Clémence NOURYPortfolio
Sélection de travaux 2009 - 2014 /////////
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a - Carte de synthèse du projet territorial : Intensification des
activités urbaines et agricoles autour de la D14. b - Photo de la maquette et générique territorialc - Photos de la maquette urbaine et du sited -Sens Paris-Rouen : Vues successives du projet depuis la D14
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Forum des mobilités
& Fête des monuments historiques
5 -15 juin
Vigny auto eurorepar Carsway.fr automobile serViCes sport et
prestige proChaine sortie
Vigny réhabilitation formation DiagnostiC
arrêt Vigny Château D’eau
Parc naturel regional du Vexin Français
l’auberge De Cléry restaurant 1ère sortie à Droite
Cléry en Vexin loto 16 mars 14h
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engrais naturel puissant Visitez l’ombriCulture
sortie 18 Cléry
les Vergers D’harDeVille pommes à la ferme
sortie 18 nuCourt
les moutarDes et lentilles Du Vexin gouzangrez la ferme De la Distillerie
super u DireCtion mantes magny en Vexin
maC DonalD’s sortie 19 magny en Vexin à 5 min
sortie 19
Site d’expérimentation pour laconstruction durable
Site d’essais matériel routier
restaurant le rohan à Vigny gastronomie française
salle pour réCeption sortie Vigny
FestiVal du Cinéma de plein air
27/05 au 05/05 arrêt Vigny Château
broCante à us le 6 aVril
station serViCe
total aCCess
Braderie aBleiges le 8 et 9 mars 2014
Bourse de Vigny du jouet ancien 9 mars
restaurant Du golf D’ableiges ouVert au publiC
le marChé De Caroline
Vente De proDuits Du terroir www.CueilletteDeCergy.fr
maisons pierre
portes ouVertes
truffautouVert 7 jours sur 7
Villapolis Centre D’exposition De la maison inDiViDuelle
a louer aCtiVités/bureaux
AXE MAJEUR PROCHAINE SORTIE
Domaine de VillarceauxChâteau d’Ambleville
Château de La Roche GuyonEglise Notre Dame de Vétheuil
Prochaine sortie
station CyClo-Vexin
loCation réparation éChange
proChaine sortie
le grenier De magny
estimation et DeVis gratuit aChat au Comptant Dépôt Vente Du merCreDi au
DimanChe
intertraDing Vente De matériels
www.intertraDing-sa.Com
aChat et Vente De VéhiCules à petits prix oCCasion sortie 19
aVenturelanD.fr
Centre Eco-matériauxCarrefour market magny en Vexin
4e sortie DireCtion beauVais 24h/24h
epte Canoë aVenture
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Château du Boury suivre St Clair sur Epte
loCation/garDiennage VéhiCules agriColes - stoCkage engrais
biologiques
D’yVes air pub paramoteurs
yVasion 2000
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théatre au Château
18 & 21 juillet 2014Château d’ambleVille
arrêt la Chapelle
Sens de traversée du Strip
ST GERVAIS
11 CERGY - ST CHRISTOPHE OSNY
12PUISEUX PONTOISE VAUREAL
13CERGY - LE HAUT BOISSY l’AILLERIE COURDIMANCHE MENUCOURT
D169
USVIGNYAteliers du Bord’haut - livraisons
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MEULAN-LES MUREAUXSAGY ABLEIGES
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16LE PERCHAY THÉMÉRICOURT Maison du parc Musée du Vexin Français
D4317
DIEPPE GISORS AVERNES Musée de l’outil Musée Archéologique Départemental
19MAGNY en VEXIN - ARTHIEUL- Zone artisanale Parc AVENTURELAND Station service
D20618
NUCOURT CLÉRY en VEXIN
D98320
MANTES MAGNY en VEXIN - CENTRE- P.A.E.de la Demi Lune
D8622
BEAUVAISMAGNY en VEXIN- Z.A LES AULNAIESST GERVAISGISORS
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HODENT VERNON
D14LA CHAPELLE en VEXIN
Commune du ParC naturel régional
du Vexin Français
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LA CHAPELLE en VEXIN
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VIGNY STRIP - VIGNY VILLAGE
Construire la D14 pour faire patrimoine en Vexin Français
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S’ÉLEVERADMIRERDÉCOUVRIR Mettre en vue pour faire paysage
OBSERVERRÉPERTORIERANALYSER Connaître pour faire savoir collec-tif
INTERPRÉTERPROJETERENTREPRENDRE Mettre en action pour faire écologie et économie locale
COMMUNIQUERDIFFUSERRENDRE ACCESSIBLE Mettre en débat pour faire démocratie
MUTUALISERSE DIVERTIRSE CONNECTER Mettre en commun pour faire cadre de vie
AuditoriumBibliothèque
Arrêt BHNS E-drive
Salles de réunion
Centre de maintenance des véhicules électriques
«Utopies métropolitaines», Projet de fin d’études, sous la direction de Pascal Amphoux, Valérie Helman, Amélie Nicolas et Petra Marguc.
