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Visuel générique expo Courbet

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LE MOT DE

PHILIPPE SAUREL PHILIPPE SAUREL PHILIPPE SAUREL PHILIPPE SAUREL

Le musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole présente cet automne une

exposition d’un genre nouveau car entièrement consacrée à une seule œuvre. A

l’occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Courbet, elle explore dans

les moindres détails l’un de ses chefs-d’œuvre : La Rencontre appelée aussi Bonjour

Monsieur Courbet !

Ce tableau illustre l’histoire de la rencontre entre Bruyas, héritier d’une famille de

banquiers de Montpellier, et du jeune artiste Gustave Courbet. Ce tableau apparaît

comme l’une des plus belles aventures artistiques du XIXe siècle français, demeurée

à jamais vivante sur les cimaises du musée Fabre. Une exposition de ce type valorise

les collections propres du musée et permet de découvrir des œuvres - connues ou

moins connues du grand public - sous un jour nouveau.

Philippe Saurel Maire de Montpellier Président de Montpellier Méditerranée Métropole

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LE MOT DE MICHEL HILAIRE MICHEL HILAIRE MICHEL HILAIRE MICHEL HILAIRE

Le musée Fabre présente l’exposition "Bonjour Monsieur Courbet ! Fortune d’un

chef-d’œuvre » autour d’un des tableaux emblématiques du musée, La Rencontre,

de Gustave Courbet, dans le cadre du bicentenaire de la naissance de l’artiste.

Bonjour, Monsieur Courbet ! Fortune d’un chef-d’œuvre est une exposition très

riche qui présente une grande variété de documents à l’instar d’une photographie

de Nadar, des caricatures du XIXème siècle, de l’art populaire, un chef-d’œuvre du

British Museum, la canne de l’artiste ou encore un gigantesque triptyque de l’artiste

Yan Pei-Ming, réalisé spécialement pour l’exposition. Grâce à cette exposition,

entrez pour la première fois au cœur d’un véritable chef-d’œuvre !

Michel HILAIRE Conservateur général du patrimoine Directeur du musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole

COMMISSARIAT GÉNÉRALCOMMISSARIAT GÉNÉRALCOMMISSARIAT GÉNÉRALCOMMISSARIAT GÉNÉRAL Michel HilaireMichel HilaireMichel HilaireMichel Hilaire Conservateur général du patrimoine, directeur du musée Fabre, Montpellier COMMISSARIAT SCIENTIFIQUECOMMISSARIAT SCIENTIFIQUECOMMISSARIAT SCIENTIFIQUECOMMISSARIAT SCIENTIFIQUE Stanislas ColodietStanislas ColodietStanislas ColodietStanislas Colodiet Conservateur du patrimoine, responsable du département du milieu du XIXe siècle à l’art contemporain et du service multimédia, musée Fabre, Montpellier

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BONJOUR MONSIEUR COURBET ! FORTUNE D’UN CHEF-D’ŒUVRE L’ÉVÈNEMENT DE LA RENTRÉE Le musée Fabre présente cet automne une exposition d’un genre nouveau car entièrement consacrée à une seule œuvre. A l’occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Courbet, elle explore dans les moindres détails l’un de ses chefs-d’œuvre : La Rencontre appelée aussi Bonjour Monsieur Courbet !

1- UNE ŒUVRE SCANDALEUSE

La Rencontre (1854)La Rencontre (1854)La Rencontre (1854)La Rencontre (1854) compte parmi la liste des chefs-d’œuvre qui furent décisifs dans l’histoire de la peinture. Ce tableau est à la fois l’emblème de Gustave Courbet et l’icône du musée Fabre. Véritable manifeste, c’est une œuvre complexe et polémique. Elle commémore l’arrivée de Courbet en Languedoc en mai 1854, à l’invitation du célèbre collectionneur montpelliérain Alfred Bruyas. Cette mise en scène scelle le partenariat de Bruyas avec Courbet grâce auquel ce dernier conquiert son indépendance financière. Malgré l’apparente banalité du sujet du tableau, il fit couler beaucoup d’encre. Présentée pour la première fois au grand public au cours de l’Exposition universelle de 1855 et acceptée de justesse, cette œuvre est l’une des plus commentées tant dans les comptes rendus de l’Exposition que dans la presse satirique. À cette occasion, elle gagne le surnom de BonjourBonjourBonjourBonjour Monsieur CourbetMonsieur CourbetMonsieur CourbetMonsieur Courbet ! Pendant toute la première moitié du XXe siècle, l’œuvre continue de susciter les railleries des critiques qui la trouvent parfois « niaise », « débile », « sotte » ou encore « primitive ». Plus tard, son analyse fait débat au sein de la communauté universitaire qui lui prête des interprétations diverses et variées : juif errant, bohémien, compagnon du tour de France ou franc-maçon.

