Volume 2  

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La plupart du temps, je jouais à l’extérieur; autour de moi il y avait plein d’amis (des garçons en majorité). Pas question de s’ennuyer : nous étions rarement en panne d’idées. Toute petite, je suis curieuse : je veux tout voir, tout comprendre, tout écouter.

Déjà à 5 ans, ma mère m’initie à la lecture, à l’écriture et au calcul. La bande dessinée « Tintin au Congo » qui paraissait en partie chaque semaine dans le journal me captivait.

Un jour, grande nouvelle au village : on construira une grosse école. À plusieurs reprises, avec un groupe d’amis, on se rendait observer l’évolution des travaux. Après tout, c’était pour nous. J’ai 7 ans quand je débute ma première année. À l’époque, on devait avoir 6 ans avant le 1er juillet et moi je suis née le 21. À la fin de ma première année, au mois de mai, dévotion religieuse oblige et pour la procession, on demande d’être vêtue en robe blanche. Il vente et fait froid de sorte que je contracte une pleurésie : le médecin me soigne à la maison et je suis au repos jusqu’à Noël.

En janvier, retour en classe. Comme j’ai manqué une bonne partie de l’année, je me souviens avoir entendu mes parents et la directrice discuter de mon cas, à savoir si je retourne en première ou si on me place en deuxième. Et moi, je me disais : placez-moi en 2e et vous allez voir de quoi je suis capable. J’ai réussi.

Ce sont les Dames Ursulines qui occupaient et dirigeaient cette école. J’y ai fait mon primaire (7 ans à l’époque), mon secondaire et l’école normale. Je n’ai que de bons souvenirs de mon passage dans cette école.

À la fin du secondaire, je dois décider : deviendrai-je infirmière ou enseignante ? Ma demande d’inscription à l’Hôpital de Rimouski est faite en retard et n’est pas retenue. On me conseille de reconduire ma demande l’année suivante. Je décide alors de poursuivre à l’École normale d’Amqui pour obtenir un brevet d’enseignement d’une durée de 2 ans. Étape réussie.

En septembre 1964, je rentre enfin à l’École des infirmières. Au début, il y a une période de probation de 3 mois. Les cours d’anatomie et de physiologie doivent être réussis pour continuer. S’amorce alors une formation professionnelle partagée entre les cours théoriques et les laboratoires dispensés en après-midi (13h à 16h) et les stages sur les étages, de 8h à 11h30 et de 16h à 19h. On expérimentait les services de soirée et de nuit et le travail de fin de semaine. Les élèves de 2e et 3e année nous épaulaient au besoin. Un système de rotation assurait à chacune une présence de 3 à 4 mois dans chaque sphère d’activités de l’hôpital, sauf pour la psychiatrie, où nous devions passer environ 3 mois à l’Hôpital St-Michel-Archange à Québec, devenu l’Hôpital Robert-Giffard. C’était clair pour moi que je ne travaillerais pas dans ce milieu.

Vous comprendrai que nous avions double statut: celui d’étudiant et celui de travailleur. D’ailleurs on recevait un salaire de 7 $ la première année, 12 $ la seconde année et 15 $ la troisième. De plus, nous étions logées et nourries. C’était un pensionnat avec tout ce que ça implique de règlements. Quelques filles de Rimouski étaient externes. Les garçons aussi étaient logés à l’extérieur. Les loisirs se résumaient ainsi : cinéma, danse, restaurant, spectacles, tennis. Les trois années complétées, les examens réussis, le diplôme en poche, me voilà prête pour affronter le monde du travail. J’avais déjà en tête trois choix possibles : médecine, chirurgie générale et orthopédie à Rimouski, un poste à l’unité sanitaire ou à l’Hôpital d’Amqui. Et puis un autre facteur pèse dans la balance. Mon amoureux est déjà au travail au centre hospitalier de Rimouski.

