INDICATEURS DE RENFORCEMENT DESCAPACITES STATISTIQUES
Rapport final
Par Lucie Laliberté*Présidente
Groupe de travail de PARIS21 sur les Indicateursde Renforcement des Capacités Statistiques
Septembre 2002
Les membres du groupe de travail sont le FMI, qui assure la présidence (Mme L. Laliberté,Présidente, M. T. Morrison, M. J. Bové et M. S. Khawaja), la Banque Mondiale, qui assure lesecrétariat (Mme M. Harrison, Secrétariat, M. M. Belkindas et M. G. Eele), la Division destatistique des Nations Unies, l’UNSD (M. W. de Vries), la Commission économique desNations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes, la CEPALC (Mme B. Carlson), laCommission économique des Nations Unies pour l’Europe, la CEE/ONU (M. J-E. Chapron) etl’AFRISTAT (M. Lamine Diop).
Consultants auprès du groupe de travail: M. D. Allen, M. T. Holt et M. J. van Tongeren.
Le Consortium PARIS21 est un partenariat de statisticiens, décideurs, professionnels dudéveloppement et autres utilisateurs des statistiques à l’échelon national, régional etinternational. Fondé en novembre 1999, il s’agit d’un forum et d’un réseau mondial visant àpromouvoir, influencer et faciliter les efforts de renforcement des capacités statistiques et unmeilleur usage des statistiques. Ses membres fondateurs sont les Nations Unies, l’OCDE, laBanque Mondiale, le FMI et la Commission Européenne.
*Des commentaires précieux ont été fournis par Mme. B. Carlson, M. J-E. Chapron, M. R. Edmond,Mme. M. Harrison, M. T. Holt, M. T. Morrison, M. R. Phillips, Mme. M. Strode et M. N. Wurm.Mme. J. Gibson a eu la gentillesse de se charger de la préparation et Mme. Braynen-Kimani et M. K.Bengtson de la dactylographie.
Nous tenons à remercier Mme. C. Carson, Directeur du Département des statistiquesdu FMI et M. A. Simonpietri, Directeur de PARIS21 pour leurs conseils et leur soutienactif.
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I. Introduction............................................................................................................................ 3Plan du rapport .................................................................................................. 5
II. Description des indicateurs de RCS ..................................................................................... 6Indicateurs quantitatifs...................................................................................... 6Indicateurs qualitatifs........................................................................................ 7
III. Applications des indicateurs de RCS.................................................................................. 8Les indicateurs comme instrument de gestion nationale (voir Annexe 1.2)..... 8Les indicateurs de RSC comme instrument de comparaison entre les pays (voirl’Annexe 1.1) .................................................................................................... 9
IV. Gestion des Indicateurs de RCS ....................................................................................... 12Contenu du questionnaire................................................................................ 12Gestion nationale du questionnaire sur les indicateurs de RSC...................... 13Administration internationale du questionnaire sur les indicateurs de RCS... 13Mise en œuvre expérimentale du questionnaire sur les indicateurs de RSC .. 14
V. Conclusion et résumé ......................................................................................................... 15Les indicateurs de RCS................................................................................... 15Capacités statistiques viables .......................................................................... 16
Annexe 1: Questionnaire sur les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques.... 17
Groupe de travail de PARIS21................................................................................................ 17
sur les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques............................................. 17
Septembre 2002....................................................................................................................... 17Annexe 2: Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS) – Usage international
et national.................................................................................................................... 41Annexe 3: Démarche du Groupe de travail de PARIS21 pour l’identification des Indicateurs de
Renforcement des Capacités Statistiques (RCS) ........................................................ 42Références............................................................................................................................... 48
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I. INTRODUCTION
1. Le Groupe de travail de PARIS21 sur les Indicateurs de Renforcement des CapacitésStatistiques (RCS) 1avait pour mandat de mettre au point avant octobre 2002 des indicateurspermettant de suivre les progrès accomplis par chaque pays dans la voie de l’amélioration de sescapacités statistiques.
2. Cette initiative constitue la première tentative systématique réalisée à l’échelleinternationale pour élaborer des indicateurs de renforcement des capacités statistiquesapplicables d’un pays à l’autre. L’enregistrement des résultats, auquel procède les indicateurs,peut être un moyen très efficace de galvaniser l’énergie des producteurs et des utilisateurs dedonnées afin qu’ils améliorent leur production statistique. C’est ce besoin de suivre l’évolutiondes statistiques qui a guidé les efforts du Groupe de travail et d’autres instances, la mise au pointd’indicateurs n’étant une tâche ni rapide ni aisée.
3. Cette initiative a été provoquée par la demande pressante émanant de divers milieuxdepuis quelques années. Parmi les tendances convergeant pour constituer cette demande, on peutdistinguer la place croissante accordée aux statistiques par la nouvelle méthode fondée sur lesfaits concrets adoptée par les objectifs de développement mis au point à l’échelle internationalepour la réduction de la pauvreté. En outre, la structure financière internationale qui soutient lamondialisation attache aussi une grande importance à la disponibilité et à l’exactitude desinformations, les statistiques nationales constituant de plus en plus un bien collectif international.
4. La prise de conscience de l’amélioration nécessaire des statistiques a aussi permis decomprendre qu’il fallait beaucoup mieux connaître les capacités statistiques—comment peut-ondéterminer les besoins et mesurer les progrès? Cela est particulièrement vrai pour l’assistancetechnique, obligée, plus que jamais, de rendre des comptes—tout le monde veut connaître sesrésultats. Quelles sont ses performances par rapport aux ressource allouées? Quelsenseignements doit-on en tirer? Quelles sont les meilleurs moyens de progresser? Les donateursexigent des résultats mesurables et les autorités nationales veulent savoir si ces résultats justifientqu’ils utilisent leurs propres ressources. Madame Carson, Directeur du Département desStatistiques du FMI, a résumé la situation lors du Séminaire de PARIS21 sur les indicateurs derenforcement des capacités statistiques:2
« Il est temps de se pencher sérieusement sur la question de la capacité statistique, de sonrenforcement et des indicateurs y afférents. »
1 Mis en place en mai 2001.
2 Organisé les 29 et 30 avril 2002 par le FMI pour consulter quelques 20 pays en développementsur les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques.
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5. Les indicateurs de RCS sont applicables quel que soit le stade de développementstatistique des pays, mais ils peuvent être spécialement utiles à ceux3 qui “ont à faire face à unproblème statistique,” c’est-à dire:
• Qui présentent de grandes déficiences en matière de disponibilité des statistiques et ontbesoin d’un renforcement notable de leurs capacités, notamment de changementsfondamentaux destinés à améliorer les opérations statistiques et
• Qui ne peuvent pas accroître leurs capacités statistiques sans aide extérieure en raison deressources nationales limitées.
6. En fournissant un instantané de la situation statistique de ces pays, les indicateurs de RCSpeuvent les aider à identifier leurs forces et leurs faiblesses, à planifier des mesures pouratteindre des objectifs spécifiques et à suivre les activités menant à ces objectifs.
7. Les indicateurs de RCS peuvent aussi faciliter la communication et la coordination entreles organismes fournissant une assistance technique en procurant des instruments de mesurecommuns des besoins en capacités statistiques des pays bénéficiaires. En outre, les indicateurspeuvent suivre le développement des statistiques sur le long terme et donc donner à lacommunauté des donateurs un moyen supplémentaire de rendre compte de son assistancetechnique.
Mode de fonctionnement du Groupe de travail
Le Groupe de travail s’est réuni à trois reprises (en mai et septembre 2001 et en avril 2002 ) et n’apas ménagé ses efforts entre ces réunions.
Il s’est d’abord attaché à trouver un accord sur ce que recouvrent les notions de capacités statistiqueset de renforcement de ces dernières et à choisir la manière de procéder. Il a confronté lesexpériences en matière de renforcement des capacités statistiques en se servant comme plate-formede discussion des comptes-rendus présentés par les pays membres. Ensuite, il a reconnu qu’un grandtravail préliminaire était nécessaire pour exploiter et synthétiser l’ensemble des directives etdocuments existant en la matière et trois consultants internationaux renommés (1) ont été recrutéspour l’aider dans sa tâche. Enfin, un séminaire international a été organisé au FMI en avril 2002 pourrecueillir l’avis de 20 gouvernements bénéfíciaires d’une aide pour le renforcement de capacitésstatistiques.
L’objectif de ce programme intensif de travail, résumé à l’ Annexe 3, était de mettre au point desindicateurs génériques—par institution, donateur et pays—comparables à l’échelle internationale.Les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques ainsi élaborés sont présentés ci-dessous.
(1) M. David Allen, M Tim Holt et M. Jan van Tongeren.
3 Comme les Pays Pauvres Très Endettés ( PPTE), les pays objets d’une Stratégie pour laRéduction de la Pauvreté et d’autres pays qui ont besoin de prêts à des conditions de faveur etd’autres formes d’assistance externe.
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Plan du rapport
8. A la suite de cette introduction, le rapport se divise en quatre parties. La première décritles indicateurs quantitatifs et qualitatifs. La deuxième présente les deux applications desindicateurs (outils pour la gestion et instrument de comparaisons internationales). La troisièmeexpose les problèmes de gestion posés par les indicateurs de RCS. La dernière partie quant à ellepropose un résumé et replace les indicateurs de RCS dans le contexte de la viabilité desstatistiques.
9. L’Annexe 1 présente le questionnaire destiné à recueillir les informations sur lesindicateurs de RCS à usage international et national. L’Annexe 2 fournit les résultats des testseffectués dans deux pays qui ont été réorganisés dans l’optique du questionnaire4. L’Annexe 3résume les travaux du Groupe de travail et met en lumière le processus intensif de recherche etde consultation qui a permis d’élaborer les indicateurs de RCS et la démarche visant à ce que cesindicateurs soient cohérents, complets et concis.
4 Cette annexe a été préparée par Mme M. Harrison en étroite collaboration avec M. J. vanTongeren, consultant. Le rapport de M. van Tongeren sur les tests des indicateurs derenforcement des capacités statistiques est disponible sur le site Internet de PARIS21, à larubrique « Missions pour tester les cadres des indicateurs de RCS dans une sélection de pays ».
En deux mots, que sont les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques(RCS)?
Les indicateurs de RCS mesurent la situation statistique d’un pays à travers un prisme qui capture deséléments représentatifs de cette situation:
• Seize indicateurs quantitatifs couvrent les ressources ( budget annuel financé au moyend’apports aussi bien intérieurs qu’extérieurs, personnel et équipements ), les intrants(enquêtes et sources administratives) et les produits statistiques.
• Dix-huit indicateurs qualitatifs étudient les aspects importants de l’environnement(institutionnel et organisationnel), des processus statistiques essentiels et des produitsstatistiques.
Les indicateurs sont présenté sous forme de questionnaire que les organismes produisant les donnéespeuvent gérer seuls.
Les indicateurs peuvent être utilisés pour réaliser des comparaisons internationales (en les appliquant àun niveau choisi d’organismes fournissant des données et de statistiques) et servir à des usagesnationaux (en les appliquant à un niveau adapté à des besoins spécifiques).
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II. DESCRIPTION DES INDICATEURS DE RCS
Indicateurs quantitatifs
10. Les indicateurs quantitatifs permettent de mesurer les ressources, les intrants et lesproduits statistiques.5 Par ����������, on entend le budget annuel financé par des apportsintérieurs et extérieurs ainsi que le personnel et une sélection d’équipements. Les ������sontles sources des données, mesurées en termes d’enquêtes et de données administratives. Les��� ��� �������� sont identifiés au moyen des modes et des canaux de diffusion des données(publications papier, communiqués de presse, sites Internet, etc.) et des domaines dont relèventles statistiques produites.
11. Les 16 indicateurs quantitatifs sélectionnés portent sur:
• Le financement public des dépenses de fonctionnement et en capital;
• Le financement des donateurs en termes de fonds et de jours d’expertise d’assistancetechnique;
• Les donateurs impliqués;
• Les effectifs et la déperdition de personnel;
• Les équipements relevant des technologies de l’information et de la communication(TIC): ordinateurs centraux, PC, réseau et accès à l’Internet;
• Les enquêtes et registres administratifs utilisés comme sources de données;
• Les types de données produites, y compris les années de référence et les noms desorganismes produisant les statistiques;
• La fréquence de diffusion des données et;
• Les modes de diffusion des données.
12. Ces indicateurs quantitatifs donnent une idée approximative de la profondeur et del’ampleur des activités statistiques en termes de financement, de personnel, de nombred’enquêtes et de données administratives utilisées comme sources de données et de diversité desproduits statistiques. Leur utilité est toutefois limitée pour un certain nombre de raisons.Premièrement, il n’existe pas d’échelle au regard de laquelle porter un jugement sur les valeursobtenues pour ces indicateurs. En outre, les indicateurs relatifs aux produits ne constituent pas
5 Tous ne sont pas, stricto censu, des indicateurs quantitatifs (numériques), car ils incluent, parexemple, les noms des organismes donateurs ou des accès à l’Internet (oui ou non).
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des témoins d’efficacité car ils ne permettent pas de savoir si les statistiques produites sontréellement utilisées. De même, les indicateurs relatifs aux ressources ne sont pas des mesuresd’efficience, car il est malaisé de relier le montant des ressources aux diverses caractéristiquesrequises des produits statistiques (Par exemple, dans les économies en transition, le personnelstatistique peut être nombreux sans que les résultats soient forcément en rapport). Les indicateursquantitatifs doivent être appréciés au regard du contexte dans lequel s’inscrivent les activitésstatistiques, tel qu’il ressort des indicateurs qualitatifs.
Indicateurs qualitatifs
13. Les indicateurs qualitatifs fournissent un aperçu plus général de l’environnementstatistique, du processus statistique et de la mesure dans laquelle les produits statistiquesrépondent aux besoins des utilisateurs. Etant donné que le Cadre d’évaluation de la qualité desdonnées, mis au point par le FMI, couvre ces divers aspects, sa structure en six parties a étéretenue dès le début du processus pour élaborer et présenter les indicateurs qualitatifs.
