exocorriges.comexocorriges.com/doc/32485.doc · Web viewSur le site web, vous verrez de très nombreuses variantes. On ajoute ensuite un ballon de basketball. Un joueur est en position

S’entraîner à s’entraînerBoîte à outils de l'entraîneur

Version 2.1 - © 2013 Association canadienne des entraîneurs et Canada BasketballContexte « Entraîner à s’entraîner » - Boîte à outils de l’entraîneur(e)

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www.basketball.ca


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Points clés

QUI + QUOI = COMMENT + QUOIAu basketball, chaque stade de développement présente ses caractéristiques spécifiques. Il est absolument essentiel de prendre en considération QUI jouent et POURQUOI ils jouent avant de décider Quoi faire et Comment le faire. On ne joue pas au basketball de la même façon à 5 ans, à 12 ans, au secondaire et à l'âge adulte. En tant qu'entraîneur, nous devons donc adapter notre programme d'entraînement et de compétition au stade de développement des joueurs.

APPROCHE CONCEPTUELLELes habiletés et concepts décrits dans la boîte à outils s'articulent autour d'une approche conceptuelle de l'enseignement. On veut enseigner aux joueurs comment jouer et non pas comment exécuter des jeux. En construisant une base solide, en ce qui a trait aux habiletés et aux concepts, un joueur sera en mesure de jouer dans n'importe quel système lorsqu'il sera approprié de le faire.

JOUEURS COMPLETSLes joueurs de basketball élite, à tous les niveaux, ont une panoplie d'habiletés qui leur permettent de jouer à différentes positions sur le terrain. Cela démontre bien l'importance de veiller à développer des « joueurs de basketball complets » dès les stades Apprendre à s'entraîner et S'entraîner à s'entraîner. Il faut également comprendre qu'il est important de travailler auprès de TOUS les joueurs dans toutes les activités, afin qu'ils développent des habiletés utiles à toutes les positions et dans tous les aspects du jeu.

DÉVELOPPEMENT INTÉGRAL DE LA PERSONNEEn tant qu'entraîneurs, notre responsabilité va bien au-delà du basketball. Nous avons la responsabilité d'assurer le développement global de l'enfant, c'est-à-dire aussi bien les habiletés de basketball que les habiletés physiques, mentales, sociales et émotionnelles. Cela ne se fait pas sans planification.


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Squat, pivot, fente (lunge), course, glissement

Agilité, équilibre, coordination et vitesseFUNdamentaux

Techniques

Stratégies

Tactiques

Général – lire l'offensive et la défensive Individuel - Qui suis-je? Qui me surveille? Qui est mon coéquipier? Qui surveille mon coéquipier?

Mi-chrono - Offensive/ défensive mi-terrain

Situations particulières Pression/briser la pressionDébut du chrono - Transition

offensive/défensive

Planifier en fonction du prochain adversaire Relations entre les forces et les faiblesses de mon équipe

et celles de l'équipe adverse.Utiliser chaque joueur de façon optimale.

Où en suis-je rendu dans ma saison?

Ajustements durant les matchs Jumelage avec un adversaire - Qui suis-je? Qui me

surveille? Qui est mon coéquipier? Qui surveille mon coéquipier?

Ajustements après le jumelage et les fautes personnelles

Stade S'entraîner à s'entraîner - Filles de 11-15 ans, Garçons de 12-16 ans

Attaque/défense Panier

Dynamique 1 contre 1Espace Pénétration

Passer et couper

RebondPrésenter les

manœuvres effectuées au centre (Poste) et le

scellement

Position Lancer / lancer

en foulée

Présenter la notion d'écranIntroduire la notion d'écran sur le porteur de ballon vers la fin du

stade

Passer/RecevoirDribbler/ manipuler le

ballon

Jeu de pieds

Démarrer / couper/

arrêter/ pivoter

Aperçu du programme DLTA de Canada Basketball Stades du DLTA Apprendre à s’entraîner S’entraîner à s’entraîner S’entraîner à la compétitionÂge 10-11 ans Filles 11-15 ans Filles 15-19 ans Garçons 12-16 ans Garçons 16-20 ansObjectif Apprendre les habiletés de base du

basketball tout en continuant de mettre l’accent sur les habiletés motrices fondamentales dans un environnement amusant et accueillant.

Introduire les techniques et les stratégies de base du basketball « global » à partir d'une approche plus structurée de l'entraînement.

Initier les athlètes à tous les aspects du jeu et commencer à raffiner tous les aspects techniques et la plupart des composantes stratégiques.

Habiletés motrices fondamentales (HMF) La plus importante habileté motrice fondamentale est la capacité de faire un squat, c'est-à-dire une flexion sur jambes. Une posture stable et en équilibre, qui peut être maintenue pendant de longues périodes et à partir de laquelle le joueur peut se déplacer dans de multiples directions, est le fondement même de tous les mouvements effectués sur un terrain de basketball. Tous les joueurs doivent maîtriser l'ABC athlétique – agilité, équilibre, coordination et vitesse (en anglais on parle de ABC's A=Agility, B=Balance C=Coordination et S=Speed). Cet ABC athlétique doit être enseigné. La principale limite dans le développement des habiletés est souvent liée à la difficulté d'exécuter une habileté motrice fondamentale. Il faut chercher à développer d'abord l'athlète et ensuite le joueur de basketball.

HMF Puisqu’il s’agit encore d’une initiation au sport pour un grand nombre d'enfants, il est essentiel que l’entraîneur s’assure que chaque participant maîtrise les habiletés motrices de base. 20% du temps est consacré aux habiletés motrices. Une fois que les habiletés sont acquises, les entraîneurs peuvent utiliser davantage de méthodes propres au basketball pour consolider et raffiner les HMF. L'entraîneur peut se servir de jeux amusants dans lesquels les habilités sont « cachées » dans les règles du jeu. Par exemple, le saut à cloche-pied amène le joueur à faire des squats sur une jambe, à sauter et à atterrir.

25% du temps d’instructions doit être utilisé pour faire l’échauffement avec des mouvements de base et des habiletés de basketball. L'approche par le jeu peut être encore utilisée, mais il est tout de même essentiel de détecter et de corriger les erreurs à ce stade car les joueurs sont en pleine poussée de croissance.

Il faut également porter une attention particulière à la flexibilité. En règle générale, les garçons manquent de flexibilité et les filles démontrent une élasticité excessive de certaines articulations.

20 % du temps d’instructions y est consacré. L’accent est mis sur le raffinement des habiletés et sur l’échauffement. On peut commencer à adapter la pratique des HMF selon les joueurs.

Flexion sur L'accent doit être mis sur la bonne exécution Comme les athlètes sont en pleine poussée de Les athlètes doivent conserver une bonne Version 2.1 - © 2013 Association canadienne des entraîneurs et Canada Basketball

Contexte « Entraîner à s’entraîner » - Boîte à outils de l’entraîneur(e)

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jambes (Squat) du squat. Utilisation des hanches pour initier le mouvement. Le joueur commence à travailler son endurance et sa stabilisation. Les coudes demeurent au-dessus des genoux pour un meilleur équilibre.

croissance durant ce stade, il est essentiel de bien exécuter ce mouvement. La flexibilité posera un problème, particulièrement pour les garçons. Il est possible, à ce stade, de développer la force et l'endurance en utilisant le poids du corps, un élastique de résistance ou un ballon médecine. Les athlètes bénéficieront d'activités de stabilisation et de mouvements simples à l'amorce et à la fin d'un squat. L'équilibre demeure tout de même une priorité.

technique et un bon équilibre, mais commencent graduellement à augmenter leur puissance. Des séquences de mouvements plus complexes peuvent aussi être intégrées à l'amorce et à la fin des squats. Remarque : Il est essentiel de constamment vérifier la qualité d'exécution. Si un athlète ne maîtrise pas bien l'exécution, l'augmentation de la difficulté d'un exercice peut entraîner des blessures ou une diminution de la performance. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Pivot L'accent est mis sur la bonne exécution du pivot où les hanches initient le mouvement. Les joueurs commencent à travailler leur endurance et leur stabilisation. Les coudes demeurent au-dessus des genoux pour un meilleur équilibre.

Comme les athlètes sont en pleine poussée de croissance durant ce stade, il est essentiel de bien exécuter ce mouvement. La flexibilité posera un problème, particulièrement pour les garçons. Il est possible, à ce stade, de développer la force et l'endurance en utilisant le poids du corps, un élastique de résistance ou un ballon médecine. Les athlètes bénéficieront d'activités de stabilisation et de mouvements simples à l'amorce et à la fin d'un pivot. L'équilibre demeure tout de même une priorité.

Les athlètes doivent conserver une bonne technique et un bon équilibre, mais commencent graduellement à augmenter leur puissance. Il est possible d'intégrer des séquences de mouvements plus complexes à l'amorce et à la fin des pivots. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Fente (Lunge) L'accent doit être mis sur la bonne exécution du lunge. Il est préférable de commencer avec le lunge arrière. Le joueur commence à travailler son endurance et sa stabilisation. Les lunges jouent un rôle important pour l'équilibre.

Comme les athlètes sont en pleine poussée de croissance durant ce stade, il est essentiel de bien exécuter ce mouvement. La flexibilité posera un problème, particulièrement pour les garçons. Il est possible, à ce stade, de développer la force et l'endurance en utilisant le poids du corps, un élastique de résistance ou un ballon médecine. Les athlètes bénéficieront d'activités de stabilisation et de mouvements simples à l'amorce et à la fin d'un lunge. L'équilibre demeure tout de même une priorité.

Les athlètes doivent conserver une bonne technique et un bon équilibre, mais commencent graduellement à augmenter leur puissance. Des séquences de mouvements plus complexes peuvent être intégrées à l'amorce et à la fin des lunges. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Saut/Atterrissage L'accent doit être mis sur la bonne exécution du saut et de l'atterrissage. Commencez

Comme les athlètes sont en pleine poussée de croissance durant ce stade, il est essentiel de bien

Les athlètes doivent conserver une bonne technique et un bon équilibre, mais commencent


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avec un départ sur deux pieds et un atterrissage sur deux pieds, puis passez progressivement à un départ sur un pied et un atterrissage sur un pied. Il est important de sauter et d'atterrir dans différentes directions. Les joueurs doivent rester en équilibre lorsqu'ils atterrissent. S'abaisser pour ne pas se blesser (plier les genoux pour absorber le choc).

exécuter ce mouvement. La flexibilité posera un problème, particulièrement pour les garçons. Il est possible, à ce stade, de développer la force et l'endurance en utilisant le poids du corps, un élastique de résistance ou un ballon médecine. Les athlètes bénéficieront d'activités de stabilisation et de mouvements simples à l'amorce et à la fin des sauts et des atterrissages. L'équilibre demeure tout de même une priorité.

graduellement à augmenter leur puissance. L'entraînement plyométrique peut être envisagé si l'athlète est capable d'exécuter correctement les mouvements et démontre assez de force au niveau du tronc. Des séquences de mouvements plus complexes peuvent être effectués à l'amorce et à la fin des sauts et des atterrissages. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Course L'accent doit être mis sur la bonne exécution de la course. Courir vers l'avant, vers l'arrière, vers l'avant en regardant par-dessus l'épaule intérieure. L'utilisation des bras est très importante.

Comme les athlètes sont en pleine poussée de croissance durant ce stade, il est essentiel de bien exécuter ce mouvement. La flexibilité posera un problème, particulièrement pour les garçons. Il est possible, à ce stade, de développer la force et l'endurance en utilisant le poids du corps, un élastique de résistance ou un ballon médecine. Les athlètes bénéficieront d'activités de stabilisation et de mouvements simples à l'amorce et à la fin d'une course.

Les athlètes doivent conserver une bonne technique et un bon équilibre, mais commencent graduellement à augmenter leur puissance. La séquence du mouvement avant et après la course peut devenir plus complexe. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Glissement L'accent doit être mis sur la bonne exécution du glissement. Il est important de bien rester dans la position du squat.

Comme les athlètes sont en pleine poussée de croissance durant ce stade, il est essentiel de bien exécuter ce mouvement. La flexibilité posera un problème, particulièrement pour les garçons. Il est possible, à ce stade, de développer la force et l'endurance en utilisant le poids du corps, un élastique de résistance ou un ballon médecine. Les athlètes bénéficieront d'activités de stabilisation et de mouvements simples à l'amorce et à la fin des exercices de glissement.

Les athlètes doivent conserver une bonne technique et un bon équilibre, mais commencent graduellement à augmenter leur puissance. Des séquences de mouvements plus complexes peuvent aussi être intégrées à l'amorce et à la fin des exercices de glissement. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Agilité N'hésitez pas à faire appel à des jeux amusants qui mettent l'accent sur l'agilité.

N'oubliez pas de tenir compte de la croissance des joueurs. Les joueurs qui sont en pleine poussée de croissance sembleront maladroits et sans coordination. L'entraîneur ne doit pas oublier l'impact émotionnel et social que cela peut représenter pour ces joueurs. Soyez vigilant lorsque

Les athlètes doivent conserver une bonne technique et un bon équilibre, mais commencent graduellement à augmenter leur puissance. La séquence du mouvement peut devenir plus complexe. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins


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vous faites appel à des activités jugées par les pairs.

Il est permis d'introduire des cônes, des haies et des échelles pourvu qu'ils ne modifient pas l'exécution de la course des athlètes. Une bonne course est essentielle; les joueurs ne doivent pas courir sur la pointe des pieds en ayant les yeux au sol pour franchir les haies.

individuels.

Équilibre N'hésitez pas à faire appel à des jeux amusants qui mettent l'accent sur l'équilibre. Commencez par l'équilibre statique et progressez vers l'équilibre dynamique.

N'oubliez pas de tenir compte de la croissance des joueurs. Les joueurs qui sont en pleine poussée de croissance sembleront maladroits et sans coordination. Il est préférable de faire les activités d'équilibre sans utiliser un mur. C'est grâce aux déséquilibres qu'un joueur apprend à trouver son équilibre. L'équilibre statique et l'équilibre dynamique sont aussi essentiels l'un que l'autre. Vous pouvez introduire l'équilibre transitoire (arrêt d'un patron moteur).

Les joueurs doivent conserver une bonne exécution lorsqu'ils travaillent leur équilibre. La séquence du mouvement peut devenir plus complexe. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Coordination N'hésitez pas à faire appel à des jeux amusants qui mettent l'accent sur la coordination.

N'oubliez pas de tenir compte de la croissance des joueurs. Les joueurs qui sont en pleine poussée de croissance sembleront maladroits et sans coordination. Les activités qui demandent aux joueurs d'utiliser les deux côtés de leur corps et de faire des mouvements vers l'extérieur de leur corps sont très importantes.

La séquence du mouvement peut devenir plus complexe. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Vitesse N'hésitez pas à faire appel à des jeux amusants qui mettent l'accent sur la vitesse. Des exercices de vitesse doivent être insérés dans chacun des entraînements.

La vitesse doit être travaillée chaque jour. Il est important de demander de courtes explosions d'effort maximal.

La vitesse doit être travaillée chaque jour. La séquence du mouvement peut devenir plus complexe. Les joueurs ont besoin d'un entraînement qui répond à leurs besoins individuels.

Habiletés fondamentales de basketball (HFB) Les HFB sont les pierres angulaires du jeu. Elles comprennent : une position en équilibre, la capacité de de faire un bon départ, d'arrêter et de faire des pivots (jeu de pieds), l'exécution des tirs (y compris les tirs en foulée), l'exécution des passes et l'aptitude à jouer un contre un.


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HFB Introduction des habiletés de base. Initiation et acquisition des habiletés fondamentales de basketball : départ, arrêt, pivot, exécution des tirs (tirs en foulée), exécution des passes, exécution du dribble et jeu 1 contre 1 dynamique

Approche globale de développement bilatéral; tout le monde apprend les habiletés et les positions. 20% du temps d’enseignement est consacré aux habiletés fondamentales de basketball.

Les joueurs doivent maintenant être en mesure de consolider et de raffiner leurs habiletés de base (départ, arrêt, pivot, exécution des tirs (tirs en foulée), exécution des passes, exécution du dribble et jeu 1 contre 1 dynamique). On leur présentera également des variations plus complexes des habiletés. Prenez note qu’il est possible que certains joueurs en soient encore à leur début dans ce sport. En outre, les joueurs peuvent en être à des stades différents dans leur développement personnel des habiletés fondamentales du basketball.

Approche globale de développement bilatéral; tout le monde apprend les habiletés et les positions

Les joueurs doivent être capables d’effectuer les habiletés de base dans un environnement de compétition. Il faut commencer à développer un ensemble d’habiletés individualisées. Certains joueurs pourront se montrer plus créatifs avec certaines habiletés.

Les joueurs commencent à voir le jeu de position, mais le développement global de leurs habilités ne se limite pas à une seule position. La position à laquelle ils devraient jouer ne constitue pas une raison de restreindre l'utilisation des habilités de base du jeu. Par exemple, on ne doit pas dire à un joueur qui joue à la position du « post » qu'il ne doit jamais dribbler le ballon.

Départ/Arrêt/Pivot Tout commence par l'équilibre. Les joueurs apprennent à faire un bon départ en position d'équilibre. Ensuite, ils se déplacent, arrêtent et pivotent, toujours en étant en équilibre. Commencez les exercices sans le ballon puis introduisez-le progressivement. Demandez aux joueurs de faire leur départ et d'arrêter avec les deux pieds.

Puisque les joueurs sont en pleine période de puberté, l'équilibre est un point majeur de ce stade de développement. L'entraîneur doit constamment veiller à ce que l'exécution des joueurs soit correcte. Les joueurs doivent être en mesure de faire un départ et un arrêt sans marcher; depuis une position stationnaire, puis en se déplaçant et en attrapant le ballon. Utilisez les deux pieds.

Dès que le joueur a terminé sa période de puberté, il peut commencer à pratiquer des départs et des arrêts spécialisés, qui sont propres à sa position. Il faut toujours veiller à ce que l'exécution du joueur soit correcte.

Exécution des tirs (tirs en foulée)

Les joueurs travaillent la forme du lancer. Le tir en position stationnaire est enseigné avec les phases 1, 2 et 3. Les joueurs doivent pratiquer les tirs en foulée du côté droit et du côté gauche. Une plus grande importance doit être accordée à l'exécution qu'à la distance du tir.

À la fin de ce stade, les joueurs auront appris la bonne façon d'attraper une passe et de faire un tir (standard ou en foulée) à partir

À ce stade, les joueurs ont moins de temps pour exécuter l'habileté. L'accent est mis sur la qualité d'exécution pour conserver l'avantage d'une seconde. Les joueurs consolident et raffinent leur habileté à lancer le ballon en présence d'une défensive.

En outre, ils travaillent et perfectionnent le tir en foulée extérieur-intérieur en puissance près du panier, là où les contacts peuvent survenir.

Dès que le joueur a terminé sa période de puberté, il peut commencer à pratiquer des tirs plus spécialisés, qui sont basés sur :

la position qu'il occupera sur le terrain ses caractéristiques individuelles

Une bonne exécution doit être maintenue. Le jeu de position ne doit pas être une raison d'empêcher les joueurs de lancer au panier.


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d'une passe ou du dribble. Exécution du dribble

Les joueurs apprennent à dribbler le ballon des deux mains, en gardant les yeux bien hauts. Ils doivent pouvoir effectuer des changements de vitesse et de direction. La vitesse à laquelle ils dribblent ne doit pas être plus rapide que leur vision ou leur équilibre.

À cette étape-ci, on augmente la pression de la défensive. Voilà pourquoi les joueurs doivent apprendre à dribbler avec les deux mains, en gardant la tête haute, alors qu'ils sont étroitement surveillés. Les joueurs doivent consolider et raffiner les points suivants :

quand accélérer et quand ralentir quand changer de direction quand arrêter et commencer à dribbler quand faire une feinte

À cette étape-ci, le dribble spécialisé selon la position devient une priorité. Le jeu de position n'empêche pas un joueur de dribbler. Peu importe leur position, tous les joueurs doivent pouvoir dribbler le ballon.

Exécution de la passe

Les joueurs apprennent à passer le ballon à un coéquipier. Tant le receveur que le passeur doit apprendre à :

Montrer ses mains pour présenter une cible de réception

Écourter la passe Passer à droite et à gauche Utiliser le bon pied de pivot Utiliser la « manœuvre universelle »

de fouetté du poignet Passer à partir d'une position

stationnaire Passer à partir du dribble

Au fur et à mesure que la pression de la défensive augmente, les joueurs doivent apprendre à consolider et à raffiner leur habileté à :

Faire une passe en dépit de la pression Faire une passe au bon moment et

directement sur la cible Quand faire une passe à celui qui vient de

couper Quand faire une passe à un joueur

étroitement surveillé Se déplacer ou sceller pour créer des

couloirs de passe

À cette étape-ci, la passe spécialisée selon la position devient une priorité. Le jeu de position n'empêche pas un joueur de passer. Peu importe leur position, tous les joueurs doivent pouvoir passer le ballon.

Dynamique 1 contre 1

Les joueurs apprennent à jouer le 1 contre 1. Il est recommandé que les joueurs apprennent à jouer à partir d'un départ dynamique et non seulement à partir d'une position stationnaire. La situation devrait toujours permettre au joueur offensif d'effectuer une passe de dégagement. Les joueurs apprennent ainsi à ne pas faire des lancers contestés.

À ce stade-ci, les joueurs apprennent à anticiper la défensive et à utiliser le déplacement en croisé, la boucle ou le tir. Cela constitue l'essence du jeu de basketball en équipe. Les joueurs apprennent à jouer le 1 contre 1 tout en gardant en contexte qu'il y a cinq joueurs dans l'équipe.

À cette étape-ci, le jeu 1 contre 1 spécialisé selon la position devient une priorité. Le jeu de position n'empêche pas un joueur de joueur le 1 contre 1. Peu importe leur position, tous les joueurs doivent pouvoir jouer le 1 contre 1.

Principes techniques du jeu Concepts qui sont appliqués dans les jeux de base (1 contre 1, 2 contre 2, 3 contre 3). Les joueurs doivent apprendre ces concepts tant du point de vue de l'offensive que de


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la défensive. Les concepts suivants sont présentés aux joueurs : Avantage d'une seconde.

À l'offensive, nous voulons créer un avantage où le joueur offensif peut lancer en ayant un très haut taux de réussite. La défensive doit empêcher cet avantage et doit faire en sorte que l'offensive perde le ballon ou fasse un lancer ayant peu de chance de réussir.

Flot Le défenseur ne veut pas immobiliser le ballon. Chacune des actions doit être liée à la précédente. Les équipes conservent le flot de leur jeu offensif du début du chrono à la fin du chrono. Elles ne prennent pas de temps pour établir individuellement chacune des sections. Ce flot continu signifie que l'équipe ne perd pas de temps au chrono des 24 secondes. La défensive tente d'interrompre le flot de l'offensive. Si vous arrivez à interrompre plusieurs fois ce flot, l'offensive se verra dans l'obligation d'effectuer des lancers de piètre qualité. Bien que le chrono de tir au panier ne soit pas utilisé chez les jeunes joueurs, il est important qu'ils apprennent le concept de flot afin qu'il soit assimilé automatiquement au fur et à mesure que les joueurs se développent.

Jeu conceptuel On enseigne d'abord aux joueurs de jouer au basketball en utilisant des concepts techniques plutôt que des stratégies. Ces concepts permettent aux joueurs de travailler en équipe pour créer l'avantage d'une seconde qui leur donne une chance de marquer.

Joueur global Chaque joueur doit avoir une assise solide en matière d'habiletés de base et de concepts du jeu de basketball. Lorsqu'on enseigne le jeu de position à un jeune joueur, on l'empêche souvent d'apprendre certaines des habilités ou des concepts de base. C'est ce qui permettra au joueur d'améliorer grandement dans le futur son jeu de position lorsqu'il aura à jouer à une position donnée.

Techniques (quand) 30% du temps est consacré aux habiletés individuelles. Quand faut-il dribbler avec la main gauche/droite ? 20% du temps est consacré aux habiletés collectives. Quand faut-il couper pour obtenir le ballon ?

Progression des concepts : Attaquer un panier ouvert Espacement Pénétration Passer et couper

La défensive apprend les trois règles de base :

Protéger le panier Mettre une pression sur le

porteur de ballon 1 et ½

30% du temps d’instructions est consacré à l’introduction, à l’acquisition de nouvelles habiletés et au raffinement des habiletés déjà acquises. Certains athlètes commencent à faire preuve de créativité. L’accent est principalement mis sur l’apprentissage de la « lecture » de la défensive et de l’offensive.

Concepts : Attaquer un panier ouvert Espacement Pénétration Passer et couper Sceller Faire écran à la fin (les écrans sur

le ballon sont enseignés en dernier)

40% du temps est consacré à l'acquisition et à la consolidation des habiletés spécialisées, puis au raffinement et à la créativité dans les habiletés techniques de base.

Concepts : Attaquer un panier ouvert Espacement Pénétration Passer et couper Sceller Faire écran

La défensive applique les trois règles de base : Protéger le panier Mettre une pression sur le porteur de

ballon 1 et ½


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L'enseignement se fait en transition ou à partir d'un départ dynamique.

La défensive travaille toujours les trois règles de base :

Protéger le panier Mettre une pression sur le porteur

de ballon 1 et ½

D'autres règles sont ajoutées : Contestation de la position sur le

terrain Rebond


D'autres règles de position spécifiques à la défensive doivent être appliquées.


Attaque/défense Panier

Les joueurs apprennent à foncer au panier lorsqu'ils constatent qu'il est ouvert. S'il y a un défenseur entre le panier et le porteur de ballon, ce dernier doit faire une passe. À la défensive, les joueurs apprennent la première règle qui est de protéger le panier.

Les joueurs recherchent les occasions d'attaquer le panier lorsqu'ils sont sur le terrain. Cela peut se faire par le dribble ou par une passe au joueur qui coupe. Le joueur défensif met les trois règles en pratique : protéger le panier, mettre de la pression sur le porteur de ballon et 1 et 1/2.

Les joueurs doivent apprendre à attaquer le panier alors qu'ils jouent à différentes positions. Les joueurs du périmètre doivent apprendre à attaquer les mauvaises fermetures des défenseurs. Les joueurs à l'intérieur doivent apprendre à attaquer les mauvais positionnements en scellant l'intérieur.

Espace Définissez une grille pour permettre aux joueurs d'apprendre à jouer dans l'espace. Deux joueurs ne peuvent jamais se retrouver dans un même carré de la grille. Cet exercice est particulièrement efficace lors des jeux de base de 1 contre 1, 2 contre 2, 3 contre 3 et 4 contre 4.

Les joueurs apprennent à utiliser la ligne de trois points et la bouteille pour maîtriser les principes de l'espace. De façon générale, on ne veut pas que les joueurs reçoivent des passes dans l'espace compris entre la ligne des trois points et la bouteille.

Les joueurs doivent apprendre à jouer dans l'espace associé à leur position.

Pénétration Il s'agit de la continuité de l'attaque du panier. Un joueur qui n'a pas le ballon doit se déplacer pour créer un couloir de passe pour le porteur du ballon. Après avoir fait une passe, le joueur doit se déplacer pour créer un nouvel espace. On présente aux joueurs défensifs la règle du 1 et 1/2.

On explique aux joueurs la notion de mouvement pour un joueur du périmètre et pour un joueur de l'intérieur. Il faut consolider des détails tels que : à quel moment le joueur doit bouger, faire une pause d'une seconde lors de la réception du ballon, déterminer comment poursuivre le jeu contre son défenseur. Vers la fin de ce

Il faut maintenant raffiner les principes de pénétration à partir des différentes positions.


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stade, les joueurs devraient savoir comment couper une deuxième fois à partir du pied de pivot.

Passer et couper Après avoir passé le ballon, les joueurs doivent apprendre à couper vers le panier, à se démarquer et à se déplacer dans un endroit libre. Les autres joueurs apprennent à occuper l'espace libre lorsque le passeur les regarde et est prêt à faire la passe. Les exercices de coupe par la porte arrière sont ajoutés à la fin de ce stade.

Les joueurs doivent consolider et raffiner les principes du « passer et couper » qu'ils ont vus pour la première fois au stade Apprendre à s'entraîner. Les concepts suivants sont présentés aux joueurs :

Faire une passe au bon moment et directement sur la cible

Passe de transfert (skip pass)

On montre aux joueurs les passes et les jeux de couper qui sont associés à leurs positions.

Rebond L'habileté est présentée et acquise à cette étape-ci.

L'habileté est consolidée et raffinée. Le nombre de contacts physiques augmente. On montre aux joueurs à déplacer leurs pieds correctement pour que leur corps soit dans la bonne position.

L'habileté est appliquée au jeu de position.

Manœuvrer au centre (Posting) et sceller

Ne doit ni être enseigné ni développé à ce stade-ci.

TOUS les joueurs apprennent à utiliser leur corps pour sceller un défenseur ou à se démarquer d'un scellement à la défensive. Les entraîneurs doivent toujours prendre en considération les différences de maturité physique des joueurs. Les joueurs apprennent à passer le ballon à une personne jouant à la position du « post » : passe haute, passe avec rebond, passe triangulaire, passe lobée et quand se déplacer lorsque le ballon est dans le poste. Les joueurs apprennent des façons simples de marquer de l'intérieur. L'accent se concentre toujours sur le jeu 1 contre 1 en gardant à l'esprit qu'il y a cinq joueurs sur le terrain. Ils doivent également apprendre quand et comment passer à l'extérieur du poste.

À ce stade-ci, les joueurs deviennent plus stratégiques et leur jeu de position se raffine. Tous les joueurs doivent toujours être en mesure de défendre et de marquer de l'intérieur.


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Faire écran Ne doit ni être enseigné ni développé à ce stade-ci.

La notion de l'écran est ajoutée à la fin de ce stade. On enseigne d'abord les écrans loin du ballon avant les écrans sur le ballon. L'entraîneur ne doit pas se sentir obligé d'introduire rapidement la notion d'écran. Se lancer trop rapidement dans ce concept limite souvent le développement des concepts précédents. L'utilisation des écrans est recommandée pour créer l'avantage d'une seconde qui permet aux joueurs de jouer librement. Les joueurs se servent d'un seul écran pour lire la défensive plutôt que d'utiliser plusieurs écrans dans un patron stratégique complexe.

Lorsque l'entraîneur est inquiet du temps qu'il devra mettre pour enseigner correctement comment défendre les nombreux écrans possible, il est recommandé, à ce stade, d'utiliser le changement de joueurs offensifs.

La notion d'écran est un point important de ce stade. On doit enseigner aux joueurs à établir, à lire et à défendre correctement plusieurs types d'écrans. Une des craintes est que l'entraîneur fasse jouer ses joueurs à des positions où ils ne joueront plus jamais dans le prochain stade de développement. Voilà pourquoi l'enseignement doit progresser d'une approche globale vers un jeu de position plus spécifique.

Isoler Ne doit ni être enseigné ni développé à ce stade-ci.

Ne doit ni être enseigné ni développé à ce stade-ci.

L'isolation est liée au jeu de position. Il est important de comprendre que le joueur isolé ne joue pas seul en 1 contre 1 mais bien sur un terrain qui compte cinq joueurs.

Prise de décisionsLes joueurs doivent pouvoir prendre eux-mêmes des décisions sur le terrain. Pendant l'entraînement, l'entraîneur doit soumettre des problèmes aux joueurs et les laisser trouver la solution. Trop souvent, les entraîneurs DONNENT la solution aux joueurs sans leur donner l'occasion, pourtant précieuse, d'apprendre par eux-mêmes. En agissant ainsi, ils ne contribuent pas à développer la compréhension des joueurs. Les entraîneurs doivent utiliser les trois phases d'enseignement :Phase A - introduire l'habileté sans défensive (1 contre 0, 2 contre 0, etc.)Phase B - amener les joueurs à développer leur habilité à prendre des décisions en leur proposant différentes lecturesPhase C – mettre en pratique l'habileté dans des exercices décomposés avec une défensive réelle Phase D – utiliser l'habileté dans des situations de jeu réel (2 contre 2, 3 contre 3, 4 contre 4 et 5 contre 5)


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Général – lire l'offensive et la défensive

La technique du basketball (prise de décisions) est enseignée au moyen de jeux de 2 contre 1, 3 contre 2 et 4 contre 3. L'offensive apprend à VOIR et à REPÉRER le joueur libre. Par exemple : Dans une situation 2 c 1, le joueur doit déterminer s'il y a une ouverture au panier. Si la réponse est Oui, il doit attaquer avec un dribble. Si la réponse est Non, il doit passer le ballon à un joueur qui est en position d'attaquer. Les habilités de base assurent ainsi la réussite des joueurs à l'offensive. Les joueurs en défense doivent appliquer les trois règles de défensive : protéger le panier, mettre de la pression sur le porteur de ballon et 1 et 1/2.

Si l'on commence directement l'exercice en formation 3 contre 3, les joueurs n'ont pas les habilités requises pour atteindre le point où ils peuvent utiliser leur habileté de prise de décisions. Il faut d'abord développer l'offensive.

La plupart des décisions que les joueurs doivent prendre ont trait au moment propice pour utiliser une habileté en particulier. Par exemple, lorsqu'un porteur de ballon constate que le panier est ouvert, doit-il lancer ou dribbler le ballon.

En enseignement technique, on donne à l'offensive l'avantage d'une seconde. L'objectif est que le joueur UTILISE cet avantage d'une seconde. Par exemple, dans un exercice de 2 contre 2, on demande au défenseur du ballon de se tenir à côté du joueur offensif. Si le joueur offensif utilise efficacement son avantage, il forcera le défenseur à défendre. Le joueur offensif devra alors voir et repérer le joueur libre. La défensive doit constamment appliquer les trois règles défensives.

La prise de décisions du joueur commence maintenant à inclure plus de décisions qui impliquent les autres joueurs.

En enseignement technique, l'offensive voit, repère, utilise et CRÉE un avantage d'une seconde. Le joueur offensif doit maintenant utiliser les écrans, les feintes ou le dribble pour déjouer son défenseur initial. Une fois que l'avantage a été créé, le joueur doit l'utiliser. Si le défenseur joue en aide, repérez le joueur libre et transmettez-lui l'avantage d'une seconde.

À ce stade-ci, les décisions que doivent prendre les joueurs doivent se faire en situations de jeu telles que : oppositions, chronométrage et pointage.


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Individuel - Qui suis-je? Qui me surveille? Qui est mon coéquipier? Qui surveille mon coéquipier?

Tout cela s'effectue en termes très généraux à ce stade-ci. L'entraîneur doit s'assurer que les jumelages reflètent la capacité des joueurs d'offrir une compétition saine et qu'elles ne soient pas vues comme une façon d'exploiter des jumelages inégaux pour gagner une partie.

Les joueurs doivent commencer à avoir une bonne idée des forces et des faiblesses de leurs coéquipiers et de leurs adversaires. Profitez des forces de votre équipe et des faiblesses de votre adversaire.

Il est important que les joueurs comprennent ce principe lors des compétitions. Le jeu de position est de plus en plus important à ce stade-ci.

Stratégies Que fera votre équipe? C'est à ce moment-ci que l'entraîneur met sur pied un plan qui déterminera comment l'équipe jouera en transition, à l'offensive et en défensive. La stratégie choisie ne doit pas restreindre la croissance et le développement des joueurs. Elle doit plutôt offrir à TOUS LES JOUEURS l'occasion d'utiliser leurs habiletés et concepts de jeu.

Stratégie (plan à long terme de l'organisation des joueurs à l'intérieur d'une méthode de jeu)

Les joueurs participent tous de façon égale aux jeux contrôlés qui sont conçus pour améliorer le développement des habiletés. Ils apprennent à développer leur conscience relativement à l’aspect offensif et défensif. 10% du temps est consacré à l’offensive/défensive de base.

Utilisation du 3 contre 3 puis graduellement du 4 contre 4, mais utilisation limitée du 5 contre 5, à la toute fin de ce stade. Les joueurs pourront ainsi toucher davantage au ballon. Le panier est plus ouvert, ce qui donne aux joueurs plus d'occasions d'utiliser les concepts de base.

La grille doit être utilisée pendant l'enseignement.

Utiliser les habiletés de base de chacune des positions dans un environnement de compétition. Les joueurs apprennent les manœuvres d’équipe de base, qui impliquent plusieurs joueurs à plusieurs positions. 30% du temps d’instructions y est consacré. Les jeux de base en offensive et en défensive seront maîtrisés et raffinés avant que des stratégies plus complexes, telles que les zones et les pressions, ne soient présentées.

40 % du temps est utilisé ici. Acquisition et consolidation de stratégies spécialisées, raffinement et créativité dans les stratégies de base. Les joueurs sont exposés à davantage de manœuvres d'équipe et acquièrent plus de connaissances sur les mouvements associés à une position donnée.

Début du chrono - décisions des joueurs Mi-chrono - décisions des entraîneurs Fin du chrono - décisions des joueurs


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Début du chrono - Transition offensive/défensive

La stratégie d'équipe ne doit pas être exploitée à ce stade-ci. Les joueurs apprennent à faire avancer le ballon ou à défendre un ballon qui avance, en utilisant les concepts de jeu. Le chrono des 24 secondes n'est pas utilisé à ce stade.

La stratégie d'équipe est utilisée de façon limitée à ce stade. Les joueurs font avancer le ballon ou défendent un ballon qui avance, en utilisant les concepts de jeu. TOUS les joueurs doivent apprendre à maîtriser les habiletés et la prise de décisions qui sont requis pour jouer en transition, tant d'un point de vue offensif que défensif. Le chrono des 24 secondes est utilisé à ce stade.

Le jeu de transition de l'équipe respecte graduellement les positions. Cela ne doit pas restreindre les joueurs mais plutôt améliorer leurs habiletés et leur prise de décisions. L'entraîneur doit s'assurer de conserver un flot du début à la mi-chrono.Il faut introduire des façons d'alléger la pression exercée par l'équipe adverse :contestation de la passe de dégagement, contestation de la passe à l'aile, etc.

Mi-chrono - Offensive/défensive mi-terrain

Les stratégies d'équipe ne doivent pas être exploitées à ce stade-ci. Les joueurs doivent jouer selon les concepts de jeu. Ils doivent repérer le joueur libre. Le chrono des 24 secondes n'est pas utilisé à ce stade.

La stratégie d'équipe est utilisée de façon limitée à ce stade. Dès la transition, les joueurs doivent passer aisément à l'offensive mi-terrain. Ils cherchent à profiter des avantages d'une seconde qui se présentent.

Les jeux placés sont utilisés pour créer un avantage d'une seconde. Dès qu'ils ont profité de cet avantage, les joueurs progressent librement en utilisant les concepts de jeu. Ils n'exécutent pas des systèmes de jeu élaborés et jouent en laissant suffisamment d'espace à leurs coéquipiers.

Les joueurs à l'offensive doivent passer en douceur de la transition à l'offensive mi-chrono. Le jeu choisi doit améliorer ou développer les forces des joueurs. Il doit susciter un sentiment d'urgence à chacune des actions exécutées (lecture de la défensive). Dès qu'une action se termine la suivante est déjà amorcée. Le jeu choisi doit générer un avantage d'une seconde.

Il doit y avoir, à chaque position, des occasions de créer des avantages d'une seconde. L'entraîneur doit savoir comment ces avantages se produisent à l'offensive et ce que les défenseurs peuvent faire pour les contrer. Il développera la profondeur de l'offensive en enseignant progressivement les notions de riposte, de lecture et de retrait de la pression. Cette méthode est préférable à l'ajout continu de nouveaux jeux.

Fin du chrono Ne s'applique pas à ce stade-ci. Bien que des situations de fin de chrono se produisent à ce stade, l'entraîneur n'est pas encouragé à effectuer des jeux spéciaux à ce moment-ci. Les joueurs doivent plutôt tenter de conserver un bon espacement et

Dans une offensive placée, il faut toujours considérer le temps restant au chrono des 24 secondes. On doit retirer de la pression sur les joueurs offensifs afin qu'ils puissent poursuivre leur jeu sans interruption du flot. Lorsqu'une


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un bon synchronisme tout au long du chrono des 24 secondes. Cela leur permettra d'obtenir l'avantage d'une seconde qui leur permettra de joueur plus librement.

situation de fin de chrono se présente, l'entraîneur doit avoir pris en considération les concepts qui doivent être utilisés pour prévenir les lancers contestés ou forcés.

Situations particulières Une méthode simple est proposée aux joueurs de remettre le ballon en jeu et de former une ligne pour les lancers francs et les entre-deux.

Les concepts de lancer franc, d'entre-deux et de remise en jeu sont présentés aux joueurs. Ils ne doivent pas être trop élaborés ni ne prendre trop de temps d'entraînement.

Les entraîneurs augmentent graduellement leur répertoire de jeux spéciaux. Ils peuvent maintenant consacrer plus de temps à l'enseignement de jeux liés au temps et au pointage.

Pression/briser la pression

Ne s'applique pas à ce stade-ci. TOUS les joueurs doivent apprendre à manier le ballon, se déplacer et passer en situation de pression homme à homme. Il est permis de faire une trappe ou une prise à deux pourvu qu'il y ait une bonne rotation des autres joueurs sur le terrain.

À ce stade, on ne recommande pas d'utiliser les pressions de zone, car elles font appel au jeu de position.

Les notions de pression et de contre-pression de zone sont présentées aux joueurs. Les joueurs assument, de plus en plus, le rôle spécifique à leur position.

Zone Ne s'applique pas à ce stade-ci. L'utilisation des zones n'est pas recommandée à ce stade car elles obligent les joueurs à jouer à une position spécifique. L'enseignement des zones peut également monopoliser le temps d'enseignement qui devrait porter essentiellement sur les habiletés et les concepts de jeu.

Les entraîneurs peuvent utiliser les zones dans leur stratégie de jeu. Ils doivent toutefois veiller à ce que le jeu de zones ne nuise pas au développement continu des joueurs.


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Tactiques Il s'agit des ajustements faits en fonction d'un adversaire ou d'un match en particulier.

Tactique (ajustements à court terme du plan, habituellement pour une compétition spécifique)

Ajustements à court terme apportés pour améliorer l’apprentissage des habiletés et les concepts de jeu et permettre aux joueurs de coopérer dans un environnement de compétition.

Il se peut qu'il faille modifier les équipes ou les règles afin d'offrir une saine compétition, plutôt que de constituer des équipes de façon qu'une seule, trop forte, gagne.

Les entraîneurs ne doivent pas apporter des ajustements tactiques visant à déjouer les jeunes joueurs pour ainsi permettre à leur équipe de marquer facilement.

Retours sur les forces et les faiblesses d’un adversaire. Il n'est pas recommandé, à ce stade, de dresser des rapports complets d'analyse de l'adversaire ou de demander à la moitié de votre équipe de décortiquer tous les jeux de l'adversaire. La préparation en vue d'affronter un adversaire donné se fait en travaillant les concepts offensifs et défensifs qui seront utilisés à la prochaine compétition.

Seulement 15% du temps doit y être consacré.

Durant les exercices, on incite les joueurs à bien comprendre les principales forces et faiblesses de l'adversaire.

20% du temps est consacré à des tactiques spécifiques à la compétition. Il est toutefois préférable de se préparer à rencontrer un adversaire en pratiquant les concepts et les habiletés requises pour offrir la meilleure compétition possible. Il est possible de faire une préparation propre à une équipe ou à un joueur donné mais cela ne doit pas se faire au détriment du développement continu. Par exemple, lorsque les entraîneurs passent la majorité du temps d'entraînement à pratiquer des jeux précis pour contrer l'adversaire en vue de la prochaine compétition, ils limitent le développement de leurs joueurs.

Planification en vue du prochain adversaire - Relations entre mon offensive et ma défensive et celles de l'équipe adverseRelations entre les forces et les faiblesses de mon joueur et celles du joueur adverseOù en suis-je rendu dans ma saison?

Ne s'applique pas à ce stade-ci. Lorsqu'il prépare le prochain match, l'entraîneur sait dans quel cas son équipe verra, repérera, utilisera et créera les avantages d'une seconde. En entraînement, il s'assurera que son équipe travaille les habiletés et les concepts nécessaires pour introduire, acquérir, consolider et raffiner ces habiletés et concepts. Il préconise donc une approche globale. Tous les joueurs pratiquent les habiletés et les concepts.

L'entraîneur fait appel aux règles de défensive pour aider les joueurs à se préparer à jouer selon la façon dont

L'approche de l'entraîneur est la même qu'au stade S'entraîner à s'entraîner, mais l'accent est davantage mis sur les positions. L'entraîneur peut se servir de vidéos, de documents et de réunions spéciales pour préparer l'équipe à un adversaire donné.


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l'adversaire aime marquer ses points. Autres points à considérer Périodisation Périodisation simple.

Maximum de deux sessions spécifiques au sport, par semaine.

Dans la première portion de ce stade, on utilise la périodisation simple avec préparation générale et préparation spécifique. On introduira plus tard la périodisation double.

Il peut s’agir d’une périodisation simple, double et même triple dans le cas d’athlètes d’élite.

Durée du programme 12 à 20 semaines 20 à 35 semaines 35 à 45 semaines

S’entraîner à la compétition

Pour chaque minute de jeu, trois minutes sont consacrées au développement des habiletés. Cela contribue à améliorer l’expérience de jeu de chaque joueur. 75 % du temps est consacré à l'entraînement; 25 % est consacré aux jeux ou matchs (non compétitifs).

Pour chaque match, il faut compter au moins une heure d’entraînement. Jeux/matchs d'apprentissage vs jeux/matchs compétitifs Conserver le même ratio : 75 % du temps consacré à l'entraînement et 25 % à la compétition.

La compétition revêt une plus grande importance et l'entraînement prend une tangente plus compétitive. 40% de l’entraînement est consacré aux habiletés techniques et tactiques et à la mise en forme. 60% est consacré à la compétition et à l’entraînement propre à la compétition.

Physiques Poursuivre les habiletés motrices de base (agilité, équilibre, coordination et vitesse)Exercices pour la force faisant appel au poids du corps.Exercices de flexibilité de base.Entraînement neuromusculaire (préhabilitation - faire des torsions, se pencher, faire des fentes (lunges), faire des flexions sur jambes (squat), pousser et tirer)

Raffiner les habiletés motrices de base.Entraînement musculaire continu avec ballon médecine, ballon suisse et poids du corps pour augmenter la force. La force du tronc est l'élément clé. Entraînement de la flexibilité.Poursuivre l'entraînement neuromusculaire

Remarque : Pendant le pic de croissance

rapide, les entraîneurs doivent être

conscients des limites des athlètes.