2- UNE PRÉSENTATION D’ŒUVRES INÉDITES ET INSOLITES A l’occasion de cette exposition, le musée Fabre présente des œuvres inédites et insolites :

• L’Impossible rencontreL’Impossible rencontreL’Impossible rencontreL’Impossible rencontre (2019) réalisée spécialement pour l’exposition par le peintre Yan Pei-Ming (également invité dans le cadre des célébrations du bicentenaire de l’artiste au musée Courbet d’Ornans, au musée d’Orsay et au musée du Petit Palais à Paris)

• une œuvre multimédia de l’artiste Ei Arakawa Fortune (Gustave Courbet, « La Fortune (Gustave Courbet, « La Fortune (Gustave Courbet, « La Fortune (Gustave Courbet, « La Rencontre », 1854)Rencontre », 1854)Rencontre », 1854)Rencontre », 1854) (2019) récemment acquise par la Fondation d’entreprise du musée Fabre

• Three Figures after CourbetThree Figures after CourbetThree Figures after CourbetThree Figures after Courbet (1965) peinte par Robert de Niro Sr, le père du célèbre acteur de cinéma

• des documents rares et étonnants qui témoignent de la célébrité de l’œuvre : un timbre, des coupures de presse et de nombreuses caricatures

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PRÉSENTATION DÉTAILLÉE DE L’EXPOSITION QUATRE TEMPS FORTS

Quatre approches complémentaires dessinent une chronologie de l’odyssée du tableau : l’analyse de ses sources iconographiques, l’étude du scandale qu’il provoque en 1855, l’histoire de sa diffusion à travers les images et les expositions au XXe siècle, et enfin la mise en évidence de la formidable source d’inspiration qu’il représente pour les artistes d’aujourd’hui.

1- LA GENÈSE DU TABLEAU

« Devrais« Devrais« Devrais« Devrais----je parcourir le monde entier, je suis sûr de trouver des hommes qui me je parcourir le monde entier, je suis sûr de trouver des hommes qui me je parcourir le monde entier, je suis sûr de trouver des hommes qui me je parcourir le monde entier, je suis sûr de trouver des hommes qui me comprendront ; n’en trouveraiscomprendront ; n’en trouveraiscomprendront ; n’en trouveraiscomprendront ; n’en trouverais----je que cinq ou six, ilsje que cinq ou six, ilsje que cinq ou six, ilsje que cinq ou six, ils me feront vivre, ils me sauveront. J’ai me feront vivre, ils me sauveront. J’ai me feront vivre, ils me sauveront. J’ai me feront vivre, ils me sauveront. J’ai raison raison raison raison –––– j’ai raison !j’ai raison !j’ai raison !j’ai raison ! Je vous ai rencontré. C’était inévitable, car ce n’est pas nous qui nous sommes rencontrés, ce sont nos solutions », écrit Gustave Courbet à Alfred Bruyas le 3 mai 1854, peu avant sa venue à Montpellier. L’année précédente, Bruyas avait eu l’audace d’acheter Les Baigneuses (1853) qui avaient provoqué le scandale au Salon, un acte salué par Courbet qui rend hommage au collectionneur dans un portrait appelé : TableauTableauTableauTableau----Solution (1853)Solution (1853)Solution (1853)Solution (1853). Le collectionneur pose avec pour principal attribut un ouvrage sur lequel on lit : « Étude sur l’art moderne – Solution - A. Bruyas ». Bruyas, qui se fait appeler « Médicis », a pour habitude de commander son portrait aux artistes qu’il collectionne. Le musée Fabre conserve pas moins de dix-huit portraits du mécène montpelliérain. Quant à Courbet, il cultive également son image qu’il construit dans de nombreux autoportraits. Ce sont donc deux egos qui se rencontrent dans le tableau éponyme. La Rencontre La Rencontre La Rencontre La Rencontre est un tableau complexe qui s’inspire de sources visuelles extrêmement variées. La figure du marcheur renvoie à l’iconographie du pèlerin dont Courbet a déjà donné une interprétation sécularisée en 1850 alors qu’il exécute le portrait de l’apôtre fouriériste Jean Journet. En 1854, il met en scène sa condition d’artiste itinérant actualisant l’imagerie populaire de la vente ambulante et des petits métiers qui constituent alors ce que l’on appelle « la bohème ». En 1967, l’historienne de l’art Linda Nochlin fait l’hypothèse que la scène de la rencontre s’inspire d’une gravure populaire représentant le mythe du juif errant.

