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avril campus mag / 1

Le magazine des années étudiantes

www.planetecampus.com

Cinéma: RenContRe aveC teResa PalmeR et alex PettyfeR

CYRIL MOKAIESH / RAFRAÎCHIT LA CHANSON FRANÇAISE /

mode5 looks pour le printemps.

formationles masters

qui marchent.

Beautéles soins capillaires.

musiqueJehro.

158 avril 2011

Sommaire

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Musique

06 JEHROCinéMa

08 actualitéslivre

12 nOuvEautés17 bOns Plans iDF16 les sOins CaPillaires21 5 lOOks tEnDancEs22 MultiMédia

24 JEux30 lEs mastERs

EditoDepuis toujours, le printemps a été tenu pour un renouveau, un grand commencement, un début. c’est l’occasion de faire le ménage dans sa vie mais aussi autour de soi. profiter des beaux jours pour se demander quels sont « les masters qui marchent » ? Trouver l’album qui vous suivra au soleil, pendant la pause déjeuner histoire de décompresser. Tiens pourquoi pas un petit air de Jehro, entre rocksteady, soul, cha cha cha et calypso.Bouquiner flâner au gré de ses envies, histoire de se laisser respirer avant la fin de l’année scolaire et le début des stages d’été. prendre le temps de faire enfin, le tour des Bons plans si alléchants de votre magazine. « au mois d’avril toute bête change de poil » on ne déroge pas à la règle. a la rubrique mode vous trouverez les nouvelles tendances dont il faudra s’inspirer pour éviter le fashion faux pas ce printemps. Bon, il est grand temps de trouver un petit coin tranquille au soleil où savourez page par page votre magazine, sur ce bonne lecture !

20 rue voltaire 93100 montreuil - tél. 01 41 63 29 80 - [email protected] - Fax. 0141 63 29 89

Directrice de la publication Johanna Naon secrétariat lydia Faribault [email protected] Ont participé à ce numéro : Jean-michel cathelotte, mélissa idbazzi, Jonathan guez, Jonathan petro, Ovary,Docteur Flou, sarah riahi, Ornella lamberti, Françoise Krief, raphael Hudry, Thibault goehringer, Françoise Krief Publicité [email protected] Pôle culture : guillaume courchay [email protected] Pôle orientation : Karelle roussin [email protected] maquette scOB [email protected] impression vic services © couverture crédit

Dépôt légal à parution. Toute reprodution d’articles, d’annonces, publicités est formellement interdite et engage les contrevenants à des poursuites judiciaires.la rédaction décline toute responsabilité du contenu éditorial des magazines campus mag, campus mag culture, campus mag lycée campusmag est édité par 2NK mEDias, s.a.r.l au capital de 90 000 euros. gérante : Johanna Naon issN 1267-7876.

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Après une première expérience de groupe, Cyril Mokaiesh se lance en solo. Son premier album, Du rouge et des passions, sera dans les bacs le 25 avril. Il est revenu pour nous sur son univers, ses envie quoi séduire. Rencontre avec

un nouveau venu de la scène française qui vaut le détour.

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«DU ROUGE ET DES PASSIONS»AZ/UNIVERSAL MUSIC

Par Anne Boyer

CYRIL MOKAIESH : « JE SUIS EN CONSTRUCTION »

Cyril, pourquoi as-tu eu envie de tenter l’aventure seul, après l’expérience du groupe ? Ça s’est imposé artistiquement. avec mon groupe, on avait un projet sur lequel on se retrouvait tous. musicalement, et dans l’état d’esprit. Et puis quand on a senti que l’on commençait à faire des compromis, qu’on n’avait plus la même vision musi-cale de l’avenir, c’est devenu compliqué. pour porter un pro-jet, il faut y croire de manière vraie et totale, il ne faut pas que cela soit un compromis. Je suis plutôt tourné vers la chanson française, mon guitariste vers le rock alternatif. le mélange marchait bien, mais on a senti qu’on essayait chacun de rac-crocher l’autre à sa propre voie, et ça n’allait pas. On a pris naturellement des chemins différents.

Qu’est-ce qui a changé depuis pour toi ?le regard de l’arrangeur m’a guidé vers des émotions nouvel-les qu’on ne s’était pas autorisées jusque-là. avec le groupe, on faisait une musique noire, mélancolique, assez dure. ce n’est pas toute ma personnalité. Ça l’était sans doute quand j’avais 20 ans, mais aujourd’hui je n’ai plus envie de me can-tonner à ce que j’ai su faire. Je suis plus complexe que ça.le premier album était assez rock, avec basse, batterie, gui-tare. aujourd’hui, ma musique est beaucoup plus ouverte avec d’autres types de sons. l’utilisation de l’orchestre, par exemple, m’a toujours bercé. le côté grandiloquent, exalté, des sons d’orchestre – les cordes, les cuivres – donne une tonalité presque folklorique à l’ensemble. c’est la nouvelle option de l’album. il reste les chansons plus pop, plus tradi-tionnelles, dans la continuité de ce que je faisais avant. mais avec légèreté. J’ai moins besoin d’interpeller par la force. ce côté revendicateur m’est un peu passé. mon premier album solo est plus libre, plus assuré.

Quelles sont tes sources d’inspiration ? Je fais une différence entre ce qui m’inspire musicalement et ce qui m’inspire dans les textes. cela va de Noir Désir quand j’avais 18 ans, à léo Ferré, mon idole absolu, en passant par Jacques Brel, Nougaro... Et des choses plus légères aussi, comme sou-chon. c’est une famille à laquelle je suis sensible. c’est assez large, mais cela part d’un propos, d’une volonté de montrer sa vision du monde. Je suis touché par ces chanteurs qui ont im-posé une place différente.Et musicalement mes influences vont d’Erik satie à radiohead.

Que cherches-tu à exprimer par ta musique ?c’est sûrement prétentieux de dire cela mais j’essaye d’être un peu témoin de mon époque. Témoin et à la fois acteur, car je ne supporterais pas d’être un simple spectateur. Je suis dans mon époque, et ça m’intéresse. J’aime rencontrer les gens, discuter avec eux. les envies, les colères, les tristesses, tout ce qui touche à la sensibilité de l’homme sont des émo-tions que j’ai envie d’exprimer. c’est une manière de s’impli-quer réellement. mais je n’ai pas la prétention de changer la vie des gens.

Est-ce une forme d’engagement ?Oui, sans doute. J’aime les chansons slogan. mais l’album n’est pas seulement construit autour de titres engagés com-me communiste. Je l’ai assumé parce que je le trouvais très

franc, très direct. mais ce n’est pas la chanson qui reflète le plus le disque. J’ai tendance à ne jamais vouloir faire les mê-mes textes, les mêmes musiques. il y a deux, trois univers dif-férents dans cet opus. De la chanson française traditionnelle et des chansons beaucoup plus pop. Et enfin le côté engagé où l’on sent la filiation avec le premier album.pour l’instant, tout cela me nourrit. peut-être qu’un jour je ferai un choix entre rock, pop et variété. ma musique reflète ma personnalité. Je ne sais pas encore qui je suis. avec cet album on touche déjà beaucoup plus à ce qui me caractérise aujourd’hui. mais je crois que je suis encore en construction.

On sent un amour de l’écriture et de la poésie des mots dans tes chansons. Les textes t’attirent-ils plus que la mélodie ? l’écriture demande plus de temps et d’énergie. mais j’attache autant d’importance aux deux. la nouveauté de cet album, c’est ce contre-balancement entre la dureté de certains tex-tes et mon interprétation parfois dramatique, qui rend plus digérable mon propos. au final la musique et les textes disent autant, mais différem-ment. ce mélange apporte un équilibre. Dans la musique de chanteurs comme Brel, les instrumentaux sont souvent ma-gnifiques. sans cet habillage-là, les mots auraient moins de poids. On entend assez peu d’albums grandiloquents, avec des orchestres classiques. remettre cette forme de classi-cisme au goût du jour m’a beaucoup plu. On a enregistré en live. c’était important pour moi de faire vivre les morceaux comme on les ressentait sur le moment. avec les failles qui font que ça vit, sans tricher, avec toutes les petites émotions de l’instant.

L’écriture est-elle une souffrance pour toi ?Oui, je dois dire que ce n’est pas un plaisir d’écrire ! c’est un plaisir d’avoir fini d’écrire (rire). le plaisir ne vient que quand j’ai trouvé la brèche dans laquelle je peux m’engouffrer pour ne plus ensuite travailler que la mise en forme. la page blan-che est assez récurrente, même si j’ai conscience qu’il faut passer par là. Je mature les choses pendant un certain temps et puis, d’un coup, ça sort d’une manière ou d’une autre. mais ça demande du temps, et de l’énergie.ce que je cherche avant tout, c’est la trame du texte, puis la mélodie s’impose assez naturellement. ce qui m’excite c’est de trouver quelque chose que je n’ai pas encore dit, et que je ne pensais pas pouvoir réussir à sortir.

Quels sont tes projets pour les mois à venir ? On a parlé d’une tournée à l’automne prochain. J’ai hâte de remonter sur scène régulièrement, ça me manque. J’ai déjà fait quelques premières parties pour tester les morceaux. maintenant ça me démange de faire plus. Je joue à la maroquinerie au mois de mai, j’ai quelques petits shows prévus d’ici là. Et, j’espère, quelques festivals cet été avant d’entamer une vraie petite tournée à l’automne.

