Download pdf - Editions Consart

TTC 25 euros (France)ISBN : 978-2-940464-05-0

Également parus dans la collection Vibrations :

Michael Jackson, le Phoenix pop, 2009

Johnny Hallyday, une vie pour le rock, 2010

Jean-Christophe Servant, Afrique du Sud

1910-2010, un siècle de résistances, 2010

Michael Jackson Forever (édition limitée), 2010

Jimi Hendrix, l’enfant vaudou, 2010

AC/DC, la légende, 2010

U2, le dernier des géants, 2010

David Bowie, l’étoile pop, 2011

Brassens, une mauvaise réputation, 2011

John Lennon et The Beatles, 2011

Bob Marley, une vie rebelle, 2011

Pink Floyd, La renaissance, 2011

Queen, 2011

Charles Aznavour, l’éternel bohême, 2011

Couverture: Miles Davis © Rue des Archives/BCA

Lester Bangs Le fameux critique américain analyse dans un texte inédit la période électrique de Miles Davis et, partant, toute son œuvre. Avec verve, causticité et beaucoup d’amour.

Anthony Barboza Photographe et ami de Miles Davis, Anthony Barboza puise son inspiration dans les luttes de la culture afro-américaine des années 1970 qui ont façonné sa vision de l’Amérique.

Jackie Berroyer Écrivain, acteur, homme de télévision, Jackie Berroyer est passionné de musique. Il tient une chronique mensuelle dans le magazine Vibrations.

John Lewis Rédacteur en chef des pages culture du Baltimore Magazine aux Etats-Unis, John Lewis est parti à New York sur les pas du trompettiste.

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Vingt ans. Cela fait vingt ans que Miles Davis est parti rejoindre le Duc, le Comte, le Président et tous les autres seigneurs du jazz au ciel… bleu évidemment. Le 28 septembre 1991, le monde de la musique n’a pas seulement perdu une étoile du jazz, mais un des compositeurs et interprètes les plus infl uents du siècle. Les catégories, Miles Davis ne les a pas suivies, il les a créés. Be-bop. Cool jazz, hard bop, modal jazz, funk, fusion, hip hop… Le trompettiste aura été de toutes les aventures, devançant le plus souvent les attentes du public et des musiciens, montrant la route, quitte à prendre des voies de traverse, quitte à choquer ou à être incompris. Cet ouvrage ambitionne de révéler un musicien qui dépasse le monde du jazz où la critique l’a souvent relégué. Comme dans les précédents ouvrages de la collection « Vibrations », la trajectoire personnelle et artistique du musicien est traitée à partir d’une riche iconographie accompagnée de textes aidant le lecteur à se repérer dans les époques et les styles abordés. Des essais originaux par des auteurs

et des spécialistes de l’œuvre complètent l’ouvrage.

• Préface de Jackie Berroyer

• Les années de formation

• À New York sur les pas du trompettiste

• Miles Davis, la photographie et la peinture

• La période électrique

• 100 photos rares et inédites

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pink floydUne légende anglaise






Jean-Christophe Servant, Afrique du Sud 1910-2010, un siècle de résistances, 2010









Martin Aston Journaliste à Sounds, Q, Mojo et The Times, Martin Aston est l’auteur de Björkgraphy, une biographie de Björk parue aux Editions Simon & Schuster en 1996.

Mark Blake Journaliste pour Q et Mojo, Mark Blake est l’auteur de Pigs Might Fly : The Inside Story Of Pink Floyd, une plongée dans la vie et les arcanes du groupe anglais.

Pat Gilbert Journaliste au Times, au Guardian et à Record Collector, Pat Gilbert est depuis 2002 rédacteur en chef de Mojo.

Aymeric Leroy Co-fondateur de la revue de musiques progressives Big Bang Aymeric Leroy est l’auteur au Mot et le reste de Pink Floyd, Plongée dans l’œuvre d’un groupe paradoxal (2010).

Chris Salewicz Pilier du New Musical Express de 1975 à 1981, journaliste à The Face, Chris Salewicz a écrit de nombreux ouvrages sur la musique et le cinéma. En 1987, il réalise une longue interview de Roger Waters qui fera date.

Pink Floyd, bien que scindé en deux depuis plus de vingt ans, n’est

pas mort. Son pouls bat au contraire à un rythme régulier. Il faut dire

que l’influence du groupe anglais ne cesse de croître. Ses albums

classiques (Dark Side Of The Moon, Wish You Were Here, Animals

ou The Wall) sont toujours en haut des ventes d’albums rock, tandis

que la nouvelle vague de groupes anglo-saxons se réclament

toujours davantage de ses fascinantes architectures sonores. Cet

ouvrage entend proposer au lecteur une plongée dans l’univers

visuel du groupe et dans les époques qu’il a traversées : du début

du psychédélisme jusqu’à la démesure des années 80, en passant

par la période classique des années 70.


• Interview de Roger Waters

• The Wall, à l’ombre du mur

• Le sorcier Syd Barrett

• Pink Floyd, une histoire visuelle

• Discographie complète

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Les auteurs ayant participé à cet ouvrage :

















Couverture: Mark Mawson / Rex Features.

Harry DohertyDurant sa carrière au Melody Maker de 1975 aux débuts

des années 80, Harry Doherty fut le défenseur de Queen

et d’autres groupes mal-aimés de la presse britannique.

Il a ensuite été rédacteur en chef du mensuel Metal

Hammer et a fondé le magazine vidéo Hard’n’Heavy.

John Ingham Journaliste à l’hebdomadaire musical anglais Sounds dans

les années 70, John Ingham a couvert la scène punk et

les mouvements musicaux des années 1975-1980.

Ben MitchellJournaliste à l’Observer et au Guardian, Ben Mitchell est

l’une des plumes les plus originales du mensuel musical Q

Manuel RabasseJournaliste et écrivain français, Manuel Rabasse a écrit

plusieurs livres sur la musique rock et est l’auteur de la

notice sur Queen dans le Dictionnaire du rock (Robert

Laffont, collection Bouquins).

L’année 2011 sera-t-elle l’année de Queen ? Le groupe « le plus populaire de Grande-Bretagne », devant les Beatles, est toujours dans les esprits. Son chanteur charismatique Freddie Mercury est mort, il y a vingt ans, du sida, le 24 novembre 1991. Né Farrokh Bulsara à Zanzibar, élevé en Inde, Mercury a été la première star rock indo-britannique. Il a inspiré le réali-sateur Sacha Baron-Cohen qui lui consacre son prochain film.

« Bohemian Rhapsody », « We Will Rock You », « We Are The Champions », « Another One Bites The Dust », « Radio Gaga »… Les tubes de Queen sont nombreux et sont l’arbre qui cache la forêt. Celle d’un groupe qui s’est formé au début des années 70 dans la période glam et qui n’a cessé d’évoluer et de se réinventer. Son énorme succès public a eu tendance à éclipser l’originalité de ses compositions, empruntant au heavy metal, au classique, au cabaret et aux musiques du monde.

Ce livre a l’ambition de remettre en lumière le groupe à travers la trajec-toire personnelle de son chanteur, mais également en s’attachant à dé-tailler les apports des autres membres du groupe, en particulier le guita-riste Brian May. Une centaine de photos originales donnent à cet ouvrage son caractère exclusif.

• Interviews de Freddie Mercury, Brian May et Roger Taylor

• Le « Making Of » de A Night At The Opera

• Freddie Mercury et la danse



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Franck FATALOT Directeur d’édition9 avenue de Beaulieu 1004 Lausanne SwitzerlandTel mob: 00 33 6 20 07 55 12 [email protected]

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COLLECTION VIBRATIONS 4

MICHAEL JACKSON 6

JIMI HENDRIX 8

AC/DC 10

AFRIQUE DU SUD 12

JOHNNY HALLYDAY 14

U2 16

JOHN LENNON 18

DAVID BOWIE 20

GEORGES BRASSENS 22

BOB MARLEY 24

PINK FLOYD 26

QUEEN 28

CHARLES AZNAVOUR 30

MILES DAVIS 32

COLLECTION VIBRATIONSBOOK 34

COLLECTION « SELON SES PROPRES MOTS » 36

STEVIE WONDER 38

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COLLECTIONBEAU LIVRE

Beau livre photo sur des artistes de renommée nationale ou interna-tionale : 100 pages de photographies et des interviews réalisées par les meilleurs spécialistes mondiaux du sujet. Ouvrage relatant la vie de l’artiste, Vibrations Collector est une biographie en image exclusive. En partenariat avec les meilleures agences photos du monde : Getty Images, Corbis, Rex, VIBRATIONS COLLECTOR positionne toujours sa sortie avec une actualité du moment : concert, anniversaire, expo-sitions.

Beautiful coffee table sized photo book dedicated to famous pop artists. 100 pages including rare photos and classic inter-views made by renowned writers. In partnership with classic photos agencies such as Getty Images, Corbis or Rex Features.

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Également parus dans la collection Vibrations








Georges Brassens, une mauvaise réputation,2011

TTC 25 euros (France)ISBN : 9-782940-46400-5

Est-il David Robert Jones ou David Bowie ? Ziggy Stardust ou Thin

White Duke ? Sa musique est-elle pop, rock, soul ou electro ? Aucun

artiste de pop music ne s’est autant transformé dans sa carrière que

David Bowie. Véritable éponge et avide de nouveautés, David Bowie

a créé l’artiste pop ultime, canalisant les énergies autour de lui et

donnant à son tour de nouvelles pistes à suivre pour des générations

de jeunes musiciens. Dans le grand brassage des musiques actuelles,

David Bowie reste l’étoile majeure à laquelle se réfère la musique pop.


