18
WebZine DME « Dessine moi un entrepreneur » JANVIER 2012 - LE RECUEIL DINFORMATIONS POUR LES ENTREPRENEURS Marketing……………………...…….p.2 Gestion - Finance…………...……..p.3 Stratégie & Développement …..p.4-5 E-Commerce……...……………...p.6-7 Jeux……..…………….….......…...p.15 Clair comme une image………...p.16 Partenaires………………………...p.17 Rédaction : BALDI Stéphane Pour nous contacter, Pour une publicité ou Pour un article : [email protected] WebZine DME 71 rue saint nicolas 57800 Freyming Merlebach 0.662.605.605 A qui s’adresse le régime Quelles conditions ? Quelles spécificités ? Comment devenir auto-entrepreneur ? Comment sortir du statut ? Quels sont les taux de cotisations et de l’impôt sur le revenu ? Un point sur les prestations sociales Quels sont les montants des Chiffres d’affaires ? Tout le dossier en page 8 S S PÉCIAL PÉCIAL A A UTO UTO - - ENTREPRENEUR ENTREPRENEUR Edito E n cette période de cri- se, de grands change- ments sont visibles dans notre société. I ls ont une relation directe avec l’entrepreneuriat. Prenons par exemple, les banques qui souhaitent dé- baucher à tour de bras, quelles seront les consé- quences de ces décisions sur les porteurs de pro- jets ? P renons un autre exem- ple, le statut d’auto- entrepreneur, sur qui on tire à boulet rouge… En France, nous sommes en train de tuer l’esprit entre- preneurial qui nous man- que tellement…Et pour- quoi ? Simplement en rai- son de lobby qui souhaite la disparition de ce statut. Dans toutes les formations que j’ai effectué on m’a toujours affirmé que la concurrence était un mo- teur … (sic) P our ce numéro 0, nous souhaitons montrer notre soutien à ce statut dans notre dossier spécial. E t enfin, nous vous sou- haitons une bonne et heureuse année 2012 et une bonne lecture… S.BALDI Dossier Spécial www.dessine-moi-un-entrepreneur.fr Et Si le Petit Prince était Entrepreneur ?

WebZine dme

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: WebZine dme

WebZine DME « Dessine moi un entrepreneur »

JANVIER 2012 - LE RECUEIL D’INFORMATIONS POUR LES ENTREPRENEURS

Marketing……………………...…….p.2 Gestion - Finance…………...……..p.3 Stratégie & Développement …..p.4-5 E-Commerce……...……………...p.6-7 Jeux……..…………….….......…...p.15 Clair comme une image………...p.16 Partenaires………………………...p.17

Rédaction : BALDI Stéphane

Pour nous contacter,

Pour une publicité ou Pour un article :

[email protected]

WebZine DME 71 rue saint nicolas

57800 Freyming Merlebach 0.662.605.605

♦ A qui s’adresse le régime ♦ Quelles conditions ?

♦ Quelles spécificités ? ♦ Comment devenir auto-entrepreneur ? ♦ Comment sortir du statut ? ♦ Quels sont les taux de cotisations et de

l’impôt sur le revenu ? ♦ Un point sur les prestations sociales ♦ Quels sont les montants des Chiffres

d’affaires ? Tout le dossier en page 8

SSPÉCIALPÉCIAL AAUTOUTO--ENTREPRENEURENTREPRENEUR Edito E n cette période de cri-

se, de grands change-ments sont visibles dans notre société.

I ls ont une relation directe avec l’entrepreneuriat.

Prenons par exemple, les banques qui souhaitent dé-baucher à tour de bras, quelles seront les consé-quences de ces décisions sur les porteurs de pro-jets ?

P renons un autre exem-ple, le statut d’auto-

entrepreneur, sur qui on tire à boulet rouge… En France, nous sommes en train de tuer l’esprit entre-preneurial qui nous man-que tellement…Et pour-quoi ? Simplement en rai-son de lobby qui souhaite la disparition de ce statut. Dans toutes les formations que j’ai effectué on m’a toujours affirmé que la concurrence était un mo-teur … (sic)

P our ce numéro 0, nous souhaitons montrer

notre soutien à ce statut dans notre dossier spécial.

E t enfin, nous vous sou-haitons une bonne et

heureuse année 2012 et une bonne lecture…

S.BALDI

Dossier S

pécial

www.dessine-moi-un-entrepreneur.fr

Et Si le Petit Prince était Entrepreneur ?

Page 2: WebZine dme

- Marketing - 2 Fidélisation clients : accepter de perdre pour augmenter la satisfaction d e vos clients...

L ’objectif de tout entrepreneur est de poser un cadre favorable à la création d’une relation “Gagnant-Gagnant“ (ou “Win-

Win”) avec chacun de ses clients. Mais dans certains cas, lorsque ce n’est pas possible, il est parfois judicieux de passer provisoire-ment à une relationGagnant-Perdant. Voici pourquoi.

Créer une rela-tion gagnant-gagnant

Élaborer une rela-t i o n G a g n a n t -Gagnant avec un client suppose de maî-triser tous les paramè-tres d’une vente.