Développer les systèmes aérobique et anaérobique dans un contexte propre au sport.Conditionnement personnalisé.Entraînement neuromusculaire (préhabilitation)

Entraînement de la force et de la puissance

musculaire.

Développer d’abord la bonne technique.

Récupération Introduire la récupération Collation/hydratation après les

activités Retour au calme Vacances de basketball

Poursuite de la récupération Utilisation du temps personnel Sommeil Nutrition/hydratation avant et après

les parties

Techniques de récupération de plus en plus personnalisées pour chaque joueur.


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Être attentif au surentraînement ou aux douleurs liées à la croissance

Mental /Émotionnel L'accent est mis sur l’accroissement de la confiance par le biais des habiletés du jeu. Les concepts suivants peuvent être présentés aux joueurs :

Attention et concentration Débriefing personnel Visualisation Établissement d'objectifs simples Respiration profonde

Accroître la confiance des athlètes en développant les habiletés de jeu ainsi que de bonnes routines d'entraînement.

Confiance en soi Attention et concentration Anxiété Débriefing Visualisation Définition des objectifs Respiration profonde Développement de routines

Développer la confiance en soi des athlètes et les initier aux habiletés mentales nécessaires pour compétitionner.

Gestion de l'anxiété Plans de gestion des distractions

Leçons de vie/société Participation dans plusieurs sports. Auto-leadership Jeu autonomeConseils sur la nutritionDéveloppement de bonnes habitudes de jeuRelations

Faire ce qui est correct Faire de son mieux Traiter les autres comme on

souhaite être traitéAffronter l'adversitéAccepter que la satisfaction et la valorisation personnelle (gratification) viennent plus tard

Implication dans plusieurs sportsEntraînement général et spécifique Entraînement autonome Introduction à la planification et à la périodisationJournal d’entraînement et de performance (gestion du temps)Nutrition/hydratationHabiletés de leadership de base

Faire preuve d'auto-leadership Donner de l'énergie Savoir reconnaître quand il faut suivre Agir comme meneur

Faire cadrer le sport dans la vie de tous les joursRelations

Comportement constructif/destructifChoix de vie (comportements à risques)

Certains joueurs optent pour un entraînement propre à un sport, d'autres à un entraînement multisport. Pendant la saison, l'entraînement ne doit pas être multisport. Intégration du sport dans la vie de tous les jours Accepter la vie d'athlète Jeu/entraînement autonomePrévention et récupération de blessuresNutrition/hydratationLeadership RelationsChoix de vie (comportements à risques)Planification du futur


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ÉCHAUFFEMENT

Échauffement progressif

Un bon échauffement est un exercice progressif où l'on commence par augmenter la température du corps pour ensuite travailler les habiletés motrices fondamentales puis les habiletés de basketball et les concepts qui y sont associés. En gardant la même structure d'activité tout au long de la période d'échauffement, vous éviterez de perdre du temps à mettre en place l'activité suivante.

Augmenter la température du corps Le principal but de l'échauffement est d'augmenter la température corporelle. Une activité aérobique légère permet d'y arriver. Le recours à des jeux organisés de faible intensité est une façon amusante de commencer une séance d'entraînement. Les joueurs s'énergisent et augmentent du même coup la température de leur corps.

10 PassesDes cônes délimitent la surface de jeu. Répartis dans deux équipes égales, les joueurs doivent faire 10 passes consécutives sans perdre le ballon, sans déborder des limites du terrain ni commettre de « marcher ». S'il y a violation, l'équipe en défensive reprend possession du ballon.

Bonification mentale Elle favorise la communication entre les joueurs et encourage les joueurs à parler; le joueur qui reçoit la passe doit dire, haut et fort, le chiffre correspondant au nombre de passes qui viennent d'être effectuées. Il est important que chaque joueur indique le compte lorsque vient son tour. De cette façon, le joueur au tempérament fort de leader ne domine pas et le joueur tranquille apprend à s'exprimer.


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Passer et se déplacer On introduit ensuite le concept de déplacement après la passe. Le joueur doit toucher le sol à l'extérieur des cônes avant de retourner dans le jeu.

Faire une passe à partir du dribble Dans cette version, le porteur de ballon doit faire une passe ou commencer à dribbler dans la seconde suivant la réception du ballon. Cela le force à balayer le terrain du regard lorsqu'il dribble, à maintenir le dribble jusqu'à ce qu'il soit prêt à remettre le ballon à un coéquipier et à faire une passe rapide et précise à partir du dribble.

Vous pouvez bonifier cet exercice en exigeant que le dribbleur effectue sa passe à l'intérieur d'un délai de 5 secondes.

Tout le monde dribble Dans la version finale de l'exercice, tout le monde dribble avec un ballon. Un deuxième ballon est mis en jeu pour faire les 10 passes consécutives. Vous voudrez peut-être commencer avec un ballon qui est facile à attraper et à lancer avec une main.


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Mouvement dynamique On passe ensuite à la portion dynamique de l'échauffement. On y travaillera les habiletés motrices fondamentales au cœur de tous les mouvements du corps humain.

Les joueurs se répartissent dans deux files derrière les rangées de cônes. On peut leur demander d'effectuer une variété de mouvements.

Course légère vers l'avant Genoux haut Talons aux fesses Carioca Galops Glissements Course à reculons Genoux vers l'extérieur/Genoux vers l'intérieur

Lorsque les joueurs maîtrisent les mouvements, on augmente la difficulté en faisant faire l'activité avec un ballon.

Zigzag Les joueurs s'exercent à couper autour de chaque cône. Ils doivent communiquer avec le joueur qu'ils croisent en course. On peut augmenter la difficulté en demandant aux joueurs de revenir par le centre. En cours d'exercice, il y a beaucoup de joueurs en même temps sur le terrain, ce qui les obligent à communiquer entre eux.


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Encercler son partenaireLes joueurs se rencontrent au centre, courent en boucle puis poursuivent leur course à reculons autour du cône. Cela les obligent à coordonner leur mouvement et à passer rapidement d'une course vers l'avant à une course vers l'arrière.

Sauts coordonnés Les joueurs se placent 2 par 2. Ils contournent chacun un cône puis se rencontrent au centre et font un saut en même temps. Ils peuvent :

Se frapper d'épaule à épaule dans les airs Se taper dans les mains pendant qu'ils sautent Frapper leur ballon sur celui de leur coéquipier

pendant qu'ils sont dans les airsCela force les joueurs à bien contrôler leur saut et à atterrir en équilibre. Lorsqu'ils reviennent au sol, ils doivent reprendre le contrôle avant de courir jusqu'au cône suivant.


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Préparation au mouvement Dans cette séquence, les joueurs travaillent des mouvements de type « power yoga » qui contribuent à accroître la force du tronc et la flexibilité :

Fentes en marchant Squats en marchant Fentes latérales en marchant Chenille Arabesque avec bras devant (avion) Fente vers l'avant Sautillements

Les joueurs devraient également faire les exercices de gainage suivants, qui travaillent les muscles du tronc, lorsqu'ils sont en ligne :

Roulements de hanches avec jambes pliées ou tendues Pont avant Pont latéral Pont arrière

Jeu de pieds - agilité Les joueurs effectuent des exercices de jeu de pieds qu'ils auront à reproduire plus tard dans la séance d'entraînement.

Bonds en zigzag - sauter sur une jambe puis sur l'autre en zigzaguant. Ce type de jeu de pieds est important si on prévoit travailler différents mouvements créatifs pour terminer un tir en foulée.

Piétinement de football (Icky shuffle) Figure en 8 Sautillements sur un pied Ski de fond


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Deux vers l'avant, un vers l'arrière Cet exercice est particulièrement important lorsqu'on travaille le dribble croisé en retrait (pullback crossover dribble).

Habiletés de basketball Sans changer la formation de l'exercice, on passe directement au dribble et au tir en foulée. Les joueurs travaillent différents mouvements de dribble à chaque cône et terminent par un tir en foulée au panier opposé. Au retour, vous pouvez leur demander d'utiliser le dribble rapide. Bonification :

Un des entraîneurs montre ses deux mains pour amener les joueurs à garder le regard haut.

L'entraîneur bloque la trajectoire principale du tir en foulée.

Dribble croisé en retrait (Pull back crossover) Il est très important que les joueurs maîtrisent ce type de dribble. Les joueurs courent jusqu'au deuxième cône, reculent en faisant un dribble et enchaînent immédiatement avec un dribble en croisé.


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Layup russesOn utilise la même configuration pour cet exercice. De cette façon, on ne perd pratiquement pas de temps à apprendre une nouvelle activité et on peut se concentrer sur les habiletés à travailler.

Deux joueurs dribblent jusqu'à l'autre extrémité du terrain et terminent chacun leur course par un tir en foulée. Ils reviennent par le centre; l'un est à l'offensive, l'autre en défensive. Le joueur en défensive est forcé de dribbler en contrôle, en gardant le ballon bas.

Cette fois, après avoir fait le tir en foulée en bout de terrain, les joueurs reviennent par le centre en s'échangeant leur ballon par la passe.

Dribble croisé en retrait avec défensive guidée On passe maintenant au concept principal que l'entraîneur voulait travailler durant la journée, c'est-à-dire le dribble croisé en retrait qui permet d'éviter de traverser le centre du terrain sur la ligne de côté. Les joueurs se jumellent à un coéquipier, avec un ballon. Le joueur qui offre la défensive guidée force le porteur de ballon vers la ligne médiane Le dribbleur utilise le dribble croisé en retrait pour traverser vers le couloir central du terrain. Les joueurs jouent maintenant 1 contre 1 dans le couloir du centre.


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2 contre 2 La phase finale de la progression est un jeu en 2 contre 2 sur le terrain complet. Les joueurs voient maintenant comment les différentes activités d'échauffement et d'habiletés servent au jeu. On fait un entraînement comme on lit un livre. Trop souvent, lorsqu'on choisit des exercices disparates, les joueurs ne voient pas la progression.

Bonification d'exercices d'agilité

Les experts du groupe « Au Canada, le sport c'est pour la vie » ont produit un livret intitulé Développer le savoir-faire physique : Guide pour les parents d’enfants de 0 à 12 ans. On y traite de la contribution des différents sports dans le développement des habiletés fondamentales. Les sports d'équipe ont le haut du pavé en favorisant fortement le développement de 10 des 12 habiletés fondamentales (agilité, équilibre, coordination, course, saut, glissement, envoi d'un objet, réception d'un objet, dribble, nage, frappe et rythme). Le basketball est l'un des meilleurs sports pour développer l'habileté fondamentale de l'agilité. Vous trouverez ci-dessous un exercice d'agilité de base qui peut être adapté à différents sports pour favoriser le développement de cette habileté fondamentale.

Le nouveau PNCE en basketball met à profit la notion de bonification des exercices. Il s'agit d'ajouter progressivement des éléments qui en augmentent la difficulté plutôt que recourir à une panoplie d'exercices différents qui n'ont pas de liens entre eux. De cette façon, l'athlète peut se concentrer sur le nouveau défi plutôt que d'avoir à apprendre un nouvel exercice. Les bons entraîneurs s'assurent que le défi proposé concordent avec les habiletés actuelles des joueurs. En augmentant la difficulté au niveau physique, mental, social ou émotif, l'entraîneur renouvelle constamment le défi proposé aux athlètes.


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Les athlètes se regroupent 2 par 2. Ils travailleront autour de 2 disques de plastique souples (plots). Ces derniers sont préférables aux cônes parce que les athlètes peuvent les piétiner sans risque. Le premier exercice d'agilité consiste à reproduire la forme d'un 8. Les joueurs se déplacent par petits pas rapides vers l'avant, de côté et vers l'arrière. Veillez à ce qu'ils ne fassent pas de grands pas et qu'ils ne sautent pas par-dessus les disques. Chaque joueur effectue trois figures en 8 pendant que son coéquipier compte le nombre de pas qu'il fait.

La première façon de bonifier l'exercice est de changer la distance entre les marqueurs au sol. Maintenant, plutôt que de faire de petits pas, le joueur peut se déplacer en glissant entre les disques. Pour augmenter la cadence, vous pouvez chronométrer les joueurs. Le chronométrage exerce une pression accrue, ce qui a pour effet d'augmenter la charge émotive. Aussi, en comptant le nombre de pas, vous pouvez amener les joueurs à être plus efficaces.

Autres jeux de pieds On peut utiliser d'autres exercices de jeux de pieds. Le piétinement de football (icky shuffle) est un bon exercice parce qu'il force le joueur à planter le pied extérieur et à pousser dans la direction opposée. Le joueur commence l'exercice à l'extérieur de la ligne de cônes. Il fait un pas latéral avec le pied le plus près du cône puis avec l'autre pied. Il amène ensuite le premier pied à l'extérieur du deuxième cône. Il lève le deuxième pied, mais ne le redépose pas au sol. Deux pieds à l'intérieur du cône, 1 pied à l'extérieur.

Le ski de fond est un autre bon exercice de jeu de pieds. Le joueur commence en plaçant une jambe devant l'autre. Il déplace les pieds et les bras en alternance de l'avant vers l'arrière tout en se déplaçant vers la droite/gauche.

Les entraîneurs devraient trouver des exercices de jeu de pieds qui sont appropriés à leur sport. Vous pouvez ajouter des cônes pour reproduire une échelle d'agilité.


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VisionDans la plupart des sports, il est extrêmement important de garder le regard haut, pour voir ce qui se passe autour. Très souvent, les joueurs ont tendance à regarder leurs pieds lorsqu'ils apprennent un exercice d'agilité. On doit éventuellement les amener à regarder plutôt devant eux. Le simple fait de leur dire ne fonctionne pas toujours. En intégrant à vos exercices une passe faite au hasard, vous amènerez vos joueurs à maintenir en tout temps un regard haut pour anticiper la passe. Servez-vous d'une balle, d'un ballon ou de tout autre équipement utilisé dans votre sport. S'il s'agit d'un sport comme la crosse, les joueurs peuvent faire l'exercice en tenant leur crosse dans les mains. Au soccer, ils peuvent intercepter la passe et passer

de nouveau le ballon avec leur pied. Pour les sports de raquette, comme le badminton, le volant peut être envoyé vers le joueur qui doit le frapper en retour. Au baseball, l'exercice peut être fait avec un roulé. Au volleyball, le joueur peut être amené à redonner le ballon au passeur.

Ensuite, augmentez la difficulté en intégrant plusieurs passeurs. Cela oblige l'athlète à balayer le terrain du regard avant de faire un choix. Apprendre à regarder au centre, à gauche et à droite est une habileté très importante qui est souvent négligée. Au fur et à mesure que les joueurs s'améliorent, poursuivez ce type d'exercices en ajoutant les notions de vitesse (d'exécution) et de vélocité (du ballon).

Exploser Le prochain concept à intégrer est l'habileté à voir un stimulus et à y réagir en explosant avec un jeu de pieds. Le facteur clé de l'agilité est de changer rapidement de direction tout en demeurant en contrôle. Le joueur effectue le même patron de jeu de pieds. Cette fois, son partenaire laisse tomber le ballon au sol. Le joueur placé au début de la série de cônes doit courir rapidement pour attraper le ballon avant qu'il ne rebondisse au sol une deuxième fois. Il peut terminer l'exercice en :

- Se plaçant dans une bonne posture, en équilibre - Plongeant pour prendre possession du ballon

Au basketball, on a besoin des deux. Si on laisse tomber le ballon au sol, le joueur doit l'attraper en contrôlant son mouvement et sa

posture. Si on fait rouler le ballon au sol, le joueur plonge pour le récupérer. Le ballon ne tombe pas toujours directement devant le joueur; faites l'exercice en utilisant des différents angles. Pour le volleyball, c'est un excellent moyen de pratiquer le plongeon pour récupérer un ballon. Pour le football, cet exercice permet de pratiquer la reprise du ballon lors d'un échappé. Le joueur de crosse doit foncer vers la balle et la ramasser avec son bâton. Au badminton, le joueur peut s'avancer pour un amorti ou reculer pour un dégagement défensif.

Pour augmenter la charge mentale de cet exercice, combinez les exercices de passe et d'échappé de ballon. Cela exerce la prise de décisions parce que le joueur doit rester alerte pour déterminer si :

- une passe lui est transmise, auquel cas il doit être prêt à la recevoir Version 2.1 - © 2013 Association canadienne des entraîneurs et Canada Basketball


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- le ballon rebondira au sol, afin d'être prêt à exploser pour en prendre le contrôle- le ballon roule au sol, afin de se préparer à plonger pour le récupérer.

Utiliser la vision périphérique Cette fois, le partenaire se tient derrière. Il lance le ballon au-dessus de la tête du joueur. Lorsque ce dernier aperçoit le ballon, il se précipite pour le récupérer.

Auditif Dans plusieurs sports, le joueur doit réagir aux informations verbales qu'il reçoit. Dans cet exercice, le partenaire crie le nom du joueur qui se retourne pour repérer le ballon.

Intégrez plusieurs passeurs pour travailler l'habileté à balayer le terrain. Maintenant, lorsque le joueur se retourne, il doit balayer le terrain pour trouver le ballon. Le ballon peut être transmis par la passe ou roulé au sol. Rappelez-vous : le joueur pourrait aussi pratiquer une habileté spécifique à son sport après avoir récupéré le ballon.

Le plus haut niveau de bonification consiste à transformer l'activité en compétition. Deux joueurs s'affrontent pour récupérer le ballon. Ils peuvent alors jouer en 1 contre 1 pour marquer. Lorsque l'exercice devient une compétition, ne négligez pas l'aspect de la sécurité.

Faire l'exercice avec de l'équipement On demande maintenant aux joueurs de faire le même jeu de pieds tout en dribblant le ballon. Au football, le quart-arrière peut tenir le ballon, prêt à lancer. Au soccer, le joueur dribblera avec ses pieds. Au badminton, le joueur frappera le volant avec sa raquette.

Pour ajouter l'élément visuel, le partenaire montre, au hasard, une cible ou ses 10 doigts, pour indiquer que la passe doit être faite. Pour forcer le joueur à balayer du regard, reprenez l'exercice en demandant à plusieurs joueurs d'afficher tour à tour les cibles.

La bonification ultime consiste à utiliser le jeu de pieds pour amorcer une autre action. Le joueur effectue le jeu de pieds. Lorsque le partenaire demande le ballon en présentant ses deux mains, le joueur lui fait une passe. Il coupe ensuite pour recevoir un retour de passe et dribble jusqu'au panier pour faire un layup. Voilà une façon plus créative de pratiquer les layups que de faire deux lignes. Dans tous les sports où le but est de marquer, les joueurs


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travaillent l'agilité en adoptant une formation en ligne. Au football, les joueurs aux positions de centre-arrière, de demi à l'attaque et de secondeur font le jeu de pieds. Lorsque le ballon est transmis au centre-arrière, le secondeur s'amène pour le plaquer.

L'agilité est une habileté fondamentale très importante dans un très grand nombre de sports. En faisant des exercices d'agilité simples que l'on peut bonifier par un nombre incalculable d'exercices, l'entraîneur peut s'assurer que les joueurs améliorent leur jeu de pieds et leur capacité à changer de direction.

Coordination Voici quelques exercices amusants de coordination œil-main et de déplacement du corps dans l'espace. Un des aspects particuliers de ces exercices est que le joueur dicte lui-même le degré de difficulté.

Lancer, taper des mains et attraper

Lancez le ballon dans les airs. Comptez le nombre de fois que vous pouvez taper dans vos mains avant de rattraper le ballon. Tentez de faire mieux la fois suivante.

Bonification : Tapez des mains en alternance devant et derrière

vous. Tapez des mains entre vos jambes pendant que vous

courez sur place. Tapez vos cuisses plutôt que dans vos mains. Attrapez le ballon derrière votre dos.

Cercle avec le ballon

Lancez le ballon en l'air et laissez-le rebondir. Joignez vos mains droite et gauche de façon à former un cercle avec les bras. Au moment où le ballon rebondit, dessinez des cercles autour du ballon avec les bras. Progressivement, le ballon rebondit plus bas. Il faut donc s'accroupir peu à peu.

Dans un deuxième temps, dessinez les cercles dans la direction opposée.


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Décrire un cercle autour du ballon avec les bras

Lancez le ballon dans les airs. Lorsqu'il rebondit, décrivez un cercle avec le bras autour du ballon aussi souvent que possible. Reprenez l'exercice dans le sens opposé, puis avec l'autre bras.

Réessayez avec le pied. Assurez-vous que les joueurs sont bien espacés pour éviter qu'ils ne se fassent heurter par un ballon malencontreusement frappé avec le pied. Cet exercice est excellent pour la flexibilité des hanches.


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Power Burpee Durant le stade S'entraîner à s'entraîner, les limitations au niveau de la force du tronc et des jambes, de l'équilibre et de la flexibilité des hanches et des muscles ischio-jambiers présentent un obstacle important pour l'exécution d'habiletés simples en basketball. Se placer en position, y demeurer et se déplacer en maintenant la position appropriée est une de ces habilités. Les exercices préparatoires aux mouvements aident sans aucun doute, mais souvent ils ne suffisent pas. L'activité Power Burpee peut être faite à la maison, dans un espace restreint. Il s'agit à la base d'exécuter des mouvements préparatoires dans un espace réduit. J'ai remarqué des améliorations notables chez les athlètes qui ont fait ces exercices. Il est extrêmement important de respecter la bonne technique. L'une des principales causes du manque d'amélioration est que les joueurs trichent, c'est-à-dire qu'ils ne sollicitent pas les bons muscles. Faites d'abord l'exercice en vous servant du poids du corps. Éventuellement, vous en viendrez à utiliser de petits haltères ordinaires ou des petits haltères russes (kettle bells).

Position de puissance Les joueurs doivent commencer en position de puissance. L'athlète s'accroupit comme un haltérophile qui s'apprête à lever une barre. La poitrine doit être portée vers l'avant, les épaules tirées vers l'arrière et le bas du dos légèrement arqué. Les mains se trouvent à la hauteur des genoux. Demandez aux joueurs de contracter les abdominaux avant de commencer.

De cette position, le joueur explose vers le haut, en tendant les hanches et se soulevant du sol en sautant. Les bras reproduisent le mouvement d'un haltérophile qui soulève une barre. Dressez les coudes à la hauteur des épaules.

Atterrir en squatLe joueur atterrit en position de squat. Les bras sont dans la même position que si on tenait une barre à la hauteur des épaules. Les joueurs doivent être en équilibre; leurs genoux bien alignés. Le dos doit être dans la même position qu'au départ (poitrine vers l'avant, épaules vers l'arrière, bas du dos légèrement arqué). Si l'athlète n'est pas très flexible et que son tronc n'est pas bien développé, il fléchira son corps au niveau de la taille et se penchera vers l'avant.

Explosion vers une fente (lunge) En position de squat, le joueur « explose » vers l'avant et fait une fente (lunge). Petit à petit, la fente doit être plus prononcée. L'équilibre est très important. Vérifiez l'alignement du pied avant avec le genou. Le pied avant doit reposer complètement


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au sol. Fente avec torsion Le joueur forme un grand C en tendant la jambe vers l'arrière ainsi que le bras du même côté du corps. Avec la main opposée, il doit faire comme s'il donnait une poignée de main à une personne devant lui. Ensuite, il fait une rotation pour donner une poignée de main avec une personne imaginaire placée directement derrière lui. L'autre main demeure en position pour former le C.

Équilibre sur un pied Prenez le temps de bien placer vos pieds et de raffermir le tronc. En un mouvement, passez de la position « fente » à une position en équilibre sur un pied. Si le joueur fléchit les hanches, c'est généralement parce qu'il n'a pas contracté ses abdominaux. L'équilibre doit être maintenu pendant 5 secondes. Assurez-vous que les hanches sont droites et que la cuisse de la jambe qui est relevée est bien parallèle au sol.

747En équilibre sur une jambe, penchez le haut du corps vers l'avant, bras tendus et jambe arrière tendue. Le joueur doit garder les hanches bien alignées et contracter les muscles fessiers pour tendre la jambe qui est relevée. La jambe qui porte le poids du corps peut être légèrement fléchie. L'équilibre doit être maintenu pendant 5 secondes.

Répéter la séquence complète On répète la séquence complète avec l'autre jambe, en commençant en position de puissance.


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Power BurpeeAprès avoir fait l'avion sur la deuxième jambe, le joueur revient en position de puissance pour la troisième fois.

Il explose vers le haut et atterrit en faisant un squat. Il place les mains au sol de chaque côté des pieds.

De cette position, il lance les jambes vers l'arrière, en position de pompe. Il doit maintenir la position pendant 5 secondes. Les coudes doivent rester près du corps. Remarque : vous pouvez ajouter une pompe avec torsion si vous le désirez

Cobra Redressez lentement le tronc en soulevant la poitrine tout en abaissant les hanches. Maintenez la position pendant 5 secondes. Les hanches ne doivent pas toucher le sol.

Chien tête en bas Relevez les hanches et poussez le bassin vers l'arrière. Gardez les talons au sol. Plusieurs joueurs devront plier légèrement les genoux pour faire ce mouvement. La tête doit être rentrée entre les bras de façon que le haut du corps forme une ligne droite vers le sol. Maintenez la position pendant 5 secondes.

Spiderman Maintenant, avancez une jambe vers l'avant pour prendre une pose « Spiderman ». Essayez d'amener le coude du même côté que la jambe avant au sol, à l'intérieur et à la hauteur du talon. La jambe arrière doit être tendue et le genou avant à 90 .


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Torsion SpidermanEn utilisant le bras qui était au sol, faites une torsion en direction de la jambe avant. Maintenez la position pendant 5 secondes.

Étirement du muscle ischio-jambier La dernière étape est d'amener au sol le bras qui est tendu, à l'extérieur de la jambe avant. Levez vos hanches, levez les orteils et tendez la jambe pour étirer le muscle ischio-jambier. Maintenez la position pendant 5 secondes.

Répétez les 2 exercices, Spiderman et Torsion Spiderman avec la jambe opposée.

On fait le dernier exercice parce qu'il n'y a pas de mouvement latéral dans le Power Burpee. L'idéal est de se servir d'une haie d'athlétisme, mais si vous n'en avez pas, l'exercice peut très bien se faire avec un obstacle imaginaire. Si vous entraînez des jeunes, un grand cône fait très bien l'affaire. Passez par-dessus la haie ou le cône et, sur le chemin du retour, passez sous la haie ou abaissez la poitrine vis-à-vis le cône. La haie doit être réglée à la hauteur de l'entre-jambe. Le joueur traverse la haie latéralement. Au retour, il passe sous la haie. Vous préférerez peut-être faire ces deux activités séparément si la hauteur de la haie ne convient pas pour l'étape du retour sous l'obstacle, où la force et la flexibilité au niveau des hanches est nécessaire pour se pencher très bas.Passer sous une haie oblige le joueur à se déplacer latéralement tout en maintenant son corps très bas. Il est impossible d'y parvenir si vous n'êtes pas flexible au niveau des hanches et que vous n'avez pas la force nécessaire.


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Balle de tennis et ballon de basket

Vous trouverez, sur le site http://highperformancebasketball.ca/ (de la fédération de Basketball de la Colombie-Britannique) de nombreux vidéoclips d'exercices jumelant balle de tennis et ballon de basketball. Ces exercices sont excellents pour pratiquer les départs explosifs.

Les athlètes se groupent 2 par 2 avec une balle de tennis. Un joueur laisse tomber la balle au sol. Son coéquipier doit se précipiter pour l'attraper avant qu'elle ne rebondisse une seconde fois. Sur le site web, vous verrez de très nombreuses variantes.

On ajoute ensuite un ballon de basketball. Un joueur est en position de triple menace face au panier, à l'extérieur de la ligne de 3 points. Le joueur qui a en main la balle de tennis se tient derrière lui. Il lance la balle par-dessus l'épaule du porteur de ballon de façon que la balle rebondisse vers le panier. Si le joueur tient le ballon dans sa main droite, la balle de tennis doit être lancée par-dessus l'épaule gauche. Il doit sortir rapidement de sa position et attraper la balle de tennis avec son autre main avec qu'elle ne rebondisse une seconde fois.

Il faut faire attention de ne pas commettre de « marcher ». Lorsque les joueurs font l'exercice sans ballon, vous remarquerez un pas « plyo » naturel qui sert à pousser avec les jambes. Cela est très bien, mais lorsqu'on fait l'exercice avec un ballon, on commet un « marcher » si on utilise le pied de pivot. Les joueurs doivent être prêts à pousser avec les deux jambes. La jambe arrière (le pied de pivot) est le vecteur du mouvement. Le joueur doit sentir son poids sur son pied. Soyez prêt à faire la poussée avec le gros orteil. En tournant l'orteil vers l'extérieur, le joueur crée l'effet d'un coup de patin. Cela lui permet de pousser plus efficacement puisque le genou se trouve à l'intérieur. Le joueur doit aussi pousser avec la jambe avant. Trop souvent, les joueurs se lèvent sur la pointe des pieds. Ils doivent alors redescendre au sol avant de pouvoir pousser. Les articulations doivent être repliées pour que le mouvement puisse être explosif.


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http://highperformancebasketball.ca/

Exploser suivant un rebond

La dernière activité consiste à dribbler avec un ballon. Le partenaire lance au hasard une balle de tennis dans n'importe quelle direction. Le porteur de ballon se précipite pour attraper la balle avant qu'elle ne rebondisse une deuxième fois. Dès qu'il l'attrape, il la renvoie à son partenaire et se prépare pour un nouveau cycle.

Le partenaire qui lance la balle ne doit pas ménager son coéquipier. Il doit forcer son coéquipier à s'étirer.

Progression de l’enseignement :Lancer de la balle de tennis et réceptionLe joueur lance une balle de tennis au mur. S'il en est à ses débuts, laissez-le expérimenter le jeu pour voir comment il peut lancer la balle et comment celle-ci rebondit. Au fur et à mesure qu'il progresse, amenez-le à varier les façons de lancer et d'attraper la balle.

o Par-dessous - attraper après un rebond o Par-dessous - attraper sans rebond o Attrapé à une main - droite ou gauche o Attrapé à deux mains o Lancer par-dessus l'épauleo Lancer à angle - force à se déplacer pour attraper la balleo Lancer en mouvement

Il s'agit d'un bon exercice d'échauffement parce qu'il favorise l'élévation de la température du corps et sollicite l'agilité et la coordination. Ajouter un ballon de basketOn reprend les mêmes exercices en intégrant maintenant un ballon de basketball. Encore une fois, accordez aux joueurs quelque temps pour expérimenter le jeu. Au fur et à mesure qu'ils progressent, amenez-les à travailler différentes techniques. Cela les force à garder le regard haut lorsqu'ils dribblent.

On peut bonifier l'exercice de la même façon que pour l'exercice précédent.


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Échauffement avec un journal

Échauffement des mains

Chaque joueur doit avoir en main une page de journal (vous devrez déchirer une page double pour en faire une page simple). La première activité consiste à faire un échauffement des mains. Le joueur tient la feuille de papier entre ses 2 paumes. Il la laisse tomber et la rattrape entre ses deux mains avant qu'elle ne touche le sol. Il doit attraper la page de journal à plat entre ses deux mains et non pas en faire une boule en refermant les mains.

Échauffement du corps

Dans la deuxième activité, les joueurs se déplacent pour augmenter leur température corporelle. Les joueurs courent dans toutes les directions en utilisant l'air pour maintenir la feuille de journal sur leur main. Lorsque l'entraîneur crie « On change », les joueurs doivent utiliser l'autre main.

Il est bon de poser la question suivante : « Comment peut-on faire en sorte que cette activité soit sécuritaire ? ». Les joueurs doivent regarder où ils vont et non pas fixer leur feuille des yeux.

Bonification Courir en maintenant la feuille contre la poitrine Placer la feuille dans le dos Placer la feuille sur le côté du corps et glisser

latéralement


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Journal en guise de cône

On utilise maintenant le journal comme un cône. Le joueur place la feuille au sol. Il doit faire des arrêts avec saut en utilisant la largeur de la feuille comme guide. Bonification :

Arrêt en 2 temps Pivots après l'arrêt

Saut par-dessus le journal

Le joueur s'exerce à sauter par-dessus le journal et à atterrir en équilibre.

Sauter avec les 2 pieds le plus haut possible Faire un bond par-dessus la feuille Sauter sur un pied, atterrir sur un pied Faire l'exercice avec un ballon Demander aux joueurs de se déplacer pour utiliser

toutes les feuilles de journaux.

Changement de direction

Les joueurs circulent sur le terrain et changent de direction lorsqu'ils atteignent une feuille.

Bonification : Faire une feinte avant de changer de direction Ajouter un ballon de basket


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Journal musical

Les joueurs se déplacent dans le gymnase et effectuent différentes activités à chaque journal. Lorsque l'entraîneur donne un signal visuel (deux mains au-dessus de la tête), les joueurs doivent s'immobiliser devant un journal libre. Le dernier joueur doit faire un exercice de Maravich (autour du cou, de la taille, des genoux).

Bonification : Utiliser de la musique Ajouter un ballon Le joueur doit retourner à son propre journal.

Boule de papier journal

Les joueurs roulent le papier journal en boule. Ils dribblent le ballon tout en lançant et rattrapant la boule de papier journal. Au début, les joueurs sont stationnaires. Progressivement, ils doivent en venir à dribbler en se déplaçant.

Bonification : Dribbler tout en échangeant la boule de papier journal

avec un partenaire. Lancer deux boules de papier journal en dribblant. Faire un dribble croisé tout en échangeant la boule de

papier journal avec un partenaire. Dribbler en se déplaçant dans le gymnase tout en

échangeant la boule avec un partenaire.

Ballon-chasseur avec boule de papier journal

Divisez le groupe en deux équipes. Tous les joueurs dribblent avec leur ballon. La moitié des joueurs ont aussi en main une boule de papier journal. Au signal, les joueurs qui ont une boule de papier journal essaient de frapper un adversaire avec leur boule. En tant qu'entraîneur, vous décidez des conséquences lorsqu'on est atteint :

faire une activité donnée avant de rejoindre le groupe joindre l'autre équipe (après avoir récupéré la boule de

papier journal) changer de place avec la personne qui a réussi à vous

frapper avec sa boule


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ENSEIGNEMENT DES HABILETÉS FONDAMENTALES

La première chose à garder en mémoire lorsqu'on entraîne une équipe de basketball est que l'important n'est pas ce qu'on connaît mais bien ce qu'on est capable d'enseigner à nos joueurs. Il nous faut personnaliser notre enseignement de façon à répondre aux besoins de chaque joueur. En tant qu'entraîneur, nous avons la responsabilité d'aider le joueur à grandir dans trois aspects :

1. CROISSANCE MENTALE : Stimulez les joueurs afin qu'ils deviennent des joueurs et des personnes

responsables. Il est important de stimuler leur croissance mentale en leur montrant à écourter, à se concentrer, à communiquer, etc. (Les entraîneurs ont tous leur propre philosophie à ce sujet).

Donnez-leur un problème à résoudre. La solution n'est pas toujours évidente. Mettez-les au défi d'élargir leur pensée.

Posez-leur des questions, afin de les amener à reconnaître la situation tactique ou technique dans laquelle ils se trouvent. Ils doivent être en mesure comprendre pourquoi ils agissent de telle ou telle façon.

2. CROISSANCE TECHNIQUE OU AMÉLIORATION TECHNIQUE : Montrez aux joueurs à jouer n'importe quel type de basketball. Ne négligez pas les habiletés fondamentales. Aidez-les à améliorer l'aspect tactique.

3. CROISSANCE ATHLÉTIQUE : Coordination (en améliorant leur coordination, les joueurs amélioreront leur habileté

technique). Équilibre (meilleur est l'équilibre, plus grande est la rapidité d'exécution). Force physique (en augmentant la force, on devient plus rapide et on réagit mieux).

o Savoir comment utiliser son corps est essentiel afin de pouvoir utiliser correctement l'espace et le temps.

o Pour augmenter l'intensité de votre jeu (à la fois en défensive et à l'offensive). Pour être plus fort au moment d'un impact physique.

Il faut former les joueurs de façon qu'ils aient les habiletés nécessaires pour jouer tous les types de basketball et non pas seulement notre propre système de jeu. Ne négligez pas de travailler les habiletés fondamentales. Veillez à ce que les joueurs s'améliorent sans cesse afin de devenir des joueurs complets. Lorsqu'on enseigne une habileté, il ne faut pas négliger l'aspect du jeu de pieds (pieds et position). Le jeu de pieds est à la base de chacune des habiletés fondamentales. Les séances d'entraînement devraient toujours être progressives. Autrement, on risque de compromettre le développement de nos joueurs. Il n'est pas nécessaire d'enseigner aux joueurs tout ce que l'on sait, dans la confusion. Il faut y aller progressivement, étape par étape.


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Phases d'enseignement Phase A - 1 contre 0 - Enseignement technique Phase B - l'entraîneur guide la défensive Phase C- Défensive active 1 contre 1 Phase D - utilisation en situations de jeu

Exemple : Enseignement 1 contre 1 1 Dribble 1 contre 0 Commencer à enseigner le pied de pivot (Phase A)2 L'entraîneur guide la défensive (Phase B)3 Défensive active 1 contre 1 (Phase C)4 Au moins 3-4 répétitions dans différentes situations de jeu (Phase D)

REMARQUE : On ne peut pas amorcer les phases C et D si les phases A et B n'ont pas encore été développées.

LANCEREnseigner la forme du lancer :1) forme du lancer : arrêt avec saut, attrapé du ballon, position du corps, extension du bras,

finition du mouvement et dégagement (Phase A).2) Constance dans l'exécution du mouvement, sans ajout de pression, lancer sans limite de

temps et pourcentage (Phase B) 3) Exercices avec stress : jeux de lancer, distance et pourcentage de lancer, lecture de la

défensive (Phase C). 4) Lancers en situations de jeu, enseigner la forme du lancer en tenant compte du rythme de jeu

(phase D). Il est important que chaque joueur soit capable de s'adapter au rythme et à l'intensité du jeu. La forme du lancer doit être ajustée selon les caractéristiques de chaque joueur.

PASSE La passe implique une relation avec les autres. Lorsque vous ne passez pas le ballon à un joueur ouvert, vous envoyez le message : « je ne te fais pas confiance avec l'avantage d'une seconde que l'on a créé. » Lorsque vous faites une bonne passe à un coéquipier, vous développez un sentiment de confiance.

Les joueurs doivent toujours faire un petit pas avant chaque passe, avec le pied qui se trouve du même côté que la passe (en direction de la passe, sans croiser les jambes, parce que cela peut entraîner un déséquilibre) pour :

Améliorer votre équilibre. Améliorer l'angle de la passe sans utiliser le dribble. Réduire la distance entre le passeur et le receveur.

Cela est très important si vous avez à passer le ballon au poste bas. C'est moins important si vous passez le ballon en ligne droite. En faisant ce petit pas, le joueur doit plier les genoux.


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Dans le Diagramme 1, on enseigne aux joueurs à utiliser leur pied de pivot lorsqu'il y a de la pression : le manieur de ballon fait 2-3 dribbles avant de saisir le ballon. Le défenseur doit mettre de la pression sur le ballon pendant 5 secondes. Le porteur de ballon doit faire une rotation sur le pied de pivot pour protéger le ballon et toujours le garder en avant du pied de pivot. Le pied de pivot est le pied le plus éloigné du défenseur.

Dans le Diagramme 2, «exercice rhombus » le joueur qui a le ballon fait une passe au joueur à sa gauche, puis court derrière la ligne à sa droite. Le receveur de passe fait un pas vers le ballon, montre ses mains (rencontre la passe), attrape le ballon puis devient le passeur à son tour. Option 1 - le passeur fait un dribble avant de faire la passe. Option 2 - lorsque l'entraîneur crie « Changement de côté », les joueurs font l'exercice dans le sens inverse. Assurez-vous que le passeur passe le ballon seulement si le receveur montre ses mains.

Diagrammes 3–4 : exercice de passe en situation de jeu, pour montrer à passer à temps et avec précision.Exercice « Dean Smith » : 4 c 4; les joueurs en offensive doivent marquer 11 points. Chaque passe compte pour « 1 point », mais les joueurs doivent réussir un panier avant de faire 11 points. Chaque joueur peut faire 2 dribbles pour attaquer le panier ou se libérer de la pression défensive.


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Diagramme 1 Diagramme 2


DRIBBLENe dites jamais « gardez la tête haute pendant que vous dribblez - il n'est pas possible de courir comme ça. » Dites plutôt « regardez en avant pendant que vous dribblez ». Gardez les yeux en l'air.

Exercice de maniement avec 2 ballons (dribbler haut, dribbler bas, autour du corps, etc.) Maniement de ballon en suivant les directives de l'entraîneur (foncer en dribblant sur le

côté, foncer en dribblant derrière, changer de main et de direction) pour montrer aux joueurs la position de la main sur le ballon.

Chaque joueur a un ballon : « jeu du chat et de la souris » (protection du ballon). Exercices avec des cônes (avec changement de main, changement de vitesse et de

direction). 60 % de cet exercice doit être fait du côté de la main faible (lancer et dribble). Exercice

bilatéral avec 2 ballons. Dès que vous améliorez la main faible, vous améliorez automatiquement la main forte .

Enseignez le dribble sous pression (1 contre 1 sur terrain complet, avec deux receveurs). Le manieur de ballon doit passer uniquement au receveur qui montre ses mains. Cinq secondes pour traverser la ligne centrale (Diagramme 5). N'abusez pas du dribble. Évitez de dribbler pour rien.

De l'acquisition à la consolidation - progression du dribble

Les entraîneurs disposent d'un très grand nombre d'exercices pour travailler le dribble. De leur côté, les joueurs peuvent pratiquer par eux-mêmes au gymnase ou à la maison pour perfectionner leur dribble. Ce qui est difficile, c'est de passer de l'étape d'acquisition (être capable de faire le mouvement) à l'étape de réalisation en contexte ou « raffinement » (être capable d'utiliser le dribble efficacement pendant un match). Pour y arriver, les joueurs doivent passer par l'étape de consolidation de l'habileté. Trop souvent, les entraîneurs omettent cette étape. La consolidation est l'étape où les joueurs jouent en présence d'une défensive guidée et apprennent « quand » utiliser l'habileté. Ils doivent apprendre à dribbler de façon décontractée même lorsqu'ils sont talonnés. Voici une façon de consolider l'habileté du dribble. Ce même processus peut être utilisé pour de nombreuses autres habiletés.


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Diagramme 5

Dribble des deux partenairesLes joueurs s'installent dans les couloirs du terrain. Ils ont tous un ballon. Les joueurs dribblent avec leur main extérieure. L'important dans cet exercice est de rester proche de son partenaire. Lorsque les joueurs arrivent au milieu du terrain, ils changent de main et reviennent sur leurs pas. Bonification

Faites un exercice de dribble rapide Faites un exercice de dribble de côté Demandez aux joueurs de se frapper à la hauteur des épaules

pendant qu'ils dribblent afin qu'ils s'habituent au contact et qu'ils parviennent à garder le rythme de leur dribble

Ajoutez les dix doigts - Lorsque l'entraîneur ou un troisième joueur montre ses dix doigts, le joueur doit faire une passe (ce qui signifie qu'il doit avoir le regard haut). L'entraîneur peut également compter le nombre de fois que le joueur a baissé les yeux.

Dribble d'un seul joueurCette fois, un seul joueur dribble et l'autre court à ses côtés sans ballon. Lorsqu'ils arrivent au milieu du terrain, le joueur qui dribble change de main et revient sur ses pas. De retour à la ligne de départ, les joueurs changent de rôle. Bonification

Le joueur qui court à côté du joueur qui dribble tente d'atteindre le ballon avec sa main extérieure

Le joueur qui court à côté du joueur qui dribble le pousse à la hauteur des hanches (oui, il s'agit d'une faute, mais les joueurs doivent s'y habituer parce que ce genre de contact passe parfois inaperçu)

Le joueur qui court appuie son avant-bras sur la hanche du dribbleur pour le forcer à dévier de sa ligne. Le dribbleur doit se pencher et résister à la poussée. Il doit avancer l'épaule vers l'avant pour que le défenseur se retrouve dans son dos.

Pour devenir un bon dribbleur, il est essentiel d'être capable de garder le défenseur dans son dos. Si le dribbleur n'arrive pas à se départir du défenseur, ce dernier le forcera à aller où il veut. Cela signifie généralement que le dribbleur est dans le pétrin : ligne de côté, ligne de fond, main faible ou trappe.


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Dribble croisé en retraitLe défenseur force maintenant le dribbleur vers la ligne de côté. Le dribbleur n'a pas l'espace nécessaire pour mettre le défenseur dans son dos parce qu'il est trop près de la ligne de côté ou qu'une situation de prise à deux se dessine. Au moment opportun, le défenseur montre sa poitrine. Le joueur offensif voit la poitrine du joueur et fait un dribble croisé en retrait. Sa lecture du jeu pourrait aussi lui permettre de deviner la préparation d'une trappe ou lui indiquer qu'il s'approche trop près de la ligne de côté.

Remarque : Rappelez-vous qu'il s'agit d'un exercice de consolidation. Si vous tentez de l'utiliser comme introduction au dribble croisé en retrait, vous trouverez peut-être que les joueurs n'exécutent pas le mouvement de retrait. Ils devront peut-être pratiquer cet exercice sans défensive, pour apprendre à bien exécuter le dribble en croisé en retrait.

Dribble croisé en retrait jusqu'à la mi-terrain, attaquer le défenseur qui reculeOn veut maintenant voir si le joueur peut utiliser ces habilités dans un exercice compétitif. On en est à l'étape de raffinement du mouvement. Les joueurs jouent 1 contre 1 jusqu'à la mi-terrain. Si le défenseur peut forcer le joueur offensif à changer de direction, il le fait. Lorsque le joueur offensif atteint le milieu du terrain, il pose le ballon au sol. Le défenseur le prend aussitôt et attaque le panier pour compter. Le ballon étant ramassé au gré du joueur qui passe à l'offensive, le nouveau défenseur pourra se trouver dans une multitude de positions. Le joueur à l'offensive peut-il utiliser son corps pour sceller le défenseur ?


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En jeuLe dribble croisé en retrait est également une manoeuvre offensive efficace le long de la ligne de fond.