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COURBET Gustave, AutoportaitAutoportaitAutoportaitAutoportait, 1852, Crayon noir et fusain, 57 × 45 cm, Inv. 1925, 0711.1, Donation de the Art Fund (NACF) en 1925, Londres, The British Museum © The Trustees of the British Museum

Attribué à Georges d’Albenas, Alfred Bruyas (au chapeau),Alfred Bruyas (au chapeau),Alfred Bruyas (au chapeau),Alfred Bruyas (au chapeau), Vers 1854, Photographie, 17,5 × 13 cm, Fonds documentaire, Montpellier, musée Fabre © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole – Numérisation Steve GAVARD – Reproduction interdite sans autorisation

COURBET Gustave, L’Apôtre Jean Journet, partant pour la L’Apôtre Jean Journet, partant pour la L’Apôtre Jean Journet, partant pour la L’Apôtre Jean Journet, partant pour la conquête de l’harmonie universelleconquête de l’harmonie universelleconquête de l’harmonie universelleconquête de l’harmonie universelle, 1850, Lithographie, 48,8 × 34 cm, Paris, galerie Paul Prouté © Galerie Paul Prouté

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2- LA RENCONTRE, UN TABLEAU-ÉVÈNEMENT

Courbet est un habitué des scandales. Ses tableaux divisent l’opinion et les débats se cristallisent autour de sa figure. Lors de sa présentation à l’Exposition universelle de Paris en 1855, La RencontreLa RencontreLa RencontreLa Rencontre gagne un surnom auquel on identifie toujours le tableau : Bonjour Bonjour Bonjour Bonjour Monsieur Courbet !Monsieur Courbet !Monsieur Courbet !Monsieur Courbet ! Le 11 mai, Courbet écrit à Bruyas : « Votre tableau La Rencontre fait un bruit extraordinaire. Dans Paris, on le nomme : Bonjour Monsieur CourbetBonjour Monsieur CourbetBonjour Monsieur CourbetBonjour Monsieur Courbet !!!!, et les gardiens d’exposition sont déjà occupés à conduire les étrangers devant mes tableaux. Bonjour Bonjour Bonjour Bonjour Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur CourbetCourbetCourbetCourbet ! a un succès général. » Amplement repris par la presse, ce titre insiste sur le côté trivial de la scène représentée, dont le contraste avec l’ambition du tableau n’échappe pas aux critiques. D’autres mettent l’accent sur l’égocentrisme manifeste de l’artiste. Les commentaires graphiques et littéraires sont abondants et témoignent du succès de la composition qui ne laisse personne indifférent. Sous le Second Empire, il existe un système de consommation publique de l’art tout à fait organisé. Le Salon de peinture est un rendez-vous annuel qui permet de sanctionner la qualité des peintres par l’approbation du jury et les achats par l’État. L’Exposition universelle constitue le point culminant de la rencontre entre le public et l’art contemporain. Les critiques sont à l’affût des réactions des visiteurs et tentent à leur tour de créer le scandale et d’alimenter les polémiques à travers leurs opinions

