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NO 979 - 14 novembre 20135 numéros par semaine • Gratuit avec Le Nouvelliste

Monuma Constantcapitaine courage

2 14 novembre 2013No 979

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL

RÉDACTEUR EN CHEFGaëlle C. ALEXIS

SECRÉTAIRE DE RÉDACTIONDaphney Valsaint MALANDRE

RÉDACTIONDimitry Nader ORISMAGilles FRESLET Myria CHARLESWinnie Hugot GABRIELTeddy Keser MOMBRUNJunior Plésius LOUISRaphaël FÉQUIÈREEnock NÉRÉLégupeterson ALEXANDRE

CORRECTION

CRÉATION ARTISTIQUEResponsable graphiqueRéginald GUSTAVEStevenson ESTÈVEPhotographesFrederick C. ALEXISHomère CARDICHONJules Bernard DELVAMoranvil MERCIDIEUYonel LOUIS

Publicité: 2941-4646 [email protected]

Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717

Une publication de Ticket Magazine S.A.

34 826FANS

AGENDA DE Préparé par Daphney Valsaint MALANDRE

Découvrez chaque semaine les coins branchés, les restos en vogue et les meilleures affiches de la ville avec en prime les recommandations de votre magazine préféré ! N’hésitez pas non plus à nous faire parvenir vos affiches à l’adresse e-mail suivante : [email protected]

Dans son autobiographie à paraître le 21 novembre prochain, le boxeur Mike Tyson révèle avoir utilisé un faux pénis pour cacher sa dépendance à la cocaïne et à la marijuana.

Pour échapper aux contrôles antidopage, les sportifs n’usent pas toujours des méthodes les plus sophistiquées. Dernier exemple en date : le boxeur Mike Tyson. Dans son autobiographie à paraître le 21 novembre prochain, dont des extraits ont été relayés par le Telegraph, l’ancien champion du monde révèle avoir utilisé un faux pénis lors de ses contrôles antidopage. À l’époque, le sportif était drogué, accro à la cocaïne et à la marijuana. Lors de sa confron-tation perdue en 2004 face au britannique Danny Williams, Mike Tyson s’était drogué quelques minutes à peine avant le combat. Il avait fait de même en 2000 à Glasgow lors de son combat face à Lou Savarese, ou encore en 2002 peu avant une conférence de presse qui avait alors dégénéré.

La cocaïne est classifiée en tant que produits dopants. D’après Mike Tyson, sa consommation n’était pas en lien avec ses perfor-mances, mais plutôt avec ses nombreuses virées nocturnes de l’époque. Il s’agissait alors de placer dans le sexe artificiel une urine propre, d’une autre personne. En 2000, le boxeur avait toutefois été sanctionné d’une amende de 200 000 dollars, contrôlé positif à la marijuana, après un combat face à Andrew Gonola.

Le faux pénis deMike Tyson

Jeudi 14 novembre 2013

« L’Odyssée des musiques noires »

Arrêtez-vous au Musée du pan-théon national haïtien (MUPANAH) et offrez-vous un tour dans l’histoire de la musique noire. Cette exposition, qui se poursuivra jusqu’au 27 novembre, est le fruit d’un partenariat entre l’Institut français et le Mupanah.

James Germain à l’Institut français en Haiti

Dans le cadre de « L’Odyssée des musiques noires », retrouvez le chanteur James Germain et le groupe Fanm Zile en concert à l’Institut français en Haïti à partir de 7 h p.m. ce jeudi.

Vente-signature de « Le coq de mon père, une enfance haïtienne »à l’Institut francais en Haiti

Catherine de Silguy et Jules Bert Jean, membres de l’association Solèy Lakay qui œuvre à la construction de maisons et l’installation de pompes solaires pour l’eau potable, signent ce jeudi l’ouvrage « Le coq de mon père, une enfance haïtienne » à l’Institut français à partir de 5 h p.m.

Admission : gratuite

BélO à Café 36

Le chanteur BélO donne rendez-vous à ses fans à Café 36, ce jeudi dès 8 h p.m., pour une nuit haut en couleur.

Admission : 500 Gdes

Vendredi 15 novembre 2013

BIC en concert à l’Institut français en Haiti

Dans le cadre de la tournée organisée par le réseau culturel franco-haïtien, le chanteur, guitariste et parolier Roosevelt Saillant, BIC, sera en concert à l’Institut français ce vendredi à partir de 7 h p.m.