En amont de la vente, cela signifie que :

• Vous proposez un produit ou un service en adéquation avec les attentes de vos clients • Vous avez mis en place une organisation sans faille pour assu-mer tous vos engage-ments • Vous avez mené une véritable réflexion quant à votre marge de manœuvre (prix, délais, quantité de tra-vail supportable par votre structure, facili-tés de paiement, suivi, conditions de rem-boursement…) pour que l’acte de vente vous apporte toujours un bénéfice Au moment de la ven-te, vous et votre client êtes également satis-faits : il profite d’un produit ou d’un service

qui a une valeur ajou-tée par rapport à ce que propose la concurrence, et, de votre côté, vous aug-mentez votre chiffre d’affaires. En aval de la vente, le suivi du client (ou le SAV) permet de gérer les éventuels problè-mes et d’y remédier pour que le client reste sur cette impression positive. En résumé, dans une relation Gagnant-Gagnant, chacun des deux partenaires ga-gne véritablement quelque chose.

Fidéliser grâce au concept Gagnant-Perdant

En prat ique, le concept Gagnant-Gagnant est parfois malmené par des éléments impré-vus qui viennent met-tre un grain de sable dans les rouages de votre machine.

Par exemple, une mauvaise estimation de la quantité de tra-vail à réaliser va géné-rer des retards, plus ou moins longs et par-fois même nuire à la

qualité de vo-tre prestation. De même, alors que vous n’êtes pas directement en cause, un produit peut présenter une malfa-çon, ou a r r i v e r c a s s é , alors qu’il était des-tiné à un é v è n e -m e n t spécial et important pour votre client (fêtes de fin d’année, anni-versaire….). A ce moment là, il y a deux possibilités : -Vous pouvez décider de minimiser l’er-reur, voire même de la nier, ou même de re-porter la faute sur un tiers (le fournisseur, le transporteur, le client lui-même qui n’aura pas suffisamment dé-taillé son projet….) Dans ce cas, vous allez rapidement basculer vers une situation Perdant-Perdant : votre client ne se sent plus consi-déré, estime qu’il a eu tort de vous faire confiance, et il se tour-ne alors vers un de vos concurrents. De

votre côté, vous per-dez un client… - Vous admettez votre

erreur, en expliquant p o u r q u o i elle a été c o m m i s e , et vous pro-posez à vo-tre client

une compensation Vous n’êtes plus dans d u G a g n a n t -Gagnant mais vous sortez du Perdant-Perdant : c’est ce que l’on appelle parfois le Gagnant-Perdant . En reconnaissant qu’il y a eu un problème et en consentant un ges-te commercial, vous faites plus d’efforts que prévu pour une même vente mais, en montrant à votre client que vous vous intéres-sez à lui, vous évitez de le perdre. Il s’agit donc d’une situation transitoire pour se repartir sur les bases saines d’une rela-t i o n G a g n a n t -Gagnant .

Gautier-Girard

le concept Gagnant

-Gagnant est par-

fois malmené par

des éléments im-

prévus

Page 3: WebZine dme

Evaluer consiste à apprécier ce qui fait la valeur de l’entre-prise non à fixer le prix ! Une fois les différents diagnostics réalisés, le dirigeant est à même de lister les points forts et les points fai-bles de l’entreprise et peut alors porter sa réflexion dans les deux directions : élé-ments positifs et élé-ments négatifs.

Qui peut réaliser une évaluation ? Si possible un profes-sionnel compétent et « neutre » par rapport

aux deux interlocu-teurs en présence. Comme nous l’avons vu, les méthodes utili-

sées pour évaluer une entreprise sont extrê-mement variées et se fondent sur des vi-

sions différentes de l’entreprise : vision patrimoniale, vision de sa rentabilité futu-re, etc. Elles doivent être manipulées avec précaution et seront plus sûres si elles sont utilisées par un professionnel com-pétent ayant déjà une bonne expérien-ce de ce genre d’exercice. Toutefois, il ne faut

pas oublier que l’en-treprise doit beaucoup à son dirigeant et que sa valeur est liée éga-lement à la personnali-

té de ce dernier et de son équipe de travail. L’évaluation inclut donc une part de sub-jectivité par nature dif-ficile à chiffrer. Tout ce travail de pré-paration peut para-ître bien lourd quand on a une entreprise à gérer au quotidien. Et pourtant, il est in-dispensable ! « Dessine moi un en-

trepreneur »

- Gestion & Finance - 3

Valoriser une entreprise et les différentes méthodes

Méthode Les « plus » Les « moins » Usage typique

Patrimoniale Constitue une bonne référence pour enca-drer le prix.

Méthode statique qui n’intègre pas la no-tion de rentabilité.

S o c i é t é « moyenne » et sta-ble. Evaluation d’al-ternatives.

Comparative(barèmes)

Simple d’utilisation. Fourchettes larges. Nécessité de recou-rir à d’autres analy-ses.

Commerce, artisa-nat.

De rentabilité Econom iquem ent f o n d é e . Permet de définir le montage approprié.

Ne facilite pas la discussion entre re-preneur et cédant (choix de multiple ou de taux ressenti comme arbitraire).

Acquisition nécessi-tant le recours à un emprunt remboursé par les résultats de l’entreprise.

Vous n’êtes pas encore décidé à vendre ? Qu’à cela ne tienne… dites-vous qu’une opportunité de rachat de votre affaire peut se présenter à tout moment et qu’avoir une entreprise « préparée à être cédée » est une bonne garantie pour en tirer le meilleur parti et choisir en toute liberté. Sans oublier que personne n’est à l’abri d’un coup du sort ! L’ensemble des points forts et faibles de l’entreprise sert de base à l’éva-luation de l’affaire, base de la négociation avec le repreneur potentiel mais …..