 

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11 

Maintenant, j’ai du temps pour moi. J’aime beaucoup la lecture et tous les sujets m’intéressent (romans, histoire, biographie, etc.). À la télévision, je préfère les documentaires qui traitent de sciences, d’histoire, de recherche et de découvertes médicales. La musique que j’écoute ? À peu près tous les styles sauf le heavy métal. J’ai une préférence plus marquée pour l’instrumental et le semi-classique. Le scrabble, les mots croisés, la danse sociale, la généalogie, le camping, voilà de quoi remplir mes temps libres. Je participe à l’occasion aux activités offertes par les clubs de retraités. Les rencontres familiales sont plus fréquentes et on a du temps pour le gardiennage comme beaucoup d’autres grands-parents. Je considère que tout a bien commencé, que la retraite se déroule bien et qu’il faut continuer. ► QUE SONT-ILS DEVENUS ??? Il arrive régulièrement que l’on se fasse demander : qu’est devenu X ? Qu’est devenue Y ? Parfois nous avons la réponse, parfois non. J’ai donc pensé contacter quelques « anciens » dont nous n’avons plus (ou peu) de nouvelles depuis un certain temps et je leur ai écrit ceci : « En trois ou quatre phrases (ou plus si vous le désirez), vous feriez plaisir à vos ex-collègues (en plus de satisfaire leur curiosité !!!) en répondant à cette simple question ». Parmi ces «ex» dont j’avais l’adresse courriel, deux m’ont fait parvenir les textes qui suivent. Merci beaucoup. Si vous êtes en contact avec de nos collègues dont nous n’avons plus de nouvelles, surtout ceux qui résident à l’extérieur, vous pourriez leur demander de me faire parvenir un court texte (raymond.marielle@globetrotter.net) qui serait publié dans les prochains numéros. ■ Josée Lafleur Voici en quelques lignes mon cheminement depuis ma retraite du Cégep de Rimouski en janvier 2007:

De 2008 à 2013, j’ai eu le bonheur de coordonner le Carrefour de la réussite au collégial pour la Fédération des cégeps. J’ai travaillé avec les intervenants à la réussite et avec les directions des études de tous les cégeps du Québec : organisation de colloques et de rencontres thématiques sur la réussite, animation d’un site web sur la réussite, mise en place d’une enquête sur les conditions favorisant la réussite, etc. Une belle façon de terminer ma carrière en transférant mon legs professionnel acquis au travers toutes ces années d’intervention en éducation collégiale!

Par la suite, j’ai réalisé un vieux rêve : chanter! J’ai suivi des cours de chant avec Sylvie Ouellet pendant deux ans. Et depuis janvier 2015, je me consacre à l’apprentissage de l’espagnol. Cette langue m’a toujours fascinée. Deux séjours en Espagne et un séjour au Guatemala m’ont permis d’atteindre un niveau d’autonomie satisfaisant dans cette langue. Depuis septembre 2016, j’anime les rencontres du Club d’espagnol Las Estrellas de Mar de Rimouski ! C’est une expérience enrichissante sur le plan culturel et une occasion de rencontres nourrissantes avec des gens de Rimouski intéressés à la culture latine et des Latino-américains qui s’intègrent à notre ville. À l’occasion, j’aide des personnes d’Amérique latine dans leur apprentissage de la langue française et en contrepartie, elles me permettent de discuter en espagnol avec elles.

Et je garde du temps pour mes enfants, mes petites-filles et ma vie à la campagne avec Hermann. Une bien belle vie, quoi !

 

■ Raym Voici en Sainte-Mde nos padonnanTous les navires dnous pasexcellentÀ bientôt ► VOU Par M

Quel a étJe trouveretour d’les autrel’UNESCLa ville charmes son archhauts « miracusympathd’autant trésors den réminVenise, romantiqcanaux ybien d’auponts do

De nombrevoulant troules murs extJuliette (Sha

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rêverD’undécouarchil’Antchansville Julietbalco

d’âmles muentre t

lées sur

 12 

mes devenu nous a permNous passoprincipal. ndant 2 à 3 misionne les

ous avons la pleinement

R !!!

stion que ds renfermantne mondial

de multipes et découvs soulignant des fontaines, des ruelstoire. Cela au luxe et asignificatif, féo-chrétiennour son csillonnant possède au

