Édition départementale - Septembre 2013 - Tirage : 20 000 exemplaires - Mensuel gratuit publié et distribué par :Cité Média - 29, Av. de L’Europe - 81600 GaillacTél. 05 63 41 40 02 www.albi-info.fr, www.castres-info.fr, www.gaillac-info.frDirecteur de la Publication : Patrice Gausserandpgausserand@pgcom.fr Rédactrice en chef : Marie-Jo AlibertRédaction : Marie-Jo Alibert, Yannick MichelConception graphique et mise en page : Emilie Marquès.

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4 Dossier du moisThierry Carcenac « Nous gérons au plus juste »

SommaireSommaire

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18 Transports

Le compteur tourne entre la sécu et les chauffeurs de taxis22 Cinéma

Festival majeur du cinéma français24 Sport

Les ambitions du SCA

26 Economie

Foire économique de Castres : 60 ans déjà

32 Patrimoine

Un ouvrage de référence sous la direction d’Alain Soriano

40 Agendas

La méthode Coué

Voilà c’est fini. Fini le farniente et bon-jour le retour à la dure réalité du quoti-dien. Les serviettes de plages vont, pour les plus chanceux, être troquées contre celles de bureau. Snif… Mais bonne nou-velle la reprise économique est de retour. Enfin, ce n’est pas moi qui le dit mais le chef de l’Etat dans son allocution du 14 juillet dernier. Alors don’t worry, be happy. On va enfin voir le bout du tunnel. Méthode Coué ? Certes. Car avant de pouvoir… de pouvoir tout simplement envisager retrou-ver une lueur d’espoir sociale et écono-mique, il va falloir encore se serrer la cein-ture. Le temps des vaches grasses n’est pas pour demain. D’autant que cette ren-trée s’annonce tendue, très tendue même. Au menu : le chantier de la réforme des retraites, les nouvelles taxes et autres augmentations, les violences urbaines de plus en plus nombreuses et les prochaines élections municipales, autant de situa-tions qui ne vont pas assainir un climat politique épineux. Un climat qui n’est pas sans rappeler celui du jeu de télé réalité Secret Story où l’on prend plaisir à institu-tionnaliser la triche, le mensonge, la déla-tion et l’imbécilité humaine. Inquiétant car à quelques mois des prochaines élections municipales les cartes et les couleurs de nos grands partis politiques risquent bien de se ternir au profit d’un ton plus sombre. Le loup est dans le bois. Il attend sa proie électorale sans se fatiguer… Le Tarn n’y échappe pas.

Marie-Jo AlibertRédactrice en chef

TARN

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Dossier

Un grand hebdomadaire français a récemment établi un classement des départe-ments selon quatre critères de gestion. Le Tarn arrive en 99e position, aux côtés de la Seine Saint-Denis. Comment avez-vous réagi ? Vous êtes tombé des nues ? Vous étiez en colère ? Blessé ?Je n’en revenais pas, car je crois que s’il y a un point sur lequel je n’ai jamais été attaqué, c’est bien la gestion des comptes publics. Ma profession m’y incite (NDLR :Thierry Carcenac a une

formation de base d’Inspecteur Principal des Impôts et a siégé à la Commission des Finances de l’Assemblée Nationale) et ma conviction me rend très prudent dans la gestion des dossiers du dépar-tement. J’ai regardé les critères adoptés par le magazine. Finalement, j’ai décidé de ne pas répondre : je préfère attendre le rapport de la Chambre Régionale des Comptes. Je n’ai pas augmenté les taux d’imposition depuis quatre ans, nous avons maintenu l’autofinancement, alors que la majorité des départements baissait ses investissements. Par ailleurs nous avons moins de frais de personnel

que la moyenne nationale. Je le dis de-vant les tarnais : nous gérons au plus juste, compte tenu des dépenses obli-gatoires que nous avons, notamment en matière sociale.

Ces ratios produits par le magazine, comme l’endet-tement par habitant ou les charges sociales par habitant ont tout de même un sens ?Nous resserrons les boulons au maxi-mum, mais il y a des dépenses obliga-toires. Le Tarn a une population qui vieillit, la situation de l’emploi dans les

Thierry Carcenac

« Nous gérons au plus juste »Président du Conseil Général du Tarn depuis 1991, Thierry Carcenac, après deux mandats de député, se consacre à plein temps à la gestion du département. Face à la crise, à la montée des dépenses obligatoires, notamment sociales, au risque de nouvelles fractures entre les territoires, comment limiter les dégâts, protéger les populations les plus fragiles ? Comment continuer de moderniser le Tarn, soutenir l’innovation et les filières en difficulté, sans trop imposer le contribuable ? Regard sur le département de celui qui le dirige depuis plus de vingt ans et qui assume ses choix devant les électeurs tarnais.

J par Marie-Jo Alibert

Thierry Carcenac

TARN

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Dossier

un atout essentiel pour un département qui joue la carte de l’innovation.

Idem pour le Centre Universitaire qui a été classé premier puis troisième de France pour ses performances dans la formation des étudiants de licence. Le Tarn est bien armé pour la formation, si l’on y ajoute tous les post-bacs : les BTS, les classes préparatoires aux grandes écoles.

Vous évoquiez le vieillisse-ment de la population tar-naise. Le Conseil Général subventionne des maisons de retraite. Ce n’est pas une dépense obligatoire. Vous pourriez faire des économies sur ce poste budgétaire ?

Beaucoup de personnes âgées ont un revenu très faible. D’autres départe-ments, pas très loin de nous, ont fait le choix d’abandonner l’offre des mai-sons de retraite au secteur privé, avec les conséquences prévisibles sur les prix : ils montent et atteignent des ni-veaux inabordables pour les petits reve-nus. Qu’arriverait-il si nous avions fait ce choix ? Ces petits retraités seraient obligés de partir ailleurs, loin de leurs racines. Ce choix, je l’ai toujours as-sumé devant les tarnais, avant chaque élection. Je crois qu’ils l’ont approuvé. Nous soutenons aussi les innovations, comme les Maisons Partagées, ouvertes à Salvagnac, ou à Cahuzac-sur-Vère, qui nous paraissent des alternatives intéres-santes. Tout le monde n’y a pas accès, car il existe des plafonds de ressources puisque ces maisons bénéficient d’aides dans le cadre du PLS.

Vous avez été à l’origine du ticket unique à 2 euros pour les transports. C’est bien perçu par les usagers. La création de votre propre ré-seau départemental en 2010 passe un peu moins bien au-près des entreprises. Surtout quand elles doivent payer la taxe sur les transports.Ce tarif unique nous vaut des com-pliments – c’est assez rare pour le no-ter – et surtout une hausse sensible du nombre des usagers des transports col-lectifs. D’autant que nous avons aussi augmenté les cadencements sur les

lignes à haute fréquentation, comme Castres-Albi, Carmaux-Albi, Graulhet-Gaillac, Lavaur-Saint Sulpice…. En 1982, Jacques Durand avait fait le choix de privilégier les entreprises locales de transport. Elles occupent toujours une place importante dans les transports scolaires ou même dans les cantons de la couronne montagneuse. Mais nous avions du mal à les convaincre de se coordonner pour aboutir à un véritable réseau intégré, répondant aux besoins des usagers. Quand nous avons décidé de créer notre réseau en 2010, cette me-sure a été votée à l’unanimité de l’assem-blée départementale. La SPL, qui le gère, a loué des bus, en leasing. Ce sont des

véhicules neufs, adaptés au exigences de confort et de sécurité d’aujourd’hui, nous avons repris plus de 90 chauffeurs et nous avons organisé un réseau qui a valeur de référence et sert de modèle. D’autres départements s’en inspirent pour établir le leur.

Cette taxe sur les transports ne passe pas très bien auprès des employeurs qui doivent la payer, ceux qui ont plus de 19 salariés.Elle passe mal car tout le monde ne la paye pas, et c’est le nœud du problème. Dans les communautés d’aggloméra-tion, les entreprises assujetties doivent

anciens bassins industriels, comme le Carmausin ou la Vallée du Thoré, s’est dégradée. Beaucoup d’ex-ouvriers ou employés sont aujourd’hui au RSA. Ajoutons-y les jeunes en difficulté : pour ces derniers, je vais d’ailleurs faire un ef-fort particulier sur les emplois d’avenir, mais les réalités sont là. En 2008, le RSA représentait 30 millions d’euros, l’an dernier 43 millions et la part de l’Etat dans son financement n’a augmenté que de 3 millions dans le même temps. Tout le reste est à la charge du dépar-tement. Ajoutons-y les 48 millions de l’APA et les 6 millions de la Prestation de Compensation du Handicap : ces dépenses sont en hausse d’une année sur l’autre. Or, nous ne pouvons nous y soustraire : c’est un règlement national. La seule aide sociale, sans compter les salaires du personnel qui travaille dans ce secteur, représente 51,5% du budget du département.

Face à ces obligations, les recettes fiscales ne suivent pas ?L’Etat n’augmente pas ses dotations. Nous n’avons comme seul levier – sa-chant qu’on n’a pas voulu augmenter les taux d’impositions – que les contri-butions foncières pour les nouvelles constructions, et la revalorisation des valeurs locatives par l’Etat. C’est peu, très peu. J’aurais une dotation par habitant équi-valente à celles de l’Aveyron, du Lot, du Gers ou des Hautes-Pyrénées, nous serions beaucoup plus à l’aise financiè-rement. Cela représenterait 60 à 80€ par habitant, pour une population de 380 000 habitants : faites le calcul, nous aurions de la marge. Mais ce n’est pas le cas.

Pourquoi le Tarn n’a-t-il pas droit au même traitement que ces départements voisins ?Le mode de calcul établi avant 2005 éta-blissait un ratio de richesse par habitant et par superficie. Comme le Tarn est as-sez peuplé et pas très étendu, nous avons fait les frais de ce système de calcul. Mais, là encore, il s’agit d’un règlement national sur lequel nous n’avons aucune prise.

Depuis que vous êtes prési-dent du Conseil Général, quel

est le dossier que vous re-grettez de n’avoir pu réaliser ?Je réponds sans équivoque : la liaison Castres-Albi sur une « quatre voies » ou, au moins, avec de nombreuses portions à quatre voies, le contournement de Réalmont et de Vénès. Mais cela coûtait 200 millions de francs, et ce n’était pas possible. La liaison actuelle est un vrai handicap, avec 24 kilomètres en ligne continue sur 42 kilomètres.

D’autant que c’est un axe très passager, avec 18 000 véhicules/jour à la sor-tie d’Albi, et 8 800 entre Réalmont et Castres. Nettement plus que les 6 600 vé-hicules/jour qui circulent entre Castres et Toulouse.

Je reconnais d’ailleurs que ce dernier axe a aussi toute son importance. Castres – la ville tout au moins – a perdu des ha-bitants, et la véritable ligne de partage du Tarn, aujourd’hui, n’est plus entre le nord et le sud, mais entre l’est et l’ouest.

Sur quelles données vous vous appuyez pour évo-quer cette nouvelle « ligne de fracture » ?Les études que nous avons menées avec l’équipe des géographes du Centre Universitaire Champollion sont très claires : que l’on prenne la carte des varia-tions de l’emploi, du solde naturel (nais-sances et décès), donc du vieillissement,

ou du solde migratoire, du revenu im-posable, les chiffres confirment la ten-dance. L’est du département, correspon-dant aux anciens bassins industriels et à la couronne des montagnes, est en situa-tion difficile. Alors que l’on assiste à une poussée démographique dans le secteur ouest, notamment entre Lavaur et Saint Sulpice, on a des inquiétudes pour cer-tains collèges de l’est tarnais. Le pro-blème se pose dès l’école primaire : ici, il faut maintenir des postes dans les zones rurales, au nom du service public et de l’aménagement du territoire, là il faut ouvrir des postes pour répondre aux besoins d’une population plus jeune et plus nombreuse. On voit également des centres-villes vieillir – le mètre carré y est trop cher pour des jeunes ménages – ce qui conduit à y fermer des écoles, C’est le cas avec l’école Pasteur, au centre d’Albi.