Page 4: WebZine dme

- Stratégie & développement - 4

Qu’est qu’une entrepri-

se ? Aussi étrange que cela puisse paraître, pour beaucoup « une entre-prise est un (ou plu-sieurs) endroit(s) dans lequel des gens sont rassemblés autour d’une activité ». Pour d’autres, un peu plus “experts”, ils complèteront par « adossée à un cadre juri-dique régissant … » STOP ! Dans la vraie vérité de

la vraie vie , une entre-prise n’est rien d’autre que quelque chose qui est entrepris et, pour qu’elle soit entreprise, il faut quelqu’un ou quel-ques-uns qui l’entre-prennent. Fondamentalement, vo-tre voisine qui fait de la couture pour quelques-uns de vos voisins ou le collectif de potes qui se retrouvent tous les di-manches matin pour al-ler à la pêche sont des entreprises. Et une en-

treprise, ça n’est rien d’autre et pas plus que cela. Bien sûr, beaucoup conviendront que nous venons d’enfoncer une porte ouverte et qu’il s’entend que lorsqu’un créateur d’entreprises se pose la question de la structure, il a déjà un projet tout autant qu’il possède la notion d’en-treprise au sens d’activi-té ! En est-on si sûr que cela ? Pour s’en convaincre il suffit de faire un test qui consiste à demander à ceux qui veulent monter leur en-treprise de nous exposer leur projet. Que va-t-il se passer dans une majorité des cas ? Si vous êtes un tout petit peu aguerri sur la notion de projet, vous allez découvrir que nos entrepreneurs, le plus souvent, ne vous au-ront exprimé qu’un brouillard d’informa-tions et qu’il vous aura fallu poser de nom-breuses questions pour mettre les projets

au clair — et surtout, tout, tout ce qu’il man-que pour en faire de vrais projets . Eh oui, « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement Et les mots pour le dire arrivent aisément » * ! Et ce se-rait bien la condition minimale pour com-mencer à se poser la question de “la struc-ture” .

Mais où est donc le

projet ? La technique la plus conventionnelle que l’hu-m a i n a d o p t e pour résoudre ses in-certitudes, ses indéci-sions, ses absences de clarté , c’est de cons-truire un emballage de surface et si possible le plus communément re-connu. Ainsi, il pourra « garder la face », il pour-ra annoncer fièrement à ses amis et ses parents qu’il a créé son “entreprise” et pourra facilement ranger dans la “boite à chaussures ” tout le fourbis de ses imprécisions et de

(Suite page 5)

On croise régulièrement des gens qui revendiquent l e titre d’expert expliquer à qui veut les entendre qu e la structure de l’entreprise serait une chose très imp or-tante. Encore une fois, il va falloir nous attaquer aux my -thes et, puisqu’il est question de structure, ce su jet conviendra très bien pour ébranler le mythe des “experts” tout autant que celui de l’importance de la s t r u c t u r e d e l ’ e n t r e p r i s e e l l e - m ê m e . A-t-on jamais vu un projet ne pas fonctionner parce que sa structure juridique n’était pas adaptée ? La réponse est non. Et la raison en est simple, ce n’e st pas la structure qui définit l’entreprise mais le p rojet.

Entreprendre, c’est se libérer de la structure, c’est privilégier le projet !

Réaliser un projet est un acte entre-preneurial… Voici les différentes étapes de la condui-te d’un projet.

Page 5: WebZine dme

- Stratégie & développement - 5 s e s r e l a t i v i t é s . Mais en réalité, la structure pénalise le projet car elle détourne l’attention de l’essen-tiel. Pourquoi alors des “experts” porteraient-ils trop facilement l’atten-tion des créateurs d’en-treprise sur la structure juridique de leur entre-prise — pas que d’ail-leurs, car également sur bien d’autres objets technocrat i-ques encore plus soporifi-ques et d’au-tant plus para-sites que le projet est en phase de ré-flexion ? Difficile de ré-pondre avec certitude mais rien ne nous empêche d’i-maginer que la p h a s e d e c o n s t i t u t i o n administrative comporte un avantage cer-tain pour les-dits “experts”, que ceux-ci émargent dans le public ou dans le privé. La phase de préparation du projet est la plus lour-de, elle nécessite des mois de maturation, de recherche, d’analyse, de test, de synthèse… Non pas pour évaluer les ris-ques, mais surtout pour s’en affranchir . Qui, en tant que porteur d e p ro j e t , po u r -rait f inancer les conseils de spécialis-tes sur le sujet, à part de rares projets portés

d’entrée de jeu par des financements importants du fait de leur filiation à des entreprises éta-blies ? Quels organismes d’état ou apparentés pour-raient les accompagner avec des conseils de spécialistes (qu’ils n’ont pas), sans compter que très peu de projets aboutissent à la constitu-tion de sociétés ?

La structure, l’eldora-

do des autres En regardant de plus prêt, les “experts” privés, en précipitant le côté technocratique de l’af-faire , peuvent facilement capter une partie du capital de départ , rapi-dement, et après eux, la fin du monde. Quant aux instances étatiques, il est clair que la mesure de leur perfor-mance est celle qui s’ef-fectue au droit de la

création et qui se fait à l’aune des constitutions d’entreprises, laissant les destructions d’entreprises sous laresponsa-bilité de leur gérant — à moins que les chiffres régulièrement évoqués par la classe politique soient seulement les plus flatteurs !