14. Au total, 18 indicateurs qualitatifs ont été identifiés, dont six portent sur les ��������������������, deux sur l’�������, un sur la ������������ ��������, quatre sur ������� ������������, trois sur l������ et deux sur l’������������. Ils recouvrent:
• l’environnement juridique et institutionnel et les ressources nécessaires pour mener à bien lesopérations statistiques, obtenir la coopération des répondants et des autorités administrativeset gérer les opérations statistiques;
• le cadre professionnel et culturel dans lequel se déroulent les opérations statistiques;
• l’expertise méthodologique nécessaire pour établir les sources de données et leurs liens avecles produits statistiques;
• la population à couvrir et les enquêtes, questionnaires d’enquête et les sourcesadministratives de données;
• les compétences et techniques nécessaires pour transformer les sources de données enproduits statistiques;
• l’évaluation et la validation des sources de données, l’utilisation des techniques statistiques,l’évaluation et la validation des données intermédiaires et les produits statistiques;
• la pertinence des statistiques par rapport aux problèmes économiques et sociaux, y compris lacapacité analytique à confirmer l’existence de certains problèmes et à identifier ceux qui ontbesoin d’être étudiés;
• la périodicité, la ����� ���������� ������������������������������������������
• les méthodes et canaux utilisés pour assurer une diffusion large et pertinente des produitsstatistiques.
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15. Chaque indicateur est évalué par rapport à une échelle à quatre niveaux, à laquelle sontadjointes des descriptions de référence: le niveau 4 s’applique aux activités statistiqueshautement développées, le niveau 3 concerne les activités modérément développées, le niveau 2celles qui se développent mais présentent encore beaucoup de déficiences et le niveau 1 +lesactivités sous-développées. Ce classement a été établi en partant du principe que les niveaux 3 et4 concernent des activités statistiques ne nécessitant pas d’aide extérieure.
16. Les descriptions de référence6 réduisent la subjectivité inhérente aux indicateursqualitatifs. Elles peuvent subséquemment avoir besoin d’être adaptées pour tenir compte del’expérience acquise lors de leur utilisation. Par exemple, leur validité pourrait être plusfacilement confirmée en comparant les réponses de l’auto-évaluation à l’avis d’expertsindépendants. En outre, si les résultats enregistrés se concentrent sur les niveaux 4 et 3, il faudrapeut-être procéder à un rééquilibrage pour mieux répartir les réponses entre les niveaux 1 à 4(voir section IV pour la mise en œuvre expérimentale des indicateurs).
III. APPLICATIONS DES INDICATEURS DE RCS
17. Les indicateurs peuvent être utiles aussi bien comme outil de gestion pour descirconstances spécifiques que comme instrument de promotion des comparaisons internationalesdes capacités statistiques d’un pays à l’autre.
Les indicateurs comme instrument de gestion nationale (voir Annexe 1.2)
18. Pour les producteurs de données, les indicateurs peuvent être un outil de gestion utile. Ilsdonnent un instantané structuré des ressources, des activités, des problèmes et des opportunités,éclairant ainsi les choix possibles en cas de décision à prendre. Leur polyvalence constitue leurpremière qualité; ils peuvent s’appliquer à n’importe quel produit statistique ou à n’importe quelorganisme produisant des données.
19. S’il faut par exemple évaluer la capacité à fournir un produit statistique donné, telles quedes statistiques sur le travail, la santé ou l’éducation,7 l’application des indicateurs qualitatifsenglobera les forces et les faiblesses de la production actuelle de ces statistiques.
20. Afin d’évaluer leur capacité, les producteurs de données peuvent utiliser à la fois lesindicateurs quantitatifs et les indicateurs qualitatifs pour mieux apprécier les sources definancement, les ressources utilisées en matière de personnel et de sources de données et lesproduits fournis et pour mettre au point des indicateurs de performances concernant le processusde production statistique.
6 Voir l’Annexe 1, Descriptions de référence pour les indicateurs se rapportant aux ensembles dedonnées, pages 25 à 33.
7 Des exemples sont fournis à l’Annexe 2.2 « Indicateurs de Renforcement des CapacitésStatistiques (RCS), USAGE NATIONAL ».
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21. Les résultats obtenus à partir des indicateurs peuvent remplir trois fonctionsinterdépendantes.8
22. En premier lieu, ils donnent un instantané des éléments essentiels de la situationstatistique.
23. Deuxièmement, en faisant apparaître les forces et les faiblesses, ils devraient permettre deplanifier plus facilement le développement des statistiques. Les résultats des indicateurs peuventêtre décourageants au vu des améliorations recherchées, mais ils ont le grand avantage de fournirune vue systématique des domaines à renforcer, en regard de la capacité d’absorption existante.Cette vue d’ensemble peut grandement faciliter la fixation des priorités et contribuer à éviter dedisperser les efforts sur tous les fronts en même temps. Par exemple, si les ressources matériellessont gravement insuffisantes, il peut être plus utile de remplir une partie des conditionsstatistiques préalables que de rechercher la Rigueur méthodologique. Dans d’autres cas, il faudrad’abord établir une législation statistique plus adaptée ou renforcer le personnel et la structureorganisationnelle.
24. En troisième lieu, l’utilisation des indicateurs à différents intervalles facilitera le suivi etl’évaluation de l’évolution des conditions d’élaboration des statistiques. Les indicateurs ont étéconçus pour mettre en lumière les capacités dans les domaines importants des activitésstatistiques et donc pour aider à suivre l’évolution de ces conditions.
Les indicateurs de RSC comme instrument de comparaison entre les pays (voir l’Annexe1.1)
25. Pour pouvoir établir des comparaisons entre les pays, il fallait réussir à trouver des pointsde référence en termes d’organismes producteurs de statistiques et de données qui soientcommuns à tous les pays afin que les résultats des indicateurs soient comparables d’un pays àl’autre.9 Le Groupe de travail a découvert que le champ des applications possibles desindicateurs était très vaste. Il s’étendait d’une application à tous les cas possibles (avec le risquede ne jamais voir les résultats exploités, car les coûts dépasseraient de loin les avantages) à uneapplication à une base si étroite que les résultats ne pourraient pas servir à des comparaisons.
26. En fixant des points de référence communs à tous les pays, le Groupe de travail répondaità plusieurs préoccupations. Premièrement, l’idée était que les producteurs de données appliquenteux-mêmes les indicateurs. Cela impliquait de sélectionner uniquement les variablesvéritablement pertinentes et de s’assurer qu’elles pouvaient être obtenues sans surcroît de travailexagéré. Il fallait aussi que les indicateurs soient concis mais clairs et que des instructions 8 Pour une illustration de la façon dont les indicateurs peuvent être appliqués pour remplir cestrois fonctions, voir Carson, Laliberte et Khawaja, 2001 et Morrison et Khawaja, 2001.
9 Des exemples sont fournis à l’Annexe 2.1. « Indicateurs de Renforcement des CapacitésStatistiques (RCS), USAGE INTERNATIONAL ».
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appropriées soient données. Leur présentation devait également être conçue de manière à ce queles producteurs de données puissent les utiliser aussi bien pour la collecte que pour la diffusion,les procédures entre ces deux fonctions étant réduites au minimum. Il fallait enfin motiver lesproducteurs de données pour qu’ils élaborent les indicateurs, ce qui impliquait de leur faireprendre conscience de leurs utilisations potentielles, y compris pour leurs besoins propres.
27. Le second objectif était que la communauté internationale reconnaisse et accepte unesérie commune d’indicateurs et les considèrent comme représentatifs des situations statistiquesdes différents pays. Pour atteindre ce but, plusieurs conditions devaient être réunies. Lesindicateurs devaient fournir une vue d’ensemble des conditions d’élaboration des statistiques et ilfallait pour cela limiter leur nombre. En même temps, ils devaient dessiner une image dessituations statistiques suffisamment représentative pour permettre de comparer les différents paysentre eux et pour faciliter le choix des mesures à prendre. Les indicateurs devaient égalementdresser un tableau de la situation permettant de suivre les modifications des situations sur le longterme. Enfin, ils devaient être mis à la disposition de la communauté internationale, ce quiexigeait qu’un organisme de parrainage appartenant à cette communauté accepte d’assumer cetteresponsabilité.
28. Ce sont ces préoccupations et une large exploitation des résultats des tests approfondispratiqués dans deux pays qui ont permis de déterminer les points de référence auxquels appliquerles indicateurs afin de procéder à des comparaisons. L’idée directrice était de mesurer lesactivités statistiques non pas complètement mais de manière représentative. On y parvint enévaluant les types d’indicateurs par rapport au nombre d’unités déclarantes auxquelles ilss’appliqueraient: les indicateurs les plus simples pourraient s’appliquer à un grand nombred’unités déclarantes et les plus complexes à un nombre plus restreint. Plusieurs options ont étéexaminées et de grands efforts ont été faits à tous les niveaux pour minimiser le travail dedéclaration ( un coût trop élevé aurait compromis l’application de tous les indicateurs). Le choixfinal a été le suivant:
• un indicateur de produit sera appliqué à l’ensemble du système statistique;
• les 16 indicateurs de produits et de ressources seront appliqués, au maximum, à troisorganismes représentatifs et
• les 18 indicateurs qualitatifs seront appliqués à trois séries de données représentatives.
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29. Au niveau de l’ensemble du système, les indicateurs ont été simplifiés au maximum pourlimiter le travail de déclaration. Les seules informations à fournir à ce niveau sont les types destatistiques produites, la dernière année à laquelle elles se réfèrent et le nom de l’organisme quiles a produites. La classification des thèmes statistiques établie par les Nations Unies a étéutilisée pour mettre au point une liste de statistiques. Quant au système statistique, il est constituéd’organismes dont le nombre, la structure et l’autorité responsable varient selon les pays, si bienqu’il est extrêmement difficile de distinguer les organismes de base dans tous les pays. On a
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résolu ce problème en faisant identifier les organismes producteurs et les résultats publiés parl’organisme chargé au niveau national de coordonner les statistiques.10
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30. La gamme complète des indicateurs quantitatifs ne peut être appliquée qu’à un nombrelimité d’organismes producteurs de données. En raison de la charge liée au travail de déclaration,il est impossible d’évaluer tous les organismes. Le choix s’est fait sur la base des organismesprésentant les produits les plus importants, mais ce qui paraissait simple en théorie ne l’était pasen pratique. Quels critères utiliser pour sélectionner les produits importants? Les produitsdoivent-ils l’être en regard des grands problèmes actuels? A quel niveau considérer l’importancedes problèmes actuels—au niveau national ou au niveau de la communauté internationale? Quelsproduits choisir et pourquoi? Ces produits sont-ils gérables compte tenu de la situation du pays?
31. Ces problèmes ont été réglés en sélectionnant des organismes producteurs de donnéesreprésentatifs de l’activité statistique dans trois grands domaines de la statistique: l’économie, ladémographie et les questions sociales (l’environnement est lui aussi considéré comme undomaine important. Toutefois, il ne sera pas évalué pour le moment car les statistiques sont engénéral moins développées et moins standardisées dans ce domaine, tant dans les paysdéveloppés que dans les pays en développement). Plusieurs organismes pouvant être impliquésdans un domaine (par exemple, l’office national des statistiques, la banque centrale, le ministèredes finances, le Trésor etc. pour l’économie), on a décidé de choisir une seule agence pardomaine: celle qui publie les comptes nationaux (PIB), les chiffres de la population et lesrevenus et dépenses des ménages. Dans les pays où les activités statistiques sont centralisées, uneseule agence peut donc déclarer les indicateurs quantitatifs, alors que dans d’autres troisinstitutions ou ministères différents accompliront cette tâche. Le plus souvent, cette constructioninclura l’office national des statistiques et aussi, dans un certain nombre de pays, la banquecentrale. Pour une minorité de pays, elle peut aussi englober les ministères de la planification,des affaires sociales et/ ou des finances. Le nombre des organismes retenus est donc variable,mais cette méthode a l’avantage d’être centrée sur les capacités du ou des organismes statistiquesresponsables des trois catégories de données considérées comme représentatives du systèmestatistique d’un pays.
32. Les autres démarches écartées au profit cette méthode représentative (et non pasexhaustive) de trois domaines statistiques consistaient à étudier (i) tous les organismesproduisant des données et (ii) les trois institutions habituellement responsables de la grandemajorité des données macroéconomiques, financières, fiscales et sociodémographiques d’unpays, à savoir l’office national des statistiques, la banque centrale et le ministère des finances. Lapremière solution a été abandonnée en raison de la multiplicité des organismes et de la difficultéà isoler les ressources utilisées pour des activités statistiques extérieures à la mission première de
10 Il faut admettre que, dans certains pays, ce rôle de coordination n’existe pas ou n’est pas trèsdiscernable.
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l’organisme, comme les statistiques portant sur la santé, l’éducation, l’environnement ou lajustice. La seconde solution a été écartée car elle mettait trop l’accent sur les statistiqueséconomiques. Parmi les arguments qui militaient pour une plus large gamme d’organismes,citons le fait que des indicateurs répartis sur un plus grand nombre d’agences auraient permis demieux couvrir l’activité statistique d’un pays et sans doute de saisir la croissance des capacitésstatistiques. Parmi les arguments contre cette solution figuraient les difficultés à identifier toutesles agences et l’importance du travail de déclaration.
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33. Toujours pour que les indicateurs soient représentatifs des activités statistiques, au lieu deles mesurer en totalité, les indicateurs qualitatifs doivent être appliqués à trois produitsstatistiques—le PIB, la population et les revenus et dépenses des ménages—qui représentent lesdomaines économique, démographique et social. Le PIB constitue une mesure exhaustive de laproduction; les niveaux de population et les modifications de la croissance naturelle et desmouvements migratoires sont des aspects essentiels de la démographie; quant aux revenus etdépenses des ménages, ils sont un des instruments de base de la mesure de la pauvreté. Lorsquele même organisme fournit les trois produits, le niveau des indicateurs ne variera pas surl’ensemble des statistiques pour, par exemple, les préalables, l’intégrité, l’utilité et l’accessibilité.A l’autre extrême, lorsque les activités statistiques sont fortement décentralisées, comme cela estsouvent le cas dans les pays en développement et les économies en transition, les indicateursqualitatifs varieront selon les produits.
34. Pour résumer, les indicateurs portant sur l’ensemble du système donneront une vued’ensemble de la production statistique d’un pays, en énumérant les statistiques produites etl’année de référence à laquelle elles s’appliquent et en identifiant les organismes producteurs.Les indicateurs relatifs aux organismes producteurs montreront l’ampleur et la profondeur desactivités statistiques d’un pays et permettront de procéder à une comparaison d’ensemble duniveau des activités statistiques des différents pays ( assurées par le ou les organismesresponsables des trois séries de données représentatives ). Les indicateurs relatifs aux donnéesfourniront une vue d’ensemble de la capacité interne à produire des séries de donnéesreprésentatives. Ils permettront également de comparer d’un seul coup d’œil les principauxdomaines statistiques dans un pays et aussi, pour chaque série de données, de montrer les zonesde force et de faiblesse du processus statistique.
