Choc2LuxeExemple
Outil disponible sur www.NetPME.fr www.NetPME.fr (cf. "Outils de pilotage")
"BizPrev"™ : présentation
Version du 07/07/2015
Vous souhaitez effectuer des prévisions financières qui permettent à la fois de traduire et de tester rapidement les principales hypothèses de votre plan
de développement ? Votre banquier ou des investisseurs vous demandent un business plan dûment chiffré pour évaluer l'opportunité de financer la
croissance de votre entreprise ? Dans ce cas, "BizPrev" est fait pour vous !
BizPrev traduit instantanément vos principales hypothèses de travail en un compte de résultats prévisionnels, un plan de financement, un bilan
prévisionnel, des graphiques et une synthèse comprenant une sélection de ratios économiques et financiers. Ce logiciel est utilisé par plusieurs centaines
d’entreprises de toute nature et de toutes tailles : il convient aux jeunes entreprises –start up–, aux PME déjà établies et aux départements –business
units– de groupes industriels. Il est également destiné à être utilisé par les Experts-Comptables et par les étudiants en Commerce et en Gestion.
Ce module est utilisable sur un ordinateur type PC doté de Microsoft Excel(R)
et de Windows(R)
.
Les paramètres modifiables figurent en orange dans les onglets ci-après. Les cellules en vert sont également modifiables mais dans ce cas vous
écraserez des formules de calcul destinées à simplifier certaines estimations de coûts effectuées dans l'onglet "Paramètres". Les cellules en bleu ne sont
en revanche pas modifiables.
Ce fichier constitue un exemple commenté, qui permet de suivre "pas à pas" la démarche d'élaboration des comptes prévisionnels de l'entreprise
"Choc2Luxe". Il comprend également un lexique comptable et financier ainsi qu'une liste des principaux comptes comptables.
L'outil "BizPrev" est disponible sur le site www.NetPME.fr, dans la rubrique "Outils de pilotage", aux côtés d'une famille de modules de gestion
complémentaires.
La démarche générale d'établissement de vos comptes prévisionnels peut s'effectuer de la manière suivante :
- Commencez par analyser votre marché et les offres en présence, définissez vos objectifs et votre stratégie de développement.
- Segmentez votre offre et analysez les principaux déterminants de votre chiffre d'affaires : cf. onglets "P1"..."P5" et "CA_total".
- Prévoyez les compétences et les profils nécessaires à la bonne marche de votre entreprise : cf. onglet "Effectifs".
- Evaluez les investissements nécessaires au lancement et au développement de votre entreprise : cf. onglet "Invest".
- Prévoyez les différentes charges externes requises, notamment les coûts publicitaires et promotionnels : cf. onglet "Ch_Ext".
- Estimez les délais de règlement des clients et des fournisseurs, ainsi que le niveau de stocks nécessaires : cf. onglet "Paramètres".
- Equilibrez le plan de financement avec les ressources nécessaires pour couvrir les éventuels besoins : cf. onglet "PlanFi".
- Visualisez les résultats sur les différents graphiques et tableaux de synthèse et affinez si nécessaires vos prévisions.
"BizPrev" constitue une base de réflexion utile pour formuler un plan de développement robuste. Pour affiner vos prévisions de vente, ce module peut
utilement être complété par l'outil prévisionnel "Plan Marketing" et par "Propalor", outil d'analyse et d'optimisation du cycle de vente (également
disponibles sur le site www.NetPME.fr, dans la rubrique "Outils de pilotage").
Si nécessaire, n'hésitez pas à consulter votre Expert Comptable ou vos conseillers financiers habituels. Bon travail !
(c) Etienne Krieger, 2009-2015
(c) Etienne Krieger, 2009-2010
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 Utilisateur exclusif : NetPME . . . 10/05/2016
Choc2Luxe (10 mai 2016)Nom de la société :
Début des prévisions : Devise par défaut :
Date du jour : Chiffres en k€ (milliers d'Euros)
Premier exercice (Année 1) : ou en € (Euros)
Gamme de produits et/ou de services vendus :
Nom du Produit/Service 1 : * Coût de revient direct 100 %
Nom du Produit/Service 2 : * Charges externes 20 %
Nom du Produit/Service 3 : * Impôts & taxes (hors I.S.) 80 %
Nom du Produit/Service 4 : * Charges de personnel 20 %
Nom du Produit/Service 5 : * Amortissements 20 %
Bilan initial : ACTIF Bilan initial : PASSIF
Immobilisations nettes : 0 k€ Capital social : 0 k€
Résultats et réserves : 0 k€
Stocks & en-cours : 0 k€ Emprunts et dettes financières : 0 k€
Clients et autres créances : 0 k€ Dettes fournisseurs : 0 k€
Dettes fiscales et sociales : 0 k€
Comptes financiers / disponible : 0 k€ Autres dettes & comptes de régul. : 0 k€
Total : 0 k€ Total : 0 k€
Besoin en fonds de Roulement (BFR) -> délais moyens de règlement des clients et des fournisseurs :
BFR Clients BFR Fournisseurs Stocks & en-cours
% jours % jours en % des ventes
50 % 0 50 % 0 Année 1 : 10,0%
25 % 30 50 % 30 Année 2 : 10,0%
25 % 60 0 % 60 Année 3 : 10,0%
0 % 90 0 % 90 Année 4 : 10,0%
0 % 120 0 % 120 Année 5 : 10,0%
Effectifs antérieurs : 0 personnes Taux de la TVA : 19,6 %
Chiffre d'affaires exercice n-1 : 0 k€ Taux de l'impôt (I.S.) : 33,3 %
Remise moyenne aux distributeurs : 35,0 % Taux des "impôts & taxes" (% V.A.) : 5,0 %
Taux d'intérêt des emprunts MLT : 7,0 % Taux d'intérêt sur placement de T+ : 0,0%
Part du CA passée en escompte : 0,0 % Taux d'agios sur découvert : 10,0%
Taux d'escompte annuel pratiqué : 9,0 % Durée des emprunts à LMT : 5 ans
Echéance moyenne des traites escomptée : 2 mois Devise employée (au lieu de l'Euro) : €
2016 2017 2018 2019 2020
Désendettements sur emprunts antérieurs : 0 0 0 0 0 k€
Reliquat d'amortissements antérieurs : 0 0 0 0 0 k€
Crédits d'impôts éventuellement prévus : 0 0 0 0 0 k€
Estimation de l'I.S. 4 11 23 0 0 k€
Salaires = versés sur : 12 mois Investissement pour chaque nouvelle embauche :
Taux de charges sur salaires bruts : 45,0 % (part patronale) * Mobilier & matériel de bureau 0,5 k€
Premier exercice = sur : 12 mois * Matériel informatique & logiciels 1,0 k€
Charges annuelles :
Locations immobilières : 18,0 k€ la première année
Frais postaux, télécommunications : 1,0 k€ par pers./an . Redevances sur brevets 0,0 % du CA
Achats de consommables : 0,5 k€ par pers./an . Voyages et déplacements 2,0 k€ /pers./an
Etudes & documentations : 0,3 k€ par pers./an . Missions et réceptions 1,0 k€ /pers./an
Assurances spécifiques : 0,5 % du CA . Recrutement et formation 2,0 % M.Sal.
*** *** 2016 2017 2018 2019 2020 *** *** *** ***1) Approx. T 1) Approx. T 0 0 0 0 0 *** *** *** ***2) Approx. T #2 2) Approx. T #2 12 16 22 -170 -617 ***3) Mise à zéro 3) Mise à zéro 0 0 0 0 0 *** *** *** *** *** *** a) Remplacez les chiffres de la ligne 1) par 0 puis appuyez sur F9 *** *** *** b) Remplacez les formules ligne 1) par la formule "=L(2)C" *** *** *** *** *** *** *** *** ***KerPlan / Reproduction interditeBizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 NetPME . . .
Principaux paramètres
Ventes de chocolats aux particuliers
Ventes de chocolats aux entreprises
Etant donné qu'il s'agit d'une création ex nihilo, Choc2Luxe ne possède pas de bilan antérieur et le tableau ci-dessous, qui constitue un bilan initial simplifié à renseigner
pour une entreprise existante, demeure par conséquent à zéro.
Les paramètres relatifs aux délais de règlement moyens des clients et des fournisseurs ainsi qu'au niveau de stock permettent de calculer le besoin en fonds de
roulement (BFR) de la société. La variation du BFR est en effet un élément déterminant dans le plan de financement d'une entreprise. Un niveau de stock significatif ou
des délais de règlement clients élevés (par exemple supérieurs à 60 jours) peuvent peser sur la trésorerie de l'entreprise si le chiffre d'affaires augmente rapidement.
Dans le cas présent, les délais de règlement clients sont essentiellement liés à la clientèle des grandes entreprises, les particuliers payant leurs achats au comptant. Le
dirigeant de Choc2Luxe prévoit ainsi que 50% du chiffre d'affaires sera encaissé au comptant (soit 0 jours de délais de paiement), que 25% du CA sera encaissé à 30
jours et les 25% restants à 60 jours.
En matière de délais de règlement de ses fournisseurs, l'entrepreneur prévoit de les payer au comptant pour 50% des créances et à 30 jours pour les 50% restants.
La production de Choc2Luxe étant constituée de produits ultra-frais qui supporteraient mal toute forme de conservation, le dirigeant prévoit uniquement un niveau de
stocks ou d'encours de production à hauteur de 10% de ses ventes annuelles.
Choc2Luxe01/01/201610/05/20162016
L'entreprise "Choc2Luxe" a une activité de production et de vente de chocolats de luxe, tant auprès de particuliers que sur le segment des grandes entreprises
désireuses de fidéliser leurs clients ainsi que d'autres contacts importants avec des cadeaux de qualité.
Le fondateur et dirigeant de l'entreprise a établi les prévisions ci-dessous à l'aide de ses associés et de son Expert Comptable. L'entreprise a prévu de démarrer son
activité au 01/01/2011.
Les prévisions d'activité s'effectuent sur deux segments distincts : "Ventes de chocolats aux particuliers" et "Ventes de chocolats aux entreprises". Ces deux
familles feront l'objet de prévisions détaillées dans les onglets "P1" et "P2", sachant que ce logiciel permet d'effectuer des prévisions de ventes sur 5 segments
distincts.
En première analyse, le fondateur de Choc2Luxe et son conseil financier tablent sur un loyer annuel charges incluses de 18 k€ (soit 1500 € par mois), sur des frais
postaux, de télécommunications et d'Internet de 1 k€ (1000 €) par personne et par an, sur des achats de consommables (eau, énergie, fournitures...) estimés à 0,5 k€
par personne et par an et sur des coûts annuels d'études et de documentations de 0,3 k€ par personne (300 €).
Les primes d'assurances sont estimées à 0,5% du CA. Il n'est prévu de verser aucune redevance sur des brevets, sur des marques ou sur d'autres titres de propriété
intellectuelle.
Le poste "voyages et déplacements" est estimé, en première analyse, à 2 k€ par personne et par an, tandis que les frais annuels de missions et de réceptions sont
estimés à 1 k€ par salarié. Enfin, le poste "recrutement et formation" est estimé à 2% de la masse salariale.
Les paramètres ci-dessous achèvent de renseigner cette page de paramètres. S'agissant d'une création d'entreprises, il n'y pas pas d'effectifs antérieurs. L'entreprise
ne compte pas commercialiser ses produits via de tiers mais, si tel était le cas, la remise moyenne aux distributeurs serait de 35% par rapport au prix de vente final HT
du produit.
Le taux de la TVA est de 19,6% et le taux de l'impôt sur les sociétés est de 33,3%. Pour prendre en compte de manière forfaitaire l'ensemble des autres impôts et
taxes (taxe d'apprentissage, taxe professionnelle ou autres taxes de même nature), le dirigeant et son Expert Comptable estiment que ces différentes taxes seront au
plus égales à 5% de la valeur ajoutée de Choc2Luxe.
Si l'entreprise s'endette à moyen ou à long terme, le taux d'intérêt moyen des prêts bancaires est estimé à 7%. L'entrepreneur n'envisage pas d'escompter une partie
de son chiffre d'affaires, en l'occurrence de mobiliser d'éventuelles créances sur de grandes entreprises. Si tel était le cas, le taux d'escompte annuel pratiqué est
estimé à 9% et l'échéance moyenne des traites escomptées serait de 2 mois.
Dans ce prévisionnel, l'entrepreneur ne prend pas en compte d'éventuels produits financiers, qui seraient de toute manière marginaux, liés au placement de sa
trésorerie excédentaire. A contrario, le taux d'agios en cas de découvert bancaire est estimé ici à 10%. Là encore, ni le dirigeant de l'entreprise ni ses conseillers
financiers n'envisagent pas cette option pour financer le développement de Choc2Luxe, un plan de financement devant de préférence être équilibré par des ressources
durables.
Les éventuels emprunts à moyen-long terme sont considérés sur 5 ans. Enfin, la devise utilisée dans le cas présent est naturellement l'Euro (€).
Etant donné que notre exemple porte sur une création d'entreprise, il n'y pas pas lieu d'intégrer dans nos comptes prévisionnels de remboursements d'emprunts
antérieurs, ni de reporter des dotations aux amortissements sur des immobilisations antérieures. Vu la nature de l'activité, il n'y a pas non plus lieu de prévoir de crédits
d'impôts, comme par exemple le crédit d'impôt-recherche.
Les salaires seront versés sur 12 mois, ce qui veut dire qu'il n'est pas envisagé de 13ème mois ou de primes équivalentes. Le taux de charges sur salaires bruts (part
patronale) est de 45%.
Enfin, l'entrepreneur prévoit, en première analyse, un investissement moyen de 500€ HT (0,5 k€) en mobilier et en matériel de bureau pour chaque nouvelle embauche
ainsi que 1000€ HT (1 k€) de matériel informatique et de logiciels. Ces données forfaitaires pourront naturellement être affinées dans le plan d'investissement.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Ventes de chocolats aux particuliers Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018 %An 1 %An 3
Chiffre d'affaires (k€) 315,0 420 490 100% 100%
. dont ventes hors de France (Europe & Export) 0,0 0 0 0% 0%
. dont ventes réalisées en direct (incl. export) 315,0 420 490 100% 100%
Volume total vendu 9 000 12 000 14 000 100% 100%
. en France 9 000 12 000 14 000 100% 100%
. en Europe (hors France) 0 0 0 0% 0%
. à l'Export (hors Europe) 0 0 0 0% 0%
Cumul des ventes en volume 9 000 21 000 35 000 unités
- dont volume direct 9 000 12 000 14 000
- dont volume indirect 0 0 0
Coût de revient direct des produits vendus (k€) 78,8 105 123 25% 25%
Marge Brute (k€) 236,3 315 368 75% 75%
Marge brute (%) 75% 75% 75%
Ventes de chocolats aux particuliers Bases de calculCoeff. coût = 1,00
. Matières premières, sous-traitance [coût unitaire] 8,8 8,8 8,8 100% 100%
. Redevances et droits divers [coût unitaire] 0,0 0,0 0,0 0% 0%
. Logistique et coûts unitaires directs 0,0 0,0 0,0 0% 0%
Coût unitaire direct du "Produit/Service" (€ HT) 8,8 8,8 8,8 100% 100%
Prix de vente unitaire du Produit/Service (€ HT) : 35,0 35,0 35,0
Coeff. prix = 1,00
Volume vendu en France en direct 9 000 12 000 14 000
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 35,0 35,0 35,0
CA "France/Direct" réalisé par l'entreprise (k€) 315,0 420 490 100% 100%
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 35,0 35,0 35,0
CA "Europe/Direct" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Volume Export (hors Europe) en direct 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 35,0 35,0 35,0
CA "Export/Direct" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Volume vendu en France par distributeurs 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 35,0 35,0 35,0
Marge distributeurs (%) 35,0 35,0 35,0
Multiplicateur Prix distributeur / Prix final HT 1,5 1,5 1,5
Prix facturé par l'entreprise au distributeur 22,8 22,8 22,8
CA "France/Indirect" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Marge brute pour l'entreprise sur chaque vente (%) 62% 62% 62%
Volume vendu en Europe par distributeurs 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 35,0 35,0 35,0
Marge distributeurs (%) 35,0 35,0 35,0
Multiplicateur Prix distributeur / Prix final HT 1,5 1,5 1,5
Prix facturé par l'entreprise au distributeur 22,8 22,8 22,8
CA "Europe/Indirect" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Marge brute pour l'entreprise sur chaque vente (%) 62% 62% 62%
Volume vendu à l'Export par distributeurs 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 35,0 35,0 35,0
Marge distributeurs (%) 35,0 35,0 35,0
Multiplicateur Prix distributeur / Prix final HT 1,5 1,5 1,5
Prix facturé par l'entreprise au distributeur 22,8 22,8 22,8
CA "Export/Indirect" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Marge brute pour l'entreprise sur chaque vente (%) 62% 62% 62%
Ce tableau détaille les prévisions de vente de chocolats de luxe auprès des particuliers. Les chiffres ci-dessus
résument les principales hypothèses de chiffre d'affaires, de coûts directs et de volumes de vente sur 3 ans.
