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Ecole supérieur de technologie-Fès Département de Génie Electrique Option :réseaux et télécommunication  Rapport du stage technique Thème : Configuration dun réseau VPN basé sur la technologie MPLS Réalisé à : COSUMAR ksibia Par : Yassine TAZOUTI Encadrant ESTF : Encadrant de stage : Mustafa fathi Année universitaire 2010 /2011

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Ecole supérieur de technologie-Fès

Département de Génie Electrique

Option :réseaux et télécommunication 

Rapport du stage technique 

Thème :

Configuration dun réseau

VPN basé sur la technologie

MPLS

Réalisé à :

COSUMAR ksibia

Par :

Yassine TAZOUTI

Encadrant ESTF :

Encadrant de stage : Mustafa fathi

Année universitaire 2010 /2011

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Rapport de stage technique GER&T

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 Je rends, grâce à DIEU et dédie ce travail:

 A mes parents, pour leurs soutien inconditionnels et de leurs précieuxconseils.

 A nos encadrants de stage, et tous les conducteurs et les ouvriers de la

chaufferie de SURAC. A mes chers frères, surs et amis.

 A toute la promotion 2009-2011 Génie thermique et énergétique.

 A tous les enseignants qui ont contribues à notre formation.

 A tous ceux qui ont participé de prés ou de loin à notre cursus scolaire.

 

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Rapport de stage technique GER&T

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 J'exprime mes sincères remerciements à toutes les personnes qui, de prés ou

de loin, de par leurs actes ou conseils, ont contribué à la réalisation de ce projet.

 En l'occurrence, je tiens à citer en particulier:

� Notre encadrants de stage et de l¶ESTF , ainsi notre coordinateur de filières Mr 

 Mourad 

� A tous les travailleurs de la SURAC notamment ceux de la CHAUFFERIE.

� Tout les professeures de notre filière.

 

Remerciements

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Rapport de stage tec  

¡ ¢ £ ¤    e GE R&T 

 

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 Introduction

Dans le but de mieux compléter nos  connaissances et de les utiliser afin

détudier une problématique existante dans le milieu industriel, on est appelé à

mettre  en pratique le  savoir et le  savoir -faire accumulée lors des années 

détudes. 

Au cours de la période de stage, jai menu létude dun sujet de calculer le 

Bilan énergétique et le rendement dune c¥  

audière a bagasse , dont lobjectif de 

localiser les diff érentes pertes et anomalies de fonctionnement et Améliorer d es 

performances énergétiques de linstallation . 

De ce fait le présent rapport sera structuré comme suit :

  Le c¦  

apitre 1 présentera la société SURAC ksibia ainsi que le procédé de 

fabrication du sucre.  

 Le c§  

apitre 2 sintéressera sur le service informatique et une Présentation

dune solution pour amiliorer la liaison VPN a Laide de MPLS  

  Le c ̈ 

apitre 3 : Présentra le theme de ce stage pour la configuration du VPN

citer . 

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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Chapitre I  :  Int ©   

  

   ti   n 

I.  Présent ti n générale du SUR C de Dar Gueddar i :««««««««...«8 

1)  Hist r i ue de la societé :  ................................ ................................ ........ 8 

a)  Information générale :  ................................ ................................ .............. 8

 b)  Structure et Organigramme : ................................ ................................ ....8 

II. Cycle de production : ..9

 

C    

   it    

2 :

 Présent   ti

  n des moyens d¶ in f ormation chez C osumar 

 Recherche du Per  f ormance pour améliorer l e VP  N  

 

Sommaire

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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 I.   P résentation générale du SURAC de Dar Gueddari : 

1)  H i st or i   ue de l a societ é : 

a) In f ormation général e : 

SUCR R IE R  INER IE DE C  NNE DU Ghar  b (SUR C), est un éta blissement 

semis pu bli ue industr iel. Il a été fondé par les français en 1980, sur une superf icie de

10 hectares à Dar Gueddar i , à 50 Km de kenitra.

Cette situation à été choisie prés du Oued BEHT du fait qu¶elle lui permet 

L¶utilisation de L¶eau de cet Oued et que la région du Ghar  b produit la canne à sucre.