IV. GESTION DES INDICATEURS DE RCS
35. Les producteurs de données pourront élaborer les indicateurs grâce à un questionnaire(voir l’Annexe 1) qui sera distribué à intervalles réguliers. Nous étudierons le contenu duquestionnaire et la manière dont il peut être géré au niveau national et international et nousproposerons d’appliquer les indicateurs dans un premier temps à titre expérimental.
Contenu du questionnaire
36. Le questionnaire est constitué d’un tableau qui contient les indicateurs portant surl’ensemble du système, ceux portant sur les organismes producteurs et ceux concernant les
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ensembles de données ainsi que des instructions nécessaires pour répondre aux questions (voirl’Annexe 1). Ce tableau a été conçu pour servir à la fois à la collecte et à la diffusion, le travailde rédaction entre les deux fonctions étant réduit au minimum.
37. Comme instrument de gestion, le questionnaire pourrait couvrir les indicateurs portantsur les organismes et les ensembles de données ( qualitatifs dans les deux cas) afin de répondreaux besoins spécifiques du moment ( voir l’Annexe 1.2), en laissant de côté les indicateursportant sur l’ensemble du système. Par exemple, s’il s’agit en priorité d’évaluer les statistiquesdu travail ou celles de l’éducation, les indicateurs quantitatifs aussi bien que qualitatifspourraient être élaborés par le ou les organismes chargés de produire ces statistiques. Celapermettrait d’étudier les priorités nationales et aiderait à planifier et à suivre les efforts dedéveloppement qui en découlent.
38. Comme instrument de comparaison internationale (voir l’Annexe 1.1), il est essentiel queles indicateurs soient élaborés pour les mêmes points de référence, qui doivent donc avoir étéfixés pour l’ensemble des pays.
Gestion nationale du questionnaire sur les indicateurs de RSC
39. Au niveau national, la gestion du questionnaire pourrait être confiée à l’organismeproducteur de données chargé de coordonner les activités statistiques pour l’ensemble du pays. Ilserait le centre de distribution du questionnaire aux organismes producteurs de donnéesconcernés et serait au courant des diverses applications, potentielles et effectives, des indicateurscomme outil de gestion dans le pays. L’organisme coordonnateur pourrait diffuser les résultatsde ces applications sur son site Internet et, le cas échéant, dans les documents de stratégie pour laréduction de la pauvreté.11
40. En ce qui concerne les réponses au questionnaire pour des utilisations internationales,l’organisme coordonnateur s’assurera qu’il est diffusé auprès des organismes pertinents, que sonsuivi est assuré, que les réponses sont collectées et les procédures de rédaction nécessairesmenées à bien (comme le résumé des résultats et leur synthèse dans un tableau unique). En outre,il transmettra les résultats à l’organisme international chargé d’administrer le questionnaire.
Administration internationale du questionnaire sur les indicateurs de RCS
41. Au niveau international, un organisme international de parrainage pourrait administrer lequestionnaire au nom de la communauté des donateurs. Dans un premier temps, il pourrait seconcentrer sur les Pays pauvres très endettés et les pays concernés par les Stratégies pour laRéduction de la Pauvreté ainsi que sur d’autres pays ayant besoin d’une aide extérieure en 11 Les DSRP documentent les efforts actuellement faits par les pays à faibles revenus pouraméliorer les actions publiques de réduction de la pauvreté et accroître l’efficacité des ressourcesnationales et de l’assistance au développemnt. Pour plus d’informations, voirhttp://www.worldbank.org/poverty/strategies.
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matière de statistique. L’organisme international de parrainage serait aussi responsable du suivides réponses et de la diffusion des résultats.
42. Cet organisme devrait diffuser largement les résultats du questionnaire, par exemple surle Site Internet de PARIS21 et sur le TAND-Tableau d’affichage des normes de diffusion desdonnées du FMI.
Mise en œuvre expérimentale du questionnaire sur les indicateurs de RSC
43. Une période expérimentale de mise en œuvre du questionnaire est proposée pour troisraisons. Premièrement, elle constituerait une phase pendant laquelle les producteurs de donnéespourraient être activement encouragés à utiliser les indicateurs comme outil de gestion pour leursbesoins immédiats, par exemple afin de demander une aide pour des produits statistiquesspécifiques (comme l’éducation ou la santé). Cette période permettrait aussi de mieux faireconnaître l’existence des indicateurs et, lorsqu’ils sont correctement établis, leur utilité. Elleencouragerait les producteurs à dépeindre la réalité telle qu’elle est afin d’obtenir lesfinancements requis ( contrecarrant la tendance naturelle des producteurs à faire des déclarationsneutres pour ne pas saper leurs efforts actuels en matière statistique). Lorsque les indicateursseront établis pour le projet en question, les producteurs de données seront en mesure d’exploiterses diverses fonctionnalités. Dans la mesure où les indicateurs sont utiles à leurs propresopérations, leur appropriation par les producteurs de données est plus probable.
44. Deuxièmement, cette période expérimentale donnerait aussi à l’organisme producteur dedonnées chargé de coordonner les statistiques dans un pays le temps de se familiariser avec lequestionnaire sur les indicateurs de RCS. PARIS21 pourrait d’abord prendre contact avec cesorganismes pour leur expliquer l’objectif de l’enquête et les modalités de déclaration, pourmettre au point une stratégie de suivi satisfaisante et pour encourager l’établissement de bonsrapports avec les organismes répondants potentiels. La communauté des donateurs pourraitégalement offrir des incitations à l’établissement des indicateurs au niveau national.
45. En troisième lieu, l’utilisation expérimentale des indicateurs comme outil de gestion et decomparaisons internationales permettrait plus facilement de préciser le contenu et les procéduresadministratives du questionnaire au niveau international. Pendant cette période, il sera essentielque PARIS21 soit tenu informé de toutes les applications des indicateurs et qu’il convoque ànouveau le Groupe de travail si des modifications sont nécessaires. En particulier, les indicateurspourraient avoir besoin d’être affinés pour améliorer leur pertinence et leur efficacité en tantqu’étalon de la capacité statistique.
46. En résumé, la période expérimentale permettra de promouvoir l’existence des indicateurset de faire prendre conscience aux producteurs de données de leur utilité potentielle. Les actionsdans ce sens peuvent être menées sur plusieurs fronts, notamment dans le cadre des ateliers dePARIS21, des ateliers du SGDD ou des initiatives des DSRP et du travail de la communauté desdonateurs. La période expérimentale aidera aussi à confirmer la qualité des indicateurs commemesure de la capacité statistique.
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V. CONCLUSION ET RÉSUMÉ
47. A l’échelle internationale, l’absence d’un cadre global permettant d’évaluer la capacitéstatistique a pratiquement interdit de suivre les progrès au fil du temps et d’identifier et demodifier les priorités. Cette situation est devenue encore plus préoccupante en raison del’importance croissante depuis quelques années des politiques fondées sur les faits concrets, cequi a amené PARIS21 à mettre en place en mai 2001 le Groupe de travail sur les Indicateurs deRenforcement des Capacités Statistiques. A l’origine, il avait pour mission d’identifier desindicateurs de capacité statistique que les producteurs de données pourraient utiliser pour leurpropre usage. Il a ensuite établi les points de référence ( en termes de statistiques et d’organismesproducteurs de données) auxquels appliquer les indicateurs pour comparer les résultats d’un paysà l’autre.
Les indicateurs de RCS
48. Les indicateurs de RCS se composent de 16 indicateurs quantitatifs et de 18 indicateursqualitatifs. Les indicateurs quantitatifs couvrent les ressources ( budget annuel financé au moyend’apports aussi bien intérieurs qu’extérieurs, personnel et équipement), les intrants (enquêtes etsources administratives) et les produits statistiques. Les indicateurs qualitatifs concernent lesaspects importants de l’environnement statistique (juridique, institutionnel et organisationnel),des processus statistiques essentiels et des produits statistiques.
49. Les indicateurs quantitatifs centrés sur les statistiques produites servent à déterminer si unorganisme a atteint son objectif, à savoir, fournir ses produits. Ces indicateurs donnent desrenseignements sur les activités statistiques et ont pour principal avantage de pouvoir êtrefacilement mesurés. Les indicateurs de ressources sont conçus pour montrer le degré d’accès auxfinancements de l’administration nationale et des donateurs extérieurs et l’étendue des sources dedonnées et des ressources humaines. Ils indiquent les rapports de force en présence pour obtenirdes ressources par ailleurs très prisées et la capacité à tirer de bonnes performances desressources dans le processus de production.
50. Les indicateurs qualitatifs servent davantage à mesurer l’efficience et l’efficacité de laproduction statistique. Ils contribuent à montrer: (1) si l’environnement juridique et institutionnelfacilite la production des statistiques, (2) si les ressources sont suffisantes et si les activitéss’imbriquent de façon à promouvoir la productivité, (3) si la culture de l’organisme permet untravail de qualité, (4) si l’intégrité et le professionnalisme sont protégés et des mesures prisespour assurer la transparence, (5) si les processus statistiques essentiels obéissent aux exigencesméthodologiques et si les sources de données disponibles et les techniques utilisées sontappropriées, (6) si des actions sont menées pour garantir la pertinence des produits et (7) si lescaractéristiques des statistiques produites correspondent aux besoins des utilisateurs. Grâce auxindicateurs qualitatifs, il est plus facile d’évaluer la production de séries de données spécifiqueset la santé et le bon fonctionnement des organismes producteurs de données.
51. Les producteurs de données peuvent utiliser les indicateurs de renforcement des capacitésstatistiques comme un outil de gestion à usage interne offrant une vue d’ensemble de leur
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capacité à produire certaines statistiques. Pour promouvoir la comparabilité au niveauinternational, les indicateurs doivent être élaborés par rapport à des points de référence uniquespour l’ensemble des pays.
Capacités statistiques viables
52. Les indicateurs de RCS constituent la première tentative systématique pour produire, àl’échelle internationale, des indicateurs de renforcement des capacités statistiques applicablesd’un pays à l’autre. Il s’agit d’un début prometteur. Ils permettront de mieux apprécier lasituation statistique des différents pays, de partager systématiquement les résultats et d’obtenirune vue comparative du renforcement des capacités statistiques d’un pays à l’autre.
53. Les indicateurs de RCS ont été conçus comme une nouvelle façon de promouvoir unclimat dans lequel l’information statistique devient un support essentiel des politiques nationaleset de la bonne gouvernance. Les pays dont les systèmes statistiques ne sont pas viables, commele prouve le large recours à l’aide externe, doivent faire des efforts pour répondre à leurs besoinsnationaux. Dans le mesure où les autorités nationales considèrent que les statistiques leur sontindispensables, elles seront davantage susceptibles d’accroître les financements en statistiques.
« Sans cette capacité essentielle et des ressources stables permettant de la soutenir, niles besoins statistiques du pays lui-même ni ceux de la communauté internationale neseront assurés de manière fiable. Lorsque cette capacité est fragile, l’apport sporadiquede fonds supplémentaires destinés à satisfaire un besoin statistique particulier serabeaucoup moins efficace et ne remplacera pas ce que l’on peut appeler la « viabilitéstatistique » » .12
12 Amis de la Présidence de la Commission de Statistique des Nations Unies pour la réunion de2002 (2001), Évaluation des Indicateurs Statistiques demandés par les grandes conférences desNations Unies.
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Annexe 1: Questionnaire sur les Indicateurs de Renforcement des Capacités StatistiquesGroupe de travail de PARIS21
sur les Indicateurs de Renforcement des Capacités StatistiquesSeptembre 2002
Ce questionnaire collecte des informations sous la forme d’indicateurs portant sur lerenforcement des capacités statistiques. Les indicateurs serviront aux producteurs et auxutilisateurs de données, dont la communauté des donateurs, en :
• Fournissant un instantané de la situation statistique d’un pays
• Mettant en lumière les opportunités grâce à l’identification des forces et desfaiblesses et
• Procurant un moyen de suivre à long terme les résultats des efforts derenforcement des capacités.
Les membres du groupe de travail sont le FMI, qui assure la présidence (Mme L.Laliberté, Présidente, M. T. Morrison, M. J. Bové et M.S. Khawaja), la BanqueMondiale, qui assure le secrétariat (Mme M. Harrison, Secrétariat, M. M. Belkindas etM. G. Eele), la Division de statistique des Nations Unies, l’UNSD (M. W. de Vries),la Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes,la CEPALC (Mme B.Carlson), la Commission économique des Nations Unies pourl’Europe, la CEE/ONU ( M. J-E. Chapron), et l’ AFRISTAT ( M. Lamine Diop).
Consultants auprès du groupe de travail : M. D. Allen, M. T. Holt et M. J. vanTongeren.
Le consortium PARIS21 est un partenariat de statisticiens, décideurs, professionnelsdu développement et autres utilisateurs des statistiques à l’échelon national, régionalet international. Fondé en novembre 1999, il s’agit d’un forum et d’un réseau mondialvisant à promouvoir, influencer et faciliter les efforts de renforcement des capacitésstatistiques et le meilleur usage des statistiques. Ses membres fondateurs sont lesNations Unies, l’OCDE, la Banque Mondiale, le FMI et la Commission Européenne.
Washington, D.C., Septembre 2002
Annexe 1.1 Page 1 de 2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques, USAGE INTERNATIONAL
Pays : Population (millier): Année de référence:Indicateurs portant sur l’ensemble du système statistiqueDonnées statistiques produites et publiées (Indiquer s.v.p., la dernière année de référence concernant les statistiques ainsi que le nom duprincipal organisme les produisant)Domaine statistique Année
de RéfNom de l’organisme Domaine statistique Année
de RéfNom de l’organisme
Comptes économiques Statistiques d’activitééconomique
Statistique des prixAgriculture, Sylviculture etPêches
Balance des paiements Industries manufacturièresMonnaie, finances et assurances EnergieCommerce extérieur CommercePopulation CommunicationRevenus et dépenses des ménages TransportsSanté Ressources naturelles et
environnementÉducation Autre (préciser)
..............................Statistiques de la population active Autre (préciser)
..............................Tourisme Autre (préciser)
..............................Culture Autre (préciser)
..............................
