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www.bnc.ca À ÉTUDIER L'ESPRIT TRANQUILLE AVEC NOS PROGRAMMES FINANCIERS ADAPTÉS À VOS ÉTUDES ! 26 janv. au 8 février 2009 | Vol. 4, N o 10 | 20 pages | Bimensuel gratuit | zonecampus.ca >ARTS CARNAVAL ÉTUDIANT 2009 PAGE 8 >SPORTS RIEN N’ARRÊTE LES PATRIOTES HOCKEY PAGE 18

Zone Campus 26 janvier 2009

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Zone Campus 26 janvier 2009

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À ÉTUDIER L'ESPRIT TRANQUILLE AVEC NOS PROGRAMMES FINANCIERS ADAPTÉS À VOS ÉTUDES!

62976_bandeau_Zone campus:_ 10/15/08 10:04 AM Page 1

26 janv. au 8 février 2009 | Vol. 4, No 10 | 20 pages | Bimensuel gratuit | zonecampus.ca

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>SPORTSRIEN N’ARRÊTELES PATRIOTESHOCKEYPAGE 18

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2 26 janvier au 8 février 2009ACTUALITÉS

ActuAlités 2-7

Remisedesrésultatsfinaux 2

Ententedepartenariat 3

Testdefrançais 4

Saisie de caisses de bière 5

Éditorial 6

Petites mythologies 6

Vieétudiante/Vox-pop 7

Devienscequetues! 7

ArtsetspectAcles 8-13

Carnavalétudiant2009 8

Appeldecandidatures 8

Expositions 10,12

AlbumLesGoules 12

Le Banquet 13

Le peuple invisible 13

sports 14-19

Ententedepartenariat 14

Compétitiondenatation 15

NouveauxPatriotes 16

Patriotesdelasemaine 16

Soccerféminin 17

Hockey 18

Soccermasculin 19

PavillonPierre-Boucher3351,boulevarddesForges,

Trois-Rivières(Québec),G9A5H7Téléphone:(819)376-5011poste3414Publicité:(819)376-5011poste3411

Télécopieur:(819)376-5239

Bimensueldistribuéà5000exemplairessurlecampusdel’UQTR

etdanslarégiondeTrois-Rivières

Une équipe pastrès photogénique

Marc Périard|Directeurgéné[email protected]

Nadia Trépanier|Ré[email protected]

Maxime Lemieux-Laramée | Actualité[email protected]é Barrette | Actualité[email protected]

Mohamed Jebri | [email protected]

Kamel Otsmane | [email protected]

Jean-François Veilleux|[email protected]

Martin Bertrand|[email protected]

Daphnie Charest|[email protected]é Martin|Sports

[email protected] Antaya|Sports

[email protected] Gélinas|[email protected]

Mathieu Plante|[email protected]

François-Olivier MarchandResponsabledelapublicité

[email protected]ébastien Dulude | [email protected]

Conception de la une | M.Gélinas

Lestextespubliésn’engagentquelaresponsabilitédeleursauteurs.

Sommaire

en1999,l’Associationgénéraledesétudiants (AGEUQTR) a proposé d’offrirunecouvertured’assuranceà ses membres à la suite d’un ré-férendum dans lequel les étudiants ont approuvé son instauration.

Dans le système d’assuranceactuel,l’étudiantpeut,selonsonbe-soin,adhérerounonà lacouvertureproposéepar l’AGEUQTR.L’étudiantquinedésirepasêtreassurépeutseretirer de la couverture au début de lasessiond’automneencochantsonretrait sur le bordereau de frais de scolarité. L’étudiant dispose d’unepériode d’environ un mois pour ef-fectuerceretrait.

«Afin que l’assureur puisse com-mencer à verser les indemnités auxétudiants assurés, les périodes deretrait doivent être relativementlimitées»,expliqueJonathanFortier,président de l’AGEUQTR. L’étudiantpeutégalementprocéderàunretraitpermanent. Toutefois, dans le sys-tème d’assurance actuel, s’il désireultérieurement réintégrer la couver-ture,laprimeàdéboursers’élèvera. Les frais d’assurance s’étendentsur deux sessions, celle d’automneetcelled’hiveretlecoûtvarieautourde 220$ pour l’année entière. Fait ànoter,l’étudiantassurépaieplusdelamoitiédumontant totalde laprimed’assurancelorsdelasessiond’hiver,puisquececoûtcomprendlacouver-ture qui s’étend jusqu’à la périodeestivale. Une fois la couverture entamée,l’étudiantdoityadhérerpourl’annéeentière.Enfait,l’étudiantdoitobliga-toirement rester assuré – et payerles coûts impliqués – pendant toutel’année scolaire. Questionné à cepropos, le président de l’AGEUQTR,

Jonathan Fortier présente la raisond’une telle procédure : «On obligelesétudiantsàadhérerà l’assurancepour l’année entière afin d’éviterqu’un étudiant assuré utilise pleine-ment sa couverture pour quelquesmoisets’enretireensuite». Fortier ajoute que les fraisd’assurances dépendent del’utilisationquelesétudiantsfontdeleurcouverture:«L’assuranceestcol-lective, donc si on réclame plus quel’onpaie,lesprimesvontassurémentaugmenter.»

unsystèmed’assurancesatisfaisant Puisque le contrat avec la com-pagnie d’assuranceSun Life arrive àéchéance, l’AGEUQTR a sondé lesétudiants de l’Université au courantde la dernière session d’automne, àsavoir s’ils demeuraient intéressésparlesystèmed’assurance.Eneffet,une fortemajorité des plus demilleétudiants ayant répondu voudraitconserverl’optiondepouvoirrecourirauxassurancesdel’AGEUQTR.

chaque début de session d’hiver,l’histoire se répète. tous lesétudiantsdel’uQtrattendentim-patiemment leurs résultats finauxde la session d’automne précé-dente.plusieursd’entreeuxontdumal à comprendre la longueur dudélaiaccordéparl’universitéàsesenseignants pour déposer la coted’évaluationfinale.

Les enseignants de l’UQTR dupremiercycle–cequi inclut lespro-fesseurs et les chargés de cours – bénéficie d’un délai de 15 joursouvrables suivant la fin de la ses-sion,pourcompléter lesformulairesde remisedes résultatset les trans-

mettreaudirecteurdudépartement.Cetteannée,puisquelasessions’estterminée le 16 décembre, les en-seignants de l’Université devaientenvoyer les résultatsfinauxde leursétudiantsavantle16janvier. La démarche s’accélère ensuite.Les directeurs de départementsont5 joursouvrablespour fairepar-venir ces résultats finaux au Bureaudu Registraire. Finalement, commel’assure le Registraire de l’UQTR,M. Normand Shaffer, le Bureau du Registraireapprouverapidementlesbordereaux remis par les directeursde départements au courant de larentrée hivernale. «Chaque jour,nous approuvons les bordereaux aufuretàmesurequ’onlesreçoit.Dèsque ceux-ci sont approuvés, nousrendonsdisponibleslescotesfinalesauxétudiants»,explique-t-il. Le délai entre le moment oùl’étudiant termine son examenfinal et celui où il reçoit sa coted’évaluation reste tout de mêmed’une longueur contestable. «Cer-tains d’entre nous sommes enstage final et nous devons attendreles résultats d’une session qui estterminéedepuisunmois.Çapeutde-venir problématique pour plusieursétudiants», confie Philippe Doucet,étudiantaubaccalauréatencommu-nicationsociale.Cela,sansparlerdesétudiantsquiattendentleurrésultatdecourspréalablesàdescoursqu’ils

suivent présentement à la sessiond’hiver. Levice-recteurauxétudesdepre-miercycleetausoutienacadémique,M.AndréParadis,estàl’affûtdespro-blèmesquepeutengendrerletempsnécessaireauprocessusdetransmis-sion des résultats finaux. «Lorsquedes enseignants tardent à faire par-venir les résultats des étudiants, leBureaududécanatdelagestionaca-démique des affaires professoralesenclenche le système automatiséqui envoieune lettre avertissant lesprofesseurs tardifs qu’ils doivent

remettrelesrésultatsfinauxdanslesplus brefs délais. Toutefois, en tantqu’ancien professeur ici à l’UQTR,aucunenseignantnefaitexprèspourprendresontempsdanslacorrectiondesdernièresévaluations»,explique-t-il. Deplus,M.ParadisassurequeleBureaududécanatdelagestionaca-démique des affaires professoralessensibiliselesenseignantslentsdansla transmission des cotes finales delasituationdecertainsétudiantsquiont besoin de recevoir leur résultatrapidement.

Remise des Résultats finaux aux étudiants

À quand les cotes finales?

MA XIME LEMIE UX-L ARAMÉEJournaliste | Actualités

[email protected]

les assuRances de l’aGeuQtR

Une couverture optionnelleMA XIME LEMIE UX-L ARAMÉE

Journaliste | Actualité[email protected]

Normand Shaffer Registraire de l’UQTR.Photo : M. Lemieux-Laramée

Le président de l’AGEUQTR, Jonathan Fortier, atteste: «les étudiants de l’UQTR veulent conserver le choix de recourir à des assurances.» Photo : M. Lemieux-Laramée

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zonecampus.ca 3

le 14 janvier 2009, l’Associationgénérale des étudiants de l’uQtr(AGeuQtr), lespatrioteset l’uQtront conclu une entente de partenariat historique : une première au Canada. cestroispartiescontribueront,con-jointement,à lacréationdeboursesd’études qui soutiendront les étudi-ants-athlètes des équipes sportives des Patriotes dans leurs études.

Ces derniers n’ont pas assez dedisponibilité pour occuper un emploià temps partiel pendant leur sessionà l’UQTR. Le temps à consacrer àleurs études combiné à celui de leurentraînement sportif ne leur laisseaucune possibilité. C’est pourquoil’instauration d’un tel programmede bourses est si importante. Deplus, l’initiative tripartite favoriserale recrutement d’étudiants d’élite àl’UQTR.

Annoncée pour une premièrepériode de trois ans, cette ententede partenariat relative à la créa-tion de bourses d’études a pu voirle jour grâce à la participation del’AGE.Elleareçusanstarder l’appuide l’Université dans ce projet.L’octroi de ces aides financières auxétudiants-athlètes des Patriotessera possible, d’une part, grâce auxétudiants de l’Université. Ceux-cipourront contribuer volontairementàcevoletpécuniaireàraisondetroisdollarspartrimestre.

Cettesommeserafacturée,selonle désir de l’étudiant, aux inscrip-tionsdechaquesession.Desoncôté,l’Université donnera un montantd’argent égal à la contribution desétudiants, avec un minimum de 15000$ jusqu’à la concurrence de 50000$paran.Donc,unesomme100000$ pourrait être disponible pourlesétudiantsboursiers.Ceux-cipour-ront toucher leur bourse à partir dejuin2010. Très emballé par cette entente,Michel Morin, directeur du Servicede l’activité physique et sportive,tient, par contre, à apporter uneprécision : le montant des bourses

sera directement lié au coût totaldes fraisannuelsde l’étudiant. «Lesétudiants-athlètes ne se feront pasd’argentaveccesbourses.Nousvou-lons les aider à alléger leur fardeaufinancierrelativementàleursétudesetainsiniveler lecoûtétudiantavecles autres universités», avance M.Morin. De son côté, l’AGE a acceptéavec enthousiasme de devenir unpartenaire majeur des Patriotes.«C’est tout naturel!», dit Jonathan

Fortier, le président de l’AGE. Au-paravant, les étudiants devaientdébourser trois dollars ou un peuplus pour assister à un match localdes Patriotes. Dorénavant, tous lesétudiantsdel’université,sansexcep-tion,pourrontassistergratuitementà leurs performances sportives lo-cales.«Permettrecettegratuitéauxétudiantsdel’UQTRcontribueracer-tainementàaccroîtrelesassistanceset le sentiment d’appartenance auxPatriotes»,déclareM.Fortier.

Pour M. René Garneau, vice-recteur à l’Administration, auxfinances et à la vie étudiante, lacontribution de l’Université estune reconnaissance concrète desénormessacrificesfaitsparlesétudi-ants-athlètes pour bien représenterl’UQTR dans la dimension sportiveuniversitaire, sans compromettreleur réussitescolaire.«Ilne fautpasoublier que les étudiants-athlètessont d’abord des étudiants», a-t-ilprécisé.

ACTUALITÉS

siGnatuRe d’une entente de paRtenaRiat

L’AGEUQTR, les Patriotes etl’UQTR écrivent une page d’histoire

dorénavant, tous les étudiants de

l’université pourront assister gratuitement

aux performances sportives locales

des patriotes.

Jonathan Fortier, René Garneau et Michel Morin illustrant leur partenariat. Photo : A. Barrette

ANDRÉ BARRE T TEJournaliste | Actualités

[email protected]

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4 26 janvier au 8 février 2009ACTUALITÉS

c’est officiel, les nouveaux étu-diants qui se sont inscrits au baccalauréat en enseignement enautomne 2009, auront un nouvelexamen à réussir pour tester leurs compétences en français. le Ministère de l’éducation, duLoisir et du Sport (MÉLS) a décidé d’exigerlapassationdumêmetestde français pour tous les futurs en-seignants : le tecFée. À l’uQtr,celui-ci remplace le test SEL B mis en place il y a sept ans.

Jusqu’à l’an passé, chaque uni-versité offrant un baccalauréat enenseignementfaisaitpasserdestestsdefrançaisdifférentsàsesétudiantsinscritsdansceprogramme.Plusieursd’entre elles faisaient confiance autest CÉFRANC, issu de l’organismedu même nom. D’ailleurs, l’UQTRavait adopté cet examen jusqu’il ya sept ou huit ans. Par la suite, lesinstances décisionnelles avaientconsenti à le remplacer par le testSELB.CetestaétécrééparM.LucOstiguy,professeuraudépartementdesLettresetcommunicationsocialeetparM.AndréBougaïeff,professeuraumêmedépartement. Dans le but d’uniformiser la pas-sation du test de français de tousles étudiants québécois étudiant enenseignement, leMÉLS a décidé decréerunnouvelexamen.Dorénavant,àpartirdelacohorted’étudiantsau-tomne2008, ce sera le testTECFÉEqui prendra place dans toutes lesuniversités du Québec. La ministreCourchesneserrelavisconcernantlaqualitédufrançaischezlesfutursen-seignants. Pour avoir droit de s’inscrire àl’évaluation, l’étudiant doit avoir

complétéaumoinsuneannéedesonbaccalauréat. Par la suite, il devraobligatoirement demander à sondirecteurdedépartements’ilestad-missibleàpasserletestquidoitêtreréussi avant le stage III. L’examensera divisé en deux parties : linguis-tiqueetrédaction.Danschacunedesparties, l’étudiant devra atteindre leseuilderéussite,quin’estpasencorefixé.Unéléments’estrajoutédanslesmodalitésdecetest:ilyauraunseuilde poursuite qui sera établi. Ainsi,si l’étudiant n’atteint pas le seuil deréussite, mais celui de poursuite, ilauradroitdecomplétersesstages,àlaconditionderecommencersontestdefrançais. De plus, l’étudiant ne pourraéchouer le TECFÉE que trois fois,après quoi il sera exclu de son bac-calauréatdurantunepérioded’unan.Àsonretour,s’iléchouesontestunequatrième fois, l’étudiant sera radiédu baccalauréat en enseignement àvieetce,danstouteslesuniversités.«Les étudiants doivent prendre lesmoyens qui s’imposent pour amé-

liorerleurscompétenceslangagièresafin de devenir des professionnelscompétents dans leur milieu. Lalangue est un outil de travail», af-firme Mme Nancy Goyette, agentede recherche travaillant au décanatdesétudesdupremiercycle. Heureusement,l’UQTRprenddesmoyenspouraider lesétudiantsà laréussite de leurs études, par le biaisd’un projet financé par le Bureaude la réussite étudiante (BRE) et leCentredesoutienàlaformationdesmaîtres (CSFM). Ce dernier a pourbut d’aider les futurs enseignantsnon seulement à passer leur test defrançais, mais aussi à développerleurs douze compétences requises.Il existe également des professeurs-aidantsetdesétudiantsqualifiésquioffrent leur aide. Il y a égalementdeux cours de deux crédits de miseàniveauen françaisoffertsauxétu-diants : leFRA-1014et leFRA-1015.Avec toutes ces ressources dis-ponibles,selonMmeGoyette,«c’estauxétudiantsàse responsabiliseretàs’investirdansleursétudes.»

unifoRmisation du test de fRançais pouR les futuRs enseiGnants

Le MÉLS établit ses exigencesANDRÉ BARRE T TE

Journaliste | Actualité[email protected]

Les étudiants en enseignement devront se mettre à table pour réussir leur test de français. Photo : A. Barrette

Chaque début de session,l’Association des étudiants mu-sulmans de l’UQTR (AEM) installeun kiosque près de la cafétéria del’université dans le but d’informerles nouveaux étudiants. Effective-ment, lors de la première semainedelaprésentesession,lesnouveauxétudiants internationaux pouvaientrecourir à ce kiosque pour êtrenotamment informés de la localisa-tion de certains lieux, dont le localde prière de l’UQTR, l’Aide finan-cièrepourlesétudiantsétrangersoul’Associationgénéraledesétudiants(AGEUQTR). De plus, quelques étudiants del’AEMontprofitéde l’occasionpour

sensibiliser les étudiants de l’UQTRàproposde lacrisehumanitairequisévit présentement à Gaza et faire

circuler une pétition dans le butde soutenir la population de Gaza.(M.L.-L.)

Pour faciliter l’intégration

Kiosque d’information de l’Association des étudiantsmusulmans de l’UQTR. Photo : M. Lemieux-Laramée

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zonecampus.ca 5

Au début du mois de décembre dernier, plusieurs partys de fin desession ont été perturbés par des saisies de caisses de bière dans les locaux d’associations. les agentsde sécurité sont intervenus pour repartir les mains pleines. Une chose estcertaine,c’estquelesétudiantsnereverrontjamaisl’alcoolqu’ilssesont procuré.

Toute cette histoire a commencéauxalentoursdupremierdécembre :tempspourlesélèvesdecélébrerleurréussite scolaire et se souhaiter unjoyeux Noël. Dans l’organisation deleurs soirées festives, il arriveparfoisque les étudiants entreposent leurscaisses d’alcool à l’intérieur des lo-cauxd’associationsétudiantes.Cettepratique est prohibée, mais, dansle passé, il y a déjà eu une certaine

tolérance.Pourtant,dernièrement,lasécuritépubliquen’apassembléêtreaussiflexible.

Les étudiants Quandestvenu le tempspour lesétudiantsd’allerchercherleurscaissesde bières en vue de leur party sedéroulant dans les heures suivantes,toutavaitdisparu.Certainsétudiants,choqués de la situation, affirmentquelesagentsdesécuriténeleurontlaissé qu’une heure de préavis pourtout sortir. D’autres affirment quecertainsagentsentraientà leurguisedansleslocauxd’assos.PierreHamel,unétudiantd’ITRadécriélasituation:«Unagentestentréetacommencéàfouiller notre local disant sèchementqu’ilregardaits’iln’yavaitpasd’alcoold’entreposé ou de caché.» QuelquesélèvesenBiologiemédicaleontmêmeété inclus parmi les élèves fautifs etsesont faitssermonner.Pourtant, ilsn’étaient impliqués en rien, car toutleur stock d’alcool a toujours été en-treposédansleursvoitures.

La sécurité publique SelonM.ChristianMontembeault,directeur du service de protection publique, toute cette histoire a pristrop d’envergure. Plusieurs aver-tissementsauraientétéenvoyésauxélèves concernés leur enjoignantde débarrasser la bière des locauxd’associations, en mentionnant quel’entreposageétaitinterdit.Uncour-rielaétéenvoyéenguisededernieravis, par M. Martin Lambert duSAEquiexplique:«Jeleuraienvoyéun courriel le jeudi de la semaineprécédente pour les informer qu’onleur laissait jusqu’au lundi soir pourprocéder.» La sécurité publique n’a eud’autrechoixquederesserrerl’étau,car certains élèves ont semblé dé-passer la limite d’entreposage.«Nousavonseuàquelquesreprisesdes casd’étudiantsqui consomma-ient littéralement de l’alcool dansles locaux d’associations étudi-antes», affirme M. Montembeault.D’ailleurs, il réfute fermement

l’allégationà l’effetquedes agentssoient entrés et auraient fouillé al-lègrement les locaux. Les agentsfont letourdetous lespavillonsdel’université pour s’assurer du re-spect des règlements. «Il n’y a pasd’acharnement parce qu’il s’agit del’aile des associations étudiantes»,tenait-ilàpréciser. La sécurité publique et le SAE

ont amené l’idée d’avoir un localspécifique à l’entreposage d’alcool,avecunpermisderéunion(d’alcool)permanent. En ce qui concerne lescaisses de bière saisies, elles sontprésentemententre lesmainsde lasécurité publique et seront dispo-séesenbonneetdueforme,devanttémoins. Les étudiants ne peuventabsolumentpaslesrécupérer.

ACTUALITÉS

ANDRÉ BARRE T TEJournaliste | Actualités

[email protected]

la consommation d’alcool surles campus fait beaucoup jaserdepuis quelques années. c’estpourquoi depuis l’été 2006, leser-vice aux étudiants (SAE) a établi des directives quant à la consom-mation d’alcool sur le campus.Heureusement,étanten faveurdufleurissement d’une vie étudiantesaine et enthousiasmée, le sAe atrouvéunjustemilieuentrelasécu-rité et le plaisir des étudiants.

Sur le campus d’une autre univer-sité,unesurconsommationd’alcoolacausélamortd’unétudiant,ilyatroisans. Cet événement a été l’élémentdéclencheur qui a poussé l’UQTR àétablir des directives de consomma-tiond’alcoolsurlecampus.Quelquesautres facteurs avaient déjà faitgermer l’idée chez les responsablesduSAE:desplaintesdeparents,entreautres.Ilyavaitaussicellesd’étudiantsqui se sentaient forcés de surcon-sommer et celles de la communautéavoisinantl’universitéquidésapprou-vaitcegenredepratiquesqu’ondisaitindignesd’unétudiantuniversitaire! Depuis l’été 2006, il est doréna-

vant strictement interdit de boire àl’extérieur des locaux universitaires.De plus, ces locaux doivent être dé-signés et les étudiants-organisateursd’activités festives arrosées doiventobtenirunpermisderéunion(permisd’alcool). L’achat d’alcool doit êtrefaitselonlesnormesdelaSAQetau-cune commandite n’est permise. Encequi a trait aux activitésde calage,l’Association générale des étudiants(AGE) et l’UQTR ne tolèrent pas cesactivités, d’ailleurs interdites, mêmeà la Chasse-Galerie et au 1012. Toutmatériel relié au calage d’alcool estprohibéetconfisquéillico.LeSAEde-mandeauxresponsablesd’activitésdelasorted’êtreproactifs,des’engagerà respecter ces directives, sans quoi,ilspourraientavoiràfairefaceauCo-mitédediscipline. Par contre, l’UQTR est parmi lesuniversités québécoises qui laissentle plus de latitude aux étudiants.Elle veut rendre la vie étudiante surle campus la plus agréable possible.Elle y encourage d’ailleurs énormé-ment la tenue d’activités. MadameMarie-France Gagnier, directrice duSAE,affirme:«Quandonestplusde 10000, il fautquelesactivitésétudi-antesaientlieusurlecampus,qu’ellessoient sécuritaires et plaisantes.»Il est très important pour les mem-bres du SAE de créer un sentimentd’appartenanceà l’UQTR.MmeGag-nier ajoutait : «La vie étudiante estaussiimportantequelesétudes.»

Les autres universités duQuébecpossèdent elles aussi des mesurespour contrer la surconsommationd’alcool. Leurs mesures sont beau-coup plus strictes et contraignantes.Certaines exigent que les «partys»se terminent radicalement à deuxheuresdumatin,parexemple. Desoncôté, l’UQTRs’estdonnéeun devoir d’information et de super-vision de manière à ce que tout sedéroule dans la joie et dans la sécu-rité. Une équipe de premiers soinsa vu le jour en 2006 grâce aux étu-diants au baccalauréat en sciencesinfirmières. Elle peut être présenteaux activités à la demande des étu-diants-organisateurs par courriel au

[email protected]. Le SAE estmême prêt à couvrir les frais de dé-placement de cette équipe pour les«partys»horscampus.Lesétudiantsontà leurdispositionune troussedepremierssoins,des litsdecamp,desradios émetteurs-récepteurs et lesformations de premiers soins sontremboursées. «Pour lesactivitésétudiantes, lestroismotsd’ordresontplaisir,encad-rement et épanouissement; nousvoulons que tous les événementssoient agréables en s’assurant quetoutsepassebien.Ilenvadelasantédes étudiants», a souligné MartinLambert,animateurd’activitésétudi-antesauSAE.

diRectives de consommation d’alcool à l’uQtR

Le meilleur compromis pour les étudiants

saGa des saisies de caisses de bièRe

Une grosse balloune qui a fait jaser

Les caisses de bière devraient se trouver dans les coffres de voitures plutôt que dans les locaux d’associations.Photo : A. Barrette

ANDRÉ BARRE T TEJournaliste | Actualités

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Martin Lambert, animateur d’activités étudiantes au SAEet Marie-France Gagnier, directrice du SAE. Photo : A. Barrette

Le Service d’aide à l’emploi del’UQTR, en association avec le Ser-vice de placement du Cégep deTrois-Rivières, présente la Journéecarrière 2009. Cette nouvelle for-mule issue de la collaboration entrelesdeuxinstitutionsd’enseignementregrouperaplusde90entreprisesetorganismes. Des représentants de divers or-dres professionnels, de la fonctionpubliqueetd’entreprisesquébécoisesoeuvrant sur lesmarchés régionaux,nationaux et internationaux seront

sur place. Les participants pourrontégalementbénéficierde laprésenced’organismes liés à la recherched’emploi et au développement del’entreprenariat. LaJournéecarrièrequisetiendralemercredi 28 janvier de 10h à 16hau Centre de l’activité physique etsportive de l’UQTR est une belleoccasiond’élargirsonréseaudecon-tactsetoffreégalementlapossibilitéde se dénicher un emploi. Pour plusd’informations, vous pouvez con-sulter le www.uqtr.ca/emploi.(N.T.)

Un placement d’avenir

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6 ACTUALITÉS

Jeuxducommerce,jeuxdelacom-munication,jeuxdegénie…Qu’onten commun toutes ces expressions? Ce sont tous des rassemblements étudiantsquifontpartieintégrantede la vie universitaire et qui sont souvent attendus avec impatience. Font-ilsbonnefigure?toutàfait.

Ils portent le nom de jeux, maissont en réalité bien plus qu’unesimple activité ludique. Créés pourpermettreauxétudiantsinscritsdanscesprogrammesdepouvoircôtoyerleurshomologuesdesquatrecoinsdelaprovinceetderenforcerleursliens,ces événements sont désormais devéritables compétitions d’envergurequi allient prestige et notoriété. Eneffet,plusd’unedizained’universitésyparticipentchaqueannée. L’objectif primaire de ces «jeux»résidedanslefaitdepouvoirrencon-trerdespersonnesquiétudientdanslemêmedomaine,maisdansd’autresuniversités, de pouvoir échanger,de voir ce qui se fait ailleurs. Néan-moins,ilsserventégalementd’autresintérêts. D’une part, cela contribueau rayonnement de ces disciplines;d’autrepart, cela est égalementbé-néfiquepour lesconcurrentsetpourl’établissementqu’ilsreprésentent. Faire partie d’une déléga-tion tend à renforcer le sentimentd’appartenance,celapermetdefairenouvelles rencontres et de créer denouvellesamitiés.Letravaild’équipeétant inévitable lors de la prépara-tionauxépreuveset lorsquevient lemomentderelever lesdéfis, lespar-ticipantsdoiventtisserdesliensassezsolidesetavoirunebonnecomplicités’ilsveulentavoirunechancederem-porterlavictoire. Bien que l’aspect social revêteune importance particulière, le côtéperformanceest égalementà consi-dérer. Ces compétitions permettentaux étudiants qui s’y inscrivent

d’expérimenter différentes facettesde leur domaine d’études. Ainsi, lesnombreux défis à relever au coursde ces quelques jours mettent lescompétencesdesparticipantsàrudeépreuve.Ilsdoiventuserd’originalité,de créativitéetd’habiletéafinde sedémarquer.C’est l’occasiondemon-trer leur savoir-faire et de prouverleurscapacités. Les épreuves comportent desdirectives précises à respecter etdoivent souvent être réalisées dansun laps de temps prédéterminé.La contrainte de temps ajoute à lacomplexitéde lachose. Lescritèresd’évaluation sont tout aussi empre-ints de rigueur d’où l’importance debiensepréparer.Lesparticipantsdoi-ventinvestirdutempsetbeaucoupdetravail préalablement à l’événementpourêtreàlahauteurlorsdecelui-ci,carunepréparationinadéquatepeutavoirdesconséquencesdésastreusessurlesrésultats. Certes, une performance remar-quablevautàladélégationderécolterles honneurs et s’accompagne d’unsentimentdefierté,mais unepiètreperformancepeutentacher sa répu-tationetéclabousserparlefaitmêmel’université dont elle affiche les cou-leurs. L’équipe qui fait mauvaisefigure lors de la compétition devratravailler d’arrache-pied en vue del’éditionsuivanteafinderedorersonimage. Par ailleurs, il est certain que lesjeuxneseraientpascequ’ilssontsansleurpetitcôtéfestif.Ilnefautpasselecacher,l’alcoolestbienentenduaurendez-vous lors des périodes hors-concours,commedanstouteactivitéétudiante digne de ce nom. Que cesoit pour savourer une réussite ouseulementpourpasserdubontempsentreamisetsedétendre,touteslesraisonssontbonnespourfairelafête,n’est-cepas?Toutefois,ilnefaudraitpas que les gens ne retiennent quecetaspectetsefassentainsiuneidéepéjorativedecesévénements. Lesjeuxpermettentàceuxquis’yinscriventdevoirlaréalitédumilieu,mais dans un contexte de compé-tition amicale. Une telle expérienceest un précieux atout. De plus, lefait que l’université hôte de ces ras-semblements change chaque annéeoffre la possibilité de découvrir denouvellesrégions. Une bonne dose de plaisir, desdéfis et de l’adrénaline. Ajoutez àceladelamotivationàprofusion,desrencontres intéressantes, la forma-tion de nouvelles amitiés, des prixalléchantsetunbrindefolieetvousobtenezuncocktailexplosif. Alors,faitesvosjeux.

éditoRial

Les jeuxsont faits Deuxfoisparmois,etsurlemêmemodequelesMythologiesqu’avaitfaitesrolandBarthesen1957,seront

présentéesdescapsulessurdifférentsproduitsdelaculturedemassequiopèrentcommesymboles,voireicônes,delasociétécontemporaine.

petites mytholoGies bimensuelles

La presse «people»

NADIA TRÉPANIERRédactrice en chef

[email protected]

Du22 au 25 janvier dernier, 18 étu-diants d’ingénierie de l’uQtr ontparticipéà la25e édition de la Com-pétition québécoise d’ingénierie(cQi). pour l’occasion, 13 univer-sités québécoises offrant diversprogrammes en ingénierie se sontréunies au Mont-Tremblant pour s’affronter dans six compétitionsdistinctes.

Les représentants de l’UQTR à laCQI s’étaient déjà démarqués lors delaCompétitionde l’écoled’ingénieriemultidisciplinaire (CEIM), qui setrouveàêtreuneprésélectionpourlaCQI. Lorsde celle-ci, 24étudiantsde

l’Université s’étaient affrontés dansle but de former la délégation quireprésenteraitl’UQTRpourlacompé-titionauMont-Tremblant. Dès que les étudiants étaient sé-lectionnés pour représenter l’UQTR,ceux-ciseregroupaientenéquipesafindesepréparerpourlessixvoletsdelaCQI. Réingénierie, communicationscientifique, design innovateur, génieconseil, débats oratoires et concep-tionenéquipecomposentlessixvoletsdans lesquels les représentants desdifférentesuniversitéss’affrontent. PierreHamel,assistantauchefdela délégation de l’UQTR pour la CQI,expliquelesdifférencesentrelaCom-

pétition québécoise d’ingénierie etlesJeuxdeGénie:«LesJeuxdeGénieservent avant tout à fraterniser avecles étudiants en ingénierie d’autresuniversités québécoises, alors que laCQI permet aux universités les plusperformantes dans les programmesd’ingénierie de se démarquer sur lascèneprovinciale.» Lors des trois précédentes com-pétitions québécoises d’ingénierie,des représentants de la délégationde l’UQTR ont réussi à remporter undes volets, ce qui leur permettrontde représenter le Québec aux Com-pétitions canadiennes d’ingénierie.(M.L.-L.)

Allezdansn’importequelkiosqueà journaux et vous constaterezque, commeDieu, lesmagazines«people» sont omniprésents. omniprésents également à côtédes toilettes et sur les tables de chevet, il s’agit d’un diver-tissement abordable, unelecture simple qui demande peu d’investissement intellectuel etqui comble un besoin social de plusenplusgranddevoyeurismeque j’ai déjà abordé dans la my-thologieconsacréeàlatéléréalité.

Le Québec était autrefois constituéd’unpeupled’agriculteurs– d’habitants serait peut-être unmot plus typique – qui vivait augré des saisons dans des commu-nautés peu peuplées, disséminéesdans les rangs. À cette époque,les occasions de rassemblementpermettaient d’aller quérir les der-niers potins du village. La vie était organiséeautourdelacommunautéet,àlalimite,lenouvelarrivantétaitvu comme un «étrange», inspirantà la fois curiosité et défiance. Lesjournauxpermettaient à la plupartdescommunautésdesetenirinfor-méesdesdernièresnouvellesde laprovinceetdupays. Puis, ce fut l’industrialisationetl’exodedescampagnesverslaville,amenant du coup un nouveau rap-portaumondeetàlacommunauté.Àpeuprèsenmêmetemps,arrivalecinéma,inventionquiadèsledépart

suscité un grand engouement. AuQuébec, on a pris quelques an-nées à distinguer le personnagede l’acteur. En ce sens, onn’a qu’àpenseràAndréeChampagne, cellequi interprétaitDonalda, la femmede Séraphin, qui, semble-t-il,recevaitdes couverturesparcequeson«mari»étaittropavarepourluienfournir,ouàLucieMitchell,cellequiinterprétaitlamarâtred’Aurorel’enfant martyre, qui se faisait in-vectiverdanslarue. Personnellement, je crois quesi on avait interviewé les gens quiont commis de telles erreurs dejugement en leur demandant si,véritablement, ilscroyaientauxfic-tions télévisuelles qu’ils voyaient,les forçant à y réfléchir, plusieursse seraient senti plutôt confus enadmettant qu’ils avaient commisune erreur de jugement. Cela dé-note davantage une volonté d’ycroire,carcesgensse retrouvaientdans les personnagesde la boîte à images et voyaient une partieintime d’eux-mêmes, de leursaspirations,deleursémotions,pro-jetéessurl’écran.

Qu’enest-ild’aujourd’hui? Aujourd’hui aussi, on projettela même chose sur les acteurs ducinéma; lemême processus opère,sauf que les gens sont davantageinformés. Par contre, les acteurs,tels que vus sur l’écran, semblentbeaucoup plus grands que nature,inaccessibles, souvent plastiques(surtout dans les «blockbusters»américains). On aimerait les voirdans une dimension plus humaine.C’est,cemesemble,lavocationde

la presse «people». Ainsi s’opèreunrenversement.Lesacteursmag-nifiques,voiresublimes,deviennentmisérablement humains, arborentdes comportements parfois plusbas que bas, et plus ils perdent enprestige, plus cela fait vendre descopies. Si d’une part, une partie d’eux-mêmesincarneunbesoindetrouverun idéal dans leurs alter-ego surl’écran, d’une autre part, la presse«people» résout un autre besoin,celui de renverser le sublime.C’estlàunedimensionducarnavalesque,dont parlait Mikaïl Bakhtine. Dansla théoriedeBakhtine,onparledecarnaval/carnavalisation, lorsqu’ily a subversion, rupture, inversiondumondedans le récit.Demême,onserendcomptegrâceàlapresse«people» que les vedettes ne sontjamaisà lahauteurdupersonnage.Ils deviennent ainsi accessibles etperdent leur fonction mythique…et le public adore ça et en rede-mande!Ainsisecombleunfosséparla presse «people» entre la réalitédel’écran,sublime,etlaréalitétoutcourt, souvent grotesque, mais àhauteurd’homme. Évidemment, comme on vitprésentement dans un villageglobal, les vedettes, en particulieraméricaines, ne paraissent plus silointaines. Si l’habitant s’enquéraitautrefois des nouvelles de la dé-chéance de Madame Chose, latroisième voisine, aujourd’hui, ons’informede cellesdeParisHilton,lamillionnaireendéréliction.Ilfautcroirequeriennedisparaît,toutsetransforme:c’esttoujourslemêmevoyeurisme,maisàunautreniveau.

compétition Québécoise d’inGénieRie 2009

Les génies de l’UQTR

MART IN BERTRANDJournaliste | Arts et spectacles

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26 janvier au 8 février 2009

Page 7: Zone Campus 26 janvier 2009

zonecampus.ca 7

entre15minutesenvoitureàsacrerà tous les feux de circulation après les pas déniaisés et les dangereuxdu volant, risquant ma vie au mi-lieud’unequantité innombrabledegens qui ne devraient pas avoir depermis (ou qui devraient repasser l’examen après 75 ans) ou 15 min-utes d’exercice à suer comme ungroscochon,jechoisisladeuxièmeoption.

Habituellement, dans les saisonschaudes,jeprendsmabicyclettepourvenir à l’école. Non seulement parsouciécologique,mais surtoutparcequeçacoûtemoinscher.Jecroisqu’ily a beaucoup trop demonde sur lesroutesetc’estl’unedesraisonspour-quoijenevivraijamaisàMontréal.Àvoirtousceshumainsindividualistes,tousseulsdansleurvoiturepolluanteau retour du travail, il y a quelquechose que je ne comprends pas auplaisird’attendreenfilependantdesheures. Cependant, en hiver, je dois mepayer une carte d’autobus au prixeffrayant de 60$ par mois (environle prix d’une épicerie pour une se-maine!).Bienentendu,noussommesencore loin du prix de l’entretiend’unvéhicule.Maisunamim’avouaitrécemment qu’avoir une voituren’était pas un investissement, maisbienunedépense. Par contre, à Trois-Rivières, il y aquelque chose sur le campus quimesidèrepresquetouslesjours:c’estdevoirlesautobusàmoitiévidesetdontlamoyenned’âgedesutilisateursdoitêtreprèsde40ans! Jesuisméduséparl’absencemas-sive d’étudiants dans les transportsen commun. Je me demande vrai-ment pourquoi les étudiants du coin

tentent par tous lesmoyens d’éviterce transport, pourtant beaucoupmoins coûteux qu’une voiture avecses assurances, son essence, sespneus d’hiver, son entretien méca-nique,alouette! Je sais bien, comment peut-onespérer encourager les citoyens àdévelopperuneconsciencecollective,et encore plus les étudiants, quandni la villedeTrois-Rivièresni l’UQTRne proposent un tarif spécial pourles universitaires de sa propre ville?Ah oui, j’oubliais, il n’y a pas assezde bouchons de circulation dans nosrues… Mais a-t-on réellement besoin dela voiture pour TOUS nos déplace-ments?Jetrouveaberrantqu’iln’yaitpas plus de gens qui utilisent le ser-vice de transport public. Avez-vouspeurdesétrangersoudesmicrobes?La peste noire et la lèpre sont pour-tant disparues voilà quelques sièclesdéjà… Iln’yaaucuneraisonpournepassoutenir et promouvoir le transportencommun.Chaqueétudiantdevraitcomprendre les avantages exclusifs,humanistes et écologiques de cemode de transport : coûtsmoindresqu’une voiture, possibilité de lire,d’étudier, voire de dormir pendantle transport, presque aucun risqued’accident de la route, possibilitéd’êtresousl’influencedel’alcool,etc. Marc Labrèche dans son Fric $how faisait remarquerque 30%desconsommateursachètaientunenou-vellevoitureseulementàcausede lamode…Or,ilyaaujourd’hui800mil-lionsdevéhiculesdanslemonde! Si la Chine continue à croître aumême rythme, le parc automobilechinois pourrait atteindre 1.1 mil-liarddevéhiculesdansunevingtained’années,selonl’Earth Policy Institute.On estime l’augmentation actuelleà 1200 voitures… par jour! Vraimentdégueulasse.Quel affreuxgaspillagederessources.A-t-onvraimentenvied’aiderlesconstructeursautomobilesdans cette crise financière avec desmilliardsdedollars?Moi,non. Saviez-vous que produire uneseule automobile doit utiliser – ougaspillerselonlaperception–120000litresd’eau? Prendre l’autobus est donc unefaçonsolidaired’encouragerlecovoi-turage, d’économiser de l’argent etdenepassoutenir ladépendanceaupétroleafind’éviterladestructiondenourriturepour fabriquerdubio-car-burant…

ACTUALITÉS

deviens ce Que tu es!

«La tortue estla plus sage, car elle transporte sa maison» – Proverbe malien

Samuel Tremblayétudiantenenseignementprimaire«Les nouveaux étudiants n’ont pasassez d’informations sur le déroule-mentetlesactivitésducarnaval.»

Marielleséguinétudianteenrécréologie«C’est un évènement permet-tant la rencontre des étudiants del’université.»

Isabelle Lessardétudianteenenseignementprimaire«Lecarnavalestunebelleexpériencedegroupepermettantdeséchangesinter-bacsetrassemblantlacommu-nautépourjoueravecl’hiver.»

Stephen DavisÉtudiant en médecine podiatrique «Le carnaval permet de rassemblerlesgroupesetlesétudiantsselonleurdiscipline d’enseignement, ceci ren-forcel’espritd’équipe.»

Jacinthe Daviau-Leclercétudianteenrécréologie«Le carnaval est l’activité par excel-lence au sein de l’université. Unesemainepropiceauxéchangesentrelesassociations.»

JonathanBergeronÉtudiant en philosophie«Le carnaval de l’université est uneactivité cool et distrayante captantl’ensembledelavieuniversitaire.»

vox pop

Que pensez-vous du Carnaval de l’UQTR ?

JE AN-FRANÇOIS VE IL LE UXChroniqueur

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AESCA Lesfêtesontdébutéengrandchezl’associationdesétudiantsensciencescomptables et administration par le5à8qui s’est tenu le jeudi 15 janvierpourl’accueildesnouveauxétudiants.LasoiréeacommencéàlaChasse-gal-erieets’estsuccédéd’unpartysouslethème Back to schoolauTemple. Le volet compétition n’est pasmoins important, car après avoirremporté trois places aupodium lorsdes Jeux du commerce, l’associationveut ratisser large par une participa-tion honorable au Carnaval étudiantde l’UQTR et compte concourir à lacompétition interuniversitaire Om-nium Financierquisedérouleradu6au8 février à l’Université Laval. «Cettefois, nous avons la ferme volonté deremporter le carnaval étudiant, touslesétudiantsenadministrationysontinvités,c’estofficiel!»affirmeVanessaOuellet,présidentedel’AESCA.

AGEUQTR L’association générale des étudi-antsvarenoueravecsesactivitésdanslecadreduCarnavalétudiantdu26au29 janvier. L’événement se veut con-

sistantpourbienamorcerlesfestivitésdelasessionhivernale.Aumenu,descompétitions inter-associatives ainsiqueplusieurs autresactivitésqui se-rontprésentéesdans les joursàveniravecplusdedétailsàl’adresse:www.uqtr.ca/carnaval Une série d’événements gratuitssuivront à la Chasse-galerie com-mençantpardeuxchansonniersquiseproduirontles2et9février,soitAlainQuessyetEricMasson.AuParty Disco quiseraorganiséle mercredi11févrierà partir de 21h, la boule à facettesdu 1012 resplendira jusqu’à l’aubeenl’honneur des nouveaux étudiants del’UQTR. Rappelons que cette soiréeestgratuite,autantdirequ’ilnyapasmieuxpourbriserlaglace!

ITR Aprèsavoirconnuunfrancsuccèslors de l’organisation du congrès degénieindustrielquis’estdérouléedu8 au 11 janvier à l’hôtel Delta Trois-Rivières, l’association des étudiantsen ingénierie seprépare à lapartici-pationauCarnavalétudiantet invitepar la même occasion les étudiantsengénieàêtrenombreuxafindega-rantir plus de chances de remporterunprixlorsdel’événement. Le5févrierà13h15seraladatedetenue à l’amphithéâtre 1006 du pa-villonPierre-Boucher de l’assemblée

générale spéciale de l’associationpendant laquelle une brève rétro-spective des activités qui ont lieuprécédemment sera présentée, demême que le budget mobilisé pourl’organisation des prochains événe-ments.

sciencesinfirmières À l’occasion de la Saint-Valentin,l’associationdes sciences infirmièresorganisera une vente de roses à lamodiquesommede5$auprofitdesfinissantes et finissants le 11 févrierde8à17haudeuxièmeétagepavillonRinguet près de la cafétéria. Soyeznombreuxàpasser vos commandes,carc’estCupidonenpersonnequisefera un devoir de ramener les rosesà vos amoureux jusqu’à la salle declasse!

Pétition de dénonciation des événements à Gaza Dans le cadre du soutien de lacause palestinienne ainsi que lacondamnation des actes sanglantscommis au préjudice du bien-êtredu peuple palestinien, l’Associationgénérale des étudiants invite lacommunautéétudiante,parsescom-posantestoutesconfondues,àsignerunepétitionaulocal2218pourmani-fester son soutien aux victimes desattaquesisraéliennessurGaza.

Vie étudiante

Préparation et photographies : Kamel Otsmane

MOHAMED JEBRICollaborateur

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8 26 janvier au 8 février 2009ARTS ET SPECTACLES

Aprèsunelonguepérioded’attenteoù l’excitationétait facilementpal-pable, la 21e édition des festivités hivernalespeutenfindébuter.cettesemaine, du 26 au 29 janvier, descentaines d’étudiants de l’uQtrmettront leurs compétences à l’épreuve pour tenter de rendrevictorieuse leur association, maissurtout pour tisser des liens avec les autres participants en quête dedivertissementetd’unbrindefolie.

Cette année particulièrement,le comité organisateur a misé surl’amélioration de l’image de la se-maineréservéeauxétudiants.«NousvoulionsqueleCarnavalsoitperçuau-trementqu’unesimplebeuverieoùlesparticipants perdent la tête et avonsajouté des activités plus construc-tives, tantartistiquesquesportives»,explique Stéphanie Desroches,coordonatriceducomité.Parmilesac-tivitésauprogramme,donc,quelquesunes permettront aux artistes dansl’âmedefairevaloirleurtalentsurtoutpour leplaisir,maisaussiauprofitdeleurassociation. En ouverture du Carnaval, toutesles associations seront d’abord in-vitées à présenter un spectacle de

danseoùleplusgrandnombredepar-ticipantsestrecommandéetquiseranoté,entreautres,quantàl’originalitéet lesynchronismedesmouvements.Pour cette performance, le comitéorganisateurpoussesesexigencesetsuggère le port de costumes («leg-gings» obligatoires) en lien avec lathématiquedecetteannée:leMoyen-Âge. Les chevaux et les châteaux decarton seront donc les bienvenus surscène. Immédiatement après les presta-tions, lesplustalentueuxirontbraverlefroidetselancerdanslacréationdelaplusbelleetlapluscomplexesculp-ture de neige qui ornera le terrainuniversitaire.Cettefoisencore,lesar-tistesdevrontlaisserleurimaginationtrotterprèsdeschevalierscourageuxet des princesses en danger. Toutesles activités du Carnaval se dérou-lantdansuneatmosphèrederespectautant envers les adversaires quel’établissement, des pénalités serontdécernées aux équipes qui endom-mageraient la sculpture des autrestroupes ou laisseraient sur place desmatièrespolluantes. Le mardi, les dessinateurshors-pair de chaque association serencontrerontdevantlepavillonBen-jamin-Sulte avec leur tablette et lemédiumdeleurchoixpourdessinerlemodèlevivantqui leurseraprésenté.Des points supplémentaires serontaccordés aux participants portantfièrementun costumeetunmatérielartistique digne des grands peintresdecemonde. Enfin, tout justeavant la fameusefêtedelaChopped’Orquiclôtureraenbeauté(etenbière)leCarnaval2009,lesparticipantsserontappelésauvisi-onnementdecourtsmétragesréalisésetmontésdurantlasemaineparcha-cunedesassociationsencompétition.Les montages devront respecter letempspermis(3à5minutes)etbrillerparleuroriginalitéetleurhumour. Bonnechanceàtous!

caRnaval étudiant 2009

Une touche artistique dans la folie du Carnaval

Lors d’une conférencedepresse,le 15 janvier dernier, le comitéd’œuvresd’artde l’UQTRa lancéunappel de candidatures aux artistessculpteursrésidantenMauricieouauCentre-du-Québec pour la créationd’une œuvre sculptée qui enjoliveral’aménagement extérieur du ter-rain universitaire. La sculpture seradévoilée en octobre 2009 dans lecadredes festivités entourant le40e anniversairede l’UQTR.Placéedansla cour du pavillon Pierre-Boucher,elle devra refléter l’environnement

de rassemblement de la commu-nautéuniversitaireenplusd’évoquerlesnotionsd’éducation,du savoiretde l’avancement des connaissances.Assumant complètement les coûtsreliésàlacréation,l’Universitéoffriraune somme de 40 000$ à l’artistechoisi.Lesintéressésontjusqu’au13février pour soumettre leur dossierdecandidature. Pour plus d’informations, con-tactezM.MarioAudet,secrétaireducomitéd’œuvresd’artdel’UQTR,au819376-5011,poste2200.(D.C)

ŒuvRe d’aRt suR le campus

Appel aux artistesde la région

DAPHNIE CHARE STJournaliste | Arts et spectacles

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Des participants pris sur le fait lors d’une activité pendant le Carnaval 2008. Photo : UQTR

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10 26 janvier au 8 février 2009ARTS ET SPECTACLES

Le 15 janvier dernier avait lieu levernissage de l’expositionLe Désen-chantement d’Atlas de PhilippeBoissonnet au Centre d’expositionLéo-Ayotte du Centre des Arts deShawinigan dans le cadre du Moisde la photo. Il s’agit d’une série dephotomontages grands formats im-primésaujetd’encresurtoilequ’offrel’artiste,professeurauDépartementdes arts à l’UQTR. Il y présente la

Terre comme un «corps collectif del’humanitéentière», la liantaucorpshumain,montrant l’unionsacréequiexiste entre la créature humaine etsonhabitat. Simultanément, l’artiste MireilleBrousseau dévoilait sa propre ex-position, Entropie, dans la salled’exposition du premier étage. Lesdeux expositions se déroulerontjusqu’au15février.(M.B.)

exposition au centRe des aRts de shawiniGan

Le Désenchantement d’Atlas

Philippe Boissonnet devant ses créations. Photo : M. Bertrand

Poésie kinesthésique présentéeà la Galerie r3 de l’UQTR, estl’exposition originale d’Isabelle Clermontquia longtempsparticipéàplusieurs compétitionsdemarcheolympique et exprime dans sesœuvres un parallèle entre l’activitésportiveetl’universartistique.Dansla galerie sont exposées quelquesunesdesestoilesàmi-cheminentrele paysage et les calculsmathéma-tiques ainsi qu’une présentationaudiovisuelle qui entremêle des images de croquis et la lecture devers composéspar l’artiste. Enplusdeprofiterdesbienfaitsphysiquesdel’activité, Isabelle Clermont perçoitla marche comme une expérienceintellectuelle intense qui devient

sa principale source d’inspiration.«Je vois dans la marche non plusun simple exercice physique, maisbien l’entreprise et l’aventure de lajournée :mouvementde lapensée,changement d’espace pour un développement équilibré de lapsyché»,explique-t-elle. Diplômée de l’UQTR, elle sebalade aujourd’hui entre l’atelierd’estampe Presse-Papier de Trois-Rivières et la ville de Québec oùelle complète une maîtrise en artsvisuelsà l’UniversitéLaval.Sesœu-vresfontaussipartiedescollectionsdeBibliothèquesetArchivesCanadaet de Bibliothèque et Archives na-tionalesduQuébec.L’expositionestaccssiblejusqu’au6février.(D.C.)

exposition au cedas R3

De la marche olympique à la démarche artistique

La marche olympique selon Isabelle Clermont. Photos : D. Charest

Page 11: Zone Campus 26 janvier 2009

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Page 12: Zone Campus 26 janvier 2009

12 26 janvier au 8 février 2009ARTS ET SPECTACLES

Pour la 5e année consécutive,UQTRenspectacleestàlarecherchedemembresdelacommunautéétudi-antedésireuxdefaireconnaître leurstalentspourcegrandconcoursdontlasoiréedeprésentationaura lieu le26

février.Lesauditionspourlespectaclese dérouleront à la salle Rodolphe-MathieudupavillonMichel-Sarazinle29janvier,de9h00à21h00. Jongleurs, chanteurs, musiciens,humoristes, comédiens, acrobates et

tous les autres peuvent faire partiedu spectacle. Il suffit demonter uneprestation. Les intéressés n’ont qu’àcontacter le 819-840-2779 pours’inscrireoupourobtenirdeplusam-plesinformations.(M.B.)

5e édition d’uQtR en spectacle

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Un cylindre composé de journaux empilés représentant la drave. Photo : D. Charest

Les deux expositions qui couvrent les murs du centre Raymond-lasnier, à la Maison de laculture, rendenthonneur à la villede trois-rivières et à ses 375 an-nées d’existence. Deux artistespartagent l’espace de la salle endeuxsériesd’œuvres, l’uneexploi-tantleconceptdurecyclage,l’autreoffrant 375 petites œuvres toutesreprésentantes d’une vision de laville.

Nouvelle recyclées est le fruit de l’inspiration écologique de sa créa-triceLorraineBeaulieuquiad’ailleursparticipé à plusieurs événementsenvironnementaux.LavilledeTrois-Rivières étant réputée pour seslongues années d’histoire dans lespâtesetpapier, l’artistea reproduit,par ce médium, de longues formescylindriques rappelant les billes debois qui ont longtemps flotté dansles eaux de la rivière St-Maurice.L’utilisation des journaux et de soncontenud’actualités faitunparallèle

entrelatransformationdel’arbreenpapier et les événements qui chan-gentlecoursdelaviehumaine.Aussi,ellenousrappellelestransformationsauxquellesl’hommeasoumissonen-vironnement depuis son arrivée surTerre. Dans l’autre aire de la salled’exposition, Frédérique Guichardproposeplutôtune importanteséried’images, 375 exactement, qui ren-voient toutes à une scène qu’elle avue ou vécue depuis son arrivée àTrois-Rivières, il y a 4 ans. Au dé-tourd’uneruelle,surleterraind’unemaison, lors d’une fête ou simple-mentdevantunboncafé,Petit visuel pour flâneurs curieux présente auspectateurcespetitesimagestoutessimples, peintes ou photographiéesparl’artistequienatapissélesmursde lasallepourformerunemuraleàlafoisludiqueethistorique.

expositions

Trois-Rivières grandeur nature

DAPHNIE CHARE STJournaliste | Arts et spectacles

[email protected]

les œuvres seront exposées jusqu’au 15 février à la salle

Raymond-lasnier de lamaison de la culture.

Que connait-on des Amérindiens du Québec, sauf qu’ils ne paientpasdetaxesetquelamajoritésom-brent dans les délires de l’alcool? Probablement pas assez pour faire un portrait de ces «sauvages»chassés loin des terres colonisées.

C’est dans le même étatd’ignorance que se trouvaientRichard Desjardins et RobertMonderie lorsqu’ils ont débuté lesrecherches en vue de tourner leurdocumentaire-choc Le peuple invis-ible. Pourtant, en le terminant, ilssavaient pertinemment que, toutcomme eux, les gens ne pourraientplusjamaisfermerlesyeuxsurlaré-alité troublante des Algonquins duNordquébécois. Le film était présenté dans lecadre des Nouveautés de l’ONF –Office national du film – à la SalleAnaïs-Allard-Rousseau le 15 janvierdernier.Enouverture,àlasuited’un

courtmétraged’animationdePierreSylvestre, les spectateurs ont reçuà la figure les injustices enduréespar les Amérindiens que les coloni-sateurs ont rudement déplacés loindes rives du fleuve St-Laurent, loinde leur sourced’abondance.Puis, leprojecteur envoie les images de ladétériorationgraduelledel’équilibreparfaitquiexistaitentreceshommeset la forêt à cause du développe-ment économique, duquel ils n’ontd’ailleursjamaispuprofiter. Rempli de témoignages dequelques-uns des 10 000 Amérin-diens québécois entassés dans lesréservesquileurontétéassignées,lefilmdeDesjardinsrenddouloureuse-mentcomptedelaviedemisèrequevivent certains groupes considéréscomme squatteurs sur leurs pro-pres terres et qui sont ainsi privésd’électricité et d’eau courante. Unequalité vie comparable à celle despays sous-développés de l’Afrique,

maisen températuresnordiques.Le peuple invisible, c’est une heure etdemie d’images bouleversantes, deparoles troublées de tristesse, maisaussi de colère face à l’impuissanced’un peuple à qui le gouvernementrefuselareconnaissancedesoniden-tité. Après le visionnement, les spec-tateursavaientlachancedediscuteravec l’un des réalisateurs, RobertMonderie, qui racontait son expéri-encelorsdutournage.Sesrencontresavec leshabitantsdesréserves l’ontbeaucoup touchéet il espèreque ledocumentaire aura des répercus-sionssur lesconditionsactuellesquisont,selonlui,plusqu’inacceptables.Il ajoutecependantqu’il faudraplusqu’unfilmpourfaireavouersestortsaugouvernementquiignorecesmal-heursdepuistropd’années. Deux autres documentaires per-cutants seront diffusés les 27 et 29janvier.(D.C.)

documentaiRe de l’onf

Le peuple effacé

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zonecampus.ca 13ARTS ET SPECTACLES

C’est avec générosité que laformation punk-rock Les Goulesprésente un CD/DVD de leur spec-tacle La fête des mortsenregistréen2008,histoirederessusciterletempsd’unesoiréeetd’undisque.Lesnos-talgiquespourrontdoncredécouvrirla voix glauque du chanteur KeithKounapourladernièrefois.Pourceuxqui ne connaîtraient pas le groupe,il serait à conseiller d’aller écouterquelquesextraitssurMyspaceavantd’acheter puisque cette fameusevoix du chanteur pourrait écorcherl’oreille de certains. Pour ceux quiaiment un punk-rock d’ambiancesinistre,ils’agitd’unalbumàdécou-vrir.(M.B.) http://myspace.com/lesgoules

soRtie cd/dvd

Les Goules célèbrent La fête des morts

Photo : MySpace

sébastien rose, celui-là mêmequi a donné Comment ma mère a accouché de moi pendant sa méno-pause et La vie avec mon père,quittemaintenant la chronique familiale pourdonnerdanslefilmchoralavecLe Banquet. celui-ci, présentantune pléiade d’acteurs connus, im-misce le spectateur dans le monde universitaire, tant du point de vuedes étudiants que de celui des ad-ministrateurs.

D’abord, il convient de men-tionnerqu’unfilmchoralprésenteune galerie importante de personnagessans qu’aucun ne soit à l’avant-scène comme protagoniste et où évoluent lesdits personnages dansdeshistoiresquiserecoupenthabitu-ellementdansunjeudechassé-croisé.Ils’agitd’uneformuleassezpriséeducinémacontemporain,maisqueleci-néma québécois a encore assez peuexploitée.Unecertaineveinedufilm

indépendantaméricain,celadit,s’enestemparéeàquimieuxmieux:iln’yaqu’àpenseràtous lesfilmsquiontsuivilefameuxMagnolia.

unegaleried’acteurspourautantdepersonnages Le Banquet, c’est d’abordl’histoire d’un représentant del’association générale des étudiants universitaires, incarné par FrédéricPierre,etd’unrecteur,interprétéparRaymondBouchard.Letoutsepasseen temps de négociations sur fondde tension entre l’université et lesétudiants,quifaitpenseràlasagadel’augmentationdesfraisafférentsquel’UQTRaconnue,enplusbruyant.

C’est également l’histoire d’unprofesseur de cinématographie, in-terprété par Alexis Martin, et d’unétudiant passablement dérangé(Benoît McGinnis) qui viendra per-turbersoncours,maisaussiremettreenquestion lemétiermêmedepro-fesseurd’université,demêmeque ladémocratisation du milieu universi-taire. Ilseraitinutileetlongdeprésentertoute la galerie des acteurs connusqui font partie de la distribution dufilm:encesens, lesproducteursontdûépuiserlebottindel’Uniondesar-tistes.

Tension primaire Le film termine en reprenant làoù il avait laissé dans l’ouverture.D’un côté, il y a le fameux banquetconstitué de l’intelligentsia admin-istrative universitaire bourgeoise et,de l’autre, les étudiants gauchistesqui revendiquent l’accessibilitéet la démocratisation. Mais voilà,l’université est-elle faite pour êtreaccessibleous’adresse-t-ellenaturel-lement à une élite? C’est là une desinterrogations importantes devantlesquelles nous place Le Banquet, etce, jusqu’au malencontreux dénoue-ment.

soRtie dvd

Le Banquet : dernier rejeton de Sébastien Rose

MART IN BERTRANDJournaliste | Arts et spectacles

[email protected]

Scène du film avec Raymond Bouchard et Frédéric Pierre.

«l’université est-elle faite pour être accessible ou

s’adresse-t-elle naturellement à

une élite?»

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14 26 janvier au 8 février 2009SPORTS

le 14 janvier dernier, l’uQtr,l’AGeuQtr et les patriotes ontsignéuneententedetroisansdontl’objectif est d’amasser des fondspour appuyer financièrement lesétudiants-athlètes. l’argent re-cueilli leurs sera remis sous forme de bourses.

Ce partenariat aura un impactmajeursurleséquipesdesPatriotes.D’abord,ellepermettrad’appuyerfi-nancièrement les étudiants-athlètesqui ne peuvent travailler durant lasession universitaire en raison dutemps consacré à leurs études etauxpériodesd’entraînementsportif.Grâce à un tel appui financier, ceux-ci pourront se concentrer presqueexclusivement à leur sport. «Nousvoulons alléger le fardeau des fraisdescolaritédecesétudiantsquiontlemandat de nous représenter», dedireMichelMorin, directeur du Ser-vicedel’activitéphysiqueetsportive(SAPS). Mais surtout, grâce à un tel pro-gramme de bourses, les équipes del’UQTRauront un atout de plus lorsdelapériodederecrutement.«Nousavons maintenant en main un outild’appelattrayant,soutientM.Morin.Nous sommes aumême niveau queles autresuniversités sur leplandesinstallations sportives, mais avec ceprojet, nous sommes maintenant à

leurniveaupourdéfrayerlescoûtsliésaux frais de scolarité des étudiants-athlètes. Et enmédiatisant leprojetcomme c’est le cas aujourd’hui, ons’assurequelesgenssaventqu’untelprogrammedeboursesestoffertici,àl’UQTR,surtoutquelemomentdechoisiruneuniversitéarrivebientôt.» Évidemment, n’obtient pas unebourse qui veut. L’étudiant-athlètedoit avoir un bon dossier aca-démique, et celui-ci doit être évaluéparuncomitéencadréparleServiceaux étudiants (SAE). Après évalu-ation, si l’étudiant remplit lescritères,ilpourrarecevoirunebourse équivalente, tout auplus, à ses fraisde scolarité. Cette procédure estd’ailleurs une norme du Sport inter-universitairecanadien(SIC).

De nouvelles équipes ? Pour l’instant, grâce à ce parte-nariat, les dirigeants sportifs ontcomme principal objectif de con-solider leurs acquis. Cependant, M.Morinnefermepaslaporteàl’arrivéede nouvelles équipes sportives àl’UQTR. «D’ici quelques années,lorsque tous les actifs seront con-solidés (car les formations déjà en

place vont continuer d’exister), il yaura toujours la possibilité de voirde nouvelles équipes. La volonté dela part de l’Université est là, alors ils’agiradebienévaluerleterrainpourqu’il soit propice à l’émergence denouvelleséquipes»,affirme-t-il.

plusqu’unpactefinancier Au-delà de la collecte de fonds,cetteententeaaussipourbutderap-procher les étudiants et les équipesdes Patriotes. «Maintenant qu’il y aunrapprochemententrelesPatriotesetl’AGE,ilfautqu’ilyenaitunentre

les Patriotes et les étudiants. Il fautsusciterleurintérêt»,soutientMichelMorin. À ce sujet, un pas de l’avanta été fait puisque l’entente permetdésormais à tous les étudiants del’UQTR d’assister gratuitement àtouteslesrencontresdesPats.

Partenariat entre l’AGEUQTR et l’UQTR au profit des Patriotesles éQuipes spoRtives ont maintenant un outil en main pouR l’aveniR

FEL IPE ANTAYAJournaliste | Sports

[email protected]

Michel Morin est fier de l’entente qui permet aux équipes des Patriotes d’être au même niveau financier que celles des autres universités. Photo : F. Antaya

«nous voulons alléger le fardeau

des frais de scolarité de ces étudiants

qui ont le mandat de nous représenter.»

– michel morin

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zonecampus.ca 15

Les partisans des Patriotes natation n’ont pas eu beaucoup de chosesà se mettre sous la dent, samedidernier, lors de la troisième coupeuniversitaire de natation présentée aucentre de l’activité physique etsportive (cAps) de l’uQtr. ils ontau moins eu la chance de suivre le seul représentant local, shawnCampbell.

Les piliers de l’équipe, JenniferCarroll et le nageur de longues dis-tancesGregoryCzaplickyétaientencampd’entraînementet ilsontdoncmanqué la compétition trifluvienne.IlenétaitdemêmepourlesjumellesGabrielleetCécileKettere, retenuesenEurope.

Shawn Campbell nage depuisl’âgede8ans.Lehic,c’estqu’ilaprisunelonguepausedesixans.Sonre-tourauxétudes(enenseignementdel’éducation physique) coïncide avecsonretourauxcompétitionsdenata-tion. «C’est dur de revenir, expliquel’athlète de 26 ans. Avant, jem’entraînais 16 heures par semainedans l’eau. Avec les études, ce n’estpasfacileparcequejeveuxmedémar-querdansmamoyenneacadémique.C’estbeaucoupd’organisation.» Campbellpourraitbiens’entraînerseulement pour le plaisir, mais ilressentcedésirde lacompétition. Ilaime comparer ses temps semaineaprèssemaine. «Ma spécialité est le 100 m papillon,note l’athlètenatifdeVau-dreuil.Monmeilleur tempsà vie estde 1min et 2 sec. Présentement, jetermine cette distance en 1 min et6 sec. D’ici deux ans, j’espère bienréussir les temps pour atteindre lechampionnatcanadien.» Au CAPS, Shawn Campbell aterminé 17e sur 23 nageurs au 50mpapillon,15esur25au100mlibreet14esur14au200mpapillon. «Shawn a fait de belles coursesconsidérant qu’il a profité des Fêtespour se reposer un peu, soulignePierre-Étienne Lambert, entraîneuradjoint chez les Patriotes. Ses per-formances sont encourageantes.Pour le reste, ce fut une belle com-

pétition à Trois-Rivières. Plusieursnageurs et amis sont venus nousdonneruncoupdemainettouts’esttrèsbiendéroulé.» L’entraîneur-chef des Patriotes,Martin Gingras, était en campd’entraînement,àPorto-Rico,lorsdelacompétitionuniversitairedeTrois-Rivières.

La nageuse Marie-Pier Blais, quireprésente l’UQAMen raisondesescours par correspondance (mais quis’entraîneaveclesPatriotes)aprisle2e rangau100m libreet le4e rangau50mpapillon.L’anciennemembredes Patriotes retournera au cham-pionnat canadien cette année, encompagniedeJenniferCarroll.

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ANDRÉ MART INJournaliste | Sports

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Deux ans pour retrancher quatre secondes...le naGeuR shawn campbell vise le championnat canadien en 2011

L’objectif d’une participation au championnat canadienest ambitieux, mais le nageur Shawn Campbell a assez de persévérance pour l’atteindre. Photos : A. Martin

campbell pourrait bien s’entraîner seulement pour le plaisir, mais il ressent ce désir

de la compétition. il aime comparer ses

temps semaine après semaine.

L’athlète des Patriotes devra travailler très fort pour retrancher les secondes qui le séparent de son rêve.

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16 26 janvier au 8 février 2009

Deux nouvelles figures ont faitleur entrée avec les Pats depuis le retour de la trêvedes Fêtes. enattaque, Alexandre Blais, qui aévolué un an avec l’université st-François-XavierdanslesMaritimes,segreffeà l’équipe,alorsqueder-rièrelebanc,olivierDenispallielapertedel’entraîneur-adjointsergeForcier.

L’arrivéedel’attaquantAlexandreBlaisajoutedesatoutsàJacquesLa-portepourlafindelasaison.L’athlètede 22 ans viendra sans aucun doutesolidifier la puissante offensive desPatriotes. «C’estunjoueurquivadonnerdel’énergiedans toutes les facettesdujeu.Iladelapuissance,delavitesseet est un bon marqueur. Malgré sapetite taille, il joue comme un garsde6pieds2etferaparaîtrelesautresjoueurs encore meilleurs en créantdes jeux, soutient l’entraîneur del’équipe.Enplus, il connaît trèsbienla gameetdérangel’adversaire.» Gravitant dans l’entourage desPatriotes depuis un moment déjà,Blaisnepouvait s’aligneravecTrois-Rivières lors des matchs réguliers puisqu’unerègleduSIC–Sportinter-universitairecanadien–interditàunjoueur d’évoluer avec deux équipesuniversitaires au cours de la mêmeannée. Ayant disputé sa dernièrepartieavecSt-FX le12 janvier2008,Laporteadûattendrelamêmedateen2009avantdepouvoirbénéficierdesesservices.

Del’expériencederrièrelebanc Pour pallier la perte de SergeForcier, l’entraîneurJacquesLaporte

adécidédefaireappelàOlivierDenis.Cedernieradéjàétépiloteauniveaujunior, collégial et universitaire etprend en charge les attaquants del’équipe.CettetâcheétaitauparavantattitréeàJean-FrançoisBrunelle,quia désormais les défenseurs sous satutelle.

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De nouveaux visages chez les Patriotes

L’attaquant Alexandre Blais avait hâte de renouer avec l’action après un an d’attente. Photo : F. Antaya

FEL IPE ANTAYAJournaliste | Sports

[email protected]

Le nouvel entraîneur-adjoint des Patriotes, Olivier Denis. Photo : F. Antaya

Les Patriotes de la semaine

semainedu12au18janvier2009 LegardienrecrueMichael Dupont a été choisi Patriote de la semaineaprès avoir aidé l’équipe de hockeydel’UQTRàvaincrelesLionsdeYork.Lecerbèreabloqué49des51tirsdi-rigés contre lui pour permettre auxhommesdeJacquesLaportederem-porter une 17e victoire cette saison.Dupontamaintenantsixvictoiresetil amaintenu une fiche de 1,67 butsaccordés parmatch depuis le débutdelacampagne.Michaeln’aaccordéque10butslorsdessixmatchsqu’ilajouéscettesaisonpourmaintenirunpourcentage d’efficacité de ,942. Lepatineur entreprend un certificat enadministration.

semainedu5au11janvier2009 À sa 4e saison avec les Patrioteshockey, Jean-Sébastien Breton s’estvu décerner l’honneur d’être choisile premier Patriote de la semaine del’année 2009. Dans un gain de 4 à 1contre lesBadgers deBrock, l’athlètea récolté deux aides. Cette saison,l’attaquant a amassé 10 buts et 10passespouruntotalde20pointsen18matchs.Jean-SébastienBretondébutesadeuxièmeannéeaubaccalauréatencommunicationsociale.(A.M.)

Photos : Patriotes

la prochaine édition du journal Zone campus sera en kiosque

le lundi 9 février 2009.

Page 17: Zone Campus 26 janvier 2009

zonecampus.ca 17

les représentantes de l’uQtrcommencent vraiment à jouer dusoccerdegrandequalité.Dimanchedernier,ellesontdémontréqu’ellesformaient une équipe, dans un re-versde1à0 faceauxcitadinesdel’uQAM.

La troupe de Marie-Ève Naultest méconnaissable en ce début desaison hivernale. Pourtant, aucunenouvelle joueuse n’a fait son entréedansl’équipe. Dimanchedernier,lesspectateursprésents au Centre Alphonse-Des-jardins ont assisté à du jeu collectifintense,debellespasses,dessortiesdezoneréussiesetdebrillantsarrêtsdelagardienneMyriamLalonde. Ilnemanquaitquelatouchefinaledes attaquantes Jessica Lavallée etMarie-Michèle Lapointe pour cou-ronnercettesortieconvaincantedesPatriotes. Plusieurs se demandentencorecommentLavalléeafaitpourraterunfiletdésertàmoinsdedeuxmètres. La rapide attaquante a misun peu trop de puissance dans safrappequiestpasséeau-dessusdelacage. Lesdeuxattaquantes,aidéesdesmilieuxdeterrainStéphaniePothier,

MélanieSoulardetClaudieRattéontrécoltéprèsdedixbonneschancesdemarquer. C’estcependantladéfensivequiaété la plus impressionnante, notam-ment grâce au travail des RosalieCadieux, Maude Bellerive, Audrey-Ann Garceau et Gabrielle Côté. Lesdeuxpremièresnesontpashabituéesà cette position, mais elles ont trèsbienrelancél’attaque. Souvent, les arrières des Pa-triotes ont réalisé de belles passespour sortir le ballon de la zone,alors qu’elles étaient embouteilléespar les attaquantes des Citadines.Le ballon n’est plus dégagé pourrien. Le jeu des milieux de terrain Stéphanie Pothier, Mélanie SoulardetJadeRitcheracontribuéàcesréus-sites. «Je suis déçue du résultat, maispasde lafaçondontona joué,aex-pliquéPothieraprès lematch.Notrejeu d’ensemble était très bon. Demoncôté,çafaisaitlongtempsquejen’avaispas jouéunaussibonmatch.À l’automne, je n’ai pas connu unebonne saison. J’étais trop nerveuse.Puis,j’airecommencéàm’amuseretçasemblefonctionner.» Comme Rosalie Cadieux évoluaità l’arrière, le travail des milieux deterrain doit être assuré par d’autresfilles. Pothier a vraiment réponduaux attentes, dimanche dernier.«Nousavonsvraimentbiencirculéleballon au sol, a noté l’entraîneuse-chef Marie-Ève Nault. J’ai fait desessais avec Rosalie et Maude àl’arrièreparcequenousavionsbesoinde leadership à cette position. Lesdeuxpossèdentaussiuneexcellentefrappe pour relancer la balle. Notregardienne Myriam Lalonde a aussijouétoutunmatch.» Dans le camp adverse,

l’entraîneuseSophieDrolet,quiadi-rigélesPatriotesilyahuitans,aétéimpressionnée par les joueuses del’UQTR. «L’arrivée de Marie-Ève Nault aeu un gros impact, a noté Drolet.Ellearedonnéde lacrédibilitéàuneorganisation qui n’allait nulle part.Elle est bonne pour remplacer lesfillessurleterrainetelleconnaîttrèsbienlejeu.Elledoitencoregagnerdel’expérience,maisellefaittoutuntra-vail.» L’ex-attaquante des Diablos,maintenantarrièreaveclesPatriotes,Audrey-AnnGarceau, a confirmé lespropos de l’entraîneuse des Cita-dines. «Marie-Ève nous inspire,souligne Garceau. Elle joue profes-sionneletellenousamèneplusieurstrucs et feintes lors des entraîne-ments. Elle nous apprend commentréagirdansdifférentessituations.Auniveautechnique,nousnoussommesbeaucoupaméliorées.Onl’avujoueret ça paraît qu’elle sait de quoi elleparle.»

SPORTS

ANDRÉ MART INJournaliste | Sports

[email protected]

UQTR et Cégep de Trois-Rivières

JournéeCarrière 2009

Le mercredi 28 janvier 2009

de 10h à 16hau Centre de l’activité

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Un placement d’avenir

«On joue beaucoup plus en équipe»– la milieu de teRRain stéphanie pothieR

Les Patriotes disputeront leur prochain match local le premier février prochain, à 14 h, au Centre Alphonse-Desjardins, lors de la visite des Carabins de l’UdeM. Photo : A. Martin

L’attaque Jessica Lavallée a joué un excellent match dimanche dernier, même si elle a raté une chance

en or alors que le filet était désert. Photo : A. Martin

«marie-ève nous inspire. elle joue

professionnel et elle nous amène plusieurs

trucs et feintes lors des entraînements. elle nous apprend

comment réagir dans différentes situations.»

– l’arrièreaudrey-ann Garceau

Page 18: Zone Campus 26 janvier 2009

18 26 janvier au 8 février 2009SPORTS

Après plus d’un mois d’inactivité,les hommes de Jacques Laporte ont renoué avec l’action le vendredi 9janvier, alors qu’ils recevaient lesBadgersdeBrock,qu’ilsontvaincu4à1.Malgrélepointage,lestracesd’une aussi longue pause se sontfaitessentiraufildelarencontre. Dès le début de l’affrontement,les Pats ont montré leurs couleurs.Les cinq premières minutes se sontpresque exclusivement dérouléesen territoire des Badgers et à mi-chemin de l’engagement, FrancisCharland, grâce à un bel effort indi-viduel,enregistraitlepremierbutdel’équipe en 2009 lors d’un avantagenumérique. Au deuxième tiers, les Patriotesontgardéunbonrythmefaceàuneéquipe qui semblait confuse sur laglace. Les représentants de l’UQTRont alors décoché quatorze tirs aufilet, contre seulement trois pourBrock.Ilsontmêmeaccruleuravancegrâce àMathieu Simoneau et Jona-thanBoutin.

Latroisièmepériodeacependantété plus ardue pour les deux forma-tions. Il y avaitdesmontéesdepartet d’autre, mais l’intensité n’étaitplus au rendez-vous. Deux buts ontquandmêmeétéinscrits.SamuelBé-landmarquait ledernierdessiens,àlasuitedel’effortsoutenudujoueurde centre Éric Beaudin. Quelquesinstants plus tard, le gardien Jean-Christophe Blanchard flanchait pourla seule fois de la rencontre, lui quiavaitétépeuoccupéjusquelà.

Ainsi, en dépit de la victoire,l’entraîneur était mitigé à l’issue dumatch. «Nous n’avons pas débutéle match rouillés, mais il y a eu unrelâchement en troisième période,note-t-il. Nous nous sommes com-pliqués la tâche un peu. Il faudradoncquelesexigencesdelapartdesjoueurssoientplusélevéesàl’avenir.Nous ne pouvons pas viser unique-ment la note de passage, car ce neserapassuffisantlorsdessériesélim-inatoires.»(F.A.)

Les semaines passent et les Pa-triotes continuent d’accumuler lesvictoires.ilsenontajoutédeuxdeplusà leurfichedans la région to-rontoiselorsduweek-enddu17et18 janvier, alors qu’ils rendaientvisiteauxlionsdel’universitéYorkainsiqu’auxridgebackdel’uoit.

Latâchen’apasétédetoutreposfaceauxRidgeback,quioccupent ledernier rang de leur division. Ceux-ci ont d’ailleurs été les premiers às’inscrire à lamarque, tôt en débutde rencontre. Les représentants del’UQTR ont toutefois répliqué debelle façon en inscrivant trois butssansriposte. D’abord, le défenseur NicolasDésilets a nivelé les chances dechaque côté lors d’une supérioriténumériqueenfindepériodeinitiale.Puis,au retourdupremierentracte,Samuel Béland et Mathieu Gravelonttouchélaciblecoupsurcoup. Lepointagedetroisàunestde-meuré intact jusqu’en toute fin dematch, mais les Ridgeback ont misde la pression sur les Patriotes enmarquantundeuxièmebutavecen-vironcinqminutesàfaire.Tentantletout pour le tout, lesOntariens ontensuite retiré leur gardien, ce qui apermis à Jonathan Boutin d’inscrire

le filet d’assurance avec quelques secondesàécouler. Fusillade nécessaire Laveille, leshommesdeJacquesLaporteontaussiremportéleshon-neurs d’un affrontement très serrécontre les Lions de York, qui sontpremiersdeleurdivision. Ce sont les Trifluviens qui ontouvert la marque au milieu de lapremière période, par l’entremisede Mathieu Gravel. Son équipe sedéfendait alors avec un homme enmoins. L’attaque de York a ensuite ré-pliqué, tôt en deuxième, lors d’unavantage numérique et l’impassedeunàunaduréjusqu’enmilieudetroisième tiers. Les Lions ont brisél’égalitéavecquelquesminutesàfaireaumatch,mais heureusement pourles Patriotes, dès l’instant suivant,ces mêmes Lions ont écopé d’unepénalitépouravoiraccroché.ÉtienneBellavance-Martinenaprofitépourenvoyer les deux équipes en sur-temps alors qu’il restait seulementdixsecondesaujeudepuissance. Incapable de faire un maître àl’issuede laprolongation, lestirsdebarrageontéténécessaires.Detouslesattaquantsàs’élancerverslegar-dien adverse, seul Jean-SébastienBreton a réussi à faire secouer lescordages. De son côté, le gardiendesPats,MichaelDupont, a bloquélestroistirsdirigésversluipourainsidonnerlavictoireauxsiens.

hockey univeRsitaiRe

Rien n’arrête les PatriotesFEL IPE ANTAYA

Journaliste | [email protected]

Le gardien Michael Dupont a bloqué les trois joueurs à s’élancer vers lui en fusillade contre York. Photo : F. Antaya

Les Pats reprennent là où ils avaient laissé

Le numéro 26, Francis Charland, a inscrit le premier but des Pats en 2009. Photo : F. Antaya

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zonecampus.ca 19

le capitaine Alejandro de castroet l’entraîneur-chef des patriotes,pierre clermont, ont tout un tra-vail à faire s’ils veulent réussir àcréer une chimie avec les joueursqu’ilsontsouslamain.

À part le fait qu’ils avaient tousdes chandails verts identiques, lesjoueurs des Patriotes n’avaient pasvraimentl’airdeformeruneéquipe,dimanche dernier, pour le premiermatch de la saison hivernale. Ils sesontinclinés6à0faceàuneforma-tionquiaterminéau5erang(surseptformations universitaires) lors dudernierchampionnatautomnal. Les Patriotes ont été dominésdanstouteslesfacettesdujeuetilsont laissé leurs rivaux jouer à leurguise.Cesderniersontd’ailleurseul’airdevraisprofessionnels. À ce sujet, il est à se demanderde quoi auront l’air les Patriotes, le25 janvier prochain, alors qu’ils semesureront aux joueurs de l’Attak,à compter de 14 h, au Centre Al-

phonse-Desjardins… Autermedecematchdécevant,l’entraîneuretcertainsvétéransontjetéleblâmesurlefaitqueplusieursjoueurs en étaient à leur premiermatch avec les Patriotes. C’étaitd’ailleurslecasaveclesBachirDiop,Ismaël Sabri, Alexandre Chopard,Joël Mbende et le gardien MartinDubois. «Nousavionsplusieursnouveauxjoueurs et la cohésion n’était pasprésente, a souligné Pierre Cler-mont.Pour le reste, tudemanderasauxjoueurs.» DucôtédesvétéransDanielDu-pont et Alejandro de Castro, on aentendu le même son de cloche.«Pierre a essayé de nouveauxjoueursetjepensequecertainsontréalisé que le calibre universitaireétaitplusfortqu’ilspensaient,anotéDupont. Plusieurs devront hausserleurniveaudejeud’uncran.Pourlesprochainsmatchs,onnepeutcepen-dantpasfairepire.» «Pierreafaitdestests,aexpliquédeCastro.IlnousmanquaitaussidebonsvétéranscommeNicolasBenoîtet IannickTousignant. Lamoitié denosjoueursn’avaientjamaisjoué.» Seull’attaquantGhislainTapsoba

n’a pas lancé de pierres aux nou-veauxjoueurs.«Onconnaissaitbienles joueursdesCitadinsetonsavaitqu’onnedevaitpas leur laisser tropd’espace, a commenté Tapsoba.Quandonleslaissejouer,ilsarriventàfairedebelleschoses.Onn’avrai-mentpasbientravaillé.» Il est vrai que certaines recruesontsemblédépasséesàquelquesoc-casions.Parcontre,ilseraitabsurdedeleurlaisserprendretoutleblâme.

D’ailleurs, l’attaquantBachirDiopadémontrédetrèsbelleschosesdontune brillante créativité. Il manquecependant un peu d’ardeur au tra-vail. Plusieurs vétérans n’ont pas étéà la hauteur lors de ce match. LemilieudeterrainNicolasShaienksaconnu une rencontre misérable, luiquiesthabituellementtrèsfiableetconstant.L’attaquantÉmileDufour-Galantaétébon,maisilfaudraitqu’il

cesse de se décourager inutilementquandçanetournepasrond. En défensive, les arrières DanielDupont et Alejandro de Castroont joué un match correct, maisils devraient assumer plus de lead-ership positif au lieu de critiquervertement lesdécisionsde l’officiel.Les deux joueurs devraient prendre exemple sur le capitaine des Cita-dins, un véritable général, qui amenéseshommesdudébutà lafindumatch. Lors de la saison automnale, lesPatriotes avaient démontré qu’ilsétaientloindeformeruneéquipe.Lemécontentement était palpable etplusieursjoueursétaientinsatisfaitsde leur utilisation ou d’autres déci-sionsdeleurentraîneur. Au niveau individuel, les Pa-triotesmisent sur plusieurs joueurs talentueux. Par contre, au soccer,c’estlegroupequidoitpasseravanttout.Autermedecepremiermatch,il est clair que lesPatriotes ne vontpasdanslabonnedirection. Le prochain match local auralieule1erfévrierprochain,à16h,auCentreAlphonse-Desjardins, contrel’UdeM,championsde lasaisonau-tomnale.

SPORTS

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Une saison qui s’annonce très longueles GaRs s’inclinent 6 à 0 en ouveRtuRe de la saison hiveRnale

ANDRÉ MART INJournaliste | Sports

[email protected]

Les Patriotes ont été lessivés 6 à 0 en ouverture de la saison hivernale, dimanche dernier, contre l’UQAM. Photo : A. Martin

Page 20: Zone Campus 26 janvier 2009

BNC 09-0513ApprobationBien que tous les efforts aient été mis en œuvrepour éviter toute erreur, S.V.P., bien vérifier cette épreuve. Notre responsabilité se limite au remplacement des fichiers finaux.

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Zone Campus 2009Parution :Matériel requis le : 16 janvier 2009

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1. Le Programme financier pour les étudiants en santé de la Banque Nationale est offert aux étudiants à temps plein ou résidents (si applicable) en : médecine, médecine dentaire, médecine vétérinaire, médecinepodiatrique, optométrie, pharmacie et chiropratique et qui sont citoyens canadiens ou résidents permanents. Pour se prévaloir du Programme, l’étudiant doit fournir une attestation d’études ou de résidence.2. Sous réserve de l’approbation de crédit de la Banque Nationale. L’étudiant doit fournir son relevé de notes le plus récent, comme preuve de statut d’étudiant. 3. Sous réserve de l’approbation de crédit dela Banque Nationale. MDMasterCard est une marque déposée de MasterCard International Inc. Usager autorisé : Banque Nationale du Canada.

ET ACTION !