Admission : gratuite

Ansyen bon toujou bon à Best Western

Faites un tour dans le passé et revivez ces succès qui ont marqué votre jeunesse avec Dj Rocsteady. Le rendez-vous est fixé à 6 h p.m. à l’hôtel Best Western.

Pijama party à IboleleRevêtez votre pyjama favori et retrou-

vez Gio-K, J-Perry et les Djs Franco the Saint et Anthony pour une nuit haut en couleurs.

Samedi 16 novembre 16

T-Vice et Kreyòl La à Cabane Chou-coune

Ne râtez pas « Battle of freedom », où les groupes T-Vice et Kreyòl La s’affronte-ront pour le bonheur de leurs fans dans un « Cabane Choucoune » récemment ré-ouvert.


Dimanche 17 novembre 2013

« Step Afrika » à place Boyer

Pour la première fois, la compagnie de danse « Step Afrika » se produira en Haïti. Ne râtez pas cette expérience unique qui aura lieu sur la place Boyer, à Pétion-Ville dès 6 h p.m.

9e anniversaire de Rockfam au Parc Midore

Célébrez les 9 ans de la bande à Pikan au Parc Midore à partir de 4 h p.m. avec les groupes Kreyòl La et T-Vice.


314 novembre 2013No 979

Née à Port-au-Prince, Rachelle est une passionnée de la peinture. Ce coup de cœur pour le pinceau lui vient dès son plus jeune âge. En grandissant sa vocation se dessine de plus en plus clai-rement. Ainée de six frères et sœurs, elle porte en elle cette chaleur, cette vivacité qui attise de jour en jour sa curiosité de mieux s’accaparer de l’art. C’est une boulimique. Rien n’arrive à sustenter sa soif d’apprendre.

La compagnie de son père, ingénieur, dans de nombreux voyages en province n’a pas été sans influence sur sa vie. Elle a très tôt découvert les villes, les monta-gnes, les rivières et les plages ensoleillées d’Haïti, sans oublier la chaleur l’hospita-lité des gens et la richesse incommensu-rable de notre culture!

Chez les Sœurs de Sainte-Anne, Rachelle est introduite au monde des couleurs et en a largement profité grâce au professeur Solange Gentil et le célèbre Maître TiGa de Saint Soleil pour déballer son amour pour la peinture.

Pour Rachelle la peinture ne se ré-sume pas à la juxtaposition des couleurs sur la toile. Mais c’est vivre pleinement. La liberté, est la principale arme entre les mains de l’artiste avec laquelle elle va à la conquête de son inspiration. C’est l’intensité. La fraicheur. L’harmonie qui se dégage de ses nuances. Chez elle les cou-leurs ont une vie. Les teintes interpellent. Elles parlent et font pénétrer dans le for intérieur de l’artiste où tout est sensibi-lité, étonnement, magique et beauté.

Le pinceau est pour elle cet ami indé-fectible qui partage avec elle de profonds sentiments. Dans la candeur des images, la vision de Rachelle s’exprime avec fascination et devient péremptoirement poésie.

Chez elle, il y a le sens de l’image. Dans sa vision s’allient souci du travail ac-compli et quête de soi et de l’autre avec cette volonté impérieuse de peaufiner sans relâche son talent. Et c’est avec une fierté cocardière et des étoiles plein les yeux, que la peintre nous fait part de sa vision: « Nous sommes un peuple très créatifs, lutteurs et rudes travailleurs! Notre devise étant l’Union fait la Force, rappelons-nous que les plus grandes réalisations de notre monde ont été accomplies par des hommes fatigués et découragés qui ont continué à travailler! »

En s’approchant de la peintre on se heurte carrément à une vie intérieure tellement intense que le pouvoir des mots s’affaiblit pour céder droit de cité aux images. Mais Joseph Hans Peter tentant de traduire ses sensations ne fait pas faux bond : « Chaque clapotis de vague, chaque berge, revisite l’océan ses caprices, ces images, ses mystères au gré d’émotions diverses ».

Elle n’a pas connu que des jours heureux. Bon nombre de membres de sa famille ont connu des moments horri-bles en prison ou ont été assassinés en défendant les principes des droits de l’homme. Cependant, rien n’a pu attiédir sa flamme.

