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Le Webmagazine à feuilleter et re-feuilleter pour tout savoir sur la session AEC de Tours
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Zi Helssi Le journal qui s’est cru bilingue
dimanche 5 mai 13
A la volée Bienvenue à toi, cher(e) délégué(e), dans cette atmosphère bien particulière de ce qu’on appelle une session. Entre rire et perplexité, français et anglais, doute et enthousiasme, tu en as vu de toutes les couleurs. C’est vrai qu’au premier abord, un individu normalement constitué peut se poser des questions sur les activités proposées. Ne t’inquiète pas : on a tous continué avec la même pêche. Le débat fait rage au sein des commissions. Demain, vous défendrez vos résolutions pendant l’Assemblée Générale. Je compte sur toi pour faire perdurer l’esprit peace du PEJ (non, je n’ai pas dit «hispter» ! Pas-du-tout) en profitant au maximum de ces deux jours. Tu dois te demander qui, par tous les diables, a écrit ce petit texte. Je suis Eve, et je suis cachée dans une salle de geeks du bâtiment C. Avec vos deux journalistes Barbara & Eva, je rassemble des citations, des photos de vous pour organiser un coffre à souvenir digne de ce nom : «Zi Helssi» : bien prononcée à la
française, cette expression rejoint le thème de cette session : «Sécurité alimentaire et environnement». Tout est dit. A toute.
Votre éditrice, Eve
EDITORIAL
dimanche 5 mai 13
CONTENTS4 - TEAMBUILDING6 - OGM : QUEL CHOIX POUR NOTRE AVENIR?7 - TOURS CITY BEACH8 - THE HEAD-ORGANIZERS10 - DEAR MRS PRESIDENT12 - CORRUPTION + MEDOCS = OVERDOSE ?14 - THE CLASS PHOTO15 - BRÈVES DE DÉLÉGUÉS16 - WOO-WOO
your dear press team
dimanche 5 mai 13
Moment de convivialité, de folie… Dans le cadre tout à fait sérieux du PEJ.
Une fois l’intimidation et/ou la surprise passée(s), les délégués ont pu se
lancer à cœur joie dans ces jeux PEJistiques dans une atmosphère bon enfant. Du Halélé au Big Fat Pony passant par le rock paper scissors, cris
d’animaux, cris de joie ainsi que silences amusés et attentifs ont été les
maîtres sons. Comme les mots ne peuvent pas toujours tout décrire, petit
résumé en images et bien sûr sur la grande vidéo de la session.
AND WE ALL JUST HAVIN’
FUN
4dimanche 5 mai 13
WTF ?!
ET POUR VOUS, LE TEAMBUILDING, C’EST QUOI ?
¬ « Apprendre à s’écouter, rencontrer d’autres gens autrement» (Lou)
¬ « Apprendre à se connaître, ça [le teambuilding] favorise une meilleure cohésion de
groupe» (Romain)
¬ «Au début, c’était vraiment bizarre mais en fait, c’est formidable. Ca permet de s’intégrer
facilement. » (Thomas) 5dimanche 5 mai 13
Les OGM (organismes génétiquement modifiés) sont des plantes particulièrement surveillées au sein de l'Union Européenne. En effet, l'UE a mis en place depuis 2004, une procédure réglementaire disposant de critères de sécurité les plus exigeants au monde pour autoriser un OGM à être utilisé. Les défenseurs de leur utilisation avancent qu'à ce jour, depuis que les premières plantes OGM ont été développées et autorisées à la culture, aucun effet nocif sur la santé humaine ou animale,ou encore sur l'environnement n'a pu être scientifiquement établi. D'un point de vue environnemental, le recours à des variétés transgéniques présente également plusieurs atouts comme la résistance à la sécheresse ou encore la tolérance aux ravageurs qui permet une utilisation plus raisonnée des insecticides.
