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MADAMEOLIVIERCARNAVALDE MARTIGUESDOSSIER DE PRESENTATION

MADAMEOLIVIERCARNAVALDE MARTIGUESDOSSIER DE PRESENTATION

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Susciter l’intérêt, attiser la curiosité, provoquer la rencontre décalée, la ville de Martigues joue la carte de l’esprit Carnavalesque depuis plus de 10 ans.

L’esprit carnavalesque, c’est bien plus qu’un carnaval ! C’est l’occupation de l’espace par l’imaginaire, c’est le mistral poétique qui emporte près de 2000 acteurs-habitants, c’est confier les clés de la ville à la

compagnie de théâtre Madame Olivier.

Tout ce beau monde se met à pied d’œuvre pendant 7 mois pour :

• Réaliser une mise en scène ;• Construire chars et décors ;• Confectionner costumes et accessoires ;• Transformer la population en personnages, favoriser la rencontre ;• Un mois entier de spectacles aux quatre coins de la ville ;• Montrer un visage festif à plus de 10000 spectateurs !

Le Carnaval de Martigues est devenu un évènement incontournable de la commune impliquant les acteurs de la ville sans distinction. Il est devenu un projet artistique régional phare grâce à son originalité contemporaine et sa participation humaine importante. Il tend à devenir un projet international dans le cadre partenariats artistiques avec d’autres évènements européens de grande échelle (Carnaval de Viareggio).

Il peut devenir un évènement phare dans le cadre de Marseille-Provence 2013 avec sa dimension populaire et fédératrice.

Soutenir le projet Carnaval, c’est participer à l’évènement populaire et artistique de la ville.

CAR-NA-VA-LESQUE

L'IMAGI-NAIREPREND VIEDANS LA VILLE

L’imaginaire prend vie dans la ville. Comme guide, un conte urbain permet aux acteurs-habitants de composer leur propre projet. Dans chaque quartier, dans chaque structure, le spectacle prend naissance autour de la table et dans un esprit de partage artistique.

Du concept à la réalisation, les artistes de la compagnie Madame Olivier accompagnent les projets. Du constructeur à l’artiste chorégraphique, la rencontre humaine et artistique converge vers la réalisation du spectacle. La préparation donne lieu à des effervescences d’ondes positives et solidaires entre les générations.

Le conte urbain est le concept. Plus simplement, l’histoire qui est racontée à la ville et aux habitants devenus acteurs du projet.

L’imaginaire et la rencontre sont les deux ingrédients de base pour la mise en route du projet. Comme tout spectacle, c’est autour d’une table lors d’une discussion que projet nait.

À partir d’une histoire écrite par la compagnie, la rencontre permet de personnaliser le projet avec les acteurs associatifs, les Maisons de quartier, les structures culturelles de la ville. Chaque groupe peut intervenir pendant les préambules (3 premiers week-ends de mars) avec une forme artistique dans un endroit de la ville. La seule contrainte est de s’approprier l’histoire du carnaval et de la décliner sous une forme pluridisciplinaire.

Le mois de mars, le mois de la fête : dans les quartiers et dans la ville, des évènements artistiques sont les signes de bouillonnement carnavalesque. Chaque week-end, des spectacles, des carnavals de quartier, des fêtes originales lancent les festivités. La couverture presse et la communication permet de mobiliser de nombreux spectateurs.

Pour le dernier week-end de mars et devant 10 000 personnes, les acteurs du carnaval participent à la parade du dimanche. Longue de plus 800 mètres, elles rassemblent plus de 1800 acteurs tous déguisés autour des chars en musique.. La mise en scène permet de poser un acte théâtral ou chorégraphiés répétés avec les artistes de la compagnie MADAME OLIVIER lors du spectacle final où chacun est acteur

Depuis 2 ans, le carnaval a pris une dimension poétique plus forte, amorçant un virage important dans son esthétisme.

Le résultat se voit durant le mois de mars mais le projet se monte pendant les 7 mois qui précèdent l’évènement.

Il est le fruit d’un travail entre les habitants de la ville et les artistes professionnels de la compagnie Madame Olivier.

De l’idée à la réalisation, la rencontre, la parole sont l’huile de coude du projet. Les discussions ouvrent les dimensions de l’imaginaire. Le concept va souvent loin. Les habitants-acteurs rêvent de machineries automatiques, de costumes surréalistes. Les gens mélangent leurs idées, les jeunes et les moins jeunes réfléchissent ensemble à un projet de plusieurs mois. La mixité est totale. Chaque personne est à même d’amener de l’eau au moulin.

Les férus de bricolage œuvrent à la réalisation des chars, les doigts habiles n’hésitent pas à réaliser parfois plus de 100 costumes pour leur groupe de carnavaliers. Dans les Maisons de quartier, à la MJC, dans les associations, on s’active pour donner vie à son propre projet. Projet artistique dont chacun est fier, dont chacun a posé sa propre pierre.

Les foyers du 3ème âge ne sont pas en reste, bien au contraire. S’associant à des maisons de quartier, leur temps libre est consacré à la confection de leurs costumes, la réalisation de chars ou à apprendre une chorégraphie.