Indicateurs portant sur un organisme et sur l’année de référenceOrganisme produisant les statistiquessur : -------------------------------
1. PIB 2. Population(renseigner sil’organisme estdifférent du N° 1 )
3. Revenus et dépensesdes ménages(renseigner sil’organisme estdifférent du N° 1 et 2 )
4. Total
Organisme : nomFinancement national public (montant, unité monétaire) Fonctionnement CapitalFinancement extérieur Ressources monétaires (montant, unité)
Expertise d’assistance technique(personne/jours)Noms des partenaires extérieurs
---Personnel statistique (permanent, équivalent plein temps) Nombre Déperdition (%)Technologies de l’information et de la communication (TIC)
Ordinateur central (oui/non)Réseau interne (oui/non)Diffusion Internet (oui/non)PC en service (nombre)Site Internet (adresse)
Source des données (nombre) (une enquête/source administrative mensuelle compte pour une et non 12; une trimestrielle pour une source et non 4) Enquête ou recensement de Ménages Autres enquête ou recensement Source AdministrativeDiffusion de données (une diffusion mensuelle compte pour 12 diffusions; une trimestrielles pour 4) Publications papier/Annuaires Autres modes de diffusion
Annexe 1.1 Page 2 de 2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques, USAGE INTERNATIONAL
Pays: Année d’établissement:Indicateurs se rapportant aux ensembles de données statistiques
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Nom de l’organisme
Échelle d’appréciation: 4: Hautement développé; 3: Développé; 2: Faiblement développé; 1: Sous développé
0. Préalables:0.1 Collection de l’information et maintiende la confidentialité garanties par la loi eteffectivement respectées.0.2 Coordination effective en matièrestatistique0.3 Ressources humaines adéquats ennombre et en compétence0.4 Locaux et équipement adéquates
0.5 Activités de programmation, de suivi etd’évaluation mise en œuvre0.6 Attention portée par l’organisme à laqualité en général
1. Intégrité:1.1 Indépendance des activités statistiques
1.2 Culture du professionnalisme et del’éthique professionnelle
2. Rigueur méthodologique:2.1 Mise ne œuvre des normesinternationales et régionales
3. Exactitude et fiabilité:3.1 Adéquation des sources de données3.2 Suivi du niveau de réponse3.3 Contrôle des données administratives3.4 Contrôle des résultats intermédiaires etfinaux.
4. Utilité:4.1 Consultation des utilisateurs4.2 Livraison à temps des résultatsstatistiques4.3 Périodicité des résultats statistiques
5. Accessibilité5.1 Étendue de la diffusion5.2 Mise à jour des métadonnées
Personne à contacter .....................................Téléphone.............................Fax.................................Email.......................................
Nom de l’Office Central de Statistique (s’il en existe un): .........................................................................................................................
Dispose-t-il d’un plan de développement statistique? Non �������������� ���������������������� ������ère actualisation : _________
Annexe 1.2 Page 1 de 2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques, USAGE NATIONAL
Pays: Population (millier) : Année deréférence:Indicateurs portant sur un organisme et sur l’année de référenceOrganisme produisant les statistiquessur : -------------------------------
1. 2. 3. 4.
Organisme : nomFinancement national public (montant, unité monétaire) Fonctionnement CapitalFinancement extérieur Ressources monétaires (montant, unité)
Expertise d’assistance technique(personne/jours)Noms des partenaires extérieurs
---Personnel statistique (permanent, équivalent plein temps) Nombre Déperdition (%)Technologies de l’information et de la communication (TIC)
Ordinateur central (oui/non)Réseau interne (oui/non)Diffusion Internet (oui/non)PC en service (nombre)Site Internet (adresse)
Source des données (nombre) (une enquête/source administrative mensuelle compte pour une et non 12; une trimestrielle pour une source et non 4) Enquête ou recensement de Ménages Autres enquête ou recensement Source AdministrativeDiffusion de données (une diffusion mensuelle compte pour 12 diffusions; une trimestrielles pour 4) Publications papier/Annuaires Autres modes de diffusion
Annexe 1.2 Page 2 de 2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques, USAGE NATIONAL
Pays : Année d’établissement :Indicateurs portant sur un ensemble de données et sur l’année de référence
Données statistiques portant sur : ------- !''''''''' $"�''""'''''''"" %"�'''''''"'''"Nom de l’organisme :
Échelle d’appréciation: 4: Hautement développé; 3: Développé; 2: Faiblement développé; 1: Sous développé
0. Préalables:0.1 Collection de l’information et maintiende la confidentialité garanties par la loi eteffectivement respectées.0.2 Coordination effective en matièrestatistique0.3 Ressources humaines adéquats ennombre et en compétence0.4 Locaux et équipement adéquats
0.5 Activités de programmation, de suivi etd’évaluation mise en œuvre0.6 Attention portée par l’organisme à laqualité en général
1. Intégrité:1.1 Indépendance des activités statistiques
1.2 Culture du professionnalisme et del’éthique professionnelle
2. Rigueur méthodologique:2.1 Mise ne œuvre des normesinternationales et régionales
3. Exactitude et fiabilité:3.1 Adéquation des sources de données3.2 Suivi du niveau de réponse3.3 Contrôle des données administratives3.4 Contrôle des résultats intermédiaires etfinaux.
4. Utilité:4.1 Consultation des utilisateurs4.2 Livraison à temps des résultatsstatistiques4.3 Périodicité des résultats statistiques
5. Accessibilité5.1 Étendue de la diffusion5.2 Mise à jour des métadonnées
Personne à contacter .....................................Téléphone.............................Fax.................................Email.......................................
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Questionnaire sur les Indicateurs de Renforcement des Capacités StatistiquesInstructions
Général: L’objet de ce questionnaire et de recueillir des informations sur des indicateurs derenforcement des capacités statistiques. Le questionnaire doit être renseigné et contrôlé parl’Organisme chargé de la coordination des activités statistiques du pays.
Adresse de retour: Veuillez compléter et retourner le questionnaire à l’adresse suivante :PARIS212 rue André-Pascal75775 ParisCEDEX 16
Pour toute information complémentaire s’adresser à :
PARIS21: 014524 9051 (téléphone)[email protected] (e-mail).
Champ: L’information devra figurer dans les tableaux joints; ces tableaux comportent troisparties: Indicateurs portant sur l’ensemble du système statistique; Indicateurs portant sur desorganismes, et Indicateurs portant sur des données statistiques
Système statistique: les indicateurs se rapportent à la production nationale de statistiques.Le but est de fournir une vue générale des ensemble de statistiques nationales, d’identifierla dernière année pour laquelle elles sont disponibles ainsi que les organismes chargés deleur production.
Organisme: les indicateurs portent sur une évaluation des ressources utilisées pour lastatistique, sur les opérations de collecte, et sur les diffusions des organismes chargés del’élaboration du PIB, des statistiques démographiques et des données sur les revenus etdépenses des ménages. Le but est de fournir une vue instantanée de l’envergure et de laprofondeur des activités statistiques conduites dans trois grands domaines (économique,démographique, et social) provenant d’évaluation sur les organismes produisant lesensembles de statistiques correspondants.
Ensemble de données: les indicateurs visent les aspects législatif, institutionnel etorganisationnel, méthodologiques ainsi que les caractéristiques des productionsconcernant le PIB, la démographie et les revenus et dépenses des ménages. Le but est defournir un tour d’horizon et de comparer de grands domaines de la statistique d’un pays.
Couverture: Les indicateurs du système national concernent l’ensemble des principalesstatistiques nationales. Pour les organismes et les ensembles de données, les indicateurs portentsur le ou les organismes responsables de la production des données sur le PIB, la population etles revenus et dépenses des ménages. Si l’Office National de la Statistique est chargé de laproduction dans ces trois domaines, alors l’information concernant ce seul organisme estdemandée pour les sections portant sur les organismes et sur les données. Mais, si par exemple,
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la Banque Centrale calcule le PIB, l’Office National établites données de population et leministère du plan les données sur les revenus et dépenses des ménages, alors les renseignementsdevront concerner ces trois organismes dans les sections organisme et données.
Pays, Population et année de référence ou d’établissement: Indiquer s.v.p. le nom du pays, sapopulation et la période sur laquelle porte le questionnaire.
Indicateurs portant sur l’ensemble du système statistique
Cette section porte sur toutes les statistiques produites dans le pays.
Indiquez, pour chacun des ensembles statistiques, l’année de référence la plus récente (parexemple, les statistiques de finances publiques concernent l’année 1995) indépendamment del’année où les statistiques ont été rendues publiques.
Dans le cas de domaines statistiques pour lesquels plusieurs séries sont publiées, peut-être à desdates distinctes, par exemple les statistiques de santé pour lesquelles la prévalence du VIH, lesstatistiques de vaccination, la morbidité peuvent toutes être élaborées, alors l’une des séries doitêtre retenue et identifiée comme telle. L’organisme de coordination statistique doit consulterl’institution responsable pour fixer laquelle des séries doit être sélectionnée, en tenant comptedes politiques prioritaires du pays.
La catégorie Autres (préciser), concerne les séries statistiques clefs que le pays considère commesuffisamment important dans le programme national pour figurer sur le questionnaire; commepar exemple, les statistique sur le genre, les transports ou les handicaps.
Indicateurs portant sur l’organisme.
Cette section concerne l’ensemble des activités statistiques du ou des organismes, pas seulementconcernant les trois domaines particuliers retenus pour identifier le ou les organismes.
Le ou les organisme producteurs de données doivent être identifiés et les informationsdemandées se rapportent aux activités de l’année de référence. Si l’information n’est pasdisponible, les meilleures estimations possibles doivent être fournies (en prenant soin de garderla trace de la méthodologie utilisée afin de préserver la comparabilité temporelle interne auxséries).
Financement national public: indiquer les dépenses budgétaires (sur financement national),courantes ou en capital, en excluant les dépenses financées par les partenaires au développement.Indiquer les unités retenues (centaine, millier ou million) ainsi que la devise. Il se peut qu’il n’yait pas de budget séparé pour les activités statistiques, en particulier dans le cas de la productionstatistique faisant partie d’autres fonctions des ministères techniques. Prière d’évaluer avec soinles ressources afin de couvrir l’ensemble des phases de l’activité statistique (conception desenquêtes et traitements administratifs, le recueil des données, le contrôle, les imputations, lavalidation, le traitement, la diffusion).
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Financement des partenaires au développement: indiquer les dépenses et le nombre de joursouvrés fournis au titre de l’Assistance Technique (AT), au cours de l’année de référence, de lapart des partenaires au développement et dans le cadre d’accords de partenariat. Pour lesdépenses, indiquer s.v.p., l’unité (centaine, millier ou million) et les montants dans la deviseretenue. Pour l’assistance technique des partenaires, indiquer s.v.p. le nombre de joursd’assistance technique en statistique, que les coûts correspondants aient été ou non inclus dansles dépenses. Mentionner le nom des agences de coopération ayant apporté leur contribution aucours de l’année de référence.
Personnel statistique: tous les personnels de l’organisme de production statistique et impliquésdans la production des statistiques, depuis le recueil jusqu’à la diffusion (par exemple:statisticiens, économistes, chauffeurs, personnel d’impression). Le nombre de personnes doitcomprendre celles des bureaux nationaux et régionaux des organismes de production, maisexclure les personnels employés temporairement à l’occasion d’opérations de recensement oud’enquêtes d’envergure pour lesquelles un grand nombre d’enquêteurs est recruté pour unepériode limitée. Le nombre de personnes à temps partiel doit être converti en équivalent pleintemps, en lui appliquant le ratio de la moyenne des heures travaillées à temps partiel par lenombre moyen d’heures travaillée par les personnels à plein temps.
Déperdition (%): défini comme ‘le nombre de sortie de personnel statistique pendant la périodede référence’ multipliée par 100 et divisé par le nombre de personnel statistique au début de lamême période. Les sorties comprennent les départs définitifs ainsi que les congés de plus d’un an(ne pas distinguer entre plein temps et temps partiel).
Technologies de l’information et de la communication (TIC): Marquer ‘non’ s’il n’y a pasd’ordinateur central, s’il n’y a pas de réseaux informatique interne, ou s’il n’y a pas diffusiondes données par le biais d’Internet. Indiquer ‘oui’ autrement. PC en service pour les travauxstatistiques: nombre d’ordinateurs individuels, en usage régulièrement pour la statistique, à la finde la période de référence; exclure les ordinateurs qui ne sont plus utilisés. Si l’organismedispose d’un site Internet, en indiquer alors l’adresse.
Sources des données utilisées dans l’année: nombre d’enquêtes distinctes (par sondage ourecensements) et de sources de données administratives utilisées durant l’année pour les besoinsde la statistique, sur les ménages ou d’autres unités d’observation (entreprises ou gestions).Fournir le nombre pour toutes les données rendues publiques (et pas uniquement pour lesdomaines/productions des trois cadres utilisés pour identifier l’organisme). Ne compter uneenquête mensuelle que pour UN et non pour 12; compter UNE FOIS une enquête trimestrielle etpas 4; compter une source administrative mise à jour mensuellement ou trimestriellement UNESEULE FOIS, etc.
Diffusion de données: estimer le nombre de premières diffusions de données dans chaquecatégorie et pour l’année de référence. Les premières diffusions concernent les publicationspapier, les communiqués de presse d’une ou plusieurs pages, de même que les sorties sur CD-ROM et sur les sites Internet. Indiquer le nombre quel que soit le domaine statistique concerné,(et pas uniquement pour les domaines/productions des trois cadres utilisés pour identifierl’organisme). Le sorties mensuelles ou les mises à jour mensuelles de site Internet doivent
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chacune être comptée pour 12 (dans l’hypothèse où les 12 ont été effectuées durant l’année deréférence); compter 4 dans le cas trimestriel.
Indicateurs portant sur les données.
Cette section évalue la production de trois ensembles présélectionnés de données statistiques quipeuvent être considérés comme représentatifs des grands domaines économique, démographiqueet social de la statistique.
La production de chaque ensemble de données doit être appréciée selon 18 indicateurs qualitatifscouvrant les aspects suivants des opérations statistiques: Préalables institutionnels (6), Intégrité(2), Rigueur méthodologique (1), Exactitude et fiabilité (4), Utilité (3), et Accessibilité (2).
Un seul organisme peut produire les 3 ensembles de données (par exemple, l’Office National dela Statistique, établit le PIB, les statistiques de population, et les revenus et dépenses desménages). Dans ce cas, pour certaines dimensions, l’évaluation peut être similaire d’un ensembleà l’autre. Par exemple, les indicateurs portant sur les dimensions: Préalables, Intégrité, Utilité etAccessibilité peuvent s’appliquer à l’ensemble de l’organisme et seront donc similaires pour tousles ensembles de données. Les indicateurs, Rigueur méthodologique, et Précision et Fiabilité,différeront probablement d’un ensemble à l’autre. Cependant, il peut y avoir des éléments del’Exactitude et de la Fiabilité qui sont identiques quel que soit l’ensemble de données. Parexemple, cela peut se produire lorsqu’un même département de l’organisme traite desrecensements, des enquêtes et des sources administratives en appui à d’autres domaines (parexemple toutes les statistiques sociales, ou toutes les statistiques économiques).
Pour chaque production statistique, les 18 indicateurs peuvent être appréciés sur une échelle àquatre niveaux. A chaque niveau correspond une description de référence (voir ci-après). Cettedescription de référence de chaque indicateur couvre plusieurs aspects qui sont identifiésséparément pour chacun des quatre niveaux à l’aide d’un numéro de code uniformisé.
La graduation par niveau est relative, décroissant de 4 à 1; la valeur 4 correspondant auxconditions optimales pour la production statistique, et la valeur 1 aux conditions les moinsfavorables. Pour chacun des indicateurs, les quatre niveaux de référence doivent être examinésavant d’affecter la valeur qui correspond le mieux à la situation actuelle de l’organismeproducteur concerné par le produit évalué. Indiquer s.v.p., le niveau pour lequel s’applique lamajorité des conditions mentionnées.
Le niveau 4 correspond à des activités statistiques extrêmement développées en regard del’indicateur considéré; le niveau 3 se réfère à des activités considérées comme modérément biendéveloppées pour l’indicateur en question; le niveau 2 est pour des activités se développant maiscomportant encore beaucoup de déficiences; enfin au niveau 1 les activités sont sous-développées. Une appréciation bien conduite pour les pays ayant besoin d’une assistancetechnique, permettrait d’identifier les dimensions ou les domaines nécessitant une telleassistance; en règle générale, les niveaux 3 et 4 ne justifient pas une intervention d’assistanceextérieure.
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Office National de la Statistique : Bien vouloir indiquer s’il existe un office national de lastatistique, et dans ce cas s’il dispose d’un plan stratégique et à quelle date ce plan a été mise àjour.
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es p
our
diss
uade
r le
non
resp
ect.
Le
syst
ème
judi
ciai
reex
ista
nt e
st a
ssez
dév
elop
pé p
our
perm
ettr
e la
rgem
ent l
a m
ise
envi
gueu
r de
la lé
gisl
atio
nst
atis
tiqu
e.
(i)
L’a
ccès
àl’
info
rmat
ion
(col
lect
e de
sdo
nnée
s de
bas
e né
cess
aire
s et
accè
s au
x in
form
atio
ns d
el’
adm
inis
trat
ion
publ
ique
) es
tqu
asi i
mpo
ssib
le d
ans
lapr
atiq
ue m
ême
si c
et a
ccès
est
prév
u pa
r la
légi
slat
ion
stat
isti
que.
(ii)
L
a ré
glem
enta
tion
nepr
écis
e pa
s le
s r
espo
nsab
ilité
en m
atiè
re d
’éla
bora
tion
et d
edi
ffus
ion
d’un
e va
riét
é de
stat
isti
ques
.
(iii)
Il
n’y
a p
asd’
affi
rmat
ion
clai
re e
n ce
qui
conc
erne
la c
onfi
dent
ialit
é de
sdo
nnée
s in
divi
duel
les.
(iv)
Il
n’y
a p
as d
epé
nalit
és p
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divu
lgat
ion
dedo
nnée
s in
divi
duel
les.
Dan
s la
prat
ique
, le
syst
ème
judi
ciai
rees
t inc
apab
le d
’im
pose
r le
resp
ect d
e la
légi
slat
ion
stat
isti
que.
(i)
Il n
’exi
ste
pas
de r
égle
men
tatio
n st
atis
tique
àpr
opre
men
t par
ler
; l’a
ccès
aux
don
nées
de
l’ad
min
istr
atio
npu
bliq
ue n
’est
pas
acc
ordé
.(i
i)
La
loi n
e pr
écis
e ri
en e
n m
atiè
re d
e re
spon
sabi
lité
conc
erna
nt l’
élab
orat
ion
et la
dif
fusi
on d
es s
tati
stiq
ues.
(iii)
L
a co
nfid
enti
alité
des
don
nées
indi
vidu
elle
s n’
est p
aspr
éser
vée.
(iv)
Il
n’y
a p
as d
e pé
nalit
és p
our
divu
lgat
ion
de d
onné
esin
divi
duel
les.
Le
syst
ème
judi
ciai
re e
st in
capa
ble
d’im
pose
r le
resp
ect d
e la
légi
slat
ion
stat
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eau
2N
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n ou
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tion
ou(i
) L
a ré
glem
enta
tion
ou(i
) Il
n’e
xist
e pa
s de
rég
lem
enta
tion
ou d
’aut
re
- 25
-
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e di
spos
ition
for
mel
le p
réci
secl
aire
men
t les
res
pons
abil
ités
en
mat
ière
de
coor
dina
tion
des
activ
ités
stat
istiq
ues
et d
e pr
omot
ion
des
norm
es s
tati
stiq
ues,
et c
eci e
stré
elle
men
t mis
en
appl
icat
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e :
(ii)
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abor
atio
n d’
unpr
ogra
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e co
ncer
té d
’act
ivit
ésst
atis
tiqu
es; l
’ide
ntif
icat
ion
des
beso
ins
des
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sate
urs
non
satis
fait
s; l’
élim
inat
ion
des
doub
lons
dan
s le
s tr
avau
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atis
tiqu
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com
pris
dan
s le
cas
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olle
cte
conj
oint
e et
/ou
depa
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e de
don
nées
.(i
ii)
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mot
ion
des
cadr
es d
eré
fére
nce,
des
con
cept
s, d
esdé
fini
tions
, des
nom
encl
atur
es e
tde
s m
étho
des
au s
ein
des
orga
nism
es p
rodu
cteu
rs d
e do
nnée
sst
atis
tiqu
es.
tout
e au
tre
disp
ositi
on f
orm
elle
préc
ise
clai
rem
ent l
esre
spon
sabi
lités
en
mat
ière
de
coor
dina
tion
des
activ
ités
stat
isti
ques
, mai
s ce
ci n
’est
pas
mis
eff
ecti
vem
ent e
n pr
atiq
ue.
(ii)
Il
exi
ste
(mai
s pa
s de
man
ière
impo
rtan
te)
quel
ques
man
ques
de
donn
ées
et/o
udu
plic
atio
n de
s tr
avau
x.(i
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Les
cad
res
de r
éfér
ence
norm
alis
és, e
tc. s
ont a
ctiv
emen
tdi
ffus
és m
ais
il ex
iste
que
lque
s ca
sde
non
res
pect
.
tout
e au
tre
disp
ositi
onfo
rmel
le n
’attr
ibue
pas
les
resp
onsa
bilit
és e
n m
atiè
re d
eco
ordi
natio
n de
s ac
tivité
s, e
tce
lle-c
i n’e
st p
as a
ssur
ée.
(ii)
Il
exi
ste
des
man
ques
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rtan
ts d
ans
cert
ains
dom
aine
s et
/ou
des
dupl
icat
ions
d’a
ctiv
ités
(cer
tain
es p
rodu
ctio
nsst
atis
tiqu
es d
es d
iffé
rent
sor
gani
smes
peu
vent
man
quer
de lo
giqu
e et
de
cohé
renc
e).
(iii)
L
es c
adre
s de
réfé
renc
e no
rmal
isés
, etc
. ne
sont
pas
act
ivem
ent d
iffu
sés
etil
exis
te d
es c
as g
rave
s de
non
resp
ect.
disp
ositi
on f
orm
elle
attr
ibua
nt le
s re
spon
sabi
lités
en
mat
ière
de
coor
dina
tion
des
activ
ités,
.(i
i)
Il e
xist
e de
s m
anqu
es im
port
ants
dan
s le
s do
nnée
s et
des
dupl
icat
ions
d’a
ctiv
ités.
(iii)
L
es c
adre
s de
réf
éren
ce n
orm
alis
és, e
tc. n
e so
nt p
asdi
ffus
és e
t il g
énér
alem
ent p
as r
espe
ctés
. Des
org
anis
mes
de
prod
uctio
n st
atis
tiqu
e pe
uven
t pro
duir
e et
util
iser
des
pro
duits
stat
isti
ques
en
cont
radi
ctio
n av
ec c
eux
prod
uits
par
d’a
utre
sor
gani
smes
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s et
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pper
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rép
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esoi
nspr
iori
tair
es é
mer
gean
ts.
(ii)
L
es n
ivea
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eré
mun
érat
ion
et le
s co
nditi
ons
detr
avai
l son
t ada
ptés
à la
nat
ure
des
tâch
es e
t com
péti
tifs
à l’
inté
rieu
r du
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e de
la f
onct
ion
publ
ique
du
pays
.
(i)
Le
nom
bre
d’em
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éses
t tou
t jus
te s
uffi
sant
pou
r m
ener
les
activ
ités
en c
ours
mai
sin
suff
isan
t pou
r dé
velo
pper
les
prod
uits
rép
onda
nt a
ux b
esoi
nspr
iori
tair
es é
mer
gean
ts.
(i)
Le
nom
bre
d’em
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és e
st n
ette
men
tin
suff
isan
t pou
r m
ener
les
activ
ités
en c
ours
.(i
i)
Les
niv
eaux
de
rém
unér
atio
n et
les
cond
ition
sde
trav
ail s
ont i
nada
ptés
à la
natu
re d
es tâ
ches
et p
asco
mpé
titi
fs à
l’in
téri
eur
duca
dre
de la
fon
ctio
n pu
bliq
uedu
pay
s.L
a dé
perd
ition
de
pers
onne
lsqu
alif
ié e
st u
n pr
oblè
me
séri
eux.
(i)
Le
pers
onne
l est
net
tem
ent i
nsuf
fisa
nt p
our
trai
ter
les
activ
ités
stat
istiq
ues
actu
elle
s.(i
i)
Les
niv
eaux
de
rém
unér
atio
n et
les
cond
ition
s de
trav
ail s
ont
inad
apté
s à
la n
atur
e de
s tâ
ches
et n
e so
nt p
asco
mpé
titi
fs à
l’in
téri
eur
du c
adre
de
la f
onct
ion
publ
ique
du
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.(i
ii)
La
dépe
rditi
on d
e pe
rson
nel q
uali
fié
est u
n de
spr
inci
paux
pro
blèm
es.
(iv)
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ne p
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n im
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pas
leni
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néra
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equi
s et
cer
tain
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esco
mpé
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péci
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ées
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aut.
- 26
-
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(iv)
L
a qu
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orité
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per
sonn
els
fait
preu
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es c
ompé
tenc
es r
equi
ses
pour
les
tâch
es c
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ées
(lea
ders
hip/
man
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ent,
mét
hode
,no
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sta
tist
ique
s, p
lans
et m
étho
des
d’en
quêt
e, c
once
ptio
n de
squ
estio
nnai
res,
tech
nolo
gies
de
l’in
form
atio
n et
de
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unic
atio
n,di
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donn
ées,
réd
actio
n et
prés
enta
tion
) et
ell
es s
ont e
ffec
tive
men
tm
ises
en
prat
ique
(c.
à.d.
son
t uti
lisée
sré
guli
èrem
ent e
t don
c en
tret
enue
s et
amél
ioré
es).
(vi)
L
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ansf
ert d
e co
mpé
tenc
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nt d
e l’
assi
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ce te
chni
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un
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levé
.(v
ii)
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’est
fai
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un o
bsta
cle
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t dir
ect d
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t la
form
atio
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itia
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t les
com
péte
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néce
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onib
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es d
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niss
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es p
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nnel
s en
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bre
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n qu
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port
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(viii
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a ré
part
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des
res
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ces
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sei
n de
l’or
gani
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l’un
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esce
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ient
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(ii)
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du c
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u pa
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(iii)
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ition
de
pers
onne
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lèm
es.
(iv)
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ne f
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cri
tique
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ourc
es p
our
tout
esle
s co
mpé
tenc
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ans
cert
ains
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em
ploy
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s ut
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s se
lon
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cap
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prat
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ité. I
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la li
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ompt
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pri
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és d
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s, m
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t que
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cent
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s cr
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sbu
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smes
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ojet
s es
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s de
sui
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teur
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onné
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(i)
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tèm
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orm
atio
n su
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tion
ne
sont
uti
lisé
s ré
guli
èrem
ent p
our
suiv
re le
s pe
rfor
man
ces
de l’
orga
nism
e pr
oduc
teur
de
donn
ées
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auc
un d
es 7
dom
aine
s én
umér
és c
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ssou
s.(i
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n a
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redi
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sour
ces
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acc
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x cr
édit
s bu
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aire
s.(i
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L’o
rgan
ism
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oduc
teur
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donn
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n’a
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éval
ué s
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ités
stat
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(iv)
L
es o
rgan
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es d
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nanc
emen
t ext
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s n’
ont
pas
éval
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s ac
tivi
tés
liée
s à
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proj
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entr
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se)
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coor
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glo
bale
, les
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fs e
t les
stra
tégi
es.
2)
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gram
mes
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uels
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trav
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our
l’or
gani
sme
prod
ucte
ur d
e do
nnée
s et
ses
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cipa
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com
posa
ntes
.3)
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blis
sem
ent e
t sui
vi d
es d
épen
ses
etre
cett
es b
udgé
tair
es.
4)
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ance
s de
s pr
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pro
jets
en
term
es d
e co
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.5)
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e le
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trai
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ion
ou d
‘un
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tion
nair
e de
rec
ense
men
t éco
nom
ique
.
6)
Enr
egis
trem
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e la
par
tici
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n du
per
sonn
el à
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inte
rnes
et e
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et
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Per
form
ance
s in
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des
réac
tion
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per
sonn
el.
(i)
La
dir
ecti
on m
et l’
acce
ntsu
r la
qua
lité.
(ii)
L
es p
robl
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essu
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mél
iora
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nel.
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e po
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- 31
-
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uotid
ien.
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L
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thiq
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(iv)
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- 32
-
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par
rapp
ort a
ux c
ritè
res
requ
is, c
e qu
i ent
rave
leur
utili
satio
n.
- 34
-
3. E
xact
itud
e et
fia
bilit
é3.
2 /�
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������
�����
Niv
eau
4N
ivea
u 3
Niv
eau
2N
ivea
u 1
(i)
Les
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de
répo
nses
aux
enqu
êtes
et a
ux r
ecen
sem
ents
son
tré
guliè
rem
ent s
uivi
s (
par
exe
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moy
en d
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par
dom
aine
), d
écla
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et r
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.(i
i)
Il e
xist
e un
pro
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me
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miq
ue v
isan
t à c
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sva
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ions
des
taux
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pes
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s et
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initi
ativ
es (
aum
oyen
de
test
-pilo
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ire)
pour
obt
enir
des
am
élio
ratio
ns.
(iii)
D
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étho
des
stat
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quem
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son
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ilisé
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pro
céde
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puta
tions
et
ajus
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néce
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pour
les
non-
répo
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sont
dus
.
(i)
Des
eff
orts
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ense
men
ts.
(ii)
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es s
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com
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les
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lon
les
type
s de
rép
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cour
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s tr
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ière
s an
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.(i
ii)
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r au
x im
puta
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et
ajus
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néc
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n-ré
pons
es a
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inim
iser
les
biai
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i leu
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us.
.
(i)
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lim
ités
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e,dé
clar
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oir
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taux
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répo
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et
rece
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, mai
s(i
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(iii)
L
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quem
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pou
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puta
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et
ajus
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néce
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pour
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sont
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itées
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(i)
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taux
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répo
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ne
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ni s
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(ii)
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s et
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nsem
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dus
.
- 35
-
3. E
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ent
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ées.
(ii)
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onné
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réqu
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ent u
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sées
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ins
stat
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ues.
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pro
cédu
res
effi
cace
sso
nt e
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ace
pour
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si e
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sont
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men
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s po
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atis
tique
s, p
our
com
pare
r le
ur v
aleu
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régé
e av
ec le
s ag
réga
ts o
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us p
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es s
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ler
leur
com
para
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ce in
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s ré
sulta
ts d
es e
nquê
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indi
vidu
elle
s, le
cas
éch
éant
(id
entif
icat
ion,
inve
stig
atio
n,ni
velle
men
t des
dif
fére
nces
et
mod
ific
atio
n si
néc
essa
ire)
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Les
mod
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atio
ns d
espr
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inis
trat
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fect
er la
per
tinen
ce o
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pré
cisi
onde
s do
nnée
s (c
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les
défi
nitio
ns o
u le
s cl
assi
fica
tions
) f
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l’ob
jet d
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scus
sion
s av
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eur
mis
een
pla
ce.
(iv)
Il
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fac
ile d
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roîtr
e la
fonc
tionn
alité
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tistiq
ue e
n ca
sd’
amél
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tion
du s
ystè
me
adm
inis
trat
if.
(i)
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act r
égul
ier
est m
aint
enu
avec
l’au
tori
téad
min
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e qu
i fou
rnit
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sour
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onné
es. L
esoc
casi
ons
d’ut
ilise
r de
sdo
nnée
s ad
min
istr
ativ
essu
pplé
men
tair
es n
e so
nt p
asac
tivem
ent r
eche
rché
es.
(ii)
L
es r
egis
tres
adm
inis
trat
ifs
sont
peu
util
isés
à d
es f
ins
stat
istiq
ues.
Les
mes
ures
en
plac
e po
urco
ntrô
ler
si c
es d
onné
es s
ont
suff
isam
men
t pré
cise
s po
urun
usa
ge s
tatis
tique
res
tent
limité
es.
(iii)
L
es m
odif
icat
ions
des
proc
essu
s ou
sys
tèm
esad
min
istr
atif
s so
nt id
entif
iées
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avan
ce.
(iv)
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cert
aine
mes
ure,
il e
st p
ossi
ble
d’in
flue
r su
r le
sm
odif
icat
ions
pou
r te
nir
com
pte
des
obje
ctif
sst
atis
tiqu
es, m
ême
si c
ela
pose
des
dif
ficu
ltés.
(i)
Un
cont
act i
rrég
ulie
res
t mai
nten
u av
ec l’
auto
rité
adm
inis
trat
ive
et a
ucun
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mar
che
n’es
t ent
repr
ise
pour
éten
dre
l’ut
ilisa
tion
des
donn
ées
adm
inis
trat
ives
à d
esfi
ns s
tati
stiq
ues.
(ii)
L
es r
egis
tres
adm
inis
trat
ifs
ne s
ont u
tili
sés
àde
s fi
ns s
tatis
tique
s qu
e su
r un
eba
se a
d ho
c.(i
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Les
mod
ific
atio
ns d
espr
oces
sus
ou s
ystè
mes
adm
inis
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ifs
ne s
ont c
onnu
esqu
e lo
rs d
e le
ur m
ise
en p
lace
,ce
qui
con
duit
à de
sph
énom
ènes
de
disc
ontin
uité
dans
les
sér
ies
stat
isti
ques
.(i
v)
Il n
’exi
ste
dans
les
fait
s au
cune
pos
sibi
lité
d’in
flue
r à
des
fins
sta
tistiq
ues
sur
les
mod
ific
atio
ns p
révu
es.
(i)
L’a
ccès
aux
sou
rces
adm
inis
trat
ives
est
dif
fici
le o
u re
fusé
et p
arco
nséq
uent
(ii)
L
es d
onné
es a
dmin
istr
ativ
es n
e so
nt p
ratiq
uem
ent p
as u
tilis
ées
à de
sfi
ns s
tati
stiq
ues.
(iii)
Si
les
donn
ées
adm
inis
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ives
éta
ient
util
isée
s à
des
fins
stat
isti
ques
, l’e
xact
itude
des
don
nées
ne
sera
it pa
s sa
tisfa
isan
te.
(iv)
L
es m
odif
icat
ions
des
don
nées
adm
inis
trat
ives
ne
sont
pas
com
mun
iqué
es a
u pe
rson
nel s
tatis
tique
..
- 36
-
3. E
xact
itud
e et
fia
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(i)
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s ac
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st m
isen
pla
ce p
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cont
rôle
r la
com
para
bilit
é et
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ence
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rne
des
donn
ées
prov
enan
t des
ques
tionn
aire
s in
divi
duel
s d’
enqu
ête
et d
e re
cens
emen
t .(i
i)
Des
com
para
ison
s so
ntét
ablie
s en
tre
les
agré
gats
dér
ivés
de
ceux
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dés
sur
des
séri
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nnée
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pare
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s pr
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des
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s et
les
donn
ées
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s su
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sen
quêt
es e
t des
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min
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atif
s (
iden
tific
atio
n,in
vest
igat
ion,
niv
elle
men
t de
sdi
ffér
ence
s et
mod
ific
atio
n si
néce
ssai
re).
(iii)
L
es d
onné
es e
t rés
ulta
tsst
atis
tique
s in
term
édia
ires
son
tév
alué
s et
val
idés
et l
es d
écal
ages
dans
les
stat
istiq
ues
sont
exa
min
és.
(iv)
D
es é
tude
s de
rév
isio
n so
ntré
guliè
rem
ent e
ffec
tuée
s po
ur é
valu
erla
fia
bili
té d
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onné
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réli
min
aire
set
am
élio
rer
la p
rodu
ctio
n de
ses
timat
ions
pré
limin
aire
s qu
is’
ensu
iven
t.
(i)
Cer
tain
es m
esur
es s
ont
mis
es e
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pour
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trôl
erla
coh
éren
ce in
tern
e de
sdo
nnée
s pr
oven
ant d
esqu
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nnai
res
indi
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d’en
quêt
e et
de
rece
nsem
ent.
(ii)
C
erta
ines
com
para
ison
sso
nt é
tabl
ies
entr
e le
sag
réga
ts d
ériv
és d
e ce
uxfo
ndés
sur
des
sér
ies
dedo
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s ap
pare
ntée
spr
oven
ant d
es a
nnée
spr
écéd
ente
s et
les
donn
ées
prov
enan
t d’a
utre
s so
urce
sba
sées
sur
des
enq
uête
s et
des
regi
stre
s ad
min
istr
atif
s,to
utef
ois
(iii)
L
es d
onné
es e
t rés
ulta
tsst
atis
tique
s in
term
édia
ires
ne
sont
pas
val
idés
à l’
aide
d’au
tres
don
nées
.(i
v)
Des
étu
des
de r
évis
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peuv
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tre
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ous
cert
aine
s fo
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pou
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ne s
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pour
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oduc
tion
des
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qui s
’ens
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nt.
(i)
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mes
ures
en
plac
epo
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ohér
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inte
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donn
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nnai
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indi
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d'en
quêt
e et
de
rece
nsem
ent
rest
ent l
imité
es.
(ii)
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es c
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ons
entr
e le
s sé
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donn
ées
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ées
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dent
es e
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donn
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uête
set
des
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sso
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ares
ou
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ntes
et
(iii)
L
es d
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sult
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iabi
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Cer
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s co
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ilisa
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mai
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sont
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Annexe 2: Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS) – Usageinternational et national
Annexe 2.1. Mozambique: Indicateurs de RCS, USAGE INTERNATIONALAnnexe 2.1. Bolivie: Indicateurs de RCS, USAGE INTERNATIONAL
Annexe 2.2. Mozambique: Indicateurs de RCS, USAGE NATIONALAnnexe 2.2. Bolivie: Indicateurs de RCS, USAGE NATIONAL
Annexe 2.1Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE INTERNATIONAL
Pays :Mozambique Population : 18.3 millions Année de référence: 2001Indicateurs portant sur l’ensemble du système statistiqueDonnées produites et publiées (Indiquer s.v.p., la dernière année de référence concernant les statistiques ainsi que le nom du principalorganisme les produisant)Domaine statistique Année
de réf.Nom de l’organisme Domaine statistique Année
Réf.Nom de l’organisme
Comptes économiques 2000 INE Industrie 2001 INE (enquêteéconomique)
Statistiques des prix 2001 INE Energie 2001 INE (enquêteéconomique)
Balance des paiements 2001 Banco Central Communications 2001 INE (enquêteéconomique)
Monnaie, finances et assurances 2001 Banco Central Transport 2001 INE (enquêteéconomique)
Commerce international (marchandises) 2000 INE Tourisme 2001 INE (enquêteéconomique)
Population 1999 INE Culture 2001 INE (enquêteéconomique)
Revenus et dépenses des ménages 2001 INE Ressources naturelles etenvironnement
N/A INE
Santé2001 Ministère de la santé
Autre (préciser))Financements de l’Etat 2001 Banco Central
Education2001
Ministère del’éducation
Autre (préciser)Construction 2001 INE
Statistiques de la population active n.d. n.d. Autre (préciser)Genre 2001 INE
Agriculture, sylviculture et pêches 2001 Minis. del’agriculture
Autre ( préciser)Criminalité et justice 2001 INE
Commerce de détail 2001 INE (enquêteéconomique)
Autre ( préciser)
Indicateurs portant sur un organisme et sur l’année de référenceOrganisme produisant les statistiquessur :
1. PIB 2. Population(renseigner sil’organisme estdifférent du N°1)
3. Revenus / dépensesdes ménages(renseigner sil’organisme estdifférent du N° 1 et 2)
4. Total
Organisme : nom INE/ContasNacionais
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Financement national public Fonctionnement ( montant, monnaie) 0.94 million US$ 0.94 million US$ Capital (montant, monnaie) 0.58 million US$
Voir données sur le PIB0.58 million US$
Financements des donateurs Ressources mon. ( montant, monnaie) 2.41 millions US$ n.d. 2.41 million US$ Expertise d’ass.techn. (personne/jours) n.d. n.d.Organisme donateur (nom)
Banque Mondiale, Danemark, Norvège, Suède, UNICEF, PNUD,ONUDI,Italie, UE, Portugal, AID
Personnel statistique (permanent, équivalent plein temps) Nombre 344 Voir données sur le PIB 344 Déperdition (%) 1.5% Voir données sur le PIB 1.5%Equipement en TIC
Ordinateur central ( oui/non)Réseau interne (oui/non))Diffusion Internet (oui/non) 129 n.d. 129PC en service (nombre)) Oui (limité) Oui (limité)Site Internet ( adresse)
Sources des données (nombre) (une enquête/source administrative mensuelle compte pour 1 et non 12; une trimestrielle pour 1 source et non 4)
Annexe 2.1Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE INTERNATIONAL
Pays :Mozambique Population : 18.3 millions Année de référence: 2001 Enquêtes / recensements des ménages 0 1 1 Autres enquêtes/recensements 5 4 9 Sources administratives 13 3 16Diffusion de données (une diffusion mensuelle compte pour 12 diffusions ; une trimestrielle pour 4) Publications papier/Annuaires 18/2 16/0 34/2 Autres modes de diffusion 1 0 1
Annexe 2.1Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE INTERNATIONAL (fin)
Pays : Mozambique Année de référence: 2001Indicateurs se rapportant aux ensembles de données statistiques
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Nom de l’organisme: INE
Echelle d’appréciation : 4: Hautement développé; 3: Développé; 2: Faiblement développé; 1: Sous-développé
0. Préalables0.1 Collecte de l’information et maintien dela confidentialité garantie par la loi eteffectivement respectée.
3 3
0.2 Coordination effective des statistiques 2 20.3 Personnel adéquat( nbre et compétences) 3 30.4 Locaux et équipements adéquats 2 20.5 Activités de programmation, de suivi etd’évaluation mises en œuvre
2 2
0.6 Attention portée à la qualité 2 2
1. Intégrité :1.1 Indépendance des activités statistiques 3 31.2 Culture du professionnalisme et del’éthique professionnelle
2 2
2. Rigueur méthodologique :2.1 Mise en œuvre des normes internationaleset régionales
3 3
3. Exactitude et fiabilité:3.1 Adéquation des sources de données 2 23.2 Suivi du niveau de réponse 2 33.3 Validation des données administratives 2 23.4 Validation des résultats intermédiaires etfinaux
3 2
4. Utilité:4.1 Consultation des utilisateurs 2 34.2 Livraison à temps résultats statistiques 2 24.3 Périodicité des résultats statistiques 2 2
5. Accessibilité :5.1 Etendue de la diffusion 2 25.2 Mise à jour des métadonnées 2 2
Personne à contacter: M. Said Dade; Institution: INE; N°téléphone: (258-1) 490 930; Adresse E-mail: [email protected]
Nom de l’Office central de statistiques, s’il en existe un :
Dispose-t-il d’un plan de développement stat.? Oui ������������������������������� �������������������� ��ère actualisation : _________
Annexe 2.1Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE INTERNATIONAL
Pays : Bolivie Population: 8.3 millions Année de référence : 2001Indicateurs portant sur l’ensemble du système statistiqueDonnées statistiques produites et publiées (Indiquer ,s.v.p,la dernière année de référence concernant les statistiques ainsi que le nom duprincipal organisme les produisant )Domaine statistique Année
de réf.Nom de l’organisme Domaine statistique Année
réf.Nom de l’organisme
Comptes économiques 2001 INE Industrie 2001 INE (enquête éco)
Statistiques des prix2001 INE Energie 2001 INE (enquête éco. )
Balance des paiements 2001 Banco Central Communications 2001 INE (enquête éco.)Monnaie, finances et assurances 2001 Banco Central Transports 2001 INE (enquête éco.)Commerce international 2001 INE Tourisme 2001 INE (enquête éco.)Population 2001 INE Culture N/A n.d.Revenus et dépenses des ménages 2001 INE Ressources naturelles et
environnement2001 Ministère environnement
Santé 2001 Ministère de la santé Autre (préciser)Financement public
2001 Banco Central
Education 2001 Ministère éducation Autre (préciser)Statistiques de la population active 2001 INE Autre (préciser) …………….Agriculture, sylviculture et pêches 2001 Ministère agriculture Autre (préciser) …………….Commerce de détail 2001 INE (enquête
économique)Autre (préciser) …………….
Indicateurs portant sur un organisme et sur l’année de référenceOrganisme produisant les statistiquessur
1. PIB 2. Population(renseigner sil’organisme estdifférent du N°1)
3. Revenus /dépensesdes ménages(renseigner siorganisme différentdu N°1et2)
4. Total
Organisme : nom INE/CuentasNacionales
INE/Encuestas yCensos/Estadísticas eIndicadores
Même que N°2--
Financement national public Fonctionnement ( montant,unité) 29 millions pesos boliv. Capital ( montant,unité)
29 millions pesos boliviens /( )
Financement des donateursRessource mon. (montant,unité) 66 millions pesos boliviens /( ) 66 millions pesos.boliv. Expert.assis.techn. (personne/jours) n.d. n.d.Organisme donateur (nom)
#1 #2 #3
BID,CAF, PNUD, FNUAP, Allemagne, Canada,Japon, Suède
Personnel statistique (permanent, équivalent plein temps) Nombre 350 350 Déperdition (%) 17% 17%Equipement en TIC
Ordinateur central (oui/non)Réseau interne (oui/non))Diffusion Internet (oui/non) OuiPC en service (nombre) 400Site Internet (adresse)
Source des données (nbre) (une enquête/source admin. mensuelle compte pour 1 et non 12 ; une trimestrielle pour 1 source et non 4) Enquêtes ou recensements des ménages 0 2 2 Autres enquêtes ou recensements 9 0 9 Sources administratives 0 0 0Diffusion de données (une diffusion mensuelle compte pour 12 diffusions ; une trimestrielle pour 4) Publications papier /Annuaires 18 (pub.) /4
(annuaires)7 (publications) 29
Autres modes de diffusion 250-300 0 250-300
Annexe 2.1Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE INTERNATIONAL
(fin)Pays: Bolivie Année de référence: 2001Indicateurs se rapportant aux ensembles de données statistiques
������ ������� ��� ����������� �������������������
Nom de l’organisme: INE/unité du SCN INE/ unité démo. et sociale
Echelle d’appréciation : 4: Hautement développé;3 :Développé; 2 : Faiblement développé ; 1:Sous-développé
0. Préalables0.1 Collecte de l’information et maintien dela confidentialité garantie par la loi eteffectivement respectée.
3 3
0.2 Coordination effective des statistiques 2 30.3 Personnel adéquat ( nbre et compétences) 3 30.4 Locaux et équipements adéquats 3 30.5 Activités de programmation, de suivi etd’évaluation mises en œuvre
2 2
0.6 Attention portée à la qualité 2 3
1. Intégrité:1.1 Indépendance des activités statistiques 3 31.2 Culture du professionnalisme et del’éthique professionnelle
3 3
2. Rigueur méthodologique:2.1 Mise en œuvre des normes internationaleset régionales
2 4
3. Exactitude et fiabilité:3.1 Adéquation des sources de données 2 33.2 Suivi du niveau de réponse 3 33.3 Validation des données administratives 2 23.4 Validation des résultats intermédiaires etfinaux
3 2
4. Utilité:4.1 Consultation des utilisateurs 3 34.2 Livraison à temps résultats statistiques 3 34.3 Périodicité des résultats statistiques 2 3
5. Accessibilité:5.1 Etendue de la diffusion 3 35.2 Mise à jour des métadonnées 3 3Personne à contacter : M. Gabriel Chavez, Directeur de l’unité du SCN; Institution: INE Bolivie; N°téléphone: (591 2) 220 327; N°fax : (591 2) 224 866; Adresse e-mail: [email protected] de l’Office central de statistique (s’il en existe un):
Dispose-t-il d’un plan de développement statistique ? Oui �������������������������� ������������������� ��ère actualisation:
Annexe 2.2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS) , USAGE NATIONAL
Pays : Mozambique Population: 18.3 millions Année de référence: 2001
Organisme produisant les stat .sur: 1.Education 2. Santé 3. Autre 4. AutreOrganisme : nom Ministère de
l’éducationMinistère de la santé
Financement national public Fonctionnement ( montant,unité) Capital ( montant,unité)
n.d. n.d.
Financement des donateursRessources mon. (montant,unité) Expert.assis.techn. (personne/jours)
n.d. n.d.
Organisme donateur (nom)
#1 #2 #3
n.d. n.d.
Personnel statistique (permanent, équivalent plein temps) Nombre 185 (6 niveau
national, 33provinces, 146districts)
3 employéspermanents niveaunat,.430 hôpitauxprovinciaux et 11provinces
Déperdition (%) 0% n.d.Equipement en TIC
Ordinateur central (oui/non)Réseau interne (oui/non))Diffusion Internet (oui/non) Oui NonPC en service (nombre) 21(6 niveau
central,15provinces136
Source des données (nbre) (une enquête/source admin. mensuelle compte pour 1 et non 12 ;une trimestrielle pour 1 source et non 4)
Enquêtes ou recensements desménages
0 0
Autres enquêtes ou recensements 0 0 Sources administratives 1 1 Site Internet (adresse)Diffusion de données (une diffusion mensuelle compte pour 12 diffusions ; une trimestrielle pour 4) Publications papier /Annuaires 3 4Autres modes de diffusion 0 0
Annexe 2.2
Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE NATIONAL (fin)Pays : Mozambique Année de référence: 2001Indicateurs portant sur un ensemble de données
������� ��� ������ � ���� �� ���� ��Nom de l’organisme: Minist. de l’éducation ����� ����� �
Echelle d’appréciation : 4: Hautement développé; 3: Développé; 2: Faiblement développé; 1: Sous-développé
0. Préalables0.1 Collecte de l’information et maintien dela confidentialité garantie par la loi eteffectivement respectée.
2 22
0.2 Coordination effective des statistiques 2 20.3 Personnel adéquat( nbreetcompétences) 2 20.4 Locaux et équipements adéquats 3 20.5 Activités de programmation, de suivi etd’évaluation mises en œuvre
2 2
0.6 Attention portée à la qualité 2 2
1. Intégrité :1.1 Indépendance des activités statistiques 2 21.2 Culture du professionnalisme et del’éthique professionnelle
2 2
2. Rigueur méthodologique :2.1 Mise en œuvre des normesinternationales et régionales
3 3
3. Exactitude et fiabilité:3.1 Adéquation des sources de données 2 23.2 Suivi du niveau de réponse 2 23.3 Validation des données administratives 2 23.4 Validation des résultats intermédiaireset finaux
2 2
4. Utilité:4.1 Consultation des utilisateurs 2 24.2 Livraison à temps résultats statistiques 2 24.3 Périodicité des résultats statistiques 2 2
5. Accessibilité :5.1 Etendue de la diffusion 2 25.2 Mise à jour des métadonnées 2 2
Personne à contacter : M.Said Dade, Directeur de Contas Nacionais; Institution :INE; n° téléphone(258-1) 490930 Adresse e-mail : [email protected]
Annexe 2.2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE NATIONALPays :Bolivie Population: 8.3 millions Année de référence: 2001Indicateurs portant sur un organisme et l’année de référenceOrganisme produisant les stat. sur : 1.Education 2.Données sur la santé 3. Autre 4. AutreOrganisme : nom Ministerio de
EducacionMinisterio de Salud yAsistencia Social
--
Financement national public Fonctionnement ( montant,unité) Capital ( montant,unité)
65 000 $US 100 000$US
Financement des donateursRessources mon. (montant,unité) 330 000$US 100 000$US Expert.assis.techn. (personne/jours) Nul 60Organisme donateur (nom)
#1 #2 #3
BID BID
Personnel statistique (permanent, équivalent plein temps) Nombre 300 150 Déperdition (%) n.d. 40%Equipement en TICOrdinateur central (oui/non)
Réseau interne (oui/non))Diffusion Internet (oui/non) Oui Oui (limité)PC en service (nombre) 180 140Site Internet (adresse)
Source des données (nbre) (une enquête/source admin. mensuelle compte pour 1 et non 12 ; une trimestrielle pour 1 source et non 4) Enquêtes ou recensements des ménages 0 0 Autres enquêtes ou recensements 0 0 Sources administratives 1 1Diffusion de données (une diffusion mensuelle compte pour 12 diffusions ; une trimestrielle pour 4) Publications papier /Annuaires 2 12Autres modes de diffusion 0 0
Annexe 2.2Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS), USAGE NATIONAL (fin)
Pays : Bolivie Année de référence: 2001Indicateurs portant sur un ensemble de données
������� ��� ������ � ���� �� ���� ��Nom de l’organisme Ministerio de
EducacionMinisterio de
Salud yAsistencia Social
Echelle d’appréciation : 4: Hautement développé; 3: Développé; 2: Faiblement développé; 1: Sous-développé
0. Préalables0.1 Collecte de l’information et maintien dela confidentialité garantie par la loi eteffectivement respectée.
4 2
0.2 Coordination effective des statistiques 2 20.3 Personnel adéquat( nbreetcompétences) 4 20.4 Locaux et équipements adéquats 3 20.5 Activités de programmation, de suivi etd’évaluation mises en œuvre
3 2
0.6 Attention portée à la qualité 3 2
1. Intégrité :1.1 Indépendance des activités statistiques 4 21.2 Culture du professionnalisme et del’éthique professionnelle
4 2
2. Rigueur méthodologique :2.1 Mise en œuvre des normesinternationales et régionales
4 2
3. Exactitude et fiabilité:3.1 Adéquation des sources de données 2 23.2 Suivi du niveau de réponse 3 23.3 Validation des données administratives 4 23.4 Validation des résultats intermédiaireset finaux
2 2
4. Utilité:4.1 Consultation des utilisateurs 4 24.2 Livraison à temps résultats statistiques 4 24.3 Périodicité des résultats statistiques 4 3
5. Accessibilité :5.1 Etendue de la diffusion 3 25.2 Mise à jour des métadonnées 3 2Personne à contacter: M. Gabriel Chaves, Directeur de l’unité du SCN ; Institution: INE Bolivie; n° de téléphone: (591 2) 2220 327;N° de fax: (591 2) 2 224 866; adresse e-mail: [email protected]
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Annexe 3: Démarche du Groupe de travail de PARIS21 pour l’identification desIndicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques (RCS)
1. Les indicateurs de renforcement des capacités statistiques ont dû être élaborés à partir deprocessus statistiques longs et complexes qui diffèrent sensiblement selon les produitsstatistiques. Sont venus généralement s’ajouter à cette complexité le nombre important et diversd’organismes constituant le système statistique d’un pays et l’étendue et la qualité très variablesdes données qu’ils produisent.
2. Du fait de cette complexité, le travail d’identification des indicateurs a fait largementappel aux recherches concernant les bonnes pratiques et la documentation statistiques. Il reposeégalement sur un processus de consultations intensives au cours duquel des versionspréliminaires des indicateurs ont été présentées aux organismes donateurs et aux paysbénéficiaires et leurs intrants activement recherchés. Le Groupe de travail et d’autres organismesont procédé à un réexamen approfondi des indicateurs, qui ont été également testés dans le cadrede situation nationales, y compris des tests en bonne et due forme dans deux pays. Cela a permisde les affiner encore.
3. La présente annexe fournit une vue d’ensemble de la démarche suivie et résume leprocessus qui a conduit à l’identification des indicateurs de RCS. Dans une première phase, on aadopté un cadre méthodologique pour saisir toute la gamme des activités statistiques et on adérivé les indicateurs13 ( première phase, jusqu’en mai 2002). Ce cadre et les indicateurs ont étéprésentés à un séminaire au cours duquel 20 pays bénéficiaires d’une assistance technique enmatière de statistiques ont exposé leurs points de vue, ce qui a permis de mettre au point unedeuxième version des indicateurs14 (deuxième phase, achevée mi-juin 2002). Cette deuxièmeversion des indicateurs a été elle-même encore modifiée à la suite de tests, dont des testsapprofondis pratiqués dans deux pays,15 et de consultations intensives.16 Cela a conduit auxIndicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques et à un travail d’élaboration pour leurgestion (troisième phase, qui s’est conclue avec la présentation des indicateurs de RCS auConsortium PARIS 21 en octobre 2002).
13 M. David Allen, consultant, a été surtout associé à l’identification des indicateurs qualitatifs dela première phase.
14 M. Tim Holt, consultant, a travaillé à la consolidation des indicateurs qualitatifs et à ladérivation des indicateurs quantitatifs (deuxième phase) avec M. Allen.
15 M. Jan van Tongeren, consultant, a conduit les tests.
16 Les membres du Groupe de Travail, Mme. C. Carson, M. T. Holt, M. Z. Abbasi, M. R.Phillips, M. P. Turnbull, M.van Tongeren, M. Allen et M. J. Heimann, ainsi que de nombreuxparticipants au séminaire du FMI.
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A. La première phase: le chemin vers la sélection des indicateurs
Description des activités statistiques
4. Le travail d’élaboration a à l’origine privilégié le processus de production, l’idée étant demettre au point des indicateurs qui s’appliqueraient à tous les produits statistiques de tous lesorganismes producteurs de données à n’importe quel stade de leur développement. Une grandeattention a été accordée à l’obtention d’un outil de mesure de la capacité à produire desstatistiques utilisables. Effectivement, deux des grands facteurs rendant les statistiques utilisablessont, à parts égales, la qualité de leur production et la confiance que les utilisateurs ont dans cesproduits. C’est pourquoi le Cadre d’évaluation de la qualité des données établi par le FMI a ététrès utile comme cadre de référence pour revoir systématiquement les aspects essentiels desopérations statistiques. Le Cadre d’évaluation de la qualité des données couvre l’environnementexterne ( lois, utilisateurs, répondants et ressources), les processus, dont l’aide pour la gestion etl’aide technique, et les produits. Sa structure en six parties a aussi été très utile pour fixer lesgrandes lignes selon lesquelles les variables utilisées comme indicateurs ont été élaborées.
5. Le Groupe de travail a mis au point une description des activités statistiques dans leFramework for Determining Statistical Capacity Building17. Ce cadre a fourni une approchestructurée des opérations statistiques qui couvrent l’environnement externe ( lois, utilisateurs,répondants et financements), les structures, les processus et les fonctions ( produits). L’ensembledu processus statistique ainsi que l’aide pour la gestion et l’aide technique ont été pris en compte.En outre, en mettant l’accent sur les éléments communs à tous les systèmes statistiques,organismes producteurs de données et produits statistiques, le Framework s’est affranchi desparticularités des différents pays. C’est ce qui a permis aux indicateurs qui devaient en êtredérivés d’être complets et universels.
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6. L’étape subséquente consistait à élaborer des indicateurs
• relativement faciles à appliquer,
• qu’on puisse mesurer de manière aussi simple que possible,
• dont le coût ne dépasse pas la valeur des informations produites et dont lesrésultats soient cohérents d’un organisme producteur de données à un autre dansun même pays, d’un pays à l’autre et dans le temps.
17 Par Lucie Laliberté, Makiko Harrison, Sarmad Khawaja, Jan van Tongeren, David Allen,Candida Andrade et Beverley Carlson. Ce document peut être consulté sur le site Internet dePARIS21.
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7. La structure en six parties du Cadre d’évaluation de la qualité des données18 s’est révéléetrès précieuse pour fixer les grandes lignes (par exemple, pertinence et exactitude) selonlesquelles il fallait élaborer les variables les plus caractéristiques des activités statistiques et surlesquelles les indicateurs devaient être basés.
8. Le processus de dérivation des indicateurs a été le suivant (voir tableau 1). LeFramework for Determining Statistical Capacity Building Indicators a permis de dresser unepremière liste de plus de 100 énoncés complets qui représentaient une combinaison des activitésstatistiques et des indicateurs de performances choisis à partir de la documentation sur lesperformances des organismes producteurs de données. Cette liste a donné lieu à des consultationsintensives avec les organismes donateurs multilatéraux19 et a conduit à une version rationaliséedes indicateurs, dont 34 ont été sélectionnés pour les raisons suivantes:
• Ils étaient compréhensibles par les statisticiens, les fournisseurs de ressources et lesutilisateurs;
• Ils couvraient une gamme suffisamment large d’opérations statistiques et s’appliquaientdonc à des situations statistiques très variées et
• Ils pouvaient être mesurés ou comparés aux bonnes pratiques et pouvaient donc en tantque tels être classés selon une échelle d’évaluation à quatre niveaux ( observé,généralement observé, généralement non observé, non observé).
Tableau 1: La première phase d’élaboration des Indicateurs de Renforcement des CapacitésStatistiques
Grandes lignes Eléments Candidatspotentiels
Premièrephase
0. Préalables 0.1 Environnement juridique et institutionnel0.2 Ressources0.3 Attention portée à la qualité
28117
324416
691
1. Intégrité 1.1 Professionnalisme1.2 Transparence1.3 Normes éthiques
663
983
111
2. Rigueurméthodologique
2.1 Concepts et définitions2.2 Etendue2.3 Classification/sectorisation2.4 Base de déclaration
2110
3220
1100
3. Exactitude etfiabilité
3.1 Sources des données3.2 Techniques statistiques3.3 Evaluation et validation des sources de données3.4 Evaluation et validation des données et résultats stat.intermédiaires3.5 Etudes de révision
55331
116352
10210
18 Conditions institutionnelles préalables, intégrité, Rigueur méthodologique, Exactitude etfiabilité, Utilité et accessibilité.
19 Afristat, Eurostat, OCDE, UN/ECE, UNSD et la Banque mondiale.
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4. Utilité 4.1 Pertinence4.Livraison à temps et périodicité4.3 Cohérence4.4 Politique et pratiques de révision
7533
11734
2101
5. Accessibilité 5.1 Accessibilité des données5.2 Accessibilté des métadonnées5.3 Aide aux utilisateurs
1154
1669
212
9. Les indicateurs obtenus pendant la première phase étaient de nature qualitative etapplicables à n’importe quel organisme producteur de données et n’importe quel produitstatistique. Ils constituaient un outil pouvant être appliqué par un organisme producteur dedonnées à un produit donné. L’objectif était que les résultats déterminent la capacité de cetorganisme à produire le produit statistique en question. Dans la mesure où les indicateursdevaient être appliqués à des produits censés répondre aux besoins principaux des utilisateurs, ilsétaient considérés comme des indicateurs tirés par la demande.
B. La seconde phase: les indicateurs qualitatifs et quantitatifs
10. Un séminaire20 a été organisé pour demander l’avis des pays bénéficiaires d’une aidepour le renforcement de leurs capacités statistiques sur le travail accompli jusque-là par leGroupe de travail. La stratégie adoptée pour élaborer les indicateurs a été exposée, les activitésstatistiques à partir desquelles ils devaient être établis ont été décrites à l’aide de la méthode debase du Cadre d’évaluation de la qualité des données21et les indicateurs préliminaires ont étésoumis. Les participants ont reconnu le bien-fondé de la méthode choisie et l’utilité desindicateurs proposés en tant qu’outils aidant les producteurs à améliorer la gestion de leursopérations statistiques. Les discussions ont aussi mis en évidence la nécessité pour les indicateursde satisfaire en partie l’obligation incombant aux différentes parties prenantes de rendre comptede leur travail en fournissant des résultats comparables d’un pays à l’autre.
« Finalement, j’estime que le choix entre l’évaluation du processus et l’évaluation de laréalité ne doit pas être fait à la légère. Il est beaucoup plus rapide d’évaluer lesperformances et de reconnaître les bonnes que d’évaluer s’il existe un processus pour lesexaminer. Si le processus est bien conçu mais que les performances sont en réalitémauvaises, ce qui est trop fréquent pour les indicateurs, les résultats serontdiscrédités. »22 (Tim Holt)
20 Le Séminaire de PARIS21 sur les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques,organisé par le FMI à Washington les 29 et 30 avril 2002, auquel quelque 20 pays endéveloppement ont participé.
21 Le document de travail présenté au séminaire s’intitulait « The Framework for DeterminingStatistical Capacity Building Indicators ».
22 Note interne envoyée à la présidente du Groupe de Travail.
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11. En d’autres termes, il fallait améliorer l’utilité des indicateurs sur le long terme, d’unesérie de données à l’autre et d’un pays à l’autre, en réduisant la marge d’interprétation subjectiveet il était aussi nécessaire d’ancrer les indicateurs à des résultats statistiques réels, des intrants oul’environnement. Dans ce but, on a consolidé les indicateurs qualitatifs existants et introduit desindicateurs quantitatifs pour venir compléter les indicateurs portant sur le processus statistique.
12. Il s’ensuivit un processus interactif au cours duquel les critères des indicateurs ainsi queles variables sélectionnées et leurs mesures se sont mutuellement influencées. Dans certains cas,on a privilégié les variables que l’on pouvait objectivement mesurer mais qui n’étaient pasforcément importantes (comme le taux de réponse à des enquêtes qui avaient peut-être été malconçues au départ). Dans d’autres, les variables significatives ont simplement été mesurées grâceà leur définition opérationnelle (par exemple, le fait que le respect des délais soit défini commeun certain nombre de périodes après la période de référence permettait effectivement de lemesurer). Pour d’autres variables, le concept était très simple (comme les lois applicables enmatière de statistiques), mais sa définition opérationnelle s’avérait vague et ambiguë. Souvent, iln’était pas possible de les mesurer directement et les mesures n’ont été obtenues qu’encombinant de multiples variables. Cependant, des mesures objectives pour plusieurs variables enmême temps étaient rarement disponibles. Il fallait donc minimiser la subjectivité des mesures.Le problème a été résolu en utilisant une échelle ordinale accompagnée de descriptions deréférence pour chacun des niveaux de l’échelle, qui vont de 4 à 1 et représentent une largegamme d’activités statistiques partant des activités « hautement développées » aux activités« sous-développées ».
13. Pour compléter cette nouvelle version d’indicateurs qualitatifs gradués, une séried’indicateurs quantitatifs centrés sur les ressources, les intrants et les résultats a été conçue. Entermes de contenu, elle quantifie certains éléments des ressources, des intrants et des produitsstatistiques. Les ressources comprennent le budget annuel financé au moyen d’apports intérieurset extérieurs, le personnel et une sélection d’équipements. Les intrants sont les sources dedonnées, mesurées en termes d’enquêtes réalisées et de données administratives utilisées. Lesproduits statistiques sont évalués grâce aux modes et canaux de diffusion des données(publications papier, communiqués de presse, sites Internet, etc.) et aux domaines couverts. Etanten grande partie quantitatifs, les indicateurs donnent une idée de la taille du système statistique,de l’ampleur des financements extérieurs, du nombre d’enquêtes et de données administrativesutilisées comme sources de données et de la diversité des résultats statistiques. Ils permettentaussi de comparer instantanément les capacités statistiques d’un pays à l’autre.
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14. La difficulté suivante était d’établir des points de référence en termes de statistiques etd’organismes producteurs de données auxquels appliquer les indicateurs pour effectuer descomparaisons internationales. A ce stade, on décida d’appliquer les indicateurs quantitatifs auniveau de l’ensemble du système statistique et les indicateurs qualitatifs au niveau d’organismessélectionnés.
15. L’application des indicateurs quantitatifs au niveau du système statistique se heurtait àdeux difficultés au moins. Tout d’abord, le système statistique est une notion difficile à définircar il n’est pas représenté par un organisme unique. Il s’agit plutôt d’une construction
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intellectuelle, constituée par la somme d’organismes qui varient d’un pays à l’autre en nombre,en structure et selon l’autorité dont ils dépendent. En outre, la division entre unités/organismesproducteurs de données et ministères produisant des données administratives diffère nonseulement selon les pays, mais aussi dans le temps en raison des modifications institutionnellesintervenues dans le pays.
16. L’application des indicateurs quantitatifs au niveau de l’organisme produisant lesdonnées a aussi posé deux grands types de problèmes, liés en grande partie à la nécessité degarder le coût d’application des indicateurs à un niveau gérable: on ne pouvait évaluer ni tous lesorganismes, ni tous leurs produits. La première série de problèmes concernait la sélection desorganismes producteurs de données et des produits statistiques à évaluer. Le choix s’est porté surles organismes produisant les résultats statistiques jugés les plus importants. Mais ce qui étaitfacile en théorie ne l’était pas en pratique. Quels critères utiliser pour choisir les résultatsimportants? Doivent-ils être importants par rapport aux grands problèmes actuels? Doit-onconsidérer les problèmes actuels au niveau des pays ou à celui de la communauté internationale?Quels produits choisir et pourquoi? Quels résultats attendre et pourquoi? Ces produits sont-ilsgérables vu la situation du pays? Ces problèmes ont été solutionnés en réduisant le choix à unnombre limité de grands domaines statistiques et en sélectionnant un produit statistiquereprésentatif de chaque domaine. Cette limitation du domaine et du produit statistique aeffectivement permis d’obtenir un échantillon d’organismes et de produits représentatifs et deconserver des coûts peu élevés.
17. Les indicateurs de la deuxième phase ont été testés dans deux pays. Une version,modifiée par une partie des résultats préliminaires des tests, a été présentée à la réunion de juin2002 du Comité de pilotage de PARIS21.
C. La troisième phase: les Indicateurs de Renforcement des Capacités Statistiques(RCS)
18. La troisième phase consistait à examiner les résultats des tests, à apporter de nouvellesmodifications aux indicateurs, à mener une nouvelle série de consultations et à étudier lesprocédures administratives de nature à promouvoir l’utilisation des indicateurs de RCS.
19. Les tests ont notamment révélé que l’étendue des indicateurs devait être contenue dansdes limites gérables et que certains indicateurs qualitatifs devaient être davantage individualisésselon les niveaux.
20. Les résultats des tests et les commentaires supplémentaires enregistrés à propos de ladeuxième version des indicateurs ont permis d’établir une nouvelle version. Les modificationsconsistaient surtout à fixer les points de référence en termes de statistiques et d’organismesproducteurs de données pour les comparaison internationales, puisqu’on était arrivé à une visionet une compréhension commune du contenu des indicateurs.
21. Des travaux préliminaires ont aussi été consacrés à l’examen des procéduresadministratives requises pour la mise en œuvre des indicateurs. Le Rapport final du Groupe detravail devant être présenté au Consortium PARIS21 en octobre 2002 a été élaboré et largementdistribué pour être commenté.
- 48 -
Références
AFRISTAT, 2001, « Contribution d’ AFRISTAT au Renforcement des Capacités Statistiquesdans les Etats membres de 1996 à 2000 », document présenté au séminaire sur lelancement de l’étude “AFRISTAT APRES 2005,” Bamako, Mai.
Achikbache, B., Belkindas, M., Dinc M., Eele G., Swanson E., « Renforcement du Système desStratégies pour la Réduction de la Pauvreté », Poverty Reduction Strategy Sourcebook,chapitre 1.
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