A titre personnel, vous avez été l’artisan de l’installation de l’Ecole des Mines dans le Tarn et du Centre Universitaire sur Albi et Castres. Ce sont deux outils de formation de haut niveau...L’École des Mines, c’est à Michel Castel, l’ancien maire d’Albi, que reviennent l’idée et les premières démarches. J’ai mené le dossier, et je ne le regrette pas. Une pareille pépinière d’ingénieurs est

Ecole des Mines

Réseau de transports départemental TarnBus

TARN

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Dossier

Vous dépensez aussi pour des compétences qui ne sont pas obligatoires, comme l’agriculture.Toutes ces dépenses, qui ne sont pas obligatoires, c’est vrai, sont orientées vers le soutien à l’activité économique, c’est-à-dire la sauvegarde ou la créa-tion d’emplois. C’est le soutien à une filière en difficulté, ou à la reprise d’une activité, d’un atelier, d’une petite entre-prise. Nous avons signé d’ailleurs des conventions avec les trois chambres consulaires : Chambre d’Agriculture, de Métiers, et de Commerce et d’Industrie (CCI). Avec des moyens financiers limi-tés, nous faisons le maximum pour sau-ver l’emploi et maintenir une dynamique économique

Question plus personnelle et très directe : vous serez can-didat aux sénatoriales ? On vous prête cette intention...(Soupir…). On me prête beaucoup de choses. Je ne réponds pas à votre question

Admettons que vous arrêtiez votre carrière politique : que feriez-vous ?Je ne resterais pas inoccupé. J’ai vécu trop vite, je n’ai pas su ou pas pu prendre assez de temps pour moi et pour les miens. Alors j’ai des lectures en retard, même si je lis un maximum. J’ai des films à voir, car je n’ai pas souvent l’occa-sion d’aller au cinéma, alors que j’aime ça. J’ai des musées et des expositions à visiter. Je crois que je passerais aussi du temps à travailler des sujets de réflexion.

Peut-être à écrire ?Allez savoir

La France se prépare à un re-découpage cantonal. Où en est le Tarn ?Chacun fait son découpage, je n’ai pas encore fait le mien.

J’écoute, c’est ma méthode de travail. Le principe du découpage, selon une moyenne de 16 300 habitants par can-ton, va poser pas mal de problèmes, dans un département où les bassins de vie sont très différents les uns des autres. C’est sûr qu’entre le canton d’Anglès, par exemple, et celui de Lavaur, la situation démographique et les problématiques sont très différentes. Il y aura sans doute des exceptions à la règle de base car, dans les zones de montagne, on aurait des cantons beaucoup trop vastes pour arriver à rassembler 16 300 habitants. Le Ministère de l’Intérieur, au terme de tous ces projets, proposera une carte, qui, par le relais du préfet, sera soumise au vote de l’assemblée départementale. L’avis de celle-ci, joint à la carte, remontera

ensuite au Conseil d’Etat qui indiquera si le découpage est cohérent ou non. Cela fait beaucoup d’étapes. Que sera donc le futur découpage tarnais ? Très sincèrement, je n’en sais rien.

Quel est votre regard sur une expérience de plus de vingt ans à la tête du département ?Ce sont des impressions multiples. La première, c’est une lourde responsabi-lité : celle de gérer un budget de près de 450 millions d’euros et 2 000 salariés. Il faut sans arrêt tenir la barre, trouver le point d’équilibre entre les investisse-ments nécessaires à la modernisation des équipements - les routes, les col-lèges...- tout en évitant le matraquage fiscal des 380 000 tarnais. Autre équi-libre à trouver, celui qu’il faut préser-ver entre les territoires. Je dois veiller à accompagner les secteurs dynamiques, créateurs d’activités et d’emplois, sans laisser tomber les cantons en difficul-tés, en dépeuplement. C’est un prin-cipe républicain auquel je suis très atta-ché, comme mon prédécesseur Jacques Durand qui m’a sensibilisé à cette équité républicaine. Et puis il y a le Tarn, son territoire, son histoire. Plus j’avance en âge, plus je me dis que c’est ma terre, que je suis d’ici. Mon père était coiffeur près du marché couvert, à Albi, je suis élu de Lescure, mais j’ai appris à aimer la Montagne, son esprit de travail, de soli-darité. J’ai beaucoup de respect et même d’admiration pour la culture ouvrière des bassins industriels, le carmausin, le castrais-mazamétain qui souffrent, mais qui restent toujours des centres d’initia-tives, d’innovation et qui portent l’esprit de Jaurès. Ces 22 ans à la tête du Conseil général m’ont appris à mieux connaître le Tarn, dans sa diversité mais aussi son unité. Et à l’aimer encore plus. ■

la payer, et dans la commune juste à côté, elles en sont dispensées. Il y a une inégalité de traitement : je comprends la réaction de ces chefs d’entreprise, mais ce n’est pas le Conseil général qui est à l’origine de cette bizarrerie. En fait, tous les territoires devraient être logés à la même enseigne.

Ce schéma départemental de transports est-il entièrement réalisé ?Il évoluera sans doute, mais il fonc-tionne bien. Actuellement, nous avan-çons sur la partie « handicap » et j’y travaille personnellement, car c’est un dossier qui me tient à cœur. Je pense que, là aussi, notre système sera un mo-dèle de référence.

Sur la fibre optique comme sur la téléphonie mobile, le Tarn avait pris quelques longueurs d’avance. Où en est l’équipe-ment du département ?Il y a encore des revendications, pas toujours faciles à satisfaire, car tout le monde veut téléphoner, mais personne ne veut d’antenne à proximité de chez soi. Ou bien, on veut du débit, mais on refuse d’en payer le service. C’est parfois compliqué, mais on y arrive, car l’attente est forte. Le Schéma Départemental d’Aménagement Numérique est en place : il reste à le mettre en pratique. Les tarnais doivent savoir que les trois grands opérateurs se sont engagés à venir à Albi et Castres, mais sans fixer de date. En 2015 ? En 2017 ? Il n’ont pas donné de précision.

Or il est prévu d’avoir la fibre à domi-cile en 2020. Mais 3 seulement des 17 communautés de communes du Tarn ont récupéré la compétence pour ré-pondre aux attentes des habitants et des chefs d’entreprise. Notre opérateur local, la SEM e.terra, dont je rappelle

qu’elle n’est pas subventionnée, répond aux besoins dans la mesure de ses capa-cités : sa compétence est reconnue dans tout Midi- Pyrénées et même au-delà. Heureusement que nous avons fait ce choix d’un opérateur local. Le dépar-tement commence à être bien maillé. Il faudra encore tirer de la fibre vers Brassac et les Monts de Lacaune.

Chaque département a son schéma nu-mérique : le nôtre est déjà reconnu et validé au niveau national.

Revenons au social : il repré-sente plus de la moitié des 446 millions du budget du département. Même en te-nant compte des dépenses obligatoires, imposées par le règlement national, un cer-tain nombre de contribuables trouvent que c’est trop. Certains mettent en doute le bien fondé de ces aides so-ciales. Il y aurait des « profi-teurs » ou des « rentiers » de l’aide sociale.Le secteur social, c’est la protection maternelle et infantile, le RSA, les per-sonnes âgées, les aides sociales à l’en-fance. Songez que nous avons plus de 800 enfants placés actuellement. Nous surveillons de très près l’usage qui est fait de ces sommes. Contrairement aux idées reçues ou à certaines phrases qui me reviennent, je peux vous assurer que nous ne dilapidons pas un euro. Tout

ce que nous dépensons est contrôlé et recontrôlé. Ma profession et mon tem-pérament ne m’ont pas formé à jeter l’ar-gent public par la fenêtre, vers n’importe quel demandeur. Nos services sont sans arrêt sollicités pour vérifier, recompter : et ils le font.

Quand vous « allez sur le ter-rain » et vous y êtes souvent, au contact direct des habi-tants, qu’est-ce qu’ils vous disent ?Qu’ils sont coincés dans leur pouvoir d’achat, que les salaires n’augmentent pas. Et c’est vrai : la crise est là, et elle est toujours plus dure pour les petits. Je vais prendre un exemple d’actions que nous menons pour permettre à des tarnais de pratiquer des loisirs gratuits. Ça n’a l’air de rien, mais nous entretenons plus de 4 000 km de sentiers de randonnées, souvent avec des chantiers d’insertion, où l’on peut marcher, faire du vélo. On constate qu’avec la crise, ce sont ces loi-sirs gratuits qui se développent le plus. Le Conseil général s’emploie à les favori-ser, parce que nous sommes conscients de la réalité du pouvoir d’achat. De la même manière, nous avons maintenu et même créé de nouvelles Maisons Départementales.

C’est de l’aménagement du territoire, pour qu’il n’y ait pas un Tarn à deux vi-tesses, pour corriger autant que faire se peut les écarts entre les territoires.

Giratoire de Réalmont

La Voie Verte

La fibre optique

Randonnée

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Engagé dans l’économie localeEngagé dans la valorisation du commerce régional de proximité depuis 6 ans déjà le Chèque Cadeau Occitan propose aux entreprises, particuliers et associations, une solution innovante pour augmenter son pouvoir d’achat tout en s’engageant pour le développement du commerce de proximité local et régional.

Créée en 2007 par les parents de l’actuel diri-geant Tristan Laffage, le chèque cadeau occitan est né avant tout de la volonté des dirigeants

de promouvoir le commerce régional tout en propo-sant une idée cadeau originale. Le principe, en offrant un maximum de liberté permet à chacun en un seul et même coupon de profiter d’un large catalogue parmi plus de 600 boutiques partenaires dans toute la région. Mode, prêt à porter, grande distribution alimentaire, jouets, puériculture, loisirs, bricolage, déco, bijoute-ries, parfumeries… tous les univers de consommation sont représentés. Les chèques sont d’une valeur faciale unique de 10 euros. Leur nombre est modulable et per-met aux clients de décider du montant.

Comme le souligne notre dirigeant : « notre produit est apparu comme une réponse à un des besoins du

marché que nous avons constaté dès 2007. A savoir que les entreprises, as-sociations, mais également les parti-culiers restent attachés au commerce de proximité et veulent avant tout offrir des cadeaux originaux. » Le local reste au cœur du concept. « Nous offrons à nos clients le savoir-faire et la qualité des commerçants d’Occitanie avec des partenaires sur 5 départements: le Tarn, l’Aveyron, le Tarn et Garonne, la Haute Garonne mais aussi le Lot qui sont gérée par l’équipe de notre agence albigeoise de 5 personnes », précise Tristan Laffage. Pour les bou-tiques, ajoute Tristan Laffage « c’est une occasion d’augmenter leur trafic et à terme leurs chiffres d’affaires. Quant aux entreprise et aux comités d’entre-prises c’est aussi l’occasion de récom-penser leur salariés tout en bénéficiant d’exonérations de charges».

Concernant le futur de son entre-prise, notre dirigeant le conçoit avec optimisme aux vues des résultats car comme il nous le précise c’est plus de 350 000 euros de chèques qui sont établis chaque mois et plus d’une

trentaine de nouveaux partenaires commerciaux qui rentrent tous les deux mois.

Résolument une idée cadeau personnalisée et inno-vante. Dès la rentrée vous pourrez même découvrir l’application smartphone qui vous permettra des géo-localiser les commercants partenaires. ■

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Septembre 2013 • 15

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14 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr

Chérie FM Tarn

Pop Love MusicAvec plus de 2,2 millions d’auditeurs quotidien, Chérie FM a su s’imposer comme un leader sur le marché de la radio. Avec toujours la volonté de rester au plus proche

de son public, la société possède à travers toute la France plus d’une quarantaine d’antennes locales. Entretien avec Florian et Olivier respectivement animateur et journaliste à la tête de la rédaction de Castres-Albi-Mazamet.

Chérie FM en direct des villes : Bonjour Chérie de 6h à 10hAprès plusieurs années passées à occuper en local la case 16h 20h, Chérie FM Tarn s’est lancée un défi en 2012. « Nous avons repensé l’ensemble de notre for-mat avec la volonté de proposer une tranche locale qui accompagne au plus près les auditrices. Chérie FM s’adresse avant tout aux femmes, mais n’exclut aucu-nement le public masculin. » comme le souligne Florian son animateur. Voilà maintenant un an que le groupe Chérie FM a décidé de mettre en place le concept de Bonjour Chérie.

Pari réussi pour cette initiative, car en regroupant des rubriques clés telles que l’info locale, la météo, l’horos-cope et forte d’une playlist repensée, le résultat sur les audiences a été immédiat. « La proximité est la clé de la réussite. C’est de l’info tarnaise pour les tarnais » sou-ligne notre journaliste Olivier.