Rachelle Scott vient de représenter Haïti à la 9e édition d’Expo-Artistas 2013 en Argentine. Aux cotés d’artistes provenant de divers pays de l’Amérique latine, la peintre a rendu à l’art haïtien ses lettres de noblesse.

Esquisse biographiqueEn 1991, elle accepte une position

de gestion de projets aux EEUU ou elle part seule accompagnée de sa fille ainée, Stéphanie et y vivra près de 20 ans. Elle travaille dans l’équipe de management de grandes multinationales en charge de l’Amérique Latine et a l’opportunité de visiter nombreux pays de l’Amérique Centrale et du Sud. Elle poursuit en parallèle une nouvelle carrière et obtient

avec honneur un diplôme en Ressources Humaines et Gestion d’Entreprises. En 1999, en Floride, elle rencontre Rafael, et sa fille Daniella, un immigrant d’origine Péruvienne et se marient, d’ou nait, en 2000 leur adorable Saskia. En 2005, elle rejoint son mari dans son entreprise et se dédie a sa famille et a la peinture Le peintre naît, privilégiant, sa palette, ses quêtes, ses recherches.

Lord Edwin [email protected]

Rachelle Scotticône haïtienne de la peinture


L’ancien rappeur de Barikad Crew rejoint officiellement le nouveau groupe musical à tendance compas, Bèl Plezi, après avoir quitté le groupe rap de la rue Nicolas (Bas-Peu-de-chose).

Depuis environ huit mois, on avait annoncé le départ de Jean Marc-André a.k.a. Marco du groupe Barikad Crew. Certains n’en croyaient pas leurs oreilles et espéraient que le rappeur reviendrait sur sa décision et regagnerait les rangs du groupe de Papa K-Tafalk. D’autres pensaient tout simplement qu’il allait faire comme beaucoup d’autres, à savoir intégrer ou former un autre groupe rap ou encore réaliser un mixtape ou un album personnel.

Non, ça n’a pas été le cas. Au contraire, après ses expériences dans le mouvement rap avec BC, Marco intègre un groupe musical compas appelé Bèl Plezi, fraîchement né. Pourquoi le choix de cet ancien MC de BC de passer du rap au compas ?

« J’ai quitté BC depuis mars 2013, je pouvais me hâter de faire un album comme les autres rap-peurs, mais cela ne servirait à rien puisqu’on sait comment cela se termine toujours. Moi, je crois plus dans le travail d’équipe. Quand ils m’ont approché, j’ai pris la décision de rejoindre Bèl Plezi. J’ai un contrat de 10 ans avec eux comme dit Black EZ », a déclaré Marco.

Quant à ceux qui disaient que Marco ne pouvait pas chanter du compas, il les envoie écouter les deux premières chansons de Bèl Plezi qu’il chante en duo avec Berto tout en précisant qu’un vérita-ble chanteur devrait être en mesure de chanter sur une musique de n’importe quelle tendance.

Freslet [email protected]

Marco du rap au compas Lyrics« Baby I miss you »Carimi featuring Mikaben

Baby I miss youDe jou an jou sa vin pi difisilMwen anvi ri e mwen anvi vivMen m pa kapabMwen jalou lè m wè de moun renmenTankou granmoun m ape plenyenLè m wè moun men dan la men Pa gen moun ki konnen sa ou ye pou mwenOu se sèl chimen mwen lè m chagrenM anvi kenbe men w cheriM anvi kenbe kò wM anvi kenbe men w pou m di wJan mwen santi mJan mwen sonje Baby I miss youOhhh I miss youBaby I miss you(I know and girl I miss you too) I wanna feel your body close to mineCause you the only thing on my mindIt’s getting colder as the days go byI’m laying in this bed without you by my sideI’m reminiscing on the way you wineThe way you wineI want you girl cause you so damn fineI think you got me under your spellYou left the whisper of your smell on my skinGirl I can’t wait to hear you say Baby I miss youOhhh I miss youBaby I miss you(I know and girl I miss you too) Mwen tap konte jou pou mwen avè wE mwen vle fou lè m wè w ap kouri lan bra mRakonte m tout san w pa manke yon jouMenm si ou lwen kè m ap toujou batToujou bat Pa gen moun ki konnen sa ou ye pou mwenOu se sèl chimen mwen lè m chagrenM anvi kenbe men w cheriM anvi kenbe kò wM anvi tande vwa w k ap diJan ou renmen mwenJan w te sonje mwen Baby I miss youOhhh I miss youBaby I miss you(I know and girl I miss you too)