Les bases de calculs figurent ci-dessous et concernent principalement le prix et les coûts de vente unitaires, ainsi que
les volumes prévisionnels sur 3 ans, tant en direct que via d'éventuels distributeurs. Pour distinguer les ventes
domestiques d'éventuelles ventes à l'export, on distingue 3 territoires, tant en direct que par distributeur : ventes en
France, ventes en Europe (hors France) et ventes à l'Export (hors Europe).
Le dirigeant prévoit de vendre en moyenne 35 € HT de chocolats par client, soit environ 42 € TTC. Ces chiffres sont
conformes au "panier moyen" constaté chez un confrère du fondateur de Choc2Luxe. Il n'est pas prévu que ce prix de
vente augmente sur les 2 années suivantes, à l'exception de l'inflation,dont il n'est pas tenu compte dans ce
prévisionnel.
Le coût de revient unitaire est estimé à 25% du prix de vente HT, soit 8,75€, arrondis ici à 8,8 € HT. Ces coûts directs
concernent le coût des matières premières nécessaires pour fabriquer des chocolats et des pralinés, ainsi que
l'emballage. Il n'est en revanche pas prévu de verser des redevances à des tiers, ni de supporter des coûts
additionnels comme des frais d'expédition, qui seront refacturés le cas échéant aux clients à leur coût réel.
Les coefficients "Coeff. coût" et "Coeff. prix" permettent de tester la sensibilité du modèle à d'éventuelles variations du
prix de vente et du coût de revient. Par exemple, un coefficient prix de 1,1 serait équivalent à une augmentation de
10% du prix de vente. Ces coefficients permettent de tester aisément des variations de prix et de coûts mais, à défaut,
il peuvent rester à 1.
Les prévisions de ventes en volume sont de 9000 unités par an pour la première année, soit en moyenne 30 ventes
quotidiennes multipliées par 300 jours de vente. Ces ventes sont prévues pour être intégralement réalisées en France
et en direct. Ces prévisions passent à 12000 unités pour la 2ème année, soit en moyenne 40 ventes par jour
multipliées par 300 jours de vente. Enfin, les prévisions de l'année 3 sont de 14000 unités. Ces ventes seront
essentiellement réalisées en France et en direct, aucune vente à l'export ni de vente indirecte n'étant prévue par le
fondateur de Choc2Luxe.
Comme déjà mentionné, ces prévisions ne tiennent pas compte de ventes à l'export ni de ventes indirectes via un
réseau de distributeurs, comme par exemple des épiceries fines.
Le chiffre d'affaires prévisionnel de la première année s'établit par conséquent à 315 000 € (315 k€) la première année,
pour un total de 9000 ventes : cf. synthèse au début du document. Le coût de revient des produits vendus étant de
25%, soit 78,8 k€, la marge brute prévisionnelle est donc de 236,3 k€ pour le prochain exercice.
Pour l'exercice suivant, le CA prévisionnel sur ce segment "vente aux particuliers" est de 420 k€ et la marge brute est
de 315 k€. Enfin, le chiffre d'affaires prévisionnel du 3ème exercice est de 490 k€ et la marge brute prévisionnelle est
de 368 k€, soit 75% du CA.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Ventes de chocolats aux entreprises Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018 %An 1 %An 3
Chiffre d'affaires (k€) 200,0 320 360 100% 100%
. dont ventes hors de France (Europe & Export) 0,0 0 0 0% 0%
. dont ventes réalisées en direct (incl. export) 200,0 320 360 100% 100%
Volume total vendu 100 160 180 100% 100%
. en France 100 160 180 100% 100%
. en Europe (hors France) 0 0 0 0% 0%
. à l'Export (hors Europe) 0 0 0 0% 0%
Cumul des ventes en volume 100 260 440 unités
- dont volume direct 100 160 180
- dont volume indirect 0 0 0
Coût de revient direct des produits vendus (k€) 50,0 74 76 25% 21%
Marge Brute (k€) 150,0 246 284 75% 79%
Marge brute (%) 75% 77% 79%
Ventes de chocolats aux entreprises Bases de calculCoeff. coût = 1,00
. Matières premières, sous-traitance [coût unitaire] 500,0 460,0 420,0 100% 100%
. Redevances et droits divers [coût unitaire] 0,0 0,0 0,0 0% 0%
. Logistique et coûts unitaires directs 0,0 0,0 0,0 0% 0%
Coût unitaire direct du "Produit/Service" (€ HT) 500,0 460,0 420,0 100% 100%
Prix de vente unitaire du Produit/Service (€ HT) : 2 000,0 2 000,0 2 000,0
Coeff. prix = 1,00
Volume vendu en France en direct 100 160 180
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 2 000,0 2 000,0 2 000,0
CA "France/Direct" réalisé par l'entreprise (k€) 200,0 320 360 100% 100%
Volume Europe (hors France) en direct 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 2 000,0 2 000,0 2 000,0
CA "Europe/Direct" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Volume Export (hors Europe) en direct 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 2 000,0 2 000,0 2 000,0
CA "Export/Direct" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Volume vendu en France par distributeurs 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 2 000,0 2 000,0 2 000,0
Marge distributeurs (%) 35,0 35,0 35,0
Multiplicateur Prix distributeur / Prix final HT 1,5 1,5 1,5
Prix facturé par l'entreprise au distributeur 1 300,0 1 300,0 1 300,0
CA "France/Indirect" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Marge brute pour l'entreprise sur chaque vente (%) 62% 65% 68%
Volume vendu en Europe par distributeurs 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 2 000,0 2 000,0 2 000,0
Marge distributeurs (%) 35,0 35,0 35,0
Multiplicateur Prix distributeur / Prix final HT 1,5 1,5 1,5
Prix facturé par l'entreprise au distributeur 1 300,0 1 300,0 1 300,0
CA "Europe/Indirect" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Marge brute pour l'entreprise sur chaque vente (%) 62% 65% 68%
Volume vendu à l'Export par distributeurs 0 0 0
. Prix unitaire final du produit/service (€ HT) 2 000,0 2 000,0 2 000,0
Marge distributeurs (%) 35,0 35,0 35,0
Multiplicateur Prix distributeur / Prix final HT 1,5 1,5 1,5
Prix facturé par l'entreprise au distributeur 1 300,0 1 300,0 1 300,0
CA "Export/Indirect" réalisé par l'entreprise (k€) 0,0 0 0 0% 0%
Marge brute pour l'entreprise sur chaque vente (%) 62% 65% 68%
Ce tableau détaille les prévisions de vente de chocolats de luxe auprès des entreprises. Les chiffres ci-dessus
résument les principales hypothèses de chiffre d'affaires, de coûts directs et de volumes de vente sur 3 ans.
Les bases de calculs figurent ci-dessous et concernent principalement le prix et les coûts de vente unitaires, ainsi que
les volumes prévisionnels sur 3 ans, tant en direct que via d'éventuels distributeurs. Pour distinguer les ventes
domestiques d'éventuelles ventes à l'export, on distingue 3 territoires, tant en direct que par distributeur : ventes en
France, ventes en Europe (hors France) et ventes à l'Export (hors Europe).
Le dirigeant prévoit de vendre en moyenne 2000 € HT de chocolats par entreprise cliente. Ces chiffres sont conformes
aux ventes moyennes constatées sur ce segment chez un confrère du fondateur de Choc2Luxe. Il n'est pas prévu que
ce prix de vente augmente sur les 2 années suivantes, à l'exception de l'inflation,dont il n'est pas tenu compte dans ce
prévisionnel.
Le coût de revient unitaire est estimé à 25% du prix de vente HT, soit 500 € HT pour la première année. Ensuite, le
dirigeant prévoit d'améliorer chaque année ses coûts directs de 2% (passage de 25% à 23% puis à 21% du prix de
vente) par rapport à la première année, ce qui amènerait ces coûts directs unitaires à 460 € HT la 2ème année puis 420
€ HT la 3ème année. Ces coûts directs concernent le coût des matières premières nécessaires pour fabriquer des
chocolats et des pralinés, ainsi que l'emballage. Il n'est en revanche pas prévu de verser des redevances à des tiers, ni
de supporter des coûts additionnels comme des frais d'expédition, qui seront refacturés le cas échéant aux clients à
leur coût réel.
Les coefficients "Coeff. coût" et "Coeff. prix" permettent de tester la sensibilité du modèle à d'éventuelles variations du
prix de vente et du coût de revient. Par exemple, un coefficient prix de 1,1 serait équivalent à une augmentation de
10% du prix de vente. Ces coefficients permettent de tester aisément des variations de prix et de coûts mais, à défaut,
il peuvent rester à 1.
Les prévisions de ventes en volume sont de 100 unités par an pour la première année. Ces ventes sont prévues pour
être intégralement réalisées en France et en direct, auprès de grandes entreprises désireuses de d'offrir des cadeaux
d'affaires originaux à leurs contacts "VIP". Ces prévisions passent à 160 unités pour la 2ème année. Enfin, les
prévisions de l'année 3 sont de 180 unités. Ces ventes seront essentiellement réalisées en France et en direct, aucune
vente à l'export ni de vente indirecte n'étant prévue par le fondateur de Choc2Luxe.
Comme déjà mentionné, ces prévisions ne tiennent pas compte de ventes à l'export ni de vente indirectes via un
réseau de distributeurs. Le chiffre d'affaires prévisionnel de la première année s'établit par conséquent à 200 000 €
(200 k€) la première année, pour un total de 100 ventes sur ce segment : cf. synthèse au début du document. Le coût
de revient des produits vendus étant de 25%, soit 50 k€, la marge brute prévisionnelle est donc de 150 k€ pour le
prochain exercice.
Pour l'exercice suivant, le CA prévisionnel sur ce segment "vente aux entreprises" est de 320 k€ et la marge brute est
de 246 k€, soit 77% du CA. Enfin, le chiffre d'affaires prévisionnel du 3ème exercice est de 360 k€ et la marge brute
prévisionnelle est de 284 k€, soit 79% du CA.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018 %An 1 %An 3
Chiffre d'affaires (k€) 515 740 850 100% 100%
. Ventes en France 515 740 850 100% 100%
. Ventes à l'Export 0 0 0 0% 0%
. CA réalisé en direct 515 740 850 100% 100%
. CA indirect (via distributeurs) 0 0 0 0% 0%
Coût de revient direct des produits vendus 129 179 198 25% 23%
Marge Brute (k€) 386 561 652 75% 77%
Marge brute (%) 75% 76% 77%
Ventes par segment 2016 2017 2018 %An 1 %An 3
...
Ventes de chocolats aux particuliers 315,0 420 490 61% 58%
Ventes de chocolats aux entreprises 200,0 320 360 39% 42%
0,0 0 0 0% 0%
0,0 0 0 0% 0%
0,0 0 0 0% 0%
...
-> Total du CA (k€) 515 740 850 100% 100%
Marge brute par segment 2016 2017 2018 %An 1 %An 3
...
Ventes de chocolats aux particuliers 236,3 315 368 61% 56%
Ventes de chocolats aux entreprises 150,0 246 284 39% 44%
0,0 0 0 0% 0%
0,0 0 0 0% 0%
0,0 0 0 0% 0%
...
-> Marge brute totale (k€) 386 561 652 75% 77%
Quantités 2016 2017 2018
Ventes de chocolats aux particuliers 9 000 12 000 14 000
Ventes de chocolats aux entreprises 100 160 180
0 0 0
0 0 0
0 0 0
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015NetPME . . .
Récapitulation du Chiffre d'Affaires
Ce tableau résume les prévisions de vente de chocolats de luxe tant auprès des particuliers que des entreprises. Les chiffres
ci-dessus résument les prévisions globales de chiffre d'affaires, de coûts directs et de marge brute sur 3 ans.
Cette synthèse distingue en outre les ventes domestiques (en France) des ventes à l'export. Elle distingue enfin les ventes
réalisées en direct de celles réalisées par distributeur.
Le CA prévisionnel du premier exercice est de 515 k€ HT et la marge brute s'établit à 386 k€, soit 75% du CA, après
déduction du coût de revient des produits vendus (129 k€).
Pour le second exercice, le CA prévisionnel est de 740 k€ HT et la marge brute s'établit à 561 k€, soit 76% du CA, après
déduction du coût de revient des produits vendus (179 k€).
Enfin, le CA prévisionnel du 3ème exercice est de 850 k€ HT, avec une marge brute de à 652 k€ (77% du CA), après
déduction du coût de revient des produits vendus (198 k€).
Les tableaux suivants reprennent les ventes annuelles par segment : ventes de chocolats aux particuliers et ventes de
chocolats aux entreprises.
Idem pour les marges par segments, ainsi que pour les quantités annuelles vendues.
Ces tableaux de synthèse permettent de voir que, si la croissance globale du chiffre d'affaires est relativement élevée (+65%
entre la première et la 3ème année), la part relative des ventes aux particuliers et celle des ventes aux entreprises demeure
relativement similaire, puisque la part prévisionnelle des ventes aux entreprises passerait de 39% à 42%, soit grosso modo
2/5è du CA total de Choc2Luxe.
En revanche, la contribution du segment "entreprises" à la marge brute globale progresse un peu plus sensiblement, de 39%
à 44%, du fait de nos hypothèses d'amélioration de la marge sur ce segment.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
CA prévisionnel (k€) : 515 740 850
Marge brute (k€) : 386 561 652
Effectifs de l'entreprise 2016 2017 2018 2016 2017 2018
… 0,0 0,0 0,0 2,0 2,1 2,1
Artisans chocolatiers 2,0 2,0 2,0 2,0 2,1 2,1
Apprentis chocolatiers 2,0 2,0 2,0 1,4 1,4 1,5
Equipe de vente 2,0 3,0 3,0 2,3 2,4 2,4
Equipe marketing 0,5 1,0 1,0 2,3 2,4 2,4
Cadres administratifs 0,0 0,0 0,0 2,0 2,1 2,1
Assistant(e)s et autres collaborateurs 0,0 0,5 1,0 1,8 1,9 1,9
Equipe de direction 0,5 1,0 1,0 2,5 2,6 2,7
EFFECTIFS TOTAUX 7,0 9,5 10,0
Nombre d'embauches 7,0 2,5 0,5
Masse salariale annuelle 2016 2017 2018 % charges
… 0 0 0 45%
Artisans chocolatiers 70 72 74 45%
Apprentis chocolatiers 49 50 52 45%
Equipe de vente 80 124 127 45%
Equipe marketing 20 41 42 45%
Cadres administratifs 0 0 0 45%
Assistant(e)s et autres collaborateurs 0 16 33 45%
Equipe de direction 22 45 46 45%
Sous-total (masse salariale, hors intéressement) : 240 348 375
Intéressement (% de la masse salariale) : 0,0% 0,0% 0,0%
=> Intéressement (ensemble du personnel) : 0 0 0
Intéressement spécifique, en k€ : 0 0 0
Sous-total (intéressement, charges comprises) : 0 0 0
MASSE SALARIALE TOTALE (k€) : 240 348 375
Imputations par grandes fonctions (hors augmentations et intéressement) % n+2
- Fonction R & D 0 0 0 0%
- Fonction production 118 122 126 33%
- Fonction commerciale 100 165 170 45%
- Fonction administrative 22 61 79 21%
NB : Il s'agit de rémunérations moyennes par catégorie de personnel
- Salaires = versés sur : 12 mois
- Premier exercice = sur : 12 mois
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 NetPME . . .