L'ESPRITCONTEMPORAININTER-GENERA-TIONNEL

Au-delà de l’art, il y a la rencontre. Bien plus qu’un spectacle, le lien qui se noue entre les habitants devient une force supplémentaire. La Fabrique, « haut lieu » de la construction des chars, est aussi le hangar où se partagent les repas entre la centaine de personnes qui s’y croisent. La Fabrique est un lieu de solidarité, d’entre-aides entre les personnes de tous les âges et de tous les quartiers. On se prête un outil, on y goutte la spécialité culinaire de chacun.

Il existe une effervescence artistique et humaine. Cette effervescence existe également dans les crèches et les écoles. Les poussettes prennent des allures de mini-chars pour le défilé. Dans la cour des écoles, les danseurs de Madame Olivier répètent la chorégraphie de la parade pendant la récréation. Dans les maisons de quartier et les foyers du 3ème âge, les ateliers couture tournent à plein régime. Les enfants et les parents mettent tous la main à la patte pour que le rêve devienne réalité.

L’esprit carnavalesque de Martigues n’a pas d’âge et ne connait aucune limite.

Transformer la ville est habituellement le travail des architectes. Modifier la ville par le carnavalesque revient au même. L’imaginaire et la conception sont la base. Seule la finalité diffère.

Le Carnaval de Martigues transforme la ville pour l’amusement.La forme contemporaine du projet repose sur un conte urbain à l’échelle de la ville, une participation active de la population, un accompagnement artistique soutenu.

La ville vit, prend un rythme de fête, l’imaginaire prend le pas sur le quotidien. Des actes saugrenus à la parade finale, le Carnaval se décline sous des formes diverses et décalées. Il traverse les quartiers et s’inscrit dans la durée (le mois de mars). Transformer la ville, c’est aussi l’habiter.

Pendant un mois, l’onde truculente traverse la ville, le décalage est de rigueur. Ici et là, les actes se mènent les uns après les autres, les habitants et les artistes à la baguette, tous acteurs. On y voit de la diversité, des sourires et de la spontanéité. La médiathèque devient discothèque pour le bal des costumières. Le principe est simple : en laissant son manteau au vestiaire, la personne reçoit un costume en échange le temps de la soirée. L’idée est de danser dans la « peau » d’un costumé.Au cœur de la ville, le comptoir des costumes ressemble à un magasin de vêtements au premier abord. Seule différence (et pas des moindres !), il faut réaliser son vêtement soi-même avec l’aide des costumières de la compagnie Madame Olivier. Et pas n’importe quel vêtement : le costume carnavalesque !

Rendre visible la fête carnavalesque devient une ambition partagée par tous. Partager la convivialité, montrer l’art festif au public de la ville. A chaque coin de rue, sur les places et dans les quartiers, le décalage est marqué, l’esprit de la ville tourne et vire. Au fur et à mesure, la ville se transforme pour atteindre son apogée le dernier week-end de mars. Le serpent de couleurs pénètrent dans le cœur de la ville, la musique fuse par-delà les maisons, les habitants dansent les chorégraphies travaillées en répétition.

Une machine bien huilée, une passion partagée, une histoire à raconter à la cité.

LE PROJETARTISTIQUEDANS LAVILLE

L’ambition de ce grand projet voulu par la ville et confié à la compagnie Madame Olivier est de réaliser un évènement fort.

L’appui des partenaires de la ville est une force essentielle pour la dynamique. L’engouement de la population est un moteur en vue de la réalisation du projet dans une ambiance incroyable et presque indescriptible. Il suffit de suivre la montée en puissance du projet et de constater à quel point la passion carnavalesque est présente. L’amusement et le plaisir sont les mots-clés. Il s’agit dans un premier temps d’insuffler un concept fort qui puisse susciter l’intérêt auprès de tous les publics.

La ville de Martigues et la compagnie Madame Olivier proposent une nouvelle image du Carnaval, plus moderne et festive.

Devenir partenaire du Carnaval, c’est participer à un évènement essentiel de la ville.S’associer à l’esprit carnavalesque, c’est contribuer à la réussite d’un projet culturel de grande echelle sur le territoire local. Au-delà de l’acte, il s’agit d’une aventure humaine commune dont les valeurs de mise en commun et de bonne humeur sont à partager.

Être partenaire, c’est peut-être découvrir une nouvelle passion, celle de l’esprit carnavalesque.Grâce à une large couverture médiatique au niveau régional et national, le carnaval devient un rendez-vous incontournable pendant le mois de mars, où tout peut encore s’inventer.

Depuis 2008, le carnaval s’associe avec les carnavals européens comme celui de Viareggio (2ème carnaval italien après Venise). Il donne lieu à des échanges culturels et favorise la rencontre en les acteurs respectifs du carnaval.

La dimension européenne apporte le rayonnement que mérite ce projet. Il s’agit de faire partager l’esprit contemporain, artistique et humain tout en conservant le caractère universel du Carnaval dans ses valeurs festives et sociales.

