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Page 1: Digital Booklet - Les chansons de l'innocence retrouvée

étienne Daho“Les chansons de l’innocence retrouvée”

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1. Le baiser du destin

(Avec Jehnny Beth & Johnny Hostile)

Le désert et l’enfer, es-tu maître de ton destin ? Les sommets, l’or des rivières, sont à la portée de ta main. Il n’y a qu’à se baisser pour tout amasser, sachant que l’on peut toujours passer à côté. Si la fortune ne sourit point et que l’on passe à côté du baiser du destin. Les fruits mûrs ou les pierres, les faiseurs de feux te baisent la main. La fortune, les revers, les mêmes t’écraseront comme un chien. Il n’y a qu’à trébucher pour se ramasser. Serait-ce le libre choix ou la destinée. Quand l’infortune sourit en coin et que l’on passe à côté du baiser du destin. Avant, avant, que dans nos mains ne soient tracées, ces lignes comme les nervures d’une feuille, où la fortune des héros vient se poser. Les lumières, les chimères, corps à corps avec son destin. Les ténèbres, les matins clairs, sont à la portée de ta main. Il n’y a qu’à se baisser pour tout amasser, sachant que l’on peut toujours passer à côté. Si la fortune ne sourit point et que l’on passe à côté du baiser du destin.

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2. L’homme qui marche

(Avec Frànçois Marry)

Piazza Navona. J’étais là très tôt ce matin, je te cherchais. À vive allure, le passé nous rattrape. Je me demande si j’ai eu raison, mais me voici à Rome, devant chez toi. L’escalier monte à sa chambre et dans ce froid de gueux, l’enfant du roi fou. En bras de chemise légère, dans son âme tous nos mystères de Berlin, de Moscou. Des photos d’un ado sombre, accrochées au mur devant lui, est ce moi ? est-ce lui ? est-ce lui ? Je t’ai attendu dans ce rade triste, il était trop tôt pour ma défaite. L’escalier monte à sa chambre et dans le froid de décembre, son accent français le trahit. En bras de chemise légère, dans ses yeux tous nos mystères, de Marseille à Paris. Des photos d’un ado sombre, accrochées au mur devant lui, est-ce moi ? est-ce lui ? Comme le héros d’un livre, qui ne souffrirait plus du froid, l’homme qui marche devant moi est-ce moi ? Comme le héros d’un livre, qui ne s’ouvrirait plus qu’une fois, l’homme qui marche devant moi est-ce toi ? Comme le héros d’un livre, qui ne souffrirait plus du froid, l’homme qui marche devant moi est-ce toi ? Je t’ai attendu dans ce rade triste, il était trop tôt pour ma défaite.

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3.Un nouveau printemps

Quand la chance les lâche, frangins à la dérive. Ô merveilleux perdants, se dé-battent en l’eau vive. Si sauvagement rejetés, nager vers l’autre rive. Parvenir de l’autre côté et vivre vaille que vive. Apprendre à coups de crosse et de cheveux tondus, vois les plaies qui scintillent, aux torses des vaincus, mais si la cause est belle peu importe le but. Dans la fraîcheur exquise, de ce nouveau printemps, l’embarcation dérive. Si sauvagement rejetée, de l’une à l’autre rive. Parvenir de l’autre côté, ailleurs enfin revivre. Apprendre à coups de crosse et de cheveux tondus, vois les larmes scintillent, aux paupières vaincues. Mais si la cause est belle peu importe le but. Apprendre à coups de crosse et de cheveux tondus. Vois les plaies qui scintillent, les combattants fourbus. C’est un nouveau printemps, c’est un nouveau printemps !!! Vois les plaies qui scintillent, aux torses des vain-cus, mais si la cause est belle, peu importe le but...

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4. Les torrents défendus

(Avec Nile Rodgers)

Encore, flambent dans la nuit, nos âmes fières sur les trottoirs de vos quartiers interdits. Encore twistent sans répit, nos silhouettes dans le noir, dans vos quartiers ennemis. Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans, qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu’au dernier printemps. Pourvu que jamais rien ne les freine, laves de sueur et de sang, qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus, qui intoxiquent nos insomnies, de leur infectieuse mélancolie. Encore, brillent dans la nuit, les âmes fières de l’histoire, dans vos quartiers ennemis. Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans, qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu’au dernier printemps. Pourvu que jamais rien ne les freine, laves de sueur et de sang, qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus, qui intoxiquent nos insomnies, de leur infectieuse mélancolie. Si un jour j’en ai marre, la tête brûlante, le cœur froid, souffrirai-je un jour de moins souffrir pour toi ? Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans, qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu’au dernier printemps. Pourvu que jamais rien ne les freine, laves de sperme et de sang, qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus, qui intoxiquent nos insomnies, de leur infectieuse mélancolie. Mais si j’en ai ma claque, la tête brûlante, le cœur froid. Souffrirai-je un jour de moins souffrir pour toi ?