514 novembre 2013No 979

NDLR : Au moment où nous mettons sous presse, le Racing Club Haïtien est qualifié pour la finale du Super 8. L’équipe remporte la victoire à la faveur de son match aller (1-1) sur la pelouse du Don Bosco. Au match retour, les deux forma-tions avaient fait (0-0) chez le Racing.

Son père a longtemps fait le bonheur du Violette Athlétic Club. Lui, il souhaite rempor-ter le championnat national de D1 avec le Racing Club Haïtien, son ennemi juré. Son père a longtemps brillé comme attaquant, lui, il est le travailleur de l’ombre qui, à son poste de milieu récupé-rateur, est souvent le déposi-taire du jeu de son équipe. En plus, il peut jouer à différents postes et, pour beaucoup, s’il n’est pas aussi brillant que son père, il est plus important dans une formation de foot-ball. Donc, en termes d’utilité, le fils aurait dépassé son père. Son nom : Monuma Constant Jr, et il est capitaine du Racing Club Haïtien.

« Je veux offrir un titre national au

Racing Club Haïtien avant de tirer ma référence.» En une phrase, Monuma Constant Jr relativise le temps qui lui reste à jouer comme footballeur. Ça peut-être une saison, deux saisons ou encore cinq. Tout dépend du temps qu’il lui faudra pour atteindre son objectif : Brandir le trophée de champion national comme joueur du Racing Club Haïtien.

Un visage émacié taillé au burin sur lequel un sourire n’apparaît que très rarement, un caractère d’homme résigné empreint d’une certaine détermination, Monuma Constant fait son entrée sur la pelouse comme un soldat qui va en guerre. Pour lui, un match est avant tout une bataille, une bataille qui ne vise ni à blesser ni à tuer l’adversaire.

Ce caractère décidé, Monuma Constant Jr le traîne depuis son enfance. « J’ai fait mes premières gammes à la rue Fleury Battier et les gens qui m’ont vu jouer m’ont toujours dit que je suis doué et que j’ai du caractère, ce qui fait que j’étais promis à un bel avenir », se sou-vient le joueur évoluant en Haïti. Il a été le jouer le plus utilisé par le Cubain Israël Blake Cantero, durant les 15 mois rue ce dernier a passés à la tête de la sélection nationale.

C’est au Qatar que le joueur du Racing Club Haïtien a réussi son but planétaire en novembre 2010. Un tir de plus de 40 mètres qui finit dans la lucarne du portier Qatarite qui doit se demander encore : « Où est passé le ballon ? »

Désigné par le staff du Racing Club Haïtien au concours « Meilleur joueur Sogexpress 2013 », Monuma Constant Jr apprécie : « Cela représente beau-coup pour moi. Il y a tant de joueurs qui disputent la compétition et faire partie du nombre restreint des nominés me rappelle que je dois continuer à travailler plus dur puisque le travail est toujours payant. »

Si le fils aîné de Monuma Constant et de Josette Néré dispute les demi-finales contre son ancien club, le Don Bosco de Pétion-Ville, cela ne modifie pas sa soif de vaincre. « Je n’ai jamais remporté

Fiche techniqueNom : ConstantPrénoms : Monuma JrDate de naissance : 1er avril 1982Lieu de naissance : Port-au-princeNiveau d’études : Universitaires/Sciences Informatiques et Sciences comptablesEtat civil : Célibataire, 3 enfantsSport pratiqué : FootballPoste : milieu récupérateur mais il est polyvalentClubs successifs : Victory, ASCAR, Don Bosco, Racing Club HaïtienPalmarès : Super champion 2007 avec le Don BoscoFinaliste D2 en 2004 : VictoryV-Champion national avec ASCAR

Insolite La mère de Monuma Constant Jr, Josette Néré, a le don

de donner naissance à des footballeurs. En effet, Josette Néré est aussi la mère du demi-frère de Monuma Constant Jr, Fabio Testi Junior qui a longtemps joué à l’ASCAR avant de rejoindre son aîné au Racing Club Haïtien. Fabio Testi a quitté le pays pour des études supérieures et a abandonné le football.