• Interview exclusive

• Des débuts difficiles

• Bowie et les femmes

• Bowie le transformiste

• Bowie et le cinéma


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Bill DeMain journaliste américain résident à Nashville, écrit dans de nombreux magazines comme Mojo, Classic Rock, Musician ou Entertainment Weekly. Il a contribué à de nombreux ouvrages sur la musique et écrit les notes de pochette pour le coffret The Look Of Love : The Burt Bacharach Collection. Il est également musicien au sein du duo Swan Dive.

nick kent est l’un des plus importants et influents journalistes musicaux des année 70. Il a écrit pour le New Musical Express et est l’auteur de The Dark Stuff, en français L’envers du rock. Il vit à Paris avec sa compagne Laurence Romance et leur fils. Son autobiographie Apathy For The Devil (non traduite en français) est parue en 2010 aux Editions Faber & Faber.

christophe GeuDin est un journaliste français spécialisé dans la musique rock. Il a publié Dictionnaire Essentiel du documentaire rock aux Editions Autour du Livre et Prince, le dictionnaire avec Frédéric Goaty aux Editions Le Castor Astral

couverture Terry O’Neill / Getty Images

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BrassensUne maUvaise répUtationÉgalement parus dans la collection Vibrations


Johnny Hallyday, une vie pour le rock 2010







préface de Bernard LaviLLiers

Les auteurs

Gilbert Bovay Réalisateur à la Télévision Suisse Romande, Gilbert Bovay créa notamment la pre-mière émission littéraire de la chaîne. Passionné de musique, il est l’auteur de L’Effraction (1982). Il s’est éteint en 1987.

Olivier Horner Journaliste et chroniqueur mu-sical, Olivier Horner collabore depuis dix ans au quotidien suisse Le Temps. Il écrit également pour le bimensuel français Serge et a collaboré durant trois ans à la défunte revue Chorus.

Michel Polac Journaliste de télévision, de radio et de presse écrite, cinéaste et écrivain français, Michel Polac a créé, entre autres, Le Masque et la Plume sur France Inter et l’émission Droit de réponse sur TF1.

Marc Wilmet Professeur de linguistique à l’Uni-versité de Bruxelles, Marc Wilmet est l’auteur de Brassens Libertaire (Editions Aden, 2010)

« Il ne faut pas rejeter une bonne parole parce qu’elle a été dite par un méchant. »

Cette phrase d’un philosophe chinois reprise par George Brassens dans ce livre

en dit beaucoup plus sur les ambitions de l’auteur-compositeur-interprète

qu’un long discours. Les longs discours, l’auteur des « Copains d’abord » ne

les aimait pas. Comme il n’aimait pas beaucoup les gendarmes et les curés. Au

moment de célébrer un double anniversaire – Brassens est né le 22 octobre

1921, il y a 90 ans, et est mort le 29 octobre 1981, il y a 30 ans –, il est

temps de s’interroger sur la mystérieuse attraction que cet homme, ses mots

et sa guitare n’ont cessé de produire sur le public. « Je ne suis pas chanteur »,

répétait-il à chaque fois qu’il le pouvait. Poète ? Assurément. Nourri à la poésie

latine d’Ovide, aux poètes du XVIIe siècle et à François Villon, George Brassens

a sans nul doute écrit les plus beaux textes de la chanson dite française. Il ne

faut pas non plus oublier le musicien. Imprégnée de jazz, sa musique, sous des

accords apparemment simples, « collait » parfaitement à son propos, swinguant

nonchalamment derrière ses paroles drôles ou brutales. Quant à l’anarchiste

que l’on se plaît à reconnaître en lui, il est d’un genre particulier. Secret et

plein d’humour, il cultive son propre jardin, loin des aventures collectives qu’il

abhorrait. Ce livre tente humblement de rendre hommage à un art tout de

modestie et de poésie.

• 100 photos rares et inédites• Brassens et la littérature, par Michel Polac• Brassens intime : une interview de 1961• Brassens libertaire, par Marc Wilmet• Brassens et les femmes• Discographie

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David Commeilllas Journaliste, homme de radio et producteur, David Commeillas a réalisé de nombreux documentaires sur la Jamaïque, dont Natural Mystic Reggae : Une ballade Jamaïquaine paru en DVD en 2005.

Vivien Goldman Journaliste, musicienne et écrivain, Vivien Goldman a côtoyé de longues années Bob Marley. Elle est l’auteur de nombreux livres sur la musique dont Black Chord en collaboration avec le photographe David Corio (Universe, 1999) et The Book Of Exodus : The Making and Meaning of Bob Marley and The Wailers’ Album of the Century (Three Rivers Press, 2005).

Lee Jaffe Le musicien, producteur et artiste Lee Jaffe a joué un rôle crucial dans le rayonnement de la musique jamaïcaine. De 1973 à 1976, il a vécu à Kingston aux côtés de Bob Marley et a fait partie des Wailers en tant que harmoniciste. Il a également produit l’album Legalize It de Peter Tosh. Son livre One Love, Life with Bob Marley and The Wailers est paru en 2003 aux Editions Norton & Company.

Élodie Maillot Journaliste, productrice et reporter, Elodie Maillot est l’auteur du Dictionnaire des chansons de Bob Marley aux Editions de Tournon.

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Chacun puise ce qu’il veut dans Bob Marley. Adulé en

Europe, première star du tiers-monde, il fut le premier artiste

« global ». À sa mort le 11 mai 1981, Bob Marley n’avait que 36

ans. Cela faisait cinq ou six ans à peine que le grand public

le connaissait. Peu d’entre ses admirateurs se doutaient de

l’envergure historique qu’allait prendre le personnage. 30

ans plus tard, l’anniversaire de sa disparition est l’occasion

de célébrations multiples, d’éditions et de rééditions de ses

enregistrements les plus obscurs. L’héritage de Bob Marley

est profond. Cet ouvrage propose de livrer une image aussi

précise que multiple de cet artiste à travers des contributions

de spécialistes du reggae et de la culture jamaïquaine.

• interview de Bob Marley par Vivien Goldman

• Préface de Lee Jaffe, harmoniciste des Wailers

• La jeunesse de l’icône rasta

• Bob Marley intime

• Bob Marley et la politique, par David Commeillas


• Discographie sélective

pink floydUne légende anglaise















Martin Aston Journaliste à Sounds, Q, Mojo et The Times, Martin Aston est l’auteur de Björkgraphy, une biographie de Björk parue aux Editions Simon & Schuster en 1996.

Mark Blake Journaliste pour Q et Mojo, Mark Blake est l’auteur de Pigs Might Fly : The Inside Story Of Pink Floyd, une plongée dans la vie et les arcanes du groupe anglais.

Pat Gilbert Journaliste au Times, au Guardian et à Record Collector, Pat Gilbert est depuis 2002 rédacteur en chef de Mojo.

Aymeric Leroy Co-fondateur de la revue de musiques progressives Big Bang Aymeric Leroy est l’auteur au Mot et le reste de Pink Floyd, Plongée dans l’œuvre d’un groupe paradoxal (2010).

Chris Salewicz Pilier du New Musical Express de 1975 à 1981, journaliste à The Face, Chris Salewicz a écrit de nombreux ouvrages sur la musique et le cinéma. En 1987, il réalise une longue interview de Roger Waters qui fera date.

Pink Floyd, bien que scindé en deux depuis plus de vingt ans, n’est

pas mort. Son pouls bat au contraire à un rythme régulier. Il faut dire

que l’influence du groupe anglais ne cesse de croître. Ses albums

classiques (Dark Side Of The Moon, Wish You Were Here, Animals

ou The Wall) sont toujours en haut des ventes d’albums rock, tandis

que la nouvelle vague de groupes anglo-saxons se réclament

toujours davantage de ses fascinantes architectures sonores. Cet

ouvrage entend proposer au lecteur une plongée dans l’univers

visuel du groupe et dans les époques qu’il a traversées : du début

du psychédélisme jusqu’à la démesure des années 80, en passant

par la période classique des années 70.


• Interview de Roger Waters

• The Wall, à l’ombre du mur

• Le sorcier Syd Barrett

• Pink Floyd, une histoire visuelle


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Les auteurs ayant participé à cet ouvrage :








































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LES AUTEURS

Jacques Bofford Journaliste en producteur à la Radio Suisse romande, Jacques Bofford a animé les émissions En question et Noir sur blanc.

Pierre-Jean Crittin Directeur de la publication des revues Vibrations et So Jazz, Pierre-Jean Crittin codirige les Éditions Consart.

Olivier Horner Journaliste et chroniqueur musical, Olivier Horner collabore depuis dix ans au quotidien suisse Le Temps. Il écrit également pour le bimensuel français Serge et a collaboré trois ans à la défunte revue Chorus.

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De sa jeunesse de petit Arménien à Paris jusqu’aux grands récitals à

travers le monde, Charles Aznavour aura marqué le siècle. Pas seulement

en France, mais à travers le monde où ses talents de compositeur ont

été reconnus par des artistes aussi majeurs que Frank Sinatra ou Elvis

Presley. Qu’est-ce qui fait la marque Aznavour ? Critiqué à ses débuts pour

son manque de voix et de charisme, Aznavour a failli abandonner le métier.

Grand bien lui a pris de persévérer, encouragé par le succès immédiat

de « J’me voyais déjà » en 1960. Menant de front les deux carrières de

chanteur et de comédien, sa fi lmographie est impressionnante. De Tirez

sur le pianiste de François Truffaut (1960) à Arafat de Atom Egoyan (2002),

Charles Aznavour aura marqué de sa frêle silhouette le cinéma populaire

français, tournant avec tous les grands réalisateurs : Franju, Cocteau,

Chabrol, Verneuil, Mocky, Lelouch. Ce livre, richement illustré, entend

donner la place qu’il mérite à cette icône de la culture française.

