base
d’artémisinine – qui sont à présent les traitements antipaludiques de première intention, ainsi que des moustiquaires
imprégnées d’insecticide, qui assurent une protection contre les moustiques vecteurs de la maladie, si bien qu’au-jourd’hui, ces deux approches sont largement utilisées au niveau commu-nautaire et constituent la base de la lutte antipaludique
• de former des milliers de chercheurs
dans les pays en développement, tout en jouant un rôle central dans le développement de plusieurs institutions de recherche importantes d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud.
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 7
Notre missionLa recherche, pour stimuler le progrès de la santé dans le monde.
apporter notre concours à l’élaboration
et à l’amélioration des médicaments, des
techniques de diagnostic et des stratégies
de prévention pour les maladies les
plus négligées – et déterminer ensuite
les méthodes les plus appropriées pour
utiliser ces outils et en faire bénéficier
ceux qui en ont besoin.
Notre étroite collaboration avec des chercheurs et des institutions des pays les plus touchés par les maladies considérées nous permet de réunir les plus éminents spécialistes du monde pour une réflexion commune sur les besoins et les perspectives, et sur les nouvelles approches possibles pour le diagnostic, le traitement et la prévention. Ensuite, nous travaillons avec des partenaires clés pour évaluer les outils et stratégies les plus prometteurs, d’abord en laboratoire puis sur le terrain, avec des membres des communautés et des chercheurs locaux. Nous menons des recherches opérationnelles afin de déterminer la
démarche la plus indiquée pour faire en sorte que les nouvelles interventions atteignent les personnes qui en ont le plus grand besoin. Nous accordons une attention particulière à la recherche sur les stratégies de prévention des maladies, telles que l’amélioration de la gestion de l’environnement et de la lutte antivectorielle.
nous attaquer aux « trois grandes »
maladies – le paludisme, le vih/sida
et la tuberculose – par des approches
prometteuses et novatrices.
Nous utilisons la recherche pour mettre à l’essai de nouveaux traitements et évaluer les stratégies de lutte contre les « trois grandes » maladies dans des domaines non couverts par d’autres – par exemple l’expérimentation de méthodes de diagnostic améliorées de faible coût pour la tuberculose et de traitements plus efficaces pour les patients tuberculeux infectésparleVIH.
8 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 9
“ LE TDR A jOUé UN RôLE DéCIsIf DANs … LE DévELOPPEmENT DE méDICAmENTs POUR LE TRAITEmENT DEs mALADIEs TROPICALEs, … LEs AvANCéEs DEs POLITIqUEs, sTRATéGIEs ET PRATIqUEs DE sANTé, ET LE sOUTIEN fOURNI POUR L’ExéCUTION DE PLUs DE 10 000 PROjETs ET POUR LA fORmATION DE mILLIERs DE sCIENTIfIqUEs DEs PAys EN DévELOPPEmENT. ”mallam ibrahim talba Ancien Secrétaire permanent du Ministère de la Santé du Nigéria
10 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
Où intervenons-nous ?Un partenariat mondial centré sur les pays en développement où la
charge de morbidité liée aux maladies considérées est la plus élevée
– Afrique, Asie et Amérique du sud.
Le TDR soutient des études et des réseaux de recherche et facilite l’accès aux possibili-
tés de formation, mettant les chercheurs des pays en développement en relation avec
d’autres experts du monde entier.
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 11
Gestion stratégique concertée
(stewardship) – diffusion du savoir et
plaidoyer pour la recherche
Nous mettons à profit notre réseau mondial et le pouvoir « fédérateur » lié à notre statut de programme des Nations Unies pour offrir aux experts et aux parties prenantes une plate-forme neutre pour débattre des lacunes, des besoins et des perspectives de la recherche sur les maladies liées à la pauvreté. Les divers intervenants font ensuite des recommandations quant aux domaines que les décideurs mondiaux et la communauté scientifique dans son ensemble devraient traiter en priorité. Le portail mondial novateur sur le savoir relatif aux maladies infectieuses que nous avons créé (TropIKA.net) permet aux chercheurs, aux responsables politiques et au public de partager les connaissances sur les enjeux, les innovations, les manifestations et les approches nouvelles.
autonomisation – création de
capacités de direction de la recherche
dans les pays en développement
Nous aidons les chercheurs des pays en développement à jouer un rôle de premier plan dans les débats de politique générale et dans la fixation des priorités de la recherche. Nous œuvrons aussi à la constitution de capacités de recherche en santé au travers de projets collaboratifs et de réseaux, et par la mobilisation de ressources extérieures. Pour cela, nous accordons des bourses de formation et de recherche à des scientifiques des pays en développement et nous contribuons au renforcement des capacités des institutions et des systèmes nationaux de recherche de la santé dans les pays les plus touchés par les maladies liées à la pauvreté.