Salaires bruts
mensuels (k€)
Effectifs & Rémunérations
Le fondateur de Choc2Luxe prévoit d'embaucher les profils suivants dès la création de l'entreprise : 2 artisans
chocolatiers, payés 2000 € brut par mois (2 k€), 2 apprentis payés 1,4 k€ brut par mois, ainsi que 2 vendeurs, payés
2,3 k€ brut/mois. Ces effectifs ne devraient pas varier les deux années suivantes.
Pour ne pas peser d'emblée sur la trésorerie de l'entreprise, le dirigeant prévoit de se rémunérer à mi-temps sur la
base d'un salaire brut mensuel plein temps de 2,5 k€. Il apparaît donc à 0,5 en équivalent temps-plein annuel la
première année puis à 1 les deux années suivantes.
L'entrepreneur prévoit également d'embaucher un profil marketing au bout de six mois d'activité, rémunéré sur une
base mensuelle de 2,3 k€ brut. Il apparaît donc à 0,5 en équivalent temps-plein la première année, puis à 1 les deux
années suivantes. L'entreprise comptera par conséquent 7 salariés en équivalent temps-plein la première année et
ses effectifs seront réels seront de 8 personnes à la fin de l'année.
La 2ème année, le dirigeant prévoit l'embauche d'un 3ème vendeur dès le début de l'exercice ainsi qu'une assistante
administrative 6 mois plus tard, sur une base brute mensuelle de 1,8 k€. Cette dernière apparaît donc à 0,5 en
équivalent temps-plein sur l'année puis à 1 par la suite. A la fin de cette année, les effectifs de Choc2Luxe seront par
conséquent de 10 personnes (9,5 en équivalent temps-plein) et demeureront à 10 pour l'année 3.
Il est prévu que ces différentes rémunérations brutes mensuelles augmentent de 3% chaque année.
En multipliant ces salaires bruts mensuels par 12 et en rajoutant 45% de charges patronales (définies dans les
paramètres initiaux), la masse salariale de l'entreprise est de 240 k€ la première année.
Compte tenu des nouvelles embauches et des augmentations de salaires, cette masse salariale passe à 348 k€ la
seconde année et à 375 ke la 3ème année.
Le dirigeant ne prévoit pas de verser de primes spécifiques ou de mettre en place des mécanismes d'intéressement
pour ces trois premières années.
Le tableau "Imputation par grandes fonctions" indique le coût respectif des effectifs de productions, des effectifs
commerciaux et des effectifs administratifs de l'entreprise (dirigeant inclus). Il n'est pas prévu de profil de type R&D
(Recherche et Développement), même si la création de nouveaux chocolats pourrait être assimilée à une telle
pratique !
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018
Rappel des effectifs 7,0 9,5 10,0
CA prévisionnel (k€) 515 740 850
. Terrains 0 0 0 n.a.
. Fonds de commerce et droit au bail 75 0 0 n.a.
. Bâtiments, travaux et aménagements 48 10 10 10
. Frais d'établissement 4 0 0 5
. Brevets, marques, dessins & modèles 2 2 2 20
. Autres frais de R&D (part immobilisée) 0 0 0 4
. Autres immobilisations incorporelles 0 0 0 4
. Matériels et outillages spécifiques 25 5 6 5
. Mobilier et matériel de bureau 4 1 0 5
. Matériel informatique et logiciels 7 3 1 3
. Véhicules 0 0 0 5
. Autres immobilisations corporelles 0 0 0 4
. Immobilisations financières 0 0 0 n.a.
TOTAL GENERAL : 165 21 19
... Immobilisations nettes antérieures : 0 k€ ... Reliquat d'amortissements antérieurs : 0 0 0
Total dotations aux amortissements 14 17 19
(Immobilisations nettes en fin d'exercice) 151 155 154
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015NetPME . . .
***. Terrains 0 0 0. Bâtiments, travaux et aménagements 5 6 7. Frais d'établissement 1 1 1. Brevets, marques, dessins & modèles 0 0 0. Autres frais de R&D (part immobilisée) 0 0 0. Autres immobilisations incorporelles 0 0 0. Matériels et outillages spécifiques 5 6 7. Mobilier et matériel de bureau 1 1 1. Matériel informatique et logiciels 2 3 3. Véhicules 0 0 0. Autres immobilisations corporelles 0 0 0***TOTAL GENERAL : 14 17 19***
Durée
d'amortissement
linéaire (années)
Tableau d'investissements
Pour démarrer son activité, le dirigeant prévoit d'acheter un fonds de commerce pour un montant de 75
k€ HT (montant non amortissable) et de réaliser pour 48 k€ de travaux et d'aménagements du
laboratoire et de l'espace de vente. 10 k€ de travaux annuels sont prévus les deux années suivantes.
Ces travaux d'agencement sont amortis de manière linéaire sur une durée de 10 ans.
Les frais d'établissement (constitution administrative de l'entreprise) sont par ailleurs estimés à 4 k€. Ils
sont amortis sur 5 ans.
Les coûts initiaux de dépôt de marques et de modèles sont estimés à 2 k€ par an. Ils sont amortis sur
une durée de 20 ans (voire non amortis si l'exploitation des marques en question est prévue au-delà de
cette durée).
Au total, les investissements prévus sont de 160 k€ pour la 1ère année, de 25 k€ pour la seconde
année et de 20 k€ pour la 3ème année.
Les dotations aux amortissements applicables à ces différents investissements sont de 12 k€ la
première année, de 17 k€ l'année suivante et de 19 k€ pour la 3ème année. Ces dotations aux
amortissements résultent de la prise en compte de l'amortissement linéaire des différents postes
d'immobilisations amortissables. Par exemple, les 25 k€ d'investissements en matériels et outillages
sont amortis sur 5 ans et donnent par conséquent lieu à une dotation annuelle aux amortissements de 5
k€.
Les immobilisations nettes en fin d'exercice sont constituées du total des investissements en début
d'exercice et des nouveaux investissements de l'année, diminué des dotations aux amortissements de
l'exercice. Ces immobilisations nettes se retrouveront dans le bilan simplifié de Choc2Luxe.
Le créateur de Choc2Luxe prévoit en outre d'acquérir pour 25 k€ de matériel et d'équipements
nécessaires à l'exploitation de sa chocolaterie puis 5 k€ la seconde année et 6 k€ la 3ème. Ces
investissements sont amortis sur 5 ans.
Compte tenu des hypothèses formulées dans l'onglet "Paramètres", il est par ailleurs prévu 4 k€
d'investissements en mobilier et en matériel de bureau (puis 1 k€ l'année suivante) et 7 k€ en
équipement informatique et en logiciels (puis 3 k€ puis 1 k€ les deux années suivantes) nécessaires à la
bonne marche de l'entreprise.
Il n'est en revanche pas prévu d'acquérir de véhicules ou d'autres immobilisations corporelles, les
éventuels déplacements des salariés et du dirigeant de l'entreprise étant remboursés sur la base des
frais kilométriques réels (cf. charges externes).
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018
Rappel des effectifs : 7,0 9,5 10,0
CA prévisionnel (k€) : 515 740 850
. Locations immobilières 18 24 26
. Frais postaux et télécommunications 7 10 10
. Achats de consommables 4 5 5
. Etudes & documentations 2 3 3
. Assurances spécifiques 3 4 4
Sous-Total : 33 45 48
. Loyers de crédit-bail mobilier 0 0 0
. Loyer de crédit-bail immobilier 0 0 0
. Maintenance et réparations 2 2 2
Sous-Total : 2 2 2
. Honoraires, conseil 4 5 6
. Personnel extérieur, sous-traitance de R&D… 0 0 0
Sous-Total : 4 5 6
. Redevances à verser sur brevets 0 0 0
. Redevances à verser sur marques 0 0 0
Sous-Total : 0 0 0
. Voyages et déplacements 14 19 20
. Missions et réceptions 7 10 10
Sous-Total : 21 29 30
. Conception / création 0 0 0
. Publicité, communication générale 25 35 45
. Salons professionnels 10 15 20
. Frais techniques, hébergement Web 0 0 0
. Promotion / PLV 0 0 0
Sous-Total : 35 50 65
. Recrutement et formation du personnel 5 7 7
. Autres charges 0 2 2
Sous-Total : 5 9 9
TOTAL (k€) : 100 140 160
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015
Charges Externes
Après les prévisions de ventes, le plan d'embauche et le tableau d'investissement, il ne reste plus
qu'à compléter les prévisions de charges externes… avant d'attaquer le plan de financement !
Le fondateur de Choc2Luxe conserve en première analyse les coûts proportionnels indiqués
dans l'onglet "Paramètres" pour les frais de location immobilière, les frais postaux et de
télécommunication, les achats de consommables, les études et documentations et les frais
d'assurances.
Au total, ces cinq postes de charges sont évalués à 33 k€ HT la première année, à 45 k€ la
seconde année et à 48 k€ l'année suivante.
Le dirigeant prévoit également 2 k€ de maintenance et de réparations chaque année. Il prévoit
enfin de consacrer 4 k€ puis 5 k€ puis 6 k€ pour les honoraires de son Expert Comptable et de
différents conseils juridiques et financiers plus ponctuels.
Le fondateur de Choc2Luxe conserve également en première analyse les coûts proportionnels
indiqués dans l'onglet "Paramètres" pour les postes "Voyages et déplacements" et "Missions et
réceptions", qui sont évalués à 21 k€ HT la première année, à 29 k€ la seconde année et à 30 k€
l'année suivante.
Les dépenses prévisionnelles en matière d'actions commerciales et marketing (en complément
des dépenses de personnels liées à ces fonctions) résultent d'un plan marketing établi par le
dirigeant et ses associés. En résumé, ce plan marketing table sur un budget de 35 k€ la première
année : 25 k€ de dépenses publicitaires diverses et 10 k€ de salons professionnels. Ce budget
passe à 50 k€ l'année suivante : 35 k€ de dépenses publicitaires diverses et 15 k€ de salons
professionnels. Enfin, il est prévu à 65 k€ la 3ème année : 45 k€ de dépenses publicitaires
diverses et 20 k€ de salons professionnels. [ cf. module "Plan Marketing", disponible sur
www.NetPME.fr ].
Les frais de recrutement et de formation du personnel sont évalués à 2% de la masse salariale,
comme indiqué dans l'onglet "Paramètres". Enfin le dirigeant prévoit 2 k€ de "dépenses diverses"
(imprévus) à partir de la 2ème année.
Au total, les prévisions de charges externes sont par conséquent de 100 k€ HT la première
année, de 140 k€ la suivante et de 160 k€ pour la 3ème année.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018
CHIFFRE D'AFFAIRES TOTAL (HT) 515 740 850
. dont ventes à l'exportation 0 0 0
+ Production immobilisée 0 0 0
+ Production stockée 13 5 2
A. TOTAL DES PRODUITS D'EXPLOITATION 528 745 852
% 100,0% 100,0% 100,0%
Achats de matières et marchandises 129 179 198
- Variations de stock mat. & marchandises (SF-SI) 13 5 2
+ Autres achats et charges externes 100 140 160
B. TOTAL CONSO. EN PROVENANCE DES TIERS 242 323 361
% 45,8% 43,4% 42,3%
C. VALEUR AJOUTEE (A-B) 286 422 491
% 54,2% 56,6% 57,7%
- Impôts et taxes 14 21 25
- Charges de personnel 240 348 375
D. EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION 32 53 92
% 6,0% 7,1% 10,8%
- Dotation aux amortissements 14 17 19
- Dotation aux provisions 0 0 0
+ Subventions et autres produits d'exploitation 0 0 0
- Autres charges d'exploitation 0 0 0
E. RESULTAT D'EXPLOITATION 18 36 73
% 3,4% 4,8% 8,5%
+ Produits financiers 0 0 0
- Charges financières 5 4 3
F. RESULTAT COURANT AVANT IMPÔTS 13 32 70
% 2,4% 4,3% 8,2%
+ Produits exceptionnels 0 0 0
- Charges exceptionnelles 0 0 0
- Participation des salariés 0 0 0
- Impôts sur les bénéfices 4 11 23
+ Crédits d'impôts 0 0 0
G. RESULTAT DE L'EXERCICE 9 21 46
% 1,6% 2,8% 5,4%
EFFECTIFS 7,0 9,5 10,0
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (MBA) 22 38 66
% 4,2% 5,1% 7,7%
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 NetPME . . .
Compte de résultats
prévisionnels
Les différentes hypothèses énoncées au fur et à mesure de nos prévisions d'activité permettent
d'aboutir à un compte de résultats prévisionnels sur 3 ans, qui reprend les totaux des onglets
précédents : chiffre d'affaires [CA_total], production stockée (en fonction de nos hypothèses de
stocks et d'encours), achats de matières premières et de marchandises, variation de stocks (qui
neutralisent l'impact de la production stockée), achats et charges externes [Ch_Ext]. Le total des
produits d'exploitation diminué des consommations en provenance des tiers permet de calculer la
valeur ajoutée, qui est littéralement la valeur que l'entreprise ajoute à ses ventes... et qui permet
notamment de payer les salaires et doit en temps normal aboutir à un résultat d'exploitation positif.
Les impôts et taxes ont été évaluées forfaitairement à 5% de la valeur ajoutée dans l'onglet
"Paramètres". Les charges de personnel ont été calculées dans l'onget "Effectifs". Les dotations aux
amortissements sont pour leur part calculées dans l'onget "Invest".
Ces différents montants permettent de calculer le résultat d'exploitation prévisionnel de Choc2Luxe,
qui est positif dès la première année : +18 k€, soit 3,4% des produits d'exploitation. Ce résultat
d'exploitation passe à +36k€ la 2ème année (4,8% des produits d'exploitation) et à +73 k€ la 3ème
année (8,5%).
Pour parvenir au résultat net après impôts, il convient de rajouter au résultat d'exploitation le résultat
financier, le résultat exceptionnel, les éventuels impôts et crédits d'impôts ainsi que la participation
des salariés. A noter qu'en cas d'octroi de subventions d'exploitation, qui seraient intégrées comme
ressources additionnelles dans le plan de financement (cf. onglet "PlanFi"), le résultat d'exploitation
de Choc2Luxe serait augmenté d'autant.
Dans le cas présent, il convient juste de répercuter l'incidence des charges financières relatives à un
emprunt bancaire de 75 k€, (cf. onglet "PlanFi") souscrit au taux annuel de 7% (cf. onglet
"Paramètres") pour une période de 5 ans, avec remboursement chaque année d'un cinquième du
montant principal, soit 15 k€. Les charges financières sont donc de 5,25 k€ la première année
(arrondies à 5 k€ dans ce tableau), puis 4 k€ puis 3k€ (valeurs arrondies).
Pour parvenir au résultat net après impôts, il convient de retrancher l'impôt sur les sociétés du résultat
courant avant impôts de Choc2Luxe. Ce résultat prévisionnel étant bénéficiaire dès la première
année, l'I.S. (impôt sur les sociétés) serait de 33,3% (cf. onglet "Params"). Au final, compte tenu de
ces différents hypothèses, le résultat net prévisionnel de Choc2Luxe serait donc de 9 k€ la première
année, de 21 k€ la seconde année et de 46 k€ la 3ème.
La marge brute d'autofinancement (MBA) ou capacité d'autofinancement s'obtient en rajoutant les
dotations aux amortissements et les éventuelles dotations aux provisions au résultat net après impôts.
Ces dotations ne correspondent en effet pas à des flux financiers alors que la MBA permet d'apprécier
la capacité qu'a l'entreprise de générer des ressources... ou d'en consommer si cette MBA est
négative ! Nous retrouverons cette MBA dans l'onglet "PlanFi" en tant que ressource si elle est
positive ou en tant que besoin (à financer) si elle est négative.