• Interviews de Charles Aznavour• Jazzaznavour : Charles et le jazz• La conquête de l’Amérique• Aznavour comédien• Aznavour et l’Arménie• 100 photos rares et inédites• Discographie complète

CHARLES AZNAVOURL’ÉTERNEL

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Queen, 2011

The Miles Davis Book, 2011

Couverture: Charles Aznavour © Roger Viollet Collection

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Queen, 2011







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Depuis sa mort en juin 2009, beaucoup d’encre a coulé sur la dé-pouille du King Of Pop. Parmi toutes ces louanges et ces critiques, peu d’analyses fouillées de l’art phénoménal de cet artiste complet. Mi-chael Jackson, La Légende comble ce vide en analysant, au travers de textes de critiques musicaux et d’interviews, la destinée de cet artiste hors du commun. Ses musiciens, ses producteurs et ses collaborateurs les plus proches ont tous été interviewés pour donner à cet ouvrage une perspective unique.

Since his unexpected death in June 2009, much has been writ-ten about the King of Pop. A flow of praises and criticisms, but very few detailed analysis of the work of an artist in every sense of the word – singer, dancer, songwriter. Michael Jackson, The Legend addresses this very issue through well-informed articles and exclusives interviews with his musicians, producers and close associates. The books also focuses on pictures, with 100 photographs – many previously unseen – to better tell a story that runs from the years of the Jackon Five to the Invicible era.

MICHAEL JACKSON LE PHŒNIX POP

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EDITION BEAU LIVREFORMAT : 225 X 297 mm 100 PAGESLIVRE RELIÉ ET JAQUETTE VERNIEPOIDS : 735 gr DROITS DISPONIBLES : MondeLANGUES: Anglais/Français

DELUXE EDITIONPRODUCT DIMENSIONS : 225 X 297mm100 PAGESHARDCOVER, GLOSSY COVERWEIGHT : 735 grPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY :WorldwideLANGUAGES : English/French

n°ISBN : 978-2-9700669-0-3


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Cet ouvrage couvre toute la vie et la carrière de Hendrix, de ses débuts à Seattle dans des groupes de rhythm’n’blues jusqu’à ses dernières œuvres où il ouvrait sa musique au jazz et à l’improvisation. Des entre-tiens avec ses producteurs, musiciens, ainsi que le témoignage des plus grands guitaristes actuels feront de cette édition un produit ex-ceptionnel. Hendrix a été énormément photographié. CONSART EDI-

TIONS propose au lecteur une centaine de photos, dont beaucoup de rares et d’inédites.

This book covers Jimi Hendrix life and career, from his humble beginnings in R’n’B groups to his last recordings where he was opening his music to jazz improvisations. Interviews with producers, musicians as well as the greatest guitarists that he influenced make it a real collector for all Hendrix aficionados.

HENDRIX L'ENFANT VAUDOU

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EDITION BEAU LIVREFORMAT : 225 X 297 mm 100 PAGESLIVRE RELIÉ ET JAQUETTE VERNIEPOIDS : 735 gr DROITS DISPONIBLES : MondeLANGUES : Anglais/Français


n°ISBN : 978-2-9700669-3-4


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L’histoire du rock a ses mystères, mais au départ il y a toujours des gamins qui font de la musique et qui, un jour, jaillissent en pleine lu-mière. Depuis leurs débuts dans l’outback australien en 1973 jusqu’au triomphe planétaire, une vie est passée et ils sont toujours là. Indes-tructibles. Leur vie est un roman qui vous est raconté dans les pages de ce livre.

The history of rock music has its mysteries, but in the beginning it’s always a bunch of kids who makes music and one day burst into the light. From their beginnings in the Australian bush in 1973 to their worldwide triumph, a life has passed and they are still here. Indestructible. Their life reads like a novel, full of joy and tragedy.

AC/DC LA LÉGENDE

• 100 rare and unreleased photographs

• Their history so far

• Interviews with Angus Young and Brian Johnson

• Bon Scott, life and death of a rock star

• Full discography

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n°ISBN : 978-2-9700669-5-8


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AFRIQUE DU SUD UN SIÈCLE DE RESISTANCES

Sélectionnée parmi les archives du mythique magazine Drum et les collections des photographes les plus réputés d’Afrique du Sud, une vaste sélection d’images sert de fil rouge à cette plongée dans l’his-toire, les luttes et bien sur les musiques ayant accompagné le pays de l’Apartheid à la démocratie, de la naissance de Johannesburg à l’avè-nement de la génération Mandela, du début du XXe siècle aux années 2010, des chorales à l’explosion du style Kwaito.L’auteur est Jean Christophe Servant, journaliste au magazine Geo, collaborateur des pages Afrique du mensuel Le Monde Diplomatique.

A vast selection of images – culled from the archives of the le-gendary Drum Magazine and of the most renown South African photographers – provides the guiding thread of this deep dive into the history, the struggles and the music that accompanied the land of apartheid in its march to democracy. An amazing journey, from the creation of Johannesburg to the rise of the Mandela generation, from the early 20th century to 2010, from church choir music to the sounds of kwaito.The author, Jean Christophe Servant, writes for Geo magazine and Le Monde Diplomatique.

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DELUXE EDITIONPRODUCT DIMENSIONS : 225 X 297mm100 PAGESHARDCOVER, GLOSSY COVERWEIGHT : 735 grPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY WorldwideLANGUAGES : English/French

n°ISBN : 978-2-9700669-1-0


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Plus de quarante ans de carrière, de succès chèrement payés, d’ex-cès, de tournées exténuantes, de castagnes, de critiques acerbes, de gloire flamboyante… Ce livre remet Johnny à la place qui lui revient : celui de l’auteur de quelques-uns des meilleurs albums de rock clas-sique réalisés en France. Avec une centaine de photos retraçant sa carrière de chanteur et de comédien de 1959 à 2009, des interviews avec ses proches, des textes pénétrants du journaliste Serge Loupien (Libération), cet ouvrage est davantage qu’une biographie en image du chanteur : une plongée dans une époque révolue.

A career spanning more than 4 decades of success, excess, extenuating tours, street fights, harsh criticisms and glory. This books places Johnny Hallyday right where he belongs – as the author of some of the best French rock albums ever made. With a hundred photos covering his career as a singer and actor from 1959 to 2009, interviews with his closest associates, enlighte-ning articles by French journalist Serge Loupien (Libération), this book is far more than just a visual biography.

JOHNNY HALLYDAY LA DERNIÈRE IDOLE

• 100 rare or never-seen-before pho-tographs

• An interview with the man himself

• Johnny Hallyday and the movies

• His beginnings : Lee Halliday talks

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DELUXE EDITIONPRODUCT DIMENSIONS : 225 X 297mm100 PAGESHARDCOVER, GLOSSY COVERWEIGHT : 735 grPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY : WorldwideLANGUAGES : English/French

n°ISBN : 978-2-9700669-4-1

LA DERNIÈRE IDOLE

Franck FATALOT Directeur d’édition 9 avenue de Beaulieu 1004 Lausanne SwitzerlandTel mob: 00 33 6 20 07 55 12 [email protected]

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Les géants ont quelque chose de monstrueux et de fascinants. On se tromperait en résumant U2 à son leader Bono, même si son charisme au-dessus de la moyenne et ses activités extramusicales ont tendance à éclipser le quatuor dans son ensemble. C’est de U2-le-groupe à qui ce livre est consacré. De leurs débuts à Dublin à la fin des années 70 au méga-groupe de 2010 enflammant les stades avec un spectacle tenant autant de la musique que de la pyrotechnie, les Irlandais n’ont cessé d’occuper le terrain, musicalement ou politiquement.

Giants are somehow monstrous and fascinating. We’ll be wrong in arguing that U2 is Bono, even if his charisma and extra-mu-sical activities do put in the shadow the rest of the band. This book is about U2-The-Band. From their humble beginnings in Dublin at the end of the 70’s to the mega-group of 2010, The Irishmen have never ceased to be at the forefront, musically or politically.

U2 LE DERNIER DES GÉANTS

• 100 rare and unreleased photographs

• U2 in Dublin

• Can Bono save the world?

• The Berlin Years

• When Bono meets the Pope, GeorgeBush, Tony Blair, Colin Powell, Vladi-mir Poutine…

• The Edge about their favourite songs

• Full discography

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EDITION BEAU LIVREFORMAT : 220 X 285 mm100 PAGESLIVRE BROCHÉ ET JAQUETTE VERNIEPOIDS : 735 gr DROITS DISPONIBLES : MondeLANGUES : Anglais/Français

DELUXE EDITIONPRODUCT DIMENSIONS : 220 X 285 mm100 PAGESHARDCOVER, GLOSSY COVERWEIGHT : 735 grPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY : WorldwideLANGUAGES : English/French

n°ISBN : 978-2-9700669-7-2


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2010 est une année particulière pour John Lennon. Elle marque à la fois son 70e anniversaire, le 30e anniversaire de sa mort et le 40e anni-versaire de l’album Let It Be. Le mois d’octobre voit tous ses albums solo réédités, et en décembre, la sortie du biopic Nowhere Boy, avec l’étonnant Aaron Johnson dans le rôle du Beatle. À cette occasion, Les Editions Consart rendent hommage au chanteur-compositeur par la publication du livre John Lennon & The Beatles. De ses débuts, avant la formation des Beatles, au sein des Quarrymen jusqu’à son assassinat au Dakota Building en décembre 1980, c’est non seulement la vie de Lennon qui parcoure les pages de ce hors-sé-rie, mais une époque. Celle de l’avènement du rock anglais, des années psychédéliques, de la rupture avec les Beatles, de l’exil aux Etats-Unis, des manifestations politiques. L’occasion de voir à travers le prisme lennonien une société en mouvement, qu’il incarne jusque dans ses errances.

2010 marks a particular year in John Lennon’s posthumous his-tory : his 70th birthday, the 30th anniversary of his death – not to mention the four decades that exactly passed since the release of Let It Be. His solo albums were all reissued in October, while the movie biopic Nowhere Boy, with the amazing Aaron Johnson in the leading role, was scheduled to hit the screen in December.Consart pays tribute to the artistry of the late singer-songwri-ter with the publishing of John Lennon & The Beatles. From his humble beginnings before the Beatles, as a member of the Quarrymen, to his brutal murder outside the Dakota Building in December 1980, John Lennon’s entire life fills the pages of this book. John Lennon & The Beatles also tells the story of an era, covering the rise of British rock, the years of psychedelia, the break-up of The Beatles, John’s exile to the US and his political activism. A rare insight into the music of a major artist, which also gives us Lennon’s unique perspective on his time.

