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BIOPROTECT - B

Avril 2014

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◊ Rencontre entre deux entités œuvrant depuis 15 ans dans le domaine de l'agro-écologie :

- Biophytech à Montpellier, qui sélectionne, produit par fermentations et vulgarise l'emploi

de micro-organismes fongiques afin de fertiliser et protéger les plantes ,

- Arfa à Fada N'Gourma, qui forme les paysans à des techniques et méthodes biologiques

pour fertiliser et régénérer les sols, protéger les cultures contre les maladies et les insectes afin d'augmenter les rendements tout en évitant les

pollutions.

◊ Création d'un Groupement d'Intérêt Economique dénommé BIOPROTECT - Bpermettant de faciliter le transfert de technologies, par la mise en commun de moyens

des deux sociétés fondatrices, mais aussi à venir.

◊ Coordinateur d'un consortium de plusieurs autres acteurs de la filière que sont :- deux ONG en France : Agriculteurs et Vétérinaires sans Frontière (AVSF)/ Microfel

- de 2 centres publics de recherche agronomiques INERA et IRD- deux unions de producteurs Burkinabé (Neerbuli - Maasom)

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◊ BIOPROTECT – B à été créé en 2011 et son siège social est au Burkina-Faso.Il regroupe les activités des départements R&D des membres

dont le capital est répartis à 50/50 entre les fondateurs qui sont :

 - Biophytech basée à Agropolis à Montpellier depuis 15 ans, dont le créateur est Docteur,

valorise des brevets par des travaux de R&D avec l'INRA-Supagro, le CIRAD et l'IRD,qui emplois 4 collaborateurs pour un CA de 300 K€ en ventes produits.

- Arfa ONG Burkinabé basée Fada N'Gourma, dont le créateur est ingénieur agronomepromeut l’agro-écologie par un encadrement et un appui technique des agriculteurs,

pour l’emploi de produits biologiques, préalablement testés dans des fermes expérimentales.

Elle emploi 18 salariés, pour un budget annuel de 235 K€. Reconnue des organismes internationaux comme COLEACP, Commission de l’UE, Coopération allemande, ect.

Elle emploi des méthodes de R&D validées par l'INERA.

◊ BIOPROTECT – B est gérée par Arsène Savadogo, agro-économiste spécialiste en stratégie des entreprises agro-alimentaires et en management de projet

Diplômé de Montpellier I, il a été stagiaire à Biophytech et Arfa.Porteur du projet il a monté le plan d'affaires et les documents administratifs,

présenté les projets d'aide qui ont été primés par le PNUD, la GIZ, PIP, le PAEPARD.

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◊ BIOPROTECT – B propose des intrants d'origine organiques non polluantspermettant une revitalisation de la vie microbienne des sols

et une valorisation optimale des ressources localesafin de fertiliser et protéger des végétaux à fortes valeur ajoutée.

◊ Les produits sont des micro-organismes « positifs » (Trichoderma) et leurs extraits,issus des sols locaux afin d'être adaptés à leur :

- multiplication par fermentation sur résidus végétaux,- implantation dans différents types de sols,

Afin de stimuler, nourrir et défendre les plantes.

Une gamme de « ferticaments » est proposée à base despores vivantes (probiotique), extraits antibiotiques (fluidifiant) et enzymatiques (éliciteur)

◊ Une activité de service de diagnostic permet par des mesures en laboratoires :- d'analyser la vie microbienne en détectant les phytopathogènes et les ferments positifs,

- doser l'état physiologique de défense des plantes,- quantifier les réductions des pesticides des eaux, des plantes et des sols.

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◊ En terme de marché nos produits s’insèrent dans celui desfertilisants et fongicides.Dans la « niche » maraîchère laissée vacante par les firmes agrochimiques internationales,

surtout intéressés par les insecticides sur cultures de rentes et d'exportation,ces formulations produites localement permettent d'éviter des sorties de devises.

Elle répond à des problèmes :- d'inefficacité agronomiques des solutions chimiques (résistances),

- de pollutions chimiques de moyens et longs termes dans des écosystèmes fragiles,- de santé humaine des applicateurs par des profils toxicologiques « doux »,

- de consommation, par de faibles teneurs en résidus dans les végétaux.

◊ Technologiquement l'opportunité réside dans :- la valorisation de sous-produits biologiques locaux,

- un besoin d'investissements en matériels peu sophistiqués et peu complexes,- une production locale à bilan carbone faible,

- un fort besoin de main-d’œuvre.

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◊ Pas des molécules de synthèses, mais des agents biologiques fertilisants et protecteurs.Par des actions douces et progressives, leurs durabilités peuvent être de plusieurs années.

Aucune phytotoxicité ou pollution en cas de mauvais emplois, puisque biodégradables

◊ Pour obtenir ces formules, des travaux préalables de R&D ont été nécessaire par des :- isolement des clones dans la nature, caractérisation et sélection des propriétés,

- étude des conditions de fermentations solides les plus performantes, contrôles qualités- validations de leurs propriétés agronomiques en parcelles expérimentales,- formulation à des compléments et conditionnements pour maintient des qualités.