Bonjour Chérie revient donc pour une seconde saison

avec le même concept et quelques nou-veautés spéciales rentrée, pour être encore plus proche des tarnais. « Au quotidien, on souhaite aider nos auditeurs à mieux vivre ce difficile moment qu’est le réveil, en leur apportant énergie et bonne humeur. Infos loisirs également en mettant au 1er plan la scène artistique et culturelle locale », pré-cisent Olivier et Florian

Les nouveautés de la rentrée La boîte à idée : depuis la rentrée à 7h10 la parole est donnée aux auditeurs qui pro-posent autour d’un thème choisi leurs bons plans, échangent conseils et services.

La Question impossible: une question sur la vie quotidienne suivie d’un indice pour aider les auditeurs. Le candidat tiré au sort

parmi les bonnes réponses passe ensuite en direct à l’antenne, et repart avec de superbes cadeaux !

Des dotations locales : pour offrir à ses auditeurs des cadeaux dont ils pourront profiter facilement, et qui mettent à l’honneur les compétences et le savoir-faire tarnais, l’équipe joue là encore la carte de la proximité en collaborant avec des commerçants et structures du département.

Résolument votre partenaire idéal pour commencer la journée en musique et dans la bonne humeur. ■

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16 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr

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Augmenter le pouvoir d’achat des salariés sans charges sociales pour l’entreprise, tel est le concept de CE pour tous de Novalto. Depuis 12 ans déjà le groupement Novalto s’engage pour les TPE et PME devenant un véritable outil de motivation et de gestion de ressources humaines pour plus de 6000 PME en France. Entretien avec Noëlie Joqueviel, dirigeante de la société Impulsea, partenaire exclusif de NOVALTO dans le Tarn.

Noëlie Joqueviel, vous êtes la dirigeante de la société Impulsea, partenaire exclusif de Novalto. Quelle est l’histoire de Novalto ? Novalto est né et a été conçu par des chefs d’en-treprise pour mutualiser les forces des petites entre-prises, avec 3 principes fon-dateurs : apporter des avan-tages sociaux aux salariés des TPE et PME, qui soient aussi importants que ceux des grandes entreprises possédant un comité d’en-treprise. Tarnaise d’origine, c’était un véritable chal-lenge pour moi d’aider ces

acteurs économiques omniprésents sur le territoire. La force de CE pour Tous est d’être sans charges sociales pour l’employeur et sans participation financière du sa-larié. Le troisième pilier fondateur est une gestion exter-nalisée du service auprès de Novalto. Notre volonté est d’apporter une véritable réponse aux problématiques actuelles de gestion des ressources humaines.

C’est à dire? Nous cherchons à répondre à 3 problématiques ma-jeures. A savoir d’une part, comment renforcer durable-ment la motivation, l’implication et la fidélité des colla-borateurs d’une PME. D’autre part, comment augmenter le pouvoir d’achat des salariés de PME à moindre coût pour l’entreprise. Et enfin comment avoir plus d’attrac-tivité RH pour permettre aux PME de recruter plus faci-lement. Cela apparaît comme une réponse pertinente à un double constat : 90% des dirigeants d’entreprises considèrent que la motivation des salariés joue un rôle

primordial dans l’entreprise et 68% des salariés esti-ment que le manque de pouvoir d’achat est source de démotivation*.

Quels sont donc les services proposés par Novalto aux PME ? Le service CE pour Tous regroupe 3 grands pôles qui couvrent 80% des dépenses de la vie courante. Le prin-cipe général de tous les services est l’accès à des tarifs préférentiels et des offres exclusives auprès d’un réseau de plus de 4000 partenaires représentatifs de tous les univers de consommation. Nous accompagnons le sa-larié dans son quotidien mais également au sein de ses loisirs, avec pour conséquence immédiate l’augmenta-tion de son pouvoir d’achat. Le service est individualisé pour chacun des salariés, qui y accèdent sans limite de nombre ou de montant de réductions et bénéficient de l’expertise de nos conseillers.

En conclusion, pourriez-vous nous dire pourquoi faut-il faire appel à Novalto ?A la fois outil de motivation et de fidélisation des sala-riés, Novalto se pose comme un partenaire de chacune des PME dont il mutualise les dépenses. Et les chiffres parlent seuls car l’utilisateur moyen en 2012 a écono-misé grâce à CE pour Tous, 814 €. ■

*Enquête INSEE

Contact :Noëlie JOQUEVIEL

Impulsea SAS (partenaire exclusif Novalto)

255 chemin de Vitrac 81600 BRENS

06 70 10 98 60

noelie.j@impulsea.fr

Septembre 2013 • 1918 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

Transports

Albi

L a guerre est déclarée entre la CNAMS du Tarn et les taxis réa-lisant du transport sanitaire. Une

guerre légitime car pour eux, cette acti-vité supplémentaire est une source de revenus non négligeable. Aujourd’hui la profession souffre d’un déficit de clients comme en témoigne Jean Bellières, chauffeur de taxi : « depuis 7h du matin je n’ai rien refusé et j’ai fait deux courses dans la journée », Une situation d’autant plus inquiétante qu’ à Albi seuls 4 véhi-cules se tiennent en station aux heures creuses et 5 à la gare. « Faute de clients on travaille uniquement sur réservation téléphonique. Il n’y a pas suffisamment de demandes pour faire que du taxi. Pour preuve avant il y avait 6 taxis le dimanche, aujourd’hui il en reste qu’un seul », poursuit-il avant d’ajouter : « pour vivre correctement il est donc primor-dial de diversifier notre activité. Le mé-dical en fait largement parti ». Du coup face à ce contexte alarmiste concernant le transport en taxi, le secteur du trans-port sanitaire fait preuve d’un grand dynamisme. En effet, la consomma-tion en services de transport sanitaire en volume est portée par le vieillisse-ment de la population. Outre ce volume

d’activité conséquent, les professionnels voient croître leur chiffre d’affaires en valeur sous l’effet de revalorisations tari-faires successives.

Toutefois, les VSL et autres taxis doivent faire face à l’intensification de la poli-tique restrictive menée par l’Assurance Maladie (lancée en juin 2004) en matière de maîtrise des dépenses de santé. Ainsi, le remboursement non systématique des transports de malades mis en place en mars 2007 ou encore les nouvelles fran-chises médicales sur les soins du 1er janvier 2008 (2 euros sur chaque trans-port sanitaire) sont autant de mesures qui freinent l’activité des professionnels. « Selon une rumeur avérée, la CPAM souhaite pour 2014 que 48 entreprises de taxis tarnaises ne soient plus conven-tionnées. On court vers un désastre pro-fessionnel car à terme nous allons man-quer de véhicules de transport pour les patients assis. Si tel est vraiment le cas nous mènerons une action à durée in-déterminée, afin de nous faire entendre. Sans aucun transport de malades assuré, seul les pompiers peuvent prendre le relais… ». Même si rien n’est gagné, les chauffeurs de taxis se battent d’autant

qu’en septembre 2010, les 7 entreprises qui avaient engagé une procédure en-vers la CPAM du Tarn avaient obtenu gain de cause auprès du tribunal d’Albi. Aujourd’hui la CPAM se pourvoit en cassation. Résultat courant septembre…Et pendant ce temps le compteur tourne…L’adition risque d’être salée.

L’organisation du marché- Le transport en VSL : (véhicule sa-nitaire léger) est le plus répandu. Les principaux transports sont des tra-jets hôpital-domicile ou inter-hos-pitaliers. La diversification (trans-port de médicaments, de sang, de matériel…) est très fréquente.

- Le transport en ambulance est beaucoup plus contraignant. Les normes réglementaires et le coût des véhicules sont plus importants.

- Le transport en taxi est utilisé dans les cas où le patient peut se déplacer seul et ne nécessite aucune assistance particu-lière. Depuis plusieurs années, la part des dépenses remboursables par la Sécurité Sociale aux chauffeurs de taxis tend à augmenter. D’où le problème actuel.

Sécu

Optimiser les frais de transport sanitaireAlors que le trou de la Sécu sera plus important que prévu en 2013, la branche de l’Assurance-maladie s’est penchée sur son budget 2014. Le conseil de la Cnam s’est donc réunit pour valider les propositions qu’il adressera au gouvernement en vue du prochain projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) en septembre. Parmi elles le cas des transports VSL et des taxis. Dans ces conditions, la guerre des transports ne semble donc pas terminée.

L ’extrême hétérogénéité ter-ritoriale de la répartition des modes de transport entre ambu-

lance, VSL et taxi interpelle», pointe la Cnam dans son rapport. Pour remettre de l’ordre dans ce système et contrôler ses dépenses, elle propose de tester dans certaines caisses la mise en place d’une «carte de transport», une sorte d’abon-nement qui déterminerait les modes de transport utilisables par les patients et conditionnerait le remboursement des prestations aux entreprises de transport. «Une homogénéisation progressive de la

part des patients transpor-tés en ambulance pourrait représenter, à terme, une économie pour l’Assu-rance maladie de l’ordre de 50 millions d’euros.» D’autres pistes permet-traient de réduire les coûts: encourager les pa-tients à utiliser leur véhi-cule personnel ou encore réformer la gestion du transport des patients à leur sortie de l’hôpital. ■

Transport sanitaire

Le compteur tourne entre la sécu et les chauffeurs de taxisSur les 162 taxis qui sillonnent les routes et les rues du département, 15 sont basés à Albi. Ce qui, pour une ville de 51000 habitants n’est pas énorme. Du coup, afin de compléter les fins de mois souvent difficiles, 50% d’entre eux réalisent du transport médical. Mais voilà, la sécu ne l’entend pas de la même oreille. Le bras de fer tarifaire est lancé. Qui en sortira vainqueur ?

par Marie-Jo Alibert

«

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20 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

ISOBAT

Votre spécialiste de l’isolation thermique extérieure et de la

rénovation énergétiqueDu conseil aux travaux, de l’isolation à la décoration, Isobat et son équipe de professionnels vous accompagnent pour tous vos travaux d’isolation thermique par l’extérieur. Une entreprise à taille humaine « Made in France » qui évolue avec son temps et des techniques innovantes et durables.

Isobat se veut une entreprise à taille humaine. Comme le souligne son dirigeant, Matthieu Loupias, «notre volonté est d’avoir un développement qui soit

maîtrisé dans une logique durable. Tous les bénéfices ont vocation à être réinvestis dans la société, preuve en est nous avons recruté pour la rentrée un com-mercial ainsi qu’un ouvrier qualifié. Nous avons éga-lement investi dans du matériel supplémentaire pour mieux répondre aux demandes de nos clients. ». Cette volonté s’inscrit dans l’ensemble des démarches de l’entreprise, du recrutement au choix des produits. Car Matthieu, fort de son expérience dans le bâtiment, a su s’entourer de vrais professionnels notamment un com-pagnon dans la maçonnerie. La société intervient au-jourd’hui dans le Tarn, l’Aveyron et le Tarn et Garonne. Concernant les produits, le local est aussi à l’honneur. Isobat a développé de nombreux partenariats avec des fournisseurs locaux, et privilégie les fabricants français.

Une entreprise labellisée Eco Artisan et Quali BatFace aux nouvelles demandes du marché, la société de Matthieu Loupias a fait le choix de s’engager dans de nombreuses démarches de qualité. Preuve en est, elle est labellisée Eco Artisan. « Ce label nous engage à la qualité de nos services », précise le dirigeant. « Nous devons proposer à nos clients une évaluation de la

performance énergétique de leur logement, apporter un conseil global sur la rénovation et bien entendu mettre en place un contrôle qualité a posteriori ». Chez Isobat, cela passe par une enquête de satisfaction. De plus, le mois de juin a aussi été la période de remise de diplôme pour Isobat qui a décroché la certification Quali Bat 7131 (certification isolation thermique par l’extérieur).

Vers un financement de vos travaux facilités« Du diagnostic et devis des travaux jusqu’au dossier final nous accompagnons nos clients et les conseillons sur les facilités de financements de leurs travaux », sou-ligne Matthieu Loupias. Isobat peut notamment vous ai-der dans vos démarches afin de bénéficier de l’aide de l’ANAH (l’Agence nationale de l’habitat) qui permet aux particuliers ayant des revenus modérés de prétendre à des aides qui peuvent aller jusqu’à 50% d’économie sur les factures des travaux de rénovation énergétique. La société est également référencée éco-chèques au-près de la région.