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Jehro Cantina Paradise

MUSIQUEPar Fabienne

Prevot

Fabienne : Pourquoi avoir choisi de faire de la musique ?Jehro : J’ai toujours baigné dans un climat artistique, mon père est auteur-compositeur et ma mère modèle de peintres et de photographes. La musique, c’est comme entrer dans un bateau : une fois embarqué, difficile d’en descendre.F : Quelles sont vos influences ?J : Je suis sensible à toutes les musiques des Caraïbes, d’Afrique, d’Amérique du sud, à la soul aussi. J’ai grandi avec la chan-son française Rive Gauche comme Léo Ferré qui véhiculait une forme de pensée qui collait bien à la chanson. C’était poétique et théologique. F : Quels-sont les poètes que vous aimez ?J : Baudelaire, Neruda, Gautier, Pessoa. Il y a une vraie sa-veur dans leurs rythmes, c’est très coloré. Pourtant, je ne comprends pas le portugais mais je ressens déjà cela dans la traduction en Français. Pablo Neruda est pour moi l’un des poètes qui a le mieux exprimé l’aspect charnel et la féminité. Il avait une façon de mettre en mots sa passion de façon délicate et profonde. F :  Par  qui avez-vous  été   le  plus  impressionné ?  Edwin Starr ou Toots Hibbert ?J : Celui qui me touche le plus est Toots. C’est le James Brown du reggae. Il vient d’un milieu populaire et il y a de la noblesse dans ses yeux et ses expressions, malgré ses vêtements sales.AF : Que représente pour vous votre passage à Londres ?J : Ça a été une période très importante car c’était la première fois que je me retrouvais tout seul. J’ai dû me débrouiller, dé-couvrir le système D... ça fait partie d’un chemin de construction . C’était riche, dense et j’ai beaucoup appris.F : Votre  premier  album  paru  en  99  révèle-t-il l’état d’esprit dans lequel vous étiez à ce moment-là ?J : J’étais inexpérimenté dans la production et je n’ai donc pas tout géré en termes de production musicale. Mais je sortais de cinq ans de groupe et j’étais ravi de chanter seul. Cependant, j’ai eu du mal à assumer cet album car tout ne me plaisait pas. Mal-gré tout, je n’ai pas de regrets.F : Pourquoi chanter en Français ?J : Au départ, bien que le Français soit ma langue maternelle, je n’étais pas très à l’aise avec. L’anglais est moins rigide, plus malléable. On dit que c’est plus facile pour des textes, mais non. Le son par contre, c’est vrai, est plus émotionnel. Mais

ce n’est pas la langue qui compte, je tente une interprétation à travers telle ou telle langue.F : Quels genres de musique ou d’ artistes écoutez-vous ?J : La bossa nova car c’est mélancolique mais pas triste, le jazz et la musique classique. J’aime beaucoup Cesaria Evoria, mélan-colique et souriante, et le Buena Vista Social Club, qui sourient alors qu’ils vivent des situations difficiles. C’est porteur d’espoir et cela préconise de garder confiance en la vie.F : Pour vous, que représentent l’art et la culture?J : La culture est un miroir réfléchissant, elle donne le pouls et la santé du message politique. J’ai pris le contre-pied, l’art pour moi donne de la douceur : c’est créer de la beauté… Je me sens pacifiste. J’exprime dans mes chansons mon amour de la vie, F : Une définition rapide de l’amour ?J : C’est ésotérique et, au sens large, c’est tout ce qu’il y a autour de nous.F : On dit que vos chansons font danser, rêver, tomber amou-reux. Qu’en pensez-vous ?J : Rêver, j’espère ; danser oui car le tempo tend à cela. Tomber amoureux, ouf ! Si c’était vrai je serais très, très riche !F : Préférez-vous le studio ou la scène et les tournées?J : Je suis timide, bavard donc la scène, ce n’est pas facile pour moi. Mais en même temps c’est fort, physique et formidable. Je suis plutôt contemplatif. Etre dans mon atelier avec ma guitare et en sortir quelque chose ça m’émerveille. Ce sont des mo-ments de paix, suspendus…F : Qu’est-ce que  vous aimeriez faire que vous n’ayez jamais fait ?J : Un tour du monde durant trois ans avec ma compagne et mes enfants dans un combi écologique.F : Votre album sortira le 31 mars. Et ensuite ?J : Une date au Café de la Danse à Paris puis une tournée en 2011 en France et en 2012 à l’étranger.Bien plus sur : www.jehro.net

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MORNING GLORYComédie USADe Roger MichellAvec Rachel McAdams, Harrison Ford, Diane Keaton, Patrick Wilson, Jeff Goldblum…6 avril 2011Becky Fuller, jeune productrice Tv de New York, reprend la matinale la moins regardée de la télévision. pour donner un coup de pouce à l’émission, elle engage un journaliste légendaire de la chaîne, dont le charisme n’a d’égal que les caprices, et qui entretient des relations avec sa partenaire à l’écran pour le moins électriques. le scénariste de le Diable s’habille en prada, le réalisateur de coup de foudre à Notting Hill, un casting de stars, tout est là pour faire de morning glory une réussite. On regrettera juste que les joutes verbales entre Ford et Keaton ne soit pas plus « méchantes ».

CInéMadvd

Par J.Guez

J-M.Cathelotte

RABBIT HOLEDrame

USADe John Cameron Mitchell

Avec Nicole Kidman, Aaron Eckhart, Dianne Wiest, Miles Teller…

Le 13 avrilBecca et Howie font face à la mort de leur fils il y a huit mois

chacun à sa façon, au risque de s’éloigner définitivement l’un de l’autre. Becca (Nicole Kidman nominée à l’Oscar de la

meilleure actrice pour ce rôle), en particulier, se rapproche de l’adolescent responsable de la mort de son fils. après Hedwig

and the angry inch et shortbus, mitchell change de registre avec ce drame subtil et émouvant. a noter que c’est l’auteur de

la pièce originale, David lindsay-abaire, qui signe le scénario.

LE FLINGUEURAction USA

De Simon WestAvec Jason Statham, Ben Foster,

Donald Sutherland, Tony Goldwyn…Le 6 avril

arthur Bishop est le meilleur dans son domaine, mais vous n’en entendrez pas parler car son job est de faire passer des meurtres pour des accidents. mais tout bascule quand le fils

de son dernier contrat, qui n’était autre que son ami et mentor, lui demande son aide ignorant qu’il s’adresse au meurtrier de son père. Entre le réalisateur des ailes de l’enfer et la vedette

du Transporteur, on sait qu’on ne va pas voir une comédie romantique : ça flingue, ça tabasse, ça explose… Bref, ça distrait

et c’est le but de ce remake du film du même nom, de 1972, avec charles Bronson, produit par les fils des producteurs de

l’original.

A BOUT pORTANTFilm d’action français réalisé par Fred Cavayé Avec Gilles Lellouche, Roschdy Zem, Gérard Lanvin samuel se trouve obligé de faire évader un homme sous surveillance policière. il a trois heures, sinon sa femme y passe... un thriller à 100 à l’heure, où l’action s’étend tout au long du film, malgré quelques incohérences scénaristiques. Bonus : Commentaires ; film-reportage sur Fred Cavayé .

GLEE SAISON 1 VOLUME 1Série américaine en comédie musicale créée par Ryan Murphy, Brad Falchuk, Ian Brennan, avec Matthew Morrison, Kevin McHale, Lea MicheleDans un petit lycée, un prof d’espagnol tente de reprendre en main le club de chant de l’établissement. petit problème : les élèves volontaires sont tous différents mais ne possèdent qu’un point commun, ce sont des loosers ! la série qui cartonne arrive en DvD (attention, la saison 1 sortira en deux volumes).

ApOcALYpSE NOw : Edition définitivEavec Martin Sheen, Marlon Brando, Frederic Forrest... l’un des plus grands films de guerre édité en version remastérisée, dans un coffret 4 DvD. l’histoire d’un jeune capitaine engagé pour abattre un colonel américain devenu fou au vietnam, la plongée vers les ténèbres humaines commence... inclus : le cut original ; la version redux ; documentaire de mme coppola sur les conditions inhumaines du tournage ; un livre de 100 pages sur coppola... plus de 9h de bonus dont 8h inédites en zone 2 !

MOTHER ANd cHILdDrame américain de Rodrigo Garcia, avec Naomi Watts, Annette Bening, Kerry Washington, Samuel L. JacksonTrois destins de femmes prises dans la tourmente de la vie vont se croiser pour le meilleur et pour le pire... séquence émotion ! Joies, affres et tabous de la maternité ont permis à ce film d’emporter le grand prix du festival de Deauville 2010. Bonus : Making of ; scènes coupées ; bande-annonce

Bonjour et bienvenue à Paris ! Quel âge avez-vous ?Teresa Palmer : Merci beaucoup, j’ai 25 ans.Alex Pettyfer : Je fête mes 21 ans le 10 avril.Teresa, comment es-tu arrivée sur le projet ?TP : Originaire d’Australie, j’ai pris des cours de théâtre puis j’ai été remarquée dans le film 2h37 qui fut présenté à Cannes. Lorsque j’ai reçu le scénario de Numéro quatre j’ai trouvé mon personnage (Numéro six) très rafraîchis-sant et différent de ce que j’avais vu jusqu’à présent. Ce n’était pas le rôle de la petite amie du héros mais un rôle fort à part entière.Alex, ton rôle est assez physique. Tu as subi un entraînement particulier ?AP : Oui, je me suis pas mal entraîné... Nous nous sommes préparés pendant trois mois avant le tournage. J’adore l’idée que je dois réussir une prise du premier coup parce que 100 000 dollars de matériel vont exploser derrière moi. La pression fait vraiment monter l’adrénaline. Quelles sont les spécificités du réalisateur  DJ Caruso (L’Oeil du mal, Paranoïak, Taking lives...) ?TP : C’est un homme qui rassemble les gens et en qui nous pouvons avoir confiance. Très particulier dans sa façon de diriger, il insiste beaucoup sur la collaboration de chacun sur le plateau. On s’asseyait souvent ensemble pour discuter des personnages et il était sensible à mes opinions. Très chaleureux et très gentil, il crée autour de lui un environne-ment positif.AP : Tout à fait. C’est un perfectionniste, qui te pousse à devenir meilleur acteur.Justement, quels conseils donneriez-vous aux jeunes qui veulent devenir comédiens ?TP : Je leur dirais de faire preuve de persé-vérance et de détermination. Etre toujours proactif face aux opportunités et bien sûr rester positif !AP : Il faut qu’ils fassent ce qu’ils aiment faire, il n’y a rien de plus important. L’expérience de la vie joue beaucoup plus que les cours de théâtre par exemple. Découvrir, rencontrer, s’intéresser... S’y mettre à fond.Teresa, parle-nous de ton documentaire.TP : Lors d’un voyage au Kenya l’année der-

nière avec la fondation « Happy Africa » pour travailler avec les en-fants du programme Hope School, j’ai réalisé un documentaire avec une petite caméra obtenue sur le tournage de Numéro quatre. J’ai été impressionnée par ces enfants qui n’ont rien mais qui pourtant sont incroyablement heureux de vivre. Je veux montrer cela aux gens : être riche matériellement parlant n’est qu’une condition

extérieure mais en aucun cas cela ne peut te procurer de la joie, qui est un sentiment intérieur. Quels sont vos projets ?TP : J’en ai beaucoup : produire, peut-être même réaliser le montage de mon documen-taire... Je suis dans une position bénie et j’espère l’utiliser correctement. Sans oublier que je souhaite également me marier !AP : J’ai de nombreux longs-métrages en préparation : Now le prochain Andrew Niccol, The Seventh son et je l’espère les prochains films de la franchise Numéro quatre !