Marc, plusiedes ruelles es propices rie.

n endroit à uvertes : litecturaux dtiquité par sson de ma joù William

tte. On peuton reconstit

mes esseulées urs extérieursterre et me

s. Johanne emis de nousons l'été av

mois commecommunauta chance de

t de ce que n

des personnet des lieux pl de

ples vrir les nes lles est

aux fort ne. côté ses

ussi eurs

très à la

l’autre, le pl’île de d’inspirationsa beauté », jeunesse :« Shakespeart voir la maitué. D’ailleu voulant trous; Cinque te

er, accessible

À l’a

et moi vivos rapproche

vec nos fam

e chef mécantés dans l'Ae jouir tous

nous offre la

es m’ont poplus magnifi

pays permeCapri, don arabe, « fait référencCapri, c’est f

re a situé la tison de Julieurs, de nomuver l’amourerre, cinq vies par train

aéroport, le dé

ons maintenr de nos enf

milles et en

nicien sur unArctique. L'hs les deux d vie.

osée lors de iques les un

et d’autres botée d’élém connue dece à une cerfini »; Vérontragédie Rom

ette et son cémbreux mesr sont déposéillages suspen ou par ba

ébut de l’ave

nant à fants, nous

n des hiver, d'une

mon s que

belles ments epuis rtaine ne, la méo et élèbre ssages és sur endus ateau

enture !

 

(de touteoù la roPompéi, mètres dVésuve emarqué impressiooublier Sienne. d’histoireendroit c

Situationagrémentl’arrivée àl’heure depirogues, spectacle À Florencdizaines dque j’ai, poffrant undebout, seÀ Rome, étaient abchaotiquevéhicule nqui expliqdurant toprennent Momentsexemple, éloignemepresque. QL’art, l’hidégustatioparticipatdévelopprégions visuite d’unSorrento, jMais il famal nécesvoyageurC’est là aumon contfoule biga

e beauté!); laute tortueu une ville de sédimenet redécouv

mon imaonnée par Sorrento, AConfrontée

e, comment coup de cœu

s pittoresqueté par certainà Venise, un e pointe d’une bateaux-mou! ce, au gré de de boutiques opar hasard, ane diversité de restauraient comme bien

bîmées et ende et au nombn’importe où que que les gout le voyage des risques éns magiques ─être en comm

ent de millierQue du bonheistoire, la déon d’un rizztion à quelquement de lieisitées. Tout ene journée dj’ai savouré u

aut revenir ! ssaire, mais p

rs, c’est là queussi à l’arrivéetentement. C’earrée et l’appr

a Côte d’Amse traverse de l’Empir

nts volcaniqerte au XVI

aginaire, caun film re

Assise, Flor à tant de identifier u

ur.

es ─ Ce voynes situations

moment inoe grande villeuches, bateau

mes déplaceoffrant une va

abouti au « Mdes mets typiqt dans une am

n des touristesommagées, u

bre de places et n’importe c

grandes voitue). Par contrenormes. ─ Des momenmunication jors de kilomètreur !

écouverte, ouzoto typique ues reprises auens de complen conservant e visite bien

un cappuccino ─ Malgré lesplutôt comme je sens mone, un peu tranest peut-être c

récier pleinem

malfi, qualifides village

re romain eques lors deIIe siècle, unar enfant elatant l’  érence, Lac e beauté, deune préféren

yage «de rêve pittoresques

oubliable. On e. Comme uneux de livrais

ements, j’ai déariété d’article

Mercato centralques. À l`heu

mbiance survos, j’imagine, j’une conséquen de stationnecomment. Le ures et les « Ve, des scoote

nts que je quaournalière avres, le miracle

ui. Mais l’aspen compagnux happy houlicité et d’ent des périodes remplie, proo. Quel enchans longues péri

me les témoinnter l’agitationnsformée, quecela finalemen

ment.