COURBET Gustave, La Rencontre ou La Rencontre ou La Rencontre ou La Rencontre ou Bonjour Bonjour Bonjour Bonjour Monsieur CourbetMonsieur CourbetMonsieur CourbetMonsieur Courbet, 1854, Huile sur toile, 132,4 × 151 cm, Inv. 868.1.23, Montpellier, musée Fabre © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes – Reproduction interdite sans autorisation

QUILLENBOIS, L’adoration de Monsieur L’adoration de Monsieur L’adoration de Monsieur L’adoration de Monsieur Courbet, imitation réaliste de Courbet, imitation réaliste de Courbet, imitation réaliste de Courbet, imitation réaliste de l’adoration l’adoration l’adoration l’adoration des Mages. La peinture réaliste de M. des Mages. La peinture réaliste de M. des Mages. La peinture réaliste de M. des Mages. La peinture réaliste de M. CourbetCourbetCourbetCourbet, L’Illustration : journal universel, 21 juillet 1855, no 647, vol XXVI, p. 52, Inv. P5007, 1855, Avignon, bibliothèque municipale © Avignon Bibliothèques

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3- L’OBJET DU MYTHE

La RencontreLa RencontreLa RencontreLa Rencontre a aujourd’hui acquis le statut de chef-d’œuvre, c’est un tableau incontournable que l’on retrouve dans les manuels d’histoire de l’art dits « universels ». Un ensemble de témoignages archivistiques permettant de retracer le récit de la diffusion de l’œuvre. Plusieurs facteurs ont contribué à la popularité du tableau : la participation à des expositions majeures, la citation par d’autres artistes ou encore l’édition de produits dérivés. La RencontreLa RencontreLa RencontreLa Rencontre participe à des expositions de premier ordre : Exposition universelle de 1900, « Chefs-d’œuvre de l’art français » organisée par les musées nationaux à Paris en 1937, ou encore « Chefs-d’œuvre du musée Fabre » au musée de l’Orangerie à Paris et au musée de Berne en 1939. Le tableau est également montré lors des grandes rétrospectives consacrées à Courbet : en 1929, 1955 et 1977 à Paris et plus récemment en 2007-2008 au Grand Palais à Paris, au Metropolitan Museum of Art à New York et au musée Fabre à Montpellier. L’œuvre entre dans la culture populaire alors qu’elle illustre un timbre en 1962 et suscite la curiosité des philatélistes qui écrivent au musée pour connaître son histoire. Par ailleurs, les nombreuses demandes de reproduction venues du monde entier pour des supports éclectiques (Antoinette, revue fémiAntoinette, revue fémiAntoinette, revue fémiAntoinette, revue féminine de la CGT ; carte de vœux de la Caisse régionale de nine de la CGT ; carte de vœux de la Caisse régionale de nine de la CGT ; carte de vœux de la Caisse régionale de nine de la CGT ; carte de vœux de la Caisse régionale de Crédit Agricole du Midi ; plaquette de la FIAC…Crédit Agricole du Midi ; plaquette de la FIAC…Crédit Agricole du Midi ; plaquette de la FIAC…Crédit Agricole du Midi ; plaquette de la FIAC…) reflètent la renommée de l’œuvre. Enfin, l’acquisition de la canne de l’artiste figurant dans le tableau, véritable relique, par le musée d’Ornans témoigne du statut mythique de La RencontreLa RencontreLa RencontreLa Rencontre.

COTTET René (graveur), Timbre d’après La Rencontre, de Gustave Courbet, Émission le 12 novembre 1962, Retrait le 12 octobre 1963, 5,3 × 4,1cm, Montpellier, collection particulière © Numérisation Steve GAVARD – Reproduction interdite sans autorisation