RencontRe avec TERESA PAlmER ET AlEx PETTyfER, jEUNES héROS DU fIlmFilm de science-fiction américain de D.J. Caruso, avec Alex Pettyfer, Timothy Olyphant, Teresa PalmerDix extra-terrestres d’apparence ordinaire ont été placés sur Terre pour nous protéger mais ils sont devenus les proies de dangereux prédateurs. Sans eux nous ne sommes rien, et trois sont déjà morts. John est le quatrième. Pour survivre il doit constamment changer d’identité, d’école et d’amis. Premier amour, découverte de ses dons extraordinaires, confrontation avec les préda-teurs : ce n’est pas si simple de sauver le monde !

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Par Jean-Michel Cathelotte

JAcKASS 3Comédie USADe Jeff TremaineAvec Johnny Knoxville, Bam Margera, Steve-O, Chris Pontus… les tarés de Jackass reviennent pour de nouveaux défis idiots, souvent dangereux et écoeurants, mais très drôles! ce 3ème chapitre, tourné en 3D (pas de Br 3D annoncé pour l’instant) va encore plus loin. Bonus : version longue, scènes coupées, scènes inédites, making of.

LE cIdLA CHUTE DE L’EMPIRE ROMAIN Edition collectorDrame/Péplum De Anthony MannAvec Sophia Loren, Charlton Heston, Stephen Boyd, James Mason, Alec Guinness…Deux chefs-d’œuvre du cinéma d’anthony mann à redécouvrir dans ces éditions collectors remasterisées. Du grand cinéma, tout simplement.3h de bonus pour La Chute… Court métrage d’animation, making of et entretien pour Le Cid.

LA pROIE13 avril Film d’action français d’Eric Valette, avec Albert Dupontel, Alice Taglioni, Sergi Lopez...un ancien braqueur aujourd’hui en prison est plongé malgré lui dans une sombre affaire. pour sauver sa famille et prouver son innocence il devra faire l’impossible.Dans la lignée des films de Fred cavayé voici la proie, film d’action à la française. Ça court, ça crie, ça flingue et le résultat est inégal. Dénouement improbable, problèmes de rythme et de jeux d’acteurs : dommage, on y était presque. En attendant que les droits soient rachetés par les américains...

dEVIL THE NIGHT cHRONIcLES 1)

20 avril 2010Fantastique De John Erick Dowdle

Avec Chris Messina, Logan Marshall-Green, Geoffrey Arend, Bojana Novakovic…

Ça commence comme une histoire drôle : cinq personnes sont coincées dans un ascenseur… Et puis ça se gâte : l’une d’entre

elles est le Diable en personne ; qui est-ce et qui survivra ? produit et co-écrit par m. Night shyamalan, Devil est le premier

des Night chronicles, une série de films fantastiques qu’il écrira et produira. Et si c’est assez inoffensif (fans de gore, passez

votre chemin) et un peu trop didactique (une explication inutile en début de film, qui aurait pu gâcher tout l’intérêt du film),

Devil n’en est pas moins diablement efficace (oui, je sais, elle était facile celle-là !)

cHEZ GINO30 mars

Comédie française de Samuel Benchetrit, avec José Garcia, Anna Mouglalis, Samuel Benchetrit,

Sergi Lopezgino, italien, possède une pizzeria à Bruxelles. il est contacté

par ses cousins restés au pays : son oncle le grand mafioso va bientôt mourir. pour toucher une part de l’héritage il faut

qu’il leur prouve qu’il est devenu le grand parrain de la ville. il engage donc un jeune réalisateur sans budget afin de faire un

faux documentaire sur sa vie de parrain imaginaire... Très agréable, ce film est un croisement hybride entre

« J’ai toujours rêvé d’être un gangster » et « soyez sympas, rembobinez ». la jeune équipe incompétente usera de toutes

les -grosses- ficelles possible afin de faire passer gino pour un grand parrain, quitte à aller titiller la vraie mafia !

José garcia tient là le rôle qu’il attendait tant, dans lequel il peut à la fois émouvoir et faire rire. sergi lopez est un roc

fidèle à lui-même et anna mouglalis s’éclate. Décalé, tendre et croustillant.

bOUQUInPar Jonathan PretroThibault Goehringer chiner le design

Olivier Frénoy, Editions alternatives, 28 eurosamateurs de design industriel à l’ancienne, ce livre est fait pour vous. Ecrit par Olivier Frénoy, designer et chineur passionné, il répertorie les objets vintage et indémodables, d’hier et d’aujourd’hui, avec un sens aigu du bon goût. Où chiner, à quel prix, comment se repérer dans la multitude d’objets proposés, comment marchander ? ce guide de référence tente d’apporter une réponse à ces questions, et se propose d’identifier 1 000 objets – téléviseurs, radios, téléphones, ordinateurs, machi-nes à écrire, à calculer, électroménager, soins du corps, arts de la table, arts ménagers, accessoires de bureau, cendriers, mobilier, sièges, luminaires… – qui ont marqué l’histoire du de-sign. chaque objet est présenté avec photo, année de création, designer éventuel, fabricant, degré de rareté sur le marché et fourchette de prix. cerise sur le gâteau, l’ouvrage propose éga-lement une brève histoire du design, ainsi que toute une série de renseignements annexes (ouvrages et sites de références, adresses et lieux utiles…). À vous de jouer !

catalogue d’exposition «Miró sculpteur»sous la direction d’isabelle maeght, Gallimard, 35 eurosBien que surtout connu pour son œuvre picturale, l’espagnol Joan miró était également un fabuleux sculpteur et céra-miste. En 1964, il s’associe à la création de la Fondation mar-guerite et aimé maeght, pour laquelle il va créer une vaste œuvre sculptée, le labyrinthe. pour la première fois, sa sculpture se retrouve associée à l’architecture et à la nature, sources majeures de son inspiration : il met ainsi au point pour la Fondation un jardin onirique rempli de sculptures et de céramiques monumentales. le musée maillol se propose de restituer cette atmosphère à travers l’exposition qu’il consacre cette année à Joan miró, en présentant près de 160 œuvres de l’artiste, dont 80 sculptures et 27 céramiques. réalisé sous la direction d’isabelle maeght, commissaire de l’exposition, le catalogue « miró sculpteur » propose un panorama des œuvres exposées ainsi qu’une anthologie d’essais sur l’œuvre sculptée de l’artiste.

Milan Kundera ŒuvreDeux volumes. 60€//volume Edition Gallimard « bibliothèque de la Pléiade ».Dans le rideau, milan Kundera oppose à la « morale de l’archive », qui justifie la publication de tout ce qu’un auteur a pu écrire, la « morale de l’essentiel » : seuls appartiennent à l’œuvre les textes que l’auteur juge dignes d’être retenus. le reste relève de la biographie, peut-être des marges de l’œuvre, non de l’œuvre elle-même. la présente édition ne propose donc pas des Œuvres complètes, mais une Œuvre, complète dans la mesure où l’auteur en a lui-même dessiné les contours, fixé le titre et arrêté la présenta-tion. au sommaire de ces deux volumes figurent un recueil de nouvelles, neuf romans, une pièce de théâtre dont le point de départ est un roman et quatre essais consacrés pour l’essentiel à l’art du roman : quinze livres où se réalise pleinement la volonté esthétique de milan Kundera, mûre, consciente, assumée. le texte de ces livres, souvent retouché par l’auteur à l’occasion de rééditions ou de simples réimpressions, se veut aussi définitif que possible. On chercherait en vain, dans cette édition, une biographie de Kundera. On y trouvera en revanche la biographie de son œuvre. En quinze chapitres, un par livre, François ricard retrace le destin de ces livres et évoque les circonstances de leur publication, de leur diffusion, de leur réception. ces chapitres sont en-richis d’extraits de déclarations, de notes ou de préfaces dues à milan Kundera : autant d’écrits jusqu’alors difficilement accessibles, voire inédits en français.

lancelot, tome 2 : iweretcollectif, chez soleil, 13.50 euros

Nul n’est prophète en son pays. Dans la

légende arthurienne et notamment dans

l’histoire des chevaliers de la Table ronde,

arthur occupe une place de choix, même

si à plusieurs reprises lancelot du lac…

lui vole la vedette. ce deuxième volet

relate l’avènement de celui qui deviendra

le plus mystérieux des chevaliers en

quête du graal, appelé aussi « chevalier

errant ». le récit est captivant à souhait.

En garde !

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Barzoon circus, tome 1 : le jour de la citrouillede johan pilet et jean-michel darlot, chez treize etrange, 9.90 eurosdans l’amérique très profonde des années 30, au cœur d’une petite ville de l’alabama nommée temperance, le cirque barzoon pose son chapiteau, et ce, malgré un accueil quasi-fantoma-tique. très vite, de mystérieuses disparitions vont alerter nos enfants de la balle… pilet et darlot traitent cette enquête avec originalité et audace. l’essai est transformé.

Le siecle des ombres, tome 1 : la pierrecollectif chez delcourt, 13.50 eurosle baron d’holbach est un drôle de personnage. alors que certains se méfient de lui comme de la peste, d’autres tombent en admiration et lui donneraient le bon dieu sans confession. la prochai-ne mission de ce philosophe et encyclopédiste ? traverser l’atlantique et trouver la trace d’une pierre aux pouvoirs mystérieux. en plein siècle des lumières et à l’orée d’une révolution qui va faire grand bruit, certaines aventures d’intrigants personnages valent la peine d’être connues…

la compagnie des tenebres, tome 1 : De mario milano et patrick galliano, chez glénat, 13.50 euros new york, en 2017. terrorisme, pollution et pauvreté viennent troubler la tranquillité des citadins. un tueur en série d’en-fants est activement recherché par la police et l’enquête prend sa source dans les années 60, du temps où le mossad pour-chassait les anciens nazis… une intrigue qui nous fait voyager, et pas seulement sur le plan physique.

Super connardd’al covial, omar et fred, chez delcourt, 10.50 eurosaprès la télévision et la scène, nos deux compères du service après vente des émissions s’attaquent au « 9ème art », aidés d’al covial pour les dessins. l’ouvrage est consacré à l’un des personnages récurrents de fred : super connard. vous savez, celui qui se met juste à côté de vous au cinéma alors qu’il y a plein de places autour ou celui-là même qui ne rend jamais ce qu’on lui prête et qui ne sait plus à qui est quoi tellement son appartement regorge d’objets divers. super connard, eh oui, c’est lui !