Résolument une entre-prise tournée vers l’ave-nir et engagée tant dans l’humain que l’écologie. ■

IsobatLinas 81990 CarlusTél. 05 63 43 16 44www.isobat81.frwww.facebook.com/isobat81.fr

Avant AvantAprès Après

Septembre 2013 • 23

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22 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

Cinéma

Professionnels de la boucherie de père en fils

C’est avec une vraie passion pour leur métier que Max et Jean-Fabien Narbonne vous accueillent depuis 1989 avenue Albert Thomas à Albi sous l’enseigne Tarn Viande et vous conseillent accompagnés de leurs bouchers sur des produits de qualité défendant la production française.

Cette entreprise familiale de 18 salariés vit avec son époque et met un point d’honneur à être une vitrine de la viande française en privilégiant au

maximum la production régionale et nationale. Depuis 2008, la clientèle de professionnels s’est étoffée grâce à l’acquisition de l’agrément européen de découpes de viandes pour répondre aux appels d’offres des collec-tivités locales.

Un accueil repensé et de nouveaux services En début d’année, le magasin a réalisé d’importants travaux. Plus moderne, résolument plus tourné vers la clientèle des particuliers, sans pour autant oublier les professionnels. Le point de vente dispose désormais d’un rayon libre service au même prix qu’à la coupe

mais en version express. Un rayon traiteur complète l’offre en plats cuisinés préparés sur place avec les produits. Enfin, un service rôtisserie (poulet et rôtis) est assuré pour le week-end. ■

Les Œillades

Festival majeur du cinéma françaisDu 19 au 24 novembre se déroulera, au Théâtre et dans les cinémas CinéMovida d’Albi, le festival du film francophone : « Les Œillades ». Même si la programmation précise n’est pas encore établie, les invités d’honneur et quelques beaux événements sont déjà connus et peuvent être dévoilés.

2 grands réalisateurs invités d’honneurHistoire de mettre « l’eau à la bouche » des nombreux cinéphiles tarnais, ain-si qu’aux autres, voici en « Avant pre-mière » quelques noms de participants. Comme d’habitude, il faut saluer le tra-

vail remar-quable de l’association pour que le plateau, soit année après année d’une except ion-nelle qua-lité. Claude Martin nous dévoile le nom des 2

invités d’honneur. « Nous aurons le plai-sir d’avoir, pour cette 17ème édition, 2 grands réalisateurs : un est sans doute le plus important du cinéma africain, le tchadien Mahamat Saleh Haroun (« Bye bye Africa », « Daratt », « Un homme qui crie ») et le français Emmanuel Mouret (« L’art d’aimer », « Fais-moi plaisir », « Un baiser s’il vous plaît ! »), d’autres invités de prestige honoreront le festival pour lesquels nous attendons confirma-tion ». Pour rappel Haroun a obtenu le Prix du Jury du Festival de Cannes en 2010 pour « Un homme qui crie », il a été membre de ce même jury officiel en 2011 et avait, cette année encore, un film en compétition. En ce qui concerne Emmanuel Mouret, ce sera l’occasion de la projection en avant-première de son film, dont la sortie est prévue pour fin de cette année (voire début 2014), « Une autre vie », avec Joey Starr et Jasmin Trinca. Il y aura 3 films d’Haroun et 4 films de Mouret projetés pendant la se-maine. Mais le festival est aussi l’occasion de visionner entre 10 et 12 films, avant leur sortie en salle, parmi eux les der-nières productions de la Gaumont, dont

« Belle et Sébastien » de Nicolas Vanier (qui sera présent), « Les Garçons » avec Guillaume Attal. D’autres à sortir, sous réserve, tels que les films de Cédric Klapisch, Fanny Ardant, Bertrand Tavernier, Mariana Otero, Nicole Garcia ou encore Fred Cavayé. Même si les choses avancent bien avec beaucoup des noms évoqués, les organisateurs com-muniqueront ultérieurement les réalisa-teurs présents aux soirées avec le public. De belles surprises donc, sans oublier le caractère pédagogique avec la partici-pation des écoles, et collèges d’Albi qui travaillent sur la découverte du cinéma, ainsi que les lycées formant les jeunes aux métiers du cinéma, sans oublier la fac d’Albi qui assurera le journal du fes-tival. « Nous attachons une grande im-portance à l’implication des scolaires et étudiants, précise Claude Martin, d’ail-leurs, cette année, une rencontre excep-tionnelle avec Mahamat Saleh Haroun sera organisée à la fac d’Albi et je pense que ce sera un grand moment ».

Hommage à Pierre BraunbergerCette 17ème édition sera l’occasion de rendre hommage à l’un des plus grands producteurs que le cinéma français ait connu. Pour preuve, voici quelques

noms de grands réalisateurs découverts et produits par Pierre Braunberger : Melville, Truffaut, Resnais, Allégret, Godard, Pialat, Rouch, Reichenbach, Pirès…entre autres ! Cet homme vrai passionné du cinéma obtint beaucoup de distinctions, et l’un des plus beaux hommages lui fut rendu par Godard qui lui dit un jour : « beaucoup de gens ont aimé le cinéma, mon cher Pierre, mais très peu ont été aimés par lui ; vous êtes de ceux-là ». Ce très grand monsieur a transmis cette passion à sa fille Laurence qui porte le flambeau et contribue, avec la société « Les films du jeudi » (fondée par son père) au rayonnement du cinéma français. Outre Laurence Braunberger, Serge Korber (qui habite sur la région de Gaillac) dont Pierre Braunberger a produit 7 courts métrages sera présent au festival et tous les deux parleront de ce génialissime découvreur de talents. 2 séances émailleront cet hommage, avec la projection, principalement, de courts métrages réalisés par quelques grands noms évoqués plus haut. Ce sera l’occasion, en particulier le seul film que Renoir n’ait jamais fini «Une par-tie de campagne », et aussi une origina-lité avec un documentaire de Truffaut et Godard… ! De vrais inédits donc, pour ne pas dire bijoux que peu de gens ont visionnés. « Je pense, nous dit Claude Martin, que beaucoup de passionnés vont découvrir de véritables pépites et c’est l’opportunité pour nous de rendre hommage à un personnage incontour-nable dans le cinéma français ». Le fes-tival met à l’honneur les cinéastes ou acteurs établis, mais Les Œillades c’est aussi un concours de courts métrages, ouvert à tous. La possibilité pour les réa-lisateurs en herbe de se soumettre à un jury de connaisseurs. Bientôt une socié-té de production à Albi ? Pourquoi pas.Encore une belle programmation, qui s’affinera dans les semaines à venir, et ne devrait pas vous laisser indifférents. ■

TARN VIANDE, Détail - Demi gros 6 Rue Hyppolyte Crozes 81 000 ALBI Tel : 05 63 46 21 17 - Fax : 05 63 60 63 19

Emmanuel Mouret

Mahamat Saleh Haroun

Septembre 2013 • 2524 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

Sport

Interview de Jean-Jacques Castanet

Les ambitions du SCAJean-Jacques Castanet, albigeois de souche, mais émigré toulousain pour des raisons

professionnelles a pris la présidence du club en 2011, animé par un désir de ramener le SCA à son plus haut niveau. À quelques jours de la reprise, il nous livre sans aucun détour

les ambitions qu’il nourrit pour son club pour cette saison 2013-2014.

Vous êtes l’équipe la plus jeune du championnat de Pro D2. Atout ou handicap ?Avec Henry BRONCAN, nous avons souhaité ren-forcer notre groupe qui nous a montré de belles

choses, très prometteuses, comme en témoigne le dernier match de la saison dernière contre La Rochelle. Notre jeu-nesse est une force ! Ce n’était pas une obligation mais un choix : cette jeunesse est gage d’engagement et de réussite ! Elle est d’autant plus un atout qu’elle est soutenue par des cadres : je pense notamment à Yogane Correa, le plus ancien, ou Florent Fourcade qui revient après un exil grenoblois d’un an.

Imaginons, nous sommes le 10 Mai 2014. C’est la dernière journée de la phase régulière de PRO D2 : Où voyez-vous le SCA ?

Le championnat de Pro D2 sera très relevé cette année. Il va falloir jouer des coudes pour se frayer une place sur le haut du tableau. J’imagine cette dernière journée comme étant décisive pour l’accès à une place de demi finaliste, et pourquoi pas de finaliste… à la maison ! Nous aimerions tant faire ce cadeau à nos supporters, nos partenaires et… à nous ! Nous ne faisons pas partie des favoris, mais peu importe nous avons les moyens de créer la surprise, comme Aurillac l’a fait l’an passé.

Et sur le plan financier, où en est le club aujourd’hui ?Comme je l’ai précisé au moment de ma prise de fonction, j’ai hérité d’une situa-tion financière pour le moins critique. Deux ans après, je peux dire que nous avons assainis nos comptes et remis le club en ordre de marche. Nous avons eu une longue phase de restructuration qui nous a permis d’être plus efficaces, de développer notre offre commerciale, notre zone de chalandise… Et puis notre

grande réussite a été la création de notre Club Affaires en 2011, qui fait du SCA le premier réseau économique du grand albigeois.

Quelles sont ses perspectives de développement du club?Grâce au travail de Jean-Jacques VEYRAC, directeur commercial, nous avons doublé le nombre de partenaires en deux ans pour atteindre aujourd’hui 260 entreprises. Si la majeure partie de nos partenaires sont locaux, notre tra-vail nous permet d’élargir notre zone de chalandise à des entreprises régionales et depuis peu nationales. Notre dévelop-pement économique passera inévitable-ment par l’attrait de sociétés d’envergure nationale. Il faudra se rendre attrac-tif grâce à de nouvelles prestations, je pense notamment au développement des produits dits d’hospitalité (loges…).

Que pouvons-nous vous souhaiter pour cette reprise ?La victoire. ■

>>>>>>Les nouveLLes recrues<<<<<<

Mathieu PeLuChON

Né le 23 juin 1987 1m84, 84 kgEn provenance du club d’Auch Poste : Arrière

MaxiMe PaYeN

Né le 26 février 19921m94, 98kgEn provenance du Stade ToulousainPoste : Ailier/Arrière

FLOriaN ViaLeLLe

Né le 5 octobre 19931m85, 85kg Prêté par le Castres Olympique pour une saison Poste : Centre

FLOreNt FOurCaDe

Né le 5 février 19861m93, 104kgEn provenance de GrenoblePoste : 3ème ligne centre

thibaut ViSeNSaNG

Né le 8 janvier 19911m84, 99kgPrêté par l’Aviron Bayonnais pour une saisonPoste : 3ème ligne

MaLik haMaDaChe

Né le 17 octobre 19881m90, 136kgEn provenance de St Jean D’Angely ( Fédérale 1)Poste : Pilier droit/gauche

kViCha buJiaShViLi

Né le 15 avril 19921m87, 105kgEn provenance de Géorgie Poste : tous les postes de la 3ème ligne

tiMiLai rOkODuru

Né le 21 janvier 19931m90, 96kgEn provenance des Fidji (Equipe Nationale des -20 ans)Poste : Ailier

NaSONi NaQiri kuNaVOre

Né le 30 juillet 19931m86, 95kgEn provenance des Fidji (Equipe Nationale des -20 ans) Poste : Centre

Calendrier MATCHS ALLERSupporters albigeois, vous l’attendiez avec impatience. Le calendrier 2013/2014 a été publié hier par la Ligue natio-nale de rugby.

1e journée (31 août-1er sept.). SCA/Agen.2e journée (7-8 sept.). La Rochelle/SCA.3e journée (14-15 sept.). SCA/Lyon.4e journée (21-22 sept.). Tarbes/SCA.5e journée (28-29 sept.). SCA/Colomiers.6e journée (12-13 octobre).

Aurillac/SCA.7e journée (19-20 octobre). Bourg-en-Bresse/SCA.8e journée (26-27 octobre). SCA/Béziers.9e journée (2-3 novembre). Dax/SCA.10e journée (9-10 novembre). SCA/Narbonne.11e journée (23-24 novembre). SC AA/Pau.12e journée (30 novembre-1er décembre). Auch/SCA.13e journée (7-8 décembre). SCA/Mont-de-Marsan.14e journée (14-15 décembre). Bourgoin/SCA.

15e journée (21-22 décembre). SCA/Carcassonne.

MATCHS RETOUR16e journée (11-12 janvier 2014). Agen/SCA.17e journée (18-19 janvier). SCA/La Rochelle.18e journée (25-26 janvier). Lyon/SCA.19e journée (8-9 février). SCA/Tarbes.20e journée (15-16 février). Colomiers/SCA.21e journée (22-23 février). SCA/Aurillac.22e journée (1er-2 mars).