Au final, la marge brute d'autofinancement (MBA) prévisionnelle de Choc2Luxe serait donc de 22 k€
la première année, de 38 k€ la seconde année et de 66 k€ la 3ème.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
BESOINS (en k€) 2016 2017 2018
Investissements 165 21 19
Dividendes 0 0 0
MBA (si < 0) 0 0 0
Besoin en fonds de roulement (variation BFR) 19 17 6
Remboursements d'emprunts bancaires 15 15 15
Remboursements d'avances publiques 0 0 0
TOTAL DES BESOINS 199 53 40
RESSOURCES (en k€) 2 016 2 017 2 018
Apports successifs en capital 125 0 0
Apports en compte courant 0 0 0
MBA (si >0) ; corrigée des aides ci-dessous 22 38 66
Subventions (hors avances remboursables) 0 0 0
Autres aides assimilables à des subventions 0 0 0
Avances remboursables 0 0 0
Emprunts à long et moyen terme 75 0 0
Cession d'actifs 0 0 0
TOTAL DES RESSOURCES 222 38 66
SOLDE ANNUEL 23 -15 26
TRESORERIE (Cumul incluant solde initial) 23 9 35
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 NetPME . . .
Chiffre d'affaires exercice n-1 : 0 k€
Solde de trésorerie initial : 0 k€
TABLEAU DE FLUX 2 016 2 017 2 018
Résultat net : 9 21 46
+ Dotation aux amortissements
et dépréciations sur actifs immobilisés14 17 19
+/- Plus ou moins-values de cessions d'actifs 0 0 0
= MBA (Marge Brute d'Autofinancement) 22 38 66
- Variation du BFR 19 17 6
= Flux de trésorerie d'exploitation 3 21 60
- Acquisitions d'immobilisations 165 21 19
+ Cessions d'immobilisations 0 0 0
= Flux d'investissements -165 -21 -19
+ Augmentation(s) de capital 125 0 0
+ Apports en compte courant 0 0 0
+ Nouveaux emprunts et avances 75 0 0
- Distribution de dividendes 0 0 0
- Remboursements d'emprunts et d'avances 15 15 15
= Flux liés aux opérations de financement 185 -15 -15
Variation de trésorerie 23 -15 26
TRESORERIE (Cumul incluant solde initial) 23 9 35
Solde de trésorerie initial : 0 k€
Plan de Financement
Le plan de financement est LE tableau principal de ces comptes prévisionnels. Il récapitule en effet
les besoins financiers de l'entreprise et les ressources qui permettent de couvrir ces besoins.
Dans notre exemple, les besoins prévisionnels de Choc2Luxe sont au nombre de trois. Il s'agit tout
d'abord des investissements requis pour le démarrage et pour le développement de l'entreprise,
détaillés dans l'onglet "Invest". Il s'agit ensuite de la variation du besoin en fonds de roulement, qui
concerne essentiellement la variation du niveau des stocks, des délais de règlement clients et des
délais de règlement fournisseurs, ajustés des décalages de règlement des dettes fiscales et
sociales (TVA et charges sociales). Le BFR annuel et sa variation d'une année sur l'autre (qui
permet d'alimenter les cellules ci-dessus) sont calculés dans l'onget "BFR".
Le troisième besoin financier de Choc2Luxe est lié au remboursement des emprunts bancaires, à
raison d'un cinquième des 75 k€ d'emprunts à long et moyen terme contractés dès la première
année : le remboursement du "principal" s'effectue par conséquent à hauteur de 15 k€ par an et
les charges financières annuelles se calculent sur le montant net restant à rembourser (cf. onglet
"CRst").
Le fondateur de Choc2Luxe ne comptant pas recevoir d'avances publiques (avances
remboursables à taux zéro), il n'y a pas lieu de prévoir des remboursements sur de telles avances.
Enfin, le dirigeant ne prévoit pas de verser de dividendes pendant les 3 premières années, du fait
de la trésorerie relativement tendue de Choc2Luxe...
Compte tenu de ces divers éléments, les besoins financiers de Choc2Luxe sont de 199 k€ la
première année, de 53 k€ la seconde année et de 40 k€ la 3ème année.
La marge brute d'autofinancement de l'entreprise ne permet pas de couvrir à elle seule ces
besoins les deux premières années.
Dans le cas présent, le fondateur de Choc2Luxe et ses associés ont réuni 125 k€ pour créer une
SARL au capital social du même montant. Sur la base d'un "business plan" (plan de
développement) étayé par ces différents tableaux de prévisions financières, ils ont obtenu l'accord
de leur banque et d'Oséo pour un prêt de 75 k€ sur 5 ans, pour financer l'acquisition du fonds de
commerce.
Par sécurité, le fondateur de Choc2Luxe ne compte pas sur des subventions ou sur des avances
remboursables pour équilibrer le plan de financement de l'entreprise.
Au total, les ressources annuelles de Choc2Luxe sont de 222 k€ la première année, de 38 k€ la
seconde année et de 66 k€ la 3ème année. C'est donc seulement à partir de la 3ème année que
l'entreprise couvrirait ses besoins financiers à l'aide de sa seule marge brute d'autofinancement.
La trésorerie annuelle résulte du solde initial et du solde annuel des besoins et des ressources. Elle
est de +23 k€ la première année, de +9 k€ la seconde année et de +35 k€ la 3ème année. Ce
solde est par conséquent toujours positif mais demeure relativement modeste et à la merci de
variations de trésorerie mensuelles qui pourraient nécessiter un matelas de trésorerie plus
important.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
ACTIF Initial 2016 2017 2018
Immobilisations nettes 0 151 155 154
Stocks et encours 0 13 18 20
Clients et autres créances 0 38 55 63
Comptes financiers (disponible) 0 23 9 35
Total : 0 225 236 271
PASSIF Initial 2016 2017 2018
Capital 0 125 125 125
Résultat de l'exercice cf. report 9 21 46
Report à nouveau (après déduction des dividendes) 0 0 9 30
Emprunts et dettes financières 0 60 45 30
Dettes fournisseurs 0 19 17 19
Dettes fiscales et sociales en fin d'exercice 0 12 19 21
Autres dettes & compte de régularisation 0 0 0 0
Total : 0 225 236 271
Fonds propres : 0 134 155 201
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 NetPME . . .
Bilans prévisionnels
Ces bilans prévisionnels constituent une séries de « photographies » du patrimoine de Choc2Luxe, afin de
donner une image fidèle de la valeur et du résultat comptable de l'entreprise. S'agissant d'une création ex-
nihilo (même s'il y a eu rachat d'un fonds de commerce préexistant), le bilan initial est à zéro, comme
indiqué dans l'onget "Paramètres". Le passif du bilan détaille les ressources de l'entreprise (capital social,
résultat et réserves, emprunts et autres dettes), tandis que l'actif présente ce que l'entreprise possède :
bâtiments, matériel, stocks et encours, créances et valeurs mobilières de placement...
Les principaux postes de ce bilan simplifié sont issus des tableaux que nous avons complété au fur et à
mesure. Ainsi, les immobilisations nettes sont issues de l'onget "Invest". Les stocks et encours, le compte
"Clients et autres créances", les dettes fournisseurs et les dettes fiscales et sociales en fin d'exercice sont
issus de l'onget "BFR". Le capital social ainsi que l'évolution du poste "emprunts et dettes financières"
sont issus du plan de financement (onglet "PlanFi"). Le résultat de l'exercice et le report à nouveau sont
issus de l'onglet "CRst" (Compte de Résultats), déduction faite d'éventuels versements de dividendes
prévus dans le plan de financement. Enfin les comptes financiers ou le "Disponible" sont équivalents à
l'Excédent de Trésorerie d'Exploitation de l'onglet "PlanFi". Par construction, le passif net du bilan est
chaque année égal à l'actif net.
Les fonds propres de Choc2Luxe sont constitués du capital social, du résultat de l'exercice et des
réserves. Ces fonds propres sont de 134 k€ la première année, de 155 k€ pour le 2ème exercice et de
201 k€ pour la 3ème année.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018
CHIFFRE D'AFFAIRES (k€) 515 740 850
Taux de croissance du CA 0% 44% 15%
. dont export 0 0 0
. % CA export 0% 0% 0%
Coût de revient 129 179 198
Coût de revient / CA 25,0% 24,1% 23,3%
Marge brute (%) 75,0% 75,9% 76,7%
Effectifs 7,0 9,5 10,0
CA / Effectifs (k€) 74 78 85
Masse salariale (charges de personnel) 240 348 375
Masse salariale / CA 47% 47% 44%
Investissements 165 21 19
Investissements / CA 31,9% 2,8% 2,2%
Amortissements 14 17 19
Charges externes 100 140 160
. dont publicité & promotion 35 50 65
. Budget publi-promotionnel / CA 6,8% 6,8% 7,6%
Valeur ajoutée 286 422 491
Valeur ajoutée / CA 56% 57% 58%
Excédent brut d'exploitation (EBE) 32 53 92
EBE / CA 6,2% 7,2% 10,8%
Résultat net 9 21 46
Résultat net / CA 1,7% 2,9% 5,5%
MBA 22 38 66
MBA / CA 4,3% 5,2% 7,7%
Trésorerie en fin d'exercice 23 9 35
Capitaux propres initiaux (k€) 0 .... ....
Apports en capitaux 125 0 0
Capitaux propres en fin d'exercice 134 155 201
Rentabilité financière 7% 16% 30%
Capitaux propres / total du bilan (%) 59% 66% 74%
Dettes à LMT 60 45 30
Dettes à LMT / capitaux propres (%) 45% 29% 15%
MBA / Dettes à LMT (%) 37% 85% 219%
Frais financiers / EBE (%) 16,5% 7,9% 3,4%
BFR / CA HT x 365 (rotation du BFR) 14 18 18
BizPrev / (c) E. Krieger, 2009-2015 NetPME . . .
CA 515 740 850Résultat 9 21 46Trésorerie 23 9 35CA 515 740 850Point mort 484 680 731Coût de revient 129 179 198Charges externes 100 140 160Masse salariale 240 348 375Autres charges 38 53 70Résultat net 9 21 46Ventes de chocolats aux particuliers
315 420 490Ventes de chocolats aux entreprises
200 320 360
0 0 0
0 0 0
0 0 0MBA + 22 38 66MBA- (besoin) 0 0 0Investissements 165 21 19Variation BFR 19 17 6Rembt. emprunts 15 15 15Rembt. avances 0 0 0
Synthèse & Ratios financiers
Ce tableau de synthèse résume les principales hypothèses de notre prévisionnel : chiffre d'affaires,
marge brute, valeur ajoutée, excédent brut d'exploitation, résultat net et marge brute
d'autofinancement.
Il résume également les investissements prévus, ainsi que les prévisions en matière de charges
externes, d'effectifs et de masse salariale.
Plusieurs ratios permettent également de se faire une idée des hypothèses de croissance et de
marges, notamment le taux de croissance du CA (qui est de +44% entre la première et la 2ème
année, puis de +15% entre la 2ème et la 3ème année) et le chiffre d'affaires par employé, qui
passe de 74 k€ HT la première année à 85 k€ la 3ème année.
Il est également utile de rapprocher ces ratios avec les standards du secteur, notamment le CA
moyen par employé (ratio d'efficacité) ou les dépenses publi-promotionnelles rapportées au chiffre
d'affaires. Idem pour la valeur ajoutée, l'EBE et le résultat net rapporté au chiffre d'affaires, encore
appelé "marge nette".
Dans le cas présent, on peut notamment se demander si la croissance du chiffre d'affaires entre le
premier et le second exercice n'est pas trop optimiste, même si l'entreprise consacre près de 7%
de son CA à des actions publi-promotionnelle et emploie un responsable marketing à plein temps à
partir de la 2ème année.
Ce tableau de synthèse fait enfin apparaître une série de ratios financiers usuels, comme la
rentabilité financière (résultat net / capitaux propres), les capitaux propres rapportés au total du
bilan ou encore le ratio dettes / capitaux propres. Ce dernier ratio, encore appelé ratio
d'endettement ou "gearing", ne doit généralemement pas dépasser 50%, même si des taux
d'intérêt faibles peuvent permettre de bénéficier d'un retour sur investissement supérieur au coût de
l'emprunt.
Le ratio MBA / Dettes à LMT permet d'apprécier la capacité de l'entreprise à rembourser sa dette à
long et moyen terme grâce à son autofinancement, sans contracter de nouveaux emprunts, ce qui
est possible dès que ce taux dépasse 100%.
Le ratio "Frais financiers / EBE" mesure le degré de couverture des frais financiers par l'excédent
brut d'exploitation. Enfin, le ratio "BFR / CA HT x 365" mesure la rotation du BFR ou encore le
besoin en fonds de roulement total exprimé en jours de chiffre d'affaires HT.
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
0
100
200
300
400
500
600
1 2 3
Analyse des ventesSales Analysis
Ventes de chocolats aux particuliers
Ventes de chocolats aux entreprises
Résultat
515
740
850
921
46
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
1 2 3
Evolution du CA et du résultatRevenues and Profit
CA Résultat Trésorerie en fin d'exercice
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
1 2 3
Structure des coûtsCost structure Analysis
Autres charges
Masse salariale
Charges externes
Coût de revient
Résultat
22
38
66
0
50
100
150
200
250
1 2 3
Analyse des besoins & couverture par la MBAAnalysis of financial needs vs. annual Cash Flow
Rembt. avances
Rembt. emprunts
Variation BFR
MBA- (besoin)
Investissements
MBA +
Choc2Luxe / 10 mai 2016
2016 2017 2018
CLIENTS
Rappel du Chiffre d'Affaires HT (k€) 515 740 850
.dont export (hors TVA) 0 0 0
--> Chiffre d'Affaires TTC 616 885 1 017
% jours
. dont x% encaissés à y jours --> besoin = 0 0 0 50 % 0
. dont x% encaissés à y jours --> besoin = 13 18 21 25 % 30
. dont x% encaissés à y jours --> besoin = 25 36 42 25 % 60
. dont x% encaissés à y jours --> besoin = 0 0 0 0 % 90
. dont x% encaissés à y jours --> besoin = 0 0 0 0 % 120
--> Total "BFR clients" (+) 38 55 63
Poste clients initial : 0
STOCKS
(Valeur du stock final)
--> Total du "BFR Stocks" (+) 13 18 20
Stock initial : 0 k€
FOURNISSEURS %An-1 %An-3
Rappel du coût d'achat matières & marchandises HT 129 179 198 33% 53%
Rappel des charges externes HT 100 140 160 25% 43%
Rappel des investissements HT 165 21 19 42% 5%
--> Poste "fournisseurs" TTC 470 405 451
% jours
. dont x % versés à y jours --> ressource = 0 0 0 50 % 0
. dont x % versés à y jours --> ressource = 19 17 19 50 % 30
. dont x % versés à y jours --> ressource = 0 0 0 0 % 60
. dont x % versés à y jours --> ressource = 0 0 0 0 % 90
. dont x % versés à y jours --> ressource = 0 0 0 0 % 120
--> Total "BFR fournisseurs" (-) 19 17 19
Poste fournisseurs initial : 0
(hors dettes fiscales & sociales)
BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT 32 56 64
BFR en % du C.A HT 6% 8% 8%
BFR exprimé en jours de CA HT 22 28 27
BFR de l'exercice précédent : 0 KF (hors dettes fiscales & sociales)
--> Variation du BFR 32 24 8
Variation en % du C.A HT 6% 3% 1%
Variation exprimée en jours de CA HT 22 12 4
Paramètre 1 : Taux de la TVA : 19,6 %
TVA annuelle à payer : 24 79 93
Résidu de TVA résultant des décalages : 3 6 7 (L1)
Paramètre 2 : Nombre de mois à provisionner : 1,0 (charges sociales, congés payés…)
Charges sociales annuelles à verser : 108 156 168
Dettes sociales en fin d'exercice 9 13 14 (L2)
Dettes fiscales et sociales en fin d'exercice : 12 19 21
Dettes fiscales et sociales initiales : 0 (exercice précédent)
Variation des dettes fiscales & sociales : 12 7 2
Autres éléments d'ajustement du BFR : 0 k€ (exercice précédent)
Facteurs venant alourdir le BFR annuel : 0 0 0
Facteurs venant alléger le BFR annuel : 0 0 0
Total de ces besoins (ou ressources) : 0 0 0
Variation de ces besoins ou ressources : 0 0 0
BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT ajusté 19 37 43
Variation du BFR (ajustée) 19 17 6
BFR ajusté, exprimé en % du C.A HT 4% 5% 5%
BFR ajusté, exprimé en jours de CA HT 14 18 18
Calcul du BFR
Le besoin en fonds de roulement (BFR) de Choc2Luxe résulte des décalages de flux de trésorerie entre les
décaissements et les encaissements inhérents à l'activité de l'entreprise. Ce tableau calcule le BFR de Choc2Luxe en
fonction des informations saisies dans l'onglet "Paramètres". Les paramètres relatifs aux délais de règlement moyens
des clients et des fournisseurs ainsi qu'au niveau de stock permettent en effet de calculer le besoin en fonds de
roulement annuel de la société, ainsi que sa variation d'une année sur l'autre. Dans le cas présent, nous avons vu que les
délais de règlement clients sont essentiellement liés à la clientèle des grandes entreprises, les particuliers payant leurs
achats au comptant. Le dirigeant de Choc2Luxe prévoit ainsi que 50% du chiffre d'affaires sera encaissé au comptant
(soit 0 jours de délais de paiement), que 25% du CA sera encaissé à 30 jours et les 25% restants à 60 jours. Le BFR
"clients" se calcule sur la base du chiffre d'affaires TTC car ce calcul permet d'estimer avec précision l'argent "qui est
dehors", TVA incluse. Ceci nécessite de distinguer les ventes domestiques (France) des ventes à l'export, qui s'effectuent
hors TVA. Un tel calcul suppose également que les ventes sont relativement égales chaque mois... ce qui n'est pas
toujours le cas, surtout dans le secteur de la chocolaterie, où la majeure partie des ventes intervient à Pâques et lors de
fêtes de fin d'année.
