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Dans le cadre de la Fête des jardins qui s’est déroulée le 3 juin dernier, une ruche a été installée dans le parc Berger, à l’initiative de l’association Pays de Faverges Environnement.

Le but premier de la ruche pédagogique du parc Berger est de faire découvrir, en toute sécurité, l’activité d’une ruche :

les abeilles qui rentrent chargées de pollen, l’organisation de la ruche entre la reine et les ouvrières, les fleurs butinées. Pour cela, la ruche a été installée dans une structure équipée d’une vitre pour pouvoir observer l’activité de la ruche et ouverte au sommet pour permettre les allers et retours des abeilles. Un panonceau, régulièrement renouvelé, indique, selon la saison, les fleurs butinées.

Au-delà de la découverte de la ruche, il est important de prendre conscience de la disparition des insectes pollinisateurs comme les abeilles, et de leurs habitats. Par exemple, il faut savoir qu’en Savoie, 50 à 60% des abeilles ont disparu (50% en Suisse), tout cela du fait de la pollution. Chacun peut et doit donc faire un geste pour limiter les pollutions nocives aux abeilles, mais également aux hommes : par exemple, limiter les produits chimiques pour le ménage, ou bannir les produits phytosanitaires chimiques au profit de mé-thodes plus douces, d’ailleurs pas forcément moins efficaces, pour le jardinier du dimanche. suite en page 2

Une ruche vivantedans le parc Berger !

N°14 - juillet 2012 Directeur de la publication : Jean-ClaudeTissot-RossetConception, rédaction, photographies : service communication mairieNouvelles impressions - tirage 3600 exemplairesDépôt légal : juillet 2012Email : [email protected] - www.faverges.fr

Journal d’informationmunicipaleN°14 - juillet 2012

Dans le précédent éditorial de «Fa-verges en action», je m’étais engagé à mettre avant tout ce qui fait la vie de notre commune ; tout ce qui met du lien dans les relations humaines et participe à donner une âme à cette entité abstraite qu’est la commune.

En un mot, tout ce qui est de la première importance, pour moi, au-delà de l’éco-nomie qui reste un enjeu majeur.

Je parle ici de toutes celles et ceux qui s’engagent principalement sous forme associative, mais aussi parfois à titre individuel, et donnent de leur temps (souvent de l’argent), pour aider, sou-tenir, occuper, éduquer (en rattrapage), former et encadrer, en loisirs ou en compétitions des jeunes, des moins jeunes ou des plus âgés.

Edito

suite en page 2

A noter qu’en 2012, la production de miel servira exclusivement aux abeilles. Tout ce que les abeilles

produisent la première année est destiné à leur propre consommation et à l’agrandissement de l’essaim...

... il y a actuellement entre 15 000 et 20000 abeilles. L’an prochain, la ruche devrait compter 40 000 habitant(e)s.

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Faverges en action

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Un hôtel dans le parc Berger !

Pour quelle raison construire des abris pour les insectes ?

Parce que les insectes ont besoin de lieux pour construire leur nid, passer la nuit ou l’hiver. Dans un jardin en friche, les in-sectes trouvent tout ce qui leur convient pour vivre, dans des mi-cro-milieux variés. En revanche, en ville, avec les pelouses bien tondues et les arbres taillés, où les brins d’herbes folles sont chassés, nul abri pour les in-sectes.

La construction en bois, telle que vous la voyez sur la photo, regroupe plusieurs types d’habitats, pour des espèces diffé-rentes. Si vous voulez vous lancer, il n’est pas né-cessaire de réaliser un abri aussi com-plet que celui mis en place dans le parc.Chacun, disposant d’un jardin ou d’un coin de verdure au pied de son habita-tion, peut construire son propre hôtel afin d’accueillir diverses espèces d’insectes. Il suffit de choisir un type d’habitat, selon son choix :- une bûche de bois dur, non traité, percée de trous non traversant de différents dia-mètres,- un pot de fleurs renversé rem-pli de foin pour attirer les perce-oreilles, gros mangeurs de pu-

cerons ; une fois colonisé, le pot peut être déplacé vers un par-terre envahi de pucerons pour le traiter naturellement,- des fagots de tiges sèches et creuses (bambous, graminées…) ou à moelle tendre (sureau, fram-boisiers…) à répartir horizontale-ment ou verticalement.

Quoi qu’il en soit, vous pouvez vous inspirer de l’hôtel à insectes et de ses explications du parc Berger, ou vous rapprocher d’as-sociations naturalistes pour plus d’informations.

Ce n’est pas une plaisanterie, il y a bel et bien un hôtel installé dans le parc Berger depuis la Fête des jardins et qui sert de gîte pour les... insectes !

suite de la page 1

Jean-Luc Blanco, le «père» de l’hôtel à insectes du parc Berger et de la

ruche pédagogique, apiculteur amateur, présente ses installations et explique leur

fonctionnement et leur utilité.Fête des jardins, 3 juin 2012

ErratumUne erreur s’est glissée dans le précédent «Faverges en action» : dans la présentation du budget 2012, il était indiqué 9,48 millions d’euros en investissement. Le chiffre exact est de 3,29 millions d’euros.

3,29 millions e3,29 millions e

Dans tous les domaines (social, humain, familial, culturel, sportif, environnemental, patrimonial), un des éléments-clé, une condi-tion essentielle à une qualité de relation, à des relations de qualité, c’est le nombre de citoyens qui, par conscience, par conviction, passion, éducation, s’engagent dans n’im-porte quel domaine, peu ou prou, sans autre contrepartie que la satisfaction d’avoir placé une toute petite pierre dans la construction de l’édifice complexe qu’est notre société.

Du promeneur qui ramasse une canette aux volontaires qui, dans le plus grand anonymat, montent à cinq heures du matin tout là-haut pour le bon déroulement de la T.S.F. Millet ou du Trail, de la personne qui visite son ou sa voisin(e) très âgé(e), aux responsables de nos très nombreuses associations dont la mission se rapproche parfois du sacerdoce.

A toutes ces personnes, des centaines sur Faverges et ses environs, et à chacune d’entre elles, je tiens, au nom de tous les élus, à adresser nos chaleureux remercie-ments.

La masse de ces actions positives est lar-gement supérieure, mais malheureusement beaucoup moins visible ou médiatique, que les faits divers négatifs ou incivilités en tout genre.Et même si le bénévolat est de plus en plus difficile, avec une responsabilité omnipré-sente, quelle richesse de relations, de ren-contres, d’ouvertures !

Faverges est une ruche pleine d’activités et j’en remercie de nouveau tous les acteurs.

Je souhaite à tous les Favergiens un bon été. Jean-Claude Tissot-Rosset,Maire de Faverges

Edito suite

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Faverges en action

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Cet été, la salle polyvalente sera indisponible pour cause de travaux de ponçage et de remise

en état, avec vitrification, du parquet. La porte d'entrée sera également changée.

Au Villaret, les travaux de mise en souterrain des

réseaux se sont terminés au printemps.

Ils ont permis, d’octobre 2011 à juin 2012 :

- de remplacer les canalisations d’eau et

d’augmenter le débit de l’eau potable,

- d’enterrer l’ensemble des réseaux secs

(électricité, France Télécom, EDF, éclairage

public).

Coût des travaux : 726 580,28 e TTC

dont 210 545 e TTC correspondants à la participation

du SYANE* sur les réseaux électriques.

L’aménagement de la rue des Ecoles est fini,

après de longs mois de travaux.

Les réseaux ont été enterrés (éclairage, eau…).

Les places de parking ont été réorganisées avec

la création d’un nouveau parking, d’arrêts-minute

et d’une voie pour les cyclistes. L’objectif de ces

travaux était de sécuriser les déplacements et de

faciliter l’accès aux écoles et aux commerces.

Coût des travaux : Voirie et eau 277 122,50 e TTC

Réseau électrique 80 583 e TTC dont 20 082 e TTC

correspondants à la participation du SYANE* sur les

réseaux électriques.

Dans le cadre de l’extension de la zone des Boucheroz, la commune a fait aménager un rond-point pour sécuriser les déplacements.Coût des travaux : Voirie 386 900 e TTC Réseau électrique 100 971 e TTC dont 24 902 e TTC

correspondants à la participation du SYANE*.

L’église Saint-Pierre a été l’objet d’une importante vague de rénovation. La commune a fait reprendre l’acoustique du bâtiment avec l’installation de plaques de plâtre perforées dans la nef et les bas-côtés. Le plancher a été remplacé, de même que les marches d’accès au chœur, l’autel et l’ambon (pupitre d’où s’exprime le prêtre).

Coût des travaux : 459 302,65 e TTC Part de la commune : 257 388,48 e TTC

Part de l’association diocésaine : 141 914,17 e TTC,Part du Conseil général 74 : 60 000 e TTC.

DES RÉSEAUX BIEN ENTERRÉS

ACCÈS AUX ÉCOLES SÉCURISÉS

UNE ENTRÉE DE ZONE AMÉNAGÉE

UNE ENTRÉE DE ZONE AMÉNAGÉE

* Syndicat des énergies et de l’aménagement numérique de la Haute-Savoie.

Travaux

LE VILLARET

rue des écoles

les boucheroz

église saint-pierre

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Faverges en action

page 4avril 2012

EVOLUTION DES EFFECTIFS depuis 2006

Elementaire CassinElementaire Viuz

Maternelle CassinMaternelle Viuz

Vesonne

2007 2008 2009 2010 2011

200

150

100

50

0Frontenex

EVOLUTION DES EFFECTIFS depuis 2006

Elementaire CassinElementaire Viuz

Maternelle CassinMaternelle Viuz

Vesonne

2007 2008 2009 2010 2011

200

150

100

50

0Frontenex

Carte scolaire : une nécessaire réorganisationA la suite de la fermeture consécutive de deux classes au sein du groupe scolaire de Viuz et de l’augmentation significative des effectifs à l’école maternelle René Cassin, la commune de Faverges a décidé de réviser la carte scolaire qui détermine l’école de rattachement des enfants de Faverges en fonction de leur adresse de domicile.

C’est un découpage géogra-phique, en secteurs d’affectation, désignant l’école où les enfants seront scolarisés en maternelle et en élémentaire en fonction de leur lieu de domicile.

La commission scolaire émet un avis suite aux concertations menées avec les membres de l’Education nationale (directeurs d’école, inspectrice de l’Education nationale). Le conseil municipal vote.

- à prendre en compte les évolutions démographiques,- à obtenir la meilleure répartition possible des enfants dans les écoles en fonction de la capacité d’accueil de ces dernières,- à favoriser la mixité sociale.

- un nombre significatif d’arrivée de nouvelles familles domiciliées au Thovey, au Médicis, au Carré des Tis-serands et à la Sambuy (secteurs cor-respondant à l’école René Cassin),

- peu de mouvements et moins d’ar-rivées de familles au Létraz, à Viuz et au Genevois (secteurs correspon-dant au groupe scolaire de Viuz).

- l’application stricte de la carte sco-laire existante et le refus des de-mandes de dérogation dès l’année 2011/2012,

- le suivi rigoureux de l’évolution des prévisions d’effectifs.

Cet écart a déjà entraîné :- deux fermetures de classe consé-cutives en 2010 et 2011 au sein du groupe scolaire de Viuz,- des classes chargées à l’école maternelle René Cassin (5 classes

de 30 ou 31 enfants). - des effectifs importants sur les temps périscolaires dans les deux écoles René Cassin, et principale-ment à la cantine (jusqu’à 95 en-fants de maternelle).

Parce que l’écart se creuse d’années en années entre les écoles maternelles René Cassin et Viuz.

Qu’est-ce que la carte scolaire ?

Qui décide du découpage ?

Pourquoi une nouvelle révision de la carte scolaire à Faverges ?

Ce qui entre aussi en ligne de compte :

Ce qui a été mis en œuvre avant le changement de la carte scolaire :

A quoi ça sert ?

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Faverges en action

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- d’offrir un meilleur accueil et un meilleur confort de travail aux enfants et aux professionnels,- de diminuer rapidement les effectifs à l’école mater-nelle Cassin.

En septembre 2012, le transfert d’une classe sera opéré en direction du groupe scolaire de Viuz.

Ainsi, les classes se répartiront de la façon suivante sur les différents établissements : école maternelle René Cassin = 5 classes école élémentaire René Cassin = 7 classes Groupe scolaire de Viuz école maternelle de Viuz = 4 classes école élémentaire de Viuz = 8 classes+ une classe de CLIS (Classe pour l’Inclusion Scolaire)

- un déséquilibre croissant entre les écoles R. Cassin et Viuz,- un manque de locaux à l’école maternelle René Cassin en cas de création d’une nouvelle classe,- un risque de sureffectif à la restauration scolaire et à l’accueil périscolaire,- une «désertification» de l’école de Viuz malgré des lo-caux disponibles et les nouvelles installations réalisées (extension de la cantine en 2010).

- le rattachement de nouveaux secteurs à l’école de Viuz : La Sambuy et la rue des Mésanges (pour les nouvelles inscriptions) et l’affectation du chemin des Pérouses et de la nouvelle gendarmerie route d’Albertville.

La précédente révision de la carte scolaire à Faverges a eu lieu en 2005 avec le rattache-ment des secteurs des Grandes Pièces et du Noyeray à l’école de Viuz. Elle avait déjà comme objectif de rééquilibrer les effec-tifs sur les écoles de la commune.

La révision des dérogations accordées antérieurement aux familles résidant au Genevois et dépendant du groupe sco-laire de Viuz contribuera au rééquilibrage entre le groupe scolaire de Viuz et les écoles maternelle et élémentaire René Cassin.

Secteur du groupe scolaire de Viuz

Secteur maternelle René Cassin et élémentaire de Frontenex

Secteur maternelle et élémentaire René Cassin

Secteur maternelle de Viuz et élémentaire de Vesonne

Les objectifs de la commune sont, dès la prochaine rentrée scolaire,

de tendre vers un rééquilibrage des effectifs entre les deux écoles en vue :

Les risques si la carte scolaire n’était pas révisée :

La nouvelle carte scolaire implique :

soit 12 classes

soit 12 classes

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Faverges en action

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Expression des groupes au sein du conseil

La compréhension d’un budget communal demande un effort ! Mais il est nécessaire voire indis-pensable… Cela permet de déceler des surprises et de s’interroger sur la pertinence de projeter des inves-tissements qui ne seront manifes-tement pas réalisés au cours de l’année annoncée (ex : 470 000 e pour la rénovation de l’église Saint-Pierre) ou de s’interroger sur les es-timations de travaux, affectées de manière surévaluée sur une seule année. Notre équipe a voté, en avril 2012, le compte administratif 2011 qui n’est ni plus ni moins que la re-transcription des opérations comp-tables (recettes et dépenses réali-sées) car nous ne mettons pas en doute le travail des services comp-tables de la mairie. Ce qui ne veut pas dire que nous validons tous les

choix budgétaires qui ont été faits ! La loi de finances 2012 a gelé le barème de l’impôt sur le revenu, créant de fait une hausse automa-tique de cet impôt et assujettissant ainsi de nouveaux contribuables. Une façon « douce » d’augmen-ter les impôts, sans le dire et sans qu’aucun média ne le relate. Ce mécanisme pernicieux aura des incidences négatives sur le calcul du « quotient familial » pour les fa-milles bénéficiaires de prestations sociales (allocations familiales, al-location logement, bons vacances, restauration scolaire, etc). Rappe-lons aussi que si le taux des taxes locales, taxe d’habitation et taxe foncière «bâti» et «non bâti» (voté par le conseil municipal) n’a pas augmenté, les services de Bercy ont décidé de revaloriser les bases

de 1,8%, créant ainsi une hausse de ces taxes. Et toujours insatisfait, Bercy a décidé, en cours d’année, de faire participer les collectivités locales à la réduction du déficit public en réduisant de 200 mil-lions d’euros leurs dotations d’Etat. Sont-elles vraiment responsables de ce déficit ? Notre collectivité de-vra aussi participer à un effort de péréquation de 33 000 e envers les communes dites « moins riches ».Il est grand temps qu’une véritable réforme de la fiscalité des collecti-vités locales et de l’imposition sur les revenus soit entreprise en pro-fondeur. Nous la souhaitons et l’at-tendons avec impatience...

Liliane Thorens, Michel Logé, Martine Brassoud, Claude Gaillard, Georges Vignier, Jeannie Tremblay

Liste «L’énergie nouvelle pour Faverges»

Liste «Faverges, un nouveau souffle»

Au mois de mai 2012, la France a connu un changement de position politique. Monsieur François Hol-lande fut élu pour un quinquenat, choisissant ainsi un nouveau gou-vernement, celui-ci revenant sur des décisions prises par les précédents ministres accompagnés du président de la République, tels que l’âge de la retraite ou bien la semaine des quatre jours pour les écoles.

En effet, depuis quatre ans, les écoles, après avoir connu des se-maines à quatre jours et demi pen-dant des années, avec un aména-gement selon les secteurs d’école le mercredi ou le samedi matin, pas-sent à quatre jours.

Pour Faverges, ce fut une remise en question du plan éducatif local qui permettait aux enfants du pri-maire de pratiquer des activités di-verses le mardi après-midi ou le jeudi après-midi. Un changement

s’effectue donc, les enfants peuvent maintenant pratiquer et profiter d’un développement d’activités sportives, manuelles, culturelles mercredi ma-tin. Le nombre d’intervenants a aug-menté de manière très importante à la plus grande joie de nos enfants. La disponibilité de ceux-ci pour Fa-verges le mercredi matin semble plus facilitée.Le mercredi devenant la journée consacrée à diverses pratiques ras-semble les enfants entre les diffé-rentes écoles et crée des contacts différents de ceux du milieu scolaire.De plus, la semaine des quatre jours a permis l’apparition de l’aide personnalisée proposant aux en-fants un soutien scolaire en petits groupes, cela permettant de tra-vailler des petites lacunes pour un progrès assuré.

Le passage à la semaine des quatre jours et demi aurait aussi pour in-cidence un changement d’horaires

pour les écoles avec une fin de jour-née à 15h30 afin de conserver un même nombre d’heures de travail scolaire. La principale répercussion serait un rallongement du temps pé-riscolaire avec un surcoût pour les parents, entraînant une fatigue pour les enfants.

Au vu de ces changements avec un certain retour en arrière pour la ren-trée 2013, commençons à réfléchir sur une organisation au mieux pour nos chérubins. Essayons de garder ces avantages. Arriver à allier école, pratique sportive avec des horaires souples pour une évolution sereine des enfants.

«Faverges, un nouveau souffle» vous souhaite de bonnes vacances, profitez de notre région fantastique qui offre de nombreux atouts touris-tiques.

Stéphanie Renard, Roger Druart

Budget 2012

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Faverges en action

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Travaux

Entre Faverges et FavergettesDémolition et reconstruction du pont de Favergettes : les travaux vont durer jusqu’au 31 octobre 2012.

Du stabilisé au gazonSurface en stabilisé, peu utilisée et ne répondant plus ni aux normes ni aux besoins des associations sportives de Faverges, le stade Baroni a été transformé et engazonné par la commune.

Les associations sportives vivent, se développent et se transfor-

ment – parfois périclitent – au gré des besoins liés à leur pratique, au dynamisme de l’équipe dirigeante et à l’épanouissement de leurs adhérents. D’année en année, la commune se considère ainsi en de-voir de leur fournir des équipements et du matériel. A Faverges, le milieu associatif sportif est particulièrement actif et les équipements très demandés(1). Depuis plusieurs années, des be-soins régulièrement exprimés par des associations n’ont pu être pris en compte (stade synthétique pour le foot, courts couverts pour le ten-nis, aire d’entraînement pour l’ath-létisme…). En 2011, la commune a mis en place un groupe de travail afin d’établir des priorités. La né-cessité de disposer qu’un quatrième

stade extérieur s’est faite jour, étant donné l’accroissement considérable du nombre d’adhérents de certaines associations(2). Cependant, la com-mune ne disposant pas de terrain ré-pondant à ce besoin, il a été convenu de réhabiliter le stade Baroni, terrain en stabilisé depuis plus de vingt ans, qui se transforme en champ de boue après deux heures de pluie et en champ de poussière dès que le soleil luit plus de deux jours.Cependant, au vu du coût important lié à différentes contraintes tech-niques (mise aux normes de la fé-dération française de foot, proximité de la digue sarde, d’un parc à mé-lèzes(3), d’habitations), la commune a décidé de garder les dimensions ac-tuelles du stade et de l’engazonner, de manière à ce qu’il soit dédié aux entraînements, principal besoin iden-tifié par les associations (Foot Sud

74, Association sportive des Portu-gais de Faverges, Rugby-Club).Les travaux sont en cours, le stade devrait être prêt pour octobre 2012, pour un coût s’élevant à 150 000 e (comprenant l’engazonnage, la mise en place d’une protection autour du terrain et d’un arrosage automatique ainsi qu’un autre arrosage automa-tique sur le stage Madrid).

(1) Ensemble des équipements utilisés par les associations sportives et mis à leur disposition par la commune : salle omnisports, stage Baroni, stade Car-quex, stade Madrid, salle Nicolas Blanc, courts de tennis, salle polyvalente.(2) Le club de rugby a notamment vu son nombre d’adhérents passer de 50 à 200 licenciés en six ans.(3) Arbres perdant leurs aiguilles en hi-ver, ce qui ne permettrait pas à la com-mune d’obtenir une garantie décennale du constructeur.

Pour accéder à Favergettes, Prafeu et Lachat, hameaux verdoyants de Faverges, il faut

franchir un pont. Un pont trop vieux dont les éléments de structure sont dégradés et fragilisés, que la com-mune a décidé de faire disparaître au profit d’un autre pont, tout neuf. Les travaux prévoient :- la construction d’un pont provisoire (avec huit conduites d’1,50 m pour canaliser l’eau du Saint-Ruph) et le dévoiement des réseaux d’eau po-table, d’électricité et de téléphonie (de la mi-juillet à la mi-août),- la démolition du vieux pont,- la construction du nouveau pont (jusqu’à fin septembre).Le mois d’octobre sera consacré à

la réalisation d’aménagements de voirie et de signalisation, puis à la démolition du pont provisoire.Le nouveau pont comportera une voie de circulation doublée d’une passerelle indépendante destinée aux piétons. Il sera surélevé de 32 cm par rapport au pont actuel, en prévi-sion de crues éventuelles.Travaux encadrésLes travaux vont s’échelonner jusqu’au 30 octobre 2012. La com-mune a en effet obtenu de la police de l’eau* l’autorisation de réaliser ces travaux du 2 juillet jusqu’au 30 octobre. Au-delà, il ne lui sera plus possible d’intervenir sur le cours d’eau, pour respecter les conditions de vie et de reproduction des pois-

associations

sons. Une réunion publique d’infor-mation, organisée par la commune le 4 juillet dernier, a permis de présenter les travaux et leur phasage aux rive-rains et aux habitants des hameaux.

Coût des travaux supportés par la commune : 286 648,47 e HT.

* Ensemble de services (direction ré-gionale de l’environnement, de l’amé-nagement et du logement, direction dé-partementale du territoire…) intervenant lorsque des travaux sont réalisés dans des cours d’eau ou à proximité.

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A voir, à faire cet été

Faverges en action

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Concert «Musique et nature en Bauges»Dimanche 12 août à 21h à l’église de ViuzGary Hoffmann, violoncelleDavid Selig, piano

Premier grand prix Rostropovitch à Paris en 1986, Gary Hoffmann

touche l’auditeur par la plénitude de la sonorité et une sensibilité artistique exceptionnelle. Il forme ici un sédui-sant duo avec le pianiste David Selig, passionné de musique de chambre à laquelle il se consacre résolument.Au programme figurent notamment la célèbre sonate de Chopin et la rare mais sublime sonate pour violoncelle et piano, dernière œuvre de Léon Boëllmann.

Plongez au coeur du 19e siècle !Plus de 80 passionnés d’histoire vont se retrouver à Faverges, pour reconstituer, le temps d’un week-end, un campement militaire.Découvrez les secrets d’un bi-vouac du 19e siècle, avec la Bat-terie 13 de Fribourg, les zouaves pontificaux de Leuk, le 67e régi-ment d’infanterie de Spicheren, la compagnie de la Courbière, les zouaves et fantassins de Savoie du Second empire, les Sapeurs de Thônes, les Mousquetaire Neuchâtelois, Militaria sabau-diae, les Poilus de Vaucluse, le 3e régiment suisse de 1806 et la garde d’honneur de la Prépara-tion Militaire Marine d’Annecy.Samedi 25 et dimanche 26 août, parc Berger.

PROGRAMMEFélix Mendelssohn, variations concertantes op.17Frédéric Chopin, sonate pour violoncelle et pianoJoaquin Nin, suite espagnoleLéon Boëllmann, sonate pour violoncelle et piano

Les pistes au trésor de l’Office de tourismeLe 27 juin dernier, l’Office de tourisme des sources du lac d’Annecy a présenté à ses partenaires les douze parcours de chasse au trésor, en préparation depuis deux ans, qui vont permettre au grand public de dé-couvrir, d’une façon originale et tout à fait ludique, les particularités et beautés du Pays de Faverges.

C’est à vous de suivre la piste du trésor du Pays de Fa-verges ! En empruntant les

douze parcours de chasse au trésor concoctés par l’Office de tourisme, vous allez résoudre des énigmes tout en découvrant des sites touristiques, historiques et naturels remarquables du Pays de Faverges.Les énigmes se déclinent soit sur un support papier, soit via un Smart-

phone. Leurs titres évocateurs vous séduiront, tout comme cette formule originale de randonnée et de décou-verte de notre patrimoine.

A faire en famille, «Les trésors des seigneurs», «Le fantôme du rocher», «Les Frères de Tamié»… disponibles en livret à l’Office de tourisme, «La fontaine secrète» sur smartphone. Plus d’info au 04 50 44 60 24.

Photos-souvenirs du parcours «Les trésors des seigneurs»


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