Il arrive souvent que le joueur tente de foncer le long de la ligne de fond et qu'il se fasse arrêter dans sa course avant d'avoir atteint la bouteille. S'il arrête de dribbler et saisit le ballon, la défensive, qui amorçait une rotation peut maintenant récupérer

et contester la passe dans le coin. En utilisant le dribble croisé en retrait, le joueur maintient le ballon vivant et transforme une situation négative en situation positive.

CONSEIL AUX ENTRAÎNEURS

POSITION sur le terrain. Placez-vous à un endroit qui vous permet de bien voir l'exécution des habiletés

fondamentales.

VOIX (ton, moment et rythme). Changez le ton et l'intensité de votre voix; les joueurs doivent être capables de distinguer

si vous donnez une explication ou si vous soulignez un point important. Parlez lentement lorsque vous donnez une explication et mettez l'accent sur les

informations principales. Parlez fort seulement lorsque cela est nécessaire, sinon, les joueurs ne sauront pas quand

ils doivent hausser leur niveau de concentration. Ne vous adressez pas toujours à un joueur en particulier pour lui donner des explications

devant les autres. Il pensera qu'il est le seul à faire des erreurs. Amenez-le sur la ligne de côté et laissez la séance se poursuivre. Donnez vos commentaires au fur et à mesure. N'arrêtez pas l'exercice pour donner des explications à une seule personne.

DÉMONSTRATION : Les joueurs apprennent à 80 % de ce qu'ils voient et à seulement à 20 % de ce qu'ils

entendent. Si vous n'avez pas l'habileté nécessaire pour faire une démonstration, faites appel à votre

meilleur joueur. Durant la démonstration, ralentissez le rythme là où vous souhaitez mettre l'accent.


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CORRECTIONS : La partie la plus importante de votre travail d'entraîneur. Permettez aux joueurs d'analyser leur exécution des habiletés fondamentales. Laissez-les

identifier et comprendre leurs propres erreurs. Décortiquez le mouvement pour corriger la portion qui doit être analysée. Distinguez les corrections individuelles (pendant le déroulement d'un exercice) des

corrections collectives (arrêtez l'exercice occasionnellement seulement pour éclaircir un point).

Le rythme et le nombre de corrections contribuent à la qualité et à l'intensité de la séance d'entraînement.

BUTS D'UN EXERCICE : Il est important de clarifier le but de chaque exercice et de s'assurer que les joueurs ne le

perdent pas de vue. Les exercices en soi n'enseignent pas le basketball; ils permettent uniquement aux joueurs

d'analyser l'exécution des habiletés fondamentales.

De façon générale, il faut, durant la séance d'entraînement, travailler uniquement les lacunes de l'équipe. Sinon, on arrête trop souvent, ce qui brise le rythme. Si vous le pouvez, il est préférable de travailler pendant 30 minutes avec un seul joueur, ou 2 au maximum. De cette façon, le joueur n'a pas honte de ses erreurs et n'a pas l'impression d'être constamment corrigé. Durant ces 30 minutes, il faut travailler un seul mouvement ou un seul aspect du jeu et non pas toutes les habiletés fondamentales.

PLAN D'ENTRAÎNEMENT QUOTIDIEN

Pour enseigner les concepts et les habiletés de jeu, l'entraîneur doit établir et respecter un plan à long terme. Les joueurs ne maîtriseront pas les concepts et les habiletés en s'adonnant à une seule séance d'entraînement et à trois parties par semaine. Ce ratio devrait être inversé. Une séance d'entraînement efficace est l'un des meilleurs moyens d'aider les joueurs dans leur développement.

PREMIÈRE PARTIE : HABILETÉS FONDAMENTALES INDIVIDUELLES (30 % du temps alloué)

Jeux d'enfants amusants Technique du lancer Début du dribble / pied de pivot Exercices combinés - dribble / passe/ lancer Habiletés défensives


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MANIEMENT DE BALLE : Exercice avec 2 ballons (dribbler haut, dribbler bas, autour du corps, etc.) Maniement de ballon en suivant les directives de l'entraîneur (foncer en dribblant sur le

côté, foncer en dribblant derrière, changer de main et de direction) pour montrer aux joueurs la position de la main sur le ballon

Exercices avec des cônes (avec changement de main, changement de vitesse et de direction).

TECHNIQUE DE LANCER : arrêt avec saut, attrapé du ballon, position du corps, extension du bras, finition du mouvement et déclenchement en douceur du tir.

DRIBBLE ET PIED DE PIVOT : départ croisé, boucle, attrapé et dribble

EXERCICES COMBINÉS DE DRIBBLE-PASSE-LANCER : exercices combinant plusieurs habiletés

HABILETÉS DÉFENSIVES : position défensive, glissements défensifs, fermeture (close out).

DEUXIÈME PARTIE : DÉCOUPAGE DE L'OFFENSIVE ET DE LA DÉFENSIVE (30 %)1 contre 1 Prise de décisions2 contre 2 Situation de jeu - demi-terrain - défensive/offensive3 contre 3 Handicap/situation de jeu - un handicap signifie qu'un avantage est accordé à

l'offensive; par ex., un 3 contre 2. Il peut s'agir que d'un bref avantage avant qu'un troisième défenseur ne soit amené sur le terrain.

2 contre 1 Exercice de transition3 contre 2 Exercice de transition - terrain complet - défensive/offensive 3 contre 3 Handicap

TROISIÈME PARTIE : DEMI-TERRAIN + TERRAIN COMPLET (40 %)4 contre 4 Décomposer la défensive/l'offensive5 contre 5 Systèmes de jeu offensif/défensif5 contre 5 Jeu dirigé


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ENSEIGNEMENT AUX JEUNES JOUEURS D'UNE OFFENSIVE SIMPLIFIÉE AXÉE SUR LES HABILETÉS

(Phase 1 du stade S'entraîner à s'entraîner du modèle de développement à long terme de l'athlète chez les 11 à 14 ans)

Vous trouverez ci-dessous une approche étape par étape pour enseigner aux jeunes joueurs à jouer au basketball. Il s'agit d'une base qui vise à permettre aux joueurs d'atteindre les plus hauts niveaux. Si on néglige ces concepts et ces habiletés de première importance au profit de l'enseignement de tactiques et de stratégies, on risque de compromettre le développement à long terme des athlètes. L'aspect tactique ne porte que sur un match, alors que les habiletés fondamentales profitent toute la vie durant. Il est impossible d'expliquer les concepts d'offensive en une seule séance d'entraînement; cet enseignement doit faire partie d'un programme à long terme. Le développement de l'athlète est un processus continu nécessitant des répétitions constantes et la détection/correction d'erreurs par l'entraîneur.

Ce n'est pas le genre d'approche qui était enseignée il y a 20 ans, mais c'est ce le type d'enseignement qu'on devrait adopter aujourd'hui, en se basant sur :

Les expériences passées. Les conseils des entraîneurs qui travaillent présentement auprès de jeunes de ce groupe

d'âge. La façon dont les enfants et la société a évolué.

La façon d'entraîner doit changer.

Points à considérer APPRENDRE À JOUER EN S'AMUSANT. Les jeunes d'aujourd'hui vivent des

expériences différentes de celles que nous vivions quand vous et moi étions enfants. Aujourd'hui, ils ont des téléphones cellulaires, des ordinateurs, des applications de réseautage social comme Facebook, etc. Si la séance d'entraînement ne comprend pas d'éléments qui leur apportent du plaisir, ils risquent de ne pas revenir. On aime tous avoir du plaisir dans ce que nous faisons. Quand on demande à des couples ce qui les a attirés chez leur conjoint, la réponse est souvent « Il me fait rire » ou encore « On a beaucoup de plaisir ensemble ». L'aspect jeu et le plaisir est crucial dans tout ce que l'on fait, surtout si on compte s'adonner longtemps à une activité.

ENSEIGNER À JOUER À DES JEUX D'ENFANTS (PLAISIR ET ÉVALUATION DU JEU). Très tôt dans la séance d'entraînement, incorporez des jeux compétitifs amusants, qui incitent les enfants à penser et à être actifs. Il n'est pas nécessaire que ces jeux soient reliés au basketball. Par exemple, vous pouvez jouer à la tague. Implicitement, le jeu de tague force les enfants à apprendre à compétitionner. Ils doivent élaborer une stratégie pour gagner. Le plaisir donne un ton positif qui peut durer jusqu'à la fin de la séance.


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ANALYSE RÉALISTE ET DEMANDES TECHNIQUES (NIVEAU DE VOTRE ÉQUIPE). L'entraîneur doit être réaliste dans ses attentes face à l'équipe. Il doit connaître le niveau d'habileté des joueurs. Si le calibre n'est pas élevé, il est tout à fait inutile de forcer les joueurs à faire des exercices complexes. Par exemple, si les joueurs ne savent pas dribbler ou encore faire des passes et des lancers en foulée avec les deux mains, il est inutile de leur enseigner des stratégies complexes comme les écrans sur le ballon. L'entraîneur réaliste choisira :

o CHOISISSANT UN PROGRAMME TECHNIQUE QUI CONVIENT À SON ÉQUIPE. Trop souvent, les entraîneurs choisissent un système de jeu basé sur :

La dernière chose qu'ils ont faite en tant que joueur Les ressources d'entraînement de haut niveau (livre, site web, DVD) Ce qu'ils ont vu à la télévision (NCAA, NBA)

Les entraîneurs doivent tenir compte du stade développement où en sont leurs joueurs. Le système de jeu doit être basé sur :

o DES CONCEPTS SIMPLES POUVANT ÊTRE ADAPTÉS AU NIVEAU DE L'ÉQUIPE. Les habiletés fondamentales et les principes de jeu que l'on apprend nous servent toute la vie. L'enseignement des tactiques ne profite qu'à court terme, souvent, le temps d'un match. Par exemple, lorsqu'un entraîneur de jeunes joueurs enseigne à la défensive de jouer en retrait parce que les joueurs de l'équipe adverse ne savent pas lancer, l'entraîneur montre une tactique qui ne fonctionne qu'à court terme. L'entraîneur ne prépare pas les jeunes pour l'avenir, lorsque les joueurs seront capables de lancer de loin. Ce pourrait même être le cas dès le prochain match.

ENSEIGNEMENT DES HABILETÉ FONDAMENTALES AVEC LA MÉTHODE GLOBALE (ANALYSE PLUS TARD). Lorsque vous enseignez à un jeune joueur, commencez par les concepts généraux importants. Le développement du joueur peut souffrir d'une surdose d'analyse et du souci du détail. Le principe K.I.S.S (de l'anglais Keep It Short and Simple) demeure une méthodologie d'enseignement efficace. Aussi, les jeunes joueurs ont besoin d'un bon modèle pour bien se représenter une habileté. De cette façon, ils peuvent la travailler petit à petit par eux-mêmes. Ils doivent aussi comprendre pourquoi une habileté doit être faite d'une certaine façon. Tout cela contribue au processus d'apprentissage. Il faut d'abord se concentrer sur les pieds. Lorsqu'ils apprennent une habileté pour la première fois, les joueurs doivent se concentrer sur le mouvement des pieds.

PRATIQUER LA PRISE DE DÉCISIONS SANS ANALYSE. Les jeunes joueurs doivent décider quand utiliser une habileté ou un concept donné. Cet apprentissage devrait avoir lieu dans un contexte d'apprentissage positif. Chaque exercice devrait être répété plusieurs fois, afin que le jeune développe des trucs pour prendre de bonnes décisions. Au début, l'entraîneur agira comme guide d'aide à la décision. Si vous faites appel aux autres joueurs pour servir de guide, vous remarquerez qu'ils n'ont souvent pas la compréhension et les compétences nécessaires pour offrir une bonne « lecture » à leur coéquipier. Encore une fois, mentionnons que la suranalyse au cours du processus de


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prise de décisions peut engendrer de la confusion et de la frustration de la part du jeune en apprentissage.

EXERCICES EN SITUATIONS DE JEU. On apprend à jouer en jouant. Pour développer une meilleure compréhension des concepts et des habiletés, les joueurs doivent les appliquer en situation de jeu. Ces situations doivent être :

o FACILES À COMPRENDRE ET À EXÉCUTER. L'entraîneur de jeunes joueurs doit enseigner les habiletés et les concepts de façon à permettre aux joueurs de comprendre :

Pourquoi ils utilisent l'habileté Quoi faire et comment le faire Quand utiliser une habileté

Des règles de jeu simples faciliteront cet apprentissage. Progressivement, l'entraîneur augmentera la difficulté des exercices et raffinera les règles de jeu pour guider le joueur dans son développement. Par exemple, plutôt que d'imposer un jeu en particulier, l'entraîneur définira des règles offensives simples à respecter :

Si un coéquipier est libre, vous devez lui faire une passe Maximum de deux dribbles offensifs dans le demi-terrain Évaluez dans l'ordre, la possibilité de lancer, de passer le ballon

puis de foncer au panier lorsque vous recevez le ballon Attrapez le ballon là ou vous pouvez représenter une menace

offensive

o 70 % SUR TERRAIN COMPLET - 30 % SUR DEMI-TERRAIN. À ce stade de développement, les joueurs doivent apprendre à faire la transition de l'offensive à la défensive et de la défensive à l'offensive. La majorité des points sont marqués en prenant avantage des situations créées lors des transitions. Pour cette raison :

Les joueurs à l'offensive doivent apprendre à conserver et à profiter de ces avantages d'une seconde créés lors des transitions.

Les joueurs à la défensive doivent apprendre à empêcher l'équipe adverse de profiter de ces avantages lors des transitions et à reprendre le ballon.

Il est inutile de demander aux joueurs d'exécuter un jeu offensif élaboré composé d'une multitude de passes et d'autres mouvements complexes en demi-terrain. Il s'agit là d'une méthode sure pour générer de la frustration autant chez les joueurs que chez l'entraîneur. Le jeu doit rester simple : une ou deux passes avant de tenter un lancer au panier.

MÉTHODE D'ENSEIGNEMENT PROGRESSIF (L'ENTRAÎNEUR GUIDE LA DÉFENSIVE). L'entraîneur doit enseigner progressivement le développement des habiletés en différentes phases, en commençant par une d'introduction, où l'on développe le modèle général en pratiquant sans défensive. Au cours de la deuxième phase, l'entraîneur travaille l'aspect de la prise de décisions et l'exécution de l'habileté en offrant une défensive guidée. Durant la troisième phase, l'habileté est appliquée dans un contexte 1 contre 1 avec défensive réelle. Dans la phase finale, l'habileté est appliquée en situation


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de jeu réel. L'enseignement des habiletés et des concepts dans le cadre d'une approche systématique progressive permet de s'assurer que les joueurs acquièrent une excellente maîtrise de ce qu'ils apprennent.

EXERCICES POUR STIMULER LA FIERTÉ ET LA COMPÉTITIVITÉ (Sauver le ballon, batailler pour saisir le ballon, voler le ballon, recouvrer le ballon). En commençant à intégrer des exercices qui poussent les joueurs à réfléchir, à anticiper le jeu et à réagir rapidement, l'entraîneur leur montre à mieux comprendre les concepts de jeu et à savoir comment les appliquer. C'est également l'occasion idéale d'intégrer un élément « plaisir » à la séance d'entraînement. Par exemple, plutôt que de commencer un exercice 3 contre 3 à partir d'une position statique, l'entraîneur commence l'exercice en faisant en sorte qu'un joueur doive empêcher le ballon de sortir des limites du terrain.

MANIEMENT DE BALLE (INDIVIDUEL ET AVEC PARTENAIRE). Tous les joueurs doivent apprendre à manier le ballon. La capacité de manier le ballon sans le regarder, contre la pression défensive, aussi bien avec une main qu'avec l'autre est l'une des habiletés les plus importantes qu'un entraîneur doit travailler. Cela peut être réalisé en UTILISANT LA MAIN GAUCHE (OU CÔTÉ GAUCHE DU TERRAIN) À CHAQUE EXERCICE. En amorçant les exercices du côté gauche, on force les joueurs à utiliser leur main gauche. La main droite se développera aussi dans ces situations. L'inverse n'est pas vrai; la main gauche ne se développe pas si vous faites des exercices où les joueurs peuvent commencer avec leur main droite.


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CONCEPTS OFFENSIFS COUPER ET REMPLACER - Un mouvement du joueur, lorsqu'il est fait au bon

moment, met une pression énorme sur le défenseur. Les joueurs doivent apprendre à avoir le bon rythme et savoir comment et à quel moment couper :

Un contact visuel avec le porteur de ballon est le signal du moment où il faut couper.

Deux vitesses; lentement puis rapidement. Le joueur offensif jouit d'un grand avantage puisqu'il sait quand il va couper. Sur une courte distance, ce qui est le cas quand on coupe, la personne qui commence à courir en premier peut gagner chaque fois.

Avant de couper, le joueur doit agrandir son espace. Si le défenseur est bas sur le terrain, amenez-le encore plus bas avant de remonter sur le terrain. Si le défenseur est haut, forcez-le à remonter davantage avant de couper par la porte arrière.

La ligne de trois points est un cadre de référence. Si un joueur est contesté à la ligne de trois points, coupez au panier. Il n'est nullement efficace de se positionner à l'extérieur de la ligne de trois points pour attraper une passe si notre efficacité à cette distance du panier est limitée.

Lorsque vous coupez, allez jusqu'au panier. Le joueur doit se placer de façon à voir le ballon. Sortez vers l'espace ouvert.

On ne veut pas que les joueurs se remplacent eux-mêmes, c'est-à-dire qu'ils retournent à l'endroit d'où ils ont coupé.

Lorsqu'un joueur coupe, il ne doit pas recevoir la passe tant qu'il n'a pas atteint la bouteille ou la ligne de trois points. Une passe à un joueur à mi-chemin limite sa capacité d'anticiper la défense.

EXPLOITER L'AVANTAGE D'UNE SECONDE - L'anticipation est préférable à l'action-réaction. Le joueur qui n'a pas le ballon doit jeter un coup d'œil furtif à son défenseur en tournant la tête lorsqu'il se prépare à recevoir la passe. Il est ainsi en mesure de savoir ce que fait le défenseur avant d'attraper le ballon. Cela lui donne un avantage d'une seconde et force le défenseur à reprendre sa position.

ENSEIGNEMENT DU 2 C 1 - Une fois que le joueur offensif a battu son opposant et bénéficié d'un avantage d'une seconde, il doit maintenant lire le jeu du prochain défenseur. Cela crée une situation 2 contre 1 pour l'offensive. Le joueur offensif doit maintenant prendre la décision de lancer ou de transférer cet avantage d'une seconde à un coéquipier. Cela se fait en demi-terrain ou sur le terrain entier. Le porteur du ballon ne doit pas lancer s'il est couvert par un défenseur. Il doit trouver un joueur libre et prêt à recevoir la passe. Le joueur qui n'a pas le ballon doit se déplacer pour être en mesure de recevoir la passe et pour forcer une longue récupération par la défensive.


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1 C 1 AVEC 5 JOUEURS – Dans le 1 c 1 traditionnel de la NBA, vous voyez souvent du basketball d'isolation. Un joueur se mesure à un défenseur en ignorant souvent ses coéquipiers. Cela mène souvent à des lancers forcés contre la défensive. Ce n'est pas la façon de jouer le 1 c 1 que nous préconisons. Tous les jeux 1 c 1 doivent être faits en considérant les cinq joueurs sur le terrain. Les joueurs doivent apprendre à jouer avec leurs coéquipiers. Lorsqu'un joueur offensif crée un avantage d'une seconde, il transfère cet avantage à un coéquipier qui est libre en lui faisant une passe, si son défenseur est venu en aide. Cela constitue l'essence d'un bon jeu de basketball en équipe. Lorsqu'un joueur force un lancer au panier alors qu'un coéquipier s'est dégagé, cela envoie un message précis à ce dernier : « Je n'ai pas confiance que tu fasses bon usage de notre avantage d'une seconde ». La passe est une des plus importantes façons de construire une relation positive entre les joueurs d'une même équipe En faisant une « bonne passe » à un coéquipier, vous faites de lui un meilleur joueur. Une « bonne passe » en est une qui arrive à temps et au bon endroit, afin de permettre de conserver l'avantage d'une seconde.

N'ARRÊTEZ PAS LE BALLON. Lorsqu'un joueur conserve ou immobilise le ballon pendant quatre secondes ou qu'il dribble sans vraiment aller nulle part, la passe qu'il fait par la suite est souvent une « mauvaise passe ». Lorsque la passe est trop haute, trop basse, trop courte ou trop longue, elle force le receveur à s'éloigner de sa position d'où il aurait peut-être pu marquer. L'offensive est ainsi obligée de créer un nouvel avantage d'une seconde, parce que la défensive a maintenant la chance de se ressaisir. En gardant le ballon en mouvement pendant que l'on bénéficie de l'avantage d'une seconde, on maintient la défensive en mode de rattrapage.


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JOUER À DES JEUX D'ENFANTS

Quatre coins Disposez quatre cônes de façon à former un carré. La taille du carré sera déterminée selon le niveau d'habileté des joueurs. Un joueur prend place à côté de chacun des cônes et un autre s'installe au centre. Les joueurs à l'extérieur marquent un point chaque fois qu'ils réussissent à se déplacer d'un cône à un autre. Le joueur du centre peut en sortir lorsqu'il réussit à se rendre à un cône libre avant un des joueurs du périmètre.

Les joueurs devront prendre des risques. Ils doivent communiquer avec un coéquipier et le convaincre de changer de place. Cela implique la confiance. Les joueurs ont le droit de faire une feinte et revenir à leur cône. Ils doivent apprendre à attaquer par l'arrière, c'est-à-dire derrière le joueur du centre. Ce jeu est très ennuyant si chacun joue de façon à ne pas perdre et ne prend pas les devants.

Si vous avez douze joueurs dans votre équipe, vous pourriez utiliser une formation en étoile aux deux extrémités du terrain. Les douze joueurs pourront ainsi participer sans avoir recours à des substituts.Une fois que les joueurs ont compris le fonctionnement du jeu, introduisez les ballons. Au début, la personne qui est au centre n'a pas de ballon; seulement les joueurs qui sont dans le périmètre. Éventuellement, tout le monde aura un ballon.


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DrapeauDivisez le groupe en deux équipes égales. On attribue à chaque joueur un numéro qui correspond à un joueur de l'autre équipe ayant des habiletés similaires. Les 2 équipes s'alignent le long des lignes début-fin. Lorsque l'entraîneur crie un numéro, les joueurs correspondants de chaque équipe s'avancent. Il existe trois façons de marque un point :

En volant le drapeau et en retournant à sa ligne début-fin sans se faire toucher.

En touchant au joueur qui a volé le drapeau avant qu'il n'ait eu le temps de retourner à sa ligne début-fin.

En forçant le joueur adverse à traverser la ligne médiane avant que vous n'ayez pris le drapeau.

Pour y arriver, vous devez faire semblant de prendre le drapeau et de vous enfuir avec, forçant ainsi l'adversaire à traverser la ligne. Le jeu peut être bonifié en ajoutant des ballons de basketball au fur et à mesure que les habiletés des joueurs s'améliorent.

Chasseur Il s'agit du jeu de la tague, mais avec une légère différence. Le seul joueur qui ne peut avoir la tague de la part du chasseur est celui qui a le ballon. Le porteur du ballon peut courir avec le ballon et a tout avantage à rester près du chasseur. Lorsque le chasseur tente de donner la tague à une personne, le porteur de ballon peut passer le ballon à cette personne; ainsi, elle ne peut pas avoir la tague. Lorsque le chasseur donne la tague à quelqu'un, cette personne devient le chasseur. Les joueurs qui n'ont pas le ballon doivent s'assurer de voir le ballon lorsqu'ils s'éloignent du chasseur. En tournant le dos au ballon, un joueur ne peut pas recevoir la passe qui le protégera de la tague. Vous pouvez définir un temps limite pour le chasseur pour que tous aient une chance. Deux parties plus courtes sont préférables à


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une partie très longue.

Tague-passe Au début du jeu, deux joueurs ont la tague. La tague ne peut être transmise que par le porteur de ballon. Le joueur qui a le ballon ne peut pas courir. Les joueurs qui ont la tague peuvent se déplacer quand ils n'ont pas le ballon. Ils doivent travailler en équipe en se passant le ballon et en déplaçant pour isoler un joueur en vue de lui donner la tague. Une fois qu'il a reçu la tague, un joueur se joint au groupe de ceux qui ont la tague. Continuez jusqu’à ce que tous les joueurs aient la tague.


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Habiletés

FORME DU TIR EN FOULÉE - Phase A

Tir en foulée en puissance 1, 2Ce tir est en foulée est une habileté très importante pour les joueurs qui apprennent à circuler dans le trafic. Le jeu de pieds est le même que pour le tir en foulée standard; on le commence sur le pied extérieur suivi rapidement du pied intérieur. La seule différence est que le joueur ne continue pas le mouvement en montant le pied extérieur. Il s'élève en prenant appui avec les deux pieds.

Pivot vers l'extérieurSi un problème se pointe, le joueur peut utiliser le pied extérieur pour s'éloigner. S'il y prend goût, le joueur pourra aussi développer un léger crochet à partir de cette position.


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Un pas à travers la défensive Si le défenseur se rapproche, le lanceur peut continuer son pivot pour « passer à travers » l'obstacle que représente le défenseur. Tout au long du mouvement, le joueur reste fort et en équilibre.

Il est important maintenant d'ajouter quelques phases d'enseignement.

Phase B - l'entraîneur guide Maintenant, quand le joueur s'avance, l'entraîneur lui propose différentes lectures de jeu :

Si l'entraîneur n'est pas là, faites un tir en foulée à vitesse normale S'il y a risque de contact, utilisez un tir en puissance 1, 2 Si l'entraîneur est prêt à bloquer; faites un pivot d'éloignement. Si l'entraîneur s'avance, utiliser le « up and under »

Phase C – contre une défensive réelle Ici, le défenseur donne à l'attaquant un léger avantage d'une seconde. Le jeu commence dès que le ballon est posé au sol.


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Phase C – contre une défensive d'aide réelleLe joueur offensif fonce au panier et doit maintenant lire le jeu du défenseur en aide.

Phase D - compétitionner 2 contre 2 On combine maintenant les deux exercices. Lorsque le joueur à l'offensive bat le défenseur, il doit lire la défensive d'aide. Poursuit-il avec un tir en foulée ou une passe ?


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LANCER

Points sur lesquels il faut mettre l'accent Préparation des mains Enseignement en trois phases (1-2-3) Alignement (coude – genou – pied) Extension des bras (jusqu'à ce que le ballon touche l'anneau) Mettre la main dans le panier (vérifiez la forme du lancer) Quand utiliser un arrêt en 1 temps vs un arrêt 1-2 ou un pivot intérieur

PRÉPARATION DES MAINS Développer le bras du lanceur

La préparation de la main et du bras sont des éléments clésA. Marchez et montrez votre main qui lance : gardez les bras le long du corps, levez l'avant-

bras qui lance en pliant le coude à 90 degrés. Faites une flexion dorsale de la main qui lance de façon que la paume pointe vers l'avant.

B. Marchez et montrez vos deux mains : gardez les bras le long du corps, levez l'avant-bras qui lance en pliant le coude à 90 degrés. Faites une flexion dorsale de la main qui lance de façon que la paume pointe vers l'avant. La paume de la main qui ne lance pas doit rester perpendiculaire à l'autre paume. Le ballon devrait tenir dans les mains. Le joueur est maintenant près à attraper le ballon sans avoir à bouger les mains.


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C. Tout le monde a un ballon. Chaque joueur lance le ballon et le rattrape en plaçant ses mains dans la bonne position. La main forte est derrière, le poignet relevé; la main faible est sur le côté.

D. Tout le monde a un ballon (à 3 ou 4 mètres du panier). Lancez le ballon et décortiquez la forme du lancer : chaque joueur tient le ballon sur sa hanche; ramenez le ballon devant l'épaule

DÉCOMPOSITION DU MOUVEMENT EN 3 PHASES (1 – 2 – 3) Phase 1 : Position triple menace - Cette position permet au joueur de lancer, d'envoyer le ballon

au sol et de passer sans avoir à faire un autre mouvement pour changer de position. Alignement du lancer - Le joueur descend les hanches et s'assure que le genou est aligné avec la plante du pied. Le coude est en ligne avec le genou.

Phase 2 : Relevez le ballon au-dessus du front, devant le visage. Les hanches et les jambes sont fléchies, comme un ressort comprimé. Assurez-vous que le ballon repose bien sur les doigts, comme un serveur qui tient un plateau. Le coude doit être sous le ballon.

Phase 3 : Finissez le lancer. - Extension du bras.- Ouvrez la main, les doigts pointant en direction du ballon- Talons relevés, poids sur les orteils.- Chaque joueur doit vérifier sa position des bras et des mains et s'autocorriger au

besoin.


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Diagr. A-B Diagr. C Diagr. D

2-3 dribbles, arrêt avec saut et forme du lancer en 3 phases (1-2-3)

*ASSUREZ-VOUS DE LANCER LE BALLON EN VOUS SERVANT DE VOS JAMBES ET DE FINIR SUR LA POINTE DES PIEDSÀ chaque phase (armement, élévation, déclenche), le joueur doit attendre une seconde (pour vérifier sa position) avant de passer à la phase suivante, pour laisser le temps à l'entraîneur de vérifier si la position est correcte. L'entraîneur doit dire au joueur quelle phase n'est pas correcte et le joueur doit y porter son attention.

(Diagr. 1) Tir après 1 dribble - Tout le monde commence en tenant le ballon dans la main gauche, bras tendu vers l'extérieur, genoux pliés : laissez tomber le ballon au sol, avancez-vous vers le ballon et attrapez-le avec les deux mains (simuler une réception venant de la gauche), transférez-le vigoureusement à droite tout en faisant un pas croisé avec le pied gauche pour amorcer un dribble de la droite, saisissez le ballon et lancez en respectant les 3 phases. Les joueurs font l'exercice quelques fois à droite puis à gauche. Arrêt avec saut et lancer : Il est préférable de faire un arrêt en 1 temps. Cela permet au joueur de convertir rapidement l'énergie horizontale en énergie verticale. Cependant, si le joueur n'est pas suffisamment fort, il se peut qu'il fasse un arrêt avec saut sur deux pieds.

Lorsque le joueur attaque de la droite avec sa main faible, il doit ramener le bras pour saisir le ballon de façon que ses mains soient déjà dans la bonne position sur le ballon. Lorsque le joueur attaque de la gauche avec sa main dominante, il doit essayer de ramasser le ballon en plaçant la main qui lance derrière et sous le ballon, aussi vite que possible. Il doit essayer d'éviter d'avoir à faire pivoter le ballon dans sa main.


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Phase 1 Phase 2 Phase 3

(Diagr. 2) Lancer - joueurs dans deux files : Un groupe de joueurs se place en file sur la ligne de fond, les autres sont en file en haut, à la ligne de 3 points. Le joueur du haut coupe et se concentre sur la préparation des mains et le jeu de pieds pour recevoir la passe puis sur le respect des 3 phases du lancer. Ensuite, le passeur coupe pour recevoir la passe du joueur en haut et se concentre sur les 3 phases du lancer. (1-2-3, ARRÊT AVEC SAUT SUR UN PIED)

(Diagr. 3) Faire une passe à l'entraineur, courir jusque derrière l'entraîneur, prendre la passe main à main et faire un arrêt 1-2 pour lancer. Point à souligner par l'entraîneur : À chaque exercice de lancer, examinez et corrigez les joueurs, et spécifiez LA PHASE SUR LAQUELLE ils devraient porter leur attention pour avoir la meilleure forme de lancer possible.

*Pour pratiquer la forme du lancer, le mouvement doit être exécuté lentement. Les joueurs ne devraient jamais dépasser la vitesse à laquelle ils peuvent effectuer le mouvement correctement.

Lancer franc - Respiration profonde- Imaginez le ballon qui entre dans le panier avant de lancer- Plier les genoux et lancer (1-2-3)

Les exercices pour pratiquer la forme du lancer devraient être faits durant les 20 à 30 premières minutes d'une séance d'entraînement, pendant que les joueurs sont en forme mentalement et physiquement. Les exercices de lancer en situation de jeu peuvent être effectués à n'importe quel moment de la séance d'entraînement. Ici, nous nous concentrons sur la forme du lancer.


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Diagr. 1 Diagr. 2 Diagr. 3

Exceptions selon les différents types corporels

- Les joueurs qui ont les épaules larges peuvent avancer légèrement leur pied du côté du tir afin d'amener leur épaule au-dessus de leur genou.

- Ceux qui ont les épaules plus étroites peuvent rester en position plus facilement.- Les personnes grandes et minces peuvent faire un pas encore plus grand.

Oeil dominant

L'œil dominant du joueur influence la façon dont il voit le panier. Parfois, le joueur tourne légèrement la tête pour que son mouvement lui soit dicté principalement par son oeil dominant. Un tireur « à dominance mixte » (droitier avec oeil gauche dominant ou vice versa) aura tendance à tenir le ballon plus près de son oeil gauche au moment où il décoche son tir. Les entraîneurs doivent tenir compte de ces idiosyncrasies. Il ne s'agit pas d'erreurs dans la technique de lancer des joueurs.

Test papier pour déterminer l'œil dominant – Demandez aux joueurs de faire un tube avec une feuille de papier. Demandez-leur de repérer un objet et de le regarder à travers le tube avec les deux yeux. Demandez-leur ensuite de regarder l'objet en fermant un œil à la fois et de constater ce qui se produit. Si l'objet reste fixe, l'œil qui regarde est l'œil dominant. Si le tube se déplace lorsqu'il ferme l'œil, l'œil fermé est l'œil dominant.

Les facteurs les plus importants pour effectuer un bon tir sont : 1) Préparation des mains2) Flexion des genoux et très légère flexion des hanches (position assise très légèrement vers

l'avant)3) La préparation et la finition de chaque tir doivent être identiques - en équilibre

« Si les joueurs ne font pas ces étapes correctement ou s'ils en omettent une, ils ne sentent pas le


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mouvement. »


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Enseignement du tir

Phase A - Forme du lancer (1, 2, 3) arrêt avec saut, attrapé du ballon, position du corps, extension du bras, finition du mouvement et déclenche en douceur.

Phase B - Constance dans l'exécution du mouvement, sans ajout de pression, lancer sans limite de temps et pourcentage.

Phase C - Exercices avec stress : tir en présence d'un défenseur, distance de lancer et pourcentage, lecture de la défensive

Phase D - Lancers en situation de jeu, enseigner la forme du lancer en tenant compte du rythme de jeu.

Il est important que chaque joueur soit capable de s'adapter au rythme et à l'intensité du jeu. La forme du lancer doit être ajustée selon les caractéristiques de chaque joueur.


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PASSE (Enseignement progressif)

Effectuer une passe n'est pas une habileté individuelle comme lancer au panier ou manier le ballon. Il s'agit plutôt d'une habileté de base avec laquelle un joueur amorce une relation avec un coéquipier. Une passe bien faite à un coéquipier signifie : « Je te respecte et je veux qui tu réussisses. » Une mauvaise passe qui oblige le receveur à attraper le ballon comme un gardien au soccer signifie : « Je ne te respecte pas et je me fous que tu réussisses ou pas. » Un joueur qui choisit de ne passer pas le ballon à un coéquipier qui est libre et opte pour un mauvais lancer contesté dit : « J'aime mieux faire un mauvais lancer que de te faire une passe. » Les grandes équipes sont celles qui passent fièrement le ballon.

Si vous ne passez pas à un coéquipier libre ou si vous faites une mauvaise passe = mauvaise relation (aucune confiance). Si vous passez à un coéquipier libre ou si vous faites une bonne passe = bonne relation (confiance).

Les différentes situations de jeu déterminent le type de passe qu'il faut faire. Lisez bien la défensive pour choisir le type de passe que vous devez effectuer. Chaque joueur de l'équipe doit apprendre à bien passer. Laissez aux joueurs la possibilité de choisir le plus grand nombre de types de passe possible.

Points clés : Préparation des mains (receveur) – « Montrez vos mains » Placer le ballon à l'endroit d'où il doit être passé – « À partir de l'épaule » Synchronisme (passeur) et cible (receveur) – « Au bon moment et sur la cible » Faire une passe sous pression (pied de pivot) – « Gardez le ballon devant votre pied de

pivot » Écourter la passe (passeur et receveur) – « Faites un pas vers l'avant »

Lorsque vous enseignez comment exécuter une passe, invitez d'abord le joueur à adopter une bonne position (phase 1 de la forme du lancer). Le joueur doit avoir le poignet « engagé », prêt à passer, à dribbler ou à lancer.

Le receveur doit aussi être en position « prêt » et doit montrer ses mains.


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Passe de côtéCommencez d'abord par pratiquer les passes en groupes de trois joueurs placés en triangle. Les joueurs pourront ainsi pratiquer la passe de côté qui est plus fréquente que la passe poitrine lorsqu'il y a une défensive.

Le passeur et le receveur sont tous deux responsables d'écourter la passe.

Cela se fait en avançant d'un pas lorsqu'on fait ou qu'on reçoit la passe. Un bon passeur doit être capable de faire ce pas avec n'importe quel pied (en fonction du pied de pivot). Points clés à évaluer :

Le joueur utilise la manœuvre universelle du fouetté du poignet comme lorsqu'il lance au panier.

La main qui guide participe au mouvement. La passe n'est pas faite avec une seule main, mais bien avec 1 1/2 main.

S'assurer d'utiliser les deux pieds pour le pivot. Le pas est court, ce qui permet au joueur de :

o Générer de la puissance dans la direction de la passeo Écourter la passeo Le joueur peut changer d'idée et reculer le pied si le couloir de passe n'est pas libre.

Vous remarquerez que les épaules du passeur se rapprochent du genou au moment de la passe. Cela favorise un meilleur équilibre et contribue à générer de la puissance.

Détection des erreursIl arrive souvent qu'un joueur croise ses cuisses lorsqu'il fait un pas en croisé. Il se retrouve ainsi en position de déséquilibre. En faisant ce pas, le joueur doit tourner ses hanches de manière à rester en équilibre et à ne pas croiser les cuisses.


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Passe circulaire Les joueurs doivent être en mesure d'effectuer une passe circulaire lorsqu'ils sont en position prêt. Cette passe est nécessaire lorsque le défenseur est près. Il est important que l'entraîneur puisse expliquer la légère différence qu'il y a entre ces deux passes. La passe de côté est effectuée à partir de l'épaule. La passe circulaire est davantage un lancer du bras, effectué de côté, pour contourner le défenseur. Voilà pourquoi le coude doit diriger très légèrement le ballon avant le lancer. Si le coude est trop prédominant, le joueur ne peut générer de la puissance qu'à partir du fouetté du poignet. Il s'agit toujours d'une passe faite avec 1 1/2 main.

Pendant la pratique de la passe circulaire, le receveur doit déterminer une cible à l'extérieur de son corps et doit se déplacer pour attraper le ballon.

Il est maintenant temps d'ajouter la passe exécutée à partir du dribble. Les joueurs doivent pouvoir effectuer la passe de côté et la passe circulaire à partir d'une position stationnaire et à partir du dribble. Assurez-vous de faire l'exercice à gauche et à droite.

Il est essentiel que l'entraîneur souligne l'importance du synchronisme de la passe. Au moment de la passe, le receveur doit aller à la rencontre du ballon au bon endroit et au bon moment. Pour aider les joueurs, l'entraîneur peut utiliser des mots comme au bon moment, trop tard ou trop tôt pour qualifier le synchronisme. Des indications telles que sur la cible, haut, bas, à l'intérieur et à l'extérieur peuvent aider les joueurs à comprendre à quel endroit ils doivent exactement passer.

EXERCICESPasse triangulaire : Enseignement progressif en groupes de trois. Les joueurs pratiquent la forme de la passe - passe à partir de l'épaule ou passe circulaire (à l'extérieur de la ligne de l'épaule). Passe à partir de l'épaule : part de l'épaule et est exécutée en ligne droite.Passe circulaire : Part de l'épaule, mais quitte la ligne de l'épaule pour contourner le défenseur.


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Points sur lesquels il faut mettre l'accent : Avancer d'un pas vers la cible Le ballon doit être à la hauteur de l'épaule (phase 1) pour effectuer la passe Terminer la passe en finissant bien le mouvement, comme à la phase 3 du lancer (il s'agit

de la manœuvre universelle du fouetté du poignet utilisé pour la passe, le dribble ou le tir) Le passeur doit rapprocher sa poitrine de son genou (il doit rester bas) Le receveur doit faire un petit pas vers l'avant, en direction du passeur, afin d'écourter la

passe.

Essayez de toujours faire votre passe avec le bras qui se trouve du même côté que la cible (main droite lorsque vous passez à droite et main gauche lorsque vous passez à gauche) et effectuez la passe uniquement si le receveur vous indique une cible en montrant ses mains.

Diagr. A – Le passeur regarde le receveur (contact visuel) et attend que ce dernier lui montre ses mains (cible). La passeur fait un petit pas et fait une passe à partir de l'épaule au receveur. Le receveur fait un pas avec le pied le plus près du passeur lorsque le ballon quitte les mains de ce dernier (synchronisme) À la réception de la passe, le receveur pivote puis fait un pas croisé avant de faire la prochaine passe. Les joueurs ne doivent jamais croiser leurs fémurs en exécutant cet exercice. Sinon, ils perdront l'équilibre. Passe triangulaire : Même exercice que celui illustré au diagramme A, mais en ajoutant une défensive guidée. Le receveur doit indiquer la cible et retenir le défenseur avec son avant-bras avant d'avancer à la rencontre de la passe. Faites un pas croisé avant la prochaine passe.

Diagr. B – Passe triangulaire : le passeur dribble une fois avant de faire la passe. Le passeur retourne à son point de départ. Le receveur va à la rencontre de la passe en avançant de quelques pas avant de l'attraper. Attrapez le ballon du côté du pied le plus près du passeur. Faites un pas en croisé (le pied le plus loin du premier passeur est le pied de pivot) avant de faire la passe au prochain receveur.


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Diagr. A Diagr. B Diagr. C

Diagr. C – Ajoutez une défensive allégée (Phase C de la progression de l'enseignement). Même exercice que celui illustré au diagramme B, mais en ajoutant une défensive guidée. Le joueur offensif doit retenir le défenseur avec son avant-bras avant de se libérer pour attraper la passe. Le joueur dribble à côté de son défenseur en vue de faire la prochaine passe.

AU BON ENDROITDiagr. 1 – Groupes de deux. Un joueur montre ses mains alors que l'autre pratique les passes de l'épaule ou les passes circulaires. Le receveur doit aller vers la passe en avançant d'un pas.

Diagr. 2 - Même configuration que l'exercice précédent, mais cette fois, le porteur se déplace d'un côté à l'autre. Lorsque le receveur montre ses mains, le passeur doit prendre le ballon et exécuter une passe de l'épaule pour que le receveur la reçoive au bon moment (il faut que le ballon et le receveur arrivent en même temps à l'endroit désigné). Le receveur doit toujours aller à la rencontre de la passe en avançant d'un petit pas et doit attraper le ballon avec les deux mains.

Diagr. 3 - Variation, ajoutez une défensive allégée qui fait face au passeur. Aucun contact visuel; le défenseur ne peut pas voir où le ballon sera envoyé. Le passeur doit travailler ses feintes. Le passeur passe à l'endroit prévu et non pas à l'endroit d'où part le receveur. Le receveur doit se déplacer en premier en indiquant a cible.


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Diagr. 1. Diagr. 2. Diagr. 3.

Passe circulaire sur la cible, sur la main du receveur après qu'il se soit déplacé pour se libérer. Le passeur passe le ballon à partir du dribble. Le défenseur tente de voler le ballon.

Passe circulaire sur la cible, sur la main du receveur après qu'il se soit déplacé pour se libérer. Le passeur lance le ballon à partir du dribble.

Passe vs pression Voici une version du XOX qui met l'accent sur la lecture de la fenêtre ouverte. Elle contribue à développer l'habileté de prise de décisions des passeurs. Dans cette version, le passeur reste sur place et le défenseur dribble le ballon. Le dribbleur peut changer de main et tente de faire dévier la passe. Le passeur doit faire une lecture pour déterminer laquelle des cinq fenêtres est ouverte afin d'effectuer sa passe. Il est recommandé de commencer l'exercice en gardant le passeur et le receveur près l'un de l'autre. Sinon, les passes risquent d'être de mauvaise qualité.

Dans la deuxième version, le passeur dribble lui aussi. Vous pouvez bonifier l'exercice en demandant aux passeurs de passer le ballon aux receveurs uniquement lorsque ceux-ci montrent la cible. On n'insistera jamais trop sur le fait que l'entraîneur doit détecter les erreurs et les corriger. Plusieurs joueurs se concentreront sur le résultat et feront des passes molles ou en lob au-dessus de la tête. L'entraîneur doit veiller à ce que les joueurs se concentrent sur l'exécution. Les joueurs doivent s'assurer d'utiliser le bon jeu de pieds et d'avoir une bonne position du corps.

Dans la dernière version, le défenseur ne dribble pas. Il peut maintenant couvrir deux des cinq fenêtres.

Feinte de passeDemandez au passeur de ne faire QU'UNE SEULE feinte lorsqu'il passe à un coéquipier. Cela se fait par un haussement d'épaule et un léger mouvement du ballon. Le mouvement peut être dirigé vers le haut ou vers le bas. Le passeur doit conserver une position compacte afin de pouvoir lire rapidement la réaction du défenseur et ainsi faire une passe de qualité. Si le défenseur réagit au mouvement vers le haut, passez sous ses bras. S'il ne réagit pas, faites la passe à la hauteur de son oreille. L'inverse est vrai s'il réagit au mouvement vers le bas.

Lorsque le joueur offensif fait plusieurs feintes, le défenseur se met à bouger les bras de façon aléatoire. Les chances que le ballon soit dévié augmentent.


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Feinter le défenseur avec le ballon Il est aussi important que le passeur apprenne à faire une feinte avec le ballon devant le défenseur. Dans cette version du XOX, le défenseur joue dos au receveur. Le passeur et le receveur doivent communiquer avec les mains pour indiquer la cible et définir où la passe doit être faite. Le défenseur tente de lire les yeux du passeur. Un défenseur futé devinera que, parfois, la passe est dirigée dans la direction opposée du regard du passeur. La feinte doit être convaincante. Le synchronisme de la passe et du mouvement du receveur est très important. Le receveur doit d'abord se démarquer. Le passeur est ainsi en mesure de juger de la vitesse et du synchronisme de la passe.