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5. La peau dure

Bien sûr, je connais tes plaies, tes blessures. Cyanure, tes souvenirs ont la peau dure. Fêlures, à chacun son chemin, chacun ses déchirures. Mais je les ressens comme toi. Fractures, pousser seul sur un tas d’ordures. Torture, redouter d’être une imposture. Froidures qui nous gercent le cœur et rouillent les jointures. Oui je les ressens. Quand les larmes de l’enfance toute la vie sont murmures, où sont l’épaule et les mots qui te rassurent ? Oui les armes de l’enfance, te font le cuir et l’armure et assèchent les rivières que tu pleurais hier. Griffures, je lèche ta triste figure. Morsures, ton sang et ses éclaboussures. Roulures et salauds qui peu à peu nous ont à l’usure. Oui je les ressens. Quand les larmes de l’enfance toute la vie sont murmures, où sont l’épaule et les mots qui te rassurent ? Oui les armes de l’enfance, te font le cuir et l’armure et assèchent les rivières que tu pleurais hier. Bien sûr, je connais tes plaies, tes blessures. Cyanure, tes souvenirs ont la peau dure. Fêlures, à chacun son chemin, chacun ses déchirures. Mais je les ressens comme toi...

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6. Le malentendu

Traîner sur le port, ce soir je dormirai dehors. Jouer la comédie, je n’y arrive plus. La ville noire s’endort, ce soir, je serai sans remords. Ta voix se sera tue, je ne rentrerai plus. C’est dans les mauvais lits, que naissent les mensonges. Le joug de ton désir, je m’en suis exilé. Je voyais dans tes yeux, la présence du bon dieu, des vols d’oiseaux sauvages, explosés en plein ciel. Ce cœur cognait tant, dans ma poitrine et pourtant, cette sale comédie, vraiment je n’en peux plus. Délicieux désespoir, nourri de mes absences, ta souffrance est un miel, dont je suis exilé. Compagne de torture, belle comme une révolte. Dans ce monde tordu, nous sommes dégrisés. Tu ne veux rien entendre, mais notre grande histoire, n’est qu’un malentendu. La ville noire s’endort, ce soir, je serai ivre mort. Ta voix se sera tue, je ne rentrerai plus. Comme un fou, comme un chien, le ventre et les yeux vides, ta souffrance est un miel, dont je suis délivré. Compagne d’infortune, belle comme une révolte. Dans ce monde perdu, nous sommes dégrisés. Tu ne veux pas m’entendre, mais notre grande histoire, naît d’un malentendu. Non, je ne t’entends plus. Compagne de torture, belle comme une révolte, tu ne veux rien entendre, mais notre grande histoire, oui notre grande histoire, naît d’un malentendu.

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7. L’étrangère

(Avec Debbie Harry & Nile Rodgers)

Downtown there will always be a corner of the wall, for the exile of radiant children. Downtown there will always be a piece of grey wall, for all those who like you are rebels and clandestine. Un taxi jaune éventre la nuit et l’Étrangère en surgit. Le mascara coule de ses yeux gris et se mélange à la pluie. Dans les rues, Elle ressent l’énergie, bouleversante odeur de vie. Le taxi la dépose au Chelsea, où elle venait avec Lui. À la radio “Call me” de Blondie, contagieuse mélodie, congédie sa mélancolie. Downtown il y aura toujours un coin de mur bleu, pour y adosser l’exil des enfants radieux. Downtown il y aura toujours un bout de mur gris, pour tous ceux-là qui comme toi, ne sont pas d’ici. Et dont le destin est d’être clandestin. Carnet de poèmes et croquis, pour qui entendra son cri. Champagne et comatose aux barbis et leur douce anesthésie. À la radio “Call me” de Blondie, contagieuse mélodie, congédie sa mélancolie. Downtown il y aura toujours un coin de mur bleu, pour y adosser l’exil des enfants radieux. Downtown il y aura toujours un bout de mur gris, pour tous ceux-là qui comme toi sont des insoumis. Et dont le destin est d’être clandestin. Downtown il y aura toujours un bout de mur gris, pour tous ceux-là qui comme toi ne sont pas d’ici et dont le destin est d’être clandestin. Downtown there will always be a corner of the wall, for the exile of the radiant children to lean. Downtown there will always be a piece of grey wall, for all those who like you are rebels and clandestine.