 13 

iée de « purs perchés eenfouie soue l’éruptionn endroit quj’ai été t

éruption; sade Garde e culture ence pour un

e » a aussi éts. Par exempl se serait cru e valse effrénéson, chaloupe

écouvert unees de cuir de l », un établis

ure du lunch, oltée.

ai aussitôt conce qui n’est

ement limitée prix élevé de

VUS » sembleers par centa

alifie de « magvec mon amoe de la technol

pect « social» nie de mon aurs et dégustatraide avec les de solitude eofitant du silentement ! iodes d’attent

ns d’une grann et l’excitatioe je réalise mant mon vérita

r joyau » aveentre mer etus des n du ui a très ans et

et n

té le,

u à ée, les bateauxes -, se croisa

e rue entière tous genres. Pssement imm un grand no

onstaté qu’un pas étrangèr

es qui amènene l’essence surent peu priséaines sillonne

giques» ont poureux par le

ologie permet

» aussi était aamie Huguetation des lique groupe, écet de relaxatiolence et de la

nte, je considèrnde aventureon du départ,a chance et quable coup de c

La Côte

ec ses payst ciel (très

x de tous genaient, se reco

consacrée à dPeu habituel.

mense regrouombre de Flor

n très grand nre à la circulatnt les conduc

rprend (enviroés (je n’ai apeent les rues e

pimenté cette e biais de Fa de se rappro

au rendez-votte dans un

ueurs locales changes avec on comme la fa tranquillité

re les aéropoe. Entourée d, annonciatricue je prends lacœur : me ret

e amalfitaine.

sages vertigiimpressionn

nres, - bateauxoupaient. Tou

des dizaines e C’est là égale

upant des kiorentins, attabl

nombre de votion routière pcteurs à gareon 2,25 $ le literçu que 2 piet les conduc

belle aventuraceTime. Malgocher, de se to

ous : par exebistrot de Vdont le Limo des résidentfois où, un soi de mon bal

orts non commde milliers d’aces de découva pleine mesutrouver parm

. Très impres

ineux nant);

x-taxis, ut un

et des ement osques lés ou

oitures plutôt

er leur tre), ce ick-ups cteurs

re. Par gré un oucher

emple, Venise, oncello, ts des ir, à la lcon à

me un autres vertes. ure de

mi cette

ssionnant !

 

►VOIX D Par Gu

VOIX D’ICGaétan F

 Cinq mo"L'inexprpoèmes eau Bic, rEt tu disa

Vérité quTu revienmondes de

Bien sûr,réflexionet écrivacette con

D’ICI ET D’Auy Rancourt

CI Fortier, 1950

ois à peine qrimable en blaet réflexionsretirés du mais, dans l’un

ui prend touns souvent evenus ?", cl

, je te lis lentns. En tout, c

in, fils de nnscience du p

AILLEURS, Nt

-2017

L

que tu nousanc" paru ens. Il me semb

monde ou prn de tes poèm

Q

ut son sens sur cette abin d'oeil à no

A

tement, maiscent quarantotre collègu

poète devant

O 17

L’ivresse de

s as quittés n 60 exemplble que nouresque, maismes :

"La richesseuand elle n'es

quand on berration, caotre ami com

"La richAppauvrit l'es

s sûrement, e-huit textes

ue Richard) t son inachèv

"La pl'i

Sur l'Comme

Qui meurt aSon oe

L'amSèm

Tant d'Tant d'amo

 14 

IN MEM

À toes espaces s

l

et je relis lelaires pour

us habitions s fusionnés

e est d'une past pas partagé

est dirigé par dans cet mmun ce che

hesse des gorilspérance de vi

car je savous colligés et parmi les mvement et la

poésie exprimidée passée aile d'une idée un vieux po avant d'avoireuvre inachev

our des autreme et s'aime 'amour invisiour caché." (p

MORIAM

oi Gaétan sans finet 'éternité !

e seul recuetes 60 ans ele même pa constamme

auvreté ée" (p. 38)

par des milli autre extraer Rutebeuf,

lles ie" (p. 77)

ure chacun drassemblés p

milliers que a brièveté de

me

ée oète r pondu vé

es

ible p. 140)

eil de penséeen 2010. Je lays, toi à Saient à l'huma

ionnaires ouait du poèm, tu déclares

de tes poèmepar Maximetu as écrits

e l'existence.

es et de poélis lentemeninte-Luce et anité souffra

u milliardaime "Que sont

ceci :

es, chacune de Catellier, (p en carrière.