Monuma Constantcapitaine

courage

cette compétition et le fait de disputer les demi-finales me laisse encore les chances de pouvoir la remporter cette saison, donc autant se donner à fond contre quelle que soit l’équipe.»

Enock [email protected]

Jeudi 14 novembre 20136

On n’oubliera pas de sitôt cette finale à suspens de double messieurs opposant la paire composée de Georges Jean-Jacques / Didier Blaise à Ricardo Joseph / Miguel Labossière. Les amateurs et passionnés du “ Volant “ (nom donné à la balle dans le badminton ) se sont bien régalés le dimanche 10 novembre 2013 au temple du basket (gymnasium Vincent).

jeudi à partir de cinq heures avec l'entrée en lice des dames qui verra s'affronter en simple dames :

Ketly Mars- Yanick Pierre Louis Double mixteVladimir Gousse / Ketly Mars-Do-

nald Célestin / Yanick Pierre LouisA signaler que la HBC en a pro-

fité pour rendre un hommage tout à fait spécial et mérité à ce pionner du badminton en la personne de Fritz Berrouet où ses deux filles Mmes Gla-dys et Marie-Hélène avaient été les invitées d'honneur de la cérémonie.

Emmanuel Bellevue/[email protected]

Quand Georges Jean-Jacques et Didier Blaise enflamment le gymnasium Vincent

Le Top 3 en double messieurs avec de gauche à droite : Dr Laroche / Nicolas (3e), Jean-Jacques / Didier (champion) et Ricardo / Miguel (vice-champion

De gauche à droite : Daniel Jacques (badminton club de Verrettes (3e), Ricardo Joseph (champion) et Widly Saint Elien (vice-champion. Ils sont accompagnés des soeurs Berrouet

L’Uruguay, facile vainqueur 5-0 de la Jordanie mercredi, grâce notamment à un beau but de

l’omniprésent Edinson Cavani, peut d’ores et déjà se préparer …

L’Uruguay, facile vainqueur 5-0 de la Jordanie mercredi, grâce notam-ment à un beau but de l’omniprésent Edinson Cavani, peut d’ores et déjà se préparer à aller au Mondial-2014

au Brésil, le retour dans une semaine s’apparentera à une formalité.

Les Uruguayens, qui en sont à leur quatrième barrage continental (deux qualifications, un échec), n’ont souffert qu’en début de partie face à des Jordaniens gonflés à bloc et très chaudement encouragés par leurs nombreux supporteurs du stade national d’Amman.

L’Uruguay a un pied au BrésilCoupE Du MoNDE 2014 / BaRRagES

BaDMINToN

2 sets à 0 tel a été le résultat de cette finale âprement disputée entre les deux équipes. Les sco-res 15-13 et 16-14 témoignent

justement le niveau et la qualité du spectacle fournie par les athlètes et qui ont soulevé des applaudissements du côté du public.

Que ce soit dans le premier et deuxième set, la paire formée de Labossière / Ricardo avait l'occasion de prendre l'avantage et même créer la surprise mais il manquaient chez eux une certaine vision de se faire une idée sur le niveau de forme de leurs adversaires. Entre Ti Georges et Didier, lequel n'accusait pas la forme sur la surface de jeu ?

Haïti Badminton Club principal organisateur de la compétition, peut déjà s'enorgueillir d'avoir bien démar-ré la saison en faisant justement d'une pierre deux coups : Championnat et Rallye de badminton au gymnasium Vincent.

Parlant de " Rallye " restons-y pour annoncer cette invitation lancée par le Badminton Club de Verrettes qui convie tous les badistes à ces deux journées (17 et 18 novembre) à la fois sportives et récréatives auxquel-les ceux qui feront le déplacement auront l'occasion de découvrir cette localité située dans le bas Artibonite. Tourisme intérieur oblige !

Dr Mario Laroche et Miguel La-bossière respectivement président et secrétaire de Haïti Badminton Club (HBC), nous ont parlé de toute une série d'activités à venir dans le bad-minton, mais le grand problèmea-t-il précisé reste les commanditaires qui tardent toujours à venir en aide à cette discipline.