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4- UN TABLEAU CONTEMPORAIN

Aujourd’hui, BonjourBonjourBonjourBonjour Monsieur CourbetMonsieur CourbetMonsieur CourbetMonsieur Courbet ! est un objet d’admiration et même d’inspiration pour les artistes. Leurs recherches à partir de ce tableau le sacrent comme une œuvre phare. Modèle indépassable ou icône à détrôner ? À l’instar de Morellet qui joue avec la notion de chef-d’œuvre, d’autres artistes se sont illustrés par cet exercice. Alain Jacquet est célèbre pour sa relecture du Déjeuner sur l’herbeDéjeuner sur l’herbeDéjeuner sur l’herbeDéjeuner sur l’herbe de Manet ou encore Yan Pei-Ming pour la série des Papes qui donne suite aux tableaux de Velázquez et de Francis Bacon. N’est-ce donc pas les artistes qui indiquent, d’égal à égal avec les critiques, quelles sont les œuvres qui comptent ? Les points de vue apportés par les artistes sur La Rencontre sont extrêmement variés. Il s’agit parfois d’une réflexion structurelle sur la composition (Morellet), ou bien sur la mise en scène de l’artiste par lui-même (Arakawa), d’une mise en perspective historique (Thurnauer), ou encore du souvenir du coup d’éclat de Courbet qui s’affirme dans ce tableau comme libre et indépendant (Dolla). Ces exemples montrent à quel point cette œuvre est complexe et vivante. C’est une énigme dont la question continue d’éclairer notre situation contemporaine. Courbet, artiste en recherche de mécène (Bruyas), inventeur de l’exposition « autoproduite » (le pavillon du réalisme en 1855), maître d’œuvre en matière de communication (diffusion de reproductions photographiques de La Rencontre), stratège du scandale (le regard bienveillant vis-à-vis des caricaturistes n’anticipe-t-il pas l’adage bad press good newsbad press good newsbad press good newsbad press good news ?) et enfin artiste égocentrique dont l’œuvre se confond avec la vie n’est-il pas le premier des artistes contemporains ?

DE NIRO Sr. Robert, Three Figures After Three Figures After Three Figures After Three Figures After CourbetCourbetCourbetCourbet, 1965, Huile sur toile, 125,5 × 152,5 cm, New York, Estate of Robert De Niro, Sr. © Adagp, Paris, 2019, © Estate of Robert De Niro, Sr./Artists Rights Society, New York

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ARAKAWA Ei, Fortune (Gustave Courbet, « Fortune (Gustave Courbet, « Fortune (Gustave Courbet, « Fortune (Gustave Courbet, « La Rencontre », 1854La Rencontre », 1854La Rencontre », 1854La Rencontre », 1854), 2019, 149 × 129 cm, LED sur tissu teint à la main, émetteur SD, alimentations, carte SD, transducteur, carton, amplificateur, lecteur multimédia, métal, fil, Paroles de Ei Arakawa & Dan Poston, Musique de Forrest Nash, Inv. EX320, Montpellier, musée Fabre, Don de la Fondation d’entreprise du musée Fabre, OEuvre produite avec le soutien du MoCo,

Yan PEI-MING, L’Impossible rencontreL’Impossible rencontreL’Impossible rencontreL’Impossible rencontre, 2019, Triptyque, Huiles sur toile, 150 × 150 cm chacune, Courtesy : Massimo De Carlo, Milan / Londres / Hong Kong et Galerie Thaddaeus Ropac, Londres / Paris / Salzbourg © Adagp, Paris, 2019, © Yan Pei-Ming, Photographie : André Morin

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VISUELS DE PRESSE Ces visuels sont libres de droits, uniquement dans le cadre de publications presse faisant le compte rendu ou l’annonce de l’exposition Bonjour Monsieur Courbet ! au musée Fabre, avant et pendant sa durée

COURBET Gustave, AutoportaitAutoportaitAutoportaitAutoportait, 1852, Crayon noir et fusain, 57 × 45 cm, Inv. 1925, 0711.1, Donation de the Art Fund (NACF) en 1925, Londres, The British Museum © The Trustees of the British Museum

Attribué à Georges d’Albenas, Alfred Bruyas (au chapeau),Alfred Bruyas (au chapeau),Alfred Bruyas (au chapeau),Alfred Bruyas (au chapeau), Vers 1854, Photographie, 17,5 × 13 cm, Fonds documentaire, Montpellier, musée Fabre © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole – Numérisation Steve GAVARD – Reproduction interdite sans autorisation

COURBET Gustave, L’Apôtre Jean Journet, partant L’Apôtre Jean Journet, partant L’Apôtre Jean Journet, partant L’Apôtre Jean Journet, partant pour la conquête de l’harmonie universellepour la conquête de l’harmonie universellepour la conquête de l’harmonie universellepour la conquête de l’harmonie universelle, 1850, Lithographie, 48,8 × 34 cm, Paris, galerie Paul Prouté © Galerie Paul Prouté