Dans cette version, les deux défenseurs dribblent. Les deux joueurs offensifs ont donc un léger avantage. Par le fait même, les défenseurs améliorent leur capacité de dribbler sans regarder le ballon.

Dans la dernière version, les défenseurs n'ont pas de ballon.

FAIRE UNE PASSE AU BON MOMENT ET DIRECTEMENT SUR LA CIBLE Diagr. 4 (5 – 6) – Le passeur et le défenseur dribblent tous deux un ballon, l'un en face de l'autre. Le receveur est environ à 3 mètres derrière le défenseur. Le passeur doit regarder le jeu afin de passer le ballon au receveur au bon moment et au bon endroit, soit en passant par-dessus la main de dribble du défenseur ou par-dessus sa tête. Le défenseur a le droit de rabattre la passe avec la main opposée. Le défenseur a le droit de dribbler en changeant de main. Bonifiez l'exercice en ajoutant un défenseur avec ballon.


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SUGGESTIONS : Passez le ballon d'épaule à épaule. Restez bas lorsque vous pivotez et utilisez vos jambes pour avoir un meilleur

équilibre au moment du contact physique. Amenez le ballon à l'extérieur du corps du défenseur et maintenez-le avec vos deux

mains jusqu'à ce que vous fassiez une passe (1 1/2 main) Déplacez le ballon en utilisant des mouvements courts et énergiques. Les bras ne

doivent pas être allongés lors d'une feinte. Vous n'avez besoin de faire qu'une seule feinte. Sous pression, votre pied de pivot est toujours celui qui se trouve le plus loin de la

défensive.

FAIRE UNE PASSE AU BON MOMENT ET DIRECTEMENT SUR LA CIBLE (DÉFENSIVE SUR LE PASSEUR)Remarque : Progression de l’enseignement :

Phase A - L'exercice se fait sans défensive (1 contre 0, 2 contre 0, etc.) Phase B – L'entraîneur guide les actions du joueur offensif Phase C – Ajout d'une défensive guidée Le défenseur doit se placer de manière à donner

un avantage d'une seconde au joueur offensif.

Passer pour gagner : Diagr. 7 - Phase A - Une file dans chaque coin, à l'extérieur de la ligne des trois points et une file au haut de la bouteille où chaque joueur a un ballon. L'entraîneur se place derrière le porteur de ballon. Le porteur de ballon dribble d'un côté à l'autre en balayant le terrain du regard. L'entraîneur lève le bras pour signaler au joueur du côté désigné de couper et de recevoir la passe. Le recevoir doit synchroniser le moment où il coupe avec celui où le passeur est prêt à lancer. À la réception, le receveur doit continuer à se déplacer et attaquer par le milieu ou par la ligne de fond (1 contre 1 dynamique). Le passeur coupe ensuite vers le panier et


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2 c 2 : les défenseurs doivent voler le ballon pour devenir joueur offensif.

Passe sous pression : le passeur et le défenseur doivent tous deux dribbler le ballon. Le receveur doit se libérer pour recevoir la passe.

prend la place du receveur. Points sur lesquels il faut mettre l'accent : Le porteur de ballon doit faire la passe au bon moment à l'endroit désigné (à l'extérieur de la ligne de trois points, à la hauteur de la ligne de lancer franc). Il s'agit du synchronisme qu'il doit y avoir entre le passeur et le receveur. Il arrive trop souvent que le receveur coupe trop vite, avant même que le passeur ne soit prêt à lancer. Après avoir répété l'exercice quelques fois, nous ajouterons un défenseur sur le porteur de ballon (tel qu'illustré dans le diagramme). Il s'agit de la Phase C de la progression de l'enseignement.

Il est important que le passeur se trouve du même côté du terrain que le receveur. Écourtez la passe en amenant le ballon du bon côté du terrain avant de passer.

Passe à un joueur coupant par la porte arrière : Diagr. 8 - Passe à un joueur coupant par la porte arrière : Même exercice, mais cette fois, une feinte de passe à partir de l'épaule indique au joueur de couper par la porte arrière. Le passeur doit faire une passe rebond dans la bouteille ou une passe au-dessus la tête vers le joueur qui coupe au panier. Après quelques répétitions, ajoutez un défenseur sur le porteur de ballon.Diagr. 9 : Le joueur qui n'a pas le ballon décide s'il coupe par la porte arrière ou s'il attrape le ballon et pénètre.

DÉFENSIVE SUR LE RECEVEURDiagr. 10 – 11 - Phase C - Ajoutez un défenseur. Les joueurs peuvent commencer à partir de

différents endroits sur le terrainDiagr. 12 - Phase C - Ajoutez un défenseur sur le porteur de ballon (2 contre 2).


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2 c 1 : L'entraîneur indique au receveur qui doit couper, et il indique également qu'il faut couper par la porte arrière. Le passeur doit prendre rapidement une décision.

2 c 1 : l'entraîneur indique quel joueur recevra le ballon et jouera le 1 contre 0. Le passeur doit dribbler avant de passer.

2 c 1 : L'entraîneur désigne le receveur qui jouera un 1 contre 0 ou qui coupera par la porte arrière. Il doit prendre une décision rapidement.

FAIRE UNE PASSE SOUS PRESSION (1 contre 1 pied de pivot) Diagr. 13 – 14 – 15

Diagr. 13 – 14 – 15 – Passez progressivement du 1 contre 1 au 3 contre 3, aux 3/4 du terrain : Le porteur de ballon doit maintenir son dribble jusqu'à ce que le receveur lui indique une cible. Un premier groupe de deux joueurs commencent à la ligne de lancer franc et joue un 1 contre 1 sur tout le terrain. Le prochain groupe de deux joueurs attend son tour. Le dribbleur doit garder le regard haut et balayer le terrain à la recherche des receveurs. Dans le diagr. 13, un des deux entraîneurs montre ses mains. Dans le diagr. 14, le joueur offensif se démarque pour être prêt lorsque le dribbleur sera en position de faire la passe. Dans le diagr. 15, les deux joueurs offensifs ont un léger avantage d'une seconde. La passe doit être faite au bon moment et être directement sur la cible. Respectez l'endroit convenu.


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2 c 1 : Le défenseur est devant le joueur offensif et fait face au ballon. Le joueur offensif décide à quel moment il doit se libérer et joue un 1 contre 1.

2 c 1 : Le défenseur est devant le joueur offensif et fait face au ballon. Le joueur offensif décide à quel moment il doit se libérer et joue un 1 contre 1.

2 c 2 : Le joueur sous le panier décide où il veut recevoir le ballon.


Dans la mesure du possible, faites toujours votre passe avec la main du côté du receveur; c'est-à-dire utilisez la main droite du côté droit et la main gauche du côté gauche. Faites une passe seulement à un joueur qui montre ses mains.

ÉCOURTER LA PASSE (sous pression)Le joueur offensif établit un contact avec le défenseur pour éviter d'être contesté (Diagr. 16). Coupez par la porte arrière si le défenseur défend le joueur offensif en interception, contournez le défenseur et retenez-le avec l'intérieur de l'avant-bras (Diagr. 17). Écourtez la passe en allant à la rencontre de la passe avec un petit pas vers l'avant tout en retenant le défenseur avec l'intérieur de l'avant-bras.Diagr. 16 – 1 contre 1 Se libérer (le défenseur joue en faisant face au panier) et attaquer le panier

(deux dribbles max.)Diagr. 17 – 1 vs. 1 Se libérer + couper par la porte arrière (le défenseur joue en faisant face au ballon)Diagr. 18 – Le ballon doit être passé dans la bouteille ou à la ligne de 3 points

PASSE DANS LA BOUTEILLE SOUS PRESSIONDiagr. 19 – 20 – 21 : Le joueur offensif tente de se positionner dans la bouteille en utilisant un jeu de pieds extérieur-intérieur pour sceller le défenseur (le pied de pivot est celui qui est le plus loin du défenseur). Le pas extérieur/intérieur permet au receveur de foncer et de placer le défenseur dans son dos. Le passeur se trouve au haut de la bouteille. Il doit passer uniquement dans la bouteille. Dès qu'il reçoit le ballon, le joueur offensif tente de marquer un panier. Si le défenseur reste derrière, utilisez une passe rebond. S'il joue une défensive 3/4, utilisez une passe lobée ou une passe haute.

Ajout : Demandez au joueur de couper et de sceller Diagr. 20 et Diagr. 21. Le joueur offensif commence avec un léger avantage d'une seconde puisque le défenseur est positionné épaule à épaule, mais fait face dans l'autre direction. Il est important de sceller dans la bouteille et de ne pas continuer à courir. Dans le diagr. 20, le joueur offensif fait un arrêt pied droit-pied gauche pour sceller le défenseur. Le joueur offensif est du côté du ballon (en haut). Dans le diagr. 21, le joueur offensif fait un arrêt pied droit-pied gauche pour sceller le défenseur. Le joueur offensif


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est du côté de la ligne de fond (en bas).

1 contre 1 dans la bouteille couper du côté faible Couper du côté faible (devant le défenseur) (par le porte arrière)

PASSE TOUT TERRAINDiagr. 22 – Phase A - Les joueurs forment deux files au niveau de la ligne centrale, le long des lignes de côté. Tous les joueurs ont un ballon sauf le premier de l'une des lignes. Le joueur qui n'a pas de ballon court dans le couloir extérieur pour devancer le ballon. Le premier joueur qui a le ballon dribble deux fois avec sa main extérieure, puis fait une passe à deux mains au joueur qui court. Le receveur attrape le ballon avec les deux mains et marque un panier. Le passeur s'arrête, change de direction et sprinte vers le panier opposé. Le joueur dans la file opposée dribble deux fois à son tour et fait la passe. L'action se poursuit ainsi. Les joueurs qui dribblent ne doivent pas commencer trop tôt, sinon ils se retrouveront devant ceux qui courent. Phase B – Un entraîneur se place dans la bouteille. Si le receveur voit la poitrine de l'entraîneur dans sa ligne d'attaque, il fait un tir en suspension. Si l'entraîneur ne se trouve pas dans sa ligne, le joueur continue pour effectuer un lancer en foulée.

Diagr. 23 - Les joueurs se placent en file à la ligne de lancer franc, face au panier opposé. D'autres joueurs se placent en file à la même hauteur, mais le long de la ligne de côté. L'entraîneur (E) place des cônes dans les quatre coins du terrain.Le joueur offensif monte le ballon et l'ailier court sur le terrain. Le porteur de ballon peut uniquement passer à l'intérieur d'un couloir imaginaire délimité par le ballon et le coin. L'ailier peut couper au panier seulement lorsqu'il atteint la ligne des trois points à la hauteur de la ligne de lancer franc (voir le diagr. 27).

Diagr. 24 – Phase B - i) L'entraîneur devient un défenseur sur le porteur de ballon. Le porteur de ballon doit battre l'entraîneur pour avancer sur le terrain.

ii) L'entraîneur joue à la défensive plus loin sur le terrain Diagr. 25 –- Phase C – On ajoute maintenant un défenseur sur l'ailier. Diagr. 26 – Phase C – Deux ailiers avec défenseurs. Il n'y a aucun défenseur sur le porteur de

ballon. Le porteur de ballon commence dans le haut du terrain. Les ailiers tentent de dépasser les défenseurs. Le porteur de ballon n'a pas le droit de


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marquer. Il doit faire une passe à l'un des ailiers ou faire circuler le ballon le long du périmètre.


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Pousser le ballon avec 2 mains 2 contre l'entraîneur (haut ou bas) 2 contre l'entraîneur

2 contre 1 (le passeur ne 3 contre 2 (le passeur ne peut passer à l'intérieur du triangle blanc peut pas lancer au panier) pas lancer au panier)

Points clés Se libérer à l'aile. Bloquer le bras du défenseur à la hauteur du coude et passer par-dessus

son pied. Sceller puis faire un pas pour attraper le ballon. Le passeur doit lancer le ballon sur la cible et au bon moment.

Lorsqu'il joue 1 contre 1 ou 2 contre 2, le passeur doit avoir du soutien (c.-à-d. être capable de faire une passe de dégagement) afin de ne pas être forcé de lancer au panier. N'encouragez pas les joueurs à faire de mauvais lancers. Il doit toujours être possible de faire une passe de dégagement. Se démarquer pour reprendre le ballon.

Lorsque vous passez alors que la défensive est devant vous, votre poitrine doit toujours faire face au panier et vous devez utiliser une passe circulaire.


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Diagr. 25

Diagr. 23 Diagr. 24Diagr. 19

Diagr. 26 Diagr. 27

Utilisez une main et demie lorsque vous passez, particulièrement lorsque vous passez de votre côté faible.

Ne faites qu'une seule feinte puis trouvez l'angle pour passer immédiatement après la feinte.

Si vous devez faire un pas en croisé lorsque vous effectuez votre passe, assurez-vous de faire un pas vers l'avant. Ne croisez pas vos fémurs.

PASSEGardez le ballon devant votre pied de pivot. Gardez les épaules près des genoux lorsque vous voulez pivoter et passer.Exercice : le porteur de ballon se place à la mi-terrain et dribble jusqu'à la ligne de 3 points. Deux receveurs se placent au point d'attaque. Le porteur de ballon arrête de dribbler et le défenseur exerce une pression sur lui. L'entraîneur compte jusqu'à trois ou quatre avant d'indiquer de quel côté la passe doit être faite. Les receveurs doivent travailler leur déplacement pour attraper le ballon et écourter la passe. Même chose qu'au diagr. 7, mais l'exercice commence à la mi-terrain.

Se démarquerCommencez à courir, arrêtez-vous (créez un contact) puis poursuivez votre course.Si cela est possible, essayez d'attraper le ballon en faisant un arrêt avec saut avec les deux pieds, face au panier, afin d'avoir le choix du pivot. Sinon, faites un pivot renversé pour attraper et créer de l'espace. Cela équivaut à utiliser le pied le plus loin du défenseur comme pied de pivot.

SUGGESTIONS : Gardez les yeux bien hauts afin de voir les deux joueurs en même temps. Passez toujours le ballon à l'intérieur du triangle blanc (Diagr. 27); le receveur peut voir

le ballon et le panier en même temps. Rappelez-vous de ceci lorsque vous aidez un joueur à marquer.

Avancez lentement afin de rester en équilibre et d'être en mesure d'évaluer le synchronisme de jeu ainsi que la cible pendant que vous dribblez. Lorsque vos yeux baissent, c'est que vous dribblez trop rapidement.

Faites une passe poitrine avec les deux mains. Ne faites jamais une passe avec une seule main lorsque vous dribblez sur un terrain ouvert; vous n'avez pas de coordination et la passe ne sera pas précise.

Passez le ballon en avant du joueur qui contre-attaque. Vous pouvez faire une passe d'une seule main à partir de l'épaule si vous devez passer le

ballon du côté opposé à la main de dribble et qu'il n'y a pas de pression défensive.

La passe implique une relation avec les autres. Lorsque vous ne passez pas le ballon à un joueur ouvert, vous envoyez le message : « je ne te fais pas confiance avec l'avantage d'une seconde que l'on a créé. » Lorsque vous faites une bonne passe à un coéquipier, vous développez un sentiment de confiance.


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Les joueurs doivent toujours faire un petit pas avant chaque passe, avec le pied qui se trouve du même côté que la passe (en direction de la passe, sans croiser les jambes, parce que cela peut entraîner un déséquilibre) pour :

Améliorer l'équilibre. Améliorer l'angle de passe sans utiliser le dribble. Réduire la distance entre le passeur et le receveur.

Cela est très important si vous avez à passer le ballon à un poste bas. C'est moins important si vous passez le ballon en ligne droite. En faisant ce petit pas, le joueur doit plier les genoux.

Dans le diagramme 1, on enseigne aux joueurs à utiliser leur pied de pivot lorsqu'il y a de la pression : le manieur de ballon fait 2-3 dribbles avant de saisir le ballon. Le défenseur doit mettre de la pression sur le ballon pendant 5 secondes. Le manieur de ballon fait une rotation sur le pied de pivot pour défendre le ballon et toujours le garder en avant du pied de pivot. Le pied de pivot est le pied le plus éloigné du défenseur.

Dans le Diagramme 2, «exercice rhombus » le joueur qui a le ballon fait une passe au joueur à sa gauche, puis court derrière la ligne à sa droite. Le receveur de passe fait un pas vers le ballon, montre ses mains (rencontre la passe), attrape le ballon puis devient le passeur à son tour. Option 1 - le passeur fait un dribble avant de faire la passe. Option 2 - lorsque l'entraîneur crie


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Pas de passe - pas de relation Passe forcée - relation forcée qui n'est jamais complétée ou jamais entièreMauvaise passe (passe faite après avoir gardé le ballon trop longtemps) - une arrière-pensée, j'ai épuisé mon temps de conservation du ballon Passe nette (passe envoyée directement sur la cible) - établit un sentiment de confiance, tu me considères

« Changement de côté », les joueurs font l'exercice dans le sens inverse. Assurez-vous que le passeur passe le ballon seulement si le receveur montre ses mains.

Diagrammes 3–4 : exercice de passe en situation de jeu, pour montrer à passer au bon moment et avec précision.Exercice « Dean Smith » : 4 c 4; les joueurs en offensive doivent marquer 11 points. Chaque passe compte pour « 1 point », mais les joueurs doivent réussir un panier avant de faire 11 points. Chaque joueur peut faire 2 dribbles pour attaquer le panier ou se libérer de la pression défensive.

MANIEMENT DE BALLON AVEC UN PARTENAIRE

Dribble avec partenaire miroirChaque joueur a un ballon et se place avec un partenaire de force égale. Un joueur commence à dribbler et l'autre le suit en faisant le miroir de ses actions. Lorsque l'entraîneur annonce le changement, les joueurs changent de direction et inversent les rôles.

Points clés à souligner : Les déplacements ne doivent pas se faire en ligne droite.

Les joueurs de basketball doivent apprendre à se déplacer avec des changements brusques de direction. On ne veut pas que les joueurs se déplacent en cercle.

Utilisez les deux mains. Utilisez tout l'espace disponible. Les joueurs doivent être

conscients des autres groupes qui font aussi l'exercice. Trouvez les espaces ouverts.


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Trois glissementsEn équipe de deux, les joueurs ont un ballon et disposent de beaucoup d'espace libre derrière eux. Le partenaire qui n'a pas le ballon montre ses mains (dix doigts); c'est le signal qui indique à l'autre joueur de faire une passe. Après avoir passé, le joueur effectue deux glissements défensifs vers la droite, fait une rotation des hanches (hip turn), effectue deux glissements défensifs vers la gauche, fait une rotation des hanches puis effectue deux derniers glissements vers la droite. Une fois qu'il a terminé ses glissements, le joueur coupe vers son partenaire et lui montre ses mains. Le joueur qui a le ballon fait la passe puis exécute la série des 3 glissements défensifs. Pendant que le joueur sans ballon effectue les glissements, celui qui a le ballon travaille son maniement de ballon en effectuant différents exercices de Maravich tout en jetant constamment un coup d'œil à son partenaire afin de lui faire une passe dès que ce dernier lui montre ses mains. Passe avec un dribble au partenaire Chaque joueur a un ballon et se place en face d'un partenaire, à environ deux mètres de distance. Les joueurs tiennent le ballon dans la même main. Chaque joueur fait un dribble en même temps que son partenaire. Lorsque le ballon revient dans sa main, il le pousse vers la main libre de son partenaire. Les deux passes se font en même temps. Les joueurs font des passes sans s'arrêter. Au fur et à mesure que les joueurs s'améliorent, la vitesse et la hauteur du dribble devraient également s'améliorer. Les passes seront à la fois plus droites et plus précises, plutôt que molles et très arrondies.

Bonifiez l'exercice en demandant aux joueurs de se déplacer quand ils font les passes.

Dribble avec la main gauche / Réception Chaque partenaire a un ballon. Un des joueurs dribble le ballon avec la main gauche pendant que l'autre lui lance doucement le ballon en faisant un arc important, afin qu'il puisse l'attraper d'une seule main. Cela force le joueur qui dribble à garder les yeux bien hauts et à se concentrer sur le ballon qu'il doit attraper plutôt que sur son dribble.

Nous voulons que le joueur fasse un dribble bas et solide et qu'il garde les yeux bien hauts.

Pour bonifier l'exercice, demandez aux joueurs de se déplacer pendant qu'ils lancent, dribblent et attrapent le ballon.


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Changement de direction - début du dribbleLes joueurs se groupent 2 par 2. Les équipes se dispersent sur le terrain. Chacune a un ballon. Les joueurs se placent à environ 3 mètres de leur partenaire. Le joueur qui n'a pas le ballon montre ses mains, indiquant qu'il est prêt à recevoir une passe. Lorsqu'il reçoit le ballon, il le tient sur le côté, au niveau de la hanche. Cela indique au passeur qu'il peut maintenant

amorcer son déplacement. Le joueur se dirige du côté opposé, change de direction pour couper vers le ballon et reçoit une passe main à main en faisant un arrêt avec saut. Il est important de faire un arrêt complet. Au début, les joueurs iront trop vite et feront un pas de trop (marcher). Lorsqu'on enseigne des habiletés fondamentales, il faut toujours montrer d'abord le jeu de pieds approprié. Les joueurs doivent commencer à dribbler en faisant un pas en croisé. Le pied de pivot est le pied le plus éloigné du défenseur. Cela permet au joueur de se créer de l'espace, mais aussi de résister à tout contact avec le défenseur. Il est très important que les joueurs apprennent ce concept. Le ballon doit quitter la main avant que ne bouge le pied de pivot. Le joueur doit faire 2 dribbles, faire un arrêt avec saut puis pivoter pour se placer face à son partenaire. Lorsque le partenaire montre les mains, l'exercice reprend. Assurez-vous que les joueurs fassent l'exercice en plaçant le ballon tantôt sur une hanche, tantôt sur l'autre.

Dans la deuxième version de cet exercice, on veut que les joueurs prennent le ballon sans faire d'arrêt. Le pied de pivot est le pied extérieur. Cela permet au joueur de prendre le ballon aisément et de l'envoyer au sol en faisant un départ croisé. Encore une fois, le joueur fait 2 dribbles, arrête, pivote et passe le ballon à son partenaire lorsque celui-ci montre ses mains.


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Départs croisésChaque joueur a un ballon et se place face à son partenaire, à une distance d'environ 1 mètre. Le joueur qui exécute le jeu de pieds passe le ballon à son partenaire. Celui-ci tient alors les deux ballons à la hauteur des épaules. Il en laisse tomber un au sol. Son partenaire doit faire un départ croisé pour récupérer le ballon. C'est le pied le plus éloigné du ballon qui bouge en premier. Seulement 2 pas sont nécessaires : le pas croisé pour amorcer le mouvement et un deuxième pas pour se placer face au panier. Ensuite, le joueur commence à dribbler vers le panier en faisant un départ croisé. Cette fois, il commence avec le pied extérieur. Le but de l'exercice est d'apprendre à faire des départs croisés. Il faut aller lentement au début, parce que les joueurs ont souvent tendance à glisser ou à lever le pied de pivot avant de se déplacer.

Un des points clés, est d'insister sur le transfert de poids sur le pied de pivot. Lorsque le transfert de poids est correctement effectué, il est impossible de déplacer d'abord le pied de pivot. Si le joueur ne fait pas de transfert de poids, il aura tendance à lever ou à déplacer son pied de pivot.

Relation entre le ballon et le pied de pivotLe joueur en possession du ballon veut conserver le ballon devant le pied de pivot. Cela lui permet de garder son équilibre.

REMARQUE : Le joueur est en équilibre lorsqu'il est penché en position athlétique et que ses bras sont au-dessus de ses genoux. La position des bras est cruciale pour demeurer en équilibre.


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Les joueurs doivent apprendre que le pied le plus loin du défenseur est le pied de pivot. Le joueur offensif est ainsi en mesure de se créer de l'espace pour éviter la pression de la défensive. Cela lui permet également de repousser les défenseurs ou de résister à leurs contacts. Lorsqu'on utilise le pied le plus près du défenseur comme pied de pivot, le défenseur peut attaquer le pied de pivot et forcer le joueur offensif à placer le ballon derrière le pied de pivot. Le joueur offensif n'a plus d'espace pour bouger. Cela mène souvent à une mauvaise passe, c'est-à-dire une passe qui ne permet pas à l'offensive de créer ou de conserver l'avantage d'une seconde. Le ballon aboutit presque toujours derrière le pied de pivot.

En choisissant le pied le plus loin du défenseur, le joueur offensif demeure en position forte. Le défenseur ne peut pas fermer l'espace et atteindre le corps du joueur offensif. Il est ainsi bien plus facile pour le joueur de conserver le ballon devant son pied de pivot.

Lors de la réception d'une passe d'entrée à l'aile, si le défenseur fait une surextension, l'ailier doit utiliser le pied le plus loin du défenseur comme pied de pivot. Il amène rapidement le ballon à la hauteur du genou et commence à attaquer le panier avec un pas en croisé.

Si le joueur à l'aile anticipe une réaction lente du défenseur, il veut dans ce cas aussi attraper le ballon en utilisant comme pivot son pied le plus éloigné du défenseur. Il fait un pas en croisé pour attaquer par le centre en une seule action, sans arrêter le ballon. En utilisant le pied extérieur, le joueur peut non seulement repousser les contacts, il peut aussi s'amener vers le centre dès le prochain pas, ce qui encore plus important. S'il utilise le pied intérieur comme pivot, il lui est pratiquement impossible de pénétrer vers le centre dès qu'il fait le pas suivant.


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Pendant une attaque au panier, s'il y a un défenseur, il est recommandé que le joueur offensif utilise un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance. Cela permet au joueur offensif de :

Repousser tout contact du défenseur. Couper le défenseur avec son dernier pas. S'arrêter en maintenant son équilibre. Faire une feinte avant le lancer. Faire un pivot pour créer une passe si le défenseur

couvre le panier. Le pied extérieur est le pied de pivot. Le pied le plus loin du panier.

Si le défenseur dépasse le couloir de passe, le joueur offensif peut faire un autre pivot vers le panier qui n'est maintenant plus protégé et lancer.

Pendant un rebond offensif, si le joueur ne peut pas immédiatement relancer au panier, il doit utiliser son pied le plus loin du défenseur comme pivot. Il crée ainsi l'espace nécessaire pour pivoter et faire une passe.

Dribble vs pression Plusieurs joueurs ont développé des trucs particuliers lorsqu'ils dribblent. Ces habiletés augmentent leur confiance mais souvent elles ne leur permettent pas de bien manier le ballon sous la pression du jeu et devant un défenseur réel. Vous trouverez ci-après une progression d'exercices qui peuvent être utilisés pour aider les joueurs à mieux manier le ballon devant un défenseur agressif. Ces exercices démontrent aussi comment utiliser ce qu'on appelle le TLC en anglais (Teaching, Learning and Competing drills).


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Stade d'instabilitéLes joueurs doivent apprendre de nouvelles habiletés par eux-mêmes et à leur propre rythme. Cela est comparable à un bébé qui apprend à marcher. Donnez aux joueurs l'occasion de dribbler tout seul, en position stationnaire.Points clés :

Adopter une position athlétique - genoux et hanches fléchis Dribbler le ballon à la hauteur des genoux, légèrement à

l'extérieur du pied Pousser le ballon puis l'absorber, et non pas le frapper Balayer du regard

Bonification Demandez à un défenseur de se mettre en position du grizzly

(regard compris). Garder les yeux bien hauts ajoute de la pression. Cela contribue aussi à rendre le dribbleur plus à l'aise lorsque quelqu'un se trouve dans son espace personnel (vous pouvez demander aux deux joueurs de dribbler en même temps).

Utilisez différents dribbles : de l'avant vers l'arrière, d'un côté à l'autre, croisé

Miroir Un joueur est le meneur. L'autre le suit en faisant le miroir de ses actions. Faites cet exercice dans un espace réduit. Les joueurs se font généralement face. Demandez également aux joueurs de faire l'exercice en avançant. Le dribbleur manifeste des hésitations et change de vitesse. Plus les joueurs sont rapprochés, plus ils deviendront à l'aise de dribbler dans un espace restreint.

Contact Cet exercice peut être fait de deux façons :

Le joueur dribble tout en maintenant un contact avec l'autre joueur;

Le joueur dribble en ligne droite. Après un certain nombre de dribbles, les deux joueurs entre en contact.

Il est important que les joueurs apprennent à encaisser de légers contacts pendant qu'ils dribblent. Idéalement, le poids devrait être sur le pied extérieur lorsque le contact se produit. Cela permet d'être dans une position solide pour absorber le contact et repousser l'adversaire.


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Le défenseur court à côté Le joueur dribble en ligne droite pendant qu'un défenseur court à côté de lui, le plus près possible. Assurez-vous que le dribbleur garde toujours ses yeux bien hauts. L'utilisation des 10 doigts pour demander une passe est une façon de s'assurer que le joueur balaie bien le terrain du regard. Il arrive souvent que le porteur de ballon veuille glisser au lieu de courir. Nous voulons plutôt qu'il avance rapidement et qu'il se penche éventuellement vers le défenseur.

Le défenseur pousse et frappe Dès que le porteur de ballon se sent prêt, on augmente le contact. Le défenseur peut maintenant appliquer une pression constante sur le porteur de ballon ou entrer en contact avec lui de façon aléatoire. Le porteur de ballon ne veut pas se faire pousser à l'extérieur de la ligne. Il doit rester bas et se pencher vers le défenseur en plaçant sa tête et ses épaules devant la poitrine du défenseur. Bien qu'une telle manoeuvre constitue une faute, il arrive souvent que les arbitres ne sévissent pas dans un cas pareil.

Dribble protégé Le porteur de ballon doit éventuellement apprendre quand il doit adopter la position du dribble protégé ou du dribble de côté. Dans le cas présent, le porteur de ballon est perpendiculaire au défenseur. Le dribble se fait près du pied arrière de façon à protéger le ballon. L'autre bras est levé pour empêcher qu'un autre joueur atteigne le ballon. Si un joueur réussit à toucher au ballon, n'étendez pas votre bras. Cela pourrait vous valoir une faute offensive. Il est plus efficace de tourner votre épaule.

Dribble croisé en retrait (2 dribbles vers l'avant) En situation de défensive serrée, tous les porteurs de ballon doivent être en mesure de dribbler en retrait. Faites pratiquer d'abord les joueurs par eux-mêmes en leur demandant de faire deux dribbles vers l'avant à partir du dribble protégé.


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Deux dribbles vers l'arrière Demandez-leur ensuite de reculer en faisant deux dribbles en conservant le ballon dans la même main. Le ballon doit toujours demeurer près du pied arrière pour le protéger.

Pivot arrière vers un dribble croisé en retrait Le mouvement consiste à faire un pivot arrière et de croiser le ballon vers l'arrière en même temps. De cette façon, le ballon est protégé des défenseurs.

Exploser vers l'avant avec l'autre mainLe dribbleur « explose » vers l'avant et dépasse son défenseur. Il doit ensuite passer à travers tout autre défenseur qui tend le bras.

Ajouter de la défensive guidéeUne fois que les joueurs ont pratiqué tout seul, ils doivent refaire l'exercice avec une défensive guidée. Cela les aide à améliorer les composantes clés et à exercer leur prise de décisions quant au moment où ils doivent utiliser ce mouvement. Le défenseur court à côté du dribbleur. Si le défenseur :

Place sa poitrine devant le porteur de ballon ou, Force dangereusement le porteur de ballon à se diriger vers la

ligne de côté; le porteur de ballon doit reculer et dribbler en croisé pour se diriger vers le milieu du terrain. Les joueurs peuvent faire l'exercice en équipe de deux et se disperser dans le gymnase. Assurez-vous de faire l'exercice à gauche et à droite.

1 contre 2 Vous pouvez aussi utiliser ce dribble quand vous faites face à une prise à deux. Le porteur de ballon travaille pour franchir la ligne centrale contre deux défenseurs. Cela peut servir d'exercice d'enseignement ou d'apprentissage.


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2 contre 2 En jouant dans un 2 contre 2, le porteur de ballon doit décider quand passer et quand dribbler. Les défenseurs tentent de diriger le porteur de ballon vers une trappe et de déterminer le moment le plus opportun pour créer une bonne trappe.

Il s'agit d'un excellent exercice d'apprentissage. Les joueurs doivent apprendre à poursuivre le jeu lorsqu'ils font des erreurs.

Compétition Les joueurs s'affrontent dans un 2 contre 2 avec un joueur qui remet le ballon en jeu. En réduisant la taille du terrain, vous augmentez le degré de difficulté pour l'offensive.

Jeu à partir du rebondUne autre façon de commencer le jeu est de demander aux joueurs de faire un écran retard (box out) lors d'un tir au panier. Si un panier est marqué, le ballon est remis en jeu. Sur un rebond, l'offensive fait une passe de dégagement ou un dribble de percée.


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DRIBBLE, ARRÊT AVEC SAUT ET LANCER EN SUSPENSION

Lancer pour soi-même et toucher la ligne Une façon d'introduire l'utilisation de l'arrêt avec saut pour recevoir le ballon est de faire pratiquer le « lancer pour soi-même et toucher la ligne ». Le joueur lance le ballon dans les airs en lui donnant un effet rétro. Le joueur pivote et va toucher à la ligne de côté (où à n'importe quelle ligne désignée). Au retour, il attrape le ballon en effectuant un arrêt avec saut sur deux pieds. Il peut alors faire un dribble en croisé pour amorcer son attaque du panier.

Dans la phase A, les joueurs pratiquent par eux-mêmes, en se déplaçant à gauche, à droite, et en lançant le ballon. Laissez-leur le temps d'approfondir par eux-mêmes. Cela est très important lorsqu'on apprend une habilité pour la première fois.

Dans la phase B, l'entraîneur guide les joueurs. Le joueur peut aller à droite, à gauche ou lancer.

À la phase C, la défensive est réelle. Demandez au défenseur de passer d'une défensive d'aide ou de contestation à une défensive sur le ballon.


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Lancer pour soi-même Les joueurs se font une passe à eux-mêmes sans toucher à une ligne. Cela simule une passe venant du haut vers l'aile ou effectuée d'un côté à l'autre, lorsqu'un joueur coupe vers le haut. Comme précédemment, amenez les joueurs à pratiquer les quatre phases. Ici, les joueurs travaillent le déplacement en croisé, la boucle ou le tir.

Traverser le couloir Les joueurs forment deux files à l'extérieur de la ligne de trois points. Tous les joueurs ont un ballon, sauf le premier d'une des deux files. Le premier joueur avance puis change de direction pour couper vers le haut de la ligne de trois points. Il doit s'assurer de montrer ses mains pour indiquer qu'il est prêt à recevoir une passe. Le premier joueur de l'autre file synchronise la passe pour qu'elle arrive en même temps que le joueur au haut de la ligne de trois points. Le receveur de passe anticipe le défenseur qui déborde et fait immédiatement un dribble en croisé du côté d'où il est venu. Terminez par un lancer en suspension ou un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance. Le joueur qui a fait la passe change maintenant de direction et coupe vers le haut pour recevoir la prochaine passe. Assurez-vous que le joueur ne coupe pas tant que le porteur de ballon n'a pas établi un contact visuel.

Le prochain exercice consiste à anticiper le retard de la défensive. Ici, le joueur attrape le ballon sur le pied extérieur et fait une boucle vers le panier. Attaquez la bouteille; n'amenez pas le ballon à l'extérieur de la bouteille. N'arrêtez jamais le ballon. Nous voulons profiter du mauvais positionnement de la défensive et créer un avantage immédiat d'une seconde.


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Phase A – sans défensiveLe joueur travaille la réception du ballon a) déplacement en croisé - sur deux pieds, face au panier; faire passer le ballon brusquement au niveau du genou et utiliser un déplacement en croisé pour attaquer le panier. b) boucle - attraper le ballon sur le pied extérieur et faire un déplacement croisé avec le pied intérieur en dribblant le ballon vers le panier. Points clés : yeux hauts, montrer les mains pour attraper, utiliser le bon jeu de pieds.

Phase B - avec défensive guidée par l'entraîneur L'entraîneur guide le joueur offensif en lui offrant une situation défensive. Cela aide le joueur à anticiper, à faire sa propre lecture du jeu et à choisir l'option appropriée. Cela l'aide également à attaquer le panier et à ne pas trop dévier vers l'extérieur. Le joueur doit aussi s'exercer à envoyer une passe au bon moment, avec rythme et vitesse.

Phase C – avec défensive réelle L'exercice est maintenant exécuté en ajoutant de vrais défenseurs, qui tentent d'arrêter le joueur offensif. La clé est d'anticiper l'action de la défensive afin de créer un avantage d'une seconde. Il est préférable de faire répéter l'exercice quelques fois au même joueur offensif. De cette façon, il peut explorer les différentes options.

Phase D - en situation de jeuUtilisez ce jeu en situation 2 contre 2 ou 3 contre 3. Dès que le joueur offensif a créé un avantage d'une seconde, il doit lire son défenseur : dois-je lancer au panier ou passer mon avantage d'une seconde à mon coéquipier qui s'est démarqué?

Autres façons de bonifier l’exercice :On peut demander à un entraîneur de rester disponible pour recevoir une passe. Si le joueur offensif n'a pas une bonne occasion de lancer au panier, encouragez-le à passer. On ne veut pas habituer les joueurs à prendre de mauvais lancers.

Remarque : Le même exercice et la même progression peuvent être utilisés pour apprendre à couper du coin vers l'aile.


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Couper du coin vers l'aile Chaque joueur a un ballon et se place dans une des deux files, sur la ligne de fond. Deux entraîneurs se placent au point d'attaque (ligne de trois points à la hauteur de la ligne de lancer franc). Le premier joueur dans la file passe le ballon à l'entraîneur et court vers lui pour recevoir une passe main à main. Si le ballon est dans la main extérieure de l'entraîneur, le joueur prend le ballon, fait un dribble en croisé pour attaquer le panier et termine par un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance. Si l'entraîneur tient le ballon dans sa main intérieure, le joueur fait une boucle derrière l'entraîneur, pose le pied extérieur au sol en même temps qu'il prend le ballon, dribble puis fait un lancer en suspension dans la bouteille. Pas plus de deux dribbles.

Phase A – sans défensiveL'entraîneur demande aux joueurs de travailler sur un mouvement à la fois, afin de perfectionner le jeu de pieds.

Phase B - avec défensive guidée par l'entraîneurL'entraîneur alterne entre la boucle et le déplacement en croisé.

Phase C – avec défensive réelle Une deuxième ligne de défenseurs est maintenant ajoutée entre le panier et les joueurs offensifs. Lorsque la passe est décochée, les deux joueurs courent vers l'entraîneur. Si l'entraîneur tient le ballon dans la main extérieure, le défenseur doit toucher la main intérieure de l'entraîneur avant de faire son jeu défensif. Cela crée un avantage d'une seconde pour le joueur offensif. Si l'entraîneur tient le ballon dans sa main intérieure, le défenseur doit

contourner l'entraîneur et il sera alors derrière l'attaquant qui dribble pour aller faire un lancer en suspension.


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Phase D - en situation de jeu Ici, le même jeu est utilisé pour amorcer une situation 3 contre 3. L'entraîneur décide de quel côté les joueurs travailleront l'avantage d'une seconde en fonction de l'endroit où il tient le ballon pour la remise aux joueurs offensifs. Commencez à travailler les transitions. Prolongez le jeu pour permettre aux équipes de faire une transition après un lancer, qu'il soit réussi ou manqué.

Remarque : Ce jeu peut également être fait à partir d'autres endroits sur le terrain pour amener les joueurs à couper de différentes façons.

Pivoter/ressortir (flare) - Phase A – sans défensive Cet exercice travaille le jeu de pieds, qui permet d'attraper le ballon de différents angles. Les joueurs forment deux files en haut de la ligne de trois points. Chaque joueur a un ballon sauf le premier de chaque file. Le premier joueur court jusqu'au T et fait un arrêt avec saut. Il pivote de façon à se placer en position de réception et voir le passeur. Il montre ensuite ses mains en même temps qu'il coupe vers le point d'attaque pour recevoir la passe. Il est important que la passe atteigne le joueur au moment où il se trouve à l'extérieur de la ligne de trois points et qu'il soit capable d'attraper le ballon en faisant un arrêt avec saut face au panier. La passe est exécutée et le joueur, en visualisant la position du défenseur, décide s'il doit faire un départ croisé vers la ligne de fond ou vers le centre. Le joueur peut faire un lancer en

suspension ou un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance. Il s'exerce aussi à couper par la porte arrière. On ne veut jamais attraper le ballon à un endroit où l'on n'est pas efficace. Si, au moment d'atteindre la ligne de trois points, le joueur ne s'est pas démarqué, les deux joueurs (le passeur et le receveur) doivent comprendre qu'il faut couper par la porte arrière. La passe sera envoyée dans la bouteille ou lobée dans le coin du panneau, du côté où le receveur a coupé.


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Phase B - défensive guidée par l'entraîneurL'entraîneur peut donner différentes lectures au joueur à la réception du ballon :

Jouer du côté du ballon (high side) – départ croisé vers la ligne de fond

Jouer du côté de la ligne de fond (low side) – départ croisé vers le centre

Défensive en retrait – lancer le ballon Contester la passe - couper par la porte arrière

L'entraîneur peut également donner une indication une fois la passe attrapée.

Si l'entraîneur oriente son torse dans la ligne d'attaque, le joueur doit arrêter et tirer au panier.

Si l'entraîneur montre seulement un bras dans la ligne d'attaque, le joueur doit faire un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance.

Si l'entraîneur n'est pas dans la zone, le joueur peut faire un lancer en foulée standard.

Phase C – avec défensive réelleFaites pratiquer les joueurs avec une défensive réelle. Encore une fois, il est préférable de laisser le joueur jouer en offensive trois ou quatre fois de suite. Cela lui donne une chance d'utiliser différents mouvements et d'en tirer une leçon chaque fois. S'il n'y a pas d'opportunité de lancer, il doit apprendre à faire une passe à l'entraîneur plutôt que de s'habituer à faire un mauvais lancer.

Phase D - en situation de jeuCommencez en situation de 2 contre 2, 3 contre 3 ou 4 contre 4. Une fois le jeu commencé, le joueur doit apprendre à jouer en situation 1 contre 1 avec l'équipe, c'est-à-dire doit-il lancer ou transférer l'avantage d'une seconde à un coéquipier.


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Entrées alternées à l'aile, pivoter / ressortir (flare) - Phase A – sans défensiveLes joueurs forment deux files. Chacun a un ballon sauf le premier joueur dans la file du haut. Ce joueur peut choisir de se diriger vers la gauche ou la droite. Il coupe rapidement et ressort pour aller au point d'attaque. Le synchronisme de la passe doit être parfait. Le joueur attrape le ballon en faisant un arrêt avec saut de façon à pouvoir faire un départ en croisé dans la direction de son choix. Il anticipe la défensive en visualisant l'action du défenseur. Il se dirige soit vers le centre, soit vers la ligne de fond. S'il choisit le centre, il lance en suspension; s'il va vers la ligne de fond, il effectue un tir en foulée extérieur/intérieur en puissance.Après avoir passé le ballon, le joueur dans le bas du terrain coupe maintenant vers le point d'attaque pour recevoir une passe précise du joueur suivant dans la file du haut. Il doit attraper le ballon de manière à pouvoir faire un départ croisé dans l'une ou l'autre direction. Aux fins de l'exercice cependant, on veut qu'il se dirige dans la direction opposée de celui qui l'a précédé.

Phase B - défensive guidée par l'entraîneur L'entraîneur peut donner différentes lectures au joueur à la réception du ballon.


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EXERCICES COMBINÉS DE DRIBBLE-PASSE-LANCER

Passe d'entrée à l'aile avec deux ballonsLes joueurs se répartissent dans trois files. Chaque joueur dans la file du haut a deux ballons. Les joueurs en file sur la ligne de fond doivent désigner celui qui commence. Les joueurs d'une même file ne doivent pas toujours commencer les premiers. Le passeur doit apprendre à balayer le terrain du regard pour voir qui se libère en premier. Le rythme de la passe est crucial. La passe doit parvenir au joueur qui coupe dès qu'il atteint le point d'attaque. Les ailiers attaqueront ensuite vers la ligne de fond ou vers le centre. Pour faire passer le jeu à la phase B, ajoutez des guides au passeur et aux ailiers.

Passe à un joueur coupant par la porte arrière Les joueurs forment deux files, tel que le montre l'illustration ci-contre. Chaque joueur a un ballon. Le joueur situé dans le coin fait une passe de transfert (skip pass) à l'entraîneur dans l'autre coin. Pour les joueurs plus jeunes, il faudra peut-être écourter la passe en leur demandant de dribbler, faisant ainsi semblant qu'il s'agit d'une pénétration par la ligne de fond. Le joueur en haut dribble maintenant jusqu'au centre du terrain. Le joueur qui coupe doit synchroniser son jeu de façon à arriver au point d'attaque au même moment où le joueur en haut est prêt à faire sa passe d'entrée à l'aile. L'ailier change maintenant de vitesse et coupe par la porte arrière vers le panier. Le passeur lui envoie soit une passe rebond dans la bouteille ou une passe lobée au coin du panneau. Il est important que cette passe soit faite du côté du terrain où se trouve le receveur. L'envoi d'une passe à un joueur coupant par la porte arrière du côté « aide » conduit à un revirement. Après avoir fait la passe, le joueur se tourne, coupe à l'aile puis coupe par la porte arrière pour recevoir une passe de l'entraîneur. Il est préférable d'utiliser un cône ou de demander à un entraîneur de se tenir à cet endroit pour que le joueur puisse conserver l'espacement avant de couper par la porte arrière.


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La passe au joueur qui coupe par la porte arrière doit être faite avec les deux mains. Faites une feinte de passe d'entrée à l'aile pour déstabiliser le défenseur de sa position.

Si vous faites une passe lobée, visez le coin du panneau. Le receveur est ainsi en mesure de voir le ballon et le panier en même temps; il peut donc lire la défensive d'aide et anticiper sa prochaine action.

Comme cela est le cas pour tous les exercices, l'entraîneur peut diriger la progression par phases :

Phase B - ajouter une défensive guidée Phase C – ajouter une défensive réelle Dans cet exercice, les

passeurs ne sont pas obligés de passer par la porte arrière. Les attaquants peuvent attraper le ballon à l'aile et jouer 1 contre 1 ou couper par la porte arrière. Vous devrez encourager les défenseurs à jouer de différentes façons.