Sur la base de nos différentes hypothèses, le BFR clients de Choc2Luxe est estimé à 38 k€ la première année, à 55 k€
l'année suivante et à 63 k€ pour la 3ème année. Son augmentation est liée à la croissance du CA prévisionnel de
l'entreprise.
Le Besoin en Fonds de Roulement (BFR) de Choc2Luxe, hors décalages de trésorerie liés à la TVA et aux charges
sociales, est par conséquent de 32 k€ la première année, de 56 k€ l'année suivante et de 64 k€ pour la 3ème année. Sa
variation (accroissement ou diminution) d'une année sur l'autre est par conséquent de 32 k€ pour la première année
(puisqu'il n'y avait pas d'année précédente), de 24 k€ la seconde année et de 8 k€ la 3ème année.
Si l'on prend en compte les décalages de flux de trésorerie liés à la TVA et aux charges sociales (1 mois de décalage de
paiement dans notre exemple), le BFR global de Choc2Luxe devient légèrement plus favorable puisque ce "BFR ajusté"
s''établit à 19 k€ la première année, à 37 k€ la seconde année et à 43 k€ la 3ème année. La variation annuelle de ce
BFR ajusté est par conséquent de 19 k€ la première année, de 17 k€ la seconde année et de 6 k€ la 3ème année. C'est
cette variation du BFR qui vient alimenter le plan de financement (cf. onglet "PlanFi"), comme besoin financier
complémentaire. Dans des activités nécessitant des stocks significatifs et où les clients payent tard (cas général des
fournisseurs de la grande distribution ou des hôpitaux publics...), la variation du BFR peut aisément devenir le principal
poste à financer.
Il convient par conséquent d'anticiper les cas où la croissance du BFR serait plus rapide que celle de l'EBE, induisant un
"effet ciseaux" susceptible de faire exploser en plein vol une entreprise pourtant bénéficiaire.
Il est également courant d'exprimer le BFR global d'une entreprise en jours de CA. Ce ratio moyen, encore appelé
"rotation du BFR" est ici de 14 jours la première année et de 18 jours les deux années suivantes.
A la différence de chocolats "bas de gamme", la production de Choc2Luxe est constituée de produits ultra-frais qui
supporteraient mal toute forme de conservation. Nous avions vu que le dirigeant prévoyait uniquement un niveau de
stocks ou d'encours de production à hauteur de 10% de ses ventes annuelles.
Ces stocks étant valorisés à leur coûts d'achat, le BFR liés au stocks de Choc2Luxe est par conséquent de 13 k€ la
première année, de 18 k€ l'année suivante et de 20 k€ pour la 3ème année.
En matière de délais de règlement des fournisseurs, nous avions indiqué dans l'onglet "Paramètres" que l'entrepreneur
prévoyait de les payer au comptant pour 50% des créances et à 30 jours pour les 50% restants. Les fournisseurs de
"Choc2Luxe" sont à la fois les fournisseurs de matières premières et de marchandises nécessaires à la production des
chocolats, mais également les fournisseurs d'investissements et les fournisseurs de charges externes.
Le BFR "fournisseurs" de Choc2Luxe est par conséquent de 19 k€ la première année, de 17 k€ l'année suivante et de
19 k€ pour la 3ème année. Le fait que ce BFR annuel demeure relativement stable en dépit de l'augmentation du CA
prévisionnel de l'entreprise est lié au fait que les investissements initiaux sont, à l'inverse, nettement plus importants que
pour les année 2 et 3. Ceci fait que le poste "fournisseurs" global demeure relativement stable sur 3 ans, entre
croissance des fournisseurs de matières premières et décrue des fournisseurs d'investissements...
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Termes
A*
Actif
Actif économique
Augmentation de capital
Avances remboursables
B*
Besoin en fonds de roulement
BFR
Bénéfice
Bilan
C*
CA
Capacité d'autofinancement
Capital social
Capitaux permanents
Capitaux propres
Cession d'actifs
Charges de personnel
Charges exceptionnelles
Charges d'exploitation
Charges externes
Charges financières
Charges salariales
Charges sociales
Chiffre d'affaires
Clients et autres créances
cf. "Fonds propres" et onglets "Bilan" et "Synthèse", ainsi que le module d'ingénierie financière "IngéFi", disponible sur www.NetPME.fr
Les charges salariales (ou "masse salariale") sont l'ensemble des charges liées aux salariés : salaires, cotisations sociales, intéressement et participation. [cf.
onglets "Effectifs", "CRst" et "Synthèse"].
Le chiffre d'affaires ou CA désigne le montant des affaires réalisées par une entreprise dans le cadre de son exploitation courante. Le CA regroupe l'ensemble
des facturations effectuées. Il est comptabilisé hors taxes (CA HT) dans le compte de résultats de l'entreprise. [cf. onglets "CA_total", "CRst" et "Synthèse"]. Le
chiffres d'affaires constitue également, dans beaucoup de transactions, une base d'évaluation de l'entreprise [cf. module "FastEval", disponible sur
www.NetPME.fr ].
Le poste "Clients et autres créances" est situé à l'actif du bilan. Il est constitué des créances clients et des autres créances non encore payées à l'entreprise.
Contrairement au compte de résultats, où le chiffre d'affaires est comptabilisé hors taxes (HT), puisque la TVA collectée n'appartient pas à l'entreprise, le poste
"clients" est comptabilisé toutes taxes comprises (TTC) afin d'indiquer le montant total des facturations non encore encaissées. Le poste "clients" est un élément
essentiel du besoin en fonds de roulement (BFR), car il mesure l'argent "qui est dehors". Si les délais de règlement moyens des clients sont très importants (par
exemple supérieurs à 60 jours, ce poste "clients" est susceptible de gonfler rapidement et peser sur la trésorerie de l'entreprise. Le poste "clients et autres
créances" comprend également des créances comme le crédit d'impôt recherche (CIR), qui est une mesure fiscale favorisant les opérations de recherche &
développement et susceptible de donner lieu à un reversement de la part du Ministère de la Recherche. [cf. onglets "Paramètres", "Bilan" et "BFR"].
Le capital social est constitué par les apports en numéraire et par les apports en nature effectués par les actionnaires de l'entreprise. Ces apports sont effectués à
la constitution de l'entreprise ou à l'occasion d'augmentations de capital. Il se décompose en parts sociales (pour des sociétés de personnes comme les SARL -
sociétés à responsabilité limitée-) ou en actions (pour les sociétés de capitaux comme les SA -sociétés anonymes-). [cf. onglets "Paramètres", "PlanFi" et "Bilan".
cf. également module d'ingénierie financière "IngéFi", disponible sur www.NetPME.fr ].
cf. "Besoin en Fonds de Roulement". [cf. également onglets "Paramètres" et "BFR"].
cf. rubrique "Chiffre d'affaires". Voir onglets "CA_total", "CRst" et "Synthèse".
Les charges externes sont des charges d'exploitation extérieures à l'entreprise et distinctes des charges entrant directement dans le coût d'achat des
marchandises et des produits vendus par l'entreprise. Ces charges sont notamment constituées des loyers et des charges locatives, des charges d'assurances,
des coûts de télécommunication et de divers consommables, des honoraires des Experts Comptables et des autres conseillers et prestataires de l'entreprise, des
voyages, déplacements et frais de mission et de réception. Les charges externes incluent également les coûts publicitaires et promotionnels, qui doivent faire
l'objet d'une attention toute particulière puisque le chiffre d'affaires de l'entreprise dépend directement de ce type de dépenses. [cf. onglets "Ch_Ext", "CRst" et
"Synthèse". Voir également le module "Plan Marketing", disponible sur www.NetPME.fr].
Les charges financières (ou "frais financiers") sont liées au coût des dettes financières de l'entreprise. Ces charges financières viennent impacter le résultat
financier de l'entreprise et n'entrent par conséquent pas dans le calcul du résultat d'exploitation. Les charges financières apparaissent dans le compte de résultats
de l'entreprise [cf. onglet "CRst"], tandis que le remboursement du "principal" (portion du prêt contracté auprès d'une institution financière") vient diminuer le poste
"Dettes financières" du bilan [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"] et apparaît comme besoin de financement au sein du plan de financement [cf. onglet "PlanFi"].
En règle générale, le coût de la dette est inférieur à celui du capital : la marge du banquier pour un prêt est de quelques pourcents alors qu'un actionnaire exige
généralement un rendement très supérieur pour ses capitaux, vu le risque encouru. Les banquiers assortissent en revanche leurs prêts de garanties destinées à
sécuriser des marges relativement circonscrites. [cf. onglets "Paramètres", "CRst" et "Synthèse"].
cf. rubrique "Cotisations sociales". cf. également onglets "Paramètres", "Effectifs", "CRst" et "Synthèse".
Les charges d'exploitation sont des charges relatives au cycle d'exploitation normal de l'entreprise. Elles sont principalement constituées des achats de matières et
de marchandises [cf. onglet "CA_total"], des autres charges externes [cf. onglet "Ch_Ext"], des charges salariales [cf. onglet "Effectifs"], des impôts et taxes hors
impôts sur les sociétés et des dotations aux amortissements et aux provisions. [cf. onglet "CRst"].
Les capitaux permanents sont constitués par les capitaux propres (capital social, primes d'émission et réserves) et par les dettes financières comptabilisées au
passif du bilan et qui constituent les ressources stables de l'entreprise. [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"].
Une cession d'actifs est une opération par laquelle une entreprise cède une partie de ses actifs, ce qui peut aller d'un actif ponctuel (terrain, bâtiment, brevet,
marque, matériel…) à une activité complète, se traduisant par la cession d'un fonds de commerce. Une cession d'actifs peut constituer une ressource très
significative pour développer de nouvelles activités. [cf. onglet "PlanFi"].
Les charges de personnel sont constituées par l'ensemble des dépenses salariales de l'entreprise : salaires et charges sociales. Ces charges sont généralement
considérées comme des charges fixes, à l'exception de la part variable des rémunérations versées à certains employés. Les charges de personnel sont
généralement un des principaux (voire le principal) poste(s) de dépenses d'une entreprise. [cf. onglets "Effectifs", "CRst" et "Synthèse"].
L'actif du bilan résume les différents biens (terrains, bâtiments, brevets, marques, matériel et outillage, stocks, disponibilités et valeurs mobilières de placement…)
et les droits (concessions, créances clients...) détenus par une entreprise. On distingue l'actif immobilisé (immobilisations incorporelles, immobilisations
corporelles et immobilisations financières) de l'actif circulant (créances, stocks et divers). [cf. onglets "Paramètres", "Invest" et "Bilan"].
B*
Le besoin en fonds de roulement (BFR) est un besoin de financement à court terme résultant des décalages de flux de trésorerie entre les décaissements et les
encaissements inhérents au cycle d'exploitation de l'entreprise. Il se caclule en faisant la différence entre l'actif circulant (stock et créances clients) et le passif
circulant (dettes fournisseurs, dettes fiscales et sociales). [cf. onglets "Paramètres" et "BFR"].
Le bilan constitue une « photographie » du patrimoine de l'entreprise. Il est destiné à donner une image fidèle de la valeur et du résultat comptable de l'entreprise.
Le passif du bilan détaille les ressources de l'entreprise (capital social, résultat et réserves, emprunts et autres dettes), tandis que l'actif présente ce que
l'entreprise possède : bâtiments, matériel, stocks et encours, créances et valeurs mobilières de placement...
Les principaux postes du bilan simplifié de l'outil "BizPrev" sont issus de tableaux complété au fur et à mesure. Ainsi, les immobilisations nettes sont issues de
l'onget "Invest". Les stocks et encours, le compte "Clients et autres créances", les dettes fournisseurs et les dettes fiscales et sociales en fin d'exercice sont issus
de l'onget "BFR". Le capital social ainsi que l'évolution du poste "emprunts et dettes financières" sont issus du plan de financement (onglet "PlanFi"). Le résultat de
l'exercice et le report à nouveau sont issus de l'onglet "CRst" (Compte de Résultats), déduction faite d'éventuels versements de dividendes prévus dans le plan de
financement. Enfin les comptes financiers ou le "Disponible" sont équivalents à la Trésorerie de l'onglet "PlanFi". Par construction, le passif net du bilan est
chaque année égal à l'actif net.
Les fonds propres de l'entreprise sont polur leur part constitués du capital social, du résultat de l'exercice et des réserves. [cf. onglet "Bilan"].
C*
cf. "Marge Brute d'Autofinancement". Capacité d'autofinancement (CAF) et Marge Brute d'Autofinancement (MBA) sont des synonymes. [cf. onglets "CRst",
"PlanFi" et "Synthèse"].
L'actif économique, appelé "capital employed" par les Anglo-Saxons, mesure ce dont une entreprise a besoin pour fonctionner, à savoir son actif immobilisé
(immobilisations nettes) et son besoin en fonds de roulement (BFR). Cet actif économique peut également être approché par le passif du bilan, en additionnant
les capitaux propres les capitaux empruntés (endettement net) par l'entreprise. [cf. onglets "Paramètres", et "Bilan"].
Les charges exceptionnelles sont des charges qui ne relèvent pas du cycle d'exploitation habituel de l'entreprise et qui présentent, comme leur nom l'indique, un
caractère exceptionnel. Elles ne sont, par nature, pas intégrées dans des comptes prévisionnels, qui se concentrent sur des produits et des charges d'exploitation
et des charges et des produits financiers [cf. onglet "CRst"].
"BizPrev"™
Lexique comptable et financier
Définition
A*
Une augmentation de capital est une opération financière qui consiste à accroître le capital social grâce à un apport financier de nouveaux actionnaires ou
d'actionnaires existants. Si l'augmentation de capital s'effectue en valorisant l'entreprise davantage que son capital social, l'opération s'accompagne d'une prime
d'émission qui vient augmenter les capitaux propres de l'entreprise. [cf. onglets "PlanFi" et "Bilan". cf. également module d'ingénierie financière "IngéFi", disponible
sur www.NetPME.fr ].
Les avances remboursables sont des prêts, assortis ou non de garanties. Ces avances, qui se situent entre des emprunts bancaires classiques et des
augmentations de capital, sont octroyées par des organismes financiers comme Oséo, qui intervient aux côté des banques traditionnelles pour partager le risque
inhérent au financement des PME. [cf. onglets "Paramètres", "PlanFi" et "Bilan"].
Le bénéfice comptable d’une entreprise est l’excédent des produits (produits d'exploitation + produits financiers + produits exceptionnels) sur les charges (charges
d'exploitation + charges financières + charges exceptionnelles) comptabilisées au compte de résultat durant l'exercice fiscal considéré. [cf. onglets "CRst" et
"Synthèse"].