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COURBET Gustave, La Rencontre ou La Rencontre ou La Rencontre ou La Rencontre ou Bonjour, Monsieur CourbetBonjour, Monsieur CourbetBonjour, Monsieur CourbetBonjour, Monsieur Courbet, 1854, Huile sur toile, 132,4 × 151 cm, Inv. 868.1.23, Montpellier, musée Fabre © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes – Reproduction interdite sans autorisation

QUILLENBOIS, L’adoration de Monsieur L’adoration de Monsieur L’adoration de Monsieur L’adoration de Monsieur Courbet, imitation réaliste de l’adoration Courbet, imitation réaliste de l’adoration Courbet, imitation réaliste de l’adoration Courbet, imitation réaliste de l’adoration des Mages. La peinture réaliste de M. des Mages. La peinture réaliste de M. des Mages. La peinture réaliste de M. des Mages. La peinture réaliste de M. CourbetCourbetCourbetCourbet, L’Illustration : journal universel, 21 juillet 1855, no 647, vol XXVI, p. 52, Inv. P5007, 1855, Avignon, bibliothèque municipale © Avignon Bibliothèques

COTTET René (graveur), Timbre d’après La Rencontre, de Gustave Courbet, Émission le 12 novembre 1962, Retrait le 12 octobre 1963, 5,3 × 4,1cm, Montpellier, collection particulière © Numérisation Steve GAVARD – Reproduction interdite sans autorisation

DE NIRO Sr. Robert, Three Figures After Three Figures After Three Figures After Three Figures After CourbetCourbetCourbetCourbet, 1965, Huile sur toile, 125,5 × 152,5 cm, New York, Estate of Robert De Niro, Sr. © Adagp, Paris, 2019, © Estate of Robert De Niro, Sr./Artists Rights Society, New York

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Yan PEI-MING, L’Impossible rencontreL’Impossible rencontreL’Impossible rencontreL’Impossible rencontre, 2019, Triptyque, Huiles sur toile, 150 × 150 cm chacune, Courtesy : Massimo De Carlo, Milan / Londres / Hong Kong et Galerie Thaddaeus Ropac, Londres / Paris / Salzbourg © Adagp, Paris, 2019, © Yan Pei-Ming, Photographie : André Morin

ARAKAWA Ei, Fortune (Gustave Courbet, Fortune (Gustave Courbet, Fortune (Gustave Courbet, Fortune (Gustave Courbet, « La Rencontre », 1854« La Rencontre », 1854« La Rencontre », 1854« La Rencontre », 1854), 2019, 149 × 129 cm, LED sur tissu teint à la main, émetteur SD, alimentations, carte SD, transducteur, carton, amplificateur, lecteur multimédia, métal, fil, Paroles de Ei Arakawa & Dan Poston, Musique de Forrest Nash, Inv. EX320, Montpellier, musée Fabre, Don de la Fondation d’entreprise du musée Fabre, OEuvre produite avec le soutien du MoCo, 2019 © Adagp, Paris, 2019, © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes – Reproduction interdite sans autorisation

A l’occasion de l’exposition, un catalogue sera mis en vente au musée Fabre. Figureront des essais de Stanislas Colodiet, conservateur du patrimoine au musée Fabre, Michel Hilaire, conservateur général du patrimoine et directeur du musée Fabre, Bernard Marcadé, historien et critique d’art, Isolde Pludermacher, conservatrice en chef au musée d’Orsay et Bertrand Tillier, professeur d’histoire contemporaine à l’université Paris 1 Panthéon – Sorbonne. PrixPrixPrixPrix : 30 euros: 30 euros: 30 euros: 30 euros

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ACTIVITÉS ARTISTIQUES ET CULTURELLES AUTOUR DE L’EXPOSITION

A l’occasion des journées du patrimoine du 21 et 22 septembre 2019, le musée propose des visites guidées gratuites de l’exposition.