07-Ghostauteur : Yukino ichihara / Yuki amemiya Editeur : kaze

Prix : 6,95 euros

il y a de cela plus de mille ans, le monde était divisé en deux

puissants pays de force égale : l’empire de Barsburg, sous

la protection divine de l’Œil du dieu raphaël, et le royaume

de raggs, protégé par l’Œil du dieu michael. lorsque raggs

fut anéanti par la puissance prodigieuse

de Barsburg, le destin du monde

bascula, en même temps que celui de

Teito Klein, un jeune garçon orphelin

qui, mystérieusement, n’eut plus

aucun souvenir de son passé... vé-

ritable OvNi du manga, 07-ghost est

une série vraiment prometteuse où

action et science-fiction s’entremêlent

parfaitement.

bOUQUInPar Jonathan PretroThibault Goehringer

contrée bénie des dieux, l’andalousie procure chaleur et joie de vivre à ceux qui viennent la visiter. au programme : caliente, tapas, vin de Jerez et décors à tomber.

Inutile de se le cacher : l’un des at-traits principaux de l’Andalousie est sa douceur de vivre, incarnée par un soleil qui peut briller jus-

qu’à 320 jours par an sur la Costa del Sol. Pour tout dire, la région propose les températures les plus élevées d’Eu-rope, ces dernières oscillant entre 14° en janvier et 26° en août avec des pointes à plus de 40°. Chaud ! « Terre de contras-tes» (comme on dit), l’Andalousie sait varier ses paysages : s’y mêlent la vaste plaine du Guadalquivir et les sommets de la Sierra Nevada, les collines ondulées de Jaén, plantées d’oliviers à perte de vue, et le désert de Tabernas, qui servit de décor à plusieurs westerns de Sergio Leone. Côté plages, la région est encore une fois plutôt bien lotie, se trouvant dans une position privilégiée au carrefour de la Méditerranée et de l’Atlantique. Des longues plages de sable fin de Marbella aux petites criques du cap de Gate, cha-cun devrait y trouver son bonheur. Conseil d’ami : évitez juillet-août, synonyme de tourisme de masse et de canicule. Pourquoi ne pas venir plutôt en avril, pour la grande feria de Séville, ou en mai pour pro-fiter d’un printemps déjà bien chaud ?Espace de rencontre entre l’Europe et l’Afrique, siège de cohabitation entres des peuples de toutes origines (Maures, Juifs, catholiques, Gitans), l’An-dalousie subjugue par la richesse et le raffinement de son patrimoine culturel. Présents entre le VIIIe et le XVe siècle, les Aabes y ont notamment laissé des monuments d’une impressionnante beauté, tels que l’Alhambra de Grenade et ses palais mauresques ou la Grande Mosquée de Cordoue. A Séville, vous pourrez vous perdre dans les ruelles médiévales du quartier de Santa Cruz et vous extasier devant la Cathédrale Notre-Dame du Siège de Séville et sa Giralda. Mais la culture andalouse ne s’arrête bien sûr pas à l’architecture : des claquements de talon du flamenco aux lâchers de taureaux qui ponctuent

les fastueuses ferias, la région n’est guère avare en folklore local. À Malaga, les passionnés d’art – et les simples cu-rieux - pourront aussi visiter la maison natale de Picasso ainsi que le musée où la collection personnelle du peintre es-pagnol se trouve exposée.Dans cette région qui semble dédiée à l’épicurisme, les amateurs de bonnes chères ne se sentiront pas abandonnés. Parmi les spécialités du cru, on retrou-ve les inévitables tapas, ces petits plats

d’une variété surprenante que l’on peut consom-mer à peu près n’importe où, accompagnés d’un verre de vin ou d’une bière fraîche. La région est également renommée pour ses jambons, notam-ment le fabuleux jamon iberico de jabugo, Rolls-Royce de la charcuterie espagnole, issu de porcs noirs nourris aux glands. Poissons grillés dégustés en bord de mer, gaspachos et fromages de brebis ou de chèvre (payoyo) achèveront de vous convertir aux mérites de la gastronomie ibérique. Chaque ta-ble s’orne bien entendu d’une bouteille huile d’oli-ve extra-vierge, nectar provenant des immenses oliveraies qui prospèrent sous ce climat ensoleillé. L’Andalousie étant aussi une grande productrice de vin, vous vous laisserez bien tenter par un verre (ou deux) de vin de Jerez, breuvage séculaire devant sa notoriété aux Anglais. Enfin, ne forcez pas trop non plus : souvenez-vous que le soleil tape !

Routard Andalousie : 12,90 euros www.routard.com

vOYaGEavEC LE ROUTaRd

Par Thibault Goehringer

L’AndALousie : LA beLLe du sud

Les bons pLans du RoutaRd

A SévilleOasis Backpacker’ : pl. de la Encarnación, 29 ½, 41004. P954-29-37-77. Nuitée 15-20 €/pers en dortoir 4-8 lits, 25 €/pers en double, petit déj inclus. Internet, wifi. Une AJ sympa et moderne proposant des dortoirs impeccables avec salle de bains intégrée, et quelques chambres doubles confortables. Bonne ambiance internationale dans le petit patio-salon central avec verrière, jouxtant un bar lounge. Cuisine bien équipée au dernier étage, attenante à une terrasse, avec petite piscine et solarium, ouverte sur la Giralda. L’ensemble est propre, calme, très central et fort sympathique. El Patio San Eloy: c/ San Eloy, 9. P 954-22-11-48. Tlj 11h30-16h30, 19h-23h30. Taberna où l’ambiance est vraiment chaude aux heures de pointe. On boit beaucoup, sous la ribambelle de jambons qui sèchent au-dessus du bar, tout en mangeant des petits sandwichs de toutes sortes (saumon, roquefort) ou des empanadas. Allez vous installer sur les gradins du fond : on se croirait dans un ancien hammam plus que dans un bar ! Casa de la Memoria de Al-Andalus) : c/ Ximénez de Enciso, 28. P 954-56-06-70. Dans le quartier de Santa Cruz. Spectacle flamenco ts les soirs à 21h (et parfois 2 représentations sont prévues à 19h30 et 22h30 selon le programme et le monde), sur résa ; passez sur place pour réserver (11h-14h, 16h-20h. Entrée : 15 €; étudiants : 13 €. Ce vieux palais andalou a gardé toute sa splendeur et son élégance orientale. Au rez-de-chaussée, le patio intérieur, entouré d’arcades, sert de cadre à des spectacles de flamenco. Le spectacle est de très bonne qualité, car il est assuré par les meilleurs élèves de l’École nationale de flamenco de Séville.

A CordoueThe Terrace Backpacker’s : c/ Lucano, 12, 14003. P 957-49-29-66 Nuitée 12-17 €/pers en dortoir ; double 19-25 €/pers ; petit déj inclus. Internet, wifi. À proximité de la Mezquita et à deux pas de la plaza del Potro, cette nouvelle AJ a tout pour plaire. Les dortoirs aux couleurs agréables sont absolument nickel, tous avec salle de bains. Les doubles valent en qualité celles d’un bon hôtel de catégorie moyenne. Au 3e étage, agréable ter-rasse avec cuisine attenante et belle vue dégagée sur la Mezquita. Accueil, très chaleureux, et excellents conseils donnés par un jeune couple plein d’attentions. Casa Rubio: c/ Puerta de Almodóvar, 5. P 957-42-08-53. Tlj midi et soir. Compter 10 €/pers ; tapas 2-3,50 €, medias raciones 3-14,50 € et raciones 4,50-22 €. Bar à vins et à tapas avec une grande terrasse sympa sur la rue piétonne. Tapas vraiment délicieuses et copieuses qui peuvent allègrement remplacer un repas. Les beignets de morue et les croquettes maison sont à tomber !

14 / campus mag mars

( PAROlES D’ExPERT)

Septembre 2003. Au détour d’un trajet en taxi, Almira Skripchenko découvre le poker. Quelques heures plus tard, elle bat ses mentors et se retrouve en table finale d’un tournoi de poker

sur les Champs-Élysées. Aujourd’hui, sous le pseudonyme de « Chess Baby », Almira dispute les plus grands tournois de poker du circuit professionnel aux couleurs de Winamax.

Vous êtes Grand Maître International d’Échecs, l’apprentissage à haut niveau vous a-t-il aidé pour le poker ? La formation d’un joueur d’Échecs commence dès l’âge de 6 ans, on aiguise notre faculté d’analyse, notre capacité à nous concentrer, le tout avec une certaine contrainte de temps. Un transfert naturel sur le poker s’est donc

( L’ INfO )

ON REfAIT lE mATCh... AU POkER !

Envie de répéter la victoire lors du dernier derby ou de chambrer des supporters rivaux ? Déçu de la performance de votre club ce week-end ?Rejouez chaque lundis soir à 21h les matchs de Ligue 1 sous les couleurs de votre équipe.

Lors de votre inscription à l’un des tournois, vous pourrez choisir l’avatar de votre club et représenter fièrement vos couleurs. En plus du prize-pool, les joueurs qui arrivent en table finale marquent des points pour leur équipe.Celle avec le plus gros score sera déclarée gagnante du « Match Retour ». Le score maximum est de 10-0, le match nul est possible (5-5).Si vous supportez plusieurs équipes, vous pouvez jouer plusieurs matchs retours lors de chaque journée.Le classement général des 20 équipes et des meilleurs buteurs seront actualisés chaque journée des matchs retours. A l’issue du championnat, des récompenses seront attribuées aux vainqueurs.N’attendez plus pour rejoindre votre équipe de cœur et rendez-vous tous les lundis soir à 21h !

( l’ImAGE DU mOIS )

en mars dernier, le coach stéphane Matheu a rassemblé l’ensemble du team Winamax sur les hauteurs de nice pour trois jours «au vert». au menu du séminaire : du sport, des ateliers stratégique, et des rencontres avec des professionnels pour discuter motivation, préparation, nutrition...

TOURNOIS ONlINE

kill the Pros : mercredi 6 avril à 21h buy-in : 5 € Garantie : 15 000 € prime à chaque pro éliminé

kill the champions : mercredi 13 avril à 21h buy-in : 5 € Garantie : 20 000 € prime à chaque sportif éliminé

kill the local Heroes : mercredi 20 avril à 21h buy-in : 5 € Garantie : 15 000 € prime à chaque lH éliminé

kill the People : mercredi 27 avril à 21h buy-in : 5 € Garantie : 15 000 € prime à chaque people éliminé

kill the Fish : tous les jours buy-in : 5 €Qualification Winamax campus Poker tour - Finale Holidays : 17 au 28 avril à 20h buy-in : Freeroll Garantie : 100 places pour la Finale du 2 mai à chaque tournoi

l’aquarium : tous les soirs à 20h15 buy-in : 1 € Garantie : 1 000 €aFtER WORk : tous les soirs à 20h15 buy-in : 20 € Garantie : 4 000 €xtasE : tous les soirs à 20h15 buy-in : 100 € Garantie : 5 000 €

xtRa : tous les soirs à 20h30 buy-in : 10 € Garantie : 15 000 €

maD max : tous les dimanches à 18h buy-in : 2 € Garantie : 12 000 €

CIRCUIT INTERNATIONAl

EPt berlin : 5 au 10 avril buy-in : 5 300 € suivez le reportage sur wam-poker.com

EPt san Remo : 26 avril au 4 mai buy-in : 5 300 € suivez le reportage sur wam-poker.com

( L’AGENDA )

Win

amax

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rent

Clé

men

t

L’espace pOKeREn partenariat avec Winamax.fr

opéré assez facilement. Au poker comme aux Échecs, on fait usage des mêmes facultés, c’est bien pratique. Le seul bémol, c’est que dans les Échecs on est dans une recherche de vérité absolue alors qu’au poker on doit bluffer. Au début, maîtriser le bluff a été assez compliqué pour moi.