Ne mettez pas la char-

rue avant les bœufs ! Tout comme lorsque

vous cherchez un em-ploi, il vous sera deman-dé de « l’expérience », votre entreprise n’en sera une que lorsqu’el-le aura « agi ». Car pour « être », il faut avoir « fait » pour « ob-tenir » . Ceux qui concentrent votre attention sur votre structure, en vous lais-sant croire qu’il s’agit de la base de l’existence de l’entreprise , vous dévient du principe sim-ple que vous avez ob-

servé : on ne croit pas les gens à ce qu’ils di-sent qu’ils sont mais à leurs actes . Prenez le temps et d o n n e z - vo u s l e s moyens de tester votre projet, et en la matière, la structure la plus lé-gère — pour ne pas dire aucune structure — est probablement la

Page 6: WebZine dme

- E-Commerce - 6

P our vendre plus avec une boutique en ligne, il

faut analyser différents indicateurs : le taux de rebond, le taux de conversion, le taux de t ransformat ion….et le panier moyen.

Connaissez-vous celui de votre site e-commerce ? Si ce n’est pas le cas, vous devez regarder le montant moyen des commandes effec-tuées sur une période déterminée.

Il est très intéressant d ’ i d e n t i f i e r ce panier moyen pour deux raisons essen-tielles :

• vous pouvez effec-tuer des comparaisons par rapport aux pério-des similaires des an-

nées précédentes vous pouvez mesur concrètement si les

actions menées aboutissent à

une Augmentation de vo-tre panier moyen. Un panier moyen qui s’améliore augmente votre bénéfice lors-que la commande est finalisée et que les visiteurs se transforment en clients (à ce sujet, voir le dossier sur les réactions à avoir suite à un abandon de pa-nier).

Voici 3 conseils pour a m é l i o r e r v o -tre panier moyen :

Conseil n°1 : Propo-sez des réductions et des promotions

La page d’accueil de

v o t r e s i t e e -commerce doit être vivante : n’hésitez pas à présenter de nou-veaux produits mais

aussi à proposer ré-gulièrement des pro-motions et des ré-ductions . Elles vont inciter votre client à commander !

A vous de trouver le bon compromis entre

l’in-

térêt du client (payer le moins cher possi-ble) et le vôtre (conserver une marge intéressante) :

• Valorisez vos packs promotion-nels : vous couplez dans un même pack plusieurs produits c o m p l é m e n t a i r e s (exemple : le disque dur, l’écran et le logi-ciel anti-virus). Si le prix est plus attractif que les 3 produits achetés séparément, votre client sera tenté de prendre le pack. Associez vos rédu-tions à un montant d’achat minimum : l’attractivité de la ré-duction amènera le client à rajouter des p r o d u i t s à son panier pour en bé-néficier Conseil n°2 : Offrez les les frais de port Pour les frais de port,

(Suite page 7)

E-commerce : 3 conseils pour augmenter votre panier moyen

Page 7: WebZine dme

- E-Commerce - 7 il y a trois options à tester et à adapter en fonction de votre ci-ble : Les frais de port of-ferts Offrir les frais de port peut être un excellent argument commercial. Votre client sait qu’il n’aura pas de frais supplémentaires à payer, ce qui peut l’in-citer à ajouter des arti-cles supplémentaires dans son panier.

Les frais de port of-ferts sur une période restreinte

Un peu comme pour une opération promo-tionnelle, vous pouvez offrir les frais de port sur une courte période (fêtes, périodes impor-tante pour votre activi-té…) et coupler ou non cette gratuité avec d’autres offres promo-tionnelles. C’est un bon moyen de jouer sur la notion d’ur-gence et de montrer à votre client que c’est le bon moment pour acheter plus de pro-duits. Les frais de port of-ferts à partir d’un cer-

tain montant d’achat En fonction du pouvoir d’achat de votre cible, vous pouvez fixer un certain montant à at-teindre pour profiter des frais de port of-ferts.Cela optimise la rentabilité de l’opéra-tion et conduit en même temps vos

clients à augmenter l a v a l e u r d e leur panier .

Il faut toutefois veiller à ce qu’il n’y ait pas un écart trop important entre le prix de vente des produits et la gra-tuité des frais de port sinon vos clients vont avoir l’impression que

cet objectif est inac-cessible !

Conseil n°3 : Utilisez la technique des ventes croisées Le cross selling est une des techniques les plus efficaces qui soit : elle consiste à proposer des produits

similaires ou complé-mentaires sur la fiche produit que consulte votre client. Mais il faut être très vigilant quant au choix des produits proposés et surtout veiller à pro-poser une navigation très facile sur le site (menu apparent, pré-sence d’un fil d’Aria-ne, panier visible et consultable à tout mo-ment…) : votre client doit pouvoir revenir

facilement en arrière ou changer de rubri-que pour ne pas avoir le sentiment d’être « perdu » dans les ca-tégories.

Gautier-Girard L’art d’entreprendre

Ballade sur le net...

La Bibliothèque « Dessine moi un entrepreneur » Les Créations Pierre Maurin

Page 8: WebZine dme

- Doss ier Spécia l - 8

A qui s’adresse le statut d’auto -entrepreneur ?

T oute personne peut, sous condi-

tions, devenir auto-entrepreneur. Que ce soit à titre principal pour, par exemple, un chômeur qui veut se lancer ou à titre com-plémentaire pour un salarié du secteur pri-vé, un fonctionnaire ou

un retraité qui souhaite déve-lopper une activi-

té annexe en complé-ment de son salaire, de son traitement ou de sa retraite ou enco-re par un étudiant qui créé sa première acti-vité alors même qu’il poursuit ses études. Toutefois, cette activi-té doit être exercée sous forme d’entrepri-

se individuelle et rele-ver pour l’assurance vieillesse du Régime social des indépen-dants (RSI) ou de la Caisse interprofes-sionnelle de prévoyan-ce et d’assurance vieillesse (Cipav). Un entrepreneur indi-viduel déjà en activité peut, sous certaines conditions, opter pour le régime auto-

e n t re p re n e u r jusqu’au 31 dé-cembre 2011, s’il relève du RSI ou de la Cipav pour son assurance vieil-lesse pour une application au 1 er janvier 2012.