JOHN LENNON & THE BEATLES

• An exclusive interview with John Lennon, from 1969

• Yoko Ono on John’s solo albums

• The Beatles’break-up, according to John

• John before The Beatles

• 100 rare or unreleased photographs

• Discography

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n°ISBN : 978-2-940464-01-2


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Est-il David Robert Jones ou David Bowie ? Ziggy Stardust ou Thin White Duke ? Sa musique est-elle pop, rock, soul ou electro ? Aucun artiste de pop music ne s’est autant transformé dans sa carrière que David Bowie. Véritable éponge et avide de nouveautés, David Bowie a créé l’artiste pop ultime, canalisant les énergies autour de lui et donnant à son tour de nouvelles pistes à suivre pour des générations de jeunes musiciens. Pourtant, les débuts n’ont pas été simples et ses tenues et attitudes provocantes ont été autant de freins au lancement de sa carrière qui démarre véritablement avec le succès de « Space Oddity » (1969) et la vogue du Glam-rock (T-Rex, Garry Glitter). Mais Bowie ne reste pas en place, ne se laisse pas cataloguer. Il sort son plus gros suc-cès en 1972, l’album The Rise And The Fall Of Ziggy Stardust, détruit son personnage devenu trop envahissant et part conquérir l’Amérique avec un disque de soul (Young Americans). Sa trilogie berlinoise (Low, Heroes et Lodger) clôt véritablement un cycle. Mais l’artiste continue à être créatif tout au long des années 80 et 90. Il fonde le groupe Tin Machine, puis se frotte aux genres electro et drum’n’bass. Aujourd’hui, on n’attend plus que son retour. Dans le grand brassage des musiques actuelles, David Bowie reste l’étoile majeure à laquelle se réfère la mu-sique pop.

Is he David Robert Jones or David Bowie? Ziggy Stardust or Thin White Duke? His music cannot be labelled as pop, rock, soul or electro. No pop artist has changed as much in his career as David Bowie. A real sponge and eager for new trends, David Bowie has created the ultimate pop artist, channelling the energies around him and giving new alleys for generations of young musicians. Nevertheless, his debuts were not simple and his provocative attitudes were so many brakes in the launch of its career, which really started, with the success of Space Oddity (1969) and the fashion of Glam-rock (T-Rex, Gary Glitter). His biggest success came in 1972 with the album The Rise And The Fall Of Ziggy Stardust, and he conquered America with the following record (Young Americans) His Berlin trilogy (Low, Heroes and Lodger) closed a cycle. But the artist continued to be creative throu-ghout the 80s and 90. He then formed the group Tin Machine and explored new genres such as electro and drum’n’bass. In the big mix of contemporary music, David Bowie remains the reference point for future generations of musicians.

DAVID BOWIE L'ÉTOILE POP

• 100 rare and new photos

• Interviews with David Bowie

• The debuts

• Bowie and the avant-gardes

• Bowie The Transformer

• Bowie and films

• Complete discography

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n°ISBN : 978-2-940464-00-5









Georges Brassens, une mauvaise réputation,2011

TTC 25 euros (France)ISBN : 9-782940-46400-5

Est-il David Robert Jones ou David Bowie ? Ziggy Stardust ou Thin

White Duke ? Sa musique est-elle pop, rock, soul ou electro ? Aucun

artiste de pop music ne s’est autant transformé dans sa carrière que

David Bowie. Véritable éponge et avide de nouveautés, David Bowie

a créé l’artiste pop ultime, canalisant les énergies autour de lui et

donnant à son tour de nouvelles pistes à suivre pour des générations

de jeunes musiciens. Dans le grand brassage des musiques actuelles,

David Bowie reste l’étoile majeure à laquelle se réfère la musique pop.


• Interview exclusive

• Des débuts difficiles

• Bowie et les femmes

• Bowie le transformiste

• Bowie et le cinéma


Davi

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pop

Bill DeMain journaliste américain résident à Nashville, écrit dans de nombreux magazines comme Mojo, Classic Rock, Musician ou Entertainment Weekly. Il a contribué à de nombreux ouvrages sur la musique et écrit les notes de pochette pour le coffret The Look Of Love : The Burt Bacharach Collection. Il est également musicien au sein du duo Swan Dive.

nick kent est l’un des plus importants et influents journalistes musicaux des année 70. Il a écrit pour le New Musical Express et est l’auteur de The Dark Stuff, en français L’envers du rock. Il vit à Paris avec sa compagne Laurence Romance et leur fils. Son autobiographie Apathy For The Devil (non traduite en français) est parue en 2010 aux Editions Faber & Faber.

christophe GeuDin est un journaliste français spécialisé dans la musique rock. Il a publié Dictionnaire Essentiel du documentaire rock aux Editions Autour du Livre et Prince, le dictionnaire avec Frédéric Goaty aux Editions Le Castor Astral

couverture Terry O’Neill / Getty Images

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1970

Photo of David Bowie as ZiggyCIRCA 1973: Photo of David Bowie Photo by Michael Ochs Archives/Getty Images74255113

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1973 Deux fans de David Bowie.

3 juillet 1973 Lors du dernier concert où il endossa le personnage de Ziggy Stardust, à l’Hammersmith Odeon.

3 juillet 1973

70 71

1er septembre 1987 En scène.

À l’instar de Frank Zappa, les diverses formations de David Bowie ont accueilli un grand nombre de musiciens d’exception, avec une nette prédilection pour les guitaristes. Le style incisif et proto-heavy metal de Mick Ronson résonne dès The Man Who Sold The World en 1971. On doit au guitariste des Spider From Mars le solo flamboyant de « Moonage Daydream » et les fameux arpèges saturés de l’introduction de « Ziggy Stardust ». L’ exil américain de David Bowie et son nouveau désir de soul music coïncident avec l’arrivée de Carlos Alomar. Ancien accompagnateur du groupe-maison de l’Apollo de New York, Alomar a également prêté ses licks funky et son sens aiguisé du groove à Wilson Pickett et James Brown. Alomar a également

participé aux jeux de rôles musicaux de Brian Eno lors de la trilogie Low, Heroes, Lodger. Robert Fripp, le virtuose au jeu cérébral de King Crimson, a pour sa part légué sa science du feedback aux parties de guitares hurlantes de Heroes et Scary Monsters. Adrian Belew, un autre surdoué au style beaucoup plus décontracté, a eu l’honneur de participer à l’enregistrement de Lodger ainsi qu’aux tournées 1978 et 1990. Deux autres illustres guitaristes ont également opéré auprès de Bowie, sans toutefois apparaître sur scène à ses côtés. Nile Rodger de Chic a ainsi produit et joué sur Let’s Dance et Black Tie White Noise. Repéré par Bowie au Festival de Montreux, Stevie Ray Vaughan a eu le temps de graver les stupéfiants chorus de « Let’s Dance » et « China Girl »

avant de claquer la porte à la veille de la tournée Serious Moonlight. Une querelle financière et des problèmes de management sont la cause de ce grand rendez-vous manqué. C’est finalement Earl Slick, un autre adepte du blues déjà présent sur la tournée Diamond Dogs et lors des sessions de Station to Station qui le remplacera au pied levé. Peter Frampton, une autre ancienne connaissance, sera moins chanceux en participant aux épisodes dispensables de Never Let Me Down (1987) et du Glass Spider Tour. Dernier membre de la liste, Reeves Gabrels, émule bruitiste de Robert Fripp, a accompagné Bowie dans Tin Machine avant de collaborer étroitement avec lui pendant toutes les années 1990. « Boy, could they play guitar ! », comme aurait pu le chanter Ziggy. C.G.

1er juin 1983 Carmine Rojas, David Bowie et Carlos Alomar à Wembley lors de la tournée Serious Moonlight.

Guitar hero for one day


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« Il ne faut pas rejeter une bonne parole parce qu’elle a été dite par un méchant ». Cette phrase d’un philosophe chinois reprise par George Brassens en dit beaucoup plus sur les ambitions de l’auteur-compo-siteur-interprète qu’un long discours. D’ailleurs, les longs discours, l’auteur des « Copains d’abord » ne les aimait pas. Comme il n’aimait pas beaucoup les gendarmes et les curés. Au moment de célébrer un double anniversaire – Brassens est né le 22 octobre 1921, il y a 80 ans, et est mort le 29 octobre 1981, il y a 30 ans –, il est temps de s’inter-roger sur la mystérieuse attraction que cet homme, ses mots et sa gui-tare n’ont cessé de produire sur le public. « Je ne suis pas chanteur », répétait-il à chaque fois qu’il le pouvait. Poète ? Assurément. Nourri à la poésie latine d’Ovide, aux poètes du XVIIe et à François Villon, George Brassens a sans nul doute écrit les plus beaux textes de la chanson dite française. Il ne faut pas non plus oublier le musicien. Nourrie au jazz, sa musique, sous des accords apparemment simples, « collait » parfai-tement à son propos, swinguant nonchalamment derrière ses paroles drôles ou brutales. Quant à l’anarchiste que l’on se plaît à reconnaître en lui, il est d’un genre particulier. Secret et plein d’humour, il cultive son propre jardin, loin des aventures collectives qu’il abhorrait. Ce livre tente humblement de rendre hommage à un art tout de modestie et de poésie.

George Brassens has without a doubt composed the most beau-tiful lyrics of the French chanson, along with Edith Piaf. Nou-rished by the jazz influences of the 50’s, his music, swings lazily behind his words. He was also an anarchist. He cultivated his own garden, away from the collective adventures that he abhor-red. This book pays a tribute to his art.