Cependant, de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer l'utilisation massive des OGM et leurs conséquences néfastes. Ainsi, leur culture est source de pollution , ce qui menace la biodiversité et contamine les filières traditionnelles et « bio». De plus, les OGM nous sont présentés comme la solution à la faim dans le monde alors que 99 % des céréales génétiquement modifiés n'ont pas un rendement supérieur aux céréales traditionnelles. Le débat sur leur utilisation, marginalisé depuis quelques années, a connu un renouveau suite au rapport du Professeur Séralini, qui montrait que les rats nourris pendant deux ans avec du maïs transgénique mourraient plus jeunes et souffraient plus souvent de cancer. La Commission Européenne s'est émue de ce résultat et depuis, le maïs OGM mis en cause est l'objet d'un bras de fer entre ce dernier et l' Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) qui en a autorisé la mise sur le marché. En effet, l'EFSA doit être consultée avant d'engager toute culture ou commercialisation d'OGM. Composée d'experts scientifiques, elle est très décriée car selon Greenpeace, elle serait infiltrée par les firmes multinationales qui influeraient sur la politique clairement pro-OGM qu'elle mène, ainsi, aucun avis négatif n'a jamais été rendu.C'est donc sur ce sujet complexe et polémique, que la commission de l'agriculture et du développement durable va devoir se pencher et produire une résolution qui répondra à une question cruciale pour notre avenir : « les OGM, danger ou opportunité ? »
AGRI
«le maïs OGM est l’objet d’un bras de fer»
OGM : Quel choix pour notre avenir ?
Barbara 6dimanche 5 mai 13
TOURS CITY BEACHTours, “capital of the Loire castles”, is the city which welcomes us during these 2 days. Now, we should go off to explore this great place!
The urban area of Tours (nearly 300 000 inhabitants) has a leading part to play in the Loire Valley. It lies at the crossroads of the North-South and East-West communication lines of Europe and is only one hour from Paris by high-speed train.
But Tours is also a city of history and heritage. Indeed, this name is first mentioned in the 1st century AD: this new settlement was to become the chief town of the Romanized Gauls called the “Turones”. A few remains from this period can be seen near the cathedral. Tours can be considered as the “French cradle” of the Renaissance. The Kings liked its climate and especially its beauty, and the city preserves an important built heritage from this period .
Tours is also a “City break” greatly prized for its culture and its gastronomy, and the city is permanently alive with the activity generated by the many and varied local shops situated “Route de Bordeaux” or “Rue Nationale”. Tours is a dynamic city thanks to its cultural offer, so varied shows and concerts follow on from one another all year.
Furthermore, this place has many links with others members of the European Union because Tours is twinned with six European cities, in Spain, Italy and Germany. Thus, I only want to add a few words: Please fellow delegates, beg the organizers to change their program and to let us visit their city ! Barbara
BIG UP
TOURANGELLES&TOURANGEAUX
7dimanche 5 mai 13
OFFICIELS
JM & DAVID
THE HEAD ORGANIZERS
Êtes vous anxieux, stressées ?JM : Non,tout se passe bien, nous sommes bien organisés et notre équipe est formidable. Ils nous facilitent la tâche et sont très impliqués. Nous attendons cet événement depuis 9 mois, alors le stress n'a pas sa place, nous profitons de chaque moment et tout se passe dans la bonne humeur. On ne se connaissait pas tous il y a quelques mois mais aujourd'hui, c'est que du bonheur !Comment gérer une team ?D: Tout n'est pas simple et il y a eu beaucoup de changements dans l'équipe d'organisateurs, mais au bout du compte tout se passe bien, on essaye toujours de faire tout ce que l'on peut pour permettre aux orgas de s'éclater et de profiter dans la bonne humeur de la session. Pour autant, nous n'oublions pas les impératifs de l'organisation et nous mettons les choses au point quand cela est nécessaire mais toujours en restant sur le même pied d'égalité. Comment gérer l'organisation d'une session PEJ, les cours et toutes vos autres activités ?JM : Ce n'est pas toujours évident, quand on est très engagé, on a beaucoup d'impératifs et l'on doit savoir jongler entre toutes ces obligations pour arriver aux meilleurs résultats. Comment se passe votre travail de H-O ?D: On s'entend très bien, ce qui facilite les choses, c'est super de travailler ensemble, on se complète et on a réussi à trouver le bon équilibre.Dans quel état d'esprit pensez-vous être à la fin de la session ?JM : Très contents mais aussi très tristes, car l'organisation de cette session remplit nos vies depuis déjà 9 mois et je pense qu'un grand vide va faire son apparition dès samedi soir. Mais je pense également aux nombreux souvenirs plus que très agréables que je vais garder de ces deux fantastiques journées.Etes vous prêts à être une nouvelle fois orgas ?Oui, et cette expérience nous a convaincus de nous engager à nouveau dans l'organisation d'un événement PEJ, et peut être, dans quelque chose d'encore plus grand !