SCA/Bourg-en-Bresse.23e journée (15-16 mars). Béziers/SCA.24e journée (22-23 mars). SCA/Dax.25e journée (29-30 mars). Narbonne/SCA.26e journée (5-6 avril). Pau/SCA.27e journée (12-13 avril). SCA/ Auch.28e journée (26-27 avril). Mont-de-Marsan/SCA.29e journée (3-4 mai). SCA/Bourgoin.30e journée (10 ou 11 mai). Carcassonne/SCA.

Septembre 2013 • 2726 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Economie

Cas

tres

l’Extrême de Sokol Show à la Foire de Castres un spectacle à couper le souffle !

• Plongeon de Haut Vol : de 25 mètres de hauteur dans une piscine de 8m de diamètre et 2,80m de profondeur

• La Torche Humaine (plongeon en feu)

• Démonstrations de Plongeons Olympiques, Synchronisés, d’Ensemble et Comiques.

Les artistes : sportifs de haut niveau, champions du monde, champions de France...Du rire, du suspense, des cas-cades dans ce merveilleux spectacle aquatique.

Des animations gonflées !Anatole Park fait son retour sur la foire économique de Castres. piscine à balles, mini-toboggan, parcours multi-activi-tés, châteaux & toboggan gonflable...

Venez nous retrouver et profiter en fa-mille de ce lieu de détente où les enfants peuvent se distraire, se défouler, sauter, glisser...

Vos enfants ne voudront plus quitter la Foire.

Pour les enfants de 2 à 10 ans, de 14h à 19h

Vendredi 20 septembre : Inauguration de la foire à 11 Heures avec de nom-breuses personnalités locales.

Ouverture de la foire à 14 Heures.

Pour les enfants de 2 à 10 ans : Une garderie est proposée de 17 h à 19 h pour le parc d’attractions de structures gonflables.

A 21 H 30 sous le chapiteau des gastronomes :

MANOLO et ses Gitans « The Voice of the Gypsies» :

Depuis ses débuts en 92, la voix de Manuel Gimenez dit MANOLO, s’est imposée comme l’une des plus belles voix Gypsies. Pendant plus de 20 ans, MANOLO fut la célèbre voix du groupe «Chico & les Gypsies» avec plus de 200 000 albums vendus et un disque d’or, dont il est aussi co-auteur et co-compositeur. Avec le groupe de Chico, MANOLO fait danser la planète entière et se produit sur les scènes des Music Hall les plus prestigieux de Paris à New York, Buenos Aires, Tokyo, Osaka,

Moscou, Beyrouth, Les Emirats… C’est à la fin de l’année 2010, que MANOLO décide de donner un autre tournant à sa carrière et monte son propre groupe «MANOLO et ses Gitans». Son réper-toire musical est inspiré des plus grands succès de la musique Gipsy et, bien sur, des Gipsy Kings (Bamboleo, Djobi Djoba, volare…). Une fête authentique dans la plus pure tradition Gitane. MANOLO vous invite à venir danser et chanter vendredi 20 septembre pour l’ouverture de la foire de Castres. ■

U n rendez-vous festif et convi-vial mais surtout économique qui mobilise tous les acteurs

importants de la région. Pour preuve la présence les maisons Malié de Graulhet mais aussi et surtout le CCL qui a fait un retour en force l’an dernier. Cette grosse entreprise de la région, est l’une des plus anciennes de Castres. Un ren-dez-vous qui avait réuni 50 000 visiteurs l’an dernier, ce qui dans ce contexte de tension et de morosité représente pour les exposants une bonne vitrine com-merciale. C’est donc un bon moyen pour

elles d’aller de l’avant et se montrer. Mais la force de cette foire est aussi liée à sa diversification en proposant aujourd’hui un panel d’activités qu’il faut connaître. Alors contrairement à ce que dit le dic-ton : pour vivre heureux ne vivons sur-tout pas cacher. Et quoi de mieux que la foire pour s’afficher.

C’est aussi la fêteUne nouvelle édition sous le signe de la joie avec toujours au micro la voix de l’incontournable Jean Quessada qui as-surera l’ambiance dans les allées du parc

des expositions. Jean Quessada, n’est pas seulement une voix, c’est aussi un ani-mateur qui va au contact des exposants et des visiteurs.

La grande Roue : Venez profiter de la grande roue Magic Wheel à Castres, pendant toute la durée de la foire.

Dégustez quelques churros et grimpez les 30 mètres de hauteur pour admirer la superbe vue de Castres qui vous est offerte de jour, comme de nuit. Jusqu’au Dimanche 29 Septembre !!!

Sensation forte avec les Plongeurs de

Foire économique

60 ans déjàFréquentée par autant de visiteurs que la ville compte d’habitants, la foire économique de Castres est la première en Midi-Pyrénées après celle de Toulouse. Cette année encore les organisateurs se sont mis en quatre pour que le rendez-vous soit à la hauteur de sa réputation. La Foire Economique de Castres vous accueillera du 20 au 29 septembre au Parc des Expositions. Pour ce 60ème anniversaire, outre les nombreux exposants : (184), des animations inédites sont au programme : la grande roue, le village Playmobil, l’animation des plongeurs de l’extrême...

par Marie-Jo Alibert

MANOLO et ses Gitans « The Voice of the Gypsies»

TEMPS FORTS

SPLENDID PARADIS

SOIREE ACCORDEON

SOULSHINE VOICES & THE GOSPEL CHOIR

THE LOVE BEATLES

SOIREE SALSA AVEC RICA SALSA

REBECCA SHOW

Pour visiter la foire :Ouverture au public le Vendredi 20 Septembre 2013 à 13 Heures.

Les autres jours, la Foire est ou-verte tous les jours de 10 h à 20 heures sauf le vendredi 28 sep-tembre avec une nocturne jusqu’à 22 heures.

A partir de 20 heures, tous les soirs, vous ne pouvez plus visiter les stands de la Foire, mais vous pouvez venir manger tout en regar-dant nos spectacles dans le Palais des Gastronomes, ou alors au res-taurant situé côté entrée sidobre.

Le prix de l’entrée : Gratuité :L’entrée de la Foire est gratuite le matin de 10 H à 13 H les jours de semaine, ainsi que tous les soirs à partir de 19h.

Vendredi 27 Septembre Nocturne aux affaires de 19 H à 22 H.

Entrées payantes :- Jusqu’à 19 H : 4,50 €

La foire et les enfantsUn espace enfants est proposé avec structures gonflables et jeux en bois avec des créneaux horaires.

Le Bus :Un bus proposera des navettes entre le centre ville et le parc des expositions de Castres pour ache-miner les visiteurs à la Foire les deux week-ends. Ce service est gratuit.

Organisateur : Comité de la Foire 05 63 51 20 01

Septembre 2013 • 29

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28 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Espace forme 81

Votre partenaire sport, beauté et bien-être castrais

Depuis 10 ans, Espace Forme 81 met ses compétences et ses équipements au service de votre bien-être. Beauté, perte de poids ou problèmes de dos; musculation, fitness ou coaching personnalisé, vous trouverez chez Espace Forme la solution adaptée à vos attentes. Accompagné par une équipe de professionnels et un système innovant d’abonnements modulables selon vos envies.

Le club : une équipe de passionnéLe sport est ici pensé au plu-riel. Pour tous les profils, dans toutes les disciplines. Menée par Cédric volleyeur de haut niveau et passionné de sports en tout genre, l’équipe d’Espace Forme 81 composée de professeurs diplômés a su allier des profes-sionnels du sport de tout horizon pour proposer à ses membres une offre complète. Des séances d’abdos killer assurées par Claude Isabelle, au parcours minceur de Nadia (responsable musculation) en passant par les conseils de Jean-Luc responsable coaching et les cours collectifs de Maxime, chacun trouvera une activité qui lui ressemble.

Efficacité et plaisir au service des membres • Beauté-Santé-Bien-être :

Contre le stress du quotidien, les problèmes de dos, les kilos superflus, le manque de tonicité... ou tout simplement pour le plaisir de prendre soin de votre corps, venez essayer des équipements révolution-naires dans le domaine du bien-être, de la beauté et de la santé (lit massant, power plate, UV….)

• Sport et fitness :

Que vous souhaitiez muscler votre silhouette, éva-cuer le stress du quotidien grâce à l’exercice, ou simplement maintenir une activité physique régu-lière, Espace Forme vous propose un large choix de cours collectifs reconnus dans le monde entier ac-compagnés d’un coach professionnels. L’occasion de découvrir entre autres le Body Attack ou bien encore se laisser aller à 30 minutes de CX’30 ou de se défouler sur les enchainements délirant du Body Combat et encore de bouger sur les rythmes du Sh’bam.

• Un large de choix d’activité :

- Des cours cardio pour l’en-trainement et la perte de poids (RPM, brûleur de graisses par excellence…)

- Des cours de renforcement pour muscler et tonifier (Body Pump, renforcement de tous les muscles du corps)

- Des cours plus calme pour étirer, équilibrer la posture (Body

Balance, mélange de Taï Chi, Yoga et Pilates)- Un coin beauté avec lit massant, UV, Power Plate

et rouleaux anti-cellulite.- Un circuit minceur reservé exclusivement aux

femmes pour tonifier et perdre du poids.- Un espace Cardio et Musculation pour travail-

ler individuellement toujours avec les conseils et pro-gramme des coachs.

- Un espace détente pour récuperer, boire le café, discuter ou encore lire les journaux.

- Un sauna dans chaque vestiaire pour éliminer les toxines et récupérer.

Bref tout est réuni pour que vous passiez un excellent moment à Espace Forme.

Résolument l’adresse castraise incontournable pour faire une rentrée sportive et se maintenir en forme tout au long de l’année. ■

Votre expert tarnais en propreté et services Leader sur le marché de la propreté et du service avec plus de 70 000 employés à l’échelle nationale et plus de 10% de part du marché français de la propreté et des services, l’entreprise marseillaise s’est imposée comme une référence française et européenne.

ON E T , c’est plus de 320

agences qui sont réparties dans toute la France avec la volonté de développer une proximité avec sa clientèle, inscrite dans l’ADN même du groupe qui ap-partient toujours à la famille fonda-

trice, les Coquet Reignier. Au niveau tarnais la société regroupe près de 400 collaborateurs et s’inscrit depuis plus de 30 ans comme un leader de la propreté et du multiservices avec deux bureaux dans le Tarn à Albi et à Castres. Chaque jour la société gère pas moins de 150 clients. « Notre cœur de métier c’est la propreté, du tertiaire à l’hospitalier jusqu’à l’ultrapropreté dans les industries et les laboratoires» explique Yann Clauzier, directeur de l’agence tarnaise.

A l’échelle nationale, ONET intervient également dans les domaines de la sécurité, l’intérim à travers la branche AXXIS et possède une branche nucléaire avec le dé-mantèlement de centrales. Sans cesse à l’écoute du marché, comme nous le confirme son directeur, « nous nous adaptons aux nouveaux besoins de nos clients. Le multiservices comprend notamment les espaces verts, la maintenance, la logistique. Nous prenons en charge la gestion des stocks et des clients en mettant à leur disposition des services et des hommes. Notre métier tend de plus en plus en la conciergerie, c’est-à-dire que l’on accompagne totalement nos clients qui peuvent ainsi se concentrer sur leur cœur de métier sans avoir à se soucier de tous les éléments de gestion de leurs entreprises au quotidien ».

Une entreprise engagée« La règle d’or dans le groupe ONET est de privilégier avant tout l’humain tant avec nos employés qu’auprès de nos clients car 80% de notre chiffre d’affaires c’est l’humain. Nous avons mis en place une véritable po-litique de gestion des ressources hu-maines et de promotion interne. On peut débuter agent de service et finir comme responsable de secteur. Il y a une réelle perspective d’évolution ce qui nous permet de fidéliser les sala-riés » nous explique le directeur. La société s’engage aussi dans sa poli-tique de recrutement envers le per-sonnel handicapé au-delà des quo-tas légaux imposés par la législation.