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8. Un bonheur dangereux

Les compagnons du soir dorment à la belle étoile, là sous les ponts de la nuit, à Paris Village, le miroir de la Seine, les lueurs des lampions, fuient le poison sans visage d’un ciel sans nuage, fredonnent la la la, Ô la douceur de ce futur incertain. La la la, trahir sa route, fracasser son destin. Les compagnons du jour, tête dans les nuages, provoquent bien des carnages, des carambolages. Les fusils silencieux, hobos à l’unisson, redoutent tous les ravages d’un ciel sans nuage, fredonnent la la la, aveuglés par un grand soleil radieux. La la la, crever d’une O.D. de ciel bleu. Mais de loin, préférer encore un bonheur dangereux, c’est en allant trop loin que l’on avance un peu. Oui sans fin rechercher un bonheur dangereux, c’est en plongeant trop bas que l’on s’élève un peu. Les compagnons du soir ont une bonne étoile et sous les ponts de minuit, en rien ne partagent, l’ambition du vainqueur, la sueur du champion et le poison sans visage d’un ciel sans nuage, fredonnent la la la, aveuglés par un grand soleil radieux, la la la, crever d’une O.D. de ciel bleu. Mais de loin, préférer encore un bonheur dangereux, c’est en allant trop loin que l’on avance un peu. Oui sans fin rechercher un bonheur dangereux, c’est en plongeant trop bas que l’on s’élève un peu. Là sous ton parapluie, les mirages s’amoncellent et le gris, cage hérissée de cris, où l’on joue pâle parodie de paradis, en sursis. Mais de loin, préférer encore un bonheur dangereux, c’est en allant trop loin que l’on avance un peu. Oui sans fin rechercher un bonheur dangereux, c’est en plongeant trop bas que l’on s’élève un peu. C’est en allant trop loin que l’on avance un peu. C’est en plongeant trop bas que l’on s’élève un peu. La la la…

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9. En surface

(Avec Dominique A & Verity Susman)

Que de temps passé en surface, que de temps à ne pas s’encombrer du temps et des étoiles tombées. Que de temps passé en surface. Je me voulais léger, léger, du plaisir sans se retourner. Ce plaisir ne m’allégeait pas, la beauté n’avait pas de bras. Je rêvais d’une vie de plume, ignorais la stèle et l’enclume. Je balayais mes propres traces. Que de temps perdu en surface. Que de temps passé en surface, que de temps à ne pas succomber, au spleen et aux étoiles plombées. Que de temps passé en surface. L’éphémère était mon credo et hier, à la mauvaise place, je n’aimais pas trop mon cerveau, mon corps envahissait l’espace. Puis j’ai vu bouger la surface, tout le temps venant à déborder. Je pensais ne pas y penser, oui mais nos pensées nous dépassent. Et j’ai glissé sous la surface, délesté de la légèreté. J’ai compté les étoiles tombées et claqué le temps perdu en surface. Que de temps passé en surface, que de temps à ne pas s’encombrer, du temps et des étoiles tombées. Que de temps passé en surface.

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10. Onze mille vierges

Onze mille vierges sous acide lysergique, consolent des malabars tendus et mélanco-liques. Fille de joie me fixe de ses yeux verts, des claques de Soho jusqu’à l’Hôtel de l ’Enfer. L’Hôtel de l’Enfer, l’envers de Soho. Onze mille vierges sous acide lysergique, consolent des malabars tendus et mélancoliques. Jours et nuits au French ou au Colony, de la rue des Saints-Pères à Soho tu me poursuis. Mes mots dangereux deviennent d’étranges poèmes. D’alcool et de feu, ils dévastent tous ceux que j’aime. Je t’humilie, tu te couches, mes insultes font mouche et je frappe bas. Ces horreurs sortent de ma bouche et je ne parviens pas à te dégoûter de moi. Onze mille cierges, alcool et barbituriques, je flotte dans les rues comme sous analgésiques. Mon costume est souillé de larmes et de suie, de la rue des Saints-Pères à Soho tu me poursuis. Mes mots dangereux deviennent de tranchants poèmes. D’acier et de feu, ils détruisent tous ceux que j’aime. Je me dresse, tu te couches, mes insultes font mouche et je frappe bas. Ces horreurs sortent de ma bouche et je ne parviens pas à te dégoûter de moi. Je me dresse tu te couches, mes insultes font mouche et je frappe bas. Ces hor-reurs sortent de ma bouche et je ne parviens pas à te dégoûter de moi. Onze mille vierges sous acide lysergique, consolent des malabars tendus et mélancoliques. Jours et nuits au French ou au Colony, de la rue des Saints-Pères à Soho tu me poursuis.

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11. Les chansons de l’innocence(Avec Au Revoir Simone & Yan Wagner)

Berlin disco queen, androgyne, plante en mon cœur ton drapeau noir. Nitroglycérine, sex machine, plante en mon corps ton tempo noir. Berlin afro queen, m’assassine, plante en mon corps ton disco noir. Fille et garçonne, perverse madone, Elle me fredonne les chansons de l’innocence retrouvée. Berlin disco queen, orpheline, plante en mon cœur ton drapeau noir. Berlin afro queen, héroïne, plante en mon corps ton disco noir. Fille et garçonne, perverse madone, Elle me fredonne les chansons de l’innocence retrouvée. Berlin disco queen, androgyne, plante en mon corps ton disco noir. Berlin queen, Berlin disco. Dancing queen, dancing disco. Berlin queen, Berlin disco. Drama queen, drama disco queen. Berlin disco queen, androgyne, plante en mon coeur ton drapeau noir. Berlin afro queen, orpheline, plante en mon corps ton disco noir. Plante en mon corps ton disco noir. Black madone somnambule, tu roules des mécaniques et dans la disco noire électrique, tu tends ton arc, vise mon âme et me fredonne les chansons de l ’innocence retrouvée...

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Textes : Étienne Daho sauf “En surface” (9) : Dominique A & Étienne Daho

Musiques : Jean-Louis Piérot & Étienne Daho sauf “En surface” (9) : Dominique A, “Onze mille vierges” (10) : Christian Fradin & Étienne Daho

Tous les titres sont publiés par les éditions Satori Song, sauf “En surface” (9) publié par les éditions Satori Song / D.R.

Produit et arrangé par Étienne Daho & Jean-Louis Piérot et coproduit avec Richard Woodcraft

Les arrangements de “En Surface” (9) sont de Dominique A

Orchestre dirigé par Sally Herbert

Enregistré par Richard Woodcraft à Rak Studios (Londres) en décembre 2012, janvier et février 2013, assisté par Isabel Seeliger-Morley, Helen Atkinson et Mike Horner

Mixé par Jean-Louis Piérot au studio Reko (Paris) excepté “En surface”, mixé par Richard Woodcraft à Rak Studios (Londres) en mars 2013Les voix sont enregistrées par Jean-Louis Piérot et Mako à Rak Studios (Londres) et par Tom Durack assisté par Jon Altschuler at Pat’s Place (New York)

Orchestre enregistré par Haydn Bendall à Abbey Road / studio 2 (Londres) en janvier 2013, assisté par Jamie Ashton,

Pro-Tools operator : Toby Hulbert, String score preparation and recording supervision : Olli Cunningham

Masterisé par Mike Marsh et édité par Karen Thompson à The Exchange (Londres)

Avec : Jean-Louis Piérot : guitares, piano, orgue, clavecin, synthés, mélotron, programmations Pino Palladino : basseIan Thomas : batterieXavier Géronimi: guitares additionnellesMartyn Kaine : percussions

Et : Dominique A : guitares (9)Nile Rodgers : guitares (4-7)Verity Susman : orgue (9)Yan Wagner : claviers, séquences (11)

Special guests : Au Revoir Simone (Heather d’Angelo, Annie Hart & Erika Spring) (11) Jehnny Beth (1), Debbie Harry (7) Johnny Hostile (1), Frànçois Marry (2)

Backing vocals : Étienne Daho, Matthew Henry (4-7), Alanna Leslie (4-7), Meloné M’Kenzy (4-7)

Cuivres : Richard Ashton : cor, Mark Brown: saxophone, Ben Edwards : trompette, flugel horn, Mike Kearsey: trombone, Richard Steggall : cor

Violons : Everton Nelson (Leader), Richard George (Leader des 2nds), Natalie Bonner. Frances Dewar, Alison Dods, Louisa Fuller, Ian Humphries,

Rick Koster, Oli Langford, Rita Manning, Steve Morris, Kate Robinson, Julia Singleton, Sonia Slany, Nicky Sweeney, Julian Tear

Violons altos : Bruce White (1er), Max Baillie, Nick Barr, Reiad Chibah, Claire Orsler, Rachel Robson

Violoncelles : Ian Burdge (1er), Sophie Harris, Joely Koos, Tony Woollard, Chris Worsey

Basses : Richard Pryce (1er), Lucy Shaw, Steve RossellÉtienne Daho et Salomé sont photographiés par Richard Dumas, Artwork : Atelier Franck DurandManagement image : Nathalie Noënnec

Les textes sont reproduits avec l’aimable autorisation des éditions Satori Song, Les éditions Satori Song sont représentées par Because

Management : Pierre-Alexandre VertadierDirection artistique : Jan GhaziDirecteur de production : Lionel Grosheny Chargée de production : Julie Yadi

Tournées : TS3

Official website : www.dahofficial.com Friendsite : www.mydaho.free.fr

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Remerciements

Cher Jean-Louis, merci d’avoir partagé avec moi ces deux belles années de créativité et de confiance. Je n’aurais pas fait cet album sans toi.

Pour leur amitié, leur talent et leur contribution à cette aventure, merci à :

Richard Woodcraft, Sally Herbert, Jan Ghazi, Mako, Nathalie Noënnec et Annie Amsellem

Debbie Harry, Nile Rodgers, Dominique A, Au Revoir Simone (Heather d’Angelo, Annie Hart & Erika Spring), Jehnny Beth, Johnny Hostile, Verity Susman, Frànçois Marry, Yan Wagner, Antoine Carlier, Richard Dumas, Salomé, Stéphane Virlogeux, Gil Lesage, David Chauvel, Lydie Barbarian, Alfred, John Jefferson Selve, Lesley Lewis, Franck Durand, Alexandre Nicolas et Clément Johanet

Pierre-Alexandre Vertadier, Pierre Carron, Pascal Nègre, Éric Lelièvre, Christophe Lameignère, Thierry Suc, Alain Artaud, Jean-Christophe Thiéfine, Cynthia Chavan, Gildas Lointier, Orla Lee, Emmanuel de Buretel, Michel Duval, Mickaël Majster, Stéphane Le Tavernier, Catherine Laurenson, Alain Laurenson, Éric Vandepoorter, Isabelle Gaudefroy, Pierre Lautier, Corine Perez, Julie Yadi, Tania Scemama, Lionel Grosheny, Nicolas Chuong, Arthur Sachel et toute l’équipe Polydor

Pino Palladino, Ian Thomas, Xavier Géronimi, Martyn Kaine, Haydn Bendall, Tom Durack, Trisha Wegg, Philippe Balzé, Isabel Seeliger-Morley, Sarah Sanders, Mike Marsh, Karen Thompson, Christian Fradin, Gavin Skinner, Frédéric Momont, Arnold Turboust, Alain Lanty, Jean-Christophe Éluard, Sébastien Crispino, François Maurin, Chris Nilsson, Sylvain Taillet, Anne Claverie, Maripol, Cécile Communal, Alain Faidherbe et Elisabeth Quin

Emmanuelle Alt, Jane Birkin, Sophie Boilley, Jerry Bouthier, François Cantero, Pascal Chavaudra, Lisa Marie, Gabrielle Crawford, Jane Daho, Fanfan Daho, Dani, Nicholas Dembling, Chloé Devillers, Quentin Devillers, Hélène Fillières, Pauline Foussat, Sandra Gaudin, Hilary Heath, Natacha Krantz, Florence Labry, Catherine Lautier, David Lautier, Julie Lautier, Sylvia Lautier, Anaïs Ledoux, France Lory, Elli Medeiros, Jeanne Moreau, Sébastien Peretto, Caroline Piérot, Hedi Slimane, Calypso Valois et Sue Whitaker

étienne Daho

Dominique A apparaît avec l ’aimable autorisation de Cinq7 / Wagram Music. Frànçois Marry apparaît avec l ’aimable autorisation de Domino Recording Company. Yan Wagner apparaît avec l ’aimable autorisation de Pschent Music.