Avez-vous des rituels, grigris avant de commencer une partie? Non, je suis le résultat d’une formation cartésienne (rires). En général, les gens se servent de la superstition pour trouver des explications à leurs échecs, je pense que ce sont des réflexes humains. Cela se comprend. La défaite est une chose douloureuse, mais ce n’est pas du tout dans ma nature de l’attribuer à autre chose qu’à moi-même. Quels conseils donneriez-vous à des étudiants débutants qui souhaitent s’adonner au poker ? Il faut qu’ils comprennent que le poker c’est comme les études, ça s’apprend. Il est nécessaire de travailler son jeu, faire évoluer ses connaissances, connaître les règles et avoir une grande discipline dans le travail. Beaucoup apprennent à jouer sur le net, je les invite à prendre leur courage à deux mains afin de franchir les portes du tournoi live. C’est la meilleure façon de voir comment on réagit dans une compétition. On sait tout de suite si on est fait pour ce jeu. Pour jouer au poker il faut être un athlète, avoir du sang froid, mais surtout, garder en tête que le jeu ne doit pas avoir d’emprise sur notre quotidien.

Que t’apporte Stéphane Matheu, le coach du Team Winamax ? La notion d’entraîneur est tellement présente aux Échecs que je suis ravie d’en avoir un. C’était inespéré. J’ai besoin de discipline, mais aussi, besoin parfois de me détacher. Pour cela j’ai besoin de quelqu’un qui structure ma vie et m’aide à avoir une bonne condition physique. On vient tous les deux de milieux différents. Stéphane vient du tennis et moi des Échecs, c’est un réel atout. On utilise un modèle sportif pour mes entraînements au sein du Team Winamax : des exercices de travail des mains et bien d’autres notions… Mais je ne vais quand même pas tout vous révéler !

Win

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ALMIRA SKRIPCHENKO

«CHESS BABY»TEam WiNamaX

Jouer comporte des risques : endettement, dépendance... appelez le 09 74 75 13 13 (appel non surtaxé)

avril campus mag / 17

Sweeney Todd

Thriller musical de stephen sondheimaprès a little Night music du même compositeur la saison dernière, le châtelet continue sa programmation autour de Broadway et présente une version de l’œuvre telle qu’elle était donnée en 1979 à New York d’après la pièce de christopher Bond. Humour noir, satire sociale, messages

1. Joss stone- Tell me What

We’re gonna Do Now

2. Drake -ready for you

3. Jamie foxx drake -falls for

your type

4. Ryan leslie ft Jasmine

villegas - Hello

5. shontelle - impossible

6. marva Whitney and James

Brown sunny

7. Wiz khalifa- roll up

8. big sean- my last

9. Diddy dirty money - come

home 10. trina tpain - ghetto

HiP HOP sOul list

jETnotre associationJob Etude Team est une association créée et gérée par des étudiants de l’Em lyon Business school. JET propose aux étudiants des missions ponctuelles pour des entreprises de la région lyonnaise. c’est donc une agence d’intérim au sein de l’école, pour les étudiants. Nous assumons des missions diverses et variées, allant de la prospection téléphonique au tractage en passant par des missions d’hôtesses dans des salons.JET est donc une association qui a toute sa place au sein de l’école et qui est très appréciée par les étudiants pour la simple raison qu’elle leur propose des moyens de gagner de l’argent. JET a également mis en place un processus simple pour poster les candidatures via le site internet. De ce fait, notre équipe déploie de nombreux efforts afin de proposer un large nombre de missions, afin que chaque étudiant puisse avoir une chance de décrocher une mission.nos valeursles cash me if you can veillent à respecter et à pérenniser les valeurs de JET transmises par nos prédécesseurs. ainsi, nous sommes connus pour notre sérieux et notre sens des responsabilités car notre association est en contact constant et direct avec le monde professionnel. Nous avons conscience de représenter notre école dans le monde extérieur c’est pourquoi nous nous soucions tous de la qualité de notre travail mais aussi des prestations des étudiants que nous engageons pour les missions. cependant, JET est aussi une association qui donne à chacun d’entre nous un sens à notre vie à l’Em lyon. Joie, bonne humeur et amitié sont également des valeurs importantes pour tous les membres.

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4 FS Presse Campusmag_FS Presse Campusmag 01/04/11 10:26 Page1

à la fois sombres et légers… ce diabolique barbier de Fleet street va vous surprendre et vous emmener dans son histoire tragi-comique.Direction musicale David charles abellDu 22 avril au 21 maithéâtre du châtelettél. 01 40 28 28 40

Le BouTon de RoSe

un spectacle raffiné, subtil et surprenant sur le plaisir féminin, raconté, ressenti par une conférencière sérieuse, voire austère, bien documentée sur le sujet mais qui aura des moments d’égarement, bouleversée par les propos qu’elle tient. Quelques chansons et des allusions à voltaire, verlaine ou Brassens ponctuent ce spectacle intimiste qui ne manque pas de fantaisie. un texte signé et interprété

par sophie accaoui aidée par laurent lévy pour la mise en scène. tous les lundis à 20hEssaïon théâtre6 rue Pierre au lard, Paris 4èmeloc. 01 42 78 43 18

Roméo eT JuLieTTe

Ballet du grand Théâtre de genèvela chorégraphe Joëlle Bouvier nous présente, avec 22 danseurs, sa version contemporaine de ce drame de l’amour fou, de ces amants de vérone

18 / campus mag avril avril campus mag / 19DécEmBrE campus mag / 19

immortalisés par shakespeare et merveilleusement mis en musique par serge prokofiev.les 7, 8 et 9 avril à 20h30théâtre national de chaillot1 place du trocadérotél. 01 53 65 30 00

Le JameL Comedy CLuB vouS aCCueiLLe gRaTuiTemenT

vous avez toujours voulu assister en direct aux sessions du Jamel comedy club ? alors rendez-vous tous les mardis à 21h30 pour la « Debjam comedy » ! Organisée gratuitement, elle a pour but de faire découvrir les jeunes talents du Jamel comedy club repérés par Jamel Debbouze en personne, et qui pourraient bien intégrer la célèbre troupe d’humoristes. la soirée d’1h15 est animée par issa Doumbia et alban ivanov, dans l’ambiance intimiste du théâtre parisien du comedy club. c’est la meilleure occasion pour passer un très bon moment devant les sketches d’une nouvelle génération désireuse de faire ses preuves. pas besoin de réservation pour y assister, mais nous vous conseillons d’arriver au moins une heure à l’avance pour avoir une place. l’entrée étant gratuite, cela attire du monde. a noter également que

l’achat d’une consommation est obligatoire, et que les moins de 16 ans devront être accompagnés d’un adulte. Dépêchez-vous, cela se termine le mardi 31 mai ! www.lecomedyclub.com (rubrique spectacles)chaque mardi à partir de 21h30le comedy club42 bd bonne nouvelle75010 Parism° : bonne nouvelletél. : 01 73 54 17 00Email : [email protected]

Le miRoiR

De et avec la comédienne Trinidadun thriller psycho-humoristique dont le titre pourrait être aussi « comment savoir à ce point ce qu’on veut faire de sa vie et avoir autant de mal à y arriver ». un voyage au pays des souvenirs, des secrets, d’une quête, une aventure humaine autour d’une femme qui se cherche et veut devenir chanteuse…les lundis à 20hthéâtre trévise14 rue de trévise, Paris 9ème

un TouRnoi de moRTaL KomBaT, a vouS diT ?

le magasin Fnac de parly 2 dans les Yvelines organise un tournoi gratuit du jeu vidéo mortal Kombat 4 sur ps3 le mercredi 20 avril 2011 entre 14h et 18h. Dernier-né de la célèbre série de jeux de combat, mortal Kombat peut se jouer tout seul, mais aussi à deux pour la première fois,

fACEbOOk OU COmmENT fAIRE DE bEAUx RêvEScette nuit, j’ai rêvé (jusque-là, nous sommes heureux). vous voulez savoir de quoi, hein ?alors voilà : j’ai rêvé de certaines personnes que je n’ai pas vues depuis quinze ans ou plus. Oui, des gens de l’école primaire, parfois même des gens des colonies de vacances ou même encore des gens qui font du cheval ou ne vivent que pour YouTube. Enfin, je n’ai jamais été en colonies de vacances mais bon. Est-ce que tu sais pourquoi j’ai rêvé de ces gens-là ? a cause de Facebook. il n’y a que Facebook pour te faire rêver de gens expulsés et enfermés dans ton subconscient. c’est incontrôlable un rêve, c’est hors norme, c’est illogique. ma page d’accueil Facebook, que j’épluche avec soin entre les citations burlesques des uns et la vie des autres, est truffée de noms et de prénoms. D’informations inutiles sur le célibat des uns et les passions des autres. Tous ces gens s’invitent dans mes rêves.cette nuit, un copain de primaire m’a sortie d’un pétrin, moi qui étais bloquée porte de saint-cloud, à attendre un métro annoncé dans 41 minutes. Et il avait une trottinette. rapport qu’on s’est connus au temps de l’apogée des trottinettes. grâce à Facebook, tu retrouves des inconnus dans tes moments les plus intimes.arrête, ça me dégoûte. même qu’avec Facebook tu peux faire des mélanges. Tu peux rêver d’un collègue qui rencontre ta belle-soeur, ou de tonton Jojo qui poste une vidéo Dailymotion en mettant “like” sur tes dernières photos de soirée. voilà, la nuit il se passe des trucs étranges entre ma vie réelle et mes amis virtuels plantés dans un décor Web 2.0. reste à savoir dans les rêves de qui je m’immisce, maintenant.