L’investissement du groupe se fait aussi dans le développement du-rable, en utilisant des produits éco-responsables voir biologiques avec zéro pictogramme. Comprenez-ici que ces derniers ne sont pas dange-reux pour la nature ou les utilisateurs et sont biodégra-dables. De plus comme conclut, Yann Clauzier, « nous privilégions les équipements les moins énergivores en matière d’eau ». ■

ContactALBI

13 Rue Henri Moissan81 000 Albi

05 63 48 85 10

CASTRES

43 rue Péraudel 81100 CASTRES

05 63 59 25 43

En ligne : http://fr.groupeonet.com/

Horaires d’ouvertureLundi à Jeudi 8h - 21hVendredi 8h - 20h30Samedi 9h - 12h30

Contact :24 Avenue Hauterive 81100 Castres - Tél. 05 63 51 62 48

Plus d’infos sur : www.espaceforme81.com

Rejoignez Espace Forme 81 sur Facebook

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Le mardi de 10h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h30

Les mercredi, jeudi et vendredi : de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h30

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40 € * offerts pour tout premier contrat souscritdu 1er septembre au 31 décembre 2013

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LE CAPPUCCINO

Pour une pause gourmandeAmbiance design, couleurs tendances et cadre chaleureux. Entièrement rénové au début de l’année le Cappuccino vous accueille dans son nouveau décor, que ce soit pour manger sur le pouce entre midi et deux ou bien pour une sortie entre amis ou en famille les soirs et les week-ends.

25 ans déjà que l’histoire de cette pizzéria-restaurant a commencé. Quasiment en même temps que celle de la galerie marchande du centre commercial Auchan où elle se trouve. C’est en 2009 que les nouveaux propriétaires, Cédric et Delphine Hallinger reprennent les rennes de l’établissement. Tous deux, après avoir fait leurs armes à la tête du Café des Sports de Labruguière depuis 2002 décident de se tourner vers la restauration et reprennent le Cappuccino.

Côté menu il y en a pour tous les goûts et pour tous les prix, car, comme le souligne notre dirigeant« nous souhaitons avant tout proposer du pas cher tout en étant généreux dans les quantités et vigilants dans la qualité de nos produits ». En tout, c’est plus d’une trentaine de pizzas qui vous est proposée sur la carte. Côté produit, on choisit la qualité française avec notamment toutes les viandes qui proviennent directement de la boucherie Bigard Castraise. Les légumes proviennent de chez Roussy, entreprise elle aussi Castraise. « Cet approvisionnement en produits frais directement sur place nous permet une plus grande réactivité mais également de proposer à nos clients des produits, choisis par nos soins et dont nous sommes sûrs », précise le dirigeant. Petit plus qui a fait la renommée du restaurant, « nous proposons des moules/ frites tous les vendredis et les samedis », ajoute Cédric. Pour le plus grand plaisir des amateurs. Et cerise sur le gâteau, les desserts sont directement conçus sur place par les pâtissiers d’Auchan.

Et le succès est au rendez-vous. Preuve en est les clients qui se pressent dès l’ouverture pour boire leur café matinal avant de commencer la jour-née. ■

Contact : Ouvert tous les jours sauf le lundi soir et le dimanche toute la journée. Lundi de 8h à 19h et du mardi au samedi de 8h à 22h30.

Tél. 05 63 74 81 00

Rue Albert CalmettesCentre Commercial Auchan 81100 Castres

Septembre 2013 • 3332 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Patrimoine

Gai

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Bertrand de Viviès, conservateur en chef des musées et du patrimoine de Gaillac, auteur de nombreux ouvrages sur Gaillac et la région ; a rédigé le cha-pitre sur l’origine de Gaillac (de la pré-histoire au Moyen-Age).

Un ouvrage ineditJusqu’à présent, les ouvrages généraux consacrés à Gaillac ne dépassaient pas la période charnière de la Révolution et laissaient dans l’ombre la vie des hameaux.Le Moyen Age, les guerres de religions du XVIe siècle, l’Ancien Régime et la Révolution ont fait l’objet d’études déjà anciennes bien connues des passion-nés d’histoire. Ces périodes n’ont pas été négligées mais la démarche se veut plus complète. Les événements ont été situés dans leur contexte national et les lacunes ont été comblées car depuis le XIXe siècle, le visage urbanistique de la ville a beaucoup changé, en particulier dans la deuxième moitié du XXe siècle. L’augmentation parfois conjoncturelle de la population a entraîné la naissance de nouveaux quartiers et engendré des activités économiques différentes à côté de la viticulture traditionnelle.L’aménagement de la ville par les res-ponsables municipaux a dû s’adapter

à ces données incontournables et tenir compte du progrès. De nouvelles rues, de nouvelles places s’ajoutent aux an-ciennes et tissent un réseau où s’organise la vie quotidienne.

Les infrastructures économiques, hospitalières et sociales, scolaires, sportives adoptent désormais le la-bel Haute Qualité Environnementale pour satisfaire le développe-ment durable.La vieille ville et ses mo-numents, vecteurs tou-ristiques reconnus, béné-ficient de campagnes de restauration et d’OPAH bienvenues qui leur ac-cordent une deuxième jeunesse. Un véritable effort est fait pour que puissent cohabiter dans la ville les différentes géné-rations et que se nouent des liens solidaires. Les nombreuses associations gaillacoises animées par des bénévoles y parti-cipent avec beaucoup de cœur.Ainsi Gaillac, tournée vers

l’avenir, continue à se préparer pour être prête au rendez-vous de 2040 avec ses 17 000 habitants.

Une action en faveur du patrimoineGrâce à la participation bénévole des auteurs, les bénéfices de la vente de l’ouvrage permettront d’enrichir les col-lections des différents musées de la ville et de restaurer le petit patrimoine. Au cours des dernières années, le Amis des musées et du patrimoine de Gaillac ont acquis et fait don à la ville d’œuvres de Pendariès, de Salabert, de Beauclair, de Marie Bermond….L’association a également participé à la restauration de l’enseigne de l’auberge du Cheval Blanc, rue des Frères Delga, et à la rénovation de la tête sculptée du XVI°siècle de la rue des Pénitents Blancs, ainsi qu’à la restauration de la plaque qui évoque les réparations effectuées sur la place du Griffoul au XVI°siècle….

Un succes de librairieSorti le 22 mars 2013, l’ouvrage a connu immédiatement un grand succès. Plus de 900 exemplaires ont été vendus à ce jour et la demande ne faiblit pas. Il ne tardera pas à être épuisé.Il est conseillé de ne pas tarder à se le procurer, dans les meilleurs délais. Il est en vente dans le librairies et maisons de la presse de Gaillac, au prix modique de 26€ (352 pages). ■

Un ouvrage collectifAlain Soriano, président de la Société des Amis des musées et du patri-moine de Gaillac, historien reconnu de Gaillac, a rassemblé autour de lui des membres de l’association qui ont appor-té leur contribution en fonction de leurs compétences.Bernard Charles, enseignant, auteur de La Résistance dans le Gaillacois, a rédi-gé les chapitres sur la guerre de 1870, la guerre de 1914-1918, la guerre de 1939-1945 et la Résistance.Nicole Garde, professeur d’histoire, a rédigé, pour l’histoire de France, les in-troductions du XVIe siècle, de l’Ancien Régime (XVIIe et XVIIIe siècles), de la Révolution, du XIXe siècle et du XXe siècle.André Lengard, enseignant, auteur de romans historiques sur le pays de Vors, a rédigé le chapitre sur l’histoire géné-rale des hameaux.Robert Plageoles, vigneron, auteur de plusieurs ouvrages sur la vigne et le vin, a rédigé le chapitre sur le vignoble.Alain Soriano, professeur de Lettres, au-teur de nombreux ouvrages sur Gaillac et la région, a rédigé, pour l’histoire de Gaillac, les chapitres sur le XVIe siècle, l’Ancien Régime (XVIIe et XVIIIe siècles), la Révolution, le XIXe siècle et le XXe siècle.

Gaillac des origines à nos jours

Un ouvrage de référence sous la direction d’Alain SorianoIl manquait à Gaillac un ouvrage d’histoire complet qui permette de suivre siècle après siècle les événements majeurs qui ont marqué la vie de la cité et qui rende compte des transformations urbanistiques depuis la vieille ville médiévale corsetée de remparts, sous la protection tutélaire de l’abbaye Saint-Michel, jusqu’à la ville moderne en expansion démographique grâce à sa proximité de l’A68, qui s’étale à présent dans les faubourgs et s’adapte à la modernité. Cette lacune est à présent comblée.

par Patrice Gausserand

Les auteurs

Le cinéma

Tête Pénitents

Marie Bermond Entrave de Pendaries

agorapresse.fr

Du 17 août

au 30 septembre

2013 C,estla rentréelittéraire

Cré

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Septembre 2013 • 35

Publi-reportage

34 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Publi-reportage

Au service de l’éco-constructionDotée de nombreuses références, Bâtisseurs Bois de Cocagne c’est toute l’expertise de constructeurs de maisons en bois et charpentes avec des matériaux locaux et écologiques, au service de projets personnalisés.

Les nouvelles règlementa-tions thermiques mais aussi la bio climatique amènent les

clients particuliers et professionnels à repenser les espaces de vie », nous confie Luc Cagnard. « Nous offrons à nos clients la possibilité de

réinventer leurs modes de consom-mation d’énergie pour s’inscrire dans une démarche durable. Notre cœur de métier reste la maison ossa-ture bois mais aussi les extensions et la rénovation avec l’approche globale Eco Artisan. Cependant, nous avons également développé des activités connexes d’isolation thermique extérieure, réalisée en produits naturels. », ajoute Gaetan Gobbels. L’objectif étant d’optimi-ser la consommation pour pallier à la hausse du prix de l’énergie ». Côté services, précise Luc Cagnard,

« nous avons d é v e l o p p é des parte-nariats avec des bureaux d’études afin d’appor-ter une réponse personnalisée aux différents types de projets, tant pro-fessionnelle que particulier ». ■

Gaëtan Gobbels, Chargé de clientèleprojetbbc@gmail.com

Tel: 06.23.89.81.35ou 09.72.42.84 92

Venez rencontrer l’équipe de BBC SCOP à Montauban au Salon Bio-Synergie le dimanche 22 Septembre et au Salon de l’Habitat à Gaillac les 04, 05 et 06 Octobre 2013.

Changement de direction au Crédit Agricole de Gaillac

Le Crédit Agricole de Gaillac et Christophe Caussé le président de la Caisse Locale de Gaillac/Cadalen accueillent pour la rentrée une nouvelle directrice Christine Rey.

En premier lieu, Mr le Président, présentez nous votre Caisse Locale ?Christophe Causse : Je suis le pré-sident de la Caisse Locale Gaillac Cadalen qui représente les 3 can-tons de Gaillac, Castelnau et Cadalen soit plus 35 000 habitants. Notre conseil d’administration est constitué de 18 administrateurs répartis sur tout le territoire. Notre mission est de représenter nos clients sociétaires, notre objectif est d’aider le développement des initia-tives locales .

Francis pouvez vous nous faire un retour sur votre parcours? Je suis rentré en 1976 au Crédit Agricole à Lisle sur Tarn. En 2001 j’ai pris la direction de Gaillac et je

passe aujourd’hui le relai à Christine Rey, avec qui j’avais eu le plai-sir de travailler à l’agence de Lisle sur Tarn, puis de 2004 à 2008 alors qu’elle était ma directrice adjointe à Gaillac.

Christine parlez nous de vous ?Depuis 24 ans je suis au Crédit Agricole, je suis passée par tous les métiers de l’agence avant de devenir directrice adjointe puis de prendre la direction de deux nou-velles agences à Albi et depuis le 06 août Directrice de l’agence de Gaillac. Originaire de Cahuzac sur Vère c’est un vrai plaisir de retrou-ver mes terres.

Présentez votre agence ?Aujourd’hui l’agence gaillacoise re-groupe 23 collaborateurs. C’est la

plus importante des banques de Gaillac avec 50 % des parts de marché sur 2 agences : une en centre ville, une dans le centre commercial de Leclerc et un point de vente à Cahuzac sur Vère.

Quel regard portez-vous sur votre métier et l’évolution de votre enseigne ? Le métier de la banque a beaucoup évolué ces dernières années. Nous sommes désor-mais tournés vers de nouveaux produits, notamment ceux de

l’assurance. Le Crédit Agricole est généraliste sur tous les marchés et s’est spécialisé dans les produits qu’il propose.