L’enjeu principal du projet territorial est de permettre l’installation d’entreprises dans le Vexin tout en protégeant les paysages et les villages d’une urbanisation diffuse. L’utopie consiste a prendre les abords de la D14, axe transversal structurant du PNR du Vexin français, comme espace d’expérimentation pour la réhabilitation, à terme, de l’ensemble du territoire Parc. Les enjeux sont a la fois urbains et économiques: favoriser l’implantation d’activités sur le territoire du parc, et ainsi permettre le développement d’une économie locale ; tout autant qu’ils sont agricoles et paysagers : expérimenter une manière plus durable de cultiver la terre, souvent fatiguée par l’agriculture céréalière intensive, et
façonner un paysage oublié.
Afin d’assurer l’efficacité de cette stratégie d’urbanisation linéaire, le projet s’accompagne d’une modification de l’usage de la voirie et propose la mise en place de voies réservées aux transports en commun (Bus en site propre sur la D14).
A l’échelle urbaine de Vigny, devant le constat d’une route difficilement traversable qui sépare les deux noyaux anciens de la commune - le Bord’Haut de Vigny, sur le plateau, et le village de Vigny, en contrebas dans la vallée de l’Aubette - le projet ‘Vigny strip Vigny village’ propose de reconnecter ces deux entités grâce a un franchissement. De part et d’autre, les nouvelles activités viennent se juxtaposer et compléter les ZA déja présentes sur le site , autour de deux axes programmatiques : l’éco-réhabilitation des bâtiments et l’agro-réhabilitation des terres le long du strip.
Le projet d’architecture propose une mise en relation de ces nouvelles activités innovantes avec le territoire sur lequel elles s’implantent, grâce à une tour d’observation et un espace public majeur sur la D14.
e - Vue sur le franchissement de la D14 et la tour périscopef - Photo de la maquette 1/500e g - Coupe longitudinale
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a - Chemin de roseaux , juste avant la montée de la mer.b - Clichés extraits du film, l’eau monte progressivement sous le tapis de roseaux.
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montée de la mer.b - Clichés extraits du film, l’eau monte progressivement sous le tapis de roseaux.
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« La traversée du paysage » - Didier Courbot
Travail en collaboration avec Simon Gachet.
L’installation mise en place a pour objectif de donner une nouvelle échelle au site grâce à l’utilisation du végétal. En effet, le lieu choisi se situe sous le pont de Saint Nazaire, véritable colosse aux jambes de béton, mesurant plus de 3 Km de long et plus de 60 m de haut. Ainsi, la plantation de ce chemin de roseaux, léger et à échelle humaine, dénote par rapport à la mas-sivité du pont. Le chemin se resserre et vient cadrer la vue sur les chantiers navals situés sur l’autre rive.
Les roseaux ont été volontairement transplan-tés en zone inondable lors des grandes marées. Ainsi, la contemplation de l’eau qui monte sur les roseaux, du sol de paille qui se soulève et qui ondule fait prendre conscience de la poétique de la marée. Et, demain, il ne restera peut-être rien...
L’ÉPHÉ-MÈRETête en l’air et pieds dans l’eau
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« La traversée du paysage » - Didier Courbot
Travail en collaboration avec Simon Gachet.