Phase D – utiliser un dribble vers le centre pour amorcer une situation de match. Maintenant, les passeurs et les receveurs doivent lire la défensive d'aide.

Passe d'entrée par les joueurs répartis dans trois files Formez trois files à la ligne de fond. Chaque joueur a un ballon, sauf le premier joueur des deux files extérieures. Le joueur au centre a le ballon et amorce le jeu en effectuant un dribble rapide jusqu'au centre du terrain. Les 2 joueurs à l'extérieur sprintent jusqu'à la mi-terrain et reviennent dans les couloirs extérieurs. Le joueur au centre fait une passe au joueur qui est devant. Ce joueur fait un lancer en foulée comme s'il était en transition. Le joueur à l'aile qui ne reçoit pas la passe en recevra une du prochain joueur au coin lorsqu'il atteindra le point d'attaque. Le passeur au centre coupe et change de direction pour recevoir une passe au point d'attaque provenant de l'autre coin. La synchronisation des passes est très importante. Il ne faut pas que la passe soit faite au joueur entre la bouteille et la ligne de trois points. Les joueurs doivent recevoir la passe à l'extérieur de cette zone. Les joueurs qui reçoivent une passe du coin peuvent attaquer vers le centre ou vers la ligne de fond.


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REGARDER CE QUE FAIT NOTRE COÉQUIPIER (EXERCICE DE LANCER)Formez deux files en haut de la ligne de trois points. Chaque joueur a un ballon. Deux cônes sont placés aux points d'attaque. Les deux premiers joueurs dribblent jusqu'aux cônes et changent de direction. Le joueur qui arrive en premier au cône décide d'attaquer vers la ligne de fond ou vers le milieu. L'autre joueur doit lire le jeu de l'attaquant et faire l'action opposée. Cela force les joueurs à dribbler en gardant les yeux bien hauts et en étant à l'affût des actions de leurs coéquipiers.

Ligne de fondCette version de l'exercice est identique à la précédente, sauf que les joueurs dribblent à partir de la ligne de fond. Le joueur qui atteint le cône en premier a le choix de contourner le cône ou de croiser devant. L'autre joueur doit faire l'action opposée.

Nous voulons toujours mettre l'accent sur les lancers en suspension à partir du dribble et les lancers en foulée extérieur/intérieur en puissance.

Passe à l'entraîneur Ici, un entraîneur se positionne au haut de la ligne de trois points. Pendant que les joueurs dribblent, l'entraîneur montre ses mains à un des deux joueurs. Ce joueur fait une passe à l'entraîneur et coupe vers le panier. L'autre joueur fait une passe à celui qui vient de couper. Après avoir fait sa passe, le joueur coupe à son tour vers le panier et reçoit une passe de l'entraîneur. De cette façon, les joueurs apprennent à garder le regard haut.


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EXERCICE DE PASSE ET DE LANCER SUR TOUT LE TERRAIN

Passe, attaque et lancer sur terrain complet, joueurs dans 2 files Les joueurs se placent dans 2 files sur les lignes de côté, à mi-terrain. Tous les joueurs ont un ballon, sauf un. Le joueur qui n'a pas de ballon commence à courir vers un des deux paniers. Le premier joueur de l'autre file dribble deux fois dans la même direction et fait une passe au joueur qui se dirige vers le panier. Le joueur qui reçoit la passe poursuit son chemin et marque un panier. Le joueur qui a fait la passe s'arrête, change de direction et se dirige vers le panier opposé. Cela indique au joueur suivant dans la première file de dribbler deux fois et de faire une passe. Les joueurs continuent l'exercice en attaquant chaque panier à tour de rôle.

Dans la phase B, un entraîneur se place à l'une ou l'autre des extrémités du terrain. Lorsque le joueur fonce au panier, il doit lire le positionnement de l'entraîneur. Si l'entraîneur place le torse devant le joueur, ce dernier effectue un lancer en suspension. Si l'entraîneur ne présente pas sa poitrine, le joueur effectue un lancer en foulée.

Passe/lancer en foulée, terrain complet Des joueurs forment une première file au centre du terrain. Chaque joueur a un ballon. On forme une deuxième file à la hauteur de la ligne de lancer franc. Tous les joueurs ont un ballon sauf le premier. Ce joueur commence l'exercice en courant dans le couloir extérieur vers le panier le plus éloigné. Lorsqu'il franchit la mi-terrain, le premier joueur du côté opposé lui fait une passe. Il doit veiller à garder le regard haut. L'entraîneur positionné au poste haut montre ses mains pour recevoir la passe ou bien il ne les montre pas. Le joueur doit prendre la bonne décision. Après avoir fait la passe, le deuxième joueur de la file court le long de la ligne extérieure, change de direction puis coupe vers la ligne de lancer franc. Il reçoit une passe et exécute un déplacement en croisé ou une boucle. L'entraîneur peut aussi intervenir pour guider la décision du joueur.


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Course dans le couloir extérieur Les joueurs se placent en file dans les coins opposés. Chaque joueur a un ballon. Un joueur sans ballon se positionne sur chacune des lignes de lancer franc. Le joueur dans le coin dribble vers le T opposé, à l'autre extrémité du terrain. Le joueur à la ligne de lancer franc court rapidement vers la ligne de côté, côté ballon, et poursuit sa course dans le couloir extérieur. Lorsqu'il atteint le point d'attaque, le porteur de ballon lui fait une passe. La même action se déroule de l'autre côté. Le dribbleur remplace le joueur à la ligne de lancer franc.

1 CONTRE 1 AVEC LE BALLON (DRIBBLE)

Protéger le ballon Les joueurs se placent en file à la ligne de trois points. Chaque joueur a un ballon sauf le premier en ligne. Le premier joueur se place face au panier, dos au joueur offensif qui a le ballon. Le joueur offensif peut décider d'aller d'un côté ou de l'autre, en commençant par un départ croisé. Le défenseur se met en action lorsqu'il voit le joueur offensif dans sa vision périphérique. Il s'agit d'un excellent exercice pour enseigner à un joueur offensif différents éléments clés pour créer et conserver un avantage d'une seconde :

Prendre un premier pas explosif Passer près du défenseur en dribblant, l'épaule à la hauteur des

hanches du défenseur Couper devant le défenseur et le garder derrière soi Décider d'utiliser un lancer en foulée en extension (si le panier

est libre) ou un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance (si le défenseur est près ou s'il peut bloquer)

Cet exercice peut être effectué à partir de différents endroits sur le terrain.


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Phase D – en situation de jeu Il s'agit d'une excellente façon d'amorcer des exercices 2 contre 2, 3 contre 3, 4 contre 4 et même 5 contre 5. Le joueur offensif en possession du ballon doit prendre la bonne décision :

Lancer au panier Transférer l'avantage d'une seconde à un coéquipier

Les joueurs qui n'ont pas le ballon doivent travailler les éléments suivants :

Garder l'espace nécessaire pour qu'un défenseur ne puisse pas surveiller deux joueurs

Être disponible pour la passe si le défenseur va en aideLes joueurs travaillent sur la défensive d'aide et la récupération.Autoriser la transition s'avère une bonne idée. Les joueurs doivent passer beaucoup de temps à apprendre à jouer en transition.

Changement de vitesse Il s'agit d'un excellent exercice pour enseigner aux joueurs comment changer de vitesse pour créer un avantage d'une seconde. Cet exercice aide également à prendre une décision quant au mouvement de finition à utiliser : un lancer en foulée en extension, un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance ou un lancer en suspension avec arrêt.

Les joueurs forment deux files à la mi-terrain. Les joueurs dans la file extérieure sont en offensive et ont chacun un ballon. Les joueurs de la file intérieure sont en défensive. Ils se placent dos à son panier, épaule à épaule avec le dribbleur de l'autre file. Le joueur offensif amorce l'exercice et dribble en marchant ou en courant lentement vers le panier. Le défenseur doit respecter sa vitesse et maintenir la position épaule à épaule. Lorsque le joueur offensif a l'impression d'avoir l'avantage, il accélère pour attaquer le panier. Le défenseur essaie de l'arrêter. Erreurs courantes :

Il n'y a aucun changement de vitesse. Le joueur offensif conserve tout le long la même vitesse.

Le changement de vitesse se produit trop tôt. L'attaquant ne garde pas le défenseur derrière lui. Trop

souvent, le joueur offensif trace un arc très prononcé, ce qui permet au défenseur de récupérer.

Négliger de lire la défensive avant de terminer l'exécution. Quelques fois, il vaut mieux s'arrêter et laisser le défenseur nous dépasser, hors contrôle.


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Les joueurs doivent apprendre un concept important : dans une course de courte distance, le joueur qui démarre le premier gagne, peu importe si son adversaire est plus rapide. Dans une course de moyenne distance, les chances de gagner sont de 50 %. Dans une longue course, le joueur qui démarre le premier peut perdre l'avantage face à un adversaire plus rapide que lui. Dans ce cas, la vitesse est le facteur déterminant.

Les joueurs offensifs doivent apprendre qu'en gérant efficacement leur changement de vitesse, ils peuvent déclencher des petites courses qu'ils pourront gagner, puisqu'ils savent quand chacune commence.

Phase D Voici une autre façon de commencer les exercices en situation de jeu. Il s'agit de la simulation d'une attaque de l'aile faite en transition. L'offensive apprend à créer et à conserver un avantage d'une seconde. La défensive apprend à venir en aide et à récupérer.

Lire la défensiveLes joueurs se placent dans 2 files, une sous le panier et l'autre à la mi-terrain. Les joueurs au centre du terrain ont un ballon. Le joueur à la mi-terrain commence à attaquer le panier en dribblant. Le joueur sous le panier doit courir et aller toucher la main de l'entraîneur avant de jouer en défensive. C'est à l'entraîneur d'ajuster les distances en fonction de l'habileté des joueurs. Si vous remarquez que la défensive attend toujours après l'offensive, augmentez la distance que doivent parcourir les défenseurs. Si l'offensive réussit toujours à terminer avec un lancer en foulée, diminuez la distance que doivent parcourir les défenseurs.


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Choisir un autre angleVous pouvez également changer l'endroit où les défenseurs doivent aller toucher. Cela change l'angle à partir duquel le défenseur récupère. Cela contribue également à faire différentes lectures de l'offensive et de la défensive. Dans ce jeu, le défenseur commence en faisant une passe puis va toucher à la ligne de côté avant de récupérer. Soyez à l'affût des joueurs qui « trichent » en lançant une passe molle et haute ou qui courent deux ou trois pas avant de faire la passe.


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1 C 1 - LIRE LA DÉFENSIVE

1 c 1 - vérifier la distance Les joueurs forment deux files à la mi-terrain. Les joueurs d'une seule ligne ont un ballon. Le joueur qui a le ballon dribble deux fois vers le centre. Au même moment, le joueur qui n'a pas de ballon coupe vers le centre et montre ses deux mains pour présenter une cible de réception. L'autre joueur lui fait une passe précise. Le joueur qui vient de recevoir la passe se tourne immédiatement et attaque le panier. Le passeur devient le défenseur. Le joueur offensif dispose d'un avantage d'une seconde. Il doit maintenant apprendre à le conserver et à créer une occasion de marquer. Refaites éventuellement cet exercice sur un terrain complet, où le passeur peut décider d'aller vers l'un ou l'autre des paniers.

Feintes du corps Il s'agit d'un excellent exercice pour apprendre à attaquer lorsqu'un seul joueur défensif protège le panier. Les joueurs se placent dans 2 files à la hauteur de la ligne de lancer franc. Les joueurs d'une seule file ont un ballon. Le joueur ayant le ballon commence l'exercice en dribblant jusqu'à la mi-terrain. Au même moment, le défenseur court et va toucher à la ligne de fond. Les joueurs s'affrontent ensuite dans un 1 contre 1. Encouragez le défenseur à quitter la bouteille lorsqu'il joue.

Lancer en suspension ou en fouléeLes joueurs forment deux files sur la ligne de fond. La première personne d'une ligne a un ballon, celle de l'autre file n'en a pas. On alterne dans chaque file, les joueurs qui ont un ballon. Un ballon est placé au sol au point d'attaque, devant le joueur qui n'a pas de ballon. Le joueur en possession du ballon dribble vers le point d'attaque et y dépose son ballon. Au même moment, le joueur sans ballon sprinte pour ramasser le ballon qui est devant lui. Il devient maintenant le joueur offensif. Le joueur qui a déposé le ballon devient le défenseur. Le joueur offensif doit lire la défensive. Si le défenseur montre sa poitrine, l'attaquant exécute un tir en suspension; s'il montre juste un bras, il exécute un lancer en foulée extérieur/intérieur en puissance; s'il n'y a pas de défenseur, il fait un lancer en foulée rapide.


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Cet exercice peut être effectué à partir de différents angles sur le terrain. Cela permet aux joueurs offensifs et défensifs de pouvoir faire différentes lectures.

JOUER AVEC VOS COÉQUIPIERS

Trois joueurs : passe au joueur qui coupe - défensive sur le joueur qui passe Les trois joueurs s'alignent en haut de la bouteille. Le premier joueur est le défenseur, le deuxième, le passeur en possession du ballon et le troisième, le joueur qui coupe. Le passeur dribble jusqu'au point d'attaque, le défenseur met de la pression sur le ballon. Le joueur qui doit couper touche au cône et

établit un contact visuel avec le passeur. Lorsque le passeur est prêt, le joueur coupe. La passe doit être faite seulement à l'extérieur de la ligne de trois points ou dans la bouteille. Faire une passe entre la ligne de trois points et la bouteille ne génère pas un bon espacement. Si un joueur doit se dégager plus haut que la ligne de trois points, il coupera automatiquement par la porte arrière. Il s'agit d'un cas où il est essentiel que le passeur utilise le bon pied de pivot. S'il utilise le pied le plus près du défenseur, il devra essuyer une forte pression et fera généralement une mauvaise passe. Le joueur doit utiliser le pied le plus loin du défenseur et conserver le ballon devant son pied de pivot.


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Trois joueurs : passe au joueur qui coupe - défensive sur le joueur qui coupe Cet exercice est semblable à l'exercice précédent, sauf que le premier joueur en file a le ballon et le deuxième joueur est le défenseur. Le premier joueur dribble jusqu'au point d'attaque et le joueur qui coupe court jusqu'au point d'attaque opposé. Le défenseur se place en bonne position d'aide.

Quelques erreurs courantes :La première erreur est de ne pas lire la défensive ou de ne pas établir de contact visuel avec le passeur. Parfois, il vaut tout simplement mieux ne pas couper. Les changements de vitesse et de direction doivent être bien francs.

L'autre erreur est de courir en offensive et de feinter dans tous les sens. C'est ce qui arrive lorsque le joueur qui coupe hésite et signale dans la confusion plusieurs intentions. Dans un tel cas, le passeur a beaucoup de difficulté à lire le jeu. Il a, en fait, 50% des chances de bien deviner les intentions du joueur qui coupe.

Il est important que le joueur qui coupe apprenne à lire la défensive. On cherche à ce que la défensive accorde le plus grand espace possible. Si le défenseur est sous la ligne entre le joueur qui coupe et le ballon, attirez-le encore plus bas. Sur une courte distance, le joueur qui coupe peut changer rapidement de direction, afin de se démarquer au haut de la bouteille. On veut que le joueur attrape le ballon à la ligne de trois points. Anticipez la défensive et attaquez à gauche ou à droite ou lancez au panier.


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Si le défenseur joue plus haut que la ligne, attirez-le encore plus haut. Servez-vous de la ligne de trois points comme référence pour couper par la porte arrière vers le panier. La passe doit être faite dans la bouteille.

Assurez-vous que le passeur fasse des passes réalistes. Lorsqu'il n'y a pas de défenseur, le joueur fait souvent des passes poitrine.

Si le défenseur joue sur la ligne, vous l'avez mis dans une position dangereuse. À cette position, il lui est impossible de voir simultanément le ballon et le joueur qui coupe. Si le défenseur tourne la tête, le joueur qui coupe peut attaquer derrière lui. Parfois, en feintant une réception de ballon avec les yeux et les mains, on amène le défenseur à tourner la tête.

2 c 1 - deux sorties Dans cet exercice, on travaille la passe d'entrée à l'aile et la technique de « passe-et-va ». Les joueurs en file en haut de la bouteille ont un ballon, à l'exception du premier joueur qui se retourne et agit à titre de défenseur devant le deuxième joueur. Un deuxième joueur offensif se place sous le panier. Ce dernier peut choisir de sortir vers l'un ou l'autre des points d'attaque. Le joueur offensif au haut de la bouteille peut raccourcir sa passe en dribblant légèrement vers le côté. Rappelez-vous que la passe doit arriver EXACTEMENT en même temps que le joueur au point d'attaque. On ne veut pas que la passe soit faite à un joueur qui s'éloigne du panier vers la ligne de trois points, sauf s'il se trouve dans la bouteille.

Lorsqu'un joueur attrape le ballon dans la zone interdite, soit entre la bouteille et la ligne de trois points, il lui est impossible d'anticiper la défensive et de créer un avantage d'une seconde. Le joueur offensif ne peut pas jouer « en équipe » parce qu'il ne peut pas voir tous ses coéquipiers. Il n'y a pas d'espace pour couper par la porte arrière non plus.


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Une fois que le joueur offensif placé à l'aile attrape le ballon, le passeur exécute un « passe-et-va ». Cette technique peut être exécutée devant ou derrière le défenseur, selon l'action que fait le défenseur pendant la passe.

Coordination de la passe (au bon moment et sur la cible)On veut maintenant mettre le défenseur sur le joueur qui coupe. Le passeur doit faire la passe exactement au bon moment et à l'endroit voulu. La passe est faite au joueur qui coupe par la porte arrière dans la bouteille ou au joueur au point d'attaque sur la ligne de trois points.

Faire des passes plus courtesNous pratiquons maintenant la passe à partir d'un dribble à un joueur qui coupe par la porte arrière ou à un joueur qui entre à l'aile. Le joueur à l'aile doit raccourcir sa passe en dribblant vers le côté opposé ou vers le haut de la bouteille. Dans cette situation, faire une passe d'un côté à l'autre du terrain mène souvent à un revirement.


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2 C 2 AVEC HANDICAP (demi-terrain)

Le but des exercices suivants est de donner à l'offensive un avantage d'une seconde : est-ce que le joueur peut exploiter et conserver cet avantage pendant que la défensive tente de reprendre position?

À partir du côté Un premier défenseur se place sous le panier. Un autre se place à mi-terrain à l'extérieur du couloir central. Les deux joueurs offensifs sont à mi-terrain, dans les couloirs extérieurs. Les trois joueurs au centre du terrain sont sur la même ligne. Dans cet exercice, les deux joueurs offensifs bénéficient d'un avantage d'une seconde. Le porteur de ballon doit garder la tête haute et décider s'il peut faire une passe à son coéquipier qui court à l'aile. Si ce n'est pas le cas, il doit ralentir le rythme et jouer à 2 contre 2. La défensive s'emploie à ralentir le ballon et à reprendre position.

Remarque : L'entraîneur doit tenir compte des forces et des faiblesses de chacun des joueurs. Dans les exercices Handicap, il se peut que l'entraîneur doive modifier la largeur et la longueur du terrain, afin de donner un avantage d'une seconde à l'offensive. Si les joueurs ne sont pas capables de faire la passe, réduisez la distance. Si le défenseur arrive trop vite, c'est-à-dire avant que le joueur offensif ait le temps de faire sa passe, faites en sorte que le défenseur court sur une distance plus grande. Lorsque cela est possible, il faut provoquer des situations où les joueurs doivent utiliser leur main faible pour amorcer l'action.

À partir du centre Un joueur offensif se place sous le panier et est surveillé par un défenseur. Un deuxième défenseur se place à la ligne de lancer franc et est en possession du ballon. Un deuxième attaquant se place en haut. L'action commence lorsque le défenseur à la ligne de lancer franc fait une passe au joueur offensif en haut. Le jeu se déroule maintenant en 2 contre 2. Le joueur offensif sous le panier coupe vers une ou l'autre des ailes pour se démarquer. Rappelez-vous des points suivants :

Toutes les passes doivent être envoyées à l'extérieur de la ligne de trois points ou dans la bouteille

Anticipez la défensive, c'est préférable à l'action-réaction N'arrêtez pas le ballon Option 1- Lancez Option 2- Passez Option 3- Attaquez


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Coordination de la passeNous jouons maintenant 2 contre 2 avec un défenseur qui arrive d'un angle différent. Un défenseur en possession du ballon se place au T. Le deuxième défenseur se place derrière un joueur offensif à la mi-terrain. Il fait dos au joueur offensif. Cela a pour but de donner un avantage d'une seconde au joueur offensif. Le deuxième joueur offensif est à la mi-terrain. Il reçoit une passe du défenseur posté au T. Une fois la passe effectuée, le défenseur doit aller toucher à la ligne de côté avant de commencer à jouer en défensive. Cela crée ainsi une brève situation de 2 contre 0. L'offensive doit profiter de cet avantage d'une seconde ou le maintenir. La défensive tente de reprendre position.

2 contre 2 après une remise en jeu sur le côté Une autre façon de commencer le 2 contre 2 est de demander à un autre joueur ou à l'entraîneur de remettre le ballon en jeu. On enseigne aux joueurs un concept simple de remise en jeu. Le joueur offensif le plus éloigné du ballon fait face au ballon, le joueur le plus proche fait face à l'autre joueur offensif, dos au ballon. Le joueur le plus loin du ballon coupe en premier. Son coéquipier analyse son mouvement et se dirige dans le sens opposé. Une fois le ballon en jeu, les joueurs s'affrontent en 2 contre 2 suivant nos différents concepts.


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3 C 3 AVEC HANDICAPIl s'agit des mêmes exercices que ceux du 2 c 2 avec handicap. On accorde à l'offensive un avantage d'une seconde.

Pairage Les attaquants s'alignent à la hauteur de la ligne de lancer franc, face à la ligne médiane. Le joueur au centre a le ballon (éventuellement, n'importe quel joueur pourrait commencer l'exercice avec le ballon). La ligne défensive se place dos aux attaquants, face à la ligne de fond. Les attaquants courent jusqu'à la ligne médiane, se retournent et attaquent la défensive. Les défenseurs courent jusqu'à la ligne de fond puis viennent à la rencontre des joueurs offensifs.

Repérer le joueur libre L'exercice commence par un 3 contre 3, où un joueur défensif fait dos à l'offensive. Cela accorde un avantage d'une seconde à l'offensive.


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Exploiter l'avantage Voici une autre façon de commencer l'exercice avec un avantage d'une seconde. Les trois défenseurs démarrent en retrait des joueurs offensifs. Un joueur défensif est en possession du ballon. Dès qu'il lance le ballon à un joueur offensif, les joueurs jouent 3 contre 3. Le joueur en possession du ballon a un avantage d'une seconde. S'il hésite, il perd cet avantage.

3 c 3 après une remise en jeu de la ligne de fondLe même concept est utilisé pour amorcer un 3 contre 3. Un joueur met le ballon en jeu et ses 2 coéquipiers se placent l'un derrière l'autre pour recevoir le ballon.

EXERCICES DE TRANSITION SUR TOUT LE TERRAIN

RÈGLES :1 – Passez toujours le ballon à un coéquipier qui est libre et qui est en avant de vous.2 – Faites progresser le ballon vers le panier s'il n'y a aucun coéquipier en avant de vous.3 – Courez rapidement si vous n'avez pas le ballon.4 – Utilisez trois couloirs, peu importe où se trouve le ballon.


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1 C 0 - 2 C 1 Diviser le terrain Le défenseur a le ballon et se place sous le panier le plus loin. L'entraîneur se trouve sous le panier opposé. Les deux joueurs offensifs se placent dans le coin. Le porteur de ballon avance avec un dribble rapide en changeant de main. Cela lui permet de progresser plus rapidement.

Lorsque l'entraîneur montre ses mains, le joueur lui fait une passe. Les deux joueurs offensifs amorcent un sprint. L'entraîneur lance le ballon à un de ces deux joueurs. Ils amorcent ensuite un 2 contre 1.

1 C 2 – 2 C 1 Accélérer le jeu par la passe Les trois joueurs s'alignent sur la ligne de fond. Le joueur au centre a le ballon. Lorsqu'il est prêt, il fonce vers le panier éloigné pour marquer. Les deux joueurs latéraux sont en défensive et tentent de l'empêcher de marquer. L'entraîneur attrape le rebond et fait une passe de dégagement aux joueurs latéraux qui reviennent en attaquant à leur tour, contre un défenseur. Ajoutez des règles pour favoriser une meilleure compréhension.

Aucun dribble dans la zone arrière Une seule passe dans la zone avant

Ces règles aident les joueurs à apprendre comment attaquer rapidement.

2 C 2 AVEC HANDICAP Conserver l'avantageLes deux joueurs offensifs se placent sur la ligne de fond et les deux défenseurs à la hauteur de la ligne de lancer franc. Un des défenseurs a le ballon. Il peut passer à l'un ou l'autre des joueurs offensifs. Une fois la passe effectuée, le défenseur doit aller toucher à la ligne de fond avant de commencer à jouer en défensive. L'autre défenseur doit protéger le panier et ralentir le joueur offensif jusqu'à ce que son coéquipier revienne.

SÉRIE D'EXERCICES PROGRESSIFS EN SITUATION DE JEU SUR UN TERRAIN COMPLET


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Les exercices suivants permettent de travailler l'utilisation de l'avantage d'une seconde sur tout le terrain. Les joueurs doivent appliquer nos règles de jeu sur terrain complet. À ce stade, les joueurs doivent maîtriser le concept suivant, qui est très important :

S'il n'y a personne devant moi, je veux dribbler rapidement pour attaquer le panier. S'il y a des coéquipiers devant moi, je veux dribbler en contrôle et faire une bonne passe

lorsqu'ils ont l'avantage.

Attaquer un panier ouvert Si personne ne se trouve entre le porteur de ballon et le panier, le joueur doit utiliser un dribble rapide pour attaquer le panier. Il est préférable de dribbler en changeant de main car cela permet au joueur de courir plus vite et de pousser le ballon vers l'avant.

Quand passer devantSi des coéquipiers du porteur de ballon se trouvent devant lui, il doit contrôler son dribble afin de pouvoir faire une passe au besoin. S'il dribble trop vite, il n'arrivera pas à saisir le ballon pour le passer au moment opportun.

Les questions à se poser sont : passer à qui et quand? La passe peut être :

Tôt - Dans un tel cas, le joueur reçoit la passe bien avant d'avoir atteint la zone d'attaque. Il peut alors dribbler vers le panier s'il est ouvert ou amener le ballon à un endroit approprié sur le terrain où une nouvelle offensive peut être amorcée.

Au bon moment – Le joueur reçoit la passe à l'un des endroits d'attaque définis (à la ligne de trois points, à la hauteur de la ligne de lancer franc). Le receveur n'a pas besoin de dribbler pour se rendre à l'endroit défini.

Au panier – Ici, la passe est faite dans la bouteille. Le joueur qui reçoit la passe n'a pas besoin de dribbler pour marquer un panier.

Trop tard – Le receveur est rendu à destination mais n'a pas reçu de passe. Il doit donc maintenant se démarquer pour recevoir le ballon à un point d'attaque.


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Stade d'initiation / Stade d'acquisition2 joueurs 1 ballon; un joueur est placé sur le T et le porteur de ballon est sur la ligne de côté. Une passe est faite au joueur positionné au T et le passeur court à l'aile. Le joueur au T commence à dribbler dans le couloir. L'entraîneur indique quand la passe doit être faite :

Tôt Au bon moment Dans la bouteille Trop tard

Au début, laissez les joueurs se familiariser avec le concept. Une fois qu'ils auront bien compris l'exercice, exigez qu'ils se soucient des détails.

Remarque : Dans tous ces exercices, l'entraîneur doit déterminer quel avantage il veut créer, selon l'habileté des joueurs. Il faudra peut-être éliminer la passe de l'aile au porteur de ballon. Si la passe est faible, le défenseur aura une chance de récupérer le ballon.

Stade de consolidation Ici, l'entraîneur offre une défensive guidée. Si l'entraîneur laisse l'ailier le dépasser, le passeur envoie le ballon à l'ailier par-dessus la tête de l'entraîneur (tôt).Si l'entraîneur n'offre pas une défensive étroite, le porteur de ballon peut passer au bon moment. Si l'entraîneur conteste le point d'attaque, l'ailier peut couper par la porte arrière et marquer dans la bouteille.


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Stade de consolidation - Foncer en contrôle devant une défensive réelle Le passeur est à la ligne de lancer franc avec un ballon. Le porteur de ballon se place sur la ligne de côté et est surveillé par un défenseur. L'action commence lorsqu'il commence à dribbler. Ce joueur N'A PAS LE DROIT de marquer. Il doit dribbler en contrôle et décider s'il peut faire une passe à l'autre joueur offensif. Le joueur offensif à l'aile amorce un sprint pour obtenir l'avantage. Le défenseur tente de se mettre en position pour protéger le panier. S'il n'est pas possible de faire la passe à l'aile, le joueur offensif descend puis revient pour se libérer. N'utilisez jamais le même plan que celui que vous venez d'utiliser. Choisissez un autre angle. Une fois que la passe est complétée, le passeur se retire de l'exercice.

Observer les deux côtés du terrain Même exercice, mais avec deux joueurs offensifs. Le passeur doit maintenant jeter un coup d'œil des deux côtés du terrain. Une fois que la passe est complétée, le passeur se retire de l'exercice.


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Trois contre trois Même exercice mais en 3 contre 3. Le troisième défenseur se place dos au joueur du centre. Le jeu commence dès que le joueur du centre commence à dribbler. Cela accorde un léger avantage d'une seconde à l'offensive. Le joueur du centre a ainsi une possibilité de marquer.

Exploiter l'avantageUne quatrième paire de joueurs (offensif et défensif) est maintenant ajoutée sur le terrain. Ils se placent sur la ligne de lancer franc à l'autre extrémité du terrain. Le joueur offensif peut couper pour dégager le centre.

À l'occasion, permettez aux joueurs de faire la transition dans le sens inverse.

3 c 3 (attaque latérale) avec handicap Voilà une autre façon de démarrer le jeu 3 contre 3. Cette fois, le joueur en possession du ballon a un léger avantage d'une seconde. Ses deux coéquipiers offensifs se trouvent sur le côté opposé du terrain. Les défenseurs se placent à l'intérieur des joueurs offensifs. L'action commence lorsque le défenseur fait une passe à l'attaquant. Les joueurs offensifs doivent apprendre à avoir un bon espacement. Le second joueur offensif à l'aile doit-il forcer le premier joueur à l'aile à traverser ou le premier joueur doit-il s'arrêter à l'aile et le deuxième venir se poster au haut de la bouteille pour faire un équilibre? Ce sont des situations auxquelles les joueurs doivent penser lorsqu'ils sont sur le jeu.


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3 c 3 (attaque centrale) avec handicap Dans cet exercice, l'offensive a un avantage en milieu de terrain. Il y a un ailier de chaque côté du terrain.

4 c 4 (attaque centrale) avec handicapDans cet exercice, il y a deux joueurs offensifs à l'extrémité du terrain. Le joueur en possession du ballon doit contrôler le jeu et voir les joueurs qui sont aptes à recevoir la passe.

Amorcer le jeu avec le ballon à la position de réception d'une passe de dégagementLes joueurs répètent la même série progressive d'exercices que précédemment mais en démarrant le jeu à l'aile. Le rôle du porteur de ballon est de créer un angle de jeu qui permet aux ailiers de voir le ballon et le panier en même temps.


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Si le porteur de ballon dribble à l'aile directement derrière l'ailier, celui-ci ne peut pas voir à la fois le ballon et le panier. Il lui est donc très difficile d'attraper la passe.

Si le porteur crée un angle, l'ailier peut voir le ballon et le panier et mieux choisir son prochain mouvement avant d'attraper le ballon. Cela est crucial pour créer l'avantage d'une seconde.

On ajoute maintenant une défensive réelle. Le porteur de ballon crée un angle et décide du moment approprié pour faire la passe selon le mouvement du défenseur.

Ballon au T puis à l'aile opposée Le porteur de ballon doit maintenant faire une passe plus courte. Il amène le ballon le long du couloir central puis change de couloir pour se rapprocher du joueur à l'aile. Cela est particulièrement important pour faire une passe à un ailier qui utilise la porte arrière.

Ajoutez une défensive réelle.


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Ballon de l'aile au corridor centralUn joueur court dans le corridor central. Le ballon doit être amené dans le corridor latéral adjacent pour que le joueur puisse faire une passe plus courte.


De corridor à corridor Dans cet exercice, on place un joueur dans chacun des corridors adjacents au corridor central.


RÈGLES D’OFFENSIVE DEMI-TERRAIN

Règles (suite) :5 – Passez le ballon aux coéquipiers qui sont libres.6 – Pénétrez dans la zone chaque fois que vous n’êtes pas libre pour lancer au panier ou qu’aucun

de vos coéquipiers n'est libre.7 – Coupez seulement si le porteur de ballon vous regarde (ou vous voit couper).8 – Prenez la place qui a été laissée libre sur le périmètre. 9 – Attrapez le ballon là où vous pouvez être efficace; à la ligne de trois points et non pas à

l’intérieur de la ligne ou trop loin de la ligne. 10 – Options après avoir attrapé le ballon :

1re : lancer 2e : passer 3e : 1 c 1


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3 CONTRE 3 DEMI-TERRAIN

Ces exercices sont utilisés pour pratiquer les règles d'offensive demi-terrain. Il ne faut pas s’attendre à ce que les joueurs maîtrisent ces notions en une seule séance. L’apprentissage se fait à long terme et exige que le joueur y consacre temps et efforts.

Identifier un espace libre (1 arrière) Les trois joueurs offensifs se placent sur l'axe panier-panier. Le joueur du fond peut choisir de sortir d’un côté ou de l’autre. Le joueur en haut dribble le ballon vers un côté. Le joueur du centre doit trouver un espace ouvert. Le jeu se poursuit à 3 contre 3 selon les règles standards.

Couper et remplacer (2 arrières) L’entraîneur amorce l’exercice à l’aile. Les trois autres joueurs offensifs remplissent les autres places sur le périmètre. Pour commencer, on veut que la défensive conteste la passe. Au moment de la passe, un joueur offensif veut couper vers le panier. Suivant les règles de jeu, les autres joueurs comblent les espaces ouverts. S’il est contesté à la ligne de 3 points, l'attaquant doit couper par la porte arrière.

À la réception du ballon, n'immobilisez pas le ballon : pensez d'abord à lancer au panier et si les conditions ne sont pas favorables, évaluez la possibilité de faire une passe ou de foncer au panier. L’entraîneur est toujours disponible pour recevoir la passe.

Remarque : Les entraîneurs posent souvent la question suivante : « Quel comportement devrais-je enseigner à mes joueurs lorsque la défensive joue en retrait parce qu'elle sait que mes joueurs ne savent pas lancer ? » La réponse, c’est de passer du temps à leur enseigner à lancer. Si on règle le problème en utilisant une tactique ou une stratégie particulière, cela fonctionne seulement pendant un petit moment, mais cela ne vous dispense pas d’enseigner aux joueurs à lancer.


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Changer de place (trouver un espace libre) 3 c 3 Les joueurs se placent de façon à former un triangle. L'entraîneur donne à chaque joueur offensif un numéro : #1, #2 ou #3. Il indique ensuite qui se déplacera en premier, en deuxième puis en troisième. Lorsque l'entraîneur dit « go », les joueurs se déplacent dans l'ordre indiqué. Ils doivent se diriger du côté opposé où ils se trouvent. L'entraîneur passe le ballon à un joueur libre et le jeu 3 contre 3 commence. Cet exercice enseigne ainsi aux joueurs à :

Trouver un espace ouvert Suivre le mouvement de leurs coéquipiers Jouer à différentes positions Comprendre le rythme de l'offensive. Tout le monde ne se

déplace pas en même temps.

4 C 4

Changer de place (trouver un espace libre) 4 c 4 Même exercice, mais le joueurs se placent en formation carrée pour amorcer le 4 contre 4. Encore une fois, ils doivent se déplacer en séquence et trouver un espace libre, mais ils ne doivent pas rester du même côté.

On peut aussi commencer le jeu avec les 4 joueurs placés en file. Encore une fois, ceci est utilisé pour commencer le jeu.

4 C 4 RÉCUPÉRER LE BALLON Une autre façon de commencer le jeu 4 c 4 ou 5 c 5 est de demander aux joueurs de se déplacer au hasard sur le terrain. Lorsque l'entraîneur indique la couleur d'une des deux équipes, cette équipe doit empêcher le ballon de sortir des limites du terrain. Un joueur « sauve » le ballon. Ses coéquipiers doivent communiquer entre eux et se placer de façon à pouvoir recevoir le ballon. Cette équipe attaque ensuite le panier à l'autre extrémité du terrain (l'entraîneur peut choisir lui-même le panier dans lequel les joueurs doivent compter).


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4 C 4 REMISE EN JEU À PARTIR DE LA LIGNE DE FOND L'entraîneur se place à l'extérieur du terrain avec le ballon. Les joueurs des deux équipes se déplacent librement sur le terrain. Lorsque l'entraîneur indique une couleur d'équipe, il pose le ballon par terre. L'équipe appropriée doit alors mettre le ballon en jeu. Elle doit tenter de compter dans le panier désigné par l'entraîneur.

4 C 4 REMISE EN JEU À PARTIR DE LA LIGNE DE CÔTÉMême exercice, mais le ballon est mis en jeu sur le côté.


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5 C 5

5 C 5 avec handicap La défensive s'aligne à la hauteur de la ligne de lancer franc et l'offensive sur la ligne de fond. L'entraîneur lance le ballon à un des joueurs offensifs. Le joueur défensif opposé doit toucher à la ligne de fond avant de revenir en défense.

5 c 5 « Taper le ballon du bout des doigts » Les joueurs se placent en file devant le panneau. Les joueurs offensifs se placent en alternance avec les joueurs défensifs. Le ballon est lancé sur le panneau puis les joueurs le maintiennent en mouvement tour à tour en le frappant du bout des doigts. Les joueurs se replacent en bout de file. Lorsque l'entraîneur crie « Stop », le joueur en possession du ballon le saisit et son équipe devient ainsi l'équipe offensive (vous pouvez aussi demander à l'équipe de réussir un panier et l'équipe adverse remettra ensuite le ballon en jeu). Il s'agit là simplement d'une autre façon d'amorcer le jeu offensif.

5 c 5 « Choisir un adversaire »Les joueurs des deux équipes se déplacent librement sur le terrain. L'entraîneur lance le ballon à une équipe. Cette équipe jouera à l'offensive.

L'entraîneur peut aussi faire rouler le ballon au sol. L'équipe qui s'empare du ballon devient l'équipe offensive.

L'entraîneur peut aussi choisir de lancer le ballon au panier. L'équipe qui saisit le rebond est à l'offensive.

L'entraîneur peut aussi choisir de faire rebondir fermement le ballon au sol. L'équipe qui en prend possession s'affirme comme équipe offensive.


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Courir plein terrain Les cinq joueurs offensifs et les cinq joueurs défensifs se placent en file dans les coins opposés du terrain. Le premier joueur offensif a le ballon. Lorsque l'entraîneur dit « go », les joueurs commencent à jogger le long des lignes de terrain. Lorsque l'entraîneur siffle, l'équipe à l'offensive attaque le panier opposé; les joueurs défensifs choisissent chacun un joueur offensif et tentent d'empêcher l'adversaire de compter. Voilà une autre façon de démarrer le jeu 5 contre 5.

Remise en jeuLes deux équipes se déplacent au hasard sur une moitié de terrain. Un entraîneur se place sur la ligne de côté, l'autre sur la ligne de fond. Ils ont chacun un ballon. L'un désigne une couleur d'équipe et dépose le ballon au sol. L'équipe appropriée doit mettre le ballon en jeu et attaquer le panier désigné.


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ENSEIGNEMENT AUX JEUNES D'UNE OFFENSIVE SIMPLIFIÉE ET AXÉE SUR LES HABILETÉS DE BASE

(Phase 2 du stade S'entraîner à s'entraîner du modèle de développement à long terme de l'athlète chez les 11 à 14 ans)

Avant de présenter ces concepts, l'entraîneur doit s'assurer que les joueurs comprennent très bien les concepts enseignés au stade précédent et aient développé les habiletés qui s'y rapportent (11 à 14 ans).

1. COUPER ET REMPLACER (contact visuel au moment de couper)2. TIRER PROFIT DE L'AVANTAGE D'UNE SECONDE (lire la défensive)3. ENSEIGNER LE 2 CONTRE 1 (demi-terrain et terrain complet) 4. 1 CONTRE 1 AVEC 5 JOUEURS (jouer avec ses coéquipiers)5. NE PAS ARRÊTER LE BALLON (vaut mieux anticiper que réagir)6. ENSEIGNEMENT PROGRESSIF (phases A – B – C – D)

Revue rapide

Début en dribble 1 contre 0 – Phase A Les joueurs forment 2 files, à la largeur de la bouteille. Tous les joueurs ont un ballon sauf le premier en ligne. Le premier joueur court jusqu'au T, fait un arrêt avec saut, pivote puis coupe vers le point d'attaque. Le deuxième joueur fait la passe lorsque le joueur est à l'extérieur de la ligne de trois points, mais à un endroit où il représente une menace. En utilisant un départ croisé, le joueur attaque vers le centre pour effectuer un lancer en suspension avec dribble ou attaque en direction de la ligne de fond pour effectuer un tir en foulée extérieur/intérieur en puissance.

L'entraîneur met l'accent sur le jeu de pieds, la passe et la finition.

Lire la défensive de l'entraîneur – Phase B Maintenant, l'entraîneur sert de guide à l'ailier lorsqu'il attrape le ballon. Le joueur doit décider s'il lance, s'il fonce vers la droite ou la gauche ou s'il coupe par la porte arrière.


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Défensive active 1 contre 1 – Phase C Dans cette phase, on veut que les joueurs jouent 1 contre 1. Formez deux files à la ligne de fond. Une équipe a le ballon. Le premier joueur passe le ballon à l'entraîneur, qui est en haut, puis coupe vers le point d'attaque. Lorsque le joueur commence à courir, la première personne dans l'autre file court jouer en défense.

Situation de match 1 contre 1 – Phase D Les joueurs forment 2 files dans le haut du terrain. Ceux dans la file centrale ont un ballon. Un défenseur se place sur la ligne de passe pour surveiller l'ailier. Le joueur en possession du ballon fonce dans la bouteille en dribblant. Le défenseur vient en aide et reprend position sur son joueur. L'ailier glisse vers un endroit libre. Lorsqu'il attrape le ballon, le jeu 1 contre 1 s'amorce.

Le défenseur fait seulement une feinte avec la main et le pied sur la ligne de course du joueur offensif. Assurez-vous que le passeur dribble avec la main extérieure.

Couper par la porte arrière et passer – Phase A Pour revoir la notion de porte arrière, on utilise le même exercice que dans les stades précédents. Il y a un ballon dans chaque file. Le joueur dans le coin passe à l'entraîneur et coupe à l'aile, à l'extérieur de la ligne de 3 points. Le joueur en haut dribble vers le centre. Le synchronisme des deux joueurs est extrêmement important. L'ailier passe par la porte arrière. La passe doit être faite dans la bouteille. Après avoir effectué la passe, le passeur coupe vers le point d'attaque opposé et passe par l'arrière pour recevoir la passe de l'entraîneur placé dans le coin.


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Porte arrière contestée - Phase B Pour stimuler et enrichir la prise de décisions chez les joueurs et pour augmenter la précision d'exécution lorsque le joueur coupe et passe, l'entraîneur offre une défensive guidée.

3 c 1 Passe triangulaire - Phase CIl s'agit d'un nouveau concept introduit à ce stade-ci. On conseille à l'entraîneur d'effectuer d'abord cet exercice en 3 contre 0 (Phase A). Ensuite, l'entraîneur devrait offrir une défensive guidée pour faciliter l'exécution et la prise de décisions (Phase B). Dans la phase C, on fait appel à une défensive réelle. On travaille à sceller l'intérieur et à utiliser la passe triangulaire pour effectuer la « meilleure passe possible » au joueur intérieur.

Le joueur en haut a le ballon et dribble vers le point d'attaque. Le joueur offensif au bas du terrain court et coupe vers le coin du même côté. Le joueur offensif à la ligne de lancer franc surgit dans le haut du terrain. Le défenseur surveille l'ailier qui a le ballon. La passe est envoyée à l'un ou l'autre de ces joueurs ou dans le haut du terrain. Après avoir fait la passe, l'ailier coupe vers le poste bas côté ballon. Le défenseur se place entre le joueur et le ballon.

Dans cet exemple, le ballon a été passé dans le coin. La défensive s'est correctement placée du côté du ballon (entre le joueur et le ballon) et a ainsi empêché la passe à partir du coin. Le joueur en haut de terrain doit écourter la passe et appeler la passe triangulaire. Il est important que le joueur intérieur scelle bien la position. Ne perdez pas le contact; cela permettrait au défenseur de se repositionner sur la passe. Le passeur en haut peut mener le joueur offensif vers le panier en lui faisant une passe appropriée.

La passe triangulaire peut être comparée à la passe décisive (mention d'aide) au hockey. On utilise un coéquipier pour passer le ballon à l'intérieur.


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Dans cet exemple, le ballon a été passé dans le haut du terrain. Encore une fois, le défenseur est dans la bonne position pour empêcher la passe. Le joueur dans le coin doit écourter la passe pour que la passe triangulaire soit efficace.

Trop souvent, le joueur qui coupe se rend au panier. Selon les règles de jeu, le joueur ne peut rester dans la bouteille que pendant 3 secondes. Cela peut être insuffisant pour développer la passe triangulaire. Aussi, si le passeur tente de passer dans un espace vide, il attire le joueur intérieur loin du panier et près de l'aide défensive.

Ballon dans le posteOn ne peut pas présumer qu'une fois le ballon rendu dans le poste, le joueur lancera au panier chaque fois. Les joueurs de périmètre doivent apprendre à se déplacer. On ne veut pas prendre une position où le défenseur peut surveiller le joueur de centre et le joueur de périmètre. On ne veut pas non plus remplir le coin à côté du poste bas. Cela restreint la vue du joueur dans le poste. Il ne peut pas voir tout le monde sur le terrain en même temps. Il doit tourner la tête. Cela peut aussi mener à une prise à deux.