La preuve pour ce championnat qui marquait la reprise des activité pour la nouvelle saison seulement Digicel et Tropic SA répondu d'une manière positives et le reste des dé-penses a été effectué à partir de la cotisation des membres.

Les autres résultats enregistrés pour l'avant dernière journée de championnat sont les suivants :

Finale senior simple messieursGeorges Jean-Jacques bat Didier

Blaise 2 sets à 0 soit (15-9) et (15-9)Finale open simple messieursRicardo Joseph bat Widly Saint

Elien 2 sets à 1 soit (15-11), (13-15) et (15-9)

La dernière journée est fixée ce

Jeudi 14 novembre 2013 7

Le boxeur haïtien Bermane Stiverne aurait obtenu l'assurance d’affronter Vitali Klitschko, si ce dernier n’opte

pas pour la retraite. Stiverne pourrait, dès le printemps prochain, réaliser son rêve d’affronter l’Ukrainien de 42 ans, actuel champion du monde des poids lourds du WBC. Stiverne (23-1-1, 20 K.-O.) avait appris cet automne qu'il devrait user de patience pour obtenir son combat de championnat contre l’aîné des frères Klitschko (45-2, 41 K.-O.), blessé à une main. Âgé de 36 ans, notre compatriote est présente-ment l'aspirant obligatoire au titre que détient Klitschko. Rappelons que le champion du monde n'écarte pas la possibilité d'accrocher ses gants avant d'affronter Stiverne. Outre son état de santé, Klitschko vise aussi une candida-ture à la présidence de son pays.

Source : RDS.ca

Stiverne vivra-t-il son rêve ?

l’espace. Moi aussi, je peux y aller et tout le monde aussi. Il ne faut pas s’imposer de limites », a-t-il insisté.

Une bonne recetteVoyant qu’il connaissait du suc-

cès dès l’adolescence en mettant en pratique les trois clés, Jean a décidé d’appliquer sa méthode sur les bancs d’école. « Je voulais devenir policier, mais j’avais une moyenne de 68 % en secondaire 1. J’ai décidé de travailler, d’être discipliné et de persévérer. J’ai obtenu une moyenne de 84 %. J’ai même eu 95 % en chimie et 94 % en physique », a mentionné celui qui a complété un diplôme collégial

Il aimerait imiter son idole et mentor Roy Jones junior et passer des mi-lourds à la division des lourds.

Départ pour VegasJean Pascal pourra, encore une fois,

compter sur les conseils de Jones junior pour sa préparation de son combat du 18 janvier face au Lavallois Lucian Bute. D’ailleurs, il s’envolera pour Las Vegas, la semaine prochaine, pour amorcer son camp d’entraînement. « Je vais y rester pendant un mois avant d’aller poursuivre ma préparation à 8000 pieds d’altitude, afin d’augmenter la quantité de globules rouges dans mon sang. Ce type d’entraînement permet à mon

en techniques policières au Collège Ahuntsic.

De nombreuses questionsIl leur a parlé de sa carrière de

boxeur amateur et professionnel et répondu à de nombreuses questions sur son entraînement, sa nutrition, son éducation et bien entendu sur son salaire. Les jeunes ont eu des auto-graphes et se sont fait photographier avec la vedette du jour.

Roy Jones junior un modèleLe Lavallois a également parlé de

ses ambitions futures dans la boxe.

organisme de développer davantage de globules rouges en raison du manque d’oxygène en altitude. Les globules rouges transportent l’oxygène dans le sang », a-t-il expliqué. Jean a déjà utilisé cette technique d’entraînement pour son combat face à Dawson. Il s’était alors entraîné en Colombie. « Je vais me préparer pour affronter le meilleur Bute et je suis convaincu qu’il fera la même chose. Ce sera une véritable guerre, un combat historique pour la boxe alors que ce sera diffusé sur HBO », a-t-il conclu.

Sylvain Lamarre

Travail, discipline et persévérance :la recette du succès de Jean Pascal

Le boxeur haïtien Jean pascal

Mais, dès la 22e minute, Maxi Pereira s’est chargé de signifier aux joueurs jordaniens

et à leurs fans la différence abyssale (64 places au classement Fifa) entre les deux pays. Sur une tête de Cavani, le gardien jordanien Abdulla al-Zubi a repoussé le ballon dans les pieds de défenseur du Benfica qui n’a alors pas raté l’occasion d’ouvrir le score.