VACANCES DE LA TOUSSAINT – du 22 octobre au 4 novembre

LE RENDEZ-VOUS DES TOUT-PETITS : LES JOLIES RENCONTRES � Pour les enfants de 2 à 5 ans et leurs parents

La rencontre de Gustave Courbet sera le point de départ d’un moment sensible fait d’histoires, de comptines, d’animaux et de couleurs. Les mardis, jeudis et samedis 10h30 5€ par participant

VISITE-ATELIER Venez découvrir l’exposition autour de Gustave Courbet grâce à une visite et un atelier de pratiques artistiques (dessin, peinture, collage…) pendant une journée.

� Ateliers à la journée 10h > 12h et 14h > 16h Tarifs à la journée : Plein tarif enfant et adolescent (de 7 à 18 ans) 12€ | Pass Métropole 10€ Plein tarif adulte 16€ | Pass Métropole 14€

- À PARTIR DE 7 ANS SEUL OU EN FAMILLE ! Tous âges confondus à partir de 7 ans

� Mardi 22 octobre � Jeudi 24 octobre � Mardi 29 octobre � Jeudi 31 octobre

- POUR LES ENFANTS UNIQUEMENT DE 7 À 11 ANS

Mercredi 23 octobre Mercredi 30 octobre

- POUR LES ADOLESCENTS ET ADULTES UNIQUEMENT À PARTIR DE 12 ANS Vendredi 25 octobre

CONFÉRENCE COURBET, COURBET, COURBET, COURBET, L’INSOLENTL’INSOLENTL’INSOLENTL’INSOLENT Le jeudi 3 octobre à 18 h 30, par Valérie Bajou, auteur de l’ouvrage Courbet. La vie à tout prixCourbet. La vie à tout prixCourbet. La vie à tout prixCourbet. La vie à tout prix,,,, en partenariat avec la librairie Sauramps. Entrée libre dans la limite des places disponibles.

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INFORMATIONS PRATIQUES VENIR AU MUSÉE FABRE

• Horaires

Le musée Fabre est ouvert tous les jours de 10h à 18h, sauf le lundi. Fermeture des guichets ½ heure avant la fermeture. Évacuation des salles d’exposition 10 minutes avant la fermeture.

• Tarifs

- Plein tarif 7€ - Tarif réduit 5€

- Pass Métropole 6€ - Billet famille 15€ * Gratuité : - de 6 ans et - de 18 ans pour les habitants de Montpellier Méditerranée Métropole (sur présentation d’un justificatif). * L’exposition est accessible avec un billet « collections permanentes ». * Billet famille : forfait valable pour 1 à 2 parents avec 1 à 5 enfants (- de 18 ans). VentVentVentVente de l’ee de l’ee de l’ee de l’e----billet sur billet sur billet sur billet sur www.museefabre.frwww.museefabre.frwww.museefabre.frwww.museefabre.fr

• Abonnement annuel au musée Fabre

Pour visiter le musée Fabre de manière illimitée et bénéficier d’avantages exclusifs le musée Fabre vous propose un abonnement annuel (valable également au site archéologique Lattara – musée Henri-Prades, à Lattes). Cet abonnement s’accompagne d’offres privilégiées :

- Accès gratuit et illimité aux collections permanentes et expositions temporaires - Tarif réduit aux visites guidées - Information régulière par courriel et une newsletter disponible dans la rubrique

Abonnés du site www.museefabre.fr - Possibilité d’inviter gratuitement une personne au musée tous les dimanches de

14h à 18h dans les collections permanentes et en tarif réduit dans les expositions temporaires.

- Visite privilège AbonnésVisite privilège AbonnésVisite privilège AbonnésVisite privilège Abonnés l’accès à des visites guidées exclusives et gratuites dans les collections du musée Fabre le premier jeudi de chaque mois de de 12h30 à 13h30 (sur inscription à groupes.museefabre@montpellier3m.fr, dans la limite des places disponibles). Ces visites thématiques présentent mensuellement une sélection d’œuvres.

• COMMENT S’ABONNER ?

Sur place à la billetterie du musée Fabre, du mardi au dimanche de 10h à 17h30. L’abonnement est valable pour une durée d’un an à partir de sa date d’achat. Plein tarif 30303030€ | Pass Métropole 26262626€ | Tarif réduit 15151515€

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