Dans cet exemple, les deux joueurs de périmètre se font mutuellement des écrans. Il s'agit là d'un concept avancé qui ne doit pas être utilisé tant que les joueurs n'ont pas appris le système offensif.


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Une des règles simples à utiliser pour les joueurs de ce niveau est de jouer à la hauteur de l'épaule de votre défenseur. En vous positionnant de la sorte, vous bloquez la vue de votre défenseur. Il ne peut pas à la fois vous voir et voir le ballon dans le poste. Si le défenseur tourne sa tête, vous pouvez facilement couper vers un espace libre.

2 contre 2 Couper et remplacer Le diagramme montre la phase A de l'exercice, sans défensive. Le joueur dans le haut a le ballon. Il coupe vers le poste, côté ballon, puis se tourne face au ballon. Tout en gardant les yeux sur le ballon, le joueur se dirige vers le coin. Le joueur offensif à l'aile prend sa place dans le haut du terrain.

Il est très important de se placer en position de réception de passe lorsque vous atteignez le panier. Regardez ce que font vos coéquipiers et les défenseurs. Lorsque vous sortez de la bouteille pour vous rendre à un endroit libre, vous voulez quand même garder les yeux sur le ballon.


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Lorsque le joueur dans le haut du terrain attrape le ballon, il veut anticiper la défensive; un arrêt avec saut, déjà placé face au panier. Il attaque le panier avec un départ croisé. Si un de ses coéquipiers montre les mains, il lui passe le ballon. C'est ce joueur qui lancera au panier. Si aucun joueur ne montre les mains, continuez de foncer au panier.

Dans la phase B, l'entraîneur offre une défensive guidée. Dans la phase C, on joue 2 contre 2. Une défensive réelle est maintenant ajoutée. L'entraîneur est toujours libre pour recevoir une passe. Les joueurs s'exercent à couper.

3 contre 3 Couper et remplacer Commencez l'exercice à la phase A, sans défenseur. L'entraîneur placé en haut du terrain a le ballon, et trois joueurs à l'offensive remplissent le périmètre. Le concept : couper seulement lorsque le joueur en possession du ballon (l'entraîneur) établit un contact visuel. Après avoir coupé, placez-vous en réception de passe au panier puis sortez vers un espace libre. Si le joueur en haut de vous coupe vers le panier, vous devez remplir un espace libre. Si une passe est envoyée à un des joueurs, ses coéquipiers peuvent encore couper vers le panier, mais seulement si le joueur en possession du ballon établit un contact visuel avec eux.

Dans la phase D, nous tentons le plus possible de nous rapprocher de la situation de jeu en jouant un 3 contre 3. La défensive occupe les couloirs de passe.

Voici un des concepts les plus importants à apprendre. Coupez vers le panier lorsque le porteur du ballon établit un contact visuel avec vous. Si un joueur coupe vers le panier sans qu'il y ait eu contact visuel :

Trop de joueurs se retrouvent dans la bouteille en même temps

Les joueurs ne sont pas synchronisés Revirement

Parfois, il vaut tout simplement mieux ne pas couper. Rester brièvement immobile constitue la meilleure solution lorsque vous n'êtes pas disponible pour couper.


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Jouer trois fois 1 contre 1 après réception d'une passe provenant du joueur dans le posteL'entraîneur placé dans le poste a le ballon. Le joueur offensif joue 1 contre 1. Apprenez à jouer au niveau de l'épaule de votre défenseur. Rendez la tâche difficile au défenseur, de façon à ce qu'il ait de la difficulté à aller en aide tout en vous surveillant. L'entraîneur fait une passe puis les joueurs jouent 1 contre 1.

Le joueur offensif se déplace immédiatement à la deuxième position dans le haut du terrain et joue contre le défenseur. Si l'entraîneur dribble, le défenseur tente d'arrêter sa progression. Il doit jouer au niveau de l'épaule du défenseur.

Le joueur offensif se rend vers la troisième position. De là, il voit que la défensive tourne le dos et il doit couper vers le panier. En jouant à l'offensive trois fois de suite, il est très rare qu'un joueur exécute la même manœuvre chaque fois. La répétition lui permettra d'apprendre à lire le jeu.

EXERCICES D'ESPACEMENT ET DE LANCERS

Ces exercices sont conçus pour aider les joueurs à travailler les éléments suivants : Dribble approprié pour pénétrer dans la zone Mouvement sans le ballon Passe au moment d'une pénétration dans la zone Lancer créé par une pénétration dans la zone Mouvement après la passe Prise de décisions à la réception du ballon après pénétration dans la zone


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2 c 0 Jeu en fixation et passe Les joueurs placés en file dans le haut du terrain ont le ballon. Le joueur à l'aile doit attendre que l'attaquant pénètre dans la zone. S'il bouge trop tôt, cela permet au défenseur en aide de contester le dribble et de le surveiller dans le périmètre en même temps. Le joueur à l'attaque dribble avec la main extérieure et doit attaquer dans la bouteille. On veut que la passe soit faite avec la main intérieure. Le joueur à l'aile s'amène en cercle derrière le porteur de ballon. Celui-ci continue à courir après avoir passé le ballon et sort du même côté.

Cette passe est facile à faire avec la main intérieure. Le dribbleur n'a pas besoin de croiser la main et de tourner le poignet dans une position qui n'est pas naturelle. Certains joueurs plus forts peuvent faire cette passe, mais ce n'est pas un mouvement naturel. On ne veut pas faire un arrêt avec saut parce que :

La passe est plus lente, ce qui permet au défenseur de l'anticiper

Le passeur met plus de temps à évacuer la bouteille. Plus les joueurs occupent la bouteille longtemps, plus il faut attendre pour la prochaine pénétration.

Fixation et passe, en continuLes joueurs se répartissent dans trois files. Le premier joueur des deux files extérieures n'a pas de ballon. Tous les autres joueurs ont un ballon. Le premier joueur de la file du centre pénètre dans la bouteille par le milieu et s'oriente d'un côté. Le joueur à l'aile du même côté effectue une rotation derrière le porteur du ballon. Le passeur continue à couper vers le coin du même côté que sa passe. Il reçoit une passe du deuxième joueur de la file extérieure de ce même côté et lance au panier.

Il est essentiel que le joueur qui a reçu la passe sur fixation feinte un lancer, avant de lui-même pénétrer dans la zone. Il pénètre ensuite dans la bouteille. L'ailier du côté opposé effectue une rotation

derrière le porteur de ballon. Le passeur continue à couper vers le même coin en même temps qu'il effectue la passe. Le joueur qui a reçu la passe attend ensuite une seconde avant de pénétrer à son tour et lancer en suspension.


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On n'insistera jamais trop sur le fait que le joueur qui reçoit la passe de celui qui vient de pénétrer dans la zone doit attendre une seconde avant de pénétrer à son tour. Si ce joueur pénètre aussitôt qu'il reçoit le ballon, il fonce alors droit vers une défensive qui s'est déjà refermée. De plus, son propre coéquipier est peut-être encore dans la bouteille. Il a besoin de temps pour dégager.

En montrant une intention de lancer, le joueur verra ses coéquipiers qui sont libres pour recevoir une passe, mais sera aussi capable d'attaquer un défenseur qui se referme (close out) plutôt que d'attendre la pénétration.

On n'enchaîne pas des passes en huit, qui ressemblent plus à du handball qu'à du basketball.

Pénétration au centreLes joueurs forment trois files. Tous les joueurs ont un ballon sauf le premier de chacune des files extérieures. Le premier joueur de la file du centre fonce dans la bouteille. Le premier joueur de la file extérieure du côté de la pénétration effectue une rotation derrière le porteur du ballon. Le passeur continue à couper vers le coin du même côté où il a fait la passe. Il reçoit alors une passe du deuxième joueur de la file puis lance au panier. Celui qui reçoit sa passe attend une seconde avant de pénétrer à son tour. Il fait une passe au joueur qui effectue une rotation derrière et ce dernier lance au panier.

Rotation vers l'extérieur vs Rotation derrièreIl s'agit d'une lecture faite par le joueur offensif. Si le défenseur vient en aide vers le haut, on veut glisser de façon à s'éloigner de la pénétration. Si le défenseur vient en aide latérale, faites une rotation derrière le passeur. On cherche à ce que le défenseur ait le plus de distance à parcourir possible pour reprendre sa position.


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1 c 1 Fixation et passe Ici, on voit que le défenseur vient en aide, donc on tente de s'en éloigner en glissant. Le défenseur commence dans la ligne de passe. Le joueur au centre pénètre dans la bouteille. Le défenseur vient en aide en bloquant le couloir d'attaque avec la main et le pied. Il reprend position en gardant une main dans le couloir de passe. Voici l'exercice de la phase C (défensive réelle). L'entraîneur pourrait avoir à diminuer la difficulté de l'exercice et revenir à la phase A (sans défensive) ou à la phase B (défensive guidée). C'est bien là l'art de l'entraînement; l'aptitude à reconnaître la phase où en sont rendus les joueurs en ce qui a trait à un concept donné.

2 contre 2 avec handicap Il s'agit d'un exercice de la phase D où l'on travaille la fixation et passe dans une situation de jeu. Le défenseur du joueur à l'aile se place d'abord dos au joueur offensif. Cela confère une seconde d'avance à l'offensive. Le joueur offensif doit lire la défensive d'aide. Les joueurs s'affrontent ensuite 2 contre 2.Remarque : On ne veut pas qu'il y ait de lancer de trois points avant que le ballon ne soit entré dans la bouteille, que ce soit par pénétration d'un joueur ou par la passe. Ce sont les trois points les plus faciles à réaliser parce que le lanceur reçoit la passe en ligne avec la panier. Il est plus facile pour lui d'enchaîner l'action de tir puisqu'il est déjà face au panier.

3 contre 2 Espacement (avec handicap) Il s'agit d'un exercice de phase D mettant en jeu trois joueurs offensifs contre deux défenseurs. Le joueur qui n'est pas surveillé par un défenseur commence l'exercice en pénétrant dans la bouteille. Il crée une situation 2 contre 1. Si un défenseur vient en aide, le joueur offensif passe le ballon. On veut que les joueurs apprennent à repérer un coéquipier qui est libre. Il doit transférer l'avantage d'une seconde à son coéquipier. Les joueurs qui reçoivent la passe doivent garder en tête les options disponibles :

Lancer (première option) Passer (deuxième option) Pénétrer (troisième option) – attendre 1 seconde


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3 contre 3 Espacement (avec handicap) On joue maintenant 3 contre 3 avec un handicap. Un défenseur se place dos au porteur de ballon. Cela concède à l'offensive un avantage d'une seconde. Remarquez que les autres joueurs offensifs doivent attendre la pénétration et réagir selon la lecture qu'ils en font.

Nous vous suggérons d'ajouter une transition à cet exercice. Permettez aux joueurs d'attaquer en 3 contre 3 dans l'autre direction.

3 contre 3 au signal de l'entraîneur Les trois joueurs offensifs s'échangent le ballon autour du périmètre. Les défenseurs se déplacent dans les couloirs de passe mais ne touchent pas au ballon. Lorsque l'entraîneur lève le poing, le porteur de ballon doit maintenant pénétrer dans la zone. Le jeu se poursuit à 3 contre 3 selon les règles standards.

REMARQUE : À ce stade de développement, on ne spécialise pas les joueurs à une position en particulier. Chaque joueur doit apprendre le jeu à toutes les positions.

3 contre 3 Couper et remplacerVoilà une autre façon de démarrer le jeu 3 contre 3. L'entraîneur, sous le panier, a le ballon. Les défenseurs se déplacent mais ne touchent pas au ballon tant que l'entraîneur n'a pas fait une passe. Le jeu s'amorce dès qu'il passe le ballon à un joueur offensif. Si l'entraîneur vous regarde, coupez au panier. Les autres joueurs doivent remplir un espace libre ou attendre.


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4 contre 3 Couper et remplacer Cet exercice est très important pour enseigner aux joueurs la séquence des options disponibles : lancer au panier, passer, attaquer avec un dribble. Les défenseurs jouent d'abord dans le couloir de passe. Un joueur offensif amorce l'exercice en coupant par la porte arrière lorsque le passeur le regarde. Un autre joueur prend sa place. On ne veut pas que les joueurs lancent de la ligne de trois points, parce que le ballon n'est pas encore entré dans la bouteille (au fur et à mesure que les joueurs prendront de l'expérience, certains d'entre eux démontreront qu'ils peuvent réussir de tels lancers, mais à ce stade-ci, on veut mettre l'accent sur les règles).

Le joueur qui reçoit la passe doit évaluer chacune des options. Il doit repérer un joueur libre.

4 contre 4 avec handicap Voici un exercice à 4 contre 4, qui s'amorce lorsque l'entraîneur passe le ballon à l'un des joueurs de périmètre. La défensive occupe les couloirs de passe. Une fois le ballon en jeu, on commence par la pénétration.

4 contre 4 Couper et remplacer (2 dribbles) On joue maintenant à 4 contre 4 et l'exercice consiste à couper et remplacer. Le jeu s'amorce lorsque le joueur que le porteur de ballon regarde coupe par la porte arrière. Les joueurs offensifs ont droit à un maximum de 2 dribbles.


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Système offensif

Vers la fin du stade de développement S'entraîner à s'entraîner, on intègre peu à peu un système de jeu. Il va sans dire que les entraîneurs ne peuvent pas négliger l'importance de travailler les habiletés et concepts des stades précédents. Un trop grand nombre d'entraîneurs veulent passer directement à l'étape de "jeu" avant même que les joueurs ne sachent comment jouer. Le matériel vu précédemment constitue la base du développement de toutes les habiletés futures en basketball. Si les joueurs n'acquièrent pas ces habiletés fondamentales, l'entraîneur ne parviendra pas à mettre en place correctement aucun système de jeu.

Le système utilisé devrait : Faire en sorte que les joueurs jouent à différentes positions. Servir uniquement à amorcer l'offensive. Le modèle de jeu n'est pas aussi important que le

concept visant à créer un avantage d'une seconde. Découler d'une transition, Enseigner aux joueurs à bien lire le jeu.

SYSTÈME OFFENSIF (RÈGLES) 4 + 1 (4 JOUEURS DANS LE PÉRIMÈTRE + 1 JOUEUR À L'INTÉRIEUR). Ce

dernier n'est pas le joueur de centre permanent. Le joueur peut rester dans le poste durant une possession ou les joueurs peuvent se déplacer de l'intérieur vers le périmètre au cours d'une même possession.

JEU DANS LE POSTE POUR CHAQUE JOUEUR ÉCRAN ARRIÈRE – il s'agit du premier écran que l'on enseigne. La raison est que

ce type d'écran respecte tous les concepts offensifs : o La première option est toujours de faire entrer le ballon dans la bouteille o La deuxième option est de lancer de la ligne de trois points

PÉNÉTRATION AVEC DRIBBLE - Comme pour l'écran arrière, cette manœuvre a pour effet de faire entrer le ballon dans la bouteille, puis il est possible de le faire ressortir pour permettre un lancer de la ligne de trois points.

PICK AND ROLL – il devrait s'agir de la dernière option enseignée aux joueurs.


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Mouvement de base À la base, les positions en cause sont : un joueur dans le poste côté ballon, quatre joueurs de périmètre; deux joueurs aux positions arrières et deux ailiers ou avants.

Lorsqu'un joueur arrière fait une passe à l'autre joueur arrière, le joueur dans le poste fait un écran arrière pour l'ailier. Le joueur dans le poste fait immédiatement face au joueur arrière qui a le ballon. L'arrière qui a fait la passe s'éloigne vers l'aile.

Le joueur dans le poste reste en place

Le joueur dans le poste peut aussi suivre le ballon. C'est là une bonne option s'il a un avantage sur le joueur en défense. L'ailier et l'arrière s'échangent leur position.

Écran arrière côté faible

Si le joueur arrière du côté opposé est contesté, il est souvent judicieux que l'ailier sur le côté faible effectue un écran arrière. Notez que l'ailier coupe d'abord en direction du panier. Cela permet d'avoir un meilleur angle pour faire l'écran. Dans le cas d'une passe d'un joueur arrière à l'autre, le joueur dans le poste fait un écran arrière à l'ailier et le joueur arrière ressort vers l'extérieur.


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Porte arrière côté faible, écran arrière côté fort

Voici une autre façon d'amorcer l'action. Le joueur arrière du côté faible passe par la porte arrière. L'ailier du côté faible coupe pour le remplacer. Cela permet au joueur arrière de passer à un autre arrière. Plutôt que de faire un écran arrière pour l'ailier, le joueur dans le poste fait un écran arrière pour le joueur arrière. L'ailier du côté du ballon coupe brusquement vers le panier vers le poste opposé pour créer un espace libre pour le joueur arrière qui vient d'utiliser l'écran.

Passe à l'ailier

Si le ballon est remis à l'ailier, le joueur dans le poste effectue un écran arrière pour le joueur arrière côté ballon. Les joueurs sur le côté faible échangent leur place.

Ballon dans le poste bas

Lorsque le ballon est remis au joueur dans le poste, les joueurs de périmètre doivent se déplacer pour conserver l'espacement. Le passeur à l'aile peut faire un écran pour l'arrière côté ballon. Après avoir fait l'écran, il coupe à travers la bouteille et de l'autre côté du terrain. Les autres joueurs remplissent les espaces libres. On ne veut jamais occuper le coin du terrain côté ballon lorsque le ballon est dans le poste. Le joueur dans le poste a alors de la difficulté à voir tous les joueurs sur le terrain en même temps.


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Si les équipes doublent le joueur dans le poste, il faut chercher à passer le ballon pour créer une situation 2 contre 1.

Rappelez-vous des points suivants : Laissez les joueurs libres de jouer après quelques passes (coupe, pénétration,

espacement) pour vous permettre de déceler le talent et le potentiel des joueurs. L'exécution du système doit demeurer flexible. L'entraîneur peut changer les options offensives après un temps mort ou après une

remise en jeu à partir de la ligne de côté .

Découpage du système offensif en 4 contre 4

Voici quelques bons exercices de 4 contre 4 permettant de travailler différentes composantes du système offensif.


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Flot offensifDans tout bon système offensif, chacune des actions connecte avec la suivante; dès qu'une se termine l'autre commence. Dans une équipe qui ne fonctionne pas bien, l'action s'arrête puis reprend.

Tempo offensifL'offensive doit refléter le tempo inverse de la défensive. Si la défensive veut ralentir le jeu, l'offensive doit jouer plus rapidement. Si, au contraire, elle exerce de la pression, l'offensive doit ralentir la cadence.

Coach Pasquali

Passe d'arrière à arrière

Ici, l'entraîneur agit comme deuxième joueur arrière. Les joueurs s'exercent à reconnaître le mouvement du joueur arrière qui ressort vers l'extérieur à la suite d'un écran arrière. Les joueurs se remettent en situation de passe-remplacement-pénétration.

Ici, l'entraîneur développe le travail d'écran arrière sur un joueur arrière alors que le ballon est passé à l'aile.

Ici, les joueurs pratiquent le jeu suivant : le joueur avant coupe derrière le poste et le joueur dans le poste fait ensuite un écran arrière pour le joueur arrière.


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RÈGLES DÉFENSIVES1 – PRESSION SUR LE BALLON : Le jeu commence aux 3/4 du terrain (à la ligne de lancer franc de l'équipe adverse). L'exercice consiste à exercer de la pression sur le porteur de ballon. Ne permettez pas au porteur de ballon de voir facilement les autres joueurs sur le terrain et forcez-le à changer de main (pendant qu'il dribble) et de direction (croisé) aussi souvent que possible. Aussi, ne lui permettez pas de choisir le côté où il pourra dribbler (côté fort ou côté faible). Cela contribuera à créer de la confusion dans l'offensive de l'adversaire. Tous les autres joueurs devraient être dans les couloirs de passe.

Lorsque le porteur croise la ligne médiane, vous devez le maintenir sur le même côté et empêcher les dribbles en croisé. Cela permettra aux quatre autres défenseur d'identifier le côté ballon et le côté aide. Ne permettez pas à l'offensive d'entrer le ballon quand et où elle le veut. La passe d'entrée constitue le début du jeu offensif; c'est pourquoi il faut l'empêcher le plus possible.Placez la poitrine entre le ballon et le panier; Suivez la trajectoire du ballon uniquement avec la main qui se trouve du côté ballon. Si vous utilisez la main opposée, vous serez alors en déséquilibre.


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2 – RESTEZ TOUJOURS DANS LE COULOIR DE PASSE : Assurez-vous de toujours rester dans le couloir de passe, prêt à contester la passe et la pénétration. Votre défensive d'équipe ne sera efficace que si les cinq joueurs sont en bonne position. Vous devez former un mur.

3 – FORCEZ LE JOUEUR OFFENSIF À SE DÉPLACER POUR ATTRAPER LE BALLON : Ne permettez jamais au joueur que vous surveillez d'attraper le ballon à la ligne de trois points. Forcez-le à se déplacer pour obtenir le ballon; cela permettra à vos coéquipiers d'empêcher que l'adversaire coupe et fasse des écrans. Faites en sorte que le joueur offensif sente toujours de la pression.

Un ancien entraîneur yougoslave a déjà dit que la meilleure offensive consiste à prendre le ballon du côté fort du terrain où se trouvent trois attaquants et de le renverser du côté où il y a deux joueurs; il faut ensuite ramener rapidement un troisième joueur du côté fort vers le côté faible. Dans cet exemple, il est très difficile de défendre l'écran arrière si on permet que le ballon soit renversé rapidement.


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En amenant les joueurs du périmètre à se déplacer pour attraper le ballon, on ralentit le temps d'exécution pour renverser le ballon. Les joueurs qui défendent l'écran ont le temps de sortir et de reprendre position.

4 – PAS DE BALLON DANS LE POSTE BAS (JOUEUR DE PETIT OU DE GRAND GABARIT) : Ne permettez jamais que le ballon arrive dans le poste bas; c'est la position la plus importante pour la défensive. Combattez avec le plus d'ardeur possible pour contester la passe et la position.

Le poste bas est une zone d'environ un mètre par un mètre au sol. On veut éviter à tout prix que le ballon atteigne cette zone. C'est une bonne idée que de marquer cette zone avec du ruban au sol pendant les entraînements. Cela aide les joueurs à prendre conscience de cet endroit clé.

Si le joueur offensif attrape le ballon en avant de ce carré, le défenseur qui surveille l'aide peut facilement venir en aide.

Si le joueur offensif attrape le ballon au-dessus du poste bas, deux défenseurs sur le périmètre peuvent venir en aide tout en surveillant leur propre joueur.


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Lorsque le joueur offensif se poste à l'intérieur de la bouteille, il est très facile pour l'aide défensive d'intercepter la passe lobée.

Si le joueur de centre est derrière la zone de poste bas, là encore la défensive côté faible peut venir contrer le dribble. Le défenseur du poste s'empare du milieu et bloque la vue du joueur dans le poste.

Lorsque l'offensive attrape le ballon dans le poste bas, il est très difficile pour les défenseurs de venir en aide. Cela force les défenseurs à faire une rotation, ce qui constitue une défensive "après le fait". La défensive est alors en ajustement continuel. Les défenseurs ne devraient pas venir en aide quand l'attaquant est dans le poste. On veut bien inculquer au défenseur du poste le sentiment qu'il doit à tout prix empêcher le ballon d'atteindre le poste bas. Si le défenseur se fie sur le fait qu'un joueur viendra en aide, jusqu'à quel point fera-t-il tout ce qu'il peut pour éviter que le ballon se rende au poste bas ? Il faut développer un esprit défensif.


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5 – JOUER 1 ET 1/2 SUR LE JOUEUR QUI N'A PAS LE BALLON : assurez-vous de toujours surveiller votre joueur tout en restant prêt à aider en cas de pénétration ou rotation. Gardez en mémoire cette règle, qui constitue la première étape d'un bon jeu défensif.

En défensive, le joueur doit toujours savoir qui il surveille (1) et à qui il peut venir en aide (.5). Le joueur qui surveille le porteur de ballon est le seul à ne pas avoir la responsabilité de venir en aide (.5). Il doit savoir, toutefois, qui est prêt à venir en aide si l'attaquant dribble.

6 - CONTESTEZ À 1 PASSE DU BALLON: Cette technique est une extension des règles défensives 2 et 3. Cela est particulièrement vrai lorsqu'il y a un joueur offensif dans le coin (pas de passe triangulaire avec le joueur du poste bas si on défend avec une position 3/4 avant).

7 – RALENTISSEZ LE RENVERSEMENT : Comme il a été mentionné dans les règles défensives 3 et 6. N'importe quelle offensive va fonctionner si on permet que le ballon circule rapidement d'un côté à l'autre, particulièrement s'il transite par le poste haut. Il est important de tenter de briser le rythme de l'offensive en contestant les passes de renversement. Il est également important de contester la passe lorsque vous jouez en défense contre un écran arrière, contre un


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joueur qui coupe du côté faible et contre n'importe quel type d'écran.

8 – JOUEZ UNE BONNE DÉFENSIVE 1 CONTRE 1 POUR ÉVITER UNE ROTATION DÉFENSIVE : Une bonne défensive homme à homme commence par une bonne défensive 1 contre 1 sur le porteur de ballon. La rotation défensive affaiblit la défensive. La rotation défensive place l'équipe défensive en situation d'urgence. Trop souvent, les entraîneurs consacrent la majorité du temps d'entraînement à ces situations d'urgence. Il est préférable de travailler au développement des habiletés requises pour empêcher de telles situations. L'apprentissage de bonnes habiletés défensives profitera à l'athlète tout au long de sa carrière, alors que les rotations ne fonctionnent souvent que le temps d'un match.

NOTIONS DE DÉFENSIVE

DÉFENSIVE 1 CONTRE 1 : Placez-vous en équilibre, soyez prêt à réagir, dirigez une main vers le ballon et l'autre dans le couloir de passe. Évitez de croiser les mains ou les pieds. Bougez les pieds et gardez toujours la poitrine devant le ballon. Globalement, la défensive homme à homme sera aussi forte que la défensive individuelle du joueur qui surveille le porteur de ballon.

DÉFENSIVE CONTRE UN ÉCRAN VERS LE BAS (DOWN SCREEN) : Le défenseur du joueur-écran doit garder ses pieds plus haut que le joueur-écran, afin d'être prêt à aider dans le cas d'une boucle et pour éviter un bon positionnement du joueur-écran. Il doit rester dans le couloir de passe, prêt à contester la passe dans le poste bas. Le joueur arrière doit suivre le joueur offensif et lire l'écran : si l'écran est près de la ligne de fond, il faire un pas à travers la défensive, si l'écran est haut, il doit pourchasser. Il est très important que le défenseur qui surveille le passeur avance pour rendre la passe difficile et ainsi venir en aide contre la boucle.

Si le défenseur qui surveille le joueur-écran reste derrière ou se positionne trop bas, l'attaquant peut facilement faire une boucle autour de l'écran.

S'il ne fait pas une boucle et coupe à l'aile, le joueur-écran peut facilement briser la défensive et se placer dans le poste bas.


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On souhaite que le défenseur du joueur-écran reste plus haut que l'écran. Ses deux pieds doivent être plus hauts que ceux du joueur-écran. Le défenseur est ainsi en position pour se protéger d'une boucle.

Lorsque le joueur offensif attrape le ballon, le joueur qui surveillait le passeur doit venir en aide (jump to the ball). Cela décourage une pénétration rapide de l'ailier par le centre. Le défenseur qui est venu en aide doit retourner immédiatement en défensive dans le couloir de passe.

Écran mobileTrès souvent, le joueur-écran se déplace un peu plus bas après que l'attaquant ait utilisé l'écran. Cette manœuvre peut passer inaperçue auprès des officiels. Le défenseur qui surveille le joueur offensif qui coupe doit le pourchasser puis passer entre le joueur-écran et son défenseur. Le défenseur du joueur-écran ne peut pas aller s'installer à côté de ce dernier dans ce cas. Il formerait alors un double écran sur son coéquipier.

Défendre l'écran arrière Quatre joueurs offensifs, quatre joueurs défensifs et un entraîneur sont sur le terrain. L'entraîneur a le ballon. Lorsque l'entraîneur frappe le ballon, les joueurs près du panier ressortent et posent un écran arrière pour les joueurs à l'aile.


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Le défenseur du joueur-écran avertit son coéquipier qu'il y a un écran. Le défenseur qui se fait faire l'écran passe en haut de l'écran. Le défenseur de l'écran s'aligne à côté (hedge) pour élargir l'écran et empêcher le joueur qui coupe de foncer en ligne droite au panier. Cela donne au joueur qui se dirige vers le haut du temps pour récupérer. Après avoir élargi l'écran, le défenseur reprend sa position pour surveiller son joueur qui fait face au panier à l'aile.

Quand l'entraîneur frappe de nouveau le ballon, les joueurs répètent l'exercice mais les rôles sont inversés. L'entraîneur poursuit jusqu'à ce qu'il considère que les joueurs ont bien compris le concept. Le ballon est mis en jeu et les joueurs jouent 4 contre 4.

Défendre l'écran vers le bas Le même exercice peut être utilisé pour défendre un écran vers le bas. L'entraîneur frappe le ballon et les joueurs à l'aile descendent pour faire un écran pour empêcher les défenseurs de sortir à l'aile.


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Remarquez que le défenseur côté ballon (l'entraîneur s'est déplacé de l'autre côté du terrain) suit son joueur. Le défenseur côté aide peut couper par l'intérieur de la bouteille.

Une fois que l'entraîneur est satisfait du positionnement et du déplacement des défenseurs, il fait un passe et les équipes jouent à 4 contre 4.

Dans cet exercice, on peut également travailler la qualité des écrans. L'entraîneur doit déterminer l'angle de départ de l'écran.

COUPER DU CÔTÉ FAIBLE : Ne laissez jamais le joueur que vous surveillez couper devant vous. Arrêtez-le avec l'avant-bras lorsqu'il arrive dans la bouteille et obligez-le soit à aller vers la ligne de fond, soit à retourner en haut de la bouteille (contestez-le jusqu'à la ligne de 3 points). Selon sa position, le défenseur choisira de voir le ballon ou de voir l'adversaire lorsque ce dernier atteint le point critique où il coupe.

PORTE ARRIÈRE : Dès que l'attaquant effectue un premier pas vers le panier, le défenseur doit glisser vers l'arrière; au deuxième pas, il doit tourner la tête et voir tout de suite le ballon. Si l'attaquant revient à la ligne de 3 points, le défenseur doit encore tourner la tête vers l'attaquant. Il ne faut jamais croiser les jambes.

VS PÉNÉTRATION : Chaque fois que le joueur arrière pénètre dans la zone à partir du périmètre, il faut "feinter" et mettre à contribution le défenseur le plus près (qui doit étendre le bras pour essayer de toucher au ballon) ainsi que le joueur-pivot du côté faible (ne jamais permettre une passe à un joueur dans le champ de vision de l'attaquant). Le joueur-pivot ne viendra en aide qu'une fois l'attaquant dans la bouteille et doit déterminer si celui-ci compte passer ou lancer au panier (regardez ses yeux).


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Le défenseur à l'aile du côté de la pénétration feinte une aide et reprend position sur son joueur. Le joueur dans le poste ne quitte pas la bouteille pour venir en aide. Il protège le devant du panier. Contraignez le joueur offensif à faire un lancer en suspension ou à charger. S'il fait une passe, le défenseur peut tenter de faire dévier le ballon ou reprendre sa position.

Si on aide côté ballon, personne ne peut aider le défenseur en aide. Cela mène généralement à un tir de 3 points facile, ou votre équipe se retrouve à pourchasser dans la confusion l'attaquant qui pénètre dans la zone.

C'est exactement ce que l'on veut éviter. Le joueur de centre vient en aide en haut, à l'extérieur de la bouteille. Cela permet de faire une passe facile sur laquelle personne ne peut intervenir.

DÉFENSIVE DANS LE POSTE BAS : Ne permettez jamais que le ballon atteigne le poste bas; luttez, jouez devant si l'attaquant est près de la bouteille, appliquez une défensive 3/4 s'il est près de la ligne de fond, restez derrière si le joueur offensif attrape le ballon à un pas de la bouteille (c'est exactement ce qu'on veut, pour mettre à contribution les joueurs de périmètre dès que le porteur amorce son dribble pour attaquer le panier).

Transition défensive Les joueurs doivent apprendre qu'en transition défensive, les priorités sont les suivantes :1. Protéger le panier 2. Ralentir la progression du ballon3. Surveiller le prochain joueur le plus dangereuxVoici certains exercices pour enseigner aux joueurs les concepts clés de la transition défensive. Tous les joueurs jouent à toutes les positions.


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Ralentir la progression du ballonUn des concepts clés de la transition défensive est de ralentir la progression du ballon. Nous entendons souvent les entraîneurs crier « Arrête le ballon ». Cela est très difficile à faire lorsque le jeu se déroule rapidement en milieu de terrain. Il est plus important que la défensive de première ligne sache comment diriger le ballon vers un endroit précis sur le terrain, généralement la ligne de côté, et le maintenir à cet endroit. Une pression instantanée sur le ballon empêche aussi le porteur de pouvoir faire facilement une passe vers le panier, plus particulièrement une longue passe d'un côté à l'autre du terrain qui force la défensive à faire une rotation.

Les joueurs forment quatre files le long de la ligne de trois points à la hauteur de la ligne de lancer franc. Le joueur en possession du ballon dribble rapidement vers un endroit désigné. (L'entraîneur choisit l'endroit. Plus le ballon est près de la ligne de côté, plus c'est facile pour le défenseur.) Il place le ballon au sol. Il devient alors défenseur et doit diriger l'offensive vers la ligne de côté. Le joueur du côté opposé prend le ballon et devient le joueur offensif. Les joueurs jouent un contre un vers le panier opposé. Vous pouvez allouer des points à la défensive lorsqu'elle réussit à forcer le porteur de ballon à travers la ligne médiane le long de la ligne de côté.

Voici une autre façon dynamique d'amorcer ces exercices. L'équipe en défensive dribble le ballon puis le dépose. L'équipe qui s'apprête à jouer à l'offensive fonce pendant que l'autre équipe dribble. L'entraîneur peut donner un coup de sifflet pour indiquer à quel moment le ballon doit être déposé au sol.


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1 contre 1 sur terrain complet avec transition défensive Les joueurs s'alignent tel que cela est illustré dans le diagramme. L'espace de jeu du 1 contre 1 est limité.

Lorsque le défenseur prend possession du ballon grâce à un revirement ou à un lancer réussi ou manqué, il passe le ballon au prochain joueur en file. Le joueur offensif doit passer rapidement en défensive. On travaille maintenant à mettre rapidement de la pression sur le ballon.

Vous pouvez bonifier l'exercice en permettant aux joueurs de faire un dribble de percée (break out). Cela met davantage de pression sur la défensive.

2 contre 2 continu avec transition défensiveLes joueurs se placent sur le terrain comme il est illustré dans le diagramme. Lorsque la défensive prend possession du ballon, elle le passe aux deux joueurs offensifs suivants. Les deux joueurs qui étaient en offensive passent en transition défensive, l'un sur le porteur de ballon, l'autre près du panier. Les joueurs qui étaient en défensive deviennent les prochains substituts.


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3 contre 3 continu avec transition défensive Le troisième joueur est à l'extérieur du terrain, prêt à remettre le ballon en jeu. Cela permet à l'équipe défensive de pratiquer la technique de « doublage ». Puisque le joueur qui remet le ballon en jeu est en fond de terrain, son défenseur peut prendre le temps d'aider son équipier à ralentir la progression du ballon, le temps que le joueur qu'il surveille se rapproche de lui.

Prendre la relèveEn plaçant le troisième joueur offensif près de la mi-terrain, on force la défensive à pratiquer une technique dite « de relève » aussitôt que possible pendant que l'attaquant progresse vers le panier. Celui-ci doit passer par le cercle central pour simuler le joueur de poste. Le défenseur près du panier ne peut pas laisser le panier libre tant que son coéquipier initialement placé au centre ne vient pas prendre la relève et surveiller son joueur.

Remarque : tous ces exercices se font en continu. Vous pouvez tenir le pointage des deux équipes à jour.

4 contre 4 contre 4 avec transition défensiveVous aurez besoin de 12 joueurs pour cet exercice. Il s'agit d'un exercice de conditionnement, car tous les joueurs sont continuellement en mouvement. Lorsque l'équipe à l'offensive perd le contrôle du ballon, elle doit rapidement se placer en défensive contre l'équipe qui était jusqu'alors à l'extérieur du terrain.


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Les joueurs en défensive quant à eux quittent le terrain et se replacent rapidement à des endroits prédéterminés à l'autre extrémité, prêts à reprendre l'offensive à la prochaine transition. Les joueurs tricheront si vous ne leur demandez pas d'aller à des endroits précis. J'utilisais cet exercice pour évaluer la condition physique de mes joueurs.

On peut aussi calculer les points en calculant le nombre de paniers réussis et empêchés consécutifs.


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EXERCICES DÉFENSIFS (STIMULER UN ÉTAT D'ESPRIT DÉFENSIF)

Défendre le joueur dans le poste Un ballon est posé au sol devant chaque joueur, pour simuler un joueur de centre offensif. Lorsque l'entraîneur feinte la passe, les joueurs glissent autour du joueur de centre imaginaire.

Les joueurs glissent ainsi autour du ballon pendant 10 secondes. Répétez l'exercice dans le sens opposé (Diagr. 1).

Avec des joueurs plus vieux, simulez des mouvements défensifs plus avancés (Diagr. 2 et 3).

Miroir défensif Les joueurs se placent face à l'entraîneur (Diagr. 4). L'entraîneur indique les différents mouvements que les joueurs doivent effectuer. Si vous entraînez de jeunes joueurs, choisissez des manœuvres simples; ajoutez lentement de nouvelles actions au fur et à mesure qu'ils progressent.

L'entraîneur déplace le ballon dans les airs – les joueurs suivent la trajectoire du ballon avec leurs mains (Diagr. 5).

L'entraîneur fait un jab (petit pas) – les joueurs font un petit saut vers l'arrière (Diagr. 5). L'entraîneur dribble – les joueurs se déplacent dans la direction du dribble (Diagr. 6) L'entraîneur feinte un lancer – les joueurs contestent, restent en position (Diagr. 6) L'entraîneur feinte une passe à l'aile – les joueurs crient "ballon" et se tournent pour

contester la passe (Diagr. 7) L'entraîneur lance le ballon – les joueurs font un écran retard (box-out) et prennent le

rebond (Diagr. 7) L'entraîneur passe en force – le joueur prend le passage en force (takes the charge)

(Diagr. 8)Version 2.1 - © 2013 Association canadienne des entraîneurs et Canada Basketball


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Diagr. 1

Diagr. 2 Diagr. 3

L'entraîneur fait rouler le ballon au sol – le joueur plonge pour récupérer le ballon libre (Diagr. 8)


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Diagr. 4Diagr. 5 Diagr. 6

Diagr. 7 Diagr. 8

5 recouvrements du ballonUn joueur se place entre 2 entraîneurs qui ont chacun un ballon. L'un des entraîneurs fait rebondir son ballon au sol. Le joueur glisse et saisit le ballon avant qu'il ne touche le sol à nouveau. Assurez-vous que le joueur reste en équilibre. Après avoir attrapé le ballon, le joueur le passe à l'entraîneur et reprend sa place au milieu. Au début, les entraîneurs lancent le ballon au sol en alternance. Ensuite, ils s'exécutent au hasard, pour que le joueur ne puisse pas anticiper le jeu. Faire l'exercice 5 fois.

Se rapprocher (close-out) et glisserLe joueur passe le ballon à l'entraîneur et se referme sur lui. L'entraîneur feinte un lancer puis feinte de foncer une fois vers la droite puis une fois vers la gauche. Le joueur doit se replier puis reprendre position. Ensuite, l'entraîneur lance le ballon sur le panneau; le joueur doit bloquer le passage en faisant un écran retard (box-out) et saisir le rebond.

Se rapprocher (close-out) et contesterLe joueur sous le panier court vers le porteur de ballon. Après la passe, il glisse dans le couloir de passe pendant que le joueur suivant, sous le panier, fait de même. Rotation : le joueur offensif se rend derrière la ligne sous le panier; les défenseurs le remplacent.


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5 glissements L'entraîneur se place face au joueur. Il fait rouler le ballon au sol. Le joueur doit glisser pour le saisir et le retourner à l'entraîneur qui répète cinq fois l'exercice.

5 secondes pour dépasser la ligne médianeL'entraîneur prend le ballon à l'extérieur de la ligne de fond. Le joueur offensif tente de se démarquer pour recevoir le ballon qui est mis en jeu. Le défenseur doit le forcer à recevoir le ballon en bas de la ligne de lancer franc. Une fois le ballon en jeu, le défenseur doit forcer le joueur offensif à prendre plus de 5 secondes pour aller au-delà de la ligne médiane. Il doit le contraindre à changer de direction le plus souvent possible.

ButLe joueur offensif a 5 secondes pour passer à travers les cônes. Le défenseur doit résister et le garder à l'extérieur des cônes.


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Contester pendant 3 secondesLe joueur offensif passe le ballon à l'entraîneur et tente de se démarquer en moins de 3 secondes. Le défenseur doit manifester une forte opposition. Après 3 secondes, l'entraîneur passe le ballon à l'autre entraîneur. Le joueur offensif doit couper; le défenseur le conteste de l'autre côté pendant au moins 3 secondes. Si le joueur offensif obtient rapidement le ballon, il joue un 1 contre 1. Le joueur n'a droit qu'à deux dribbles avant de lancer au panier.

Défendre contre un joueur qui coupe du côté faibleLe joueur au centre passe le ballon à l'entraîneur. Les 3 joueurs courent jusqu'à la hauteur de la ligne de lancer franc. L'entraîneur passe le ballon au joueur à sa droite; le joueur au centre doit assurer la défensive face au joueur de l'autre côté du terrain qui coupe. Ne permettez jamais à un joueur offensif d'attraper le ballon dans la bouteille.

2 contre 2 - Défensive contre un attaquant qui coupeDeux entraîneurs agissent à titre de passeurs. Le but du défenseur est de ne jamais permettre à l'offensive d'attraper le ballon dans la bouteille, et de courir rapidement vers le ballon à chaque passe.


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2 contre 2 - Ralentir le renversementL'arrière passe le ballon à l'entraîneur, coupe au travers du terrain puis se place dans le poste. Le joueur à la ligne de fond court dans le haut de la bouteille pour recevoir le ballon de l'entraîneur. Le défenseur de l'attaquant initial doit veiller à empêcher la passe haut-bas et forcer le joueur offensif à attraper le ballon à l'aile, du côté opposé. Après la passe, le joueur a différentes options : faire écran sur le porteur (si les joueurs en sont à un stade de développement approprié), se placer dans le poste ou couper par la porte arrière.

3 contre 3 - Exercice PenthaTrois défenseurs tentent d'empêcher les joueurs à l'attaque de couper du côté faible et par la porte arrière. Remarque : Cet exercice est semblable à l'exercice 3 contre 3, où les joueurs offensifs coupent lorsque les entraîneurs les regardent. On se concentre dans ce cas-ci sur la défensive.

3 contre 3 Exercice Pentha - Défensive contre un écran vers le basLe joueur #2 fait un écran pour le joueur #3; il se rend disponible pour recevoir une passe puis se rend de l'autre côté de la bouteille où le joueur #1 lui fait un écran vers le bas. L'équipe adverse doit assurer la défensive de cette séquence de jeu.


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Exercice Pentha 3 contre 3 - Défensive écran arrière Travail en 3 contre 3 sur la défensive d'un écran arrière. L'offensive effectue la séquence seule, une première fois, afin de savoir comment exécuter le jeu.

Le défenseur du joueur-écran avertit son coéquipier rapidement et à plusieurs reprises. Celui qui se fait faire l'écran veut aller vers le centre et passer au-dessus l'écran. Le défenseur du joueur-écran élargit l'écran (hedge) et reprend rapidement position pour surveiller son joueur.

.


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Train to Train

NCCP- Competition Introduction

COACHING IN COMPETITIONA Coach’s Guide to Game Coaching


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Fatih Akser, 22/05/14,

This document needs translation from here to the end of the document.

Coaching In CompetitionCoaching in competition is both an art and a science. The science is having an in-depth understanding of your:

Personnel Offensive/defensive strategies Physical and mental preparation of your team Opponent(s)

Do you have solid inbound plays that work against man and zone defense? Do the concepts of your press break make sense? Do you understand how to peak your team both mentally and physically? The art of coaching is the ability to understand the Goldilocks Principle; too much, too little, just right. A coach must be able to juggle all of the various aspects of the game and find the right balance that helps his/her team perform at its best. Too many reminders in a game can become a distraction. Too little reminders do not allow you, the coach, to help your athletes when they forget things in the heat of the battle. How much reminding is just right? How much zone defense should you play opposed to man to man? How many inside shots vs. outside shots should be taken? Finding the right balance is an art.

Two coaches have coached for ten years. One has ten years of repeating the same thing over and over. The other has ten years of different experiences. The willingness to change or grow is what a coach asks of his/her players. The same must be true for the coach. Growth does not simply happen from taking one course or reading one book. Taking courses and reading will help, as will observing and talking with other coaches, but it takes a willingness to consistently experiment and reflect on your actions over time that brings about positive growth. Be a lifelong learner. This can be difficult for coaches who feel they must win in order to prove their worth. Why chance losing when what we did last year worked?

The document that follows will try to assist coaches in the science and art of coaching during competition. The coach is the one who must be the final judge of what will work best for his/her team. The head coach gains input from all members of the team,


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processes this information, and filters out the appropriate key points. Making use of assistant coaches’, managers’, and players’ insight during the game can prove valuable in finding the right balance. It also requires a willingness to experiment.

Chapter 2 The Coach Produces a Game Plan

A coach has four main tasks: 1. Build the self-confidence of his/her players.2. Improve the performance of each individual (basketball, physical, mental, and

social/emotional). 3. Get the individuals to work together as a team. 4. Build dreams.

Planning is about bringing the future into the present so that you can do something about it now. Alan Lakein

When building a strategic plan for the game, the coach must balance these two criteria:

A good game plan also involves information about the opponent and the points of emphasis for your own team. This is further broken down into the big picture tactics and strategies, and the more individual tendencies and reminders.