2010

2011

Vivrele théâtre

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Théâtre Scène nationalede Saint-Quentin-en-Yvelines

musique • théâtre • danse

01 30 96 99 00 theatresqy.org

Julius Caesar(Jules César)de William Shakespearemise en scèneArthur Nauzyciel

> 6, 7 et 8 avril

D’hier à aujourd’hui l’histoire sans cesse se renou-velle. Entouré d’acteurs américains époustouflants,Arthur Nauzyciel a situé l’action dans les années 60,un moment fort de l’histoire outre-atlantique sur lequel plane l’ombre de Kennedy.

La presse en parle •••« S'appuyant sur des comédiens à la présence magnifique, Arthur Nauzyciel ouvre la pièce sur le proche et le lointain panoramique. Du cinéma ?Plus encore : du très grand théâtre. Un spectacle magistral et bouleversant. » [Laurence Liban, L’Express]

demi.avril.11_Mise en page 1 09/03/2011 11:07 Page 1

permettant de faire des combos toujours plus dévastateurs. incarnez Kitana, sub Zero, liu Kang ou encore Kung lao, et tentez de remporter les nombreux lots mis en jeu par la Fnac ! un après-midi de baston, de sang et de violence en perspective, pour décrocher un peu des études.l’inscription est gratuite et à effectuer à l’accueil du magasin Fnac parly 2, dans la limite des places disponibles.mercredi 20 avril 2011 de 14h à 18hFnac Parly 2 (rayon gaming)52 av. Dutartre78150 le chesnaytél. : 0825 020 020www.fnac.com

aKhmaTova

Opéra de Bruno mantovanile compositeur, né en 1974, a répondu à une commande de l’Opéra de paris consistant en l’écriture d’une œuvre sur un thème de son choix. Bruno mantovani a donc décidé d’écrire sur la vie d’une poétesse russe célèbre, anna akhmatova. cette femme, à la vie particulièrement mouvementée, a été radiée de l’union des Ecrivains soviétiques sous staline. ce n’est qu’après la mort du dictateur qu’elle a pu être réhabilitée. l’œuvre évoque la terreur politique et la privation de liberté pour les artistes dans les régimes dictatoriaux. 6 représentations du 28 mars au 13 avrilOpéra bastilleloc. 08 92 89 90 90 www.operadeparis.fr

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LeS SaLonS de ReCRuTemenT éTudianTS en avRiL-mai

le jeudi 14 avril et le jeudi 19 mai 2011 se tiennent trois salons de recrutement d’étudiants, consacrés aux fonctions commerciales. les deux premiers ont lieu à lyon, le troisième à paris.commençons avec lyon, qui accueille le 20ème carrefour des carrières commerciales parallèlement au Job salon Distribution le jeudi 14 avril de 10h à 17h. Exclusivement consacrés aux fonctions commerciales (commerce et distribution), ils s’adressent aux diplômés de bac +2 à bac +4/5, qu’ils soient débutants ou professionnels. une quarantaine d’entreprises viendront proposer des centaines de postes. c’est lE rendez-vous à ne pas manquer pour rencontrer des employeurs et trouver un emploi qui vous correspond. l’entrée est gratuite, vous pourrez retrouver toutes les informations et les invitations gratuites sur www.jobrencontres.fr. lyon – cité internationale/centre de congrès – 6ème arrondissement.

18 / campus mag avril

20 / campus mag avril avril campus mag / 21

MOdE

idem pour l’espace champerret dans le 17ème arrondissement de paris qui accueillera la 63ème édition du carrefour des carrières commerciales le jeudi 19 mai entre 10h et 18h. les diplômés en commerce de bac +2 et bac +4/5 recherchant un poste à paris et en province sont les principaux concernés. là encore, une trentaine d’entreprises seront au rendez-vous, pour autant d’opportunités d’emploi. Entrée gratuite, tous les renseignements sur www.jobrencontres.fr.Espace champerret - Hall b - Paris 17ème LeS SeCReTS de LoLy a quelques mètres du square de la rue coriolis du Xiie arrondissement, au pied des marches en pierre se trouve « les secrets de loly », le temple du cosmétique gourmand fait maison. créés par loly, une jeune femme passionnée de naturel, les produits lsl sont développés à partir d’un maximum d’ingrédients bio.Tout y est naturel, et les matières premières sont, dans la mesure du possible, issues du commerce équitable, en particulier le beurre de karité dont elle fait grand usage (et qu’il est également possible d’acheter sous diverses formes et reconditionnements sur

son site).pas besoin d’être une pro pour apprécier ces odeurs enivrantes, qui ne sont ni trop lourdes ni trop sucrées.Des textures fabuleuses avec pour résultat des cheveux disciplinés sans être alourdis, aux boucles bien définies et brillantes. les amoureux du petit pain de savon vont être conquis : fabrication artisanale des savons avec la méthode « à froid » et une composition des plus saines (huile d’olive, karité, pépins de raisin, coco, soja, essence d’amande amère, etc.) ces cosmétiques sans silicone, sans sodium, laureth, sulfate, et sans paraben sont exempts de tous les produits chimiques dont les grandes enseignes bourrent nos shampoings crèmes et autres produits de beauté. Toujours sceptique ? comme saint-Thomas ? un petit tour chez loly s’impose alors! les secrets de lolyOuvert du lundi au samedi de 13h30 à 19h56 rue coriolis, 75012 Parism°Dugommier

maîTRiSeR Son éneRgie viTaLe aux BuTTeS ChaumonT

il fait beau, besoin de vous relaxer ? De vous détendre ? J’ai le bon plan qu’il vous faut. une initiation gratuite en plein

air au Qi gong jusqu’au samedi 31 décembre 2011.Qu’est-ce que le Qi gong? il s’agit d’une gymnastique traditionnelle chinoise avec pour base la science de la respiration, fondée sur la connaissance et la maîtrise de l’énergie vitale. cette technique a pour but l’entretien du corps, et la mobilisation des sens afin d’éveiller l’esprit par le biais de postures et de mouvements précis. le Qi gong est aussi connu sous le nom de « gymnastique des organes ». les mouvements lents et harmonieux procurent une sensation de bien-être et d’équilibre. les disciples les plus assidus et les plus motivés pourront ensuite être admis au cours de Tai-chi (style Wu). les cours de Qi gong sont donnés tous les jours dès 9h par le vénérable maître Thoï. Quel que soit le temps, il assure sa séance d’une heure dans le parc des Buttes chaumont (au terre-plein à côté du café Weber, en contrebas de la rue Botzaris, dans le XiXe arrondissement de paris). Je rappelle que la séance est gratuite !

tous les jours de 9h à 10h avec maître thoïParc des buttes chaumont - rue botzaris - 75019 Parism° : buttes chaumontm° : laumière

une RemiSe en foRme éneRgique

Tous les mardis, jeudis et vendredis de 16h30 à 18h, des cours de boxe française sont donnés gratuitement au centre sportif Bertrand Dauvin dans le Xviiie arrondissement de paris. c’est l’occasion de découvrir le kick boxing français avec comme entraîneur le champion du monde 2003 de « savate boxe française ». l’équipement de boxe est prêté gratuitement. c’est un sport de combat de percussion qui consiste, pour deux adversaires munis de gants et de chaussons, à se porter des coups avec les poings et les pieds. seules conditions pour pouvoir y participer : habiter paris et avoir plus de 15 ans. il est possible que l’on vous réclame un justificatif de domicile.cs bertrand Dauvin12 rue binet, 75018 Parism° : Porte de clignancourttél. : 01 44 92 73 48

un CouP à PRendRe

Besoin de parfaire votre revers? Tous les mardis et dimanches de 15h à 17h au centre sportif poissonniers, la mairie met à votre disposition un terrain de tennis et cela gratuitement. On troque ses escarpins et ses chaussures de ville pour une bonne paire de baskets, et on s’arme de courage pour perdre, en rythme, les nombreuses calories insidieusement accumulées pendant l’hiver. attention, il n’y a qu’un seul court, mieux vaut arriver tôt ! les conditions : habiter paris et avoir plus de 15 ans.

centre sportif Poissonniers 2 rue Jean cocteau, 75018 Parism° : Porte de la chapelletél. : 01 44 92 73 48

fReeSTyLe hiP-hoP au 104si le hip-hop est votre religion, ne ratez pas le rendez-vous gratuit proposé par r.style. Tous les vendredis, r.style organise des « Freestyle » de hip-hop au cENTQuaTrE, lieu de création et de production artistique, organisés à l’origine aux Halles, à la Défense ou encore au Trocadéro. l’organisation r.style a choisi, après des « contrôles de police et des amendes », de migrer vers le cENTQuaTrE qui a accepté de leur offrir des créneaux d’horaires gratuits et accessibles à tous. avec le soutien de la mairie de paris, de la

mairie du 19ème arrondissement, de la Dpvi et de la Dac.l’objectif principal de r.style est de promouvoir les cultures urbaines en proposant des cours (de danse, de graff), en produisant et diffusant des artistes, et en organisant des évènements comme ces « Freestyle » de hip-hop. amoureux des cultures urbaines, c’est pour vous !tous les vendredis de 18h à 20h cEntQuatRE 104 rue d’aubervilliers 75019 Parism° : crimée ou stalingrad tél. : 01 46 07 31 23 Email : [email protected] www.104.fr / www.rstyle.fr

mes 5 looks de printempsPour démarrer ce printemps tout en tendance, on a sélectionné 5 tenues au top

rien que pour vous. et on a demandé à nos lectrices les plus modeuses ce qu’elles en pensaient. verdict ensoleillé !

look 1 : coolOù le porter ? au parc, pour un après-midi entre amis.ce que nos lectrices adorent : le petit noeud du tee-shirt! la touche féminine indispensable.- Tee-shirt camaïeu 16.95 euros- short H&m 24.95 euros- Tennis comptoir des cotonniers 140 euros- sac sack 45 euros

look 2 : cocktailOù le porter ? aux premières soirées printanières !ce que nos lectrices adorent : ça flashe, ça pétille, ça met de bonne humeur.- Bracelet assos 17 euros- chaussures new look 39.90 euros- robe H&m 19.95 euros

look 3 : chic casualOù le porter ? En terrasse, pour un verre à la tombée du soir.ce que nos lectrices adorent : être chic tout en étant très à l’aise.- veste new look 39.90 euros- sac Great by sandie 455 euros- robe la Redoute 49.90 euros- sandales en satin H&m 39.95 euros

look 4 : glamourOù le porter ? pour un rendez-vous amoureux, un peu magique.ce que nos lectrices adorent : le petit côté hippie si on ajoute une fleur dans les cheveux.- Bracelets H&m 7.95 euros- robe Firetrap 75 euros- sandales robert clergerie pour la Redoute 220 euros

look 5 : décontract’ Où le porter ? pour aller faire son marché et croquer dans des fraises !ce que nos lectrices adorent : on se sent belle tout en étant simple et le jean fait de superbes fesses !- Débardeur Jennyfer 4.95 euros- sandales beryl 49 euros- Foulard camaïeu 9.95 euros- Jean Rica lewis 30 euros

look5

look1

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look3

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20 / campus mag avril

MULTIMEdIaPar Docteur

Flou

De BLoB 2 – WII – DS – PS3 - XBoX

L a suite de De Blob est maintenant disponible sur vos consoles. De Blob 2 est un jeu de plateforme qui mettra du groove et de la couleur dans votre tête à chacune de vos parties : ce

jeu c’est un peu comme si un paquet de m&m’s s’était déversé dans votre télé. De belles couleurs, du funk, un gameplay rafraîchissant où vous aurez à recolorer les niveaux afin de sauver prisma city des vilains dictateurs voulant soumettre le monde à la monochromie. la bande son est interactive et s’agrémente de nouveaux instruments et effets au fur et à mesure que le Blob redonne de la couleur à la map. On pourrait reprocher un gameplay un peu répétitif mais le jeu est tellement sympa et agréable qu’on pardonne ce petit défaut devant le travail fourni pour proposer un concept autant original et cohérent. ce seront au total plus d’une quinzaine d’heures de jeu qui vous attendent, à colorer seul ou à deux sur le même écran.