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Compte courant d'associé
Compte de régularisation
Compte de résultat
Comptes financiers / disponible
Cotisations sociales
Coût de revient
Créances clients
Crédits d'impôts
D*
Dettes fiscales et sociales
Dettes financières
Dette financière nette
Dettes fournisseurs
Disponible
Dividendes
Dotations aux amortissements
Dotations aux provisions
E*
EBE
E.T.E.
Excédent Brut d'Exploitation
Effectifs "ETP"
Emprunts à long et moyen terme
Escompte
Excédent de Trésorerie d'Exploitation
F*
Les cotisations sociales sont des prélèvements basés sur les salaires, qui contribuent au financement des prestations sociales : maladie, vieillesse, accidents du
travail, chômage, invalidité, retraite... Ces cotisations sont acquittées en complément du salaire versé à l'employé. Les charges sociales sont constituées de la part
salariale (cotisations sociales salariales, qui se situent entre le salaire net et le salaire brut) et de la part patronale (cotisations sociales employeurs, part qui vient
en augmentation du salaire brut). A titre d'exemple, si la "part salariale" d'une rémunération mensuelle brute de 2500 € est de 20%, le salaire net versé à
l'employé sera de 2000 €, car diminué de ces 500 € de cotisations sociales salariales. Si les cotisations sociales employeurs ("part patronale") sont de 50% du
salaire brut, soit 1250 €, le coût salarial mensuel de ce salarié sera par conséquent de 3750 €, se décomposant en 2000 € de salaire net et en 1750 € de charges
sociales. En pratique, les salaires et les charges sociales sont comptabilisés en tant que charges d'exploitation au sein du compte de résultats : la ligne "salaire et
traitements" est relative à la somme des rémunérations brutes versées par l'entreprise sur l'exercice considéré, tandis que la ligne "charges sociales" est relative
aux cotisations sociales employeurs ("part patronale") versées en complément du salaire brut. [cf. onglets "Paramètres", "Effectifs", "CRst" & "Synthèse"].
L'escompte est une technique permettant au bénéficiaire d’un effet de commerce (créance client) de négocier ce dernier auprès d’un établissement de crédit
avant l'échéance de la créance. Ceci permet d’obtenir des liquidités immédiates correspondant au montant de la créance diminué des agios perçus par la
banque. cf. onglets "Paramètres" et "Bilan".
L'ETE est le solde entre les encaissements effectifs de produits d'exploitation et les décaissements de charges d'exploitation. Il se calcule à partir de l'Excédent
Brut d'Exploitation (EBE) et de la variation du besoin en fonds de roulement (BFR) : ETE = EBE - variation du BFR.
F*
E*
cf. "Excédent de Trésorerie d'Exploitation".
cf. rubrique "EBE". Cf. également onglets "CRst" et "Synthèse", ainsi que l'outil d'analyse du seuil de rentabilité "EBE+", disponible sur www.NetPME.fr
Les effectifs "ETP" désignent des effectifs en "équivalent temps plein". Par exemple, un salarié embauché à plein temps à partir du 1er juillet représentera un
équivalent temps plein de 0,5. Une personne embauchée le 1er octobre comptera pour 0,25 en équivalent annuel.
L'EBE ou Excédent Brut d'Exploitation est la différence entre les produits d'exploitation et les charges d'exploitation. A la différence du résultat d'exploitation, il ne
prend pas en compte les dotations aux amortissements et les provisions d'exploitation. Il mesure l'excédent généré par l'exploitation de l'entreprise, hors résultats
financiers et résultats exceptionnels. L'EBE est ainsi proche de l'EBITDA de la comptabilité anglo-saxonne : "Earnings Before Interests, Taxes, Depreciation and
Amortization". [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
cf. dettes financières et onglets "Paramètres", "PlanFi" et "Bilan".
Les dettes fournisseurs sont des dettes d'exploitation relatives aux différents fournisseurs de l'entreprise : fournisseurs de matières et de marchandises,
fournisseurs d'investissements et fournisseurs de produits et services comptabilisés en tant que charges externes. A l'instar des dettes fiscales et sociales, les
dettes fournisseurs viennent en diminution du besoin en fonds de roulement, puisque ce sont des éléments non encore payés par l'entreprise. [cf. onglets
"Paramètres", "Bilan" et "BFR"].
Les dividendes sont, en règle générale, un versement en numéraire effectué aux actionnaires d'une entreprise. Ces dividendes sont prélevés sur le bénéfice net
de l'exercice ou sur les réserves de la société. Le versement d'éventuels dividendes relève d'une décision ordinaire de l'assemblée générale des actionnaires
(AGO), prise à la majorité simple desdits actionnaires (ou détenteurs de parts sociales pour une SARL). Le versement de dividendes a un impact direct sur le plan
de financement et sur la trésorerie de l'entreprise. Il est rarement versé dans le cas d'entreprises de croissance qui réinvestissent tous leurs bénéfices (quand ils
existent !) pour se développer le plus rapidement possible. En revanche, une entreprise dans un secteur plus mature qui génère des bénéfices importants ainsi
qu'une trésorerie abondante peut procéder à des versements réguliers de dividendes [cf. onglets "PlanFi" et "Bilan"].
La dette financière nette (ou endettement net) d'une entreprise est le solde de ses dettes financières, de ses placements financiers et de ses disponibilités. [cf.
onglets "Paramètres", "PlanFi" et "Bilan"].
Le "disponible" (ou "disponibilités") est constitué de la trésorerie immédiatement disponible de l'entreprise : comptes de caisse et solde positif des différents
comptes bancaires de l'entreprise. [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"].
Les dotations aux amortissements correspondent à la dépréciation (perte de valeur) graduelle de certains actifs de l'entreprise : bâtiments, brevets, équipements,
véhicules… Cette perte de valeur est due à l'usure ou à l'obsolescence d'un bien donné. L'amortissement de ces éléments d'actif peut être linéaire ou dégressif.
Dans l'outil prévisionnel "Bizprev", nous avons opté pour un amortissement linéaire, la durée de l'amortissement, exprimée en nombre d'années, étant
paramétrable. Les dotations aux amortissements (ainsi que les dotations aux provisions) constituent des écritures comptables qui n'occasionnent pas de flux
financiers en soi : elles sont par conséquent "rajoutées" au résultat net après impôts pour calculer la Marge Brute d'Autofinancement (MBA), que les anglo-saxons
traduisent par "cash flow". [cf. onglets "Paramètres", "Invest" et "CRst"].
Les dotations aux provisions désignent une perte de valeur probable sur des éléments d'actif : créances clients (impayés probables dus à la défaillance de
plusieurs clients), stocks de matières premières ou de marchandises, titres et valeurs mobilières... Cette perte de valeur est due à des événements tangibles
susceptibles de diminuer la valeur de ces éléments d'actif. Il est également possible de comptabiliser des dotations aux provisions "pour risques et charges",
correspondant aux charges futures occasionnées par un événement identifié, par exemple une probable condamnation suite à un procès en cours et dont il
convient d'ores et déjà de provisionner des dommages et intérêts. En pratique, il est rare de prévoir des dotations aux provisions dans des comptes prévisionnels,
même si, par prudence, on peut alourdir le coût de revient de certains produits ou augmenter le poste "autres charges" au niveau des charges externes... [cf.
onglet "CRst"].
Le coût de revient d'un produit ou d'un service donné est le total des dépenses nécessaires pour produire et pour vendre ce bien et/ou ce service. Il inclut par
conséquent les coûts directs de production, les coûts de distribution et une quote-part des charges d'exploitation imputables à ce produit ou service. Dans la
pratique (et dans l'outil prévisionnel "BizPrev"), on détermine tout d'abord la marge brute relative à chaque catégorie de produits ou de services en retranchant les
coûts directs externes de production et de distribution. [cf. onglets "P1", "P2", "P3", "P4", "P5" et "CA_total" pour le coût de revient direct de chaque catégorie de
produits/services et pour le coûts de revient global, hors coûts salariaux].
cf. rubrique "Clients et autres créances". Cf. également onglets "Paramètres", "Bilan" et "BFR".
Un crédit d'impôts est un "impôt négatif" qui vient en diminution de l'impôt sur les sociétés (I.S.) de l'entreprise. Il peut s'agir de crédits d'impôts liés à des reports
déficitaires (déficits antérieurs venant par exemple diminuer un résultat courant avant impôts positif), ou de crédits d'impôts liés à des incitations fiscales comme le
crédit d'impôt recherche (CIR), le crédit d'impôt export ou le crédit d'impôt apprentissage. Pour toute précision au sujet de ces mesures fiscales, consultez en
priorité votre Expert Comptable ! [cf. onglets "Paramètres" et "CRst"].
D*
Les dettes fiscales et sociales sont des dettes d'exploitation relatives aux charges sociales, à la TVA et à d'autres impôts et taxes dus par l'entreprise. A l'instar des
dettes fournisseurs, les dettes fiscales et sociales viennent en diminution du besoin en fonds de roulement, puisque ce sont des éléments non encore payés par
l'entreprise. Attention cependant à ne pas dépasser les délais de paiement usuels de la TVA et/ou des charges sociales, sous peine de fortes pénalités ! [cf.
onglets "Paramètres", "Bilan" et "BFR"].
Les dettes financières sont des dettes contractées auprès d'établissements de crédit. Ces emprunts et dettes peuvent être à court terme (facilités de trésorerie), à
moyen ou à long terme. La part comptabilisée au bilan concerne uniquement le principal, à savoir la dette restant due, hors frais financiers. Les frais financiers
correspondant aux différents emprunts bancaires apparaissent en effet dans le compte de résultats (cf. onglet "CRst"], en tant que charges financières. [cf.
onglets "Paramètres", "PlanFi" et "Bilan"].
Un compte courant d'associé(s) est une dette contractée par l'entreprise auprès de ses associés. Cette dette apparaît au passif du bilan. Contrairement aux dettes
bancaires, les apports en compte courant d'associé s'effectuent sans garantie et peuvent être ou non assortis du paiement d'intérêts (charges financières). En
pratique, les comptes courants d'associés sont destinés à faire face à des creux ponctuels de trésorerie ou servent de "sas" dans la perspective d'une
augmentation de capital qui s'effectuerait alors par incorporation de créances dites "liquides et exigibles". [cf. onglets "PlanFi" et "Bilan"].
Les comptes de régularisation permettent de rattacher à un exercice donné des fractions de charges et des produits à dont la comptabilisation s’effectue sur
plusieurs exercices. Ces comptes de régularisation comprennent notamment des produits ou des charges constatés d’avance, des produits à recevoir et des
charges à répartir sur plusieurs exercices. [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"].
Les comptes financiers présentés dans notre bilan simplifié regroupement les valeurs mobilières de placement et la trésorerie disponible sur les différents
comptes bancaires de l'entreprise. [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"].
Le compte de résultat est un document comptable qui résume, pour une entreprise donnée, l’ensemble des produits et des charges d'une entreprise sur une
période donnée (exercice comptable). Le compte de résultat présente successivement le résultat d'exploitation, le résultat financier et le résultat exceptionnel de
l'entreprise. Le résultat de l'exercice est la somme de ces différents résultats, diminués de l'impôt sur les sociétés (I.S.). Au-delà des résultats intermédiaires
(résultat d'exploitation, résultat financier et résultat exceptionnel), le compte de résultat fait également apparaître plusieurs soldes intermédiaires de gestion :
marge brute, valeur ajoutée, excédent brut d'exploitation (EBE), résultat courant avant impôts (RCAI) et marge brute d'autofinancement (MBA). C'est cette marge
brute d'autofinancement qui vient alimenter le plan de financement, soit en tant que ressource, lorsqu'elle est positive, soit en tant que besoin, lorsque cette MBA
est négative. [cf. onglets "CRst", "PlanFi" et "Synthèse"]
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Fonds de commerce
Fonds propres
Fonds de roulement
Frais d'établissement
Frais financiers
I*
Immobilisations
Immobilisations corporelles
Immobilisations financières
Immobilisations incorporelles
Immobilisations nettes
Impôts et taxes
Impôts sur les bénéfices
Impôts sur les sociétés
Investissements
L*
Levier
M*
Marge brute
Marge brute d'autofinancement
Marge nette
Masse salariale
MBA
P*
Passif
Perte
Plan de financement
Point mort d'exploitation
Production immobilisée
Production stockée
cf. "Marge Brute d'Autofinancement". Voir également onglets "CRst", "PlanFi" et "Synthèse".
Les immobilisations corporelles sont des actifs physiques durables (utilisables au-delà de l'exercice en cours) détenus par une entreprise pour sa propre gestion
ou pour produire, fournir ou louer des biens et/ou des services. Il peut s'agir de terrains, de constructions, de matériel et d'outillages industriels. Certaines de ces
immobilisations corporelles sont susceptibles d'être amorties. Un terrain n'est en revanche par amortissable. [cf. onglets "Invest" et "Bilan"].
La marge brute est la différence entre le chiffre d'affaires hors taxes (CA HT) et les achats HT effectués pour réaliser ce chiffres d'affaires (en pratique il s'agit des
achats de matières et marchandises diminués de la variation des stocks de l'exercice considéré). Cette marge brute n'a rien à voir avec la "marge brute
d'autofinancement", définie plus bas et qui se calcule après prise en compte de quantité d'autres produits et charges... [cf. onglets "P1", "P2", "P3", "P4", "P5" et
"CA_total" pour la marge brute de chaque catégorie de produits/services et cf. onglet "CA_total" pour la marge brute globale].
Les fonds propres (ou "capitaux propres") sont calculés par la différence entre l'ensemble des actifs de l'entreprise et de l'ensemble de son passif externe : dettes
financières, dettes fournisseurs, dettes fiscales et sociales... Un mode de calcul plus direct des fonds propres consister à additionner le capital social, le résultat de
l'exercice, les reports à nouveau, les réserves légales, les comptes courants d'associés, les éventuelles primes d'émissions relatives à des augmentations de
capital antérieures, les subventions d'investissement et les provisions règlementées [cf. onglets "Bilan" et "Synthèse", ainsi que le module d'ingénierie financière
"IngéFi", disponible sur www.NetPME.fr ].
La production immobilisée comptabilise les travaux réalisés par l'entreprise pour elle-même. Ces travaux sont évalués à leur coût de revient et simultanément
enregistrés en tant qu'immobilisation à l'actif du bilan et en tant que produit d'exploitation au compte de résultat. En revanche, comme l'entreprise doit par ailleurs
comptabiliser les charges d'exploitation nécessaires à la réalisation de ces travaux, cette "production immobilisée" n'a aucune incidence sur le résultat
d'exploitation ou sur le résultat net de l'entreprise. [cf. onglets "Invest", "CRst", "PlanFi" et "Bilan"].
cf. rubrique "Seuil de rentabilité". [cf. également le module d'analyse du seuil de rentabilité "EBE+", disponible sur www.NetPME.fr ].
I*
Les immobilisations sont des éléments d'actif durables, ce qui signifie qu'elles ne sont pas directement passées en charges (consommées et/ou périmées) sur
l'exercice en cours. Les immobilisations (ou "actifs immobilisés") se distinguent des actifs "circulants" : stocks, créances clients, valeurs mobilières de placement et
disponibilités. Les immobilisations de moins de 500 € peuvent être directement passées en charges fiscalement déductibles. [cf. onglets "Paramètres", "Invest",
"PlanFi" et "Bilan"]
Les immobilisations financières sont des titres généralement acquis par l'entreprise pour une durée supérieure à un an. Il peut s'agir de titres de participation ou
d'actions de sociétés tierces, de créances rattachées à des participations, d'obligations, de prêts… Les valeurs mobilières de placement, les disponibilités et les
autres instruments de trésorerie ne sont pas considérés comme des immobilisations financières car ce sont des "actifs circultants". Certaines immobilisations
financières sont suceptibles d'être amorties ; d'autres sont en revanche évaluées à leur "juste valeur", par exemple au cours de bourse si certaines immobilisations
concernent des titres cotés. [cf. onglets "Invest" et "Bilan"].