Aujourd'hui, vous avez eu le plaisir de faire la connaissance d'une équipe exceptionnelle : les ORGAS!! Ces personnes sont en effet très particulières, en plus d'être toujours aux petits soins pour vous, chers délégués, elles arborent toute la journée (et toute la nuit) de grands sourires qui nous transportent de joie. Nous avons donc eu l'envie de découvrir JM et David, les deux Head-Orgas, c'est à dire les responsables de l'organisation, ceux qui dirigent l'équipe d'organisateurs et qui portent sur leurs épaules une très grosse responsabilité : le bon déroulement de cette session !Nous leur avons donc posé quelques petites questions..
8
By Barbara
dimanche 5 mai 13
9dimanche 5 mai 13
DEAR MRS PRESIDENT SANDRA HARNEY
«MIIAAAOW»
Sandra, you’re from Ireland, could you tell us a little bit more about yourself?
I am living in Dublin because I study there but I used to live in Kildare, an Irish county. I grew up
there for about 10 years. I was born in Belgium and lived there for 3 years then I moved to Finland for 5 years as I’m half Finnish. I feel as much Finnish as
Irish. Well, I can say that I have a very European profile. (Laughter)
How important do you think language is to our understanding of a culture and to appropriate it to oneself?
It is huge. There are things that you just can’t translate from one language to another. For
example, Finnish is quite special as it doesn’t come from Latin or Greek so you cannot easily compare Finnish words to words you know in English or
French. Besides, when you don’t know the language well or even if you do but you are not
native or haven’t been immerged in the culture for a long time, you often miss out on things for instance, people’s humor. Depending on the tone
you use to say something, it can mean something relatively different and when we speak, we often
use connotations that you don’t get if you don’t know the language well. And even when you’re almost fluent, it’s a bit tricky to catch all the
subtleties of a culture. For instance, Irish humor is quite morbid: we talk about death very lightly and
easily quite often. But people from other countries can find it rude. And of course, there are also the expressions we use that differ from one place to
another. Irish English is different from Canadian English or American English. So, yes, I think
language is key. My mom, who is Finnish, forced me into learning Finnish and I’m really glad she did. We moved to Finland when I was 7. At that
time, I had just started to learn how to read Finnish. So before going there, she made me go to
a German Lutheran Church in Dublin where I had Finnish classes every Saturday. There are a lot of Finnish people in Dublin and in Ireland in general
actually. When you talk in that language, you can feel the connection.
Do you think the role of your parents was crucial in your understanding of both cultures?
Absolutely! When my mom forced me to go to this Lutheran school, I didn’t like it of course. But now, I’m really glad. And my father, just by living, he would show how to be Irish. I think that with my parents, we’re very international. We have things that are Irish about us and others that are Finnish about us. We can do things that are Canadian or German if we want. And that’s something that is really cool about Europe because you have a big melting pot of cultures. We can say we’re European and this way we are not limited to one type of culture: we don’t have to party or drink a lot just because we’re Irish.
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By Eva
dimanche 5 mai 13
It gives you a freedom and variety and that’s really interesting. The more people feel they are European, they can consider these different cultures as their own: all these cultures together, just one big family. I’m quite a federalist. I like the idea of having one big Europe, like a big federal State.
Can you explain your point of view on that matter more deeply please?
I think I’m kind of biased. Having this European profile made me see the benefits of having or knowing different cultures. It gives you so much perspective, an extra chance to have different experiences. For instance, being half Irish, half Finnish, I know that the Irish do one thing this way but I also know that the Finnish do it another way. It gives me two ways of doing the exact same thing so I have something to compare to. For example, the Irish are very disorganized, very relaxed, they communicate in a very friendly manner while the Finnish plan everything before, they discuss it and then they do it. In both cases, the end result is in fact the same. If we have this mix of cultures, it provides a lot of perspective and an understanding of how people work and think according to their cultures. You cannot appreciate your culture if you don’t have anything to compare it to: we all achieve the same thing but our ways of doing things is interesting to evaluate what it really is. But I do understand the arguments against federalism because they have all these
issues about backing economics and some people are afraid of losing their cultures. Personally, I don’t think that people would lose their cultures under European federalism but it’ll take some time.