Comment agissons-nous ?
12 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
recherche sur les maladies et
les domaines négligés
Nous couvrons toutes les phases de la recherche – du « point de départ » que constituent la découverte et le développe-ment à l’« étape finale », soit la recherche sur l’accès aux produits, destinée à faire en sorte que le bon médicament ou le bon outil diagnostique parvienne aux bonnes personnes par les bons moyens.
découverte et développement
d’outils efficaces
Nous nous intéressons particulièrement aux maladies auxquelles l’industrie pharmaceutique consacre peu d’investissements eu égard à l’absence d’incitations commerciales. Nous établissons des partenariats avec l’industrie, les milieux universitaires et d’autres groupes pour accélérer le processus de recherche et développement concernant les maladies qui touchent essentiellement les pays en développement, et œuvrons notamment au remplacement des médicaments « toxiques » et des outils diagnostiques peu efficaces d’un autre âge par des produits nouveaux et améliorés. Nous recherchons des idées innovantes et constituons des réseaux pour les développer et pour produire des connaissances nouvelles et les partager.
Nous réfléchissons également aux facteurs plus généraux susceptibles de prévenir de nombreuses maladies liées à la pauvreté – notamment une meilleure maîtrise des insectes et punaises vecteurs.
accès et expérimentation
sur le terrain dans les conditions
réelles de mise en œuvre
Nous soutenons les recherches menées pour veiller à ce qu’il soit fait largement et efficacement usage, dans les pays et au sein des communautés, des approches et des outils sanitaires nouveaux et dispo-nibles. Ainsi, nous effectuons des essais pour déterminer comment élargir l’accès aux moustiquaires, afin de prévenir le palu-disme, ainsi qu’aux traitements nouveaux et plus efficaces et aux tests de diagnostic rapide pour le paludisme, la syphilis, la leishmaniose et d’autres maladies.
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 13
“ LE TDR EsT LA sEULE INsTITUTION DE REChERChE EN sANTé PUbLIqUE qUI APPARTIENNE COLLECTIvEmENT à TOUs … IL EsT LA PROPRIéTé DE TOUs LEs éTATs mEmbREs DEs NATIONs UNIEs ET DE L’AssEmbLéE mONDIALE DE LA sANTé. LE PLUs PETIT PAys DU mONDE EN EsT PARTIE PRENANTE, AU mêmE TITRE qUE LE PLUs GRAND. POUR mOI, C’EsT CELA qUI fAIT LA fORCE DU TDR.”dr Kayode oyegbiteAncien représentant de l’UNICEF au Conseil conjoint de Coordination
14 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 15
notre rôle fédérateur
Nous concentrons nos efforts sur ce que les institutions des Nations Unies font le mieux – rassembler les interlocuteurs concernés, faciliter le dialogue et offrir une plate-forme neutre pour des échanges scientifiques et des débats sur les meilleurs moyens d’aller de l’avant sur les grandes questions de recherche. Nous apportons notre aide à la mise en place de réseaux durables de chercheurs et d’institutions de recherche. Ce sont de plus en plus les chercheurs et les institutions des pays en développement qui dirigent nos activités – bon nombre de ceux qui sont aujourd’hui de grands spécialistes dans leur domaine sont d’anciens boursiers du TDR.
partenariats à tous les niveauxNous établissons des liens aussi bien avec les administrations nationales au plus haut niveau qu’avec des centres de santé de zones reculées. Nous avons de larges collaborations avec des entreprises privées, les programmes de lutte contre les maladies, les milieux universitaires, des institutions de recherche et des organisations non gouvernementales.