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Focus of the Plan

Team (Strategies and Tactics)

Individual (Tendencies)

Detail in the Plan (based on Long Term Athlete Development (LTAD) stages)In general, the progression a coach should follow as players grow is as follows:

Focus on individual tendencies of players of our own team Focus on the team strategies and tactics Focus on the individual tendencies of the opponent's players Focus on the strategies and tactics of the opponent

The younger the athletes, the more the plan should focus on assisting in preparing the individual to play to his/her optimal potential.

At the Learn to Train stage of the LTAD model, the emphasis is on helping each individual child play to his/her greatest potential. The children at this stage play equal shifts. The coach’s main emphasis is on using the competition time to teach. No focus is placed on scouting reports or the opposition.

At the Train to Train stage, the coach’s main focus should still be on helping each player play to his/her best. More time can be devoted to team strategies and tactics. A brief amount of time can be spent on the opponent. We do not want to over analyze at this stage. Tactics only work for one game; players should be focusing on skills that can last an entire career.

At the Train to Compete stage, the coach must still place the majority of the emphasis on his/her own team. The players will be introduced to scouting reports that reflect the individual tendencies and strategies used by the opponent. These should not be to the point of distraction for the player. They should aid the player, not burden him/her with information overload.

Train to Compete Stage: Things to Consider (Strategies and Tactics) On Defense

o Who are the shooters (3 pt)?


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Individual (Tendencies)

Team (strategies and tactics)

Opponent

Own team

Coach knows all

Athlete knows broad

tendencies

Coach knows all

Athlete knows role, points of

emphasis for team

Advanced Athlete – Knows

everyone’s role and action.

Coach knows all

Athlete knows tendencies of check

Coach knows all

Athlete knows own

cues

Advanced athlete –

others strength and

weaknesses

o Who are the drivers (right, left)? o Who do we not have to defend? o How will we cover screens, cuts, picks, post ups, penetration?o How will we/they control tempo (transition/pressure)?

On Offense o What are our points of attack? How can we create a one-second

advantage? o How do we get shots for our shooters?o How do we create drive opportunities for our drivers?o What positive actions can our non-shooters take?o What are our pressure releases?o How might they defend our screens, picks, post ups, penetrations?o How will we/they control tempo (transition, pressure)?

Substitutions o Think through the line ups and match ups o What happens if a player gets in foul trouble?o How can you get rest for key players? Coaches must understand that it is

next to impossible for a player to play every minute of every game at a national tournament and still be effective at the end. Creative ways to find rest need to be explored:

Using time outs for rest Subbing the player just before a planned time out; take the time out

when the opponent scores; if no score, keep resting the player Subbing a player just before the ¼ time to extend the amount of

rest

Pre-Game Plan Summary Keep it short. Use all three learning styles to deliver the plan – auditory, visual, and

kinaesthetic. Plans must address the physical, mental, and social/emotional needs of the

players. Paint a picture in which the players can see themselves playing. Focus on what players can do, not what they can’t do. Where is their focus and energy? Remember Goldilocks.

Purpose of the Mental Game Plan1. To minimize the chances of distractions becoming detrimental to one’s performance.2. To come up with a routine that allows one to perform at his/her best.


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Achievement = Skill – Distractionsor

Skill + Effort /Attitude = Success

Things to Consider 1. A schedule of the day's events (logistics) - When you want to wake up, when,

where and what you want to eat, hydrate, when to rest, when to leave for the gym, when to get changed, taped, when to start your individual warm up, when will you do your mental rehearsal. Try to establish a routine that you can use from game to game. What works best for you?

2. How will you maintain your confidence? - During this time, you will often have times of self-doubt, fear, or worry. These negative thoughts can drain you and harm your performance. The first step is to relax. Use centred breathing and positive imagery to calm you down. Have a positive pep talk with yourself. See yourself and the team performing as you want. If this does not work, talk to your coach or teammates. They can often help restore your confidence.

The three steps to positive success: positive thinking combined with congruent body language and a clear routine will program your mind for success.

Ken Blanchard

3. When to be psyched - The longer you wait for the game, the harder it is to stay calm and relaxed. If we are psyched too early, we waste energy. Ways to avoid this are: find a diversionary activity, watch TV/DVD, play cards, go for a leisurely walk or a recovery swim. In addition, it is sometimes better to be in a group. Wrestling in your room, sunbathing, and going shopping for hours are not good ideas.

4. Play with an unconscious mind - When a player’s unconscious mind and conscious mind are in conflict, performance will suffer. We play best when we play instinctively and are not thinking about our basic skills. The more players can put the basics skills and concepts of the game to the unconscious level in practice, the more they will be able to use their conscious mind, read the opponent, and be aware of


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what is happening in the game. Part of the plan is building positive routines of skills and actions into positive habits. When the habits are negative, it will impact the player in the competition. For example, if you allow players to throw sloppy passes in practice this negative habit becomes unconscious. In the game, when the player is faced with pressure defense, the conscious brain is now in conflict with the unconscious. The player will be hesitant.

5. Warm up - The purpose of a warm up is to get you ready to play by:o Warming the muscles (activity that will increase the heart rate, but not put your

body into lactate),o Increasing your dynamic flexibility (static stretching should not be done as part of

a warm up), o Simulate the action and skills you will use in the game (passing, dribbling,

shooting, lay ups, sliding, etc.). The players are putting these to the unconscious level of their mind. The skills need to be done correctly.

o Helps you narrow your focus on the upcoming game (see the funnel in the logistics section),

o The warm up should conclude with speed to ensure activation of the nervous system (short bursts at top speed).

6. Evaluate the plan - Keep records of what you did and how you performed. What foods do you like or dislike before a game? This will help you come up with a plan that you believe will allow you to play at your best.

A sound routine is the rod and staff of the athlete under pressure, a comfort in times of affliction and challenge. It ensures that he/she gets set up properly, physically, and mentally. It blocks out distractions. It helps him/her to produce his/her best under pressure.

Bob Rotella

Chapter 3 Managing Competition Logistics

The majority of coaches do a very good job at scheduling the day and communicating it to the athletes. Many teams post the plan so that athletes can see it. The teams eat and meet together. Coaches need to distinguish between:

o Team time – the time when we do things together – this consists of the basketball events: practices, games, meals, meetings, team building activities, and recovery activities. The coach must establish the time for each activity and what is required of the athlete. For example: We will leave at 11:05 am, have


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your notebook for the meeting, bring your water bottle, and be taped for practice, etc.

o Down time – this is when the athlete has time to be on his/her own or in small groups. The players need to know what activities are acceptable and detrimental to performance. The coach is still responsible to know where the athletes are, as he/she is acting in place of the parent. The coach is not acting as a baby sitter.

o Recovery time – this is a special type of time that the players use to recover. It must be scheduled, and players must be taught how to make use of this time. Recovery is both mental and physical.

o Family time – this is when the players will be allowed to go with their parents. The parents must understand:

How much family time is available, When the team time or down time begins again, What activities are appropriate, This is not a time to talk basketball, but a time for psychological

recovery.

It is hoped that the players are leaning the importance of having positive routines and not just following the coach’s instructions.

One way to control your focus, especially your eyes and ears, is to develop rituals and routines. Good routines help you stay focused and confident. A good ritual keeps your mind centered and focused in the here and now of the performance just before it begins. Team rituals can serve the same function. In a stressful, hostile environment,


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The Funnel

Awake

Eat Breakfast

Leave for Gym

Individual Warm Up

Team Meets

Team Warm Up

Tip

Broad Concentration

Low Activation

Broad Concentration

Low Activation

Concentration Funnel

Not Complete

Distracted

High Concentration

High Activation

3:00 min

Focal Check Points

they are a safe haven where one can relax, restore, and/or build confidence. Depending on their purpose, routines can be long or short. The routine one follows before a game may be very long, lasting several hours, while the routine one follows in shooting foul shots must be less than five seconds.

A pre-game routine is designed to slowly narrow one’s concentration before the game. Well in advance of the game, your concentration can be very broad. You can think of things not even related to the game. As game time approaches, you have to narrow your thoughts to the game. The routine provides a comfortable way to do this. Jumping out of a van, running on the floor, and saying, “I’m ready to play,” doesn’t work.

Reminding A common action by coaches in competition is to remind the players of things that will help them improve their performance. These reminders take place:

In the huddle before the game starts, When the players are sitting on the bench, Just before subbing on the floor, During times when the clock is stopped, When the clock is running, on the fly.

Timing of the Reminder The timing of when we remind players is crucial to the impact it has on their performance. It is similar to the road sign that warns one when driving of a bump ahead. If the sign is placed the right distance from the bump, the driver has plenty of time to slow down and avoid it. If the sign is placed immediately as the bump is occurring, it distracts the driver when he/she looks at the sign, and he/she hits the bump. If the sign is placed after the bump, it is information that does not help for that bump. It is just educating the driver as to what it was that he/she just hit. It may help the driver for the future.

If a coach is going to remind a player of a screen, it must be done at the time when the player can effectively use the information. If the player looks at the coach, and then is immediately hit by the screen, the information was a distraction that hurt the player’s performance. If it was after the screen, it was too late. It can be used for a learning


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experience for the next time.

Quality of the Reminder The quality of the reminder also needs to be considered. The more it paints a picture for the players, the more impact it has. General terms like “watch out” may not help the player. Using the name/action principle is the best. E.g., “Sally, go under the ball screen.” Coaches need to develop cue words. To be effective, the cue word should paint a detailed picture that makes the action instantaneously come alive for the players.

Quantity of RemindersThe Goldilocks Principle comes into play.Too much reminding can:

Become a distraction Be ignored by the players as noise Prevent the player from learning to take responsibility or learn how to solve his/her own

problems

Too little reminding can: Prevent the players from benefiting from the knowledge of the coach, who could have helped

solve a problem before it occurred Make the players think that the coach is not engaged in the game.

Having just the right amount of reminders will vary from situation to situation and by the stage of development.

When a coach constantly reminds the players what to do, the players use it as a crutch. They are not learning to play; they are just reacting to the coach. How many times do you have to remind a player to get back on defense before you need to correct the action in another way, such as a sub or timeout? If you never remind, the players learn to be responsible for their own actions. This can be a good thing at various times throughout the season.

When constantly reminding your own team of what to do, the coach is often distracted from some of the other important jobs he/she has to do during the game. The coach may forget to:

Watch the other team Communicate with the bench Communicate with his/her assistant coach(es)


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Pay attention to subs

Remind the Head Coach It is important to build a reminding relationship with assistant coaches and players. A coach tells a player that when there are three minutes left in the quarter, he/she should remind him/her to sub the player back in the game. When the 3:00 minute mark arrives, the player tries to tell the coach, but at that time the coach is frustrated with how the team is playing and is too busy talking to the officials. An assistant coach has been told to remind the head coach of when a certain player comes on the floor so the team can run a press. When the time comes, the assistant coach reminds the head coach, but again the head coach has gone internal and gives no acknowledgement to the assistant coach. Good coaches will tell players and coaches to remind them of things when it happens. A good assistant coach is constantly reminding even if he/she feels he/she is being ignored. When the reminding takes place, the head coach thanks the player or coach. If something new has come up, the head coach should let the person in on the reason. This helps build the positive reminding relationship. If this positive relationship is not built, the players or coach will be fearful to remind the coach in the future.

Illusion of MemoryChristopher Chabris and Daniel Simons, in their book The Invisible Monkey, talk about how we trust our memory more than we should. We remember things not like a video tape, but by relating events to past experiences. This has important implications for a coach:

Just because you have shown or told players something does not mean they will remember it the same as you. For example: you are describing to your players how to defend a down screen in your pre-game talk. With your vast experience, you can recall the screen from memory, since you watched it on video tape for three hours the night before. When one of the players hears the word ‘screen’, he/she is thinking of a pick on the ball. The player is drawing on his/her limited experience. At the end of the talk, the coach says, “Does everyone now understand how we are going to defend the down screen?” When the player faces the down screen in the game, he/she defends the way his/her memory remembers it. We now have a problem. The coach becomes frustrated because he/she thinks the player was either not listening, doesn't care, or just can't handle it. As coaches, we have to make sure the players build their memory by having numerous, live experiences. The wise coach is constantly giving players problems and checking to see how they solve them. Taking the short cut of always solving the problem by telling the players the right answer may work in the short term, but proves disastrous in the long term.

Write it down. Too many good ideas get lost because we rely on memory that relates to our past experiences. In your pre-game plan, you have a number of great ideas that you want to use in the game. When the game starts, and your competitive juices kick in, you revert back to your old


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habits. Make use of cue cards. Write down your thoughts. Someone on the bench - be it the head coach, assistant coach, player, or manager - needs to keep the ready sheet. This is a sheet that contains the ideas discussed in pre-game. It may also have a list of all strategies and special situations. It also is a place to write down things that come up during the game. A coach will often say, “Let’s remember at halftime to tell the players about that screen.” Too often this information gets forgotten. Write it down.

Debrief immediately. If you wait, your memory will blur the true facts of the game. Write things down.

Watch tape with different eyes. Christopher Chabris and Daniel Simons also talk about the illusion of attention. We think we see things when we watch, but we often miss the obvious. One time, watch only the opponent. Another time, watch only off ball movement. You need to train yourself to see more than what you normally see.

Focusing/Concentration One way coaches can assist in narrowing the funnel is by using the last first principle.

For example:

o It is amazing the number of coaches who fail to mention the jump ball before the game. A reminder of whether it is offensive or defensive helps narrow the focus.

o A reminder of checks just before the jump ball. o Coming out of a time out, the last thing you say should be the first thing the

players will do. This may be something simple said to the five players as they walk back on the floor; “Remember on this inbounds to look for the slip.”

o If a substitution is going in and will begin on defense, the last thing you should say is what defense is being played and what player he/she will defend.

o In the debrief, at the end of the game, the last thing you say is about what the team is doing next; “We are all going back to the residence and having our contrast shower for recovery. You will be able to meet with your parents when we come to watch the 3:00 pm game.”

A second technique to focus concentration is the name action principle.

When coaching an athlete during a dead ball, call his/her name first. Then, make the correction. “Natalie! Remember to jump to the ball when the pass is made,” rather


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The last thing you say is the first thing the athletes do.

Use the players name followed by the action you want the player to

than, “Jump to the ball when the pass is made, Natalie.” In the second example, you are assuming that the player knew the information was for her. When you call the player’s name, demand eyes and ears, so you know the funnel has been closed.

Prep your subs When coaches do not prep their subs, or ramble in their talks, they risk the funnel being open to distractions. Coaches make a huge assumption that the players have the proper focus. Very few coaches take the time to prep subs with simple reminders. The coach assumes that these players have been paying attention to the game and know all of the adjustments that have been made before the sub. For example; “Johnny! You are taking out Bill. Remember, we are playing man to man now. Look to go under that ball screen off this inbounds play.” This is more effective than; “Johnny, go for Bill!” This can be done as you walk the player up to the score table.

Other considerationsLike anything, one’s strength can become a weakness if overdone. In some cases, the logistical plans are too detailed and do not allow the athletes time to ‘let go’ of the game. This can create mentally fatigued players and coaches. One cannot expect players to sit in a room for hours on end thinking about the game.

The proper use of down time is a very important concept. Players need to learn what down time activities are productive and what ones can adversely affect later performance.

Players and coaches must also learn to go to plan B when the original plan A goes off course. Dealing with change is crucial to being an elite athlete.

A huge piece that must be added to logistics and planning is the use of cell phone, iPods, portable DVD players, and computers i.e., personal isolation devices (PIDS). We are now dealing with a new generation of athlete. The ability to text message or phone 24/7 can be a great distraction to building a team. Players are often not able to communicate with people with which they have a problem. It is easier to type than talk. The people players communicate with very often take their side, but cannot solve the problem. This can lead to cliques and petty differences that never get resolved. It has


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also made it more difficult for coaches to wean athletes from dependence of mom and dad to solve problems, and take care of menial tasks on their own. Parental involvement in the elite athlete’s life is being pushed to older ages. Ignoring the problem does not solve it. Part of the plan needs to include:

o When cell phones (PIDS) are permitted to be used, o When cell phones (PIDS) are not permitted; e.g., the coaches may decide to take

the phones away from the athletes (this practice is controversial with some parents and must be discussed before the trip). On one occasion, parents were text-messaging players immediately after the game with debriefs based on the live, online stats. One coach commented that this was happening before the team even reached the locker room.

o When and what are parents’ roles/contact times. Part of the developmental process, especially in the late Train to Train and Train to Compete stages, is moving the child away from dependence on the parent. Coaches need to build into the plan actions that start to exclude the parent (e.g., filling the child’s water bottle, bringing food to the athlete after the game, not allowing parents onto the floor at any time, immediately debriefing the athlete after the competition, etc.).

Chapter 4 Tasks of the Coach

The coach assumes various roles during the game:1. Strategist – calling out plays, defense, inbound plays2. Tactician – subtle adjustment. Go under a screen, not over. 3. General Manager – decisions dealing with personnel 4. Teacher – individual player improvement

Reminder – remind players of actions they should be taking. “Help,” “box out,” and “move” are often heard examples. This can often be taken to the extreme where the coach sounds like a play-by-play announcer. Coaches are often reminding the referee as well as the players on the floor.

Motivator/Cheerleader – create a sense of urgency. Praise, “Way to go,” “great job,” motivating the team

Corrector – catch the mistakes made by the players. “You can’t give up penetration”; “We’re getting killed on the boards,” are examples of negative statements often made by coaches. “You need to box out” is an example of an action that a player can take to correct a mistake. Some coaches also find it important to correct the officials as well as their players.

These first roles dominate the time of many coaches. This is what they believe coaching is all about. Their total focus is on the five players playing the game and


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the two or three officials. There comes a time when we need to take the training wheels off the bicycle and let the player ride on his/her own. Most successful coaches do not see the need to clutter the players’ minds with constant chatter. The key is to know when it is beneficial to play each of these roles. By limiting their use to the ‘right time’, they will be much more effective in their use. Also, it frees up time to make use of other roles that can provide great benefit to the team.

5. Advanced Teacher – the advanced teacher is similar to the corrector, but does so in a positive way. Instead of “We have to stop penetration,” the coach says: “John, he is always driving to your left side, anticipate.” Two things have happened: the coach put a name on it and he/she has given a solution to the problem, not just restate the mistake. Instead of being a cheerleader, “well done,” the coach describes to the athlete exactly what he/she has done well. “Betty, you anticipated the drive and cut her off. Great job!” Taking it to an even higher level, the teacher ensures that the information is shared with others who can benefit. The coach turns to the bench and tells the bench exactly what Betty has done. More importantly, he/she may point out to Suzie that she must remember this when she shortly enters the game and will be guarding the same player. In summary:

Use the player’s name when possible Paint a positive picture – give specific detail on what the player just

did/what the solution is to solve a problem Echo the information to those who can benefit in the future

6. Debriefer – here the coach asks questions of the athlete to help gather positive information for future use. When we just tell the athlete what we as coaches saw, we become the corrector again.

7. Consultant – the coach shares his/her thoughts with his coaching team and players. He/she seeks input as to possible actions. The head coach honours the input from others by recognizing that he/she has heard the comment. If he/she decides not to make use of the information, he/she lets the person know why.

8. Observer – the coach takes time to see what is going on. Coaches must train their eyes to watch things other than their own team and the ball. Advanced coaches also train their assistants and players to watch specific things during the game.

9. Reflector – The coach takes time to remember the plan and to think about possible future actions: subs, time outs, offensive and defensive strategies. This cannot be done if the coach is overly engaged in the play on the floor. Top coaches often have a cue card or assign assistants to remind him/her of the plan or possible actions.

10.Disciplinarian – especially with developing players, the coach must often discipline in order for players to learn from their actions. This is not a negative connotation of the word, but rather a positive way of teaching an athlete the consequences of his/her actions. Coaches cannot allow the actions of one player to hold the team hostage. Failure to discipline often means the entire team will suffer for the inappropriate actions of one. An example is a player who is subbed out of the game


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pulling out his shirttail and sauntering to the end of the bench in a defiant manner. Failure to address this issue ‘now’ will lead to greater problems in the future.

Great coaches do not dominate in one role. They know what role to be in at the right time. Coaches need to know what roles they should invest the greatest amount of time in during the game. The answer is: those roles that help improve the performance of the team the greatest. Only through practicing and experimenting with the different roles, and monitoring the outcome, will a coach discover what works best. Continuing to coach in the same way will produce the same results.

Coach concentration Concentration is a time and place. When you are concentrating on time, your mind is either in the past, present, or future. There are positive and negative benefits of being in each time zone:

Past – Positive – Reflecting on past experiences, drawing from your toolbox to find a solution to a problem. Use past positive experiences to motivate. Refer to your plan.

Negative – Bring up past negative experiences. “Here we go again making the same old mistakes.” Continue to bring up a mistake from a past possession, be it by a player or a perceived error by an official.

Present – Positive – Playing in the moment, in tune with the ebb and flow of the game. Involved with the tasks at hand.

Negative – Locked into the five players on the floor. Not able to reflect on what is happening and project to the future. Get distracted by official’s call or action.

Future – Positive – Project what is happening now to what will occur in the future. If the current situations continue, what possible adjustments need to be made? Planning future actions.

Negative – Clock watching or “seeing the party” – this is when you start to see the celebration or misery after the game before the game has ended.


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The place your mind can be is best defined by the graph below.

Narrow

Internal External

Broad

Narrow/Internal – This is a place of healing. It is very important in the grieving process. It is a dangerous place to go in a game. Thoughts about oneself control this area; “Why me?” “What have I done to deserve this?” “I am not doing a very good job.”

Broad/Internal – This is a place for reflection and planning. Visualization takes place here. Spending too much time here can be seen as day dreaming.

Broad/External – Here, one is aware of the whole game. If concentration is too broad, it tends to roam into the crowd. The coach does not see the detail that is often required.

Narrow/External – Here, the coach can focus on a specific detail of the game. Staying too long on that detail can be dangerous as he/she can miss important information.

In the diagram below, I have combined the roles of the coach with the areas of Version 2.1 - © 2013 Association canadienne des entraîneurs et Canada Basketball


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concentration.

Narrow

Internal External

Broad

Some of the roles apply in more than one quadrant (i.e., observer, strategist, and consultant). The coach must be very careful not to let one quadrant dominate his/her concentration. As you can see, this is not hard to do since the majority fall into external/narrow. You need to sometimes shift away from the present game and think about the future. The great coach has the ability to constantly shift from one to the other at the appropriate time.

Suggestion: Early in the season, monitor what you do. It is highly recommended to have someone video tape you with a microphone. At your own leisure, make note of what you are doing. You may also be able to remember what you were thinking and feeling at specific times. Ask yourself some critical questions.

In what roles do I spend the majority of my time? Is this beneficial or detrimental to the team?

Where is my concentration? Where should it be at specific points during the game?

What triggers me to lose focus? How can I regain my concentration?

Develop an action plan for the next game. Pick one or two key things to focus on. I strongly recommend enlisting someone to help remind and monitor with you. After the game, follow up to see how you did.


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Strategist

Disciplinarian

Reflecto

ObservConsultant

Debriefe

Teache CorrectorRemind

Cheerlead

Chapter 5 Coach Time Management Chapter 6 How Do You Spend Your Time During the Game?

Coach Time ManagementHow a head coach spends his/her time during the game is a very important concept. Many coaches spend a lot of their time on activities that seldom improve the team or individual’s performance. What follows is a breakdown of where coaches spend their time during a game.

Coach on the fly – This is when the game clock is running. Effective

o To remind players of certain actions. It works best when these are short cue words that create a vivid picture, which lead to an action by players (“Help”, “Stance”).

o To call a play or a defense. When calling plays, the coach must remember to do this early in the shot clock. A late call can create a disruption in flow and lead to a poor possession.

o To encourage or praise. o The usage of signals is important when playing in loud gyms where

communication can be a problem.Ineffective

o Create a distraction to the players – late calls of a set force the athlete to divert attention to the coach. It is impossible to multi-task; you can only focus on one thing at a time.

o The coach reminds the players of every action. Sounds like a play-by-play announcer. This often puts the conscious and unconscious mind in conflict.

o Caught up in this role and does not take the time to do others.

Coach during dead ball – This is when the clock stops; violations, fouls. These are very important in the FIBA game because of the shortness and number of timeouts. Coaches cannot control the tempo of games entirely through time outs. The use of foul shot dead balls is extremely important. Coaches may want to have the team huddle. If so, you must train the players on how to do this effectively:

o Quick into the huddle.o You cannot huddle in the lane. o One voice at a time.o Quick out of the huddle.

The referees do not have to wait for your players on the second foul shot.


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Effective o Name then action, instead of action then name: “Johnny, great box out,” (praise)

instead of “Great box out, Johnny.” People respond to names. It also ensures that you get the player’s attention, eyes, and ears.

o Do you have time to call the player over to you? This allows confidential information to be delivered in private. This works best during foul shots. Remember, you need to give time for the player to get back to the proper position.

o The coach must know the team and the individual (visual, auditory, or kinaesthetic learner) players.

o The players should not have to adapt to the coach’s moods swings. Emotional stability is a key for successful performance. In a stressful situation, it is very difficult for players to monitor their own performance as well as the fluctuating emotions of their coach.

o Specific vs. general information. The more the information creates a picture for the athlete or team, the more effective it will be. “Get low in a balanced stance and move your feet.” vs. “You have to play harder.”

Ineffective o Same as in coaching on the fly, the coach becomes a distraction and uses this

technique too often.o Reprimand and humiliate the player or team in front of the entire crowd. The gym

is often quiet during stoppages. o Uses sarcasm or cues that the players do not understand.

Coach during stoppages – time outs, ¼ times, ½ time, and injury timeEffective

o The coach has trained the players to get to the bench quickly and take care of business (water, towel). The players know the formation used in timeouts. Who sits and stands, and where?

o The coach has prepared for the time out by having the coaching board and marker ready

o Make use of a ready sheet (notes prepared ahead of time for use in the time out).

o Brief huddle with AC(s). This is best when the opponent has called time out. You did not plan the time out. When you call the time out, you usually know why you called it.

o Coach can paint a picture for the players of what is happening. o A few key points. o Last thing the coach says is the first thing the players will do.o Allows for input from the players. This can be in the form of a question. o Coach is able to sense the mood of players and make a proper intervention. Can

sense if the time out is strategic or motivational.


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o Allow players to be out on the floor, meeting the opponent.o Allows for a warm up at ½ time.

Ineffective o Confusion and wasted time getting into the huddle. o Coach rambles or too many people are talking at once.o Too many points o General, not specific; “We have to play harder” (general). “You need to be close

enough that you can touch the player you are guarding” (specific). o Fails to recognize or anticipate that the opponents may be making a change.

Some coaches like to change defenses or run special inbounds plays out of time outs.

Coach bench – the coach reminds, encourages, or instructs the players on the bench preparing them for future play. Effective

o Alerts the bench as to what to watch: The opponent he/she may guard. How the opponent is defending a certain action or play What actions or plays the opponent is running.

o Keeping simple stats; opponent shot chart, opponent rebound chart. o Pays attention to the how the bench is sitting and if they are engaged in the

game.o Echo what was told on the floor to players on the bench.

Ineffective o Sarcasm.o Ignoring the bench. Many coaches only coach the five players on the floor. They

have no idea if the players are paying attention or not. o Constantly correcting or reminding the bench of mistakes made by players on the

floor. This can be effective when used with players who will go on the floor. If a player is never given the chance to play, it is not an effective tool.

Coach your staff – Conversations with assistant coaches. This can be initiated by the head coach or by one of the assistants approaching the head coach. The seating arrangement is important for communication. The classic arrangement is with the staff seated near the score table. Coaching teams need to experiment with different seating methods to find the most effective arrangement. In FIBA, only one coach may stand to coach the floor. When and where the head coach stands can have an impact on communication. Effective


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o There is a plan for roles and responsibilities for coaches.o The head coach honours the input of assistants. This does not mean he/she

must always do what is suggested. It means the head coach acknowledges that a suggestion has been made.

o Explains why decisions are being made. This helps educate the assistants.o Allows the assistants to have a voice. o Gives credit when it is the assistant’s idea.o Checks in with the assistant to stay on task.

Ineffectiveo Coach is on an island. The head coach does not engage the assistants.o Does not acknowledge the assistant’s input. The opposite of this is just as bad,

which is to react to every suggestion from the assistant. o Letting the assistant overstep his/her role. o Reprimands or rebukes the assistant in front of the players.o Not developing your replacement. We need coaches to constantly grow their

assistants. They should not be doing the same job year after year.

Coach the subs – preparing the players to enter the game and debriefing the player when exiting the game. In FIBA, it is important to train the subs to go through the minor officials at the table. Players must sprint to the table and alert the person with the horn. Some coaches get into a habit of subbing for mistakes. Like anything, it can be effective. But, if over used, you create hesitant players. Other coaches sub for foul trouble or based on fatigue. If an assistant coach is responsible for subs, there needs to be constant communication. Often, the line up on the floor does not meet the strategy that the head coach wanted to use (e.g., wrong line up for a press).

Prep the subSimply reminding the player of who he/she is replacing and addressing some key points of emphasis can avert so many problems. An assistant coach can do this, or the head coach can walk the sub to the end of the coach’s box.

Debrief The head coach can now meet the sub as he/she exits the floor. A quick explanation for why the player was subbed can be given. A debrief does not have to be a long, drawn out affair. Often, the late or delayed debrief is more effective. If a player is very emotional, or physically spent, it is better to allow him/her to collect him/herself before debriefing. Debriefing an emotional player is not an easy task.


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Coach the officials – talking or jesters made to the major and minor officials. It is crucial in the FIBA game that the head coach gets to know the official who will be responsible for calling time outs. Late in the game, the head coach cannot get caught in a position where he/she cannot call or cancel the time out. Late in the game, it can usually be very noisy and emotionally charged. You need to be as close to the coach’s box as possible, or assign an assistant coach this role. There are no such things as conditional timeouts. You cannot have one if they score; it is when the next dead ball occurs. Officials are instructed to warn a coach when he/she is teaching the players while standing outside the coach’s box. When he/she is ranting at an official outside the box, a warning may not be necessary. Only the head coach may stand. Sometimes, assistant coaches get away with this when playing in their own gym. This does not make it legal when you move to another gym. The coach cannot get upset when the officials ask the assistant to sit down. It is a rule. Effective There are times when talking to officials is appropriate:

o When asking for clarification.o Bring the attention of the official to a technical problem with the shot clock or

scorebook. o When talking to an official, do so in a polite manner and use the official’s name

respectfully. Ineffective

o Making demands. Officials do not have to give a rule clinic on every call. In Canada, we are under the impression that officials have to come and talk to a coach whenever the coach has a question. This is not true.

o Challenging.o Pointing or making demonstrative gestures; especially if they are to insight the

crowd or demean the official. o Harping on a call that happened well in the past. o Questioning the integrity of the officials.o Being rude. o Questioning the competency of the minor officials when it was the coach’s lack of

knowledge, or poor timing, that was the reason for the sub or time out not being allowed.

Interaction between coaches and officials There needs to be communication between officials and coaches during the game. Coaches want to have clarification. Officials want to be able to officiate without undue


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distractions. Currently, the time taken to play the game has increased. One of the main reasons is the number of lengthy interactions between the officials and coaches. Secondly, conspiracy theories can occur when officials talk to coaches in private. The impression is that this coach is gaining an advantage, even if this is not the case. With these two things in mind, the concerns with communication are:

When the communication occurs The number of times and length of the communication The reason for the communication How it is delivered

When the communication occurs Communication should not occur when the clock is running. Appropriate comments can be made, but there should be no expectation on the coach’s part for the official to turn his/her attention to him/her.

During a clock stoppage, the coach can communicate with the official: Ask questions that can help you coach your team. The tone of voice and

intention of the question is important. For example: “Did my player change his/her pivot foot or lift it on the travel call?” This information can be used to assist the player for the future. If the coach asks in a sarcastic manner, or is asking for clarification on every call, it is not appropriate.

Note that the following types of questions are not considered appropriate. o Rhetorical questions such as; “Are we ever going to get a call?” is not

considered a question that should be answered.o Questions that are in fact statements are not appropriate. For example:

“How come they have one foul and we have five fouls called this quarter?”

During foul shots, the coach can talk to an official, but the official shall not come over to stand beside the coach and give eye contact. This is distracting, and does not give a good appearance to others in the arena.

During timeouts, quarter, and half time intervals, the officials should not go over and talk to the coach until the end of the time out or interval. Conversations should be brief and only to answer appropriate questions.

The number of times and length of the communicationCoaches should strive for quality, not quantity, when communicating with officials. It is like the little boy who cried wolf. When the time comes when you really need to communicate with the official, your voice will not be heard if you constantly talk to them.


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The reason for the communication Statements are not appropriate communication, especially when they begin with

the words “You must…” Communication should deal with the present, not the past or future. Comments

about past calls, or calls from previous games, are not appropriate. Statements about future calls will also be ignored.

Communication should be for clarification so that the coach can help his/her team improve or maximize its performance. Communication should not be used to try to gain an edge on the opponent, or influence the official in future calls.

Agreeing with the official’s call. This is not only when the official makes the call that goes your way, but when the call is correct against your team. This helps build a positive relationship with the official and lets him/her know you are trying to develop your team. This will pay off for you in the future.

How it is deliveredCommunication should be done respectfully and sincerely. Coaches can, and should, receive technical fouls when:

Swearing Making a comment that attacks the integrity of the official(s) Using consistent negativity Gesturing to influence the crowd or to express displeasure Throwing an object or holding the ball to make a point Making it personal “You”

Coach yourself – writing notes to yourself, talking to yourself, or taking quiet time to collect your thoughts. Coaches must train themselves to pay attention to details if they wish to improve their coaching during the game. Too often, the coach has a grand plan to work on improving some aspect of his/her coaching. Once the clock starts, everything is forgotten. Effective

o Make use of cue cards or written reminders. o Remind assistant coach or players about the technique you are working on to

improve. o Assess yourself at the quarter times and halftime. o Have a plan as to where you want to position yourself during the game.

Ineffective o Forgetting the plan or having no plan B.o Losing emotional control.o Stop coaching; get quiet for long periods.


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Coach others – You may have conversations with other people during the game. It could include parents, managers, trainers, etc. Make sure these conversations are important to the performance of the team.

Chapter 7 Developing a Coaching Team

This is more important at the Train to Compete stage of the LTAD, but coaches at the Train to Train stage and Learn to Train stage need to be aware of some of the concepts and apply them when appropriate.

The days of one head coach outcoaching another are gone. There is too much information available to all coaches. The use of videotape, and the speed and pace of the game make it impossible for one individual to see and know everything that is going on. Problems can occur when the following happens: Problem: Teams allow only one set of eyes to make all the decisions. The game

is viewed through only one person’s perspective. Usually, this is the head coach. No one else is consulted for his/her opinion. The players’ observations are some of the most important and are often ignored.

Solution: The head coach must consult participants or assign someone the role of seeking out information that will improve performance. This needs to start day one in the first practice or try out.

Problem: Teams where all eyes are observing the same thing, usually the ball. Who watches the other team? Who watches the offense? Who watches the defense? Who watches the other team?

Solution: The head coach develops an organizational chart assigning roles and responsibilities for what should be observed and by whom.

Problem: No flow of information between the observers to allow the team to make use of the information.

Solution: The head coach must ensure that all relevant information that will improve performance is relayed to the people who need to know. Participants need to feel that relevant observations are wanted.

Problem: When suggestions or observations are offered, they are often ignored. Solution: Coaches must honour input from others by letting the people know that


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they have heard them. If the information is used, give credit to the person who made the observation. If it is not used immediately, let the person know you heard them and a quick reason why you are not acting on the information. People cannot take it personal when their observations are not acted upon.

Example 1: “Hey! John just had a great observation; they are not sprinting back on defense. We can look to throw long.”

Example 2: “Tim, I heard what you said, but I am not going to take a time out now. I want to let them play through it.”

Problem: No mechanism to help individuals refocus on the plan if distractions occur.

Very often, it is the most important person who gets the most distracted - the head coach. Other people on the team must adjust to the moods and emotions of the head coach. He/she often assumes that the smooth flow of information will occur even if he/she has threatened a player, has used aggressive body language, inappropriate touching, invaded a person’s space, made harmful personal remarks, and/or failed to communicate clearly. Coaches often claim that in the heat of the battle, players must understand and accept this as part of the game.

Solution: Someone needs to be assigned the job of keeping the “team” focused on its roles. An assistant coach may have to remind the head coach when he/she loses focus.

Problem: When the coach starts watching the officials, “the other game”, the team

suffers dramatically. Very often, a coach will start spending more time coaching the officials than he/she does his/her own team. There is a myth that claims the ability to “work the officials” is the sign of a great coach. This is a dangerous path for a developmental coach to take. The officials who work at the younger ages are not the highly trained officials who work with the coaches at the top levels that we see on TV. When working with a top official, the line is very clearly delineated for the coach. If he/she crosses the line, the consequences are known. This line is very fuzzy with more inexperienced officials. Time trying to


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change the officials is wasted time that could be used helping the players.

Solution: The same as before. Someone needs to be assigned the job of keeping the

“team” focused on its roles. An assistant coach may have to remind the head coach when he/she loses focus and is spending too much time with the officials.

Working with officials Points to ponder

Get to know the officials by their first names. Use them in a friendly, professional manner.

Avoid sarcasm or body actions that show aggression. Such things as moving into the personal space of the official or demonstrative arm actions are danger signs. Inciting the crowd is an area that coaches must avoid.

Work together with the official to resolve problems. Ask questions that allow you to instruct your players. This should occur during a

stoppage in play. “Did she change her pivot foot or drag it on that travel call?” This is not done to question the call, but used to assist the player to learn from the mistake.

Officials do not have to stop and discuss every rule or call with a coach. It is like the little boy who cried wolf. If you question every call, you will never get officials to take you seriously. It is better to talk to them only when there is a realistic concern.

The more you get caught up in the “other game”, the more your players and assistant coaches will.

Know which minor official controls the clock. This is the person who calls time outs.

Players should also know this person because this is the person through whom the subs are made. The person at the end of the scorer's table usually does not have this responsibility.

Role of assistant coach A good staff has planned and practiced the various roles for assistant coaches. Some of these can include:

Line up to minor officials Prep the subs Debrief players Keep a chart of important statistics, fouls, time and score, offensive and defensive

efficiencies Maintain the ready sheet. A ready sheet is a list reminding coaches of what was in the plan.

Things can be added to the list during the game. Often, something is seen that you want to


201

remind the players of during a stoppage in the play. If it is not written down, this information can be lost.

Watch certain things; i.e., the offense, the defense, the off ball defense, etc.

Roles of managersManagers play a crucial role in the success of a team. Many of their tasks occur before and after the game. During the game, a good manager is alert to little things that make a big difference. Wiping up a wet spot can prevent an injury. The coach must decide how big of a role the manager can play in the tactical part of the game. Is the manager more of an assistant coach or more responsible for keeping the bench clean and efficient? Sometimes, it is the manager who must run the video camera.

Information flow It is important that there is a constant flow of information between all people on the team. These do not have to be long discussions, but pertinent information that impacts the decision-making. The head coach needs to be involved in all of this information. If the trainer has a player who is injured and cannot play, the coach must know. If a court player subs and is debriefed by an assistant, the head coach needs a heads up on any information that came out of that debrief. Is the player ready to go or does he/she need a little time?

Coaches must remember that there are major differences between coaching a school/club team and coaching a provincial team. One of the biggest challenges is the short time frame under which summer programs operate. Also, you are dealing with players who are used to being the stars on their own teams. This means they usually have positive relationships with their own coach. Coaches do not often have the time to build these relationships with every player that they could over the course of a long season. Very often, the coach has never had the opportunity to have a personal one-on-one meeting. Coaches don’t have the time to experiment with which buttons to push with a player. This is why debriefs are crucial.

Often, coaches assume that the player knows why he/she has been subbed. If a player is used to playing 40 minutes a game, and is responsible for shooting every time he/she has the ball, that player might not understand why he/she has now been subbed after four minutes and asked to pass to other teammates. There is a big difference between


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telling players their roles and responsibilities and teaching these players to accept them. It does not have to be the head coach. Any coach on the staff can do this job.

These do not have to be long, drawn out discussions. It works best when the player is asked what he/she thinks first. “What are you seeing?” is a good question to ask. Attention should be drawn to what he/she did well. Accurately, describe in detail, what the player did well. “You were making hard cuts to the front of the rim at the right time and sealing your check inside” is a much better statement than “You’re doing a good job on offense”. You communicated the who, what, when, where, why, and how. This now allows you to come back with something that the player can focus on for next time. Again, give it descriptive details. “Now, you need to take three strong strides when you're running back on transition defense. Protect the basket if you see a perimeter player back. Shadow the ball at half if the other big has got the basket.” This is better than saying; “You’re not working hard enough in transition defense”.

Chapter 8 Set Up of the Bench

Team bench The typical set up for most team benches in the FIBA game is as follows: the head coach stands, although he/she usually has

a chair reserved nearest the score table. two assistant coaches seven subs manager trainerIn the FIBA game, only the head coach may stand. In total, there can be 14 chairs available on the FIBA bench. Counting the 5 court players, this makes for 19 people in the official team. In the situation described above, there is still room for two more people. These are usually a team doctor, another coach, or a team delegate.


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Where are your bench's eyes? As stated, the days of one head coach outcoaching another head coach are gone. There is too much information available to all coaches. The use of video and the speed and pace of the game make it impossible for one individual to see and know everything that is going on. Problems with observation occur when the following happens:

The teams allow only one set of eyes to make all the decisions. The game is viewed through only one person’s perspective. Usually, this is the head coach. No one else is consulted for his/her opinion

Teams where all eyes are observing the same thing, usually the ball. Who watches the other team? Who watches the offense? Who watches the defense?

No one watches the other team No flow of information between the observers to allow the team to make use of

the information. There is little or no communication. No information is gained from the most important people; the players on the floor

or bench No plan for each group’s role in observation. No mechanism to help individuals to refocus on the plan if someone gets

distracted. Very often, it is the most important person that gets the most distracted - the head coach. When this person starts watching the officials, the other game, the team suffers dramatically.


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Delegating roles It is imperative that the team trains itself to scan the floor to watch different aspects of the game. If no specific assignments are given, everyone will watch the ball. Players on the bench will often watch the stands. This means valuable information can be lost. It also means players coming off the bench do not have access to valuable information that will assist them in their decision-making. The days of playing strictly five players are gone.

Preparing bench players is a crucial component of the coach’s job. Many coaches claim that this is covered in practice and in the pre-game talk. That is an important part of the process, but no game plan ever goes exactly as planned. There are too many situations that are constantly changing. Keeping everyone informed of these subtle changes is key for the team to play as a unit. It starts with the head coach delegating to each person within the teams his/her observation roles (i.e., what to watch). Some examples might be:

One assistant watches offense, the other defense One assistant watches perimeter players, the other watches posts One assistant watches what the other team is doing, the other watches or

monitors the team bench The bench players watch the player they might guard if they go in The bench players watch for how the other team is defending certain plays


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What does the head coach watch? Most beginning coaches watch the ball or their own team. It takes practice to learn to watch for other things. It starts with making a plan. If the coach has had the luxury of scouting an opponent, he/she can compile a list of cues that indicate an action he/she wants to take. For example:

When I see that no one follows my cutter, I know the other team is in a zone

When I see their best ball handler go off the floor, we will put on our press

When I see that the other team helps off the ball side post, we will drive the ball and look to pass to the post

It is important to share the most important points with your players and assistant coaches. It helps them understand why you are doing certain things and they can remind you when you forget. As coaches, we often get caught up in the flow of the game and forget the big picture items we discussed in the calm of preparation.

Position of the coach Where the head coach positions him/herself is a major contributor to the flow of information with a team. The coaching team should think through where everyone will be positioned so the observation roles and flow of information work effectively.

A coach can stand, sit, or move constantly between these different positions. It is my opinion that coaches should understand the advantages and disadvantages of each position. Also, understand how your positioning can impact:

the dynamics of the team on the floor the players on the bench


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the flow of information between the coaching team

the interaction with the referees and minor officials

Sitting The head coach usually uses the chair closest to the scorer’s table.

Advantages This allows the coach to communicate with the minor officials for timeouts and

subs. The coach also hears the referee when addressing the table with fouls. The coaches can talk with assistant coaches without the bench players hearing. Can prepare and debrief subs as they walk on and off the court.

Disadvantages Often unaware of the bench dynamics Often cannot be heard by the players Often difficult to coach on the fly or during stoppages

Some coaches will surround themselves with their assistants. Other head coaches sit in the middle of the team to keep the bench focused and to assist in teaching. Some teams place one assistant at the end of the bench to contain all of the players between the coaching staff. This helps the bench keep its focus and prevents the bench from developing gaps that can lead to poor body language and disharmony.

Standing Coaches who stand must remember that only the head coach will stand. Before the game, the officials will often ask who is going to stand. If you say it is the assistant, this is the person that they will talk to during the game.

Advantages Visible for the players Easier to coach on the fly Can be heard by the players Often gives the appearance that the coach is ‘into’ the game

Disadvantages Harder for the bench to communicate with the head coach Can become isolated from the bench


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Often get caught up in the “other game” (working the officials)

There are different places to stand. Know how each position impacts your view and ability to communicate.

Moving

Advantages Allows the coach to position him/herself in the proper position to take advantage

of what is needed by the team. If you need to talk to a player, you can move to talk.

Can be easier to observe various aspects of the game

Disadvantages Can be hard for communication if you are inconsistent in your movements It can be distracting It can fatigue you If you stop moving, it is often seen by the team that you have given up You can get caught out of position and not be able to call a time out

Information flow It is important that there is a constant flow of information between all people on the team. These do not have to be long discussions, but pertinent information that impacts the decision-making.

The head coach needs to be involved in all of this information. If the trainer has a player who is injured and cannot play, the coach must know. If a court player subs and is debriefed by an assistant, the head coach needs a heads up on any information that came out of that debrief. Is the player ready to go or does he/she need a little time?

Keeping people on task The head coach must ask questions of his players and assistants. What are you seeing?


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Positive things can happen from this: You make sure the people are staying on task and paying attention to their roles You gain valuable information that aids you in your and others’ decision-making You enable others to feel like they are part of the game. Their input has value.