ésies nt tes moi ante.

res ! t nos

de tes poète . Puis

 

Un voeu

Souhait eton imml'une desaimais tacogitais sindiscret

Repose-tas rejointqui trône Terminonsouhaits

Misst'imagin

É

que tu souh

"Je M

Dans m

exaucé et enmense jardin

s nombreusant à l'intérieseul, à l'abrs.

oi bien vieut enfin ta vraent dans l'Ol

ns donc sur ou rêves :

sion accompne crier bien Éden ta devi

"Merci f

haitais vivem

souhaite être Mis en terre

on jardin" (p

n mieux, caret tes cendres cabanes

eur de ton reri de la cohu

x camarade,aie Patrie, celympe !

un autre de

plie mon che haut et fort ise terrestre

foule en dél

ment :

p. 57)

r tu dors prres reposentd'oiseaux q

epaire secretue et des re

, car tel Ulyselle des Imm

tes nombreu

r Gaétan et j dans ton no favorite :

lire !"

 15 

rès de t dans que tu où tu

egards

sse, tu mortels

ux

je ouvel

UQu

U

QuAux or

Trop souv

"Je rêve enco

De créer Une belle poésui partage ma

Une belle poés

Toute simplui donne aimareilles et à la

vent trop dure

re

sie a vie

sie e ance couenne es " (p. 120)

 

VOIX D’A Pablo Ne

Il m’est dernier ldu poèteun polici

Bien sûr,du film ddu romapetit ouvcette chrocommentson œuvextrait d’Temuco)Neruda nentrevoir

AILLEURS

eruda, 1904-

toujours age film « Neru

e-sénateur quier qui tomb

, avant d’allde Michael

an « Une ardvrage de ce donique. À latée d’une vire poétique,’un recueil p paru vingtn’a que quir les futures

-1973

gréable de liuda » réaliséui entre dane sous le cha

er visionnerRadford « L

dente patiencedernier « Ne

a fois courte ingtaine de p, j’ai choisi pposthume « t-trois ans ainze ans, ma œuvres du g

(Pablo Ne« C

ire et relire é par Pablo Lns la clandesarme de sa p

r ce film, j’avLe facteur » (e » d’Antoneruda par Ska biographie poèmes puispour vous leCahiers de Teaprès la moais sa conscgrand Nerud

Une entourée de

un peupun co

Le tempde vêtea tout rmais c

Superbson br

au-des

Le peupIl n’a p

vers lui

eruda in « NerCahiers de Tem

 16 

les poèmes Lorrain, histstinité et est poésie.

vais en tête Il postino), io Skarmetaarmeta » poudu poète et sés dans l’ene poème « Lemuco » (Cuaort du poètience aiguë da.

Le

cour d’écolee masures auplier qui dreouloir très lo

ps, le capriciements confurendu triste c’est une tris

be et orgueilranchage dossus de la do

plier dédaignpas un regar l’odeur sacr

ruda par Skarmuco », Paris, É

de Pablo Ntoire fictive traqué par

les images adaptation

a. J’ai lu le ur préparer anthologie nsemble de Le solitaire » adernos de te en 1996. du terrible

solitaire

e, simple et ux murs couesse son jaunong, un rosie

ieux magicieus la quiétud – et terreusestesse néglig

lleux le peup

oré et puissaouce tristesse

ne ce qui sou

rd pour le rorée de ses de

meta », Paris, GÉditions Le te

Neruda. J’ai v

travail du

ensoleillée uverts de mone branchager fait rose.

en qui affubde des choseement triste ente et belle

plier s’élèveant ondulante des choses

us lui s’étenosier qui tendernières rose

Grasset, 2006emps des Ceri

vu au printe

Temps nou

ousse, ge,

le es, –

e.

e, t s.

nd. d es.

6, p. 225. Aussises, 2003)

emps

us fait

si in