Quelles sont les conditions ?

L ’entreprise indivi-duelle doit relever

du régime fiscal de la micro-entreprise, c’est-à-dire réaliser un chif-fre d’affaires qui ne doit pas dépasser pour une année civile complète en 2011 : - 81 500 € pour une activité de vente de marchandises, d’ob-jets, de fournitures, de denrées à emporter ou à consommer sur pla-ce ou pour une activité de fourniture de loge-ment ; - 32 600 € pour les prestations de servi-ces relevant de la ca-tégorie des bénéfices industriels et commer-ciaux (BIC) ou des bé-

néfices non com-merciaux (BNC). L’entreprise est

en franchise de TVA (pas de facturation, ni de récupération de TVA). Attention : certaines activités sont exclues du régime fiscal de la micro-entreprise et par conséquent du régime auto-entrepreneur. Son t no tammen t concernées, les activi-tés relevant de la TVA i m m o b i l i è r e (opérations de mar-chands de biens, lotis-seurs, agents immobi-liers, opérations sur les parts de sociétés immobilières), les lo-cations d’immeubles nus à usage profes-sionnel, certaines acti-vités commerciales ou non commerciales

comme la location de matériels et de biens de consommation du-rable. Le régime auto-entrepreneur ne peut pas être choisi lorsque l’activité est exercée dans le cadre d’un lien de subordination pour laquelle seul le salariat doit être retenu. Le régime auto-entrepreneur ne dis-pense pas de l’obliga-tion : - de l’obtention d’une qualification ou d’une expérience profession-nelle pour des activi-tés telles que les mé-tiers du bâtiment, de l’automobile, de l’ali-mentaire, de la coiffu-re, de l’esthétique… , - de l’inscription au ré-pertoire des métiers (RM) pour les activités artisanales à titre

principal, - de la souscrip-tion d’une assu-rance profes-sionnelle pour certaines activi-tés, notamment pour le bâti-ment. Pour certaines activités artisa-nales, l’auto-e n t re p re n e u r est tenu d'attes-ter de sa qualifi-cation profes-sionnelle lors de sa déclaration de début d’acti-vité.

Page 9: WebZine dme

Lors de la créa-tion de l'entre-prise, l'auto en-trepreneur est dispensé d'im-matriculation au registre du commerce et des sociétés (RCS) et au ré-pertoire des métiers (RM). Toutefois, l'auto-entrepreneur qui crée une activité arti-sanale à titre principal, doit s'inscrire au RM. Il est dis-pensé du stage préalable à l'im-matriculation au RM. Il est également exonéré des frais liés aux formalités d'im-matriculation et, jusqu'à la fin de la 2e année ci-vile suivant cel-le de la création de son entrepri-se, de la taxe pour frais de cham-bre de métiers. Attention : l’arti-san ou le com-merçant déjà en activité qui souhaite deve-n i r a u t o -entrepreneur ne peut pas béné-

ficier de la dis-pense d’immatri-culation au RCS ou au RM. Les agents commer-

ciaux restent tenus de s’immatriculer au régi-me spécial des agents commerciaux auprès du greffe du tribunal de commerce dans le ressort duquel ils sont domiciliés. L’auto-entrepreneur bénéficie du régime micro-social simplifié. Ses cotisations et contributions sociales sont déclarées et cal-culées par lui-même

en appliquant un taux forfaitaire au chiffre d’affaires ou aux re-cettes réalisés. L’auto-entrepreneur est exonéré de la coti-sation foncière des entreprises l’année de la création de son en-treprise et les deux années suivantes. Il peut opter pour le versement libératoire de l’impôt sur le reve-nu, à condition que le revenu de son foyer fiscal ne dépasse pas 26 030 € par part de quotient familial en 2009, soit : - 26 030 € pour une

personne seule ; - 52 060 € pour un couple ; - 78 090 € pour un couple avec deux enfants. À qui s’adresse ce régime ? L’entreprise individuel-le doit relever du régime fiscal de la micro-entreprise, c’est- à-dire réaliser un chif-fre d’affaires qui ne doit pas dépasser pour une année civile complète en 2011 : - 81 500 € pour une activité de vente de marchandises, d’ob-

jets, de fournitures, de denrées à emporter ou à consommer sur pla-ce ou pour une activité de fourniture de loge-ment ; - 32 600 € pour les prestations de servi-ces relevant de la ca-tégorie des bénéfices industriels et commer-ciaux (BIC) ou des bé-néfices non commer-ciaux (BNC). L’entreprise est en franchise de TVA (pas de facturation, ni de récupération de TVA). Attention : certaines activités sont exclues du régime fiscal de la

micro-entreprise et par conséquent du régime auto-ent repreneur. Son t no tammen t concernées, les activi-tés relevant de la TVA i m m o b i l i è r e (opérations de mar-chands de biens, lotis-seurs, agents immobi-liers, opérations sur les parts de sociétés immobilières), les lo-cations d’immeubles nus à usage profes-sionnel, certaines acti-vités commerciales ou non commerciales comme la location de matériels et de biens de consommation du-rable. Le régime auto-entrepreneur ne peut pas être choisi lorsque l’activité est exercée dans le cadre d’un lien de subordination pour laquelle seul le salariat doit être retenu. Le r é g i m e a u t o -entrepreneur ne dis-pense pas de l’obliga-tion : - de l’obtention d’une qualification ou d’une expérience profession-nelle pour des activi-tés telles que les mé-tiers du bâtiment, de l’automobile, de l’ali-mentaire, de la coiffu-re, de l’esthétique… , - de l’inscription au ré-pertoire des métiers (RM) pour les activités artisanales à titre principal, - de la souscription d’une assurance professionnelle pour

(Suite page 10)

- Doss ier Spécia l - 9

Quelles sont les spécificités ?