Quels sont vos ambitions concernant l’agence de Gaillac ?Mon premier objectif est avant tout de m’inscrire dans la continuité, tout en m‘adaptant aux nouvelles donnes du marché. L’objectif est double à savoir rester le leader sur le marché gaillacois tout en conti-nuant à privilégier la relation client. ■

De gauche à droite : Christophe Caussé, Christine Rey et Francis Ruffel

Contact : 42 Place de la Libération81600 Gaillac

05 63 81 09 86

Septembre 2013 • 37

Publi-reportage

36 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Implanté depuis près de 15 ans à Gaillac, le CCL fait sa rentrée avec un tout nouveau magasin, situé dans ses locaux historiques de la route d’Albi.

C’est dans un nouvel espace repensé, avec par-king, que le CCL vous accueille désormais pour présenter toute sa gamme de produits de bâ-

timent, magasin de plomberie, outillage, électricité et chauffage. Vous y retrouverez la qualité et le conseil constant de vrais professionnels, partenaires de vos travaux depuis 1887.

Nous vous invitons à venir visiter, au premier étage, une nouvelle exposition salle de bains, électricité, éclairage, et carrelages. Au total, c’est sur plus de 400m2 que particuliers et professionnels pourront découvrir l’en-semble des produits du groupe sous la marque phare « Esprit Maison ».

Le CCL déménage à compter du 10 septembre 2013

Esprit maison, c’est un concept à part entière qui se décline sous une thématique couleur. Chacune d’elles évolue dans un environne-ment pour présenter aux profes-sionnels et particuliers leurs futurs aménagements sanitaires et salles de bains. Classé autour de six uni-vers (rétro, high tech, pavillon, per-sonnes à mobilité réduite, bien-être ou encore actuel) que ce soit pour un style rustique, contemporain ou design, Esprit Maison saura ré-pondre à vos envies.

Le CCL présente également dans son showroom une large gamme de produits destinés aux personnes à mobilité réduite.

Côté tendance, l’enseigne à la pan-thère ne se trouve pas en reste. Nouvelles générations de faïences et carrelages, sols en bois de pont de bateau, ou bien encore sèche-serviettes avec miroir…, tout y est pour réaliser les projets qui vous ressemblent.

Derniers arrivés dans le showroom, les panneaux muraux et receveurs en marbre de synthèse sur mesure qui allient résine et minéral : étan-chéîté résolue, et plus aucun tracas pour l’entretien des joints.

La Société a su s’entourer des lea-ders européens de la robinette-rie comme les allemands Grohe et Hansgrohe. Côté céramique, la France est à l’honneur avec Jacob Delafon ou encore Allia. Enfin le mo-bilier proposé est également de ma-nufacture française avec la gamme Ambiance Bain.

Le service et le conseilCôté boutique, c’est le service avant tout. Depuis 126 ans, le CCL assure le suivi de ses produits. Son personnel reçoit régulièrement une formation adaptée pour une grande réactivité dans le service après-vente. De plus, l’ensemble de son réseau d’artisans qui installent ses produits, bénéficie de nombreuses sessions de formations techniques organisées tout au long de l’année.

Côté conseil, de vrais profession-nels sont à vos côtés. Pour la réa-lisation dans le neuf ou la rénova-tion, l’équipe CCL vous aidera à configurer et concevoir vos pro-jets, dans le souci d’optimiser les espaces. L’ensemble des commer-ciaux connaissent la technicité des produits, étudiés en amont avec les partenaires industriels. Les équipes CCL vous invitent à prendre rendez-vous afin d’évaluer, avec vous, les potentialités de tout projet, et pro-poser les meilleures solutions en associant choix et budgets.

Mais bien plus qu’une enseigne aux 200 millions d’euros de chiffres d’affaires, le CCL reste avant tout une entreprise familiale, avec le choix de s’impliquer dans la vie as-sociative et sportive locale. Au-delà des partenariats avec le Castres Olympique, le Sporting Club Albigeois, Graulhetois, la société soutiendra, cette saison encore, l’UAGR. ■

Infos pratiques05 63 81 01 0020, av Général de Gaulle81600 Gaillac

Horaires du magasin7h30 - 12h 13h30 - 18h

ExpositionLa salle d’exposition est ou-verte du lundi au samedi soir de 9h 12h et de 13h30 à 18h.

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38 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Association Sport et Santé Idéal Tonic

Au service de votre forme

Voilà maintenant 5 ans qu’Ideal Tonic s’est imposé comme un partenaire du Sport et de la Forme du Gaillacois.

L’équipe Proximité, convivialité mais aussi pro-fessionnalisme sont les maîtres mots chez Ideal Tonic. Cette association est née grâce à Thierry Delmas, pré-parateur en pharmacie, Marc Olivier Demeure, médecin du sport, Bernard Dourisboure, visiteur médical, Fadi Koumi, kinésithérapeute du sport, Isidore LIRIA, pharmacien et Francis Ruffel, figure bien connu du Gaillacois, directeur du Crédit Agricole.

Cette équipe est complétée par Ludovic Douay et Carole Coomans, professeurs de sport, qui assurent le suivi quotidien et par Amaury, Emilie, Jérôme, Nicolas et Yolène, qui sont aux commandes des cours collectifs.

Un accompagnement complet La première étape est l’entretien avec le kinésithérapeute, qui personnalise le programme en fonction des objec-tifs et capacités physiques de cha-cun. Par la suite, ce sont les profes-seurs de sport, présents tout au long de la journée, qui prennent le relais en assurant le suivi de ce programme. Celui-ci est adapté au fur et à mesure des besoins et du temps.

Les nouveautés de la rentrée Entre grands classiques qui ont fait leurs preuves et nouvelles tendances sports, il y en a pour tous

les goûts. Du sportif amateur au sportif confir-mé, Idéal Tonic propose un large panel de cours collectifs. Des cours dynamiques et rythmés tels que :

• La Zumba : mouvements sur de la musique latino

• L’Aérodance : mouvements sur de la techno house

• Le Body sculpt

• Le Step

• Le Body karaté

• L’Aéroboxe

• Le Circuit training : ateliers tournants faisant travail-ler toutes les parties du corps

• Les Abdos fessiers

aux cours plus doux comme :

• La Gym posturale

• Le Swissball

• Le Pilate

• Le Taï-chi

En plus de ses cours collectifs, l’équipe nous propose d’aller à l’extérieur pour des sorties courses à pied, me-nées par Eric Balat, plusieurs fois champion de France et d’Europe sur courte distance et Philippe Duperrain, médaillé à plusieurs reprises sur des marathons. Tout deux nous donnent les bases de la course à pied, nous permettent de nous lancer des petits défis et de partici-per à des courses de la région (Ekiden d’Albi, Trail des vignes...).

Des professionnels de la santé et du sport, une équipe de passionnés, un cadre chaleureux et convivial, voilà tout l’esprit de l’Association Sport et Santé Idéal Tonic.

L’objectif de cette association est de rendre le sport ac-cessible à tous, de 9 à 99 ans, avec des prix abordables

puisqu’à partir d’1euro/jour.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 21h00 (22h le mardi et jeudi) et le same-

di de 9h à 13h, non stop.

Association Sport et Santé Idéal Tonic, une équipe de professionnels à votre service. ■

Contact et renseignements : 05 63 58 57 64

85, rue des frères Delga 81600 Gaillacwww.ideal-tonic.fr

Journées portes

ouvertesdu 12 au 21 septembre

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L’agenda des sortiesSamedi 14 Dimanche 15 septembreAlbi

JOURNEES EUROPEENNES DU PATRIMOINE

L’année 2013 revêt pour le monde du patrimoine une impor-tance bien particulière : elle sera le cadre de la commémoration du centenaire de la loi du 31 décembre 1913, texte fondateur pour la protection des mo-numents historiques en France, mais aussi une occasion de célé-brer la 30e édition des Journées européennes du patrimoine.

Cette double commémoration invite à prendre la mesure de l’extraordinaire vitalité de l’action patrimoniale depuis cent ans et de l’engagement de l’ensemble des acteurs du patrimoine – privés comme publics, bénévoles comme professionnels.

Les visites des journées du patrimoine sont l’oc-casion de découvrir des sites touristiques incon-tournable ou bien rarement ouverts à la visite. La plupart des découvertes sont gratuites, rensei-gnez-vous sur les horaires directement auprès du lieu, ou bien auprès de l’office de tourisme.

Renseignements : Office de Tourisme d’AlbiPalais de la Berbie Place Sainte-Cécile81000 Albi. 05 63 49 48 80

Samedi 28 et dimanche 29 septembreParc des exposi-tions

11EME SALON DES ANIMALIADES

11éme Salon du CHIOT et du Chaton Animaliades à Albi.

Notre sélection uni-quement d’ELE-VEURS – NAISSEURS - PRODUCTEURS (car la revente et l’impor-tation sont STRICTEMENT INTERDITES) , venus des quatre coins de France, nous distingue et nous

différencie de tous les autres circuits de vente. Vous pourrez admirer tous leurs animaux,, répar-tis sur des dizaines de races : du plus petit au plus gros, du plus beau au plus connu, du plus rare au plus en vogue et tous aussi craquants les uns que les autres !

Horaires : 10h - 19hTarifs d’entrée : Tarif normal à 6.00 €, Tarif réduit à 5.00 € exposition et spectacles inclus, Tarif Enfants de 4 à 12 ans à 4.00 €Gratuit pour les Enfants de moins de 4 ans

Vendredi 4 octobre à 20h30Theatre Des Lices

LA FÊTE À BOBY

J e a n - M a r i e Machado et l’or-chestre Danzas / André Minvielle

Jean-Marie Machado et son orchestre Danzas, accompagnés d’André Minvielle, vous invitent à redécouvrir avec délice l’univers d’un véritable ma-gicien des mots : Boby Lapointe.

Infos, tarifs et réservations sur www.sn-albi.fr

Mardi 8, jeudi 10 et vendredi 11 octobre à 20h30Scène Nationale

LES MAINS DE CAMILLE

Compagnie Les Anges au Plafond

Les Anges au Plafond mettent leur formidable uni-vers poétique et esthétique au service de la vie tra-gique d’une des plus grandes artistes du début du XXe siècle : Camille Claudel.

À découvrir en famille à partir de 12 ans Infos, tarifs et réservations sur www.sn-albi.fr

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Septembre 2013 • 43

Publi-reportage

42 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

L’agenda des sortiesSamedi 14 Dimanche 15 septembreCastres

JOURNEES EUROPEENNES DU PATRIMOINE

L’année 2013 revêt pour le monde du patrimoine une importance bien particulière : elle sera le cadre de la commémoration du centenaire de la loi du 31 décembre 1913, texte fon-dateur pour la protection des monu-ments historiques en France, mais aussi une occasion de célébrer la 30e édition des Journées européennes du patrimoine.

Cette double commémoration invite à prendre la mesure de l’extraordinaire vitalité de l’action patrimoniale depuis cent ans et de l’engagement de l’ensemble des acteurs du patrimoine – privés comme publics, bénévoles comme professionnels.

Les visites des journées du patrimoine sont l’oc-casion de découvrir des sites touristiques incon-tournable ou bien rarement ouverts à la visite. La plupart des découvertes sont gratuites, rensei-gnez-vous sur les horaires directement auprès du lieu, ou bien auprès de l’office de tourisme.

Renseignements : Office de Tourisme de Castres.2 Place de la République, 81100 Castres.Téléphone 05 63 62 63 62

LE BOLEGASON FAIT SA RENTREE Vendredi 20 septembre à 19h

OUVERTURE DE SAISON // DJ LOGILO & THE SUPERSOUL BROTHERS + KALAKUTA SELECTORS FUNK

Gratuit

Vendredi 27 septembre à 19h

CONCERT O BAR // TWIN REPRISES FOLK

Gratuit

Jeudi 3 octobre à 20h30

THE COUP (USA) + ROYAUME DU SUD HIP HOP

8€ > 15€ // gratuit pour les abonnés

Samedi 5 octobre à 20h30

BOLEGERS // TI POLO & SKAMELIA + SHE HUNTS KOALAS + LES COLLÈGUESGratuit

Festival Autan de Blues> Jeu. 10 oct. // 19h // Navès // gratuit // Thomas Schoeffler Jr

> Ven. 11 oct. // 18h30 // Labruguière // gratuit // Sébastopol

> Ven. 11 oct. // 20h30 // Castres // 8€ > 15€ // Manu Lanvin & the Devil Blues + Catfish

> Sam. 12 oct. // 18h // Mazamet // gratuit // Harrison Kennedy

> Sam. 12 oct. // 20h30 // St Amans Soult // 8€ // Nico Wayne Toussaint

> Dim. 13 oct. // 17h // Aiguefonde // gratuit // They Call Me Rico

« La santédans votre assiette »

Participez à nos animations prévention en présence

d’une diététicienneles après-midi des

23, 28 et 30 octobre 2013.