SUR C à démarré en 1981 avec une capacité de traitement qui s¶él ve à 3500 t /jour de

canne à sucre.

L¶éta blissement emploie des personnes permanentes et d¶autre saisonni res, les

saisonni res sont em bouchées chaque année pour une durée de si mois qui correspond

à la pér iode de la compagne, alors que les permanents travaillent durant la compagne ; et aussi pendent les si mois d¶entretien de l¶usine. Parmi ces derniers on trouve ; les

ingénieurs, les contre-maîtres, les techniciens et les employés.

 Statut juridique et économique : 

o  Société anonyme au capital de : 296  926  800 DH .

o  Elle appar tient au secteur secondaire : Sté de production de sucre.

o  Si ge social : MINISTER E DE L¶INDUSTR IE DU COMMERCE ET 

D¶AR TISANAT.

o  Administration : Dar Gueddar i, commune ksi bia BP.78 Sidi Yahya du

Ghar  b. Tél. :  0537 31 09 64

Fax :  0537 37 00 37

o  structure interne : (voir l¶organigramme) .

 

Chapitre I  

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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Directeur général de  

l usine KSAIBIA 

Ch ef de service fabrication 

Ch ef de service de  

conditionnement  Ch ef de service administratif  

L¶organigramme montre  bien que la société a une structure hiérarchique, ou il y a une

concentration du pouvoir au directeur général, une séparation des tâches qui sont au

même temps complémentaire et communicatives pour assurer sa  bonne continuité et sa

 prospér ité.

b)  Structure et Organigramme :

O uvriers  

O uvriers  

Sucre granulé de 1kg et 2 Kg 

Stockage 

de sucre 

C ontre maître 

Mac h ine lingots 

Mac h ine 

morceaux  

C ontre maître 

O uvriers  

C ontre maître 

Agent maitrise 

C ontre maître 

O uvriers   O uvriers  

Agent maitrise 

Réception ;mouli 

n ;épuration 

évaporation ;cris 

tallisation ;centr 

ifuge,

Labo contrôle 

Agent maitrise  Contre maitre Agent maitrise 

ouvrier ouvrier

Personnel ; 

social ; 

commercial 

Magasin 

 général 

infirmerie 

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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II.  Cycle de production :

Le pr inci pe du cycle de production est de mouler la canne pour extraire le jus, le

f iltrer et le cr istalliser pour o btenir en f in les cr istaux de sucre.

Centre de réception de 

la canne 

Cour à canne 

Préparation de la canne 

Moulins 

Eau chaude 

dimbibition

Bagasse 

Centrale 

chauff erie 

Epuration

Neutralisation

Jus 

mélangé 

Lait de chaux

Chaux vive et

préparation du

lait de chaux

Ecumes 

Evaporation

Jus épuré 

Vapeur

Electricité 

Condensats 

Eaux condensées 

et vapeur

chauffages et

cuites cond. Baro. 

Sirop

Cristallisation

Mélasse 

Epuration raffinerie 

Lait de 

CaO

Sucre roux

CO2 

CO2 

chauff erie 

Cristallisation

raffinerie Egouts recyclés 

Vapeur

Boues 

Excédent

bagasse 

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Rapport de stage technique GER&T

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1 -  R ti   de l  canne :

La réception de la production de la canne à sucre est la première étape du circuit de

la production du sucre, à l¶entrée on trouve quatre ponts bascules dont deux servent au

 passage des camions au poids brut et les autres pèsent les camions au poidstard afin

d¶avoir le poids net de la charge transportée et on trouve aussi laboratoire de contrôle

qui permet d¶apprécier la qualité de la canne selon la procédure suivante:

   Echantillonnage effectué par une sonde.

   Broyage.

  -Presse hydraulique d¶un échantillon de 500g sous pression de 250 bars.

  -analyse du jus de pression pour en déterminer le prix et la teneur en

 sucre).