Failure to share information is one of the biggest problems. Great coaches are constantly giving their team information. A beginning coach calls a play "blue" and expects the players to properly execute the play. A more experienced coach would be sure to prepare his/her players as to why they want to run "blue" and make sure the players understand what to look for when the play is being run. A great coach reminds his/her players on the bench why they are running blue and say, “lets watch to see how the team is defending it”. The master coach would ask the players for their input on what the players saw. Knowing this gives him/her input into understanding the basketball smarts of the players. When we tell, we never know what is comprehended.

Age appropriate Younger, or more inexperienced players, may not have the visual skills or the verbal lingo to describe what they see. It is important that the coaching team helps these players develop these important skills. Just telling somebody something is not enough.

For example: A coach observes that the opponent is running a ball screen. He/she informs his team saying, “When we see the ball screen, we will switch. Does everybody understand?” No one answers. The first time the screen occurs, no switch takes place and the opponent scores. The coach gets mad and yells at his team for being so stupid for not doing what he/she told them to do. Who is the stupid one here? Even at the professional level this happens. Players do not make the proper observation quick enough and react slowly. This coach made some huge assumptions:

that players knew what a ball screen looked like the players knew when and why a ball screen would be used the player knew what a switch meant that the players could properly execute the complex maneuver at the proper time

This begins in the practice environment. Teach the players what to watch for and what language is used to describe this action. Ask the players questions to confirm their knowledge. These questions should not be of a yes and no nature. “Does everyone understand?” is not a good question. Ask questions like: “What is the reason that the


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other team would use a ball screen?” “What does the person guarding the ball need to know?” “What is the job of the person guarding the screener?”

If this is not done, you will get a lot of, “I don't know” answers. This frustrates coaches who cannot believe that a player could not know what just happened. It is not that the player did not see what happened; the player does not have the verbal skills to describe it.

Constantly teaching players by describing what is happening in a game and putting words to it is important for coaches of younger players, and just as important for those with older ones. Be careful to communicate these teachings to players on the floor at times that do not distract them. The coach who acts like a radio play-by-play announcer is very distracting for players. Coach during stoppages by calling a player over or getting his/her attention by alerting him/her to a situation.

Coaching on the fly As players are running up and down the floor, you can alert them to observations you or your coaching team have made. These need to be short, descriptive comments that aid the players in improving performance.

“Look to go under the ball screen if the player is not a shooter.”

“Read the switch on the flare screen.”

These allow the players to improve their performance the next time.

Also, catch the players doing things right. Point out movements and decisions that they have done that you want repeated:

“Great cut.”

“That screen set up the shot. Keep doing that.”

This is probably one of the biggest weaknesses in our coaches today. This is especially


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important when your team is struggling. Too many coaches get quiet or upset and focus on the negative things. Great coaches repeat to the bench the key points told to the players on the floor. This allows the bench players to access information that will assist them when it is their turn to play.

“I just told our guards to keep looking to push the ball. That is what we want and we will get rewarded for that as the game goes on.”

Too often, coaches tell the bench the negative things. “Why are we continually turning the ball over?” Too much of this can lead to the bench questioning the coach internally with thoughts like; “Why does he/she keep telling us that? We’re not on the floor.” or “What’s the sense of telling us? You never let us play.”

Coaching during stoppagesA dead ball situation is a time to gain players’ attention and communicate. Longer stoppages, such as foul shots, allow a coach to call players over. Train players to sprint as to not waste time. You have to decide to call one, or more, over. Many teams like to huddle during these times. In FIBA, you will not be given leeway in allowing the players time to return to the floor. They must be ready to return immediately to their positions. It is not the official’s responsibility to wait. Coaches cannot be upset with the officials; they will not disrupt the flow of the game.

Define level of authority The coach and his/her assistant coaches need to define the level of authority that is exercised with the observed information.

Observation - at this level, the assistant tells the head coach what he/see saw. Often with beginning coaches the head coach may have to prompt the assistant with a question. E.g., “What did you see?”

Recommend - What did you see and give me a recommendation as to what to do with the information. If you see certain things, recommend an action to a coach or teammate. This is a great step in mentoring assistant coaches. It gets


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them to start to think of adjustments. “I see that they have gone to a zone. I suggest we try the ‘blue’ offense because it gets our shooters open on the wing.”

Initiate – the assistant has observed something and therefore is going to take the following action. It allows for the head coach to veto the proposal if he/she wants. The assistant coach has seen the other team put a particular player back in the game; therefore, he/she is going to sub someone back to check this player. In these situations, the head coach wants to be reminded of what was usually discussed ahead of time.

Take action - see something and do it. In these situations, there is full trust that the assistant coach will act according to the plan for the team. The head coach has complete trust. These are often things like talking to a player. Some teams delegate roles such as offense and defense. Some do this with subs and match ups. When teams have co- coaches, all areas of philosophy must be discussed ahead of time. The biggest problems arise when co-coaches have different philosophies on things like playing time.

Chapter 9 Appropriate Strategies/Tactics for the Abilities of the Athletes and Rules of FIBA

Age appropriate The coaching we observe at the professional and university level is not always what works best at the developmental stages. It is recommended that coaches look at the LTAD model and the characteristics of the children they are coaching. Reflect on how you take these qualities into consideration.

For example: Younger, or more inexperienced players, may not have the visual skills or the verbal lingo to describe what they see. It is important that the coaching team helps these players develop these important skills. Just telling somebody something is not enough.

Be very careful to avoid labelling younger players. Saying things like; You're not supposed to dribble Why did you shoot that shot? You can’t shoot. Only our point guard can make that pass. Why are you always forgetting the plays?

Players pick up on these subtle phrases and will fulfill your prophecy. Players will also take what you say to the absolute. You meant not to dribble in one particular situation and the player will assume you meant every time.


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The major concerns from a developmental point of view with coaches’ strategies and tactics:

o Players used in positions that they will play at their highest level of competition. Having a tall player use only post skills when he/she is projected to be a guard at his/her peak is poor development.

o Using offenses or defenses that meet the stage of development of the players.o Allow decision-making to occur. o Players should not be meeting a base fitness and skill level.

Understanding the FIBA game Many coaches started playing and coaching the game with no shot clock. If not, the coach was coached by someone who grew up without the clock. This means there are reminisces of the no shot clock era in how the game is taught. This is a touchy topic for many coaches because they feel it comes down to philosophy and there are many different ways to play the game. Coaches need to be able to articulate why they do what they do and whether their style of play meet the demands of the FIBA game.

Early Clock Offense starts when the team gains possession of the ball [rebound (offensive or defensive), inbounds after a made basket (run the baseline), inbounds after a violation or foul (cannot run, can be sideline or baseline) or a turnover or steal]. This now begins the Early Clock segment of the offense. The actual time may vary based on

o The skills level of your players,o What the defense does to slow you down or disrupt your offense, o The philosophy of the coach.

The shorter it is, the more time you will have later in the clock.

The easiest, or highest percentage shot in basketball, is the uncontested layup. Early in the clock, the way to create this is by running a quick transition or running your opponent to the rim. This can also be created by forcing turnovers that leave an open basket. Various presses and traps are designed with this in mind. Since it is one of the easiest ways to score, it is also one of the easiest things for the defense to stop. Often, with younger players who do not handle the ball well, you see the blow out because of


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the turnover that lead to easy scores. As skill levels improve, you see fewer turnovers that lead to uncontested baskets.

The next way to score is by someone going 1 on 1. The reason I say 1 on 1 before a 2-1 is due to the fact that if the player with the ball does not attack, you very rarely create the advantage situation. Some coaches will only allow players to attack in 2-1 or 3-1 advantage situations. Others may only allow certain players to go 1 on 1 early in the clock. This is where philosophy starts to come into play. With the NCAA 35-second and 30-second clocks, many teams will still run what is called a secondary fast break. This involves all five players. With the 24-second clock, it is not as common, but can still be used as long as players can flow into it without disruption. This is a harder thing to do. It requires rhythm (timing and spacing), communication, and higher skills. All this adds up to time in practice. This is where a coach must decide if it is appropriate for the level he/she coaches. At a young age, this time is better spent on skill development than having the players run a perfectly timed secondary break.

When players first start to play full court in Learn to Train and the early Train to Train stages, transition is what dominates the game. Very often, the players do not have the skills to run complex sets or plays. The game involves one player dribbling the length of the floor. If no one stops this player, he/she looks to shoot. If the defense helps, one pass is made and a shot is taken. There is nothing wrong with this type of play. It is what the players are capable of doing. With this is mind, coaches at these stages need to spend a lot of time working on the skills players will use to play this type of game.

Mid Clock One of the keys to the 24-second shot clock is flow. Moving from one part of the offense to the other should be seamless, or without delay. We do not want disruption to the flow. Offensives that continually start and stop, and start again, will struggle with a short shot clock. If a set is being called:

o Communicate early and echo to all o Players need to get to position without delay o The play must fit the amount of time on the clock. Many NCAA plays have

movements at the first that are not of an urgent nature. The key part to the play occurs after 15 to 20 seconds. These types of plays may not work.

o When disruptions occur, this is usually a result of pressure, fumbles, etc. Do you still have time to run the set? Coaches must account for the opponent. If it is


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discovered that you cannot flow from a press break into your mid clock offense effectively, be prepared to face lots of pressure.

o Can you call the play when auditory communications are limited (e.g., in a noisy gym)?

Set plays are the easiest to teach. The coach can control the movement by the players and tailor the play to meet the players’ skill levels. You may get a quick benefit early in a game, and early in the season, as you can catch the defense off balance. As the game and season progress, the opponents adjust. The solution often becomes more plays. What happens when the set breaks down? Pre-shot clock, you could use the famous words; “set up”. This is not always an option. Too often, when a team drives out of a set, if the person who receives the pass (when the defense helps) does not immediately shoot, the offense cannot continue to play. It becomes confusing with the coach calling for the players to set up and the players feeling the pressure of the dwindling clock. When they break down and are without the foundation of skills and concepts behind the plays, the players are lost.

Continuities are also a common way that offense is taught. It usually allows for movement that helps break down the defense. Often players do not know how they are supposed to score out of the continuity. They become more concerned with the pattern.

Conceptual offenses are based on teaching the players concepts of play. Motion is an example. Players learn concepts of spacing, passing and cutting, penetration principles, and screening. It is recommended that conceptual offenses be taught at the Learn to Train and early Train to Train stages of the LTAD model. These concepts provide the foundation for all other offenses.

In all offenses players, need to know the point of attack. For example, when running a passing and cutting game, are the players looking to score from:

o Cuts to the rim;o Off shots from the cuts;o From taking advantage of a positive match up (when the offense feels it now has

a weaker defender. The match up may be by player or by position on the floor);o Off a bad close out;o When a good seal can occur inside;o Off the penetration principles that occur when a player goes 1 on 1 from the

perimeter;Version 2.1 - © 2013 Association canadienne des entraîneurs et Canada Basketball


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o Off the post play principles when someone has the ball inside?

Coaches must help players understand the point of attack. Are you attacking:o The weakness of the defense (e.g., poor help rotations);o The weakness of a specific defender (e.g., #4 cannot guard in the post);o Through the strength of a specific player (e.g., Get it to Johnny. He can

overpower #4 in the post);o Through the strength of your offense (e.g., We want to run the lanes; it causes

problems for the opposition); o Through a position on the floor (e.g., We want to attack the middle with

penetration)?

The second concept involves anticipating the action of the defense. Here, the offensive player knows what he/she is going to do before the ball is caught. This puts tremendous pressure on the defense. This is much quicker than reading and reacting after the ball is caught. There are also reads and counters to the set or continuity. Here, the coach must allow the players to make decisions. This requires more skills and time in practice. It is also harder to scout and defend.

Some coaches’ philosophies include running isolations. One way to integrate isolations is off positive match ups. Take, for example, a team setting a screen in the offense. When they see the switch, they now get the ball to the perimeter player who can beat the slower interior player who is now guarding. The other method is to get the ball to your superior player in a certain spot and let him/her create. In general, this is a common practice in the NBA, but one must remember that the defensive three-second rule in the NBA aids this offensive practice. It also requires tremendous skills to do this constantly for an entire game. FIBA tends to use 1 on 1 to create 2-1. All 1 on 1 play is played within the context of all five players. For example: the player catches the ball and immediately attacks the help defense. This creates a 2-1 where the kick is available if the help defender commits.

Late Clock Before the shot clock, teams could continue to run the mid clock concepts until they get their best player the best shot. End of clock or late clock used to occur only four times. It now happens all the time. Some coaches’ philosophy is to run their mid clock game. They have timed each play to the exact second. This will work vs. weaker opponents,


216

but is vulnerable to disruption. To counter this, coaches have their offense end with their best player receiving the ball from the isolation or two-player game.

The next option is for players to go 1 on 1. As described above, this may be when the positive match up has occurred or off of isolation in a particular spot. The problem is that you may not have a choice. Every players needs to know how to create a shot in late clock. This is why some coaches go to two-player game late in the clock. They may run a ball screen for a perimeter or have an interior use a dribble hand off. Again, these kinds of concepts require high skill level and plenty of practice time.

Defensively, many teams are getting very good at trapping or denying your best player late in the clock. These kinds of defenses expose players who cannot score or create a score for another player. This is why attacking the basket, spacing, penetration principles, and pass cut fill are so important in the development of all players. Teams that create a one-second advantage and then maintain it until the team has a good shot are the most difficult to defend. By understanding how to create, maintain, and then pass off the one-second advantage to a teammate, teams are constantly playing 2-1. It also helps if everyone can pass, dribble, and shoot the ball.

2 for 1Very few coaches make use of the 2-1 strategy at the end of quarters, half time, and end of game. If there are 40 seconds left in the game clock, pushing the ball and taking a good, quick shot will result in your team having last possession. This gives you two possessions as opposed to one to score. It must be practiced. This is a strategy best for Train to Compete stages and above.


217

Confidence and skill building interventions made during competitionThe majority of coaches make use of positive feedback. It tends to be general in nature. The more specific it is, the more likely the player will repeat the action. For example:

o General feedback – “Great job!” o Specific feedback – “Sam, you made contact on that cutter with your forearm.

Great job!”

Sisyphus Effect Some coaches believe that the game is not the time to teach; they see it as the test. Practice is where the teaching occurs. If you have not shown the ability to use a certain skill or concept in practice, you will not be allowed to use it in the game because it will jeopardize the chance for the team to win. The problem is when this approach is used over the entire season, or worse - for a player’s entire developmental career. Competition is the time to demonstrate that you have learned the concepts that you


218

F

L

O

W

Early Clock First 6

seconds

(Players’ time)

1 on 0

Created by

transition, off

turnover

(pressure)

1 on 1

Players need

to recognize

the 1 on 1 in

order to create

the 2-1

Advantag

e

Situations

2-1, 3-2,

4-5,

Mid ClockMiddle 12

seconds

(Coach’s

time)

What is the point of point of attack?

Concepts, continuity, sets

Counters or reads

Late Clock Last 6

seconds

(Players’

time)

Isolation of superstar

Gain possession Easies

t Hardest

Attack the

five

defensive

players:

- Walk the

ball

- Secondary

1 on 1

To create

2-1

situations

(FIBA)

1 on 1

To

create

isolation

s

(NBA)

2 player game

Ball screen

Dribble hand

off

Continue

Mid clock

game

Deal with disruptions to flow – pressure, traps, fumbles, poor rhythm

Isolations of positive match ups

practiced. What many coaches do is restrict the test the child gets to write. In practice, the player is allowed to dribble and shoot. In the game, the coach only allows the player to pass and rebound. Coaches are afraid that they will jeopardize the victory if the players make mistakes. This is true if you are thinking about winning in the short term, but if long-term victory is your goal, you must allow mistakes and teaching to occur within the game.

When no learning occurs during games, athletes start each game with the same skill sets and concepts as the previous game. This reminds one of Sisyphus, from Greek Mythology. Sisyphus was punished for his transgressions by being forced to push a huge bolder up a hill, only to see it roll back to the bottom at the end of the day. The next day starts with the same task. When players are not allowed a second chance in games, the stone rolls back to the bottom of the hill.

The coach must ensure the stone does not roll back. Using benchmarks within the game to ensure that players have learned, and can apply the skill or concept, will help prevent this from happening. How does the athlete guarantee to the coach that the benchmark has been achieved?

o Use of questions to show comprehensiono Demonstrate the skill or concept with a competitive situation

By asking questions and listening to the answer, the coach can judge comprehension. Developmental athletes will often answer with; “I don’t know”. This is because they have not learned the language necessary to describe their thoughts, feelings, or actions. Demonstration is the ultimate test. Players need the opportunity to show coaches their


219

Improvement Slope

competency in the game. I would also argue that they need more than one chance; they need to learn from their mistakes.

In the example on the following page, the coach is teaching a particular player how to attack pressure. The first benchmark the player must achieve is starting in the correct spot. If the coach stops coaching by giving no instructions, and allows the athlete on every possession to go to a different spot, the stone is rolling backwards. If the coach uses the bench to coach by subbing on the first mistake and never giving the athlete another chance, the stone also rolls back down the hill. If the athlete is not even allowed in the game, the stone never gets a chance to move up the hill at all. Once the athlete consistently knows where to go, the coach can load the athlete with the next benchmark; knowing when and where to cut. Once this skill is mastered, the coach loads the next piece, which is to attack the basket.

At the first sign of a mistake, many coaches make strategic or personnel changes to solve the problem. A coach wants to have his/her team play full court player-to-player defense. In the first game of the year, after scoring, the players all pick up their checks and play in a three quarter, deny position. One of the offensive players fakes a cut to the ball and goes long. The inbounder throws long, over the head of the defender. The ball is caught and the player scores an uncontested layup (Diagram 1).


220

Improvement Slope

Starting at the right spot.

Knowing when and where to cut.

Attack the basket

The coach immediately calls time out. He/she takes a strategic solution, calls the press off, and instructs the players to pick up at half court. In this situation, the athletes were not allowed to push their stone of full court pressure improvement up the hill. No benchmarks were allowed to be put in place. Next game, the stone will start at the bottom of the hill. This coach is trying to win in the short term. If the coach has a long-term view of victory, he/she will instruct the players about the adjustment that needs to be made. The key is that the child is given the opportunity to demonstrate the new teaching. If the demonstration of competency is only allowed to take place in practice, the child is not being given a true test.

Coaches also allow the stone to roll back down the hill when they stop coaching. This usually occurs when a blow out occurs. The coach who is leading by a large margin and allows the players to get into garbage time activities risks the benchmarks being eroded for the next game. The coach who stops coaching when his/her team is losing risks the stone rolling back because the players lose confidence in the coach and each other. The danger here is that the stone may roll back to a spot even further than where it began.

This same Sisyphus Effect can also occur in organizations when they do not have people in current positions pass on their knowledge to future replacements. I see this happen all the time in coaching. Organizations invest a lot of time, money, and effort in


221

Diagram Diagram

training a coach. When the coach leaves, all of that information is taken with him/her. Legacy materials need to be developed so they can be given to the new coach.

Distraction plansHere are some examples of techniques used by coaches in games:

o As games get tight, and stressful emotions tend to rise, some coaches fall into the trap of also raising their emotions. The successful coaches become calmer and show great confidence to their players.

o Ask for an affirmation. The coach will ask the athlete if he/she can accomplish a task; “Can you do that? Thank you.”

o Visualization. One coach has the players visualize a foul shot during the time out. o Remind athletes of previous success. Bring the attention of the player to a

situation where he/she faced adversity and overcame it. o Refocus on goals or strengths. Coaches get the athletes to focus on their goals.

This is especially important if the player is not scoring, but the goal was to play good defense.

o Play on the exhale, not the inhale. This helps the player relax. o Mental fatigue. Coaches who made use of the delayed debrief allow players to

calm down before talking to them. o Coaches who ‘get after the players’ must take a step back and evaluate if the

intervention was effective. Sometimes players need to be motivated to give a better effort. You can be hard on a player without being personal. It is acceptable to criticize effort. Comments or statements that affect the dignity of the player are unacceptable. It is often impossible to get this player back after being humiliated by the coach in public. Some argue that this creates soft athletes. We cannot apply the values of the past to today’s society. “Back in the day,” players had no choice. If a coach was abusive, you stuck it out or did not play. Nowadays, players have options. In addition, parents are present at the majority of games.

Effective Timing of Time Outs and Substitutions

Time outs Red flags – called immediately, without hesitation – Usually a major run by the other team, frustration, or lack of execution. None of my interviewees mentioned calling a time out late to advance the ball to half. We have to rethink our timeouts to coincide with the FIBA rules. Some coaches have learned that they must let players play through runs and certain frustrations. You cannot take time outs to solve every problem.


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Yellow flags – a time out alert. We will attempt to play through the situation.

Green flags – this is where you cancel a called time out. As often happens in a FIBA game, you go for a while without a stoppage. I have seen teams turn a run around and then have it stopped because the coach did not cancel the time out.

Last two minutes of the game Very few coaches make use of the rules that allow subs when scored upon. Many coaches also call their time out with the opponent shooting a foul shot before the first one is taken. This means if the second shot is successful, the ball cannot be advanced to half court. Coaches must decide what is more important - the time out before the shot, or the possibility of moving the ball to half. Many coaches are using time outs to control tempo. Coaches need to explore other ways to solve problems, especially in the second half. It is amazing to see the number of coaches who get caught without a time out and are unable to advance the ball to half late in the game.

Who calls the time out1) Called by you – you should not have to do a lot of consultation with your staff as

you know the reason why it was called.2) Called by your opponent – this is a bonus time out. Very often, you should have a

“ready list” prepared of things you want to discuss. This is a time for consultation with players and coaches.

3) Half time – this is where you may have more time to have a big discussion with coaches and players

Points to ponder Coaches are very often late going into the time out. You only have 50 seconds.

Officials all across the country are being instructed to get players out of the time outs on time.

Effective time outs have one or two major points. The last information given is usually the action the players are going to

immediately do. If you’re on defense, talk about the defense last. It always amazes me the number of coaches who do not discuss the jump ball just before the game starts. It is the only one of the game. If you take it for granted, you can get burned.

If you use a board, have it ready. You need to practice your board skills with the team ahead of time, in a practice situation, or pre-game. Ask your players to


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show you what you have drawn up. Don’t wait for the big game to find out that most of your team does not understand.

Anticipate your opponent – the more you know your opponent, the more you need to anticipate his/her actions. Is he/she the type of coach who changes defenses coming out of time outs? Does he/she run a certain play in these situations? Why did the other coach call time out?

Use pressure to force a time out. If a coach calls an early time out, many coaches will come back with a press, trying to force a second time out immediately. The same is true if the coach calls the second time out in the first half. Force them to use half time to talk about the press.

Listen to what you say – have you ever taken the time to listen to what you say in a time out? It is amazing what we say in the heat of the battle. More importantly, it is the thoughts or actions it creates in the players.

Example: The coach calls time out with six seconds left in the game. The team is down one point. The coach says; “We are going to run special to get the ball to John. He will shoot it and score the winning basket, not like the last game where he missed.”

The five players get ready to go back on the floor:

We need to create a positive image in the minds of our players. We don’t motivate by telling people what not to do.

Substitutions Red flags – two fouls in the first quarter, lack of effort, numerous mistakes, and fatigue.

Yellow flag – often, the head coach will warn the assistant coach to watch “so and so”.


224

Awesome!

Dad owes

me $10

because I

scored 10

points.

I feel great!!!

All I have to

do is stand in

the corner

and watch.

I’m confused.

Why is John

shooting when

I know he

doesn’t like

being in this

situation?

John

I don’t feel

well. How

come I have to

be the one?

Bill Ted Sam Fred

I am

frustrated!

Why is it

always Ted?

Many coaching teams have an assistant responsible for subs. Many coaches prepare the subs before entering the game. This is a good trend.

Green flag – a player recovers and has a positive contribution to the team. The end of quarter or period is close and it does not make sense to sub a player in for such a brief period of time.

Points to PonderAs previously discussed, it is important to prepare subs to enter the game. Create a positive picture of what they will be doing. Often, it is advisable to have them tell you certain things:

o Who will they be guarding or where will they be positioned? On the zone or press?

o What role/position do they have on offense?o What are the key points of emphasis?

By asking, you clarify if the player understands.

How many players do you plan to play in the game? Is this information communicated to the players before the game? No other area will create as much tension or problems for a coach as playing time. Honest communication is the key. Problems occur when:

o A coach promises playing time and does not delivero Rewarding players with meaningless playing time i.e., the last 10

seconds of a game, which has been decided long before that time. o Inconsistency in playing time without an explanation

The FIBA game means you need to play more players. The pace of the game is at a higher level. This is especially true in tournament play. When coaches enter into tournaments, they must consider the big picture. I have witnessed too many teams looking very completive at the start of a tournament, playing only a select number of players, only to fold late in later games due to fatigue. Coaches must search for situations where they can play more of their “bench players”. Some possible suggestions:

o Develop a special unit that goes on the floor for a short period of time with a specific style of play – very often, this is a pressing unit that changes the tempo of the game

o Use a number of players to defend a star player from the other team. o Match the subs of the other team


225

o Use a sub for the last minutes of the quarter. This gives your starting players a longer rest as they benefit from the quarter time break.

o Trust the players will learn and improve if given a chance to play. This is especially true at the younger levels.

Keep track of time and score – A simple stat sheet that records who is on the floor, and what the time and score are when subs are made goes a long way to helping the coach with playing time. It allows coaches to:

o Accurately know the amount of minutes each player playedo See the point differential for each line up on the flooro See runs and drought by each team and who the participants wereo Predict when subs may be needed by seeing how long someone has

been on or off the floor.o Use statistical information to explain to players about team and

individual playing time Half time Points to ponder:

Going to the locker room is not always the best idea – you need to consider:o The distance from the playing courto The temperatureo Distractions – shared with other teams, parents, fanso Amount of space

Give the players time to do their thing, go to the washroom, fill water bottles, eat a snack. This gives you time to look at stats, if you kept them, and discuss what you want to say or do.

Write it down. This is a good opportunity to use of your white board. It prevents you from forgetting things or rambling.

Address the issues that will improve the team performance the most. Too often, we as coaches, get side tracked. What is it exactly that you need to do?

Staying the same is not a good option. Telling a team that it just has to keep doing what it has been doing is underestimating one’s opponent. Usually, your team will relax, which is not the same. It is important to point out the positives we want to maintain, but also anticipate what the opponent will do.

Give the players time to warm up. Have someone keep track of time.


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Making Use of Self, Individual, and Team Debriefs to Assess Strategy/Tactics/Motivational Plans

During the game The majority of coaches have a plan in place to debrief each athlete as they come to the bench. This ranges from a simple comment from the head coach to an assistant sitting with each sub. Telling still dominates the debrief. We do need to make use of questions. An example of the power of questioning comes from an actual game:

Coach: “Do you feel you can make use of a break out dribble?” (This is a yes or no question, which is not always the best.)

Athlete: “Yes, I think I can. The big girl is right up on me when I get the rebound.”Coach: “That’s great! Once you break clear, you can really push the ball up to the

wing. I want you to do that.”Athlete: “Okay, Coach!” (Pause.) “I think #6 is left handed. She is always going left to

score.”Coach: “Really? I never noticed that. We must make sure to tell the other post

players who might be guarding her. If you notice anything else, let me know!”

This is the beauty of asking questions. You gain insight into things that add to the collective knowledge of the team. No one had pointed out the fact that the player was left handed. I do not believe the athlete would have volunteered the information if the exchange had have gone as follows:

Coach: “I need you to use your break out dribble. Once you get in the clear, you can push it to the wing. Do you understand?

Athlete: “Yes.”

“Do you understand?” is not a question that is very effective in gathering information on what a player really understands. In the heat of the battle, it usually means do what I tell you. If we are going to improve the decision-making ability of the players, a must in the FIBA game, it is crucial that we use questions to inquire what they are thinking, feeling, and doing. When coaches first use this technique, they are often frustrated with the results.


227

a) The player gives the wrong answer – wrong. It is not the answer the coach wants. Coaches need to honour the athlete’s answer.

Example:

Coach: What happened on that screen? Athlete: “I got tripped up by the screener.” Coach: That’s not what I saw. You’re supposed to go under the screen. Make sure

it doesn’t happen again!”

A better response would be to honour the answer:

Coach: “What do you mean by tripped up? Describe what happened.”

This allows the coach to see through the eyes of his/her athlete.

b) “I don’t know” – this answer frustrates coaches because he/she cannot comprehend how an athlete just completed a task and cannot explain how or what he/she did. Athletes often do not have the vocabulary to describe their thoughts, feelings, and actions. It is up to us as coaches to assist them in learning how to express these things.

Example:

Coach: “What did you see when you dribbled off that pick?”Athlete: “I don’t know?”Coach: “What do you mean you don’t know? How can you not know? It just happened?”

A better response is to honour the answer and probe for understanding:

Athlete: “I don’t know?”Coach: “Which defender picked you up?”


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Athlete: “I think it was a post?”Coach: “Did he stay with you or switch back?”Athlete: “I am pretty sure he switched back.”Coach: “What do we call this action?” Athlete: “High hedge?”Coach: “That’s right.”

The delayed debriefHere, the coach allows the athlete time to collect him/herself before talking to him/her. This ensures that the athlete is in the proper frame of mind. Talking to an emotionally charged athlete often can magnify the problem.

The stock debrief One of the dangers of anything is when it is overdone and not sincere. I have seen examples of this creep into debriefing. E.g., A coach asks stock questions to an athlete. The purpose is to debrief and not listen to what the athlete has to say. The goal is to help improve performance, but this can only occur when the person doing the debrief truly listens to what is being said.

Look them in the eyeCoaches do not want to distract his/her attention from the game. Too many coaches feel it is important to constantly watch the action on the court. By taking time to talk to a bench player, he/she might miss out on the game. In those situations, the role should be delegated to an assistant coach or the coach must position him/herself in a manner where he/she can multi-task. At some point, you may be required to look the player in the eye if it is important to help the player’s future performance.

Fig. 1 Fig. 2


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In Figure 1, the assistant coach keeps an open chair beside him/her. When an athlete comes off the floor, he/she knows to sit in the chair for a quick debrief. The head coach should try to greet each athlete as he/she comes off the floor. Look the athlete in the eye and give a quick comment. By looking the player in the eye, you can judge his/her emotion. The eyes do not lie. It is important that the players know why they are being subbed.

In Figure 2, the subbed player goes to the end of the bench. The head coach kneels by the player and does the debrief. By taking this position, the head coach can look through the bench to see the bench players as well as the players on the floor. If the coach wants the whole bench to hear, he/she can speak louder. If it is a private conversation, whisper in the player’s ear.

Post game It is great to see that a number of coaches are allowing the players to talk first in the post-game debriefs. These coaches often feel that they do not have to add anything to the conversation as the players cover all of the topics. The players often bring up areas of concern for which the coach is unaware. Many coaches still dominate with a “we” debrief. This is where the coach will tell the team post-game what was done well and what needs to improve for next time. The only chance for the players to talk is at the end when the coach asks if there are any questions or comments. A long time ago, players learned that if they keep quiet, it is time to leave. Also, most of the comments will have been tainted with the coach’s comments first. Players often say what they think the coach wants to hear, not what needs to be said.

Deeper debriefs


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The following layers in debriefs help athletes to: Add more depth to the discussion Engage them in discussing ideas Hear the opinions and ideas of others Help them understand the reason why things are the way they are Generate new ideas for the future

Layer 1 Relate what you just did to “you”.For example:

How does the game you just played relate to what you’re going through right now? How does this drill relate to your ball handling? The last shift you just played; what did you learn? What did you do well? What could you

improve? How does your coming (or not coming) in during the mornings to work on your game relate to

your playing time?

Layer 2 Relate what you just did to a similar experience.For example:

Compare and contrast this practice to the last practice we had. How would you compare this game to the last game? How was your defense in this shift compared to your last shift?

Layer 3 Relate what you just did to the big picture. For example:

How does this drill relate to the next game we are going to play? How does this practice relate to our season? How does the performance of the team in this game prepare us for the playoffs? How does the behaviour you’re showing now relate to your dream goal of playing at a higher

level?


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A Basic Competition Day: Nutrition/Hydration/Recovery/Activity Plan for Athletes/Team

Sunday Monday Tuesday Wednesday Thursday Friday Saturday Sunday

Impossible Situation – to maintain or increase energy over the course of the tournament

Energy Crash – due to poor nutrition, rest, hydration, and recovery

Ideal situation – an acceptable loss of energy over the week due to proper nutrition, rest, hydration, and recovery

Recovery Assist the athlete in dealing with fatigue:

o Metabolic fatigue (energy stores)o Neurological fatigue (nervous system) o Peripheral nervous system fatigue (muscles)o Central Nervous system fatigue (brain)


232

Startin

g

Ending

Energy

o Psychological fatigue (social, emotional, cultural)o Environmental and travel fatigue

See chart on the following page for more detail.

http://www.ltad.ca Recovery and Regeneration for Long-Term Athlete Development


233

http://www.ltad.ca/groups/ltad%20downloads/english/Recovery%20and%20Regeneration%20Sept.%2012.pdf

http://www.ltad.ca/

It is not good enough to just inform players about recovery. Like any skill, it must be practiced. Some athletes will be sceptical because it is different. You cannot wait for the big competition to put recovery into practice; it starts the first time the team gets together. It is recommended to download the Recovery and Regeneration for Long-Term Athlete Development form from www.ltad.ca.


234

http://www.ltad.ca/



Train to Train

NCCP- Competition Introduction

CONCEPTUAL OFFENCE Adapted From: Rick Torbett


235


236

www.basketball.ca

Conceptual Offense

IntroductionI became a head coach right out of college. Learned a lot the hard way because of this fact. Most joy as a player was when we played by principles. By the time I knew the game I was too old to play.

Too many gamesSchedules and restriction on practice time has not helped elite basketball. Youth / school sport is not held to the same standard as teaching math. The date of the first game forces the coach to forget teaching. Teach to the test which is like the game. Players are becoming good at running plays, but not becoming good players.

Coaches find it hard to rely on the coaches below them in the development system. I become an opportunist not a teacher. I am lucky if I get good players or I go and recruit good players who already have the skills. Who develops the players if everyone is just looking to recruit?

Because of these t and more I wanted to develop an offence where the game is taught by principle. When I first started I knew what I wanted to do, but did not know how to teach it. Studied the European club system and applied it to the North American situation.

As the players played together I wanted them to move like a school of fish. Movement had to become a habit. Did not like the various motion offences. There were too many decisions and requiring too high of IQ and skills before you could play well together. Needed something that I could teacher quicker and then build or layer. Did not want the weak players screwing up the better players. Too often in motion this was the case.

Transferable - run well at all levels. Use the same language. I want to stand on the shoulders of the coaches below me. Math approach. We continue to build on the concepts we learned before.

Side note: In Belgium it is illegal to run plays in youth level basketball. Run the floor, circle movement and pass and cut is all you are allowed to do. If the coach calls a play it is a technical foul. The coach is to direct his energy to teaching the players how to play not what play to run. They are pretty good at it. Building strong layers. Our players never build a strong offence layers or habits. Allow players to play to strength and avoid weaknesses. Don't go past the first layer until you develop the habits.

Read and reactNormally everyone watches the ball. The key is what you do when you do not have the


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ball. There are infinite options. Usually too many choices so the players end up standing. The solution is to eliminate options.

Concept #1 – movement off penetrationThe first thing we teach is movement off the dribble. Dribbling is the first things children will do on offence; therefore we need to teach this first.

Chris Mullins former NBA player said he probably would not get drafted into today's NBA. "I don't know how to stand and watch."

Circle actionPretend there is defence on top. Attack the gap. (This is a dribble going north south not east west). As the ball is dribble the other players circle in the direction of the dribble.

3 on 0Emphasize the number of dribbles

1 dribble - pass to ball side. 2 dribbles pass back.

Note: The key to teach the skills that go with these concepts. Rick emphasized that you must be able to:

Dribble with the eyes up with both hands. Break down the defender with speed,

change of direction, change of speed and fakes

Pass off the dribble Catch a pass while moving Shoot of the catch


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5 on 0 circle movement on penetration

Use the NBA 3 pt line for spacing.Key is to watch the ball movement.

Note: the player in the corner cuts through since there is no space in the corner to circle. This action will be discussed in more detail later.

Terminology Pitch is an air pass off penetration. Dish is a bounce pass off penetration.

Problem

On a baseline penetration if we have the circle action we lose the drift pass.

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Baseline penetration - exception to the circle rule

On any baseline penetration we want the following positions filled so the passer has four passing angles.

Drift - opposite corner 45° angle - opposite elbow 90° angle - ball side elbow safety - behind the ball

How far away from the basket they are depends on the position of the defence.

5 on 0 vs. coach

The coach starts with the ball and makes a pass to one of the 5 players spaced around the perimeter. The player who receives the ball drives at the coach. The other players must work on their circle action.

Timing note:The feet of the perimeter players should be moving before the ball hits the ground on the first dribble. This makes the decision of the passer much easier as he/she will see the movement. Also it makes the decision of the help defender more difficult.

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Safety valve drill

The player in the key passes to ball to one of the perimeter players. This player drives the ball at the defence. The pass is made back to the player circling behind.

There is always someone in the "hole", the place you just left. This gives confidence to the penetrator. Know where your bail out is located.

Fly byOn the pass back out the defender runs out and fly’s by the shoulder of the shooter. This is excellent for teaching both offence and defence. The offence player works on:

Being ready to shoot. Shooting under pressure. Attacking the close out – fakes, drives.

The defence works on good close outs.

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Middle penetration

Attack the key. Everyone is moving to a new spot. The decision is made after one dribble.

Note: in this diagram the drift player decides to cut to the rim. This is because there is not space to slide and the basket is open.

These drills need to be done from all of the perimeter positions.

Concept #2The second most common move in basketball is to pass to a team mate one pass away. Passing builds unselfishness. After passing run a basket cut.

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Front cutOn the pass if the defence does not move make the front cut to the basket.

Back cutIf the defence jumps to the ball back cut to the rim.

The pass must be made early.Tip: pass the ball just passed the back heel of the defender to the open space.

Pass early

The ball is passed to space not to the player. This is a key concept that all players must master. It allows the offensive player to catch the ball and still have time to read the help defence and find his/her target. Pass by the heel of the defender.

Do not assume that players understand about passing to space. It has been my experience that players who have played hockey or soccer grasp this better than those who just play basketball.

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3 player drills

Pass to the wing, if the defence does not move front cut. Put the defender on your back. Pass to the heel of the defender.

Back cut

If the defender jumps to the ball back cut. The pass must be early.

Load the drill: Add guided defence to the passer only. Add two guided defenders. Play two on two with passing and cutting.

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5 players pass and cut Concept #1Pass the ball basket cut.

Concept #2Fill open spots above you. Do not be too quick to fill this space as it takes away the penetration of the player with the ball. Catch the eyes of the player.

Concept #3When leaving the basket find the open spot, usually a corner.

When you pass out of the corner very often you must replace yourself.

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Over play

Anytime your defender has one foot over the 3 point line go back door. We do not want to work so hard to make a wing entry, only to have the ball stolen or the offensive player catch the ball too far from the rim.

Remember with a principled offence you will be better later in the year as long as you continue to develop the skills and decisions needed to make the offence work. Early season the players will be very robotic. If you run plays early you will get some easy scores as you trick the defence. Once the season progresses this will not be the case.

Concept #3Combining penetration with pass and cut.When you start to combined the two concepts you will run into situations where a player will be at the rim as the ball is being driven to the basket. If you are in the key when the ball is being driven to the basket you are considered a post or interior player. What does this player do?The basic concept is as follows:

If the ball enters the lane above you go to the short corner.

If the ball enters the lane below you go to the elbows.

It is crucial that this movement occurs early. If not ball handler cannot make the easy decision and is vulnerable to getting trapped. Ideally the interior player is moving before the ball hits the ground on the first dribble. This puts the help defender in a difficult position.

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In this example the ball is being driven baseline. The player at the basket goes to the far side elbow.

In this example the player goes to the nearside elbow. Remember the positions that need to be filled on penetration.

Note: a final option that is not shown is that the post player #2 could back pedal to the drift. Usually the short corner. #5 would fill the 45° angle in the far elbow, #1 would fill the 90° angle on the near elbow and #3 is the safety moving in behind. This is especially effective if #2’s check is the player helping.

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Note: if when you move to space on penetration your defender stays with you, look to back cut and seal. #2 seals his/her defender as he/she moves to the short corner.

Here is the same example of this concept when the ball is driven baseline.

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Advanced concept

The perimeter player drives the side opposite of the post defender. This makes it hard for the post defender to help.

Note: if you drive at the side of the post defender you may find it easier to pass to the post on his/her movement. This works well if:

The penetrator has his/her eyes up. The post moves on the first dribble.

Concept #4Pressure release

Very often the player with the ball cannot penetrate north south. Usually the defender is too strong. In this situation the player with the ball dribbles at the next perimeter player with a speed dribble. This initiates a back door cut.

Remember, the circle movement off penetration is when the ball is being dribbled north south to attack the basket.

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Concept #5Crab dribble pressure release

If the player with the ball dribbles at the next perimeter player with a crab dribble, it initiates a dribble hand off.

To review: Attack dribble - circle movement. Speed dribble at you - back cut. Crab dribble at you - Dribble hand off.

Dribble hand off

The player making the hand off does a jump stop and back pivot. The ball is presented to the cutter with one hand on top and one hand on the bottom. Very similar to a QB making a hand off to a running back.

The cutter sets up his/her check first by a jab

step at the basket. Go tight to the hand off. Read

the defence.

Note: He did not have time to go over all of the reads for a dribble hand off.

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Circle movement pressure release

Often the player attacking the basket can not beat his/her check. Therefore the perimeter defender stays with the sliding action. In this case #2 looks to reverse direction. Especially when the passer is in trouble. The other players react to this movement.

Advanced pass and cut action

Note: coaches are reminded to master the previous concepts and skills before adding in the advanced techniques.

Concept #6Back screen to exit the lane.The player who cut to the basket must call a perimeter player’s name. Execute a two foot jump stop to set the screen. The cutter is not allowed to cut until he/she hears the sound of the jump stop. This prevents a moving screen.

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Three player continuous back screens

The ball is passed to the wing. The high post

sets a back screen for the top player to cut to

the basket.

The cutter was not open. The screener is the second cutter (work on sealing the defender for the pass and then an open pivot to square up). On the flight of the ball the player at the basket sets a second back screen for the wing player. The pass is delivered for the score.

Load the drill: Start adding guided defenders. Transition to the other end and see

if the players can rebuild the drill.

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Use the next cutter as a second screen (stagger)

Very often a second pass has been made before the cutter off the back screen has completed his/her cut. This action is perfect to create random stagger screens. As the players get better the cutter will learn to look for these situations.

Back screens are my favourite screen because the threat is a lay up. They attack the basket. We are going north / south on all cutting action. Put constant pressure on the basket.

Ball screen out of the post.

Another advanced concept is to have the post exiting the key set a ball screen.

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Advanced conceptGetting a specific player into a post up situation.

Option #1Pass and cut to a post up.

Option #2Back screen to a post up.

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Option #3Crab dribble, dribble hand off and roll to post up.

Option #4Pin in and post.

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Advanced conceptPost play

Space the floor. Everyone plays above the post player.

We want the post to stay on one side of the floor to keep the other side open for cutters. The post is looking to set back screens for cutters and then be a second cutter and face up. The four perimeter players use the previous concepts.

The perimeter players can still set back screens to exit the key. This allows for stagger screens to be set by the post.

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High post

Look to use the UCLA shuffle cut.

After passing the ball to the post we need to move. If you stand it makes it difficult for the post to go one on one.

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Level one movement off a post pass.

High Laker cut - after passing the ball cut high through the elbow to the rim.

Low Laker cut - cut low through the block.

Level two

If the perimeter defender chests you up, (stays tight and blocks your cut) look use this as a signal to change direction.

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Level three

If the defender doubles down to the post look to slide to the corner.

Level four

The player who passes looks to screen for the next perimeter player (Utah action).

Note: these same cuts can be made off a high post feed. Always remember the back door rule. If your check defends outside the three point line look to backdoor.

Playing with two post players who cannot score is not a good idea. This limits your offence to 3 point shots or mid range jump shots. You will get few quality lay ups because the defence can defend the rim and not worry about the two offensive post players.

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Note: If everyone is out denying the perimeter it does allow the post to go one on one. It is not necessary to cut.

Cut if these situations occur: There is an open basket. The defensive player turns his/her head to

look at the post. The post is scanning in your direction. The post cannot score off the 1 on 1.

Advanced conceptWhat will happen is that the defence will begin to sag to prevent the cutting and penetrating action.

The players on the help side of the floor must read who has the longest recovery on defence.

We want the other player to set a pin screen and

look to skip the ball. This creates close outs by

the defence.

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Who has the longest recovery? Here it is the bottom player who comes and sets a flare screen. Look to skip the ball.

Review the concept: Back screens vs. aggressive defence. Pin vs. sagging defence.

Zone attack

Cut to the short corner

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When the ball is in the short corner it is the same as a baseline penetration movement. We want the 90° angle, the 45° angle, the drift and the safety release spots filled. If the defence stays wide and denies look for the cut to the open rim.

On penetration use the same circle cut actions The player cutting from the corner is often open because the defence is looking at the ball.

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The safety player is almost always open vs. the zone.

Pin the sagging zone

Use the same principle vs. a zone that wants to sag. Pin it and skip. If the player rolls after screening he/she is often open if the bottom player comes out to guard the ball.

Here are some brief answers to follow up questions: Coaches must have some control over shot selection. Go over each individual

player and identify which shots are allowed. Off season - players work on the skills to have the green light in the next season. There should be no seams between transition and half court offence. It must flow

especially if you are using a shot clock. (Note: I strongly suggest for those

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coaches playing with a shot clock that you work on flowing into the offence. Don’t start the in the static positions. Players need to learn how to get to the spots with rhythm (timing and spacing).

Transition - Everyone runs the lanes. Stick your head under the basket if it was open and fill out to open spots. Rebounders need to look to break out dribble.

Never have to run suicides. Use 5 on 0 full court and conditioning. Call out options to see if the players can execute the concept. For example: run pass and cut and look for our best shooter coming off a stagger screen.

My note: you will need to emphasis rebounding and defensive transition. You must decide who will be back for defensive floor balance and who will go to the offensive boards. Rick did mention that players crashing from the perimeter are much more difficult to box out than the player who stands.

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Documents

exocorriges.comexocorriges.com/doc/32485.doc · Web viewSur le site web, vous verrez de très nombreuses variantes. On ajoute ensuite un ballon de basketball. Un joueur est en position