BRASSENS UNE MAUVAISE RÉPUTATION

• 100 rare and previously unpublishedphotographs

• An interview with George Brassens

• Brassens and literature

• Intimate Brassens

• Brassens the anarchist


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n°ISBN : 978-2-9700669-9-6



BrassensUne maUvaise répUtationÉgalement parus dans la collection Vibrations









préface de Bernard LaviLLiers

Les auteurs

Gilbert Bovay Réalisateur à la Télévision Suisse Romande, Gilbert Bovay créa notamment la pre-mière émission littéraire de la chaîne. Passionné de musique, il est l’auteur de L’Effraction (1982). Il s’est éteint en 1987.

Olivier Horner Journaliste et chroniqueur mu-sical, Olivier Horner collabore depuis dix ans au quotidien suisse Le Temps. Il écrit également pour le bimensuel français Serge et a collaboré durant trois ans à la défunte revue Chorus.

Michel Polac Journaliste de télévision, de radio et de presse écrite, cinéaste et écrivain français, Michel Polac a créé, entre autres, Le Masque et la Plume sur France Inter et l’émission Droit de réponse sur TF1.

Marc Wilmet Professeur de linguistique à l’Uni-versité de Bruxelles, Marc Wilmet est l’auteur de Brassens Libertaire (Editions Aden, 2010)

« Il ne faut pas rejeter une bonne parole parce qu’elle a été dite par un méchant. »

Cette phrase d’un philosophe chinois reprise par George Brassens dans ce livre

en dit beaucoup plus sur les ambitions de l’auteur-compositeur-interprète

qu’un long discours. Les longs discours, l’auteur des « Copains d’abord » ne

les aimait pas. Comme il n’aimait pas beaucoup les gendarmes et les curés. Au

moment de célébrer un double anniversaire – Brassens est né le 22 octobre

1921, il y a 90 ans, et est mort le 29 octobre 1981, il y a 30 ans –, il est

temps de s’interroger sur la mystérieuse attraction que cet homme, ses mots

et sa guitare n’ont cessé de produire sur le public. « Je ne suis pas chanteur »,

répétait-il à chaque fois qu’il le pouvait. Poète ? Assurément. Nourri à la poésie

latine d’Ovide, aux poètes du XVIIe siècle et à François Villon, George Brassens

a sans nul doute écrit les plus beaux textes de la chanson dite française. Il ne

faut pas non plus oublier le musicien. Imprégnée de jazz, sa musique, sous des

accords apparemment simples, « collait » parfaitement à son propos, swinguant

nonchalamment derrière ses paroles drôles ou brutales. Quant à l’anarchiste

que l’on se plaît à reconnaître en lui, il est d’un genre particulier. Secret et

plein d’humour, il cultive son propre jardin, loin des aventures collectives qu’il

abhorrait. Ce livre tente humblement de rendre hommage à un art tout de

modestie et de poésie.

• 100 photos rares et inédites• Brassens et la littérature, par Michel Polac• Brassens intime : une interview de 1961• Brassens libertaire, par Marc Wilmet• Brassens et les femmes• Discographie

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C’était à l’occasion des 25 ans de la mort de Georges Brassens en 2006. Du flot éditorial commémoratif émergeait le témoignage inédit de Pierre Onténiente, dit « Gibraltar ». Rassemblées dans le livre-document Brassens : le regard de Gibraltar, les confessions recueillies par Jacques Vassal sont précieuses. À 85 ans, Onténiente n’avait jamais témoigné aussi exhaustivement sur son ami et complice qu’il a accompagné jusqu’au dernier souffle.

Le plus discret des « copains d’abord » est un personnage clé de la vie de Brassens. Ils se sont connus en 1943 au camp de Basdorf, en Allemagne. Tous deux s’étaient vus enrôlés dans le Service du travail obligatoire (STO) et réassemblaient ou révisaient des moteurs d’avion en usine. « Moi, j’étais aux roulements à billes et Georges, lui, était aux cylindres. » Brassens partira au bout d’un an grâce à un congé à Paris

dont il ne reviendra pas, mais Pierre restera jusqu’à la fin de la guerre. Ils se retrouveront dans la capitale pour ne plus jamais se quitter. Onténiente endosse petit à petit les rôles de secrétaire, chauffeur et d’homme de confiance. L’ami-factotum s’occuppe aussi bien de ses déclarations d’impôts que des contrats artistiques, de l’achat de ses chemises que de la gestion de ses éditions ou de filtrer l’accès à Brassens.

C’est d’ailleurs ce dernier point, à travers la méticuleuse gestion de son temps et de son agenda, qui éclaire davantage l’œuvre si peaufinée de Brassens. Grâce au témoignage et milles anecdotes de « Gibraltar », on découvre à quel point Brassens avait privilégié la notion de construction d’une œuvre. « Jusque là, je ne m’étais pas rendu compte à quel point il était capable de se priver de certaines amitiés ou d’en limiter le nombre parce que cela lui aurait pris du temps sur son

travail », explique Jacques Vassal. En déchargeant Brassens des soucis pratiques et des affaires courants, Onténiente a ainsi directement participé à la création d’une des œuvres majeures du patrimoine chanté. C’est cette préoccupation majeure qui a par ailleurs été – avec les coliques néphrétiques douloureuses – à l’origine de l’arrêt des tournées en France et à l’étranger.

Homme d’une seule chose à la fois, Brassens a dû dès 1955-1956 s’imposer une discipline de vie très rigoureuse pour pouvoir tout à la fois poursuivre la gestation de l’œuvre et accepter certaines contraintes du métier. Pour l’y aider, il a eu en Pierre un allié précieux. Pendant que l’ami éconduit ou limite les importuns, Brassens, qui ne supporte pas l’autorité sous toutes ses formes, écrit tranquillement quelques chefs-d’œuvre de plus. O.H.

Gibraltar, un copain

d’abord

15 octobre 1964 Près du Sacré Cœur à Montmartre à Paris.

1965 Avec ses amis René Fallet et

« Gibraltar »à Crespières.


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Le chroniqueur LibertairePar Marc WiLMet

Georges Brassens

par Noyau


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Chacun puise ce qu’il veut dans Bob Marley, mais le domaine qui a été radicalement transformé par son expérience est celui de l’industrie musicale. Première star du tiers-monde, il fut aussi le premier artiste « world ». À sa mort le 11 mai 1981, Bob Marley n’avait que 36 ans. Cela faisait cinq ou six ans à peine que le grand public le connaissait. Peu d’entre ses admirateurs se doutaient de l’envergure historique qu’allait prendre le personnage. 30 ans plus tard, l’anniversaire de sa dispari-tion est l’occasion de célébrations multiples, d’éditions et de rééditions de ses enregistrements les plus obscurs. L’héritage de Bob Marley est profond. Cet ouvrage propose de livrer une image aussi précise que multiple de cet artiste à travers des contributions de spécialistes du reggae et de la culture jamaïquaine. Pour ne pas sortir « une revue de plus », mais une véritable somme.

Bob Marley was the first world music artist. At his death in May 11th, 1981, Marley was only 36 years old. Few of his admirers had thought at the time he would become such an iconic legend. 30 years after his death, the legacy of Bob Marley is deep. This book aim is to give a diverse image of the man and his music. This through contributions from specialists of reggae and jamaican culture.

BOB MARLEY UNE VIE REBELLE

• Extended Interviews with Bob Marley

• Contributions of Marley specialists such as Vivien Goldman, David Corio and his longtime friend Lee Jaffe

• The youth of the rasta icon

• Peter Tosh, the damned soul of The Wailers

• Marley and Politics

• 100 rare photos and unpublished

• Complete Discography

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DELUXE EDITIONPRODUCT DIMENSIONS : 225 X 297mm100 PAGESHARDCOVER, GLOSSY COVERWEIGHT : 735 grPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY : Worldwide•LANGUAGES : English/French

n°ISBN : 978-2-940464-02-9














David Commeilllas Journaliste, homme de radio et producteur, David Commeillas a réalisé de nombreux documentaires sur la Jamaïque, dont Natural Mystic Reggae : Une ballade Jamaïquaine paru en DVD en 2005.

Vivien Goldman Journaliste, musicienne et écrivain, Vivien Goldman a côtoyé de longues années Bob Marley. Elle est l’auteur de nombreux livres sur la musique dont Black Chord en collaboration avec le photographe David Corio (Universe, 1999) et The Book Of Exodus : The Making and Meaning of Bob Marley and The Wailers’ Album of the Century (Three Rivers Press, 2005).

Lee Jaffe Le musicien, producteur et artiste Lee Jaffe a joué un rôle crucial dans le rayonnement de la musique jamaïcaine. De 1973 à 1976, il a vécu à Kingston aux côtés de Bob Marley et a fait partie des Wailers en tant que harmoniciste. Il a également produit l’album Legalize It de Peter Tosh. Son livre One Love, Life with Bob Marley and The Wailers est paru en 2003 aux Editions Norton & Company.

Élodie Maillot Journaliste, productrice et reporter, Elodie Maillot est l’auteur du Dictionnaire des chansons de Bob Marley aux Editions de Tournon.

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une Vie reBeLLe

Chacun puise ce qu’il veut dans Bob Marley. Adulé en

Europe, première star du tiers-monde, il fut le premier artiste

« global ». À sa mort le 11 mai 1981, Bob Marley n’avait que 36

ans. Cela faisait cinq ou six ans à peine que le grand public

le connaissait. Peu d’entre ses admirateurs se doutaient de

l’envergure historique qu’allait prendre le personnage. 30

ans plus tard, l’anniversaire de sa disparition est l’occasion

de célébrations multiples, d’éditions et de rééditions de ses

enregistrements les plus obscurs. L’héritage de Bob Marley

est profond. Cet ouvrage propose de livrer une image aussi

précise que multiple de cet artiste à travers des contributions

de spécialistes du reggae et de la culture jamaïquaine.