L’installation mise en place a pour objectif de donner une nouvelle échelle au site grâce à l’utilisation du végétal. En effet, le lieu choisi se situe sous le pont de Saint Nazaire, véritable colosse aux jambes de béton, mesurant plus de 3 Km de long et plus de 60 m de haut. Ainsi, la plantation de ce chemin de roseaux, léger et à échelle humaine, dénote par rapport à la mas-sivité du pont. Le chemin se resserre et vient cadrer la vue sur les chantiers navals situés sur l’autre rive.
Les roseaux ont été volontairement transplan-tés en zone inondable lors des grandes marées. Ainsi, la contemplation de l’eau qui monte sur les roseaux, du sol de paille qui se soulève et qui ondule fait prendre conscience de la poétique de la marée. Et, demain, il ne restera peut-être rien...
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« La traversée du paysage » - Didier Courbot
Travail en collaboration avec Simon Gachet.
L’installation mise en place a pour objectif de donner une nouvelle échelle au site grâce à l’utilisation du végétal. En effet, le lieu choisi se situe sous le pont de Saint Nazaire, véritable colosse aux jambes de béton, mesurant plus de 3 Km de long et plus de 60 m de haut. Ainsi, la plantation de ce chemin de roseaux, léger et à échelle humaine, dénote par rapport à la mas-sivité du pont. Le chemin se resserre et vient cadrer la vue sur les chantiers navals situés sur l’autre rive.
Les roseaux ont été volontairement transplan-tés en zone inondable lors des grandes marées. Ainsi, la contemplation de l’eau qui monte sur les roseaux, du sol de paille qui se soulève et qui ondule fait prendre conscience de la poétique de la marée. Et, demain, il ne restera peut-être rien...
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« La traversée du paysage » - Didier Courbot
Travail en collaboration avec Simon Gachet.
L’installation mise en place a pour objectif de donner une nouvelle échelle au site grâce à l’utilisation du végétal. En effet, le lieu choisi se situe sous le pont de Saint Nazaire, véritable colosse aux jambes de béton, mesurant plus de 3 Km de long et plus de 60 m de haut. Ainsi, la plantation de ce chemin de roseaux, léger et à échelle humaine, dénote par rapport à la mas-sivité du pont. Le chemin se resserre et vient cadrer la vue sur les chantiers navals situés sur l’autre rive.
Les roseaux ont été volontairement transplan-tés en zone inondable lors des grandes marées. Ainsi, la contemplation de l’eau qui monte sur les roseaux, du sol de paille qui se soulève et qui ondule fait prendre conscience de la poétique de la marée. Et, demain, il ne restera peut-être rien...
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« La traversée du paysage » - Didier Courbot
Travail en collaboration avec Simon Gachet.
Le point de vue adopté révèle le caractère démesuré des zones industrielles de Saint Nazaire. Déme-sure des espaces et démesure des objets architecturaux. Le côté impressionnant de ces grands espaces vides est accentué par le bruit continuel des chantiers, toujours en activité. La réalisation de diptyques photographiques souligne les (sur)dimensions des lieux. La première photo montre le vide entre les édifices et la seconde met en évi-dence l’échelle de l’édifice par le biais d’un personnage (échelle du corps). À ce dispositif visuel, se rajoute un dispositif so-nore. Les sons, enregistrés sur place, révèlent l’activité in-dustrielle du site, presque invisible sur les photos. La présentation du travail a été faite par une projection de ces diptyques dans un dièdre, lumière éteinte. Le choix de la projection a permis d’obtenir de grands formats, ce qui a contribué à restituer le côté im-pressionnant des lieux.
DÉ-MESURE Ou l’extraordinaire traversée de St Nazaire
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a - Axonométrie générale.b - Vues successives du parcours depuis l’entrée du parc jusqu’au belvédère sur les silos.c - Schémas de principe (marée, hié-rarchie des cheminements piétons, vues, accès chantier et sablière, possibilité d’événements)d - Plan masse des aménagementse - Vue sur la scène principalef - Vue sur le quai des pêcheurs g - Coupe longitudinale.
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« La traversée du paysage » - Didier Courbot
Travail en collaboration avec Simon Gachet.
Le parc « Aux pieds du pont » se situe sous le pont de Saint Nazaire, entre friche et vasière. La marée y est le spectacle quotidien, le pont est alors le cadre de scène. Le site, support d’un écosystème riche et fragile, est menacé par le développement industriel du port au-tonome (comblement de la vasière prévue en 2017).Le projet vise alors dans un premier temps à valoriser le lieu en facilitant et en encourageant les usages déjà présents : l’observation des oiseaux et la pêche. L’enjeu est aussi de ne compromettre ni le fonctionnement des sablières ni l’entretien du pont.
Dans un deuxième temps, le parc devient le lieu d’événements culturels : festivals de musique, cinéma en plein air, cirque…
AUX PIEDS DU PONTUn parc paysager et festif sous le pont deSt Nazaire
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a - Plan du RDC : logements mitoyens organisés autour d’un ou plusieurs patiosb - Photo de la maquette : le toit habité donnant accès aux logements.c - Plan de situation dans le méga-îlotd - Photo de la maquette urbainee - Coupe AA : la nappe au pied du plattenbauf - Coupe de principe : dispositif d’entrée et apport de lumière
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DÉDALE À PATIOS
«Grossestadt Berlin», Urban Studio, Joint master of architecture, HEPIA Genève - Nicolas Pham
Le projet se situe dans le quartier de Friedrischain à Berlin, dans un «méga-îlot» d’architectures hétéroclites adjacent à la Karl Marx Allee. Face au constat de coeurs d’îlots morcelés et envahis par les voitures, l’idée a été d’insérer le programme donné (une piscine de quartier et des logements) dans un coeur d’îlot, pour ménager des espaces publics et privés de qualité.
Le parti architectural a été de créer une nappe de logements capable d’intégrer les activités déjà présentes sur le site : une crêche, une salle de tennis et un terrain de foot ; et de compléter l’offre d’équipement avec la piscine de quartier.
Les logements sont organisés autour d’un ou plusieurs patios et accessibles par le toit, qui devient un espace semi-public appropriable par la communauté du quartier (ruelles hautes, placettes et terrasses communes cultivables).
48 logements et un centre sportif pour le quartier de Friedrischain, Berlin
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LA DISTILLERIE - muSéE
EmpRISES ET cohAbITATIon pRogRAmmATIquES
AxonoméTRIE généRALE
Espaces dédiés à la distillerie
Espaces ouverts au public (musée, café et jardin
Parcours muséographique
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Rue Beaurepaire
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Place du Chardonnet
EXTENSION DE LA MAISON COMBIER DANS LA HALLE BOSSUTClémence Noury - Patrimoine en devenir - 24 Janvier 2013
pLAn DE RDc
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Cheminée de l’ansienneDistillerie Combier
Jardin des saveurs
Serre des orangers
Jardin des saveurs
Alambics
cuves de macération
Belvédère urbain
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Serre des orangers
Espace de dégustation
Terrasse intérieure Cour d’entrée
Boutiqueproduits Combier
Cuisine et stock café
Café
Acceuil musée
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Salle de séminaire60 places
Stockage produits finis
Stockage matières premières
Espace détente personnel
Chaufferie
Bureau Salle de réunion
Stockage produits finis
Salle des alambics
Salle des alambics
Bureau
Bureaux
pendule des bouteilles
Salle musée 1 (projection)
Salle musée 2
Salle musée 4 (projection)
Salle musée 3
a - Axonométrie générale du projetb - Photos de l’existant: la Halle Bossut, ses annexes et la distillerie Combier.c - Vues intérieures : l’espace de production et la passerelle visiteursd - Façade Sud : entrée du musée.e - Coupe transversale : la passerelle et la tour-belvédère.
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Cheminée de l’ancienne distillerie Combier
COMBIER :LA DISTILLERIEMUSÉE
«Patrimoine en devenir», ENSANantes - P. Filâtre
Située entre l’école de cavalerie et le centre ville de Saumur (49), la halle Bossut est un bâtiment exeptionel en béton armé, initialement utilisé comme manège puis comme garage pour les chars d’assaut. L’enjeu de cette réhabilitation réside dans le respect de la structure de la voûte, l’unique de ce type encore visible, mais aussi dans la reconversion programmatique contemporaine de cet espace surdimensionné.
Extension et réhabilitation de la Halle Bossut, Saumur
Le programme choisit est l’extension de la distillerie Combier, entreprise familiale saumuroisse, voisine de la halle qui souhaitait obtenir un espace de production supplémentaire. Cette affectation semi-industrielle, située au rez-de-chaussée de la halle, est complétée par un musée Combier, ouvert au public. Le parti pris est de conserver l’espace vide caractéristique de la halle. L’intervention architecturale à l’intérieure de la halle est une passerelle, en lien direct avec une tour-belvédère (qui offre la vue sur le château, la Loire, l’école de cavalerie et le centre-ville) et une serre d’exposition qui présente les plantes utilisées pour fabriquer les alcools Combier. Les combles de l’ancienne écurie sont transformées en alcôves d’exposition et la ruelle adjacente devient l’accès à l’espace de production de distillerie.
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Salz-fabrik
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Master «Métropoles», EAVT Marne-la-Vallée - P-A. Trévélo & Y. Beltrando
Travail en collaboration avec Marjorie Wiest et Vita Ilesic.
Le site de Zollverein, qui fut le plus important site minier en Europe (Extraction de charbon et production du coke) est aujourd’hui en pleine transformation. En effet, la dynamique de l’IBA a engendré la requalification de certaines parties du site, avec notamment le musée de la Ruhr de Rem Koolhaas, le musée du Design de Foster. Zollverein est devenu en peu de temps un pôle culturel majeur (1 million de visiteurs en 2010). Les services et les équipements restent pourtant peu nombreux in situ d’autant plus que 2 grands projets sont prévus sur le site (une extension de l’université Wolfgang et 30 000m² de bureaux).
La proposition est d’intervenir sur l’ancienne cokerie blanche, lieu encore peu investit. Le projet s’inscrit ainsi dans une logique de « business park » en proposant des services et un cadre agréable aux nouveaux arrivants sur le site mais aussi aux étudiants et aux touristes déjà nombreux. L’enjeu est de donner une nouvelle attractivité à Zollverein, concurrente du proche centre ville d’Essen.
ZOLLVE-REINCOKERIERéhabilitation de trois bâtiments de l’usine chimique
1 km 2 km 3 km 4 km 5 km
DINSLAKEN
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Bureaux d’ASTOC30 000 m² 3 000 employés
Musée de la Ruhr7 000 m² 2 000 visiteurs par jour
Locaux de l’UNIVERSITE70 000 m²7 000 étudiants
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a - Axonométrie : situation des 3 bâtiments réhabilités b - Carte de situation de Zollverein : la Ruhr, métropole diffusec - Schéma stratégique : Les grands projets à venir sur le site. Une nécessaire planification de services spécifiques.
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a - Vue sur le plateau construit au dessus des machines. b - Coupe longitudinale.c - Nouvelle entrée du bâtiment par un volume indépendant.d - Photo de maquette : vue sur les machines depuis le plateau.e - Photo de l’existant : la salle des compresseurs
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KOMPRES-SOR EVENTSLa salle des machines comme lieu d’événements
Ce bâtiment industriel, dont la destination était d’abriter une partie de la machinerie nécessaire à la transformation chimique du gaz émanant du coke, est aujourd’hui classé au patrimoine mondial de l’UNES-CO. L’exercie consistait donc à transformer l’usage du bâti tout en gardant les façades et les machines d’ori-gine. Le RDC étant inaccessible car très pollué, c’est le 1er niveau qui est transformé en espace pouvant ac-cueillir des événements. Pour accéder directement à l’étage, un volume indépendant contenant des ascenseurs est greffé au bâ-timent et constitue la nouvelle entrée principale. Un grand plateau est construit au dessus des compresseurs et dégage un large espace modulable, notamment grâce aux ponts roulants existants. Utilisés comme supports de rideaux, ils peuvent partitionner la salle, selon les besoins, en plusieurs sous-espaces.
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Activités
Réseau aérien
Industrial nature
Passerelles existantes
Prolongements des passerellesLimite du site
Passerelles principales
Passerelles secondaires
Limite du site Accès au réseau aérien
ParkingsPlateformes d’accès aux bâtiments
Friches boisées
Friches rases“Ligne de friche” Limites
du pâturage
Pâturages et pelouses
a - Plan masseb - Schémas de principec - Photos du site d - Succession de coupes sur les nouvelles passerellese - Coupe sur une passerelle existante et stratégie végétalef - Détail sur une assise
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BALLADE AÉRIENNE
«Architecture située, situations construites», ENSANantes - Cyril Moeneclaey, Rémy Jacquier, Guy Rumé
Travail en collaboration avec Louise Duquesne, Antoine Moreau et Félix Rattez.
Le site de Zollverein est caractérisé par les nom-breuses passerelles qui le traverse. L’enjeu de ce projet est de rendre accessible ces passerelles existantes (ini-tialement convoyeurs de charbon ou de gaz) et de les prolonger pour recréer des parcours aériens pour piétons et cyclistes. Il s’agit de donner un nouveau point de vue sur ce site gigantesque et de mettre en valeur sa topo-graphie (terril) et sa végétation spécifique («industrial na-ture»).
Parcours & passerelles à Zollverein
Coupe DD - 1/100e
Coupe EE - 1/100e
Coupe FF - 1/100e
“Ligne de friche” : dynamique évolutive spontanée
1 AN :Premières plantes spontanées
Enrobé cassé pour faciliter le développement végétal
5 ANS :Arbustes
10 ANS :Arbres
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a - Vue Ouestb - Coupe - élévation DDc - Façade Nordd - Plan RDCe - Plan R+3
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« Habitat : intimité, sociabilité, mixité » - Bernard Richeux / Bruno Chabay
Le site du projet est une parcelle située rue de la tour d’Auvergne sur l’Ile de Nantes. Elle appartient à l’association « Les Francas » (formations type BAFA) qui veut y reconstruire ses locaux, un foyer Soleil (18 loge-ments destinés aux jeunes travailleurs) ainsi qu’un foyer pour les adolescents (lieu associatif et de loisirs).
Après avoir étudié les possibilités volumétriques autorisées par le PLU, la réflexion est portée sur l’orga-nisation fonctionnelle d’un tel programme mixte et sur sa place dans la ville. Ainsi, le bâtiment est constitué de trois volumes: deux volumes parallèles à la rue et un vo-lume transversal (logements). L’oblique créée donne une nouvelle dynamique à la rue ce qui rend visible la partie publique du bâtiment. Les jardins semi-publics situés de part et d’autre du volume oblique ménagent une transition entre la rue et l’intérieur des locaux Francas.
OBLIQUEFrancas, Foyer Soleil & Cie
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Les logements sont en retrait par rapport à la rue et placés à partir du R+3, pour assurer une certaine intimité. La déserte se fait par une coursive semi-extérieure ce qui permet d’orienter tout les logement au Sud-Ouest.
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« Habitat : intimité, sociabilité, mixité » - Bernard Richeux / Bruno Chabay
Le site du projet est une parcelle située rue de la tour d’Auvergne sur l’Ile de Nantes. Elle appartient à l’association « Les Francas » (formations type BAFA) qui veut y reconstruire ses locaux, un foyer Soleil (18 loge-ments destinés aux jeunes travailleurs) ainsi qu’un foyer pour les adolescents (lieu associatif et de loisirs).
Après avoir étudié les possibilités volumétriques autorisées par le PLU, la réflexion est portée sur l’orga-nisation fonctionnelle d’un tel programme mixte et sur sa place dans la ville. Ainsi, le bâtiment est constitué de trois volumes: deux volumes parallèles à la rue et un vo-lume transversal (logements). L’oblique créée donne une nouvelle dynamique à la rue ce qui rend visible la partie publique du bâtiment. Les jardins semi-publics situés de part et d’autre du volume oblique ménagent une transition entre la rue et l’intérieur des locaux Francas.
OBLIQUEFrancas, Foyer Soleil & Cie
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Les logements sont en retrait par rapport à la rue et placés à partir du R+3, pour assurer une certaine intimité. La déserte se fait par une coursive semi-extérieure ce qui permet d’orienter tout les logement au Sud-Ouest.
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« Habitat : intimité, sociabilité, mixité » - Bernard Richeux / Bruno Chabay
Le site du projet est une parcelle située rue de la tour d’Auvergne sur l’Ile de Nantes. Elle appartient à l’association « Les Francas » (formations type BAFA) qui veut y reconstruire ses locaux, un foyer Soleil (18 loge-ments destinés aux jeunes travailleurs) ainsi qu’un foyer pour les adolescents (lieu associatif et de loisirs).
Après avoir étudié les possibilités volumétriques autorisées par le PLU, la réflexion est portée sur l’orga-nisation fonctionnelle d’un tel programme mixte et sur sa place dans la ville. Ainsi, le bâtiment est constitué de trois volumes: deux volumes parallèles à la rue et un vo-lume transversal (logements). L’oblique créée donne une nouvelle dynamique à la rue ce qui rend visible la partie publique du bâtiment. Les jardins semi-publics situés de part et d’autre du volume oblique ménagent une transition entre la rue et l’intérieur des locaux Francas.
OBLIQUEFrancas, Foyer Soleil & Cie
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Les logements sont en retrait par rapport à la rue et placés à partir du R+3, pour assurer une certaine intimité. La déserte se fait par une coursive semi-extérieure ce qui permet d’orienter tout les logement au Sud-Ouest.
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a - Vue Ouestb - Coupe - élévation DDc - Façade Nordd - Plan RDCe - Plan R+3
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a - Vue Ouestb - Coupe - élévation DDd - Plan RDC
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« Mais qu’est-ce donc qu’un espace public? » - Pascal Amphoux
Travail avec Maud Delarue et Clémence Mautouchet. Le travail consistait à concevoir un espace pu-blic en commençant par l’analyse du grand territoire pour ensuite appréhender l’échelle urbaine puis architecturale. Chaque groupe travaillait sur un territoire de 500*500m situé sur un transect du grand axe Bellamy (pénétrante urbaine Nord-Sud de Nantes).
Le territoire étudié est situé à la périphérie Nord de Nantes. Il comprend principalement un quartier rési-dentiel et une plaine de jeux séparés par une voie rapide. Le projet imaginé vient en complément des activités de la plaine de jeu des Basses Landes et établi un lien avec le lotissement grâce à une passerelle au dessus de la 4 voies.
LES HAUTES LANDESTrois strates de l’espace public périurbain
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Le complexe des Hautes Landes s’intègre dans une haie végétale existante et entretient un rapport sensible au paysage. Par une déclinaison en plateaux, il vient arti-culer différents programmes qui se chevauchent et se complètent. Le point d’inflexion du projet, une place publique surélevée, coordonne les activités: une piscine, des gradins, des vestiaires, un mur d’escalade, une location de vélos, un café, une tour plantée et un cheminement piétons. C’est le frottement de ces activités qui va créer l’espace public.
L’espace public projeté sur ce territoire périurbain répond à la fois à une lo-gique fonctionnelle avec une succession de plateaux accessibles à tous, à une logique sensible avec un rapport étroit au paysage et surtout à une logique sociale tournée vers des activités fédératrices : le sport et le jardinage.
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a - Vue sur la place des Hautes Landes et la tour plantéeb - Maquettes: 1 Maquette 500*500m (échelle du territoire) 2 Maquette hologramme (échelle urbaine) 3 Tranche de maquette (échelle architecturale)c - Plan massed - Coupe longitudinale
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a - Vue sur la place des Hautes Landes et la tour plantéeb - Maquettes: 1 Maquette 500*500m (échelle du territoire) 2 Maquette hologramme (échelle urbaine) 3 Tranche de maquette (échelle architecturale)c - Plan massed - Coupe longitudinale
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« Mais qu’est-ce donc qu’un espace public? » - PascalAmphouxTravail avec Maud Delarue et Clémence Mautouchet.
Le territoire étudié est situé à la périphérie Nordde Nantes. Il comprend principalement un quartier résidentiel et une plaine de jeux séparés par une voie rapide. Le projet imaginé vient en complément des activités de la plaine de jeu des Basses Landes et établi un lien avec le lotissement grâce à une passerelle au dessus de la 4 voies Le complexe des Hautes Landes s’intègre dans une haie végétale existante et entretient un rapport sensible au paysage. Par une déclinaison en plateaux, il vient articuler différents programmes qui se chevauchent et se complètent. Le point d’inflexion du projet, une place publique surélevée, coordonne les activités: une piscine, des gradins, des vestiaires, un mur d’escalade, une location de vélos, un café, une tour plantée et un cheminement piétons. C’est le frottement de ces activités qui va créer l’espace public. L’espace public projeté sur ce territoire périurbain répond à la fois à une logique fonctionnelle avec une succession de plateaux accessibles à tous, à une logique sensible avec un rapport étroit au paysage et surtout à une logique sociale tournée vers des activités fédératrices : le sport et le jardinage.
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a - Plan masse et photos du siteb - Coupe longitudinalec - Coupes/schéma programmatiquesd - Photos de la maquette holo-gramme 1/200ee - Photo de la maquette détail 1/50e
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NANTES ST NAZAIRE
Le paysage métropolitain dans la transition énergétique
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Mémoire de Master 1 - Sous la direction de Maelle Tessier.
La métropole Nantes-St Nazaire a fait de son fleuve son emblème. L’estuaire de la Loire, en tant que paysage naturel, est aujourd’hui considéré comme un atout majeur à l’attractivité de la métropole. Il est aussi le principal pôle énergétique du grand Ouest de la France. A partir de trois traversées du grand territoire métropolitain, ce travail s’attache à décrire et à ap-précier les impacts paysagers des infrastructures éner-gétiques sur ce territoire. Dans un contexte mondial d’épuisement des ressources fossiles et face aux en-jeux actuels de la transition énergétique, quelle place occupe l’énergie dans les politiques urbaines et terri-toriales, dans les paysages et les représentations que l’on en fait?
a - Carte du réseau très haute tension (400kV/225kV) et haute tension sur le territoire Nantes-St Nazaire et visibilité de la basse tension en milieu urbain
b - Chronologie paysagère : Ce document fait l’inventaire des éléments visibles depuis les traversées et en fonction du temps de trajet, sans distinguer ce qui appartientau paysage proche de ce qui est de l’ordre du paysage lointain. Le temps de visibilité des différentes éléments donne une indication quand à l’importance visuelle que l’on peut leur accorder pendant le voyage
c - Mise en parallèle de trois images extraites des films faits pendant chaque traversée Nantes-St Nazaire : le fleuve, le rail, la route.
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a - Coupes sur les limites Nord et Sud du parc - Espaces, matériaux, seuils.
b - Cartographie diachronique - Evolution du parc et du quartier Champel depuis le 19e siècle.
c - Croquis d’observation : le rapport au grand paysage et à l’eau.
d - Comparaison avec des photos anciennes, ici le parc le Bertrand pendant la seconde guerre mondiale, réquisitionné pour cultiver pommes de terres et poireaux dans le cadre du Plan Wahlen (programmed’autosuffisance alimentaire mis en place en 1940 en Suisse pour pallier la pénurie de ressources et contrer le risque d’embargo.)
e - Situation du parc Bertrand sur la Voie Verte d’Agglomération, une partie sera réalisée dans le cadre du projet de la future liaison ferroviaire Cornavin-Eaux-Vives-Annemasse (CEVA ). Elle faitpartie des mesures de compensation du projet.
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PARC BERTRAND
«Art et Histoire des Jardins», EPFL Lausanne, dossier réalisé sous la direction de Claire Méjean et Laurent Daune, en collaboration avec Damaris Barblan, Guillaume Hernach, et Katrien Daeyaert.
Le travail a principalemant consisté à reconstituer l’histoire du parc Bertrand, au travers de recherches et d’analyses de plans et de photos anciennes. En repérant les différents modifications (évolution urbaine du quartier, annexions de terrains, plantations, constructions ou destructions de bâti, de cheminements), le but était de déterminer les éléments de qualité et ceux relevant du patrimoine paysager à prendre en considération lors d’amménagements futurs. Le parc a par exemple hérité de plusieurs essences exotiques, d’un bosquet et d’une rocaille, plus ou moins dégradés.
L’enjeu de ce travail était ainsi d’amorcer un répertoire des parcs historiques genevois, en relation avec le projet actuel de Voie Verte d’Agglomération, qui accompagne le grand projet de métro rapide transfrontalier (CEVA). En effet, le parc Bertrand se situe précisément sur le tracé de la VVA.
L’histoire d’un parc genevois
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MONTE ROSA HÜTTE
«Enveloppes», EAVT Marne-la-Vallée - JF. Blassel.
Cette analyse de la nouvelle cabane du Mont Rose est axée sur l’étude de l’enveