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Zoom sur l’agroalimentaire Volume 7, numéro 4 Février 2017 Bullen d’informaon de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine Étude sur une fiducie de terres agricoles aux Îles-de-la-Madeleine Robert ROBITAILLE, agronome La démarche sur « L’agriculture dans l’occupaon dynamique du territoire des Îles-de-la-Madeleine » a abou en janvier 2016 à une étude du Bon Goût frais des Îles de la Madeleine sur l’opportunité d’une fiducie foncière agricole. Selon l’étude, sans ententes formelles d’accès aux terres, les éleveurs invesssent peu dans l’entreen des sols, causant le déclin de leur producvité. Cee réalité nuit à la rentabilité et à la viabilité du secteur. Les propriétaires terriens non agriculteurs perçoivent mal leur importance dans le développement de l’agriculture, qu’ils connaissent relavement peu. Ils remeent à leurs enfants la décision de maintenir ou non le lien avec les agriculteurs. Le lien actuel sans caractère officiel leur semble acceptable, mais la moié d’entre eux se disent intéressés par des ententes formelles de locaon. La fiducie ne parait pas adaptée à la situaon et aux moyens du secteur. L’étude recommande plutôt divers ouls à déployer à court, moyen et long termes : Des ententes de locaon claires, équitables et adaptées aux réalités; Un guide de saine cohabitaon entre les différents usagers du territoire agricole, inventoriant les normes règlementaires obligatoires et les praques durables reconnues; Un répertoire de terres agricoles ulisées et disponibles; La remise en acvité du Comité consultaf agricole; Un mécanisme de partage des terres louées entre les producteurs; Un projet pilote d’intendance collecve volontaire de terres agricoles avec des propriétaires terriens non-agriculteurs. Le syndicat des producteurs agricoles reprend le dossier et poursuivra la démarche. Optimisez votre utilisation du Web et des réseaux sociaux Carmen ST-DENIS, agronome, adjointe au directeur Quelle que soit leur taille, les entreprises doivent inévitablement choisir des canaux pour communiquer avec leur clientèle. Le Web et les réseaux sociaux sont de bons moyens pour le faire et ils sont même devenus incontournables. Toutefois, il faut savoir bien les uliser dans le contexte global d’une stratégie markeng. Certaines entreprises bioalimentaires savent rer profit de ces moyens de communicaon, d’autres en sont à leur début. Quel que soit leur degré d’aisance, les entrepreneurs ont toujours à poursuivre le développement de leurs compétences dans ce domaine. Pour ce faire, une formaon sur l’ulisaon du Web et des réseaux sociaux est offerte aux entreprises de producon et de transformaon alimentaire. Afin de permere à plus d’entreprises d’y parciper, elle aura lieu le mercredi 8 mars à Bonaventure et le jeudi 9 mars à Sainte-Anne-des- Monts. La formatrice, M me Édith Jolicoeur, se spécialise dans les stratégies Web, les médias sociaux et la communicaon numérique. Cee formaon vous permera, entre autres choses, d’aeindre les objecfs suivants : Savoir rer profit du Web en région; Connaître les étapes d’une bonne stratégie; Savoir reconnaître les « bons » réseaux pour son entreprise; Comprendre Facebook : le taux d’engagement, la portée et la conversion; Savoir uliser Google Entreprise; Comprendre les critères de référencement. L’événement est organisé par le Conseil de développement bioalimentaire de la Gaspésie – fier propulseur de la marque Gaspésie Gourmande, en collaboraon avec le Collecf en formaon agricole, le réseau Agriconseils et le MAPAQ. Le coût de la formaon est de 50 $ et cela inclut le dîner. Pour vous inscrire, communiquez avec M me Jovee Arsenault au 418 388-2282, poste 1950. Dans ce numéro La phytoprotecon, thème du colloque Céréales à paille... 2 Démysfiez vos analyses de sols : les éléments minéraux 3 À l’agenda 4 Changement organisaonnel 4 PDSA - Appel de projets au 1 er avril 2017 4

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Zoom sur l’agroalimentaire

Volume 7, numéro 4 Février 2017

Bulletin d’information de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine

Étude sur une fiducie de terres agricoles aux Îles-de-la-Madeleine

Robert ROBITAILLE, agronome

La démarche sur « L’agriculture dans l’occupation dynamique du territoire des Îles-de-la-Madeleine » a abouti en janvier 2016 à une étude du Bon Goût frais des Îles de la Madeleine sur l’opportunité d’une fiducie foncière agricole.Selon l’étude, sans ententes formelles d’accès aux terres, les éleveurs investissent peu dans l’entretien des sols, causant le déclin de leur productivité. Cette réalité nuit à la rentabilité et à la viabilité du secteur. Les propriétaires terriens non agriculteurs perçoivent mal leur importance dans le développement de l’agriculture, qu’ils connaissent relativement peu. Ils remettent à leurs enfants la décision de maintenir ou non le lien avec les agriculteurs. Le lien actuel sans caractère officiel leur semble acceptable, mais la moitié d’entre eux se disent intéressés par des ententes formelles de location. La fiducie ne parait pas adaptée à la situation et aux moyens du secteur. L’étude recommande plutôt divers outils à déployer à court, moyen et long termes : • Des ententes de location claires, équitables et adaptées aux

réalités;• Un guide de saine cohabitation entre les différents usagers

du territoire agricole, inventoriant les normes règlementaires obligatoires et les pratiques durables reconnues;

• Un répertoire de terres agricoles utilisées et disponibles;• La remise en activité du Comité consultatif agricole;• Un mécanisme de

partage des terres louées entre les producteurs;

• Un projet pilote d’intendance collective volontaire de terres agricoles avec des propriétaires terriens non-agriculteurs.

Le syndicat des producteurs agricoles reprend le dossier et poursuivra la démarche.

Optimisez votre utilisation du Webet des réseaux sociaux

Carmen ST-DENIS, agronome, adjointe au directeur

Quelle que soit leur taille, les entreprises doivent inévitablement choisir des canaux pour communiquer avec leur clientèle. Le Web et les réseaux sociaux sont de bons moyens pour le faire et ils sont même devenus incontournables. Toutefois, il faut savoir bien les utiliser dans le contexte global d’une stratégie marketing. Certaines entreprises bioalimentaires savent tirer profit de ces moyens de communication, d’autres en sont à leur début. Quel que soit leur degré d’aisance, les entrepreneurs ont toujours à poursuivre le développement de leurs compétences dans ce domaine.Pour ce faire, une formation sur l’utilisation du Web et des réseaux sociaux est offerte aux entreprises de production et de transformation alimentaire. Afin de permettre à plus d’entreprises d’y participer, elle aura lieu le mercredi 8 mars à Bonaventure et le jeudi 9 mars à Sainte-Anne-des-Monts. La formatrice, Mme Édith Jolicoeur, se spécialise dans les stratégies Web, les médias sociaux et la communication numérique. Cette formation vous permettra, entre autres choses, d’atteindre les objectifs suivants : • Savoir tirer profit du Web en région;• Connaître les étapes d’une bonne stratégie;• Savoir reconnaître les « bons » réseaux pour son

entreprise;• Comprendre Facebook : le taux d’engagement, la portée

et la conversion;• Savoir utiliser Google Entreprise;• Comprendre les critères de référencement.

L’événement est organisé par le Conseil de développement bioalimentaire de la Gaspésie – fier propulseur de la marque Gaspésie Gourmande, en collaboration avec le Collectif en formation agricole, le réseau Agriconseils et le MAPAQ.Le coût de la formation est de 50 $ et cela inclut le dîner. Pour vous inscrire, communiquez avec Mme Jovette Arsenault au 418 388-2282, poste 1950.

Dans ce numéroLa phytoprotection, thème du colloque Céréales à paille... 2

Démystifiez vos analyses de sols : les éléments minéraux 3

À l’agenda 4

Changement organisationnel 4

PDSA - Appel de projets au 1er avril 2017 4

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Louis ROY, agronome

Les grains commerciaux se développent dans l’est du Québec et le rendement optimal ne peut être atteint sans un contrôle efficace des ravageurs et des maladies. Voici un résumé du colloque qui s’est tenu le 12 janvier dernier à Rivière-du-Loup.Cultiver des céréales sans herbicides, c’est possibleLes producteurs biologiques n’utilisent pas de pesticides. Ils appliquent des techniques préventives pour amener les mauvaises herbes sous un seuil de nuisibilité. « Mieux vaut prévenir que guérir », un incontournable en bio. D’abord, connaître la biologie des mauvaises herbes. Quand sont-elles les plus vulnérables? Choisir une rotation diversifiée comprenant légumineuses, engrais verts et prairies. Selon la culture, on touchera particulièrement les annuelles ou les vivaces à un moment précis de la rotation. Avant de semer, un faux semis ou une jachère réduira la pression des mauvaises herbes. Utiliser des semences certifiées sur un lit bien préparé, sans lisières non semées. Augmenter le taux de semis de 10 % en prévision des dommages causés par le passage de la herse étrille ou d’une « picoteuse ». On peut réussir sans herbicides, mais avec l’œil grand ouvert sur le sol.La fusariose des céréales, comment la traiter?Cette maladie nargue les producteurs de blé et d’orge à cause des mycotoxines qui sont produites. Le champignon vit sur les débris végétaux à la surface du sol. Les spores se propagent aux épis avec la pluie et le vent. Une météo humide autour de 20 à 30°C favorise l’infection des épis, au stade épiaison-floraison. Les symptômes apparaissent après trois semaines. On réduira l’infection en agissant sur la source d’inoculum :• Inclure dans la rotation autre chose que des céréales, surtout en semis

direct (ex. : canola, soya, pois);• Labourer les résidus de céréales de l’année précédente si on ne peut éviter

de ressemer encore une céréale;• Utiliser les cultivars les plus résistants (http://cerom.qc.ca/assets/contenu/docs/

guides/Grains-Guide-RGCQ-2016.pdf).

Les fongicides sont efficaces au stade épiaison-floraison; c’est bien avant l’apparition des premiers symptômes. À l’épiaison, consultez les données météo de votre secteur. Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) informe par courriel des risques d’infection pour toutes les stations météo. Êtes-vous abonnés? Quand la météo est propice, aucun moyen n’est suffisamment efficace s’il est utilisé seul. La rotation avec des légumineuses est une valeur sûre, mais il faut aussi utiliser les cultivars les plus résistants et appliquer, au besoin, le bon fongicide au moment de l’infection.Le seigle d’automne, une culture nettoyanteC’est le champion des plantes couvertures. La graine germe à 1°C à l’automne et le plant survit aux pires hivers. Dès l’automne, le seigle est dense et opaque

et affecte la germination des mauvaises herbes. Au printemps, c’est une bombe de croissance qui étouffe la concurrence. En prime, l’effet allélopathique équivaut à un sarclage dans le soya. Pour une répression maximale, on laissera les résidus de récolte en surface pour y semer directement la culture principale au travers (du soya par exemple). L’épais paillis du résidu de seigle est un élément répressif important. Si le seigle réfrène les annuelles, il est peu efficace à l’égard des vivaces. Un précédent de seigle réduit la moisissure blanche dans le soya. Quelques problèmes associés à la culture du canolaLa hernie des crucifères est la maladie redoutable dans la culture du canola, puisqu’elle cause une chute drastique des rendements. Une longue rotation sans crucifères est le meilleur moyen pour se protéger de cette maladie. La moisissure blanche est aussi une maladie courante, mais la rotation en réduit les risques. L’altise des crucifères endommage de plus en plus les premières feuilles. Parfois, l’usage d’insecticides est nécessaire.Des outils au bout des doigts • Réseau d’avertissements phytosanitaires :

réception par courriel de la situation des cultures dans votre région - www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/Productions/md/Services/Pages/InscriptionRAP.aspx

• SAgE pesticides : pesticides homologués pour une culture ou un ennemi particulier - www.sagepesticides.qc.ca/

• IRIIS phytoprotection : Banque d’images de ravageurs, symptômes et fiches techniques - www.iriisphytoprotection.qc.ca/

• Agrométéo : prévisions et données météo récentes, météo et cultures, longueur de saison de croissance - www.agrometeo.org/

• Info-Sols : information sur les terres agricoles, précédents culturaux, pédologie, photos aériennes, reliefs - www.info-sols.ca

Les présentations des conférenciers sont accessibles sur notre site Internet : http://www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/Regions/gaspesieilesdelamadeleine/profil/Pages/Colloque-Cereales-a-paille-et-canola.aspx.

La phytoprotection, thème du colloque Céréales à paille et canola

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Le potassium, le calcium et le magnésium

Beaudet(1) a établi des moyennes régionales pour le potassium, le calcium et le magnésium : respectivement 154 kg/ha, 3 216 kg/ha et 141 kg/ha. À titre comparatif, les résultats moyens pour le Québec étaient de 219 kg/ha de K, 3 580 kg/ha de Ca et 269 kg/ha de Mg.

Un sol avec moins de 101 kg/ha de potassium, moins de 1 000 kg/ha de calcium ou moins de 150 kg/ha en magnésium (moins de 100 en sols sableux) est considéré comme pauvre. Par contre, des applications de chaux magnésienne ou dolomitique corrigent rapidement des carences en calcium et en magnésium tout en améliorant le pH.

La mesure de saturation des bases montre, quant à elle, la proportion occupée par les ions K+, Ca++ et Mg++ dans les particules de sols. Ils partagent les emplacements avec les ions H+, à l’origine de l’acidité du sol. Bien que l’on ne se fie pas aux taux de saturation pour recommander des fertilisants, une recherche québécoise émet l’hypothèse que des taux de saturation de 1,25 % pour le potassium, de 3 % pour le magnésium et de 35 % pour le calcium seraient suffisants pour maintenir l’équilibre de bon nombre de sols québécois. Le taux de saturation monte avec le pH du sol.

Les éléments mineurs

Plus de données sont maintenant disponibles dans certaines analyses : bore, manganèse, fer, cuivre, zinc, etc. Le bore est jugé bas à moins de 0,7 ppm; il n’est pas rare que nos sols en soient carencés, tandis que des plantes comme la luzerne et les crucifères sont exigeantes quant au bore. L’ajout de bore à certains engrais constitue donc une option intéressante.

En ce qui concerne les niveaux considérés bas pour le Mn, le Fe, le Cu et le Zn, ils sont respectivement de 5 ppm, de 11 ppm, de 0,3 ppm et de 1,8 ppm. Le manganèse et le fer sont généralement très abondants dans nos sols, tandis que le cuivre et le zinc pourraient être surveillés dans des situations particulières.

Conclusion

Il est facile d’en perdre son latin avec les analyses de sol. Avec un bon conseiller, un guide de référence et la volonté de combler les bons besoins, le temps passé à bien décoder nos analyses peut vite devenir payant.

1. Guide de référence en fertilisation, 2e édition, CRAAQ

Éric LEPAGE, agronome, conseillers en productions animales

Voilà le dernier article de la série sur les analyses de sols. Nous examinerons les éléments fertilisants :

1) le phosphore (P) et le rapport phosphore sur aluminium (P/Al);

2) le potassium (K), le calcium (Ca), le magnésium (Mg) et les indices de saturation;

3) un survol des éléments mineurs.

Le phosphore et le rapport P/Al

Les sols de la région sont naturellement pauvres en phosphore. Ils présentent un degré de fertilité plus faible par rapport à d’autres régions qui ont souvent de plus fortes densités animales. Un sol est considéré pauvre en phosphore à moins de 61 kg de P/ha dans l’analyse.

Quand on ajoute un engrais phosphaté au sol, la majorité du phosphore (95 %) se lie aux particules de sols à proximité des granules et devient non disponible. Il est donc plus intéressant de le placer en bandes à proximité (5 cm) de la semence pour une meilleure efficacité.

Comme le phosphore se lie principalement à l’aluminium du sol, un indice de saturation P/Al est donné. Un indice élevé indique une tendance plus forte du phosphore à se mettre en solution dans l’eau du sol et ainsi à être plus disponible pour les plantes.

Par contre, le rapport P/Al ne doit pas dépasser 13,1 % dans des sols comme ceux de la région, seuil qui est jugé à risque au niveau environnemental.

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Démystifiez vos analyses de sols : les éléments minéraux (dernière partie)

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Zoom sur l’agroalimentaire est réalisé et mis en page trimestriellement par Mme Manon Cyr, technicienne en administration de la Direction régionale de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation34, boulevard Perron Ouest, case postale 524, Caplan (Québec) G0C 1H0Téléphone : 418 388-2282 | 1 877 221-7038 - Télécopieur : 418 388-2834Courriel : [email protected] internet : www.mapaq.gouv.qc.ca/gaspesieilesdelamadeleine

PDSAAppel de projets au 1er avril 2017

Carmen ST-DENIS, agronome, adjointe au directeur

Un appel de projets aura lieu le 1er avril prochain. Vous avez un projet et vous apprêtiez à le déposer? À titre de référence, nous vous invitons à consulter le programme complet sur notre site Internet. Il vous aidera à déterminer votre admissibilité. Les formulaires d’inscription et de demande d’aide financière sont également accessibles sur ce site :

www.mapaq.gouv.qc.ca/gaspesieilesdelamadeleine.

Pour en savoir plus, communiquez avec la conseillère ou le conseiller responsable de votre dossier à la Direction régionale en composant un des numéros suivants :

• Cap-aux-Meules : 418 986-4550• Caplan : 418 388-2282 ou 1 877 221-7038• Grande-Rivière : 418 385-3763 ou 1 877 221-

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À l’agenda

24 févrierLe calcul du coût de revient des produits agroalimentaires : simple et avantageux! - Cap-aux-Meules

8 marsDéfinir la date de péremption des aliments (ÉPAQ) - Campus du cégep, Îles-de-la-Madeleine

8 marsOptimisez votre utilisation du Web et des réseaux sociaux (CDBG) - Centre Bonne Aventure, Bonaventure

9 marsOptimisez votre utilisation du Web et des réseaux sociaux (CDBG) - Hôtel et cie, Sainte-Anne-des-Monts

9 mars Paroles de maraîchers! - UPA, New Richmond

15 marsDéfinir la date de péremption des aliments - ÉPAQ - Grande-Rivière

15 marsAnalyse des coûts de revient en maraîchage diversifié - Cap-aux-Meules et Caplan

23 marsIntroduction aux bonnes pratiques de fabrication ÉPAQ - Grande-Rivière

29 mars et 5 avril

Fabrication et utilisation de compost (CETAB+) Cap-aux-Meules et Caplan

21 et 22 avril

21 avril - Salon Gaspésie Gourmande (pour hôteliers, restaurateurs, institutions et détaillants) 22 avril - Marché public (ouvert à tous) (CDBG) Hostellerie Baie Bleue, Carleton-sur-Mer

Consultez le calendrier des événements de notre site Internet pour en savoir plus ou communiquez avec nous au 418 388-2282 ou 1 877-221-7038.

Ces activités sont organisées en collaboration avec nos partenaires.

Changement organisationnel

Mme Carmen St-Denis agit maintenant comme adjointe au directeur et conseillère en développement rural, tandis que Mme Johanne Guité agit comme conseillère en agrotourisme, en commercialisation et en transformation alimentaire.