- C  à canne :

C¶est le lieu de déchargement de la production réceptionnée, dans cette cour existent

deux grappins fonctionnant en alternance: la première s¶occupe de l¶opération de

stockage de la canne et la deuxième ravitaille les tables d¶alimentation qui contiennent

un convo eur qui ramène la canne aux persiennes. La canne est transportée alors vers la

coupe canne primaire puis vers le finisseur (l¶négateur).enfin elle se transporte par un

 

Séchage et

conditionnement

sucre blanc

CO2 chaufferie vers épuration

raffinerie

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Rapport de stage technique GER&T

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convo eur qui passe sous deux niveleurs qui règlent, à leur tour, le niveaude la canne à

destination d¶un séparateur magnétique qui re jette les corps étrangers.

 

3 -Ex t  acti  ns :

Cette opération consiste à extraire le jus à partir des cannes bro ées à l¶aide de cinq

moulins entrent en action: le jus du 5ème moulin est refoulé à la 4ème, le jus du 4ème 

moulin est refoulé à la 3ème

, le jus du 1er et du 2ème moulin est refoulé vers le tamiseur.Celui-ci filtre la bagasse restante qu¶est envo é vers les chaudières comme combustible,

et laisse passer le jus pour procéder à la phase d¶épuration.

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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4 - E   purations : 

Une fois le jus extrait provenant du premier moulin (PH=5,5) est f iltré et pesé par une  balance de jus,  il sera ramené dans un  bac de pré-chaulage en vue d¶augmenter  le

PH du liquide pour atteindre PH=6,2.

Le jus pré chaulé arr ive au premier réchauffeur réglé à 75°C, puis revient dans un  bac de

chaulage, puis pompé au 2ème

réchauffeur à une température de 103°C pour que les

impuretés soient enlevées du jus chaulé et  tom bent dans un  bac d¶attente où d¶autres

matières seront ajoutées.

Ce liquide est acheminé décomptage et ainsi o btention d¶un jus clair , puis sera pompé à

la station d¶évaporation.

5 - Evaporation :

 L¶¶évaporation est une opération qui consi st e à dégager une par tie d¶eau cont enue

dans l e jus (concent rer l e jus) a l ¶aide de cinq caisses d¶évaporation qui fonctionnent à

quatre effets. Un corps de réserve pour le nettoyage et pour assurer un travail continu de

l¶évaporation. La vapeur d¶échappement au niveau des alternateurs et des tur  bines à

vapeur (128°C,  1.5 bar ) alimente la première caisse .la vapeur dégagée par  le jus

alimente la deuxième caisse et ainsi de suite. Le dernier corps est relié à un condenseur 

menu d¶une pompe à vide, qui permet d¶a baisser  la pression de caisse en caisse,  le

dernier effet étant sous vide.

 Le br i!   d¶ent rée du premier corps est de l ¶ordre de 10% et  l e br i!   de sor tie du dernier 

corps est de 65%.(Br i!   c est  l e pourcent age des mati"  

 

res sèches de 100g). 

6 -Cristallisation :

Séchoir/ref roidisseur rotatif  combiné pour sucres 

Description De L'installation

L'unité com binée est dotée de zones de séchage et de refroidissement, 

chacune aménagée pour fonctionner à contre -courant. Ce système est 

normalement utilisé lorsque le produit ne renferme pas suff isamment dechaleur pour permettre le séchage, c. -à-d. généralement lorsque la

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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température du produit est infér ieure à (55 °C) et que l'humidité

atmosphér ique est élevée.

L'air de séchage f iltré et chauffé est introduit par un tu be central isolé par la

section de refroidissement. L'air de refroidissement am biant/conditionné

f iltré est introduit directement par le côté décharge du tam bour. L'air chauffé se mélange à l'air évacué de la zone de refroidissement pour fournir 

la température de séchage requise, utilisant ainsi pleinement la chaleur en provenance de la zone de refroidissement (ce qui minimise l'appor t 

thermique additionnel et réduit le volume total d'air ).

Une petite quantité d'humidité peut être retenue dans la zone de séchage et rendre possi ble un cer tain degré de refroidissement évaporatif lorsque le

 produit chaud est refroidi.

Le produit humide est acheminé à la zone de séchage par une goulotte (ouvis) inclinée. Des au bes hélicoïdales placées dans l'or if ice d'admission du

séchoir transf èrent rapidement la matière dans une sér ie de releveurs dety pe « en dents de scie » répar tis sur la pleine longueur des zones de

séchage et de refroidissement. Le produit soulevé du lit tom be en cascade(ou en r ideau) lorsque l'angle dynamique de repos est atteint dans chaque

releveur pendant la rotation du séchoir/refroid isseur.