P*
Les investissements sont des dépenses engagées dans le but d'assurer la croissance, la rentabilité et/ou la valeur à long terme de l'entreprise. A la différence des
charges d'exploitation, qui sont intégralement consommées ("détruites") dans l'exercice en cours, les investissements ont un impact durable sur le cycle
d'exploitation. Le choix de ces investissements est donc encore plus crucial que leur financement... Lorsque l'investissement considéré est une immobilisation
corporelle (constructions, matériel et outillages industriels...) ou incorporelle (droit au bail, frais de recherche, frais de dépôt et d'extension de brevets...), il est
amortissable sur plusieurs années, à l'exception de biens comme les terrains ou les fonds de commerce, qui ne sont pas réputés amortissables. [cf. onglets
"Invest" et "PlanFi"].
Le passif du bilan est constitué par les différentes ressources dont dispose une entreprise : capital social et réserves, dettes financières, dettes fournisseurs,
dettes fiscales et sociales... Ce passif est structuré en plusieurs sections : capitaux propres, autres fonds propres, provisions pour risques et charges, dettes et
comptes de régularisation. [cf. onglets "Paramètres", "Invest" et "Bilan"].
L'impôt sur les sociétés (ou "I.S.") désigne l'impôt acquitté par une entreprise qui réalise des bénéfices. [cf. onglet "CRst"].
L*
L'effet de "levier" de la dette est égal à la différence entre la rentabilité financière et la rentabilité économique (cf. définitions). Lorsque la rentabilité économique de
l'entreprise est supérieure au coût de l'endettement, cet effet de levier est positif et l'entrepreneur a en théorie intérêt à s'endetter pour maximiser sa rentabilité
financière... mais un endettement accru augmente également le risque de l'entreprise. Tout est par conséquent affaire de dosage... [cf. définitions de la rentabilité
économique et de la rentabilité financière].
La production stockée comptabilise des produits finis ou semi-finis qui sont stockés avant leur commercialisation. Cette "production stockée" représente la valeur
des stocks de produits finis et des en-cours de production, valorisés à leur coût de revient. A l'instar de la comptabilisation des productions immobilisées, ces
stocks de produits finis ou d'encours sont évalués à leur coût de revient et sont simultanément enregistrés en tant qu'actif circulant au bilan et en tant que produit
d'exploitation au compte de résultat. En revanche, comme l'entreprise doit également comptabiliser les charges d'exploitation nécessaires à la production de ces
encours ou produits finis, cette "production stockée" n'a pas d'incidence directe sur le résultat d'exploitation ou sur le résultat net de l'entreprise. [cf. onglets
"Invest", "CRst", "PlanFi" et "Bilan"].
Les compte "Impôts et taxes" désigne en un seul compte l'ensembles de impôts (hors impôts sur les bénéfices) et des taxes supportées par l'entreprise : taxe
d'apprentissage, taxe professionnelle (ou ce qui s'y substitue à partir de 2010), taxes foncières... [cf. onglet "CRst"].
cf. rubrique "Impôt sur les sociétés" et onglet "CRst", ainsi que l'onglet "Paramètres" pour les éventuels crédits d'impôts (définis plus haut).
M*
La marge brute d'autofinancement (MBA) ou "capacité d'autofinancement" mesure la capacité d'une entreprise à "générer du cash" et donc à s'autofinancer
grâce à son exploitation. [cf. onglets "CRst", "PlanFi" et "Synthèse"].
cf. "Résultat net après impôts". [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
Le fonds de commerce est constitué par une série d'éléments mobiliers corporels (matériel, marchandises, prototypes, logiciels, manuels...) et incorporels (droit
au bail, nom commercial, marques, brevets, modèles...), ainsi que divers contrats (contrats de travail, contrats avec des clients, des fournisseurs et des
partenaires de l'entreprise...) qui permettent de "capter" et de servir une clientèle. La cession d'une branche d'activité complète d'une entreprise industrielle ou
commerciale peut s'effectuer sous forme d'une cession de fonds de commerce. Celui-ci peut également faire l'objet d'un contrat de location-gérance, par lequel
le locataire gérant verse une redevance au bailleur [cf. onglets "Invest" et "Bilan"].
Le fonds de roulement se calcule à partir du bilan de l'entreprise : c'est l’excédent de ressources stables (capitaux permanents) de l'entreprise sur son actif
immobilisé. Ce fonds de roulement mesure par conséquent les ressources à long terme que l’entreprise peut consacrer au financement de son besoin en fonds
de roulement (BFR). [cf. onglet "Bilan"].
cf. rubrique "charges financières" et onglets "Paramètres", "CRst" et "Synthèse".
Les frais d'établissement représentent les frais administratifs engagés par l'entreprise à sa constitution. Ils sont considérés comme des immobilisations
incorporelles et peuvent être amortis sur une durée de 5 ans. [cf. onglet "Invest" et, de manière agrégée, les onglets "Paramètres", "PlanFi" et "Bilan"].
La masse salariale (ou "charges salariales") désigne l'ensemble des charges liées aux salariés : salaires, cotisations sociales, intéressement et participation. [cf.
onglets "Effectifs", "CRst" et "Synthèse"].
Les immobilisations incorporelles sont des actifs non financiers dument identifiables mais sans substance physique, qui sont utiles à l'activité de l'entreprise et qui
contribuent à sa valeur. Il peut s'agir de frais d'établissement, d'un fonds de commerce, d'un droit au bail, de frais de recherche, de frais de dépôt et d'extension de
brevets, de fichiers clients ou d'autres bases de données... Certaines de ces immobilisations incorporelles sont susceptibles d'être amorties. Un fonds de
commerce n'est en revanche par amortissable. Certaines immobilisations sont par ailleurs susceptibles d'être réévaluées à leur valeur de marché, ce qui
correspond à la notion anglo-saxonne de "fair value" (juste valeur). Ces immobilisations incorporelles constituent une part significative du capital immatériel d'une
entreprise et, in fine, de sa valeur. [cf. onglets "Invest" et "Bilan"].
Les immobilisations nettes sont la différence entre le montant des immobilisations brutes et les amortissements qui constatent leur dépréciation. [cf. onglets
"Invest", "PlanFi" et "Bilan"].
Le plan de financement est un tableau prévisionnel qui recense les emplois (ou besoins de financement) et les ressources prévisionnelles de l'entreprise. Les
principaux emplois sont relatifs aux dépenses d'investissement (nouvelles immobilisations acquises pour l'exercice considéré), aux besoins de financement
générés par l'activité (en cas de MBA négative), au paiement d'éventuels dividendes, à la variation du besoin en fonds de roulement (cf. "BFR") et aux
remboursements d'emprunts. Les principales ressources sont constituées par les augmentations de capital (par apport en numéraire), la marge brute
d'autofinancement (lorsque la MBA est positive), aux éventuels produits de cessions d'actifs immobilisés (brevets, marques, équipements...) et à des ressources
externes comme des apports en comptes courants d'associés, des avances remboursables, des emprunts bancaires voire des emprunts obligataires. A noter que
l'outil "BizPrev" fait également apparaître d'éventuelles subventions au niveau des ressources du plan de financement, tout en ajustant la MBA qui en résulte et en
reportant la subvention en question (produit d'exploitation) au sein du compte de résultats prévisionnels. Cette approche est justifiée par le fait que certains
organismes publics susceptibles de vous accorder des subventions et/ou des avances remboursables demandent des tableaux qui font apparaître leurs apports
au niveau du plan de financement. C'est donc pour vous simplifier la vie que nous avons opté pour ce type de présentation ! [cf. onglet "PlanFi"]
La perte comptable d’une entreprise est l’excédent des charges (charges d'exploitation + charges financières + charges exceptionnelles) sur les produits (produits
d'exploitation + produits financiers + produits exceptionnels) comptabilisés au compte de résultat durant l'exercice fiscal considéré. [cf. onglets "CRst" et
"Synthèse"].
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
Produits exceptionnels
Produits financiers
Provision
R*
Rentabilité économique
Rentabilité financière
Report à nouveau
Réserves
Résultat courant avant impôts
Résultat d'exploitation
Résultat exceptionnel
Résultat financier
Résultat net après impôts
Résultats et réserves
S*
Seuil de rentabilité
Stocks et en-cours
Subventions
T*
Trésorerie
Trésorerie nette
V*
Valeur ajoutée
Variation de stocks
Les produits financiers sont liés à la rémunération de la trésorerie et des placements financiers de l'entreprise. Ces produits financiers viennent impacter le résultat
financier de l'entreprise et n'entrent par conséquent pas dans le calcul du résultat d'exploitation. Les produits financiers apparaissent dans le compte de résultats
de l'entreprise. En général, les comptes prévisionnels ne tiennent pas compte de ces éventuels produits financiers, qui seraient de toute manière marginaux, sauf
pour des institutions financières. De tels produits peuvent être considérés comme une "cerise sur le gâteau" permettant de faire face à d'éventuels imprévus. [cf.
onglets "Paramètres", "CRst" et "Synthèse"].
Dans un plan de financement (cf. onglet "PlanFi"), la trésorerie annuelle résulte du solde de trésorerie initial et du solde annuel des besoins et des ressources.
[cf. onglets "PlanFi" et "Synthèse"]
La rentabilité financière (ou "rentabilité des capitaux propres") est un ratio qui exprime le résultat net après impôts par rapport aux capitaux propres. Dénommée
"return on equity" (ROE) par les Anglos-Saxons, la rentabilité financière traduit le taux de rémunération des actionnaires de l'entreprise. Cette rentabilité financière
est susceptible d'être accrue grâce à un effet de levier lié à de la dette... à condition que la rentabilité économique soit supérieure au coût de l'endettement. [cf.
onglet "Synthèse"].
Le seuil de rentabilité ou point mort d'exploitation est le niveau de chiffre d'affaires minimum à partir duquel une entreprise est rentable. Il se calcule à partir des
coûts fixes de l'entreprise et de sa marge sur coûts variables (Seuil de rentabilité = Coûts fixes / Marge sur coûts variables). Si l'on considère cette rentabilité en
terme d'excédent brut d'exploitation (EBE) positif, le seuil de rentabilité est le niveau minimum de CA que l'entreprise doit générer pour que l'EBE soit égal à zéro.
[cf. module d'analyse du seuil de rentabilité "EBE+", disponible sur www.NetPME.fr ].
Les subventions sont des aides financières accordées par des institutions publiques ou privées pour cofinancer un projet. Lorsque le projet en question est réalisé
sur l'exercice comptable en cours, ces subventions sont comptabilisées au compte de résultats en tant que subventions d'exploitations, donc directement en tant
que produits d'exploitation.
Les subventions d'investissement sont, pour leur part, des montants comptabilisés au passif de l'entreprise, après les capitaux propres puisqu'elles n'ont en
principe pas à être remboursées. Au fur et à mesure de la réalisation des investissements ayant fait l'objet des subventions en question (ou de leur
amortissement), ces subventions d'investissement alimentent le compte de résultats en tant que produits d'exploitation et leur montant au passif diminue pour le
même montant. [cf. onglet "CRst", "PlanFi" et "Bilan"].
La rentabilité économique, que les Anglo-Saxons dénomment ROCE ("Return on Capital Employed") est un ratio qui exprime le résultat d'exploitation après
impôts par rapport à l'actif économique. Cette rentabilité économique (ou rentabilité de l'actif économique) mesure l'efficacité économique de l'entreprise. Le ratio
"Résultat/Actif Economique" est également le produit du taux de marge de l'entreprise (Résultat d'exploitation / CA) par le taux de rotation de cette même
entreprise (CA / Actif Economique). Cette décomposition permet de voir qu'une entreprise peut améliorer sa rentabilité économique soit en augmentant son taux
de marge soit en augmentant ses ventes et en faisant par conséquent davantage "tourner" son actif. [cf. onglet "Synthèse"].
Les comptes de variation des stocks (de marchandises, de matières premières ou d'autres approvisionnements) représentent la différence entre la valeur des
stocks à la clôture de l'exercice et la valeur de ces stocks à la clôture de l'exercice précédent. En d'autres termes, cette variation de stocks est la différence de
valeur entre le stock "final" (à la clôture de l'exercice considéré) et le stock initial. [cf. onglets "Paramètres", "Bilan" et "BRR"... et donc indirectement également
l'onglet "PlanFi", du fait de la variation du BFR].
Le compte "Report à nouveau" désigne le cumul des résultats nets (après impôts) de l'entreprise qui n'ont pas été distribués en dividendes. L'assemblée générale
ordinaire des actionnaires (AGO) est tenue de mettre une partie des bénéfices en réserve à concurrence d'au minimum 5% et d'au maximum 10% du capital
social de l'entreprise. Elle peut par ailleurs décider d'affecter une partie voire la totalité des bénéfices de l'entreprise à un ou à plusieurs autres comptes de
réserves. [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"].
Le résultat net après impôts (ou "marge nette") est le bénéfice ou la perte comptable qui apparaît à la dernière ligne du compte de résultat, une fois additionnés
tous les produits et après avoir soustrait toutes les charges. C'est également la somme du résultat courant avant impôts (RCAI) et du résultat exceptionnel,
diminués de la participation (éventuelle) des salariés aux résultats de l'entreprise et des impôts sur les bénéfices [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
Ce compte utilisé dans notre bilan simplifié (cf. onglet "Paramètres") désigne l'ensemble des résultats antérieurs non distribués (mis en réserve) et des
éventuelles primes d'émissions acquittées par des investisseurs dans le cadre d'augmentations de capital. [cf. onglet "Paramètres" et module d'ingénierie
financière "IngéFi", disponible sur www.NetPME.fr ].
S*
Les comptes de stocks et d'encours constituent des actifs circulants et représentent la valeur des marchandises, des produits finis, des encours de production, des
matières premières et d'autres approvisionnements éventuels à la clôture de l'exercice considéré. Ces éléments sont comptabilisés à leur coût de revient. cf.
onglets "Paramètres", "Bilan" et "BRR"... et donc indirectement également l'onglet "PlanFi", en cas de variation du BFR due à des stocks].
La trésorerie nette d'une entreprise est le solde de ses placements financiers, de ses disponibilités et ses dettes financières. [cf. onglets "Paramètres", "PlanFi" et
"Bilan"].
T*
V*
Le résultat courant avant impôts (ou RCAI) est égal à la somme du résultat d'exploitation et du résultat financier. Comme son nom l'indique, ce solde intermédiaire
de gestion concerne un résultat courant et n'intègre par conséquent pas de charges ou de produits exceptionnels. Le RCAI permet de mesurer la performance
économique de l'entreprise en tenant compte du coût de son endettement éventuel ou des produits financiers qui ne présentent pas un caractère exceptionnel. [cf.
onglets "CRst" et "Synthèse"].
Le résultat d'exploitation (parfois appelé "REX") est la différence entre les produits et les charges d'exploitation. Par rapport à l'excédent brut d'exploitation (EBE),
le résultat d'exploitation prend en compte les dotations aux amortissements et les éventuelles dotations aux provisions d'exploitation. Le résultat d'exploitation
indique le résultat obtenu par l'entreprise grâce à ses différents facteurs de production, sans prendre en compte les produits et les charges financières, ni les
éléments exceptionnels, la participation des salariés aux résultats de l'entreprise et les impôts sur les bénéfices. [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
Le résultat financier est la différence entre les produits et les charges financières, y compris d'éventuelles provisions pour dépréciation des immobilisations
financières. En résumant les éventuels produits liés aux placements financiers et les charges relatives à l'endettement de l'entreprise, le résultat financier constitue
un reflet de la politique financière de l'entreprise, exception faite des plus-values ou des charges financières exceptionnelles, qui viennent impacter le résultat
exceptionnel. [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
Le résultat exceptionnel est la différence entre les produits et les charges qui présentent un caractère exceptionnel et ne sont par conséquent pas imputables à
l'exploitation courante de l'entreprise (résultat d'exploitation et résultat financier). Les produits exceptionnels peuvent concerner des plus-values sur des cessions
d'actifs ou des dommages et intérêts obtenus suite à un procès. Symétriquement, les charges exceptionnelles peuvent traduire des moins-values sur la cession de
tels actifs, des dommages et intérêts à payer à l'issue d'un procès ou des aléas liés à un incendie criminel ou une catastrophe naturelle. Par nature, de tels
produits et charges ne sont généralement pas considérés dans des comptes prévisionnels [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
La valeur ajoutée est la différence entre le chiffre d'affaires réalisé par l'entreprise et les consommations intermédiaires. Ce qui reste est donc littéralement la
valeur que l'entreprise parvient à ajouter à ses différentes consommations intermédiaires, qui regroupent les achats nécessaires à la production ainsi que les
différentes charges externes (loyers, honoraires, coûts publicitaires et promotionnels...). La valeur ajoutée est un des principaux soldes intermédiaires de gestion
puisque cet excédent permet, s'il est suffisant, de payer les salaires et les charges sociales, les différents impôts et taxes, de générer un autofinancement
contribuant au développement de l'entreprise et de rémunérer les actionnaires via d'éventuels paiements de dividendes. [cf. onglets "CRst" et "Synthèse"].