◊ Les résultats sont obtenus par les savoirs-faire scientifiques des membres.Mise en collection des clones. Dépôts brevets sur leurs propriétés, et mode d'obtention.

◊ Les partenariats externalisés avec les instituts de R&D publics permettent de :

- réduire les coûts d'accès aux matériels sophistiqués,- obtenir des conseils d'adaptation aux conditions locales auprès des chercheurs,

- publier, faire connaître et certifier la validité des résultats.

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◊ Le POTENTIEL:

- Maraîchage : 6 000 ha soit un potentiel de 1000 k€- Coton et sésame biologique: 7 000 ha soit un potentiel de 140 k€

- Prestation de service: 45 k€-

-◊ Nos ATOUTS :- Absence de producteur et de distributeur spécialisés dans les bio-pesticides.

- Bioprotect détient des droits (brevets et marques) et des maîtrises de savoir-faire du processus d’obtention des produits à base du Trichoderma.

- Gamme de produits homologués et conforme aux normes en vigueurs dans l’AO.

- Double action de fertilisation du sol et de protection des plantes.- Produit innovant, peu complexe à produire et facile d’utilisation.

- Essais de démonstration déjà conduits depuis 2 ans avec succès-Bonne connaissance du milieu rural Burkinabé et forte confiance des

agriculteurs-envers ARFA (15 ans), organisme de formation et de vulgarisation de ces

innovations.- Consortium établis reconnus par PNUD depuis 2 ans

avec présence d’unions de producteur (SEED).

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◊ NOTRE APPROCHE :

- Suivi personnalisé du producteur utilisateur et forte implication des unions de producteurs dans les démonstrations d’efficacité et de vulgarisation des produits

- Relations avec des institutions ou groupes leaders d’opinion capables de favoriser l’utilisation des produits (ONG, associations, presse spécialisée, etc..)

- Relation de partenariat avec les instituts publics : l'INERA afin de démontrer le « preuve du concept » agronomique, l'IRD pour valider scientifiquement les modes

d'actionier -et ainsi se démarquer des concurrents.

-- Appuis à la commercialisation des produits agricoles biologiques.

-◊ MODELE ECONOMIQUE :

- La vente direct sur culture à forte valeur ajoutée et la distribution pour les autres

- Les prestations de service : encadrement et formation d’agriculteurs ou groupe d’agriculteurs dans l’adoption de pratiques agro-écologiques et biologiques,

- La production-formulation autonome de bio-stimulants issus du Trichoderma ;

- Mises en place et suivis d’expérimentations agricoles, analyses de laboratoire.

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◊ PLAN d’ACTIONS SCIENTIFIQUES COLLABORATIVES :

- Multiplier les démonstrations d’efficacité agronomique des produits en milieu paysan, en collaboration avec l’INERA pour la validation auprès des autorités.

- Analyser avec les laboratoires de l'IRD :- les mesures microbiennes de revitalisation des sols (IRD Sénégal),

- la quantification chimique des apports en fertilisants et protection (IRD Ouagadougou ),

- la découverte de clones et supports de fermentation adaptés localement (IRD Marseille).

◊ OBJECTIFS et CALENDRIER DE DEVELOPPEMENT :

- 2014: Conquête du marché local (Mise en place d’une plateforme locale de production de bio-stimulants ;Conquête de 10% des agriculteurs membres des unions Nerbûli et Maasom, 5% des producteurs biologiques encadrés par des organismes et

de 1% des autres 35 889 maraîchers utilisant le plus de produits phytosanitaires.)

- 2015: Phase d’expansion (Diversification de l’offre ; Diversification du portefeuille clients ;Expansion géographique dans la sous-région)

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◊ FORCES :- Équipe managériale pétrit d’expérience,

- Des associés fondateurs qui connaissent très bien le monde agricole,- Déjà associés aux laboratoires IRD et sélectionnés à la pépinière Bond'innov, 

- Forme juridique du GIE qui permet l'entrée de nouveaux membres publics ou privés,- Un investissement de 15 000 € déjà réalisé,

- Le GIE avec l’appui du PAEPARD a créé en Février 2012 un consortium scientifique multi-acteurs pour la recherche et le développement agricole en Afrique.

◊ FAIBLESSES :- Produits nouveaux,

- Jeunesse de l’entreprise,- Faible surface financière de l’entreprise.

◊ QUELS BESOINS :

- Proximité avec la recherche publique avec accès privilégiés aux laboratoires (O,D,M),- Point de rencontre centralisé à visibilité internationale (Bondy),

- Reconnaissance dans l’éco-systeme de l’innovation, l’effet réseau,- Rejoindre une communauté d’entrepreneurs, être accompagné et formé à

l'administration.


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