Le produit f inal, en contact avec l'air am biant/conditionné, quitte la zone de

refroidissement par une hotte de décharge du produit / admission d'air com binée.

L'air d'évacuation (un mélange d'air de séchage et de refroidissement, et devapeur d'eau), quitte la zone de séchage par une gaine

d'alimentation/évacuation com binée et est acheminé vers un collecteur 

humide à ventur i et un ventilateur d'évacuation centr ifuge. L'eau sucrée et toute matière sèche recueillie sont retournées au procédé.

L'air propre est évacué à l'air li bre par un conduit d'échappement montédirectement au-dessus du collecteur humide.

10.2 : Système à ventilateur

Le système de  base est le même que celui qui est décr it ci -dessus.

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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Dans le système à ventilateur , toutefois, le ventilateur d'évacuation doit 

aspirer l'air de refroidissement au travers de l'admission, des f iltres, del'appareil de chauffage de l'air , du refroidisseur à lit f luidisé et du collecteur humide / sacs f iltrants. Dans ce cas, l'étanchéisation de l'admis sion et de

l'évacuation est nécessaire, l'avantage étant que l'air am biant n'est pas

chauffé par le ventilateur à tirage forcé, et que le dé bit d'air et la taille del'unité sont en conséquence moindres.

11 : Description De L'installation

L'installation se compose d'un séchoir/refroidisseur rotatif à contre-courant 

suivi d'un refroidisseur à lit f luidisé. Cette installation est normalement utilisée lorsque le produit sec doit présenter une température de moins de

(37°C à 40°C).

Le séchoir rotatif est conçu pour éliminer la majeure par tie de l'humiditétout en refroidissant le produit à environ (40 °C) (par refroidissement 

évaporatif dans la mesure du possi ble). Une petite quantité d'humidité peut être retenue pour élimination f inale dans l'unité à lit f luidi sé, ce qui réduirait 

ty piquement la température du produit à environ (20 °C à 30 °C) (selon lesconditions am biantes).

Le produit humide en provenance des centr ifuges est acheminé au séchoir rotatif par une goulotte (ou vis) inclinée. Des au bes hélicoïdale s placées

dans l'or if ice d'admission du séchoir transf èrent rapidement la matière dansune sér ie de releveurs de ty pe « en dents de scie » répar tis sur la pleinelongueur du séchoir.

L'air am biant f iltré et chauffé est fourni au séchoir/refroidisseur rota tif par 

un ventilateur à tirage forcé. Le produit en contact avec l'air à contre -

courant quitte le séchoir par une hotte de décharge du produit / admissiond'air com binée.

La matière sèche et par tiellement refroidie qui quitte le séchoir/refroidisseur rotatif est transférée au refroidisseur à lit f luidisé, qui utilise un système à

tirage équili bré pour parer à la nécessité d'une étanchéisation.

L'air propre est évacué à l'air li bre par un conduit d'échappement montédirectement au-dessus du collecteur humide / sac f iltrant.

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12 : Humidification de sucre 

y  L¶humidif ication du sucre : 

Le sucre sec est acheminé par  bande transpor teuse jusqu'à l¶intér ieur 

d¶une trémie qui va le deviser dans in réservoir. A l¶intér ieur de ce dernier , 

il ya une vis en rotation qui va mélanger le sucre avec l¶eau pour 

l¶humidif ier .le sucre humide retom be ensuite dans une trémie alimentant la

mouleuse.

y  Le moulage : 

Le sucre humidif ie arr ive tout d¶a bord dans la  boite a  bar  botins qui 

 permet de mélanger et de repar tir les sucre dans le  bloc de moulage en

rotation. Le sucre est compresser par des rampes .le démoulage se fait par 

l¶action des rampes de vidange,  les sucres sont ainsi déposés sur les plaques

en aluminium qui circulent sur le tapis infér ieur.

y  Le séchage et refroidissement : 