L’Uruguay, demi-finaliste du Mondial-2010 et champion d’Amé-rique du Sud en titre, est en effet 6e mondiale, les Jordaniens, 70e, ayant déjà réalisé leur meilleure perfor-mance historique en atteignant les barrages continentaux.

Vingt minutes plus tard, Christian Stuani a doublé la mise pour les dou-bles champions du monde après une passe décisive de Cavani.

Dès lors, la partie était quasiment terminée même si Lodeiro (69e), Cristian Rodriguez (78e) et Cavani (90e+2), buteur grâce à un beau coup franc à l’entrée de la surface de réparation, ont ajouté trois autres buts au grand désarroi du public et des joueurs locaux.

Les Jordaniens, qui n’ont eu qu’une occasion franche de but, doivent s’attendre à souffrir une nouvelle fois dans une semaine à Montevideo.

L’Uruguay a un pied au Brésil

CoupE Du MoNDE 2014 / BaRRagES

Neymar doit changer de téléphone tous les 15 jours

C’est l’un des effets contrariants de la notoriété. Depuis qu’il a si-gné au FC Barcelone, l’attaquant

brésilien Neymar est l’objet de toutes les sollicitations, y compris de ses fans, souvent féminines d’ailleurs. Elles se font appeler les « Neymarzettes » et si l’international brésilien apprécie leur soutien, l’intérêt qu’elles lui portent le dépasse parfois.

Neymar est harcelé par ses fans au téléphone

Au point d’obliger la star du Fc Barcelone à changer de téléphone portable tous les 15 jours en moyen-ne. C’est Neymar, qui l’a lui même dit sur profil Instagram : « Je ne peux pas avoir le même numéro de téléphone plus de deux semaines consécutives parce que des personnes qui disent être mes fans passent toute la nuit à m’appeler ou à me laisser des mes-sages ».

L’attaquant du Fc Barcelone veut qu’on le laisse tranquille

Dans son message, Neymar souli-gne combien le soutien des « Neymr-zettes » importe à ses yeux mais il conclu son post en les appelant à calmer le jeu, pour sa tranquillité ainsi que celle de ses proches : « S’il vous plaît arrêtez de me déranger » sup-plie-t-il en désespoir de cause.

Une rencontre inspirante pour de jeunes élèves adultes. Jean Pascal a été une source d’inspi-

ration, le 6 novembre dernier, pour une trentaine d’élèves de l’école pour jeunes adultes Les Berges qu’il a rencontrés à la bibliothèque multi-culturelle.

Communicateur-né, Jean Pascal a donné la recette de son succès aux jeunes adultes de l'école Les Berges - © Photo Vincent Graton

Le pugiliste lavallois a parlé de son ascension dans le monde de la boxe. L’ancien monarque a répété à de nombreuses reprises les trois clés du succès qui l’ont toujours guidé dans sa carrière, soit le travail, la discipline et la plus importante, la persévérance. Il a aussi ajouté que sans la confiance, tu ne pouvais réussir. Il a donné de nom-breux exemples concrets. « Après ma première défaite chez les amateurs, je voulais arrêter de boxer. La défaite fait partie de l’apprentissage. Ça te permet de rebondir et de revenir plus fort », a précisé celui qui avait prédit à son frère aîné qu’il serait champion canadien avant lui. Pascal avait vu juste puisqu’il a remporté le titre en 1998, à Halifax. « C’est à ce moment-là que j’ai pris la boxe au sérieux », a avoué celui qui a décroché sept titres de champion national, en plus d’avoir été le seul à recevoir trois fois la palme du meilleur boxeur toute catégorie au Canada. « Quand j’ai perdu mon premier combat professionnel contre Karl Froch, je me suis dit que mes trois clés ne fonctionnaient pas. J’avais oublié la persévérance. Ça m’a per-mis de devenir champion du monde en battant Adrian Diaconu le 19 juin 2009 et d’affronter Chad Dawson et le légendaire Bernard Hopkins », a-t-il dit avec enthousiasme.

Le ciel n'a pas de limite« Mes parents me disaient que

le ciel était la limite et ils avaient tort. Guy Laliberté s’est rendu dans