Bon à savoir... La demande d’option pour le versement libé-ratoire de l’impôt sur le revenu doit se faire au plus tard le dernier jour du 3ème mois suivant celui de la création pour une appli-cation immédiate et avant le 31 décembre de l’année en cours pour une application l’an-née suivante.

Page 10: WebZine dme

- Doss ier Spécia l - 10

certaines activités, notamment pour le bâ-timent. Pour certaines activi-tés artisanales, l’auto-entrepreneur est tenu d'attester de sa qualifi-cation professionnelle lors de sa déclaration de début d’activité. Le versement libéra-toire est calculé en ap-pliquant sur le chiffre d’affaires ou les recet-tes un taux spécifique (1 % pour les ventes, 1,70 % pour les pres-tations BIC et 2,20 % pour les prestations

BNC). Il est payé en même temps que les cotisations et contribu-tions sociales. Le bénéficiaire de l’ai-de aux chômeurs créateurs ou repre-neurs d’entreprise (Accre) peut bénéficier en même temps du r é g i m e a u t o -entrepreneur. Dans ce cas, un taux spécifi-que pour le calcul des cotisations et contribu-tions sociales est ap-pliqué. Attention : le cumul avec d’autres disposi-t ifs d’exonération

(créateur qui reste par ailleurs salarié, instal-lation en zone franche urbaine ZFU, en zone de redynamisation ur-baine ZRU) n’est pas possible. Si l’auto-entrepreneur demande, au moment de la création de l’acti-vité, l’une de ces exo-nérations, il bénéficie-ra : - dans un premier temps de l’exonération applicable selon des modalités de déclara-tion et de calcul de droit commun (calcul des cotisations à titre

p r o v i s i o n n e l puis régularisa-tion sur la base du revenu pro-fessionnel); - puis, au terme de l’exonéra-tion, du calcul des cotisations sur le chiffre d’affaires à partir des taux forfaitaires ap-plicables à l ’ a u t o -entrepreneur.

(Suite de la page 9)

Comment adhérer au statut

D ans le cas d’une création, le plus

simple et le plus rapi-de est de remplir le formulaire de déclara-tion d’activité spécifi-que auto entrepreneur et de le transmettre en ligne sur lautoentrepreneur.fr, en joignant un justifi-catif d’identité. À défaut, la déclara-tion d’activité peut être : imprimée sur lautoen-trepreneur.fr et trans-mise au centre de for-malités des entrepri-ses avec un justificatif d’identité ; - ou effectuée auprès

du centre de for-malités des en-

treprises. Dans le cas d’un entrepreneur indi-viduel déjà en activité, le formulaire de la de-mande d’adhésion peut être également rempli et transmis en

ligne sur lautoentre-preneur.fr. À défaut, la demande d’adhésion peut être obtenue au-

près : - du centre de paie-ment du régime social des indépendants (RSI) ou de la caisse RSI pour les activités artisanales et com-merciales ; - de l‘Urssaf ou de la caisse RSI pour les activités libérales. Au moment de l’adhésion, l ’auto-entrepreneur choisit de déclarer et payer ses cotisa-tions et éventuelle-ment l’impôt sur le re-venu mensuellement ou trimestriellement. L’auto-entrepreneur doit systématiquement compléter et adresser sa déclaration. En l’absence de chiffre

d’affaires (CA), il doit mention-ner un CA nul pour la période concernée. La déclaration et le paiement s’ef-fectuent : - sur lautoentre-preneur.fr - ou par voie postale auprès du centre de paiement du RSI pour les ar-tisans commer-çants ou à l’Urs-saf pour les pro-fessions libérales.

Bon à savoir... Les cotisations so-ciales et les charges fiscales sont calcu-lées à titre définitif et ne font, en aucun cas, l’objet d’une régularisation.

Page 11: WebZine dme

- Doss ier Spécia l - 11 Comment sortir du dispositif ?

L ’ a u t o -entrepreneur

peut choisir de sortir du disposi-tif volontaire-ment : - en effectuant une déclaration de cessation d’activité sur lautoentrepre-neur.fr ou au-près du centre de formalités des entreprises (CFE) compé-tent ; - en renonçant au régime micro social simplifié. Attention, la sor-

tie du dispositif est automatique en cas : - de dépasse-ment, l’année de

la création, des seuils applicables au régime fiscal de la micro-entreprise (81 500 eu-ros pour le commerce ou 32 600 euros pour les services et les acti-vités libérales)* ; - d'absence de chiffre d’affaires pendant 24 mois civils ou 8 trimes-tres consécutifs ; - de dépassement pendant deux années consécutives des seuils applicables au régime fiscal de la micro-entreprise (tout en restant inférieur à 89 600 euros pour le commerce ou 34 600