• interview de Bob Marley par Vivien Goldman

• Préface de Lee Jaffe, harmoniciste des Wailers

• La jeunesse de l’icône rasta

• Bob Marley intime

• Bob Marley et la politique, par David Commeillas


• Discographie sélective

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trois, le chiffre magique

Au début des années 60, Bob Marley habite avec sa mère à Trenchtown, célèbre et miséreux ghetto au sud de Kingston, au sein d’un Tenament yard, une cour commune où les femmes partagent le même robinet pour remplir leurs casseroles et frotter leurs tissus. Il squatte l’étroite chambre du fond avec vue imprenable sur le poulailler, mais il passe plutôt ses nuits dehors, embrassant une vie de quartier agitée avec le fils d’un voisin : le jeune Neville Livingston, alias Bunny.

Dans le labyrinthe de tôle ondulé du ghetto, Neville et Bob fréquentent assidûment le jardin

du chanteur Joe Higgs. Entre deux pétards d’herbes pures et des discussions philosophiques avec les Rastas, Joe Higgs agrippe sa précieuse guitare et offre des leçons de chant aux gamins du coin. Neville et Bob y rencontrent un élève surdoué et silencieux du nom de Winston McIntosh. Les futurs Wailers ne sont alors qu’une bande de quartiers, une dizaine de copains qui s’inscrivent à tous les radio-crochets de la ville sous le nom de The Teenagers. Après de longues années d’entraînement, Joe Higgs présente les meilleurs d’entre eux à son ami Coxsone Dodd pour une audition, pas franchement convaincante. Mais

au moment de quitter Studio One, Peter Tosh insiste pour que les Wailers interprètent « Simmer Down », une nouvelle mélodie pas encore vraiment au point.

En janvier 1964, « Simmer Down » caracole en tête des rotations de la radio nationale JBC. Un second hit chanté par Junior Braithwaite et écrit à quatre mains par Bob et Bunny, « It Hurts To Be Alone », installe The Wailing Wailers au sein du plus prolifique label de l’époque. La méthode maison se résume à transposer en ska les mélodies soul et doo-woop en provenance de Détroit ou de Chicago. D.c

Vers 1972 Bob Marley.

Vers 1973 The Wailers : Bob, Bunny et Peter.


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1975 Bob chez lui en Jamaïque. On aperçoit le reflet de la photographe de High Times, Kim Gottlieb-Walker, dans le miroir.

1975 Avec Georges Harrison.



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Les 30 et 31 mai 2011, Roger Waters présentera à Paris (Bercy) le spectacle The Wall, basé sur l’album du même nom, de 1979. Le 4 janvier de cette même année 2011, Pink Floyd, désormais réduit à deux (David Gilmour et Nick Mason) après la mort de Richard Wright en 2008, a signé un contrat discographique de cinq ans avec EMI. On le voit : le groupe anglais, bien que scindé en deux depuis plus de vingt ans, n’est pas mort. Inutile de se mettre à rêver d’une possible réunion. Malgré quelques apparitions ensemble, le projet semble bel et bien enterré. Pourtant, depuis cinq ans, l’influence de Pink Floyd ne cesse de croître. Ses albums classiques (Dark Side Of The Moon, Wish You Were Here, Animals ou The Wall) sont toujours en haut des ventes de rééditions, tandis que la nouvelle vague de groupes américains comme Animal Collective ou Grizzly Bear se réclament de ses architectures sonores. Même le monde du reggae et du hip hop se ressource aux ambiances psychédéliques du Floyd ! En parallèle à la biographie de référence de Glen Povey, cet ouvrage entend proposer au lecteur une plongée dans l’univers visuel du groupe et dans les époques qu’il a traversées : du début du psychédélisme jusqu’à la démesure des années 80, en pas-sant par la période classique des années 70.

Pink Floyd, although split into two groups for more than twenty years, is still alive. Its classic albums (Dark Side Of The Moon, Wish You Were Here, Animals or The Wall) are always at the top of the reissue charts whereas new groups such as Animal Col-lective or Grizzly Bear copy its sound architectures. Even the world of the reggae and hip-hop captures fresh ideas from the psychedelic atmospheres of the Floyd!

PINK FLOYD LA RENAISSANCE

• 100 rare and new photos

• Interviews of Roger Waters

• Syd Barrett the wizard

• Pink Floyd, a visual story

• The 60’s shows


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n°ISBN : 978-2-940464-03-6

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Un peu par hasard, Pink Floyd se retrouve programmé au printemps 1966 dans la série Spontaneous Underground, concerts dominicaux plus ou moins privés organisés au Marquee Club. C’est là que, grâce à ses improvisations atmosphé-riques atypiques, il retient l’atten-tion non seulement de ses futurs managers Peter Jenner et Andrew King, mais aussi des fondateurs de la London Free School, sorte d’équivalent londonien de l’Uni-versité Libre de New York, qui va devenir au cours des mois suivants le point de ralliement de la contre-culture britannique naissante. Le Floyd est l’attraction principale des concerts de levée de fonds de la LFS. Le bouche-à-oreille favorable, suscité à la fois par l’ori-ginalité de sa musique (impros de mieux en mieux maîtrisées, mais

aussi émergence de Syd Barrett comme songwriter prolifique et inspiré) et par l’utilisation, inédite en Angleterre, d’un light show, attire bientôt un public tellement nombreux que la salle paroissiale de Notting Hill où ont lieu les concerts ne suffit plus à l’accueillir. À Noël 1966, à l’initiative de Joe Boyd et de John « Hoppy » Hop-kins naît l’UFO Club, hébergé tous les vendredis soirs au sous-sol d’un pub de Tottenham Court Road en plein centre de la capitale. Pink Floyd en sera le groupe rési-dent, jusqu’à ce qu’une fois encore son succès – celui du single « Ar-nold Layne » – l’entraîne vers des salles de plus grande capacité. Sur la scène de l’UFO, le Floyd trouve un environnement et un auditoire propices pour maximiser ses atouts (son sens des atmosphères et du

spectacle total) et minimiser ses points faibles (son manque de technique et charisme scénique). Noyé dans les projections du light show, Pink Floyd renvoie l’image d’un collectif soudé, émancipé de la futilité de l’ego-trip et de la vulgarité des concessions com-merciales. Ce Floyd pur et dur, presque totalement instrumental, on le retrouve dans le DVD Lon-don 1966-67, filmé en plein âge d’or d’un underground londonien qui prendra fin dès le concert-événement 14-Hour Technicolor Dream d’avril 1967. Mais la consécration de l’été 1967, avec la parution de « See Emily Play » puis celle de l’album Piper At The Gates Of Dawn, est vite assombrie par les premiers signes inquiétants de la dégradation de la santé men-tale de Syd Barrett. A.L.

psychédélisme Le temps de L’underground

décembre 1966 Pink Floyd au club UFO : Roger Waters, Syd Barrett, Rick Wright.

16 17

Novembre 1967 L’affiche des concerts de Pink Floyd et Procol Harum aux Fillmore West et Winterland de San Francisco.

42 43

L’après-Barrett va s’avérer compliqué à gérer. Pink Floyd n’ayant guère tourné à l’étranger dans sa confi-guration d’origine, sa légitimité à continuer sans sa figure de proue n’est vraiment susceptible d’être contestée qu’en Angleterre. L’accueil triomphal de son concert gratuit à Hyde Park le jour de la sortie de A Saucerful Of Secrets en juin 1968 aura tôt fait de le rassurer sur ce point. C’est malgré tout à l’étranger – et notamment en France – qu’il va focaliser, avec succès, ses efforts de reconquête à compter de l’entrée en scène de David Gilmour. Musicalement, le groupe est contraint à une nécessaire réinvention. Incapable d’œuvrer avec le même talent dans la pop psychédélique, le quartette abandonne définitivement les singles après deux échecs cuisants (« It Would Be So Nice » et « Point Me At The Sky »), pour devenir un album band. La dimension de spec-tacle sonore et visuel de ses concerts, esquissée dès 1967 avec Games For May, se développe grâce à des innovations technologiques comme l’Azimuth Coordinator (sorte de joys-tick permettant de gérer en direct la spatialisation quadriphonique du son), et une conceptualisation du répertoire qui aboutit en 1969 à la suite The Man & The Journey. Parallèlement, la mu-sique du groupe prend une tournure plus instrumentale, avec une volonté de structurer davantage les compo-sitions : les trois mouvements de la suite-titre de A Saucerful Of Secrets, le crescendo vertigineux, jusqu’au cri primal apocalyptique de Roger Wa-ters dans « Careful With That Axe, Eugene » (l’un des grands moments d’Ummagumma), l’expérience orches-trale de Atom Heart Mother, évolution vers le rock progressif parachevée avec « Echoes », la pièce de résistance de Meddle (1971), qui restera l’apogée de cette première phase, celle d’avant les concept-albums au succès planétaire, close en beauté par le formidable Live At Pompei, filmé dans les ruines de la cité romaine martyre, parfaite sélection, agrémentée d’images inou-bliables, des jalons essentiels de ce Pink Floyd dont beaucoup resteront nostalgiques et inconsolables. A.L.

prog floyd l'âge d'or

42 43

1973 Rick Wright, Dave Gilmour, Nick Mason, Roger Waters à Londres.


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L’année 2011 sera-t-elle l’année de Queen ? Le groupe anglais, déclaré « le plus populaire des groupes rock de Grande-Bretagne » (devant les Beatles), est toujours dans les esprits. Son chanteur charismatique Freddie Mercury est mort, il y a vingt ans, du Sida, le 24 novembre 1991. Né Farrokh Bulsara à Zanzibar, élevé en Inde, Mercury a été la première star rock indo-britannique. Il a inspiré Sacha Baron-Cohen (Borat) qui lui consacre son prochain film, à sortir en 2011.« Bohemian Rapsody », « We Will Rock You », « We Are The Champions », « Another One Bites The Dust », Radio Gaga »… Les tubes de Queen sont nombreux, et sont l’arbre qui cache la forêt. Celle d’un groupe qui a débuté au début des années 70 dans la période glam et qui n’a cessé d’évoluer et de se réinventer. Son énorme succès public a eu tendance à éclipser l’originalité de ses compositions, empruntant au heavy metal, au classique, au cabaret et aux musiques du monde.Ce livre consacré à Queen a l’ambition de remettre en lumière le groupe, à travers la trajectoire personnelle de son chanteur, mais également en s’attachant à détailler les apports des autres membres du groupe, en particulier le guitariste Brian May. Une centaine de photos originales, dont celles de l’ami personnel de Freddie Mercury Mick Rock donneront à cet ouvrage son caractère exclusif.

The most popular rock band in England is not The Beatles but Queen. His charismatic singer Freddie Mercury died 20 years ago, from AIDS, November the 24th, 1991. His life inspired Sacha Baron-Cohen (Borat) whose film about Mercury is scheduled in late 2012. This book focused on Mercury, but also on the other members of Queen, such as guitarist Brian May. With a hundred of original photos, including those of Freddie Mercury personal friend Mick Rock

QUEEN

• Interview with Freddie Mercury

• Interview with Brian May

• Mercury and choreography

• Mercury and Opera

• On the road with Queen

• Complete Discography

• 100 rare photos

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n°ISBN : 978-2-940464-04-3








































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Queen et les Sex Pistols n’avaient pas grand-chose en commun, si ce n’est la même maison de disques. Les deux groupes se retrouvent un jour de 1977 dans les studios Wes-sex loués par EMI Records. Queen enregistre News Of The World et les Sex Pistols Never Mind The Bollocks. Ces derniers ont engagé un nouveau bassiste qui va bientôt se faire connaître du monde entier sous le nom de Sid Vicious. Peter Hince, le roadie personnel de Freddie Mercury, raconte dans ses mémoires1 la rencontre de deux mondes : « Queen travaillait dans la cabine de mixage lorsque Sid Vicious, en guenilles, passa la tête à travers la porte et s’adressa à Freddie : “Tu as enfin réussi à faire aimer le ballet aux masses ? » Fred s’est simplement levé,

s’est approché de lui et lui a lancé en se moquant : “Tu t’appelles bien Stanley Ferocious ? ", l ’a pris par le collet et l ’a jeté dehors. » Ce n’est certaine-ment pas un hasard si on trouve sur News Of The World un morceau (« Sheer Heart Attack ») dont le tempo d’enfer évoque le punk rock. Les paroles, écrites par Freddie Mercury, se moquent de l’attitude « destroy » des groupes comme The Sex Pistols.

Tu as juste 17 ans et ce que tu veux, c’est disparaîtreJe me sens si in-ar-ti-cu-léHey Hey, c’est l ’ADNQui m’a rendu comme ça

En attente de publication. Voir www.peterhince.com

Septembre 1984 John Deacon et Freddie Mercury avec Queen au stade de Wembley.

1986 Un Freddie Mercury en atours royaux arbore

une couronne à l'occasion d'un show.

Queen et le punkAnArchy in the studio

1984-1988

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Une nUit à l’Opéra

par Harry DOHerty

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Une nUit à l’Opéra

par Harry DOHerty

1975 John Deacon avec Freddie Mercury, Brian

May et Roger Taylor aux studios Rockfield.


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De sa jeunesse de petit Arménien à Paris jusqu’aux grands récitals à travers le monde, Charles Aznavour aura marqué le siècle. Pas seule-ment en France, mais à travers le monde où ses talents de compositeur ont été reconnus par des artistes aussi majeurs que Frank Sinatra ou Elvis Presley. Qu’est-ce qui fait la marque Aznavour ? Critiqué à ses débuts pour son manque de voix et de charisme, Aznavour a failli aban-donner le métier. Grand bien lui a pris de persévérer, encouragé par le succès immédiat de « J’me Voyais déjà » en 1960. Menant de front les deux carrières de chanteur et de comédien, sa filmographie est impres-sionnante. De La guerre des gosses d’Eugène Deslaw (1936) à Ara-fat de Atom Egoyan (2002), Charles Aznavour aura marqué de sa frêle silhouette le cinéma populaire français, tournant avec tous les grands réalisateurs : Franju, Cocteau, Chabrol, Verneuil, Mocky, Lelouch. Ce livre, richement illustré, entend donner la place qu’il mérite à cette icône de la culture française.

Charles Aznavour has been hailed as one of the best songwriter of the 20th century. Not only in France, but throughout the world where his talents as a composer have been recognized by artists such as Frank Sinatra or Elvis Presley. Leading two careers as a singer and a comedian, his filmography is equally impressive. From La guerre des gosses by Eugène Deslaw (1936) to Ara-fat by Atom Egoyan (2002), Charles Aznavour has worked with top filmmakers: Truffaut, Cocteau, Chabrol, Verneuil, Mocky or Lelouch. This book, richly illustrated, celebrates an icon of the French culture.

CHARLES AZNAVOUR L'ÉTERNEL BOHÊME

• An interview with Charles Aznavour

• Jazzaznavour : Charles and jazz music

• How a French singer conquers America

• Aznavour the actor

• Aznavour and Armenia

• 100 rare and previously unpublished photographs

• Selected Discography

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n°ISBN : 978-2-940464-06-7



LES AUTEURS

Jacques Bofford Journaliste en producteur à la Radio Suisse romande, Jacques Bofford a animé les émissions En question et Noir sur blanc.

Pierre-Jean Crittin Directeur de la publication des revues Vibrations et So Jazz, Pierre-Jean Crittin codirige les Éditions Consart.

Olivier Horner Journaliste et chroniqueur musical, Olivier Horner collabore depuis dix ans au quotidien suisse Le Temps. Il écrit également pour le bimensuel français Serge et a collaboré trois ans à la défunte revue Chorus.

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De sa jeunesse de petit Arménien à Paris jusqu’aux grands récitals à

travers le monde, Charles Aznavour aura marqué le siècle. Pas seulement

en France, mais à travers le monde où ses talents de compositeur ont

été reconnus par des artistes aussi majeurs que Frank Sinatra ou Elvis

Presley. Qu’est-ce qui fait la marque Aznavour ? Critiqué à ses débuts pour

son manque de voix et de charisme, Aznavour a failli abandonner le métier.

Grand bien lui a pris de persévérer, encouragé par le succès immédiat

de « J’me voyais déjà » en 1960. Menant de front les deux carrières de

chanteur et de comédien, sa fi lmographie est impressionnante. De Tirez

sur le pianiste de François Truffaut (1960) à Arafat de Atom Egoyan (2002),

Charles Aznavour aura marqué de sa frêle silhouette le cinéma populaire

français, tournant avec tous les grands réalisateurs : Franju, Cocteau,

Chabrol, Verneuil, Mocky, Lelouch. Ce livre, richement illustré, entend

donner la place qu’il mérite à cette icône de la culture française.

• Interviews de Charles Aznavour• Jazzaznavour : Charles et le jazz• La conquête de l’Amérique• Aznavour comédien• Aznavour et l’Arménie• 100 photos rares et inédites• Discographie complète

CHARLES AZNAVOURL’ÉTERNEL

BOHÊME















Queen, 2011

The Miles Davis Book, 2011

Couverture: Charles Aznavour © Roger Viollet Collection

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BoB, Sacha et charleSPar Pierre-Jean crittin

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BoB, Sacha et charleSPar Pierre-Jean crittin


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1971-1973


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« Je gagne surtout mon argent à l ’étranger ; si je devais uniquement compter sur la France, je n’en gagnerais pas beaucoup », dit Charles Aznavour le 22 mai 1980 au micro de Jacques Chancel, qui commence son entretien en lui parlant de ses problèmes avec le fisc français. En effet, depuis 1975, le chanteur délaisse le public français pour commencer un tour du monde qui l’emmène jusqu’au Japon. Et surtout il vient de s’installer en Suisse, où, après un long et pénible procès avec l’administration française (qui débouche sur un non-lieu), il décide de quitter la France,

négociant avec la Confédération helvétique un forfait fiscal avantageux. « L’administration française est une maîtresse exigeante et capricieuse. J’ai eu l ’impression qu’on s’en prenait de manière publicitaire à quelqu’un qui n’était pas d’origine française : “ Voyez, ce type qui n’est pas d’origine française, ce qu’il nous fait. “ Cette affaire a changé ma manière de voir et de penser. Ça m’a rajeuni, alors que ça aurait pu me vieillir. J’aurais pu devenir amer, en vouloir à tout le monde alors que ce fut le contraire : je suis devenu insouciant. Je suis même devenu distrait, alors que je ne l ’avais jamais été de ma vie. » P.-J.C.

20 janvier 1971 Charles Aznavour en concert à l’Olympia.

L’affaireadieu La france, bonjour La SuiSSe



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20 ans. Cela fait 20 ans que Miles Davis est parti rejoindre le Duc, le Comte, le Président et tous les autres seigneurs du jazz au ciel… bleu évidemment. Le 28 septembre 1991, le monde de la musique n’a pas seulement perdu une étoile du jazz, mais un des compositeurs et inter-prètes les plus influents du siècle. Les catégories, Miles Davis ne les a pas suivies, il les a créés. Be-bop. Cool jazz, hard bop, modal jazz, funk, fusion, hip hop… Le trompettiste aura été de toutes les aventures, devançant le plus souvent les attentes du public et des musiciens, mon-trant la route, quitte à prendre des voies de traverse, quitte à choquer ou à être incompris. Cet ouvrage ambitionne de révéler un musicien qui dépasse le monde du jazz où la critique l’a souvent relégué. Comme dans les précédents ouvrages de la collection « Vibrations », la trajec-toire personnelle et artistique du musicien est traitée à partir d’une riche iconographie accompagnée de textes aidant le lecteur à se repérer dans les époques et les styles abordés. Des essais originaux par des auteurs et des spécialistes de l’œuvre ainsi que des interviews inédites complètent l’ouvrage.