Homefront – PC – PS3 – XBoX

S uite à la réunification des deux corées par Kim-Jong-un, la république de corée prend doucement contrôle de l’asie, puis attaque les Etats-unis et s’en empare, profitant de leur

affaiblissement. l’intro du jeu semble promettre en Homefront un sérieux concurrent à call of Duty. Des thèmes de jeu et de scénario puissants, une ambiance impressionnante grâce à l’implication du scénariste d’apocalypse Now et une patte artistique soignée. Homefront est prometteur, mais souffre tout de même de défauts qui ne feront pas de lui un must have du Fps à grand spectacle. le principal intérêt du jeu réside dans le scénario et l’ambiance visuelle, qui immergent correctement dans les Etats-unis dévastés et régis par la main de fer de la corée. pour le reste, les graphismes sont acceptables, la durée de vie est limite, le gameplay est efficace mais n’a rien d’exceptionnel et l’ia est parfois assez douteuse. le mode solo est donc relevé par son scénario, mais pas par le reste. De son côté, le mode multijoueur s’en sort bien, et on y retrouvera une communauté assez active . Homefront est divertissant, et pas franchement désagréable, mais la qualité des trailers et du background que l’on avait vus jusqu’à sa sortie en font un jeu au goût amer, qui avait promis de se hisser au niveau de call of Duty et qui n’a pas vraiment tenu cette promesse, mais qui mérite que l’on s’y arrête.

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B ooomshakalakaaaa ! le mythique jeu de basket débarque sur iphone, et il faut dire que la qualité est au rendez-vous. ceux qui connaissent NBa Jam peuvent éviter de lire cette chronique jusqu’au bout et foncer sur l’app store pour se procurer cette version. pour les

autres, voilà une occasion de combler cette lacune vidéo-ludique. NBa Jam est un jeu de basket en 2 vs 2. loin de la simulation, ce soft est un jeu totalement arcade où les basketteurs balancent des sauts de 20 mètres pour défoncer les paniers avec leur dunks destructeurs. le jeu est fluide et rythmé, facile à prendre en main et parfaitement adapté au support mobile. Du côté des équipes, les fans de la première heure seront autant ravis que les nouveaux adeptes de la NBa. les anciennes stars pouvant rencontrer les nouvelles, on pourra contrer scottie pippen avec notre Tony parker national. vous l’aurez compris ce jeu est une vraie réussite sur l’iphone, on regrettera juste l’absence d’un mode 2 voire 4 joueurs avec plusieurs téléphones, mais si vous cherchez du fun immédiat alors NBa Jam est fait pour vous.

22 / campus mag avril

24 / campus mag avril avril campus mag / 25

Les Masters qui marchentpasser directement des études au job de vos rêves, sans trop vous attarder sur la case pôle emploi, c’est possible ? Oui, à condition de choisir son master avec discernement. campus mag vous donne un petit coup de pouce.

HOROSCOpE& jEUx

Cancer : Vous retrouverez votre confiance en vous et vous ferez preuve d’idées ingénieuses. Votre centre d’intérêt se portera sur tout ce qui touche à l’intellectuel plus qu’au manuel.

Capricorne : Pas grand chose de nouveau aujourd’hui côté job, si ce n’est la possibilité d’effectuer un petit stage ou une formation de courte durée qui changera un peu de votre cadre habituel, vous offrant un petit peu d’air frais appréciable !

Sagittaire : L’amour sera aujourd’hui synonyme pour vous de projets et d’idées de construction commune. Votre petit intérieur douillet vous tiendra à coeur et devra être capable d’abriter vos amours et vos projets communs.

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Lion : Câlin, tendre, romantique et passionné à la fois, vous serez enfin vous même, et profiterez sans vergogne de toutes les possibilités de flirts ou de séduction qui se présenteront aujourd’hui. Attention tout de même à ne pas vous amuser aux dépends de coeurs plus sensibles que vous.

Balance : Vous allez sûrement prendre conscience de votre âge et de vos besoins présents. Si vous avez abusé de la bonne vie et de la bonne chère, il faudra réviser vos notions et envisager une nouvelle façon de vivre.

Scorpion : Vous penserez blanc, vous agirez noir, vous voudrez aller à droite, vous irez à gauche, rien n’ira dans le sens que vous voulez et il faudra faire avec.

Gémeaux : Certaines décisions devront être prises et cela même si vous rechignez à le faire. Votre situation ne changera pas si vous ne vous en donnez pas les moyens.

Taureau : Il ne faudra pas grand chose pour faire démarrer au quart de tour votre petit coeur. De belles promesses, quelques mots d’amour, voire seulement un regard coquin, vous enflammera, et suffira à vous faire tomber en pâmoison

Poisson : D’humeur taquine aujourd’hui, il sera difficile de vous empêcher de parler. Vous chercherez et piquerez gentiment votre partenaire sur différents sujets, mais il aura la répartie légère et facile et vous répondra du tac au tac.

Vierge : Déjà que vous serez agacé par vos soucis personnels du jour, il ne manquerait plus que votre vie professionnelle s’y mette ! Et bien sûr, c’est bel et bien ce qui va se passer !

Verseau : Vous ne parviendrez pas à vous détendre une minute aujourd’hui. Vous serez stressé dès le matin et vous aurez souvent le sentiment qu’il vous faut agir dans

l’urgence.

Bélier : cette période sera riche et très animée : profitez-en pour nouer de nouveaux contacts et surtout pour faire jouer vos relations !

fORMaTIOnPar Thibault Goehringer

les grandes écoles sinon rien ?ce n’est un secret pour personne, les grandes écoles sont les championnes de l’insertion professionnelle. leurs étudiants trouvent rapidement un emploi, touchent des rémunérations plus élevées que la moyenne, et accèdent fréquemment au statut de cadre. près de six diplômés de grande école sur dix se voient ainsi recrutés avant même la fin de leurs études… Ça fait rêver. mais l’université n’a pour autant rien d’une « voie de garage », surtout au niveau bac+5. selon une enquête menée début 2010 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche, le taux d’insertion des diplômés de master de

2007, mesuré 30 mois après l’obtention de leur diplôme, s’éle-vait à 91,4% au niveau national. pas si mal, donc, même si l’on constate de grosses disparités selon la discipline étudiée. Tout est au fond question d’orientation : parmi la jungle des 2 500 masters professionnels et 1 800 masters recherche qui coexis-tent au sein des universités françaises, il en existe quelques dizaines que les employeurs s’arrachent littéralement.

Qu’est-ce qui fait un bon master ?les masters qui cartonnent le plus sont bien entendu ceux qui sont le plus en phase avec le marché de l’emploi, et répondent

26 / campus mag avril avril campus mag / 27mars campus mag / 27

Parce que le savoir ne suffi t pas et qu’il faut une capacité de compréhension et d’adaptation rapide à tous les contextes, FACO PARIS propose les MASTERS FACO. Quatre formations où se croisent experts de haut niveau et professionnels en entreprise, pour aborder des problématiques d’actualité. Des rencontres qui débouchent sur une acquisition précise de connaissances, sur une confrontation directe avec la réalité des affaires, sur une maîtrise d’un savoir-faire pour entrer dans le monde du travail. Avec le soutien de Lafarge, Bred Banque Populaire, Essilor, Michelin, PSA, Yves Rocher, Arc International, Aubert et Duval, Bonduelle. Une préparation très concrète à la vie de l’entreprise.

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le mieux aux besoins des entreprises – d’où le succès continu des masters en sciences appliquées ou en marketing. les po-litiques de stages obligatoires, ensuite, facilitent grandement l’insertion professionnelle des étudiants, même s’ils ne font pas non plus figure de « formule magique ». Enfin, ne nous voilons pas la face : malgré les prétentions de l’université fran-çaise à l’égalitarisme, les masters qui garantissent le plus de débouchés sont également les plus sélectifs. De nombreuses universités de droit, par exemple, appliquent une épuration sans pitié, et peu nombreux sont les étudiants qui survivent jusqu’au m2. mieux vaut être prévenu !

Pour ceux qui ont les affaires dans la peauparmi les grands classiques qui cartonnent, on retrouve bien entendu les masters spécialisés dans le marketing, le mana-gement, le commerce ou encore la finance. Dans cette catégo-

rie, on retrouve par exemple le master « marketing stratégie de marque » proposé par le celsa, le master d’audit de l’univer-sité paris 9 Dauphine, ou encore ceux que Toulouse 1 consacre à la finance et aux banques. le secteur du luxe a également le vent en poupe, de même que les mBa (master of Business ad-ministration) : cela tombe bien, l’isTEc paris propose un mBa luxe, tandis que l’iNsEcc Bordeaux offre pour sa part un mBa « Wine marketing & management ».

Du côté des scientifiquesautre créneau porteur, le domaine des sciences et tech-niques, qui va de l’informatique à la génétique en passant par l’ingénierie. Dans cette catégorie très hétéroclite, on retrouve par exemple le master « médicaments : innova-tions thérapeutiques et validation » de l’université rennes 1, le master dédié aux mathématiques fondamentales de

fORMaTIOnPar Thibault Goehringer

FOcus : l’écOlE DEs minEs sE mEt au vERtL’école des Mines de Paris est l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses écoles d’ingénieurs : inutile de dire que ses étudiants ne connaissent guère de problèmes d’insertion professionnelle… Consciente que l’environnement est un créneau d’avenir, l’école a développé toute une gamme de Masters consacrés au développement durable et aux nouvelles énergies. Citons notamment ses formations en « Ingénierie et gestion de l’environnement », « International environmen-tal management », ou en « International energy management : alternatives pour l’énergie du futur » - les deux dernières sont en outre ouvertes sur l’international, une partie des cours se déroulant en Chine. Enfin, ajoutons que l’établissement vient d’ouvrir un Mastère « Santé environnement : enjeux pour le territoire et l’entreprise », centré sur les questions de santé-environnement-développement.