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23, 28 et 30 octobre 2013.

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agenda

Septembre 2013 • 4544 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

L’agenda des sortiesSamedi 14 Dimanche 15 septembreGaillac

JOURNEES EUROPEENNES DU PATRIMOINE

L’année 2013 revêt pour le monde du patrimoine une importance bien particulière : elle sera le cadre de la commémora-tion du centenaire de la loi du 31 décembre 1913, texte fondateur pour la protection des monuments historiques en France, mais aussi une occasion de célébrer la 30e édi-tion des Journées européennes du patrimoine.

Cette double com-mémoration invite à prendre la me-sure de l’extraor-

dinaire vitalité de l’action patrimoniale depuis cent ans et de l’engagement de l’ensemble des acteurs du patrimoine – privés comme publics, bénévoles comme professionnels.

Les visites des journées du patrimoine sont l’occa-sion de découvrir des sites touristiques incontour-nable ou bien rarement ouverts à la visite. La plupart des découvertes sont gratuites, renseignez-vous sur les horaires directement auprès du lieu, ou bien auprès de l’office de tourisme.

Renseignements : Office de Tourisme. Abbaye Saint-Michel. Tel : 05 63 57 14 65

EXPOSITIONDu 6 juillet au 16 septembre 2013Musée des Beaux-Arts

Le Miserere

Georges Rouault

Le musée des beaux-arts de Gaillac présente “Le Miserere” de Georges Rouault (1871-1958). Cette grande exposition, dédiée à un ensemble excep-tionnel de 58 gravures de cet

artiste de renom, s’inscrit dans la logique des col-lections du musée possédant un fond important d’oeuvres graphiques et d’estampes des XIXème et XXème siècles essentiellement issus d’artistes méridionaux.

Exposition organisée par la Fondation des Treilles de Tourtour. Plein tarif : 4€ réduit 2,5€Horaires : Tous les jours sauf le mardi 10h >12h et 14h>18h

Jusqu’au 3 novembre 2013Museum d’histoire naturelle et Museum de l’Abbaye

REGARD PHOTOGRAPHIQUE D’EUGÈNE TRUTAT SUR LE TARN ET SUR LES SCIENCES

Cet été, c’est une exposition au pluriel que proposent le Musée de l’abbaye et le Muséum d’his-toire naturelle, inscrite sur deux lieux différents autour de deux thèmes complémentaires, rela-tifs au même photographe. Ainsi vous découvrirez une sélection de photographies d’Eugène Trutat (1840-1910) portant sur le Tarn au Musée de l’abbaye et sur les sciences au Muséum d’histoire naturelle.

Tarif 2 expos : 4€ / réduit 2,5€. Tous les jours 10h >12h et 14h>18h sauf le mardi pour le Muséum. Les mercredis en juillet et août : à 10h30, visite guidée des 2 expos, départ du Muséum (1 € + tarifde l’expo).

Jeudi 19 septembre 2013 de 12h45 à 14h Musée de l’abbaye

PAUSE CAFÉ, PAUSE MUSÉE : EUGÈNE TRU-TAT EN ALBIGEOIS

Par Bertrand de Viviés, conserva-teur des musées de Gaillac

Visite de l’exposition d’été «Regard photographique d’Eugène Trutat sur les sciences». Passionné par les Pyrénées il fut aussi un habi-tué du Tarn, c’est cette facette de son travail que présente le musée de l’abbaye. Il a en effet parcouru tout ce territoire de l’albigeois du-rant sa carrière, immortalisant les paysages familiers réalisés à l’oc-casion de ses nombreux séjours tarnais.

Tarif : 2,50 €, café offert

Samedi 14 septembre 10h- 18hPlace de la libération

FÊTE DES ASSOCIATIONS

Après le succès rencontré l’année dernière, la Ville de Gaillac a décidé d’organiser annuellement la Fête des Associations qui se déroulera le Samedi

14 septembre, Place de la Libération. Cet événement sera aussi l’occasion de re-mettre les trophées «Faîtes du Sport» aux clubs spor-tifs Gaillacois.

VIDE GRENIERS Dimanche 15 septembre Gaillac Vide-grenier de Lentajou Labruguière Vide-grenier des gaux Lavaur 2ème vide-grenier du Jaquemart organisé par la paroisse Rabastens Brocante des vendanges Saint Sulpice 3e bourses toutes collections Salvagnac Vide-grenier

Dimanche 22 Septembre 2013 Cahuzac-sur-Vère Vide-grenier au camping Le Soleil Des Bastides Carlus Vide-grenier Graulhet Vide-grenier brocante

Graulhet Brocante puce vide grenier Lavaur Vide-grenier et foire à tout Puygouzon Vide Dressing Rabastens Vide-grenier

Dimanche 29 Septembre 2013 Gaillac Vide-dressing

Gaillac Vide-grenier de l’APE Louise Michel Gaillac Vide- grenier - square Joffre - GaillacLisle-sur-Tarn (3ème vide-grenier de Saurs

Rabastens Vide-grenier au lieu-dit Vertus à 5 km de Rabastens Saint-Juéry Vide-grenier

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Cher(e) Président(e),

Après le succès rencontré l’année dernière, la Ville de Gaillac a décidé d’organiser annuellement la Fête des Associations qui se déroulera le Samedi 14 septembre, Place de la Libération. Cet événement sera aussi l’occasion de remettre les trophés «Faîtes du Sport» au clubs sportifs Gaillacois.

Cette manifestation, avant tout festive et conviviale a pour objectif de présenter la diversité, la richesse et la dynamique des nombreuses associations gaillacoises; de vous offrir, à vous associations, un espace de communication et d’expression pour venir à la rencontre des Gaillacois.

La place de la Libération est le lieu idéal pour situer l’animation au coeur de la Ville et profiter au maximum du passage naturel du public, le samedi, en centre ville.

La place offre également un espace privilégié pour organiser de nombreuses animations, nous y instal-lerons 3 espaces ouverts aux animations ou démonstrations que vous souhaiteriez proposer au public.

Un espace scénique sera ainsi positionné à l’amphithéatre pour les associations culturelles (spectacles, musique, danse, chant), deux autres espaces d’animation seront positionnés pour des animations sportives et de loisir (judo, escrime, atelier, autre...).

Nous souhaitons mettre l’accent sur le caractère animé de cette fête et nous sommes à l’écoute de vos idées et suggestions pour rendre cet événement le plus attractif pour les gaillacois (projet de course, relai, course de vélo, démonstrations, ateliers de loisirs créatifs, défilé, autres...). Pour cela, notre service communication, qui coordonne l’événement est à votre écoute.

Pour assurer la présentation de votre activité, des chapiteaux seront installés au centre de la place. Vous disposerez ainsi d’un espace (avec tables et chaises) pour accueillir et renseigner le public.

Enfin, cette fête est aussi un moment de rencontre et de partage pour le tissu associatif gaillacois, nous clôturerons donc cette journée par un moment convivial ouvert aux associations.

Ce document est un dossier de participation pour votre association qui contient tous les renseignemens nécessaires à la mise en place de cette fête des Associations (équipement, animations, autres...). Nous vous remercions de nous retourner ce document aussi tôt que possible, et avant le 30 juin, afin d’organiser au mieux votre présence sur cette manifestation.

Nous espérons vous compter nombreux pour cette nouvelle Fête des Associations,

Très cordialement,

Michèle Rieux, Maire de GaillacAlain Dutot, Adjoint chargé de la Culture et des Associations

Fête des AssociationsPlace de la LibérationSamedi 14 Septembre 10h>18h

Fête des AssociationsPlace de la Libération

Samedi 14 Septembre 10h>18h

Contact / Mairie de GaillacService Communication

05 63 81 20 54 communication@ville-gaillac.fr

Nouveau

Le Bistrot d’Emma, dans l’esprit des brasseriesCe nouveau restaurant, qui vient d’ouvrir à Brens, en bordure de l’A 68, cultive l’esprit des brasseries parisiennes... sans s’aligner sur les prix de la capitale. La clientèle, très diverse, y trouve son compte de plaisir sans se ruiner. Une adresse à découvrir et à inscrire sur son répertoire.

Emma Catalo était un cordon bleu qui régalait toute sa famille de ses plats gourmands. Ses pe-tits-enfants, Nicolas et Sylvie Ravasio, s’en sont

souvenus quand il a fallu trouver une enseigne à leur restaurant en bordure d’autoroute, à Brens, sur la zone d’activités des Xansos. Nicolas doit sans doute à Emma sa vocation de cuisinier, qu’il a fait fructifier dans divers établissements de renom, avant de rouler pour lui. Sa soeur et associée est responsable de la gestion- comp-tabilité: c’est à elle que reviennent les choix architec-turaux et la décoration, qui retrouve l’esprit des bras-series parisiennes qu’elle adore, jusqu’aux sanitaires carrelés façon «métro».

CONFORT, CALME ET CONFIDENTIALITÉBanquettes de moleskine, rampes dorées, ardoises et cet art de jouer sur les volumes, d’aérer l’espace tout en ménageant des lieux de confidentialité, des clos priva-tifs. Comme cette salle de séminaires qui peut accueillir jusqu’à 100 personnes et dispose de sa propre terrasse. «Elle peut être ouverte même les jours de fermeture du restaurant, les lundis et mardis. Elle est équipée d’un paper board et d’un vidéo-projecteur. Ses murs blancs renvoient l’image et le groupe peut y apposer sa propre déco, pour les mariages ou les fêtes de famille». Le petit salon (18 places) et son ambiance feutrée conviennent idéalement aux dîners d’affaires ou repas entre amis.

LES PLATS «CANAILLE»Du côté de la carte, Nicolas et son équipe de cuisine misent sur les produits de saison et les fournisseurs locaux. La parillade de poissons, livrée tous les jours, associe cabillaud, gambas, seiches et la criée du jour. Autre fleuron, la tête de veau, dans les règles de l’art, avec sa ravigotte maison et ses pommes de terre agata. La côte de boeuf, l’entrecôte, le millefeuille de canard farci à la tapenade ont les faveurs des clients. Du côté des desserts, Ludo, un ancien artisan pâtissier, pro-pose ses tartes Bourdaloue ou aux fruits de saison, sa mousse de chocolat blanc et fruits rouges, ou son moel-leux au chocolat et coeur de caramel au beurre salé. Le menu «coup de coeur» à 18€ (entrée-plat-dessert) fait un tabac midi et soir, et change toutes les semaines.

Déjà, Nicolas conçoit sa carte d’hi-ver, avec ces petits plats canailles des auberges de grand chemin: les tripes, la souris d’agneau à l’ail rose de Lautrec, la poule farcie... La surprise sera bonne et même excellente.

UN RESTAURANT «TOUS PUBLICS»La clientèle sait goûter la fraîcheur du soir sur la grande terrasse. «On a des touristes de passage, mais beaucoup de gaillacois, lislois, et bien sûr brensols nous font déjà confiance et reviennent. On trouve toutes les professions: des cadres d’entreprises, mais aussi une clien-tèle ouvrière à laquelle nous tenons beaucoup. C’est la raison pour la-quelle nous proposons un menu complet à 12,5€, sauf le week end, un plat du jour à 7,5€ ou une formule à deux plats à 9,5€». Les enfants ont droit au même traitement de faveur avec un menu à 7€ qui comprend un vrai steak haché sur place ou un saumon frais. Le Bistrot d’Emma bénéficie de la mitoyenneté de l’hôtel, avec une for-mule demie pension. Régine, à l’accueil, met d’emblée les clients à l’aise. Chaque convive est servi avec les mêmes égards. «Les gens sont surpris du confort, du calme. Les caissons isophoniques étouffent les bruits. On se pause, et on profite du lieu et de l’assiette». Très attendu par Brens qui espère décrocher sous peu le la-bel de «village étape», le Bistrot d’Emma fait déjà partie des adresses d’excellence à cocher sur son répertoire. Il a démarré sur les chapeaux de roue, mais Nicolas et Sylvie Ravasio ne font pas une course de vitesse. « Nous voulons nous ins-crire dans la du-rée, satisfaire et fidéliser ». ■

Le Bistrot d’EmmaZI de Xansos - rte Graulhet 81600 Brens05 63 42 75 40Ouvert du mercredi midi au dimanche midi.

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