20 years ago, on September 28th 1991, Miles Davis died. On that day, the world of jazz did not only lose his biggest star, but also one of the most influential composer of the century. Be-bop, cool jazz, hard bop, modal jazz, funk, fusion, hip hop… The trumpeter has been through all the major revolutions and more often ahead of them. He defied categorizations and audience expectations. This book’s aims is to reveal a musician beyond the jazz world.

MILES DAVIS THE MILES DAVIS BOOK

• Kind of Blue, 50 years after

• Electric Miles, an essay by Lester Bangs

• Miles and Prince

• The Paintings of Miles

• 100 rare photos

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n°ISBN : 978-2-940464-05-0
















Queen, 2011







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Parker et Gillespie. Bird et Dizzy. Deux « motherfuckers », deux pu-tains de phénomènes font basculer Miles dans un autre monde un soir de 1944 à Saint Louis. Celui de la révolution en cours à New York, un nouveau mouvement baptisé be bop. Sonny Stitt aussi, croisé en ville, qui lui assure qu’il sonne comme un Charlie Parker de la trompette ! Il n’en faut pas plus pour convaincre Miles Dewey Davis, dix-huit ans, de gagner New York, LA ville où il faut être. À peine sorti du lycée Lincoln, il trouve un stratagème afin de persuader ses parents : rejoindre la Juilliard School of Music, qu’il abandonnera au bout de quelques

trimestres. Comme le raconte magistralement l’historien du jazz Eric Nisenson dans sa biographie de Miles, qui fut son ami, le jeune trompettiste ne cesse alors d’ar-penter Swing Street, la 52e Rue et ses multiples clubs pour retrou-ver le Bird, de six ans son aîné, qui lui conseilla un jour à Saint Louis de venir s’émanciper dans le paradis de la Grosse Pomme. En guise de fruit, Miles découvre un jeune homme bouffé par le ver de l’héroïne, l’alcool et les filles. Mais impérial lorsqu’il s’agit de faire sonner son saxophone. Lorsque Bird tente sa chance en Californie avec Dizzy, Miles n’a qu’une envie, le recroiser. Ce qu’il fait à l’occasion

d’une tournée avec l’orchestre de Benny Carter. Grâce à son jeune ami subventionné par son père, Charlie Parker est nourri logé. Il faudrait pourtant être sacrément mesquin pour ne voir en Miles qu’un pigeon idéal pour le Bird. Et oublier que Parker convie Davis à ses premières sessions pour Savoy ou Dial Records, de préférence à Dizzy, et qu’il reviendra vers lui en 1947 après son séjour à l’hôpital psychiatrique de Camarillo, pour des enregistrements majeurs. De l’avis général, Miles rame pour suivre Charlie dans ses méandres et ses rapides, mais il excelle dans les ballades. Ne faudrait-il pas mettre les points sur les i ? JSB

Sur la 52e rueavec l’oiSeau rare

1944 -1948

1948 Charlie Parker avec Miles Davis et Tommy Potter à la contrebasse.

1947 Howard McGhee et Miles Davis au studio

de répétitions Nola (New York).

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1981-1991

8 juillet 1991 Avec Quincy Jones au festival de jazz de Montreux (Suisse).

4 juin 1991 Le réalisateur Spike Lee entouré de Miles Davis (à droite) et Mario Van Peebles et Matty Rich (à gauche).

1991 Au Festival de Jazz de Vienne

(France).

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STEVIE WONDERUNE VIE EN MUSIQUE

Stevie Wonder a 12 ans quand il enregistre son premier disque Little Stevie Wonder pour le label Tamla Motown. L’année est 1962. Dix ans plus tard, en 1972, il renégocie son contrat avec le label de Berry Gordy et commence sa période la plus créative avec la parution de Music In My Mind. 2012 marque ainsi une double célébration, celle des 50 ans de ses débuts dans le show-business et les 40 ans de ce qu’on a appelé à raison « la période des classiques ».Rien ne prédestinait Steveland Morris, aveugle depuis sa petite enfance, à devenir un tel génie musical. Découvert par le label de Berry Gordy Tamla Motown, « Little Stevie » s’est rapidement émancipé pour devenir un créateur à part entière, marquant la musique noire et la pop music comme aucun autre artiste afro-américain avant lui, à part peut-être Ray Charles.

2012 marks a double celebration. Stevie Wonder celebrates 50 years in the show business, and 1972 is also the year that marks the start of what has been called his “Classic Period”. Blind since early childhood, Stevie Wonder is considered as a true musical genius. Discovered by Berry Gordy’s label Tamla Motown, Wonder has changed the face of popular culture like no other African American artist before him.

• 100 rare and previously unpublished photographs

• A child at Motown

• An interview with Stevie Wonder

• Musicians talk about Stevie

• The genesis de Songs In The KeyOf Life

• His later works (1985-2005): a re-evaluation

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n°ISBN : 978-2-940464-12-8


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Petit frère de la collection Vibrations Collector, c’est en quelque sorte le format poche des beaux livres. Plus accessibles au prix de 16 euros et présenté sous un format plus attractif pour un public jeune, les Vibra-tions BOOK s’adressent à un public de 15/25 ans.

This is the paperback version of the coffee table book. With a price of 16 euros this book is presented in an attractive format for a young audience.

LIVRE BROCHÉFORMAT : 167 X 218 mm148 PAGESDROITS DISPONIBLES : MondeLANGUES : Anglais/ Français/Allemand

PAPERBACKPRODUCT DIMENSIONS : 167 X 218 mm148 PAGESPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY : WorldwideLANGUAGES : English/French/German

COLLECTION

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JOHNNY HALLYDAY

n°ISBN : 978-2-940464-09-8 n°ISBN : 978-2-940464-08-1

n°ISBN : 978-2-940464-10-4 n°ISBN : 978-2-940464-11-1


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« SELON SES PROPRES MOTS »COLLECTION

Cette nouvelle collection des éditions Consart propose des ouvrages biogra-phiques « dans les propres mots » des célébrités concernées.« Selon ses propres mots » est un recueil d’extraits d’entretiens sur une célébrité formant une sorte d’autobiographie, à travers ses dires et ses expériences de vie. Le livre se découpe en chapitres thématiques sur les principaux événements de la vie de l’artiste : enfance, carrière, trajectoire personnelle, etc.Genre nouveau en France mais très installé aux États-Unis sous l’appella-tion « In his own words », cette nouvelle collection constitue une nouvelle approche des célébrités.Cette collection sera présentée comme un livre classique d’environ 220 pages, agrémenté d’un petit cahier central de 16 pages de photographies en couleur. Vendu au prix de 19 euros, il sera positionné dans les biographies et est destiné à un public curieux de biographies de célébrités.

Première sortie : Stevie Wonder par Stevie Wonder.

A biography « in his own words » of the artist, these books focus on the main events of the artist’s life: childhood, career, personal life, etc. This collection will be presented as a classic 220 pages book, with 16 pages of colour photos. It will be sold in biographies & auto-biographies and is intended for a public fond of biographies of cele-brities.

First release: Stevie Wonder by Stevie Wonder.

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« SELON SES PROPRES MOTS »

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C’était il y a quarante ans. L’année 1972 marque, pour Stevie Wonder, le début de ce qu’on a appelé la « période des classiques ». Repre-nant sa destinée en main avec un nouveau contrat stipulant une entière liberté artistique, le musicien entre en studio et compose coup sur coup trois albums majeurs de sa carrière, Music Of My Mind, Talking Book et Innervisions. Jusqu’en 1976, c’est une des phases les plus créatives de Wonder, qui culmine avec le double album Songs In The Key Of Life, dédié à Duke Ellington mort deux ans plus tôt. Cet album est régulière-ment cité par les revues spécialisées dans le top 5 des disques les plus importants de la musique pop.Face à cette œuvre gigantesque, commencée à l’âge de 12 ans, il existe peu de littérature critique ou même biographique. Contrairement à des artistes comme Bob Dylan, Miles Davis ou Duke Ellington, Stevie Wonder n’a pas écrit sa propre biographie. Cet ouvrage, composé à partir de dizaine d’interviews à la radio, à la presse et à la télévision, reconstitue, dans ses propres mots, le parcours biographique et thé-matique de l’artiste.148 pages, format 1, illustré de photographies.

Contrary to such artists as Bob Dylan, Miles Davis or Duke El-lington, Stevie Wonder has not written his autobiography. This book, composed from dozen of interviews from the radio, the press and the television, reconstitutes, in his own words, a phe-nomenal career started at the age of 12.

STEVIE WONDERPAR STEVIE WONDER

• Stevie Wonder’s first album came out in 1962: The Jazz Soul Of Little Stevie

• 2012 will celebrate 50 years in music

• He sold more than 72 million albums in the world, received 22 GrammyAwards

• His concert in Europe are always sold out

• Age target: 25-50

• There is no autobiography by StevieWonder (Source: Amazon.com)

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LIVRE BROCHÉFORMAT : 134 X 213 mm220 PAGESDROITS DISPONIBLES : MondeLANGUES : Anglais/ Français/Allemand

PAPERBACKPRODUCT DIMENSIONS : 134 X 213 mm220 PAGESPUBLISHING RIGHTS AVAILABILITY : WorldwideLANGUAGES : English/French/German

n°ISBN : 978-2-940464-13-5


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DOWNLOADS // CHRONIQUES // INTERVIEWS // VIDÉOS // AGENDA // NEWS // COMPTES-RENDUS DE CONCERTS // PLAYLISTS // VOS COMMENTAIRES

PETIT FRÈRE AU CARACTÈRE BIEN TREMPÉ, VIBRATIONSMUSIC.COM PROLONGE LES ENVIESMUSICALES DU MAGAZINE VIBRATIONS