Les produits exceptionnels sont des produits qui ne relèvent pas du cycle d'exploitation habituel de l'entreprise et qui présentent, comme leur nom l'indique, un
caractère exceptionnel. Ils ne sont, par nature, pas intégrés dans des comptes prévisionnels, qui se concentrent sur des produits et des charges d'exploitation et
des charges et des produits financiers [cf. onglet "CRst"].
Une provision est l'enregistrement comptable de la dépréciation probable d’un bien, d’un risque ou d’une charge. Lorsque cette dépréciation est effective, la
charge correspondante est enregistrée normalement. Dans le cas contraire, si la dépréciation du bien en question ne se produit pas ou si le risque risque ou la
charge anticipée ne se matérialise pas, il y a lieu d'annuler la provision correspondante via une "reprise sur provision". [cf. onglet "CRst"].
R*
La réserve légale est une "mise en réserve" des bénéfices à concurrence d'au minimum 5% du capital social de l'entreprise. Cette obligation légale de mise en
réserve cesse lorsque cette réserve atteint 10% du capital social mais la réserve devra être ajustée en cas d'augmentation du capital.
L'assemblée générale ordinaire des actionnaires (AGO) peut par ailleurs décider d'affecter une partie voire la totalité des bénéfices d'une entreprise à un ou à
plusieurs autres comptes de réserves. [cf. onglets "Paramètres" et "Bilan"].
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
101 - Capital
104 - Primes liées au capital social
105 - Ecarts de réévaluation
106 - Réserves
1061 - Réserve légale
1064 - Réserves réglementées
1068 - Autres réserves
108 - Compte de l'exploitant
110 - Report à nouveau (solde créditeur)
119 - Report à nouveau (solde débiteur)
120 - Résultat de l'exercice (bénéfice)
129 - Résultat de l'exercice (perte)
164 - Emprunts auprès des établissements de crédit
166 - Participation des salariés aux fruits de l'expansion
168 - Autres emprunts et dettes assimilées
201 - Frais d'établissement
203 - Frais de recherche et de développement
205 - Concessions et droits similaires
206 - Droit au bail
207 - Fonds commercial
208 - Autres immobilisations incorporelles
211 - Terrains
212 - Agencement et aménagement de terrains
213 - Constructions
215 - Installations techniques, matériel et outillages industriels
218 - Autres immobilisations corporelles
231 - Immobilisations corporelles en cours
237 - Avances et acomptes versés sur immobilisations incorporelles
261 - Titres de participation
267 - Créances rattachées à des participations
274 - Prêts
275 - Dépôts et cautionnements versés
276 - Autres créances immobilisées
280 - Amortissements des immobilisations incorporelles
281 - Amortissements des immobilisations corporelles
282 - Amortissements des immobilisations mises en concession
290 - Provisions pour dépréciation des immobilisations incorporelles
291 - Provisions pour dépréciation des immobilisations corporelles
293 - Provisions pour dépréciation des immobilisations en cours
297 - Provisions pour dépréciation des autres immobilisations financières
3) Comptes de stocks et en-cours
311 - Matières (ou groupe) #1
312 - Matières (ou groupe) #2
317 - Fournitures #1, #2, #3...
321 - Matières consommables
322 - Fournitures consommables
326 - Emballages
331 - Produits en cours
335 - Travaux en cours
341 - Etudes en cours
345 - Prestations de services en cours
351 - Stocks de produits intermédiaires
355 - Stocks de produits finis
358 - Stocks de produits résiduels
371 - Stocks de marchandises (ou groupe) #1
372 - Stocks de marchandises (ou groupe) #2
34* - En-cours de production de services
35* - Stocks de produits
37* - Stocks de marchandises
27* - Autres immobilisations financières
28* - Amortissements des immobilisations
29* - Provisions pour dépréciation des immobilisations
31* - Matières premières et fournitures
32* - Autres approvisionnements
33* - En-cours de production de biens
16* - Emprunts et dettes assimilées
20* - Immobilisations incorporelles
21* - Immobilisations corporelles
22* - Immobilisations mises en concession
23* - Immobilisations en cours
26* - Participations et créances rattachées à des participations
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Principaux comptes comptables
1) Comptes de capitaux
2) Comptes d'immobilisations
10* - Capital et réserves
11* - Report à nouveau
12* - Résultat net de l'exercice
13* - Subventions d'investissement
14* - Provisions réglementées
15* - Provisions pour risques et charges
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
391 - Provisions pour dépréciation des matières premières et fournitures
392 - Provisions pour dépréciation des autres approvisionnements
393 - Provisions pour dépréciation des en-cours de production de biens
394 - Provisions pour dépréciation des en-cours de production de services
395 - Provisions pour dépréciation des stocks de produits
397 - Provisions pour dépréciation des stocks de marchandises
4) Comptes de tiers
401 - Fournisseurs
403 - Fournisseurs - Effets à payer
404 - Fournisseurs d'immobilisations
405 - Fournisseurs d'immobilisations - Effets à payer
408 - Fournisseurs - Factures non parvenues
409 - Fournisseurs débiteurs
4091 - Fournisseurs - Avances et acomptes versés sur commandes
4096 - Fournisseurs - Créances pour emballages et matériel à rendre
411 - Clients
413 - Clients - Effets à recevoir
416 - Clients douteux ou litigieux
417 - 'Créances' sur travaux non encore facturables
418 - Clients - Produits non encore facturés
419 - Clients créditeurs
4191 - Clients : Avances et acomptes reçus sur commandes
4196 - Clients : Dettes pour emballages et matériel consignés
421 - Personnel - Rémunérations dues
424 - Participation des salariés aux fruits de l'expansion
425 - Personnel - Avances et acomptes
428 - Personnel - Charges à payer et produits à recevoir
431 - Sécurité sociale
437 - Autres organismes sociaux
437 - Organismes sociaux - Charges à payer et produits à recevoir
441 - Etat - Subventions à recevoir
442 - Etat - Impôts et taxes recouvrables sur des tiers
444 - Etat - Impôts sur les bénéfices
445 - Etat - Taxes sur le chiffre d'affaires
4455 - Taxes sur le chiffre d'affaires à décaisser
4456 - Taxes sur le chiffre d'affaires déductibles
4457 - Taxes sur le chiffre d'affaires collectées par l'entreprise
4458 - Taxes sur le chiffre d'affaires à régulariser ou en attente
447 - Autres impôts, taxes et versements assimilés
448 - Etat - Charges à payer et produits à recevoir
455 - Associés - Comptes courants
456 - Associés - Opérations sur le capital
457 - Associés - Dividendes à payer
468 - Divers - Charges à payer et produits à recevoir
4686 - Charges à payer
4687 - Produits à recevoir
471 - Comptes d'attente #1
472 - Comptes d'attente #2
476 - Différence de conversion - Actif
477 - Différence de conversion - Passif
478 - Autres comptes transitoires
481 - Charges à répartir sur plusieurs exercices
486 - Charges constatées d'avance
487 - Produits constatés d'avance
491 - Provisions pour dépréciation des comptes de clients
496 - Provisions pour dépréciation des comptes de débiteurs divers
5) Comptes financiers
502 - Actions propres
503 - Actions
5031 - Actions - Titres cotés
5031 - Actions - Titres non cotés
506 - Obligations
508 - Autres valeurs mobilières et créances assimilées
511 - Valeurs à l'encaissement
512 - Banque
5121 - Banque - Comptes en francs
5124 - Banque - Comptes en devises
514 - Chèques postaux
517 - Autres organismes financiers
518 - Intérêts courus
5186 - Intérêts courus à payer
5187 - Intérêts courus à recevoir
519 - Concours bancaires courants
53* - Caisse
47* - Comptes transitoires ou d'attente
48* - Comptes de régularisation
49* - Provisions pour dépréciation des comptes de tiers
50* - Valeurs mobilières de placement
51* - Banques et établissements financiers et assimilés
42* - Personnel et comptes rattachés
43* - Sécurité Sociale et autres organismes sociaux
44* - Etat et autres collectivités publiques
45* - Groupe et associés
46* - Débiteurs divers et créditeurs divers
39* - Provisions pour dépréciation des stocks et en-cours
41* - Clients et Comptes rattachés
40* - Fournisseurs et Comptes rattachés
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
531 - Caisse siège social
5311 - Caisse en francs
5314 - Caisse en devises
6) Comptes de charges
601 - Achats stockés - Matières premières (et fournitures)
602 - Achats stockés - Autres approvisionnements
603 - Variation des stocks (approvisionnements et marchandises)
6031 - Variation des stocks de matières premières (et fournitures)
6032 - Variation des stocks des autres approvisionnements
6033 - Variation des stocks de marchandises
604 - Achats d'études et prestations de services
605 - Achats de matériel, équipements et travaux
606 - Achats non stockés de matière et fournitures
607 - Achats de marchandises
6071 - Achats de marchandises (ou groupe) #1
6072 - Achats de marchandises (ou groupe) #2
609 - Rabais, remises et ristournes obtenues sur achats
611 - Sous-traitance générale
612 - Redevances de crédit-bail
6122 - Redevances de Crédit-bail mobilier
6125 - Redevances de Crédit-bail immobilier
613 - Locations
6132 - Locations immobilières
6135 - Locations mobilières
614 - Charges locatives et de co-propriété
615 - Entretien et réparations
616 - Primes d'assurance
617 - Etudes et recherches
618 - Frais divers (documentation, conférences...)
621 - Personnel extérieur à l'entreprise
622 - Rémunérations d'intermédiaires et honoraires
623 - Publicité, publications, relations publiques
624 - Transport de biens et transports collectifs du personnel
625 - Déplacements, missions et réceptions
626 - Frais postaux et frais de télécommunications
627 - Services bancaires et assimilés
628 - Frais divers (cotisations, frais de recrutement...)
629 - Rabais, remises et ristournes obtenus sur autres services extérieurs
631 - Impôts, taxes et versements assimilés sur rémunérations (administration des impôts)
6311 - Taxe sur les salaires
6312 - Taxe d'apprentissage
6313 - Participation des employeurs à la formation professionnelle continue
6314 - Cotisation pour défaut d'investissement dans la construction
633 - Impôts, taxes et versements assimilés sur rémunérations (autres organismes)
6331 - Versement de transport
6332 - Allocation logement
6333 - Participation des employeurs à la formation professionnelle continue
6334 - Participation des employeurs à l'effort de construction
6335 - Versements libératoires ouvrant droit à l'exonération de la taxe d'appentissage
635 - Autres impôts, taxes et versements assimilés (administration des impôts)
6351 - Impôts directs (sauf impôts sur les bénéfices)
63511 - Taxe professionnelle
63512 - Taxes foncières
63513 - Autres impôts locaux
6351 - Impôts indirects
6354 - Droits d'enregistrement et de timbre
637 - Autres impôts, taxes et versements assimilés (autres organismes)
6371 - Contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés
6372 - Taxes perçues par les organismes publics internationaux
6374 - Impôts et taxes exigibles à l'Etranger
6378 - Taxes diverses
641 - Rémunération du personnel
6411 - Salaires, appointements, commissions de base
6412 - Congés payés
6413 - Primes et gratifications
6414 - Indemnités et avantages divers
6415 - Supplément familial
644 - Rémunération du travail de l'exploitant
645 - Charges de sécurité sociale et de prévoyance
6451 - Cotisations à l'Urssaf
6452 - Cotisations aux mutuelles
6453 - Cotisations aux caisses de retraites
6454 - Cotisations aux Assedic
6458 - Cotisations aux autres organismes sociaux
646 - Cotisations sociales personnelles de l'exploitant
647 - Autres charges sociales
6471 - Autres charges sociales - Prestations directes
6472 - Versements aux comités d'entreprise et d'établissement
6473 - Versements aux comités d'hygiène et de sécurité
6474 - Versements aux autres oeuvres sociales
63* - Impôts, taxes et versements assimilés
64* - Charges de personnel
58* - Virements internes
59* - Provisions pour dépréciation des comptes financiers
60* - Achats
61* - Services extérieurs
62* - Autres services extérieurs
(c) Etienne Krieger, 2009-2012
6475 - Médecins du travail, pharmacie
648 - Autres charges de personnel
651 - Redevances pour concessions, brevets, licences, procédés, droits et valeurs similaires
653 - Jetons de présence
654 - Pertes sur créances irrécouvrables
655 - Quote-part de résultat sur opérations faites en commun
658 - Charges diverses de gestion courante
661 - Charges d'intérêts
665 - Escomptes accordés
666 - Pertes de change
667 - Charges nettes sur cession de valeurs mobilières de placement
668 - Autres charges financières
671 - Charges exceptionnelles sur opérations de gestion
678 - Autres charges exceptionnelles
681 - Dotations aux amortissements et aux provisions d'exploitation
686 - Dotations aux amortissements et aux provisions financières
687 - Dotations aux amortissements et aux provisions exceptionnelles
691 - Participation des salariés aux fruits de l'expansion
695 - Impôts sur les bénéfices
697 - Imposition forfaitaire annuelle des sociétés
699 - Produits - Reports en arrière des déficits
7) Comptes de produits
701 - Ventes de produits finis et intermédiaires
7011 - Ventes de produits finis et intermédiaires en France
7014 - Ventes de produits finis et intermédiaires à l'export
706 - Travaux, études et prestations de services
7061 - Travaux, études et prestations réalisées en France
7064 - Travaux, études et prestations réalisées à l'export
707 - Ventes de marchandises
7071 - Ventes de marchandises en France
7074 - Ventes de marchandises à l'export
708 - Produits des activités courantes
709 - Rabais, remises et ristournes accordés par l'entreprise
713 - Variation des stocks (en-cours de production, produits)
7131 - Variation des en-cours de production de biens
7134 - Variation des en-cours de production de services
7135 - Variation des stocks de produits
721 - Production immobilisée - Immobilisations incorporelles
722 - Production immobilisée - Immobilisations corporelles
731 - Produits nets partiels sur opérations en cours
739 - Produits nets partiels sur opérations terminées
741 - Subventions d'exploitation - Etat
742 - Subventions d'exploitation - Collectivités territoriales
743 - Subventions d'exploitation - Autres organismes
751 - Redevances pour concessions, brevets, licences, marques, procédés, droits et valeurs similaires
758 - Produits divers de gestion courante
761 - Produits de participations
761 - Produits des autres immobilisations financières
764 - Revenus des valeurs mobilières de placement
765 - Escomptes obtenus
766 - Gains de change
767 - Produits nets sur cessions de valeurs mobilières
768 - Autres produits financiers
771 - Produits exceptionnels sur opérations de gestion
775 - Produits des cessions d'éléments d'actif
777 - Quote-part des subventions d'investissement virée au résultat de l'exercice
778 - Autres produits exceptionnels
781 - Reprises sur amortissements et provisions d'exploitation
786 - Reprises sur amortissements et provisions financiers
787 - Reprises sur amortissements et provisions exceptionnels
791 - Transferts de charges d'exploitation
796 - Transferts de charges financières
797 - Transferts de charges exceptionnelles
75* - Autres produits de gestion courante
76* - Produits financiers
77* - Produits exceptionnels
78* - Reprises sur amortissements et provisions
79* - Transferts de charges
69* - Participation des salariés - Impôts sur les bénéfices et assimilés
70* - Ventes de produits fabriqués, prestations de services, marchandises
71* - Production stockée (ou déstockage)
72* - Production immobilisée
73* - Produits nets partiels sur opérations à long terme
74* - Subventions d'exploitation
65* - Autres charges de gestion courante
66* - Charges financières
67* - Charges exceptionnelles
68* - Dotations aux amortissements et aux provisions
(c) Etienne Krieger, 2009-2012