Lorsqu’il nous arrive d’identifier des besoins que nous ne pouvons pas satisfaire seuls, nous aidons à mettre en place de nouvelles organisations et de nouveaux partenariats susceptibles d’y répondre. Ce fut le cas par exemple de l’Initiative multilatérale sur le paludisme, de l’Opération médicaments antipaludiques (OMA), de la Fondation pour des outils diagnostiques nouveaux et novateurs et de l’Initiative sur les médicaments pour les maladies négligées.
notre personnelNous disposons d’une équipe très motivée de professionnels issus des sciences médicales et sociales, dont beaucoup ont une renommée internationale dans leur domaine de compétence. La centaine de personnes qui constituent notre effectif viennent du monde entier, représentent quelque 45 nationalités différentes et possèdent une vaste expérience pratique des problèmes de santé et de recherche dans les pays en développement, de sorte que nous sommes bien placés pour comprendre les besoins de ces pays et tenter d’y répondre dans le respect de la diversité culturelle.
Nos principaux atouts
16 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
“UN GRAND NOmbRE DEs AvANCéEs RéALIséEs DANs LE DOmAINE DE LA mAîTRIsE ET DE LA PRIsE EN ChARGE DEs mALADIEs ONT éTé RENDUEs POssIbLEs PAR LE sOUTIEN qUE LE TDR A fOURNI AUx sCIENTIfIqUEs ET AUx INsTITUTIONs DE REChERChE DEs PAys EN DévELOPPEmENT, LEUR PERmETTANT AINsI DE PROPOsER DEs INNOvATIONs RéALIsTEs qUI, AU fIL DEs ANNéEs, ONT fAçONNé LEs
POLITIqUEs DE sANTé.”le défunt major courage QuashigahAncien Ministre de la Santé du Ghana
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 17
Comment sommes-nous gouvernés ?
une équipe de direction composée à parts égales de représentants des pays développés et des pays en développement
Notre organe directeur, le Conseil conjoint de Coordination (JCB), qui se réunit une fois par an, est composé :
• dereprésentantsdesgouvernementsdes pays donateurs ;
• dereprésentantsdesgouvernementsde pays de chacune des six Régions de l’OMS ;
• d’autrespartenairesdecollaboration,parmi lesquels peuvent figurer des entités non gouvernementales ;
• desquatreinstitutionscoparrainantesdu TDR – l’UNICEF, le PNUD, la Banque mondiale et l’OMS.
des orientations scientifiques
indépendantes
Notre Comité consultatif scientifique et technique (STAC) regroupe une vingtaine d’éminents spécialistes de la recherche
en santé. Il examine d’un point de vue technique les activités scientifiques du TDR, formule des avis à leur sujet et les supervise. Il existe en outre des comités scientifiques composés de spécialistes mondiaux dans leur domaine de compétence qui supervisent les activités menées dans chacun de nos domaines de recherche.
une supervision administrative exercée par l’oms et les institutions coparrainantes
L’OMS, agence d’exécution du TDR, supervise la gestion courante du Programme. L’UNICEF, le PNUD, la Banque mondiale et l’OMS donnent, ensemble, des orientations directes en matière de gestion en tant que membres du Comité permanent, lequel tient deux réunions par an avec la participation des présidents du JCB et du STAC pour faire le point sur l’avancement des travaux et examiner la suite donnée aux décisions du JCB.
18 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
composition du conseil conjoint de coordination du tdr (1.1.2010)
réGions oms(bureaux réGionaux)
aFr: Afrique amr: Ameriques emr: méditerranée orientale eur: Europe sear: Asie du sud-Est Wpr: Pacifique occidental
AFR AMR EMR EU
R SEA
R W
PR
C o l l è g e sM e m b re s p ermanents
Cuba
Belgique
Brésil
Canada
Chine
Malaisie
Fonds des Nations
Unies pur l’enfance
(UN
ICEF)
Programm
e des
Nations U
nies pour le
développement (PN
UD
)Banque M
ondialeOrganisation
Mondiale
de la Santé (OMS)
Espagne
Allemagne et
Luxembourg
Ghana et
Nigeria
In
de e
t Th
aïla
nde
Pays
-bas
et
Suèd
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vège
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Iran (République
islamique d')
Japon
Panama
Emirats arabes
unis
Zamb
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mor
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bliq
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goCo
sta
Rica
Equat
eur
Irak
Bulgarie
Tadjikistan
Bhoutan
Indonésie Papouasie-
Nouvelle-Guinée
République populaire
démocratique de Corée
Jamahiriya
arabe libyenneAUTRES PARTIES
COOPERANTES
REPRESENTANTSDES REGIONS
OMS
CONTRIBUTEURS AUX RESSOURCES
FINANCIERES INSTITUTIONSPARRAINANTES
JCB
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Notre budget annuel, qui est d’environ US$ 50 millions, est alimenté par des contributions entièrement volontaires. La plupart des fonds vont directement aux services et à la mise en œuvre du programme dans les pays en développement.