Apres le moulage, les plaques transpor tant les sucres (morceaux et 

lingot) entrent dans une grosse étuve ver ticale ascendante (nor ia qui permet 

de les assécher. une fois en haut de l¶étuve .les plaques passent sur un tapis

supér ieur qui les acheminent vers une autre étuve ver ticale descendante, 

chargée de refroidir le sucre.

y  La mis en  boite : 

Les plaques, arr ivées en  bas de la nor ia, sont poussées sur le tapis

infér ieur et se dir igent sous la main pneumatique qui va prendre les sucres par préhension et va les déposer dans une  boite préala blement mise en

forme par la machine ICBO. Tout se passe en circuit fermé, on appelle

groupe Cham bon l¶ensem ble des éléments du moulage jusqu'à la mise en

 boite.

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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7- E  puration Raffinerie :

C¶est  la phase liant  la cr istallisation sucrer ie et celle raff iner ie ; elle la pour   but 

l¶élimination le maximum possi b

le des impuretés restantes et  les colorants qui empêchent d¶o btenir un joli sucre  blanc commercial.

C¶est  le sucre A refondu plus le sucre roux livré par  la sucrer ie de M.Belksir i qui 

su bissent ce traitement. le sucre roux avec celui ramassé du magazine de sucre (sucre

salé) sont refondus ensem ble puis ils sont envoyer au  bac de refonte ou ils être

incorporés avec le sucre A refondu ; à par tir de ce  bac le circuit de l¶épuration raff iner ie

va dé buter en adoptant le procédé suivant : 

Chaulage Car  bonatation réchauffage- première-f iltrationdeuxième-f iltration

Le chaulage s¶effectue de la même manière que dans l¶épuration sucrer ie et pour le

même  but sauf qu¶il n¶y a pas de préchauffage.

Ensuit,  le sirop de refonte chaulé soumis à l¶action du gaz car  bonique (CO2) dans

trois corps de car  bonatation c¶est-à-dire que la sucrer ie adopte la tr i ple car  bonatation et 

cela pour s¶assurer que l¶élimination des impuretés et des colorant par l¶action de CO2 

soit aussi complète d¶une par t, d¶autre par t, si on pousse l¶action de CO2 jusqu¶au  bout, 

on r isque de décomposer les sels de chaux insolu bles formé, qui seraient ainsi remis en

solution dans le jus.

Le CO2 utilisé est celui provenant des fumées de la chaudière.

La car  bonatation se fait en continue tel que la refonte circule de caisse en caisse et pour 

cela en respectant plusieurs paramètres.

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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Chapitre 2 

 Présent ation des moyens d¶ in f ormation chez C osumar :

Avant 2005 cosumar de ksibia disposait dun parc informatique composé essentiellement de deux serveurs AS400 plus des terminaux, dans la perspective 

de la mise à niveau du système dinformation, ce parc a été renforcé par deux

serveurs HP et quelques trentaines de PC

postes de travails de nouvelle génération ainsi quune vingtaine dimprimantes,

aussi, la liaison VPN entre lusine et la Direction a permis à l ensemble du réseau

cosumar de ksibia dêtre connecté à Internet via u n accès ADSL PRO 512Kb.  

Ce debit nous donne une description sur les protocoles faible utiliser pour lier les 

diff erent site du goupe ONA mais contrairement a un VPN basé sur une 

communication a laide des label c est le MPLS le debit peux atteindre 20 

Mbits

#  

s. Quand aux moyens logiciels, la gestion de cosumar de ksibia reposait sur une 

application AS400 dépassée par les besoins logistiques de lentreprise, or, la

Direction sest investie dans limplémentation dun nouveau système 

dinformation répondant aux besoins actuels de la gestion de cosumar de ksibia . 

De plus, un renouvellement des PABX de lusine et de la Direction avec une 

liaison spécialisé permettra et doptimiser le coût des télécommunications 

interne et de centraliser laccueil et la réception d es contacts de la clientèle.  

 Recherche du Per  f ormance pour améliorer l e VP  N  

Plus personne aujourd'hui ne peut contester le succès d'IP et de l'Internet. Le 

trafic continue sa progression géométrique à un rythme qui ne faiblit pas. 

Toutefois, ce succès nest pas sans soulever des problèmes.  

Laugmentation du trafic et, par conséquence, du débit des circuits physiques 

pose tout dabord un problème pour larchitecture classique dun réseau IP. 

Lextension des tables de routage et le traitement des  segments IP limitent la

capacité des routeurs classiques. Aussi a-t-on cherché à faire évoluer le 

routeur vers un commutateur dont lATM avait démontré lintérêt au point

de vue performance. Cest dailleurs une intégration des fonctions de routage 

IP avec les fonctions de commutation de lATM qui a constitué la genèse du

"label switching". 

La recherche de performance nest que lun des aspects qui marquent

aujourdhui lévolution de larchitecture IP. Le succès de l'Internet et son

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Rapport de stage technique GE R&T 

 

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caractère universel l'oblige à prendre en considération l'ensemble des 

applications et en particulier les exigences de qualité de service des 

applications non élastiques.  RSVP, IntServ  sont les réponses de lIETF à cette 

recherche de qualité de service. Ici encore, dans la phas e initiale, lATM a

 joué un rôle essentiel et ce nest pas un hasard si la presque totalité des 

fournisseurs de service Internet ont dabord choisi l'ATM pour le coeur de leurs réseaux. 

Mais cette approche a aussi ses limitations et le réseau IP, tout en cherchant

à rester indépendant des technologies, se devait de reconnaître la nécessité 

de sappuyer dans la couche réseau sur des connections virtuelles. MPLS, à

travers le concept de LSP (Label Switched Path) permet lintroduction de 

cette connection virtuelle dans la couche réseau, un label pouvant être 

associé tant à un flot applicatif quà un agrégat de trafic requérant le même 

traitement de lentrée à la sortie. De plus, MPLS est capable dutiliser non

seulement les liaisons point-à-point mais les technologies des couches 1 et 2 

telles que ATM avec ou sans SDH, SDH sans ATM et peut-être, plus tôt que 

prévu, la commutation optique.  

Revenant à larchitecture de la couche réseau, MPLS permet de corriger les 

limitations des protocoles de routage tels que OSPF ou IS-IS pour lingénierie 

du trafic et les QoS en permettant la balance des charges, le routage explicite 

ainsi que le routage avec contraintes.  

Présentation du Protocole MPLS :

MPLS (Multi Protocole La bel Switching) est un protocole développé par 

Cisco. Il est sur tout employé par les opérateurs pour améliorer les

 performances de leur réseau IP (Internet Protocole).

y  La première fonctionnalité de MPLS est d"accélérer la transmission des

informations au sein d'un  back  bone IP.

y  La seconde est de permettre la création de VPN (Vir tual Pr ivate

 Network ) ou groupe fermé d'utilisateurs.

MPLS accélère les perf ormances du back bone. 

 Normalement, au niveau des centres de tr i (routeurs), l'acheminement du courr ier se fait en fonction de la lecture de l'adresse (IP) destinataire.

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Rapport de stage technique GER&T

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Dans le cas de MPLS, l'acheminement est basé sur la reconnaissance d'un label. MPLSest mis en oeuvre en entrée de réseau ou dans le premier bureau de poste.

Une des particularités de MPLS est d'insérer deux indications (label ou tag) devant

l'adresse IP du paquet à acheminer.l'une de ces indications est presque l'équivalent d'un code postal qui permet dans le

réseau de transit de ne plus se préoccuper de l'adresse mais de traiter le courrier enfonction de ce "code postal". D'où un gain de temps très appréciable dans le traitement

de l'opération. 

La trame MPLS est composé d¶un paquet IP précédé d¶une en-tête MPLS qui contientnotamment :

- un champ label- un champ EXP (3 bits )

- un bit S qui indique si un autre en-tête MPLS est présent dans la trame MPLS. Cet

empilement d¶en tête MPLS est utilisé pour transporter au sein du backbone, le label

local nécessaire à la gestion du VPN. On parle aussi, par rapport au format de la trame

MPLS, de label externe pour désigner le label MPLS et de label interne pour désigner le

label local.

En-tête MPLS 

En tête externe (label MPLS, S = 1)

En tête interne (label local, S = 0)