MADAMEOLIVIERMACARNAVALMARTIGUES

Madame Olivier investit un lieu, extérieur ou intérieur, utilise l’art plastique, la force des gestes et du mouvement, du son et des mots.

Faire tenir un propos à un lieu.Lui donner la parole, le laisser susurrer ce qu’il a à dire, le faire parler, l’habiter par la couleur, le cri, la projection, le chuchotement…Le rendre vivant…

Madame Olivier a pour vocation de jouer avec les mots et les espaces. Sorte de cellule de recherche et de rencontres artistiques s’ouvrant aussi bien à l’acte théâtral, aux barbouillages urbains, à des parcours poétiques, à la gesticulation dansée. La matière scénographique et les terrains de jeux sont la ville, le jardin, la cour, l’architecture, le plateau d’un théâtre, les intérieurs, les extérieurs afin de développer une démarche spécifique et originale.

Le banc et sa rumeur, La montagne et son écho,

Le brouhaha et son onde de son, La vitre et sa vibration, L’entrelacs du son et de l’imaginaire, de l’image et de sa parole.

Envie de parler, d’en parler, faire parler, porter la voix, chuchotages et grandes tirades.

LACOMPAGNIEMADAMEOLIVIER

Maison fondée en 2004Depuis sa création, Madame Olivier invite autour de la table les personnes prêtes à nourrir le projet artistique.

Au cœur du projet, il y a la rencontre : humaine pour l’enrichissement, artistique pour sa dimension créative et pluridisciplinaire. Basée à la Friche Belle de Mai, la compagnie travaille ses projets au fil des envies. En groupe ou isolé, chaque projet a sa patte, sa touche spécifique. Spécifiques et différents comme le sont les fondateurs :

Karine de Barbarin : chuchoteuse, peintre du cielBernard Llopis : aboyeur, poète dramatiqueLaurent Martin : souffleur, médiacteur, séducteurRomaric Matagne : bavardeur, administracteur

Avec une grande diversité dans ses projets, Madame Olivier réalise en mai 2009 un spectacle dans le cadre de la nuit des Musées en Arles (Muséon Arlaten), un spectacle dans le métro de Marseille en juin 2008 pour Publicis (projet ayant obtenu le prix de l’innovation publicitaire 2008 dans sa catégorie), un spectacle pour la fête de quartier Paradis Saint Roch en juin 2008 et juin 2009, et participe au Carnaval de Martigues avec un spectacle depuis 2004.

En 2006, la compagnie est chargée de la direction artistique du Carnaval de Martigues où elle co-construit l’aventure artistique avec plus de 1800 habitants de tout âge.

Pour l’édition 2010, Madame Olivier propose un projet original en direction des adolescents martégaux avec la réalisation d’un char multimédia wahrolien accompagné d’actes artistiques.

Un char réalisé par les jeunes des quartiers est construit à la Fabrique. La présence de personnes jeunes dans ce lieu déjà dynamique permet la rencontre avec les autres acteurs du carnaval qui réalisent leurs propres chars. L’accompagnement d’artistes et techniciens de la compagnie MADAME OLIVIER facilite la concrétisation du projet.

Sa spécificité est qu’il défile de nuit durant les week-ends du mois de mars, intégrant les préambules du Carnaval par un acte artistique contemporain. La thématique warholienne permet d’apporter une vision moderne de cet art en choisissant un objet superstar comme le propose l’histoire du carnaval. La proposition artistique est d’imaginer comment Andy Warhol aurait intégré le multimédia et internet dans son art. Le réseau social via internet, les nouvelles formes de communication (MSN, Facebook, Twitter) pourraient être le support de réflexion pour amener les adolescents à concevoir un projet poétique et décalé pour le carnaval.

Pour cet acte nocturne, les formes multimédias et les jeux de lumières sont intégrées à ce char. Une mise en scène est imaginée, notamment avec un projet chorégraphié commun entre les danseurs de l’école de Danse de Martigues et les danseurs de la compagnie MADAME OLIVIER. La compagnie s’appuie également sur l’association audiovisuelle des webmasters de la ville de Martigues pour la réalisation des images. Évidemment, le char est présent dans le serpent carnavalesque pour traverser la ville le dernier dimanche de mars.

Il s’agit d’une conquête d’un nouveau public-acteur et d’un renforcement du lien intergénérationnel grâce au carnaval. En effet, les adolescents, bien souvent en quête d’identification et en perte de repères, peuvent éprouver une certaine difficulté à adhérer à l’image plutôt décalée du carnaval.L’objectif est alors d’inciter les adolescents à vivre l’esprit carnavalesque et à prendre part à un acte artistique tout en s’amusant avec des techniques de communication au plus proche d’eux.

PRO-JET20-10

MADAME OLIVIERFiche Belle de Mai41, rue Jobin 13003 Marseille

[email protected]://madameolivier.lafriche.org

Contact (Romaric Matagne)+33 (0)4 95 04 06 39+33 (0)6 27 96 89 68

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