Notre financement provient de sources très diverses, notamment des États et des organisations internationales ; d’autres entités telles que des fondations philanthropiques et des organisations non gouvernementales ; et de sociétés du secteur privé.
Comment sommes- nous financés ?
secteur public national/interna-tional
fondations philanthropiques/organisations non gouverne- mentales
secteur privé
ContributionstotalesauTDRpour2008-2009:US$77282581
75%
10%
6%
20 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
Fournir une contribution au TDR est l’un des investissements les plus rentables que vous puissiez faire dans la santé. La recherche pour la santé apporte des solutions et concourt à la mise en place de capacités durables qui permettent de briser le cercle vicieux de la pauvreté et de
la maladie. Nous œuvrons à l’amélioration de l’état de santé des populations pauvres et des personnes les plus vulnérables vivant dans les pays en développement, qui conduira au développement humain et économique.
Votre soutien peut faire la différence
pour soutenir les travaux du tdr, prière de contacter :
M. Meinrad StuderDirecteur, Responsable des relations extérieures et de la [email protected]
Notre programme de recherche a non seulement permis de mettre au
point des traitements efficaces de faible coût qui sauvent de nombreuses
vies, mais il a aussi apporté un soutien aux chercheurs et aux institu-
tions de recherche des pays en développement de façon qu’ils puissent
hiérarchiser les priorités et prendre la direction des efforts de recherche
dans leur domaine de compétence.
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 21
22 LE TDR EN UN COUP D’ŒIL
“LA mODE EsT AUjOURD’hUI AUx PRODUITs « Axés sUR LEs RésULTATs ». mAIs sI vOUs vOUs bORNIEz à éTAbLIR LA LIsTE DE TOUs LEs PRODUITs qUE LE TDR A éLAbORés, vOUs PAssERIEz à CôTé DE L’EssENTIEL, à sAvOIR qUE LE TDR A mIs EN PLACE UNE CULTURE DE LA DéCIsION fONDéE sUR LA REChERChE ET UNE ORGANIsATION EN RésEAU EffICACE. C’EsT ChOsE RARE DANs UNE ORGANIsATION INTERNATIONALE. IL fAUT CONsIDéRER LE RôLE DE CATALysEUR qUE jOUE LE TDR COmmE L’UN DE sEs PRINCIPAUx POINTs fORTs.”dr bernhard liese, PrésidentProgrammes de santé internationaux, Université de GeorgetownAncien représentant de la Banque mondiale au JCB
LE TDR EN UN COUP D’ŒIL 23
Photos:SvenTorfinn
/Pan
osPictures,OlivierA
sselin.PicturesO
MS/TD
R:Cragg
s,Crum
p,Edw
ards–Design/layout:LisaSchw
arb–WHO/TDR©2010
TDR/GEN/FR/10.1
TDR/Organisation Mondiale de la Santé20, Avenue Appia1211 Genève 27Suisse
Fax: (+41) 22 [email protected]/tdr
Le programme spécial de recherche et de formation concernant les maladies tropicales (TDR) est un programme mondial de collaboration scientifique créé en 1975. Il concentre ses efforts sur les maladies négligées des populations pauvres, avec le but d’améliorer les méthodes existantes et de mettre au point de nouveaux moyens d’éviter, de diagnostiquer, de traiter et de combattre ces maladies. Il est parrainé par les organisations suivantes:
La Banque Mondiale