Les Masters qui marchent (suite)

28 / campus mag avril avril campus mag / 29

grenoble 1, ou encore le master « génie de l’information et des systèmes (r) » de l’université de rouen. Etant donné l’importance que prennent les questions environnementa-les dans nos sociétés contemporaines, il convient de garder un œil sur les formations qui traitent de cette question : le master « génie de l’environnement et industrie » de paris 5 Diderot est par exemple un très bon parti (voir également notre focus sur l’école des mines).

les as du barreauOn n’y pense pas forcément, mais le droit – et plus particuliè-rement le droit des affaires – est un secteur souvent très en phase avec le marché de l’emploi. parmi les masters les plus courus, on retrouve celui de « Droit des affaires européennes » proposé par l’université de valenciennes, le master d’ « admi-nistration territoriale » de l’université d’amiens, ou encore le master de notariat de paris 5 Descartes. le patrimoine et les affaires ne sont toutefois pas le seul horizon du droit ; l’univer-sité de pau propose ainsi un excellent master spécialisé dans le « Droit de l’exécution des peines et droits de l’Homme », tandis que Bordeaux 4 donne la possibilité de décrocher un master « Droit médical et santé publique ».

un peu d’humainles formations en sciences humaines et sociales sont rare-ment portées aux nues pour leurs débouchés dans le monde du travail ; une situation assez injuste, puisque de nombreuses formations offrent d’excellentes perspectives d’insertion pro-fessionnelle. Dans des domaines assez différents, on peut par

fORMaTIOnPar Thibault Goehringer

exemple citer le master « Développement culturel et direction de projet » de lyon 2, la formation « géopolitique et relations internationales » proposée par Toulouse 1, ainsi que le master « analyse démographique » de Bordeaux 4. Notons que si les étudiants en psychologie sont souvent victimes de préjugés, leur matière de prédilection affiche pourtant au niveau bac+5 le plus haut taux de débouchés de la catégorie. les masters de psychologie cognitive et de psychopathologie de paris 5 Des-cartes sont ainsi très appréciés des recruteurs.

les lettrés et les artistes, laissés-pour-compte de l’insertion ?Et voici venu les vilains petits canards du taux d’insertion : les disciplines du champ « lettres, langues et arts ». s’il est vrai que les étudiants qui choisissent de s’orienter vers ces dis-ciplines ne sont pas les mieux lotis du point de vue de l’em-ployabilité, certaines formations parviennent tout de même à se détacher du lot. parmi les diplômes qui intéressent les recruteurs, on peut par exemple citer le master « métiers de la traduction et de la communication multilingue et multimédia » de rennes 2, le diplôme « arts et sciences de l’enregistre-ment » de l’université paris-Est marne-la-vallée, ou encore le master « conception, édition et gestion de documentation » proposé par l’université de Bretagne sud. rappelons que l’ap-prentissage du chinois fait figure de nouvel eldorado pour les étudiants en langues : l’université catholique de lille propose ainsi un master de « conseiller en relations publiques franco-chinoises » à surveiller.

Les Masters qui marchent (suite)

Mon stage chez… salut les étudiants ! moi, c’est vincent, j’ai 24 ans et j’ai récemment terminé mon année de mastère. pour valider cette dernière année d’études, j’ai commencé un stage, et je vais essayer de vous faire part de cette expérience.

au risque de décevoir la gent féminine, je vais parler de sport… …De journalisme sportif, plus précisément. comme la ma-jorité des mecs, j’ai toujours aimé le sport, et notamment le football. après mon bac sTT - aujourd’hui sTg -, je ne savais pas quoi faire et un ami m’a proposé un super plan pour entrer chez Nike. vous vous en doutez, ça n’a pas marché. Je me suis finalement retrouvé en BTs de commerce pour deux ans, que j’ai eu avec 15 de moyenne même si cela ne me passionnait pas. Tout ça pour dire que c’est un peu par hasard que j’ai in-tégré une école de journalisme en ile-de-France directement en troisième année. ce n’était pas une véritable vocation – je voulais être prof de français ou d’histoire – mais un prof de ma prépa sciences po, que j’ai faite parallèlement à mon BTs, m’a conseillé de m’orienter vers cette voie-là. Je dois dire que ça s’est fait sur un coup de tête (sans jeu de mots) : pendant un salon consacré aux études, j’ai aperçu la seule école de journalisme au milieu des écoles de commerce. J’ai passé le test le lendemain, et me voici donc dans cet établissement. J’ai eu de la chance car c’est cette année que l’école en question a choisi de lancer un mastère spécialité sport. N’étant pas encore prêt à entrer sur le marché du travail, je me suis lancé dans ce m1 (une année seulement après la licence). après mes quatre mois de cours – c’est peu, je sais, dans d’autres écoles c’est un an complet de cours – je suis arrivé à intégrer le site internet so Foot pour mon stage de fin d’année.pour trouver ce stage, j’ai eu un monstrueux coup de chance : dans le cadre d’un reportage pour mon école, j’ai choisi d’in-terviewer les journalistes de so Foot à manchester. On a un peu parlé et l’un d’eux m’a dit : « Envoie-nous un cv »… Et voilà ! après un mois dans la rédaction, voici mes impressions : c’est

du grand n’importe quoi, mais dans le bon sens du terme ! les horaires sont entièrement libres, du moment que le boulot est fait. mais l’ambiance est super parce que les gars de so Foot sont des connaisseurs, j’en apprends tous les jours avec eux ! En plus, mes missions sont riches : alimentation du site, arti-cles pour le magazine et reportages, mais c’est à moi de faire preuve d’initiative et de proposer des sujets. cependant, si je peux vous donner un conseil, cherchez un stage qui peut déboucher sur un emploi. pour moi ce n’est malheureusement pas le cas, c’est pour ça que j’ai prévu deux autres stages, à canal+ et libération. mais revenons à mon stage actuel, parce que j’y suis encore pour six mois. même si c’est beaucoup de travail (je bosse 7j/7), ce genre de stage per-met de mieux comprendre le milieu du football. Qui, croyez-moi, n’est pas un monde « strass et paillettes » comme on peut l’imaginer. J’avais évidemment fait des stages avant so Foot, mais celui-ci réunit vraiment les conditions idéales pour apprendre ce métier. si vous voulez vous orienter vers cette profession, qui sait ?, soyez prévenus que c’est normal de ne pas gagner d’argent pendant deux ou trois ans après vos études. il faut donc s’ac-crocher, être curieux (ne lisez pas que l’actu sportive), oublier les clichés, réfléchir par soi-même, et aimer le contact humain car il ne faut pas avoir peur d’appeler les acteurs de ce milieu. mais vous n’aurez pas une journée identique à celle d’avant, et c’est ça qui me plaît. Je termine par le plus important : le journalisme, plus parti-culièrement sportif, est une voie bouchée. Je dois vous avouer que nous sommes une quinzaine dans ma promo à nous poser des questions sur notre avenir. On travaille, mais chacun pense à des plans B… cela dit, si vous êtes sûr de vous : foncez !

fORMaTIOnPar Raphael

Hudry

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SUP’INTERNET AU CŒUR DU GROUPE IONIS

Le Groupe IONIS est déjà très présent dans la formation aux métiers de l’informa-tique et de l’Internet avec des écoles aussi reconnues que l’EPITA ou Epitech (qui rassemblent plus de 5000 étudiants en France) ou l’ETNA. Il est également au cœur de la création numérique avec e-artsup et en contact permanent avec les entreprises du marketing et de la communication

via l’ISG et l’ISEG Marketing & Commu-nication School. En tant que leader de l’enseignement supérieur privé, IONIS Education Group répond avant tout avec cette nouvelle école à la forte demande de ses entreprises partenaires sur ce type de profi ls et à l’engouement des jeunes générations pour les métiers de l’Internet. L’école supérieure des métiers de l’Internet est accessible après Bac pour un cursus en 3 ans. La première promotion débutera en septembre 2011, sur le Cam-pus Technologique du Groupe IONIS situé

au Kremlin-Bicêtre. Sup’Internet propose-ra des formations-métiers débouchant sur 3 bachelors et organisées autour de 3 pôles de compétences. L’école délivrera ainsi un bachelor développement et technologies du web, un bachelor design graphique et contenus et un bachelor business et management Internet.

3 BACHELORS POUR PLUS DE 30 MÉTIERS

Développeurs web, webmasters, in-tégrateurs, ergonomes, responsables du référencement, analystes web et traffi c managers, community managers, e-marketeurs, conseils en e-business : autant de métiers auxquels l’école supé-rieure des métiers de l’Internet prépare, sur un cursus de 3 ans après le Bac, pour un titre de Bachelor. Très riche en projets et en stages, le cursus de Sup’Internet focalise la formation sur le monde de l’Internet, en développant des axes pédagogiques concrets et qui correspondent à l’attente des professionnels. Sup’Internet se veut

TROIS ANS POUR SE FORMER AUX MÉTIERS QUI VOUS RESSEMBLENTSup’Internet, l’école supérieure des métiers de l’Internet, est née d’un constat:

le monde de l’Internet est devenu si vaste qu’il demande des talents et des

compétences spécifiques que les entreprises ne trouvent pas aujourd’hui sur

le marché des jeunes diplômés. En ouvrant Sup’Internet, le Groupe IONIS prend

l’initiative d’apporter à l’industrie de l’Internet les talents qui lui font défaut.

une école à la fois généraliste de l’internet et résolument professionna-lisante, dont le but pour chaque étu-diant est d’intégrer l’entreprise dès la 3e année. Les diplômés s’insèreront naturel-lement et directement à la sortie du cursus pour devenir les acteurs opérationnels de cette industrie en plein essor.

INTERNET : UN UNIVERS MULTIPLE ET PASSIONNANT

Ce media , également industrie à part entière, a progressé très vite en peu de temps, de nouveaux métiers sont donc apparus. Internet offre en effet de nombreuses nouvelles carrières. Si ses cadres dirigeants sont ingénieurs, diplômés des grandes écoles de commerce ou des écoles d’art appliqué, de nou-velles carrières s’offrent à des profi ls très opérationnels et sont mal pourvues. Sup’Internet a pour vocation d’appor-ter une contribution forte et ciblée à ce secteur.

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