euros pour les servi-ces et les activités li-bérales); - de dépassement des seuils de 89 600 euros ou 34 600 euros* ; - d’option pour un régi-me réel d’imposition ; de déclaration d’une nouvelle activité hors champ du dispositif. * Dans ces deux cas, il bénéficie du régi-me micro-social sim-plifié jusqu’au 31 dé-cembre de l’année de dépassement, mais l’option pour le prélèvement libératoire de l’impôt sur le revenu cesse rétroactivement au 1 er janvier de l’année de dépassement. S i l ’ a u t o -

entrepreneur sort du dispositif, mais sou-haite poursuivre son activité, il doit s’im-matriculer, le cas échéant, au Registre du commerce et des sociétés ou au Ré-pertoire des métiers. Il ne bénéficie plus du régime micro-social simplifié et ses cotisations sont

calculées selon les règles de droit com-mun.

La Fédération des auto-entrepreneurs est une associa-tion Loi 1901. Créée en 2009, elle a pour voca-tion de promou-voir l’entrepre-neuriat et d’ac-compagner les créateurs d’en-treprises indivi-duelles dans la mise en œuvre de leurs projets.

Dédiée, de-puis l’origi-

ne, à l’auto-entrepreneur, elle s’a-dresse particulière-ment aux porteurs de projets et dirigeants de micro-entreprises. Son objectif est d’organiser une communauté d’entrepreneurs afin de mutualiser les res-sources et de favoriser les contacts et les re-lations d’affaires.

Bénéficiant d’une re-présentativité nationa-le ( plus de 40 clubs

départementaux en France), elle compte aujourd’hui plus de 20 000 membres (créateurs d’entrepri-se, prestataires de services, experts et partenaires) et affiche un objectif de 80 000 membres d’ici décem-bre 2011. L’ambition de la Fédération des auto-entrepreneurs est de devenir le réseau social d’entrepreneurs individuels de référen-ce en France.

La Fédération a égale-ment pour objectif de sensibiliser un large public à l’entrepreneu-riat ; les jeunes, les étudiants, les femmes, les seniors, les per-sonnes issues de quartiers sensibles, les personnes handica-pées afin que chacun puisse passer de l’i-dée à la mise en œu-vre d’un projet. federation-auto-entrepreneur.fr

Découvrir la Fédération des auto-entrepreneurs

Page 12: WebZine dme

- Doss ier Spécia l - 12

Quels sont les taux de cotisations et de l’impôt sur le revenu ?

Organisme de retrai-te Activités Régime micro so-

cial simplifié

Régime micro-social simplifié

avec options pour le versement libéra-toire de l’impôt sur

le revenu

RSI

Vente de Marchandises BIC 12,00 % 13,00 %

Prestations de services BIC 21,30 % 23,00 %

Prestations de services BNC 21,30 % 23,50 %

CIPAV Activités libérales BNC 18,30 % 20,50 %

Cas général

Bénéficiaire de l’ACCRE

Organis-me de retraite

Activités

1ère Période Jusqu’à la fin du 3è-

me Trimestre civil qui suit le début de l’ac-

tivité

2éme Période

Les 4 trimestres sui-vants

3éme Période Les 4 trimestres sui-

vants Au-delà

Sans op-tion fiscal

Avec op-tion fiscal

Sans op-tion fiscal

Avec op-tion fiscal

Sans op-tion fiscal

Avec op-tion fiscal

RSI

Vente de Marchan-dises BIC

3,00 % 4,00 % 6,00 % 7,00 % 9,00 % 10,00 %

Presta-tions de services

BIC

5,40 % 7,10 % 10,70 % 12,40 % 16,00 % 17,70 %

Presta-tions de services

BNC

5,40 % 7,60 % 10,70 % 12,90 % 16,00 % 18,20 %

CIPAV Activités libérales

BNC 5,30 % 7,50 % 9,20 % 11,40 % 13,80 % 16,00 %

Voir CAS

GENE-RAL

Page 13: WebZine dme

- Doss ier Spécia l - 13

Les prestations sociales

Maladie - ma-ternité, alloca-tions familiales L’activité d’auto-entrepreneur est l’activité princi-pale. L’auto-e n t r e p r e n e u r bénéficie : - de l’assurance

m a l a d i e -maternité, gérée par le RSI, pour les prestations maladie en na-ture identiques à celles des sala-riés (médicaments, soins, hospitali-sation…), le droit aux presta-tions indemnités

j o u r n a l i è r e s ( u n i q u e m e n t pour les artisans et commerçan ts )

soumis aux conditions habituelles des travail-leurs indépendants et les prestations mater-nité et paternité ; - des allocations fami-liales, gérées par la Caisse d’allocations familiales (Caf), avec des prestations identi-

ques à celles des salariés. L’activité salariée res-te l’activité principale et l’auto-entrepreneur : - reste affilié au régi-me salarié pour son assurance maladie-m a t e r n i t é (remboursements ma-ladie, prestations maternité/paternité et indemnités journaliè-

res salariées). bénéficie des presta-tions d’allocations fa-miliales, gérées par la Caf ou la Mutuelle so-ciale agricole (MSA). Retraite L’act iv i té d ’auto-entrepreneur est l’acti-vité principale : l ’auto-entrepreneur bénéficie de la retraite de base et de la retrai-te complémentaire, gé-

rées par le RSI (artisans, commer-çants) ou la Cipav (professions libérales). L’acquisition de droits relatifs à son activité d’auto-entrepreneur est fonction de son chiffre d’affaires. L’activité salariée res-te l’activité principale : l ’auto-entrepreneur acquiert également

des droits de retraite de base et de retraite complé-

mentaire au RSI (artisans, commer-çants) ou à la Cipav (professions libérales) pour son activité d’au-to-entrepreneur en fonction de son chiffre d’affai-res.

Organisme de retraite Activités

Validation Trim1

Validation

Trim2

Validation Trim3

Validation Trim4

CA mini CA mini CA mini CA mini

RSI

Vente de Marchandi-

ses BIC 6 207 12 4141 18 621 24 828

Prestations de services

BIC 3 600 7 200 10 800 14 400

Prestations de services

BNC 2 728 5 455 8 182 10 909

CIPAV Activités libérales

BNC 2 728 5 455 8 182 10 909

Montant des Chiffres d’affaire à effectuer pour val ider ses trimestres en €

Bon à savoir... Si vous exercez si-multanément une activité salariée et une activité d’auto-entrepreneur, la du-rée d'assurance pri-se en compte pour la retraite de base ne peut pas excé-der, tous régimes de base confondus, 4 trimestres par an.

La Bibliothèque « Dessine moi un entrepreneur » Les Créations Pierre Maurin

Page 14: WebZine dme

- Doss ier Spécia l - 14

Toutes ses informations sont issues du site « Portail des auto-entrepreneurs »….

Page 15: WebZine dme

- Jeux- 15

HORIZONTALEMENT 1. Trouble mental. 2. Répare. 3. Demeures divines. - Poème narratif. 4. Tête de huguenot. - Qui se plaît sous le 3 horizontal. 5. Tout comme. 6. Grenoblois. - Issu aux extrémités. 7. Hallucinogène. - Pronom personnel. - Pas mauvais, dans le fond. 8. Coutumes. - Tout est simple quand il n'y en a pas. 9. Lances une action en justice. - Insecte. 10. Récipient plein d'eau, surtout à droite. - Condamné à Nicée.

VERTICALEMENT 1. Veillot. 2. Infligeasse des discours. 3. Glace en Irlande. - Souvent, la victoire vient au troisième. - Possessif. 4. Zèbre le 3 horizontal. - A la queue! A la queue! 5. Redoutées des apiculteurs. 6. Prémisse d'amitié. - Gaussiez. 7. Marque déposée. - Ceux-là - Gonflé quand on n'en manque pas. 8. Comme une saveur marine. - Se fit ouïr. 9. Fameux scandinave. - Chante comme un Suisse. 10. Bien propre. - Toutes les paillasses

Page 16: WebZine dme

- Clair comme une image - 16 Comment gérer un projet et ses différentes étapes… Si vous souhaitez échanger sur ce document Connectez-vous au Forum « Dessine moi un entrepreneur ». http://dessine-moi-un-entrepreneur.fr/ - Rubrique FORUM

Page 17: WebZine dme

- Partenaires - 17

La MISE EN RÉ-SEAUX de notre As-sociation d’Intérêt Éco-nomique loi 1901 d’Entrepreneurs (Créateurs/ Entrepre-neurs ; Contrôleurs de gestion ; Experts/ Spé-cialistes) – sans but lucratif pour elle-même et ses dirigeants, à buts lucratifs pour ses membres – est SANS CONCURRENCE. C’est une PÉPINIÈRE de FRANCHISES – ou toutes autres formes de réseaux (associations, scop, etc.) – PARTICIPATI-

VES : les Membres de l’association de-venant avec le SFMIE, à l’issue de la période de Pilota-ge, Franchiseurs-Associés . Les porteurs de pro-jets, les entrepreneurs, les contrôleurs de ges-tion, les experts et spécialistes du déve-loppement des entre-prises peuvent nous rejoindre. Une seule condition : Partager notre philosophie en-trepreneuriale. MUTUALISATION DES COMPÉTEN-CES, notre devise : S’UNIR pour RÉUS-SIR et partager cette réussite CRÉER DES RÉ-

SEAUX EN SYNER-GIE, pour en faire – en fin de Pilotage réussi – des MODÈLES FIA-BLES à suivre, TOUS SECTEURS ÉCONO-MIQUES et TOUS STATUTS. Pilotage de Concepts et non Pilotage d’En-treprises. Système économique conçu par Mme Dufresnoy, Édi-trice de Concepts à expérimenter en Pilo-tage. Son interview, podcast à écouter sur radioentreprise

Signification du sigle SFMIE (à prononcer « et c’est fait mieux », licence « poéticonomique » et mnémotechnie) : SOUTIEN FORMA-TEUR de MODÈLES

INTERACTIFS d’ENTREPRISES. CRÉER ou RE-

JOINDRE un RÉSEAU naissant, SANS CAPI-TAL à débourser : Il y a moins de risques à créer une entreprise à plusieurs, aidés en ce-la – si besoin est – par des personnes quali-fiées, il est tout à fait logique ensuite que le modèle mis au point soit proposé au plus grand nombre et d’en RECEVOIR à terme une légitime RÉTRI-BUTION.

PILOTAGE Dufresnoy-SFMIE : un système économique unique et novateur

CRÉER DES RÉSEAUX EN SYNERGIE, pour en faire – en fin de Pilotage réussi – des MODÈLES FIABLES à suivre, TOUS SECTEURS ÉCONOMI-

Programme de Janvier 2012

du 7 au 8 Le 7 du 20 au 22

du 20 au 22 du 24 au 26

Page 18: WebZine dme

- Les Clubs & Réseaux -