How did you start in the EYP?
I’ve been in the EYP since 2009 so it’s been 3-4 years now. A friend of mine that I had known for only a few weeks thought that I would have liked the EYP so she asks me to go with her to the regionals. I was selected and went to the nationals. I was then selected for the international session. I don’t have a lot of memories of it as I was pretty shy, not really outgoing. But the international session in Ukraine was truly amazing! I didn’t drink though but everyone was drunk. To be honest, I always enjoy being an official a lot more than being a delegate.
Did you do a lot of sessions? Do you remember how many?
Since 2009, I have tried to participate to all the sessions organized in Ireland. There are usually four per year. This year, we’ll have an extra: four regional and one national. On average, I do about 4 sessions a year. I’ve also been a journalist in Tallinn (in Estonia) last year. I stayed between France and Ireland. I came to French EYP sessions to practice and improve my French and as I liked it, I came
again. People are nice so it’s pretty cool. (Smile)
What is your actual plan for a career? How do you think the EYP, your opinion on Europe and your European profile influenced your choice of career?
I am looking into doing marketing and online media (videos, photography, websites, business cards, posters). I don’t know if the fact of Europe necessarily changed my choice of career. I think that if I had lived anywhere else in the world, I would have had the same choice. However, I think that Europe gives me perspective as well as a platform and a safe place to work in, especially in this world. It also provides me interesting things to report on. The EYP has given me confidence, taught me how to make friends. I’ve been editor so it gave me experience to make websites, our presentations’ layout. I think the EYP develops a young person into a young adult.
11dimanche 5 mai 13
L’affaire du Médiator (2009-) a
fait ressortir des liens réguliers et
parfois (souvent ?) ténus entre industries pharmaceutiques, l’Agence
nationale de sécurité du médicament et
des produits de santé (ANSM) et le
monde des médias. Aujourd’hui, 62,4%
des personnes siégeant à l’ANSM ont
des intérêts privés avec l’industrie
pharmaceutique, ce qui a amené le député Debré et le directeur de
l’institut Necker, Philippe Even à établir
un rapport dénonçant les conflits
d’intérêt des membres de l’ANSM. Ce
rapport a d’ailleurs servi de base à
l’Institut pour la Protection de la Santé Nationale (IPSN) qui a lancé une
pétition appelée Opérations Mains
Propres pour qu’ « aucun expert
n’autorise la mise sur le marché et le
r e m b o u r s e m e n t d e
m é d i c a m e n t s p o t e n t i e l l e m e n t
dangereux ne soit en conflit d’intérêt
avec l’industrie pharmaceutique ».
Alors en faut-il pour autant
croire aux théories du complot sur un
système opaque gangréné par la
corruption ? Oui et non. Non à la
paranoïa qui pourrait s’élever mais...
Oui, le système est corrompu : 31 des
40 dirigeants de commission de l’ANSM sont en contrat personnel de
consultance avec l’industrie, contrats
variant de la « modeste » somme de
5 000€ à celle plus que conséquente de
600 000€. De même, Jean-Michel
Alexandre, ancien président de la commission de vigilance pendant 5
a n s , e s t c o n s u l t a n t p o u r d e s
laboratoires comme Servier, et aurait
d’ailleurs eu un rôle clé dans
l’autorisation du Médiator, médicament
coupe-faim pour diabétiques à l’origine
de 13 000 morts. Car oui, ces réseaux juteux en profits pour ces acteurs
principaux ont un coût pour nous,
simples citoyens. D’après le rapport
Débré-Even, ce sont « 15 milliards
d’euros qui sont jetés par les fenêtres »
chaque année. Quand on sait que la
branche maladie représente 6,8 milliards d’euros du déficit de la sécu et
que des centaines de médicaments
inutiles voire dangereux en sont en
partie responsables, on comprend donc
que les enjeux sont beaucoup plus
vastes qu’un simple réseau de corruption. En effet, si la Sécu s’écroule,
c’est tout notre système sanitaire qui
s’effondre et notre mentalité habituée à
l’Etat-Providence n’est pas du tout prête
à affronter une telle catastrophe.
Corruption + médocs = Overdose ?
12
PAMPHLETd’Eva
IMCO 1
dimanche 5 mai 13
Un autre problème se soulève :
la corruption des journalistes. En effet,
si déjà l’information est opaque, provoquant notre méfiance, et que
s’ajoute la méfiance envers les
véhiculeurs d’informations, où est la
confiance ? Enfouie. Or l’Etat est fait,
d’un point de vue philosophique, pour
garantir la sécurité qui passe par la
confiance donc sans confiance, moins de sécurité, l’Etat ne remplit plus sa
tâche et en est donc affaibli dans sa
légitimité. Il est donc nécessaire que
des journalistes indépendants soient
écoutés et puissent véhiculer une
information juste pour éviter la chute d’un système déjà fragilisé par les
conséquences sociales de la crise
é c o n o m i q u e c o m m e l e r e p l i
communautaire qui pousse à la montée
des discriminations due au manque de
confiance ambiant.
Pourtant, des solutions simples se présentent, comme appliquer les
conclusions du rapport Debré-Even en
instaurant des professeurs d’université
indépendants des laboratoires. On
s’assurera en plus de leur neutralité, de leurs compétences pour juger de la
pertinence des médicaments, ce qui
éviterait la controverse sur les aptitudes
des actuels membres de l’ANSM. Ils
sont plus crédibles, plus légitimes, plus
réputés donc la confiance en notre
système sanitaire est restaurée. Bref, il faut favoriser l’indépendance des
personnes en charge au profit de
valeurs humanistes voire altruistes, il
en va de notre sûreté commune.
Quel que soit notre point de vue
sur la question de la corruption dans le
monde de la santé, il est aussi
intéressant de se dire que ce début de
d o u t e e n l a s é c u r i t é d e n o s
médicaments peut être une véritable
opportunité pour revoir nos modes de
(sur)consommation de médicaments.
En effet, la France est le champion mondial des antidépresseurs. Alors
outre les raisons valides ou non
d’usage de psychotropes, on peut
comprendre derrière ces 21 millions de
Français consommateurs réguliers,
occasionnels ou ponctuels qu’il y a
aussi une forme d’inconscience dans l’usage de ces médicaments. Ce début
d’insécurité peut donc être un bon coup
de pouce dans l ’évolution des
mentalités et du point de vue des
Français sur les médicaments. Et si
notre point de vue change, alors nos législateurs changeront aussi leur
attitude trop laxiste (ont-ils eux aussi
des conflits d’intérêt dans l’histoire ?
On ne nous dit pas tout ! ;) ) et alors un
changement viable pourra se voir à
l’échelle européenne. C’est donc à nous
qu’appartient le changement parce que oui, le changement est peut-être
maintenant, au final.
«Il y a aussi une forme d’inconscience dans l’usage des antidépresseurs»
13EL CHE/MIMOSA
dimanche 5 mai 13
Text
e
CLASS PHOTO : THE CRAZIEST CHAIR TEAM
CLEMENS-ANAIS-CHARLES-PALOMA-SANDRA-MARGOT-JULIE 14dimanche 5 mai 13
TÉMOIGNAGES recueillis par Eva
BRÈVES DE DÉLÉGUÉS : LES COUPS DE COEUR DE LA RÉDAC’ (TMTCEY)
L’INTERVIEW DE LOU & ROMAIN (ENVI 2)Première expérience au PEJ ? «Oui, totalement.»
Qu’avez-vous pensé du teambuilding ? L : «Au début c’était un peu bizarre, mais finalement j’ai trouvé ça vraiment bien, convivial !»R : «J’ai bien ri !»
L’INTERVIEW DE THOMAS (AGRI)Que penses-tu de la culture européenne ? C’est une mosaïque de cultures, des individualités formant un
tout.
Que t’a apporté la session d’aujourd’hui ? Je me sens plus intéressé, plus sollicité pour parler de l’Europe. Après cette session, je pense que je serai plus tourné vers l’actualité européenne, même si dans mon quotidien ça n’est pas une priorité.
Et par rapport à ton sujet, les OGM : quel est ton point de vue globalement ? Je pense qu’il est important
qu’ils ne soient pas utilisés à des fins humaines (sur des êtres humains) 15dimanche 5 mai 13
WOO-WOO !
RUMOURZ
Entre deux cacahuètes et un verre de jus de pomme pétillant, Clément a visiblement pris les choses en mains... A suivre. 16
dimanche 5 mai 13
dimanche 5 mai 13