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L ' A P P E L

.c 'est dans ces couleurs bleutees d'un ciel et d 'une terre,que ma vie avait commence'..Subitement,sans souffrancesni plaisirs,

Car en realite' ,je pensais toujours que mon destin sera un dessin de'ssine' a la main.

Tout pouvait arriver dans une de ces maisons du silence et du bruit.,le bruit strident d 'une lance de chevaliers qui avant meme d 'exister dans le monde ,nous emportaient tour a tour dans l 'espace et le temps des jours a l 'appel de la voix du pere et celle d 'une mere

qui abritaient dans la lumiere d'un nouvel Univers leurs enfants contre le mal present d 'une terre encore tropfragile a porter sur nod epaules et sur le dos des vouageurs des siecles d 'une hisroire a partager en famille..

1Des ma naissance au coeur de l 'Afrique , je ressentait en, moi un jour apres l 'autre , un pays apres l 'autre,d n paysage a l 'autre , d 'une phase de la vie puis soudainune autre . Telles que des images imaginaires ou encore reelles venant se briser comme des vagues d 'oceans.

Je comprenais deja la valeur d 'apprendre de ces sons , et ces voix autour de nous , qu 'un jour en faisant l 'appel d 'un nom magique qui prenait vigoureusement du fond de l 'ame: la forme apparente de la raison..

2Nos jours etaient encore persistants plus resistents ,que le passe' qui avait pu s 'engraver dans l 'histoire sur ses pages, comme l 'empire d 'un monument qui ne s 'arretait pas de se construire ,de batir de nous apprendre , de nous instruire, a l 'appel d 'une voix etau coeur d 'un livre.. Virtuel.

3D 'une oeuvre ,qui s 'ouvrait sur les chemins d 'une terreau mille et une raison d 'etre de sa poussiere ,ou d' un ciel dans l 'espace qui separaient les de'serts et les pleines du monde dans un fleuve d 'oceans ,couraitimmobile , qui en s 'ecoulant comme une eau gouttes apresgouttes ,elle emergeait sur un rivage de la memoire pour faire de nos portaits de voyageurs bohemiens :un mirroir ou les passages du temps se refletent si souvent en tous les sens et toutes les directions , laissant devenir les meandres des temps , aux heures et aux secondes : le sens et le sentiment de tout un etre vivant du jour, de la nuit est a l'appel d 'une memoire de geants!

4Deja rentrant en classe de lettres et de sciences,il fallut faire l 'appel des eleves et des etudiants un a un meme si un jour ils devaient etre abscents ,pour une raison ou une autre , laquelle pourtant le vrai pouvoir d 'apprendre , de comprendre demeure toujours dans le bon savoir des objets et des choses , du materiel et de ce qu 'il voulait nous donner de plus concret ,de plus utile dans les matieres que les langues des pays du monde nous rapportaient de plus credible et de'sireux ,comme si les professeurs dudes temps dans un espace qui revient ou qui repart vers d 'autres horizons des pensees et des actions..

5A l 'appel d 'un univers partout present du plus profond de l''ame aux corps les pkus puissants. J 'avais un coeur mais maintenant que tout le passe' redevient present pour continuer sa route sur nos chemins parralleles qui se tracaient longtemps encore partout ou on allait ,tout pleindu bien ou pas encore dans toutes les formes et tous les aspects d 'un monde ou chaque matin un destin nous unissait ou divergeait dans les espaces du temps ,en tout etre vivant , en pensee ,en action continue avec la raison , que les saisons d ne geographie physique et d 'une histoire fantastique nous revelait au fur et a mesure que l'on parlait a ce monde interieur ,celui qui se refractait le plus a l'appel des voix des habitants des jours..

6A l 'appel des paroles ou tout le sens du mot,depistent , et decouvrent tout l 'univers du cielet de sa terre a l 'endoit , dans ces lieux de spheres..

7Car en realite , les vrais personnages de cette histoirene pouvaient apparaitre que dans leurs veritables portaitscaracteristiques de leurs caracteres , que dans les nouveaux dialogues des yeux , celui du coeur a l 'appel des heures ,de leurs couleurs..

L 'imagination ne representait qu 'une seule realite'que la realite ne pouvait pas decrire , definir quedans les plus grandes et les plus belles oeuvres d 'une poesie de reves ou les livres du bonheur s 'ouvraient comme les portes d 'une maison sur nos tetes et dans noscoeurs..

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La musique des sentiments qui se confondaient aux sensations mentales et inspiratrices de nos pas versl 'ailleurs.. Mais nous etions presents dans cette phase d'un univers ou on ne s 'arraient pas d 'apprendre des plus grands par ces petits etres vivants lesplus belles raisons de notre existence.. A l 'appel allegorique de tous les sens ..!..

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Les plus grands plaisirs que l 'on prenait a chaque instantpuis a chaque moment que l 'on ouvrait la page d 'une vieon traversait tous les continents du monde et de l 'espace sur un seul chemin du destin ou l 'on pouvait facilement vivre ou mourir pour le lendemain de l 'avenir des jours. .

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Derriere une lettre il y avait une nouvelle lettre toujours,derriere le sens un autre sens pour toujours ,devant nos noms d 'autres titres indefiniment...Dans l 'appel tout l'appel des temps.!Tout le sentiment et toute lasensation se transformaient en se metamorphosant transcendentalement en mille et un moyen de noms princiers aux prenoms royales des ressurections .. .. .. .. !

A L 'appel d 'un volcan dans un glacon ..D 'un torrent d 'eaux aux soleils levants Comme le pain et le froment L 'argile des terres dans ses rayons de lunes Qui portaient la vie en demeurant des jours et des nuits A l'appel infini qui finit avec tous les autres Meme dans l 'autre vie ..D 'ici ou de la-bas Tout la haut du plus haut Et ici bas du plus profond Au plus long appel des gloires D 'une demeure sur un toit De toi et moi..!.... .. .DE toutes les forces de ses appels d'un monde d 'autre part :l 'Appel mourrait alors que, l'on pu survivre toujours dans un bal masque'!!!!!!!!!!. ..!A L 'APPEL de tous les noms de l 'Etre aime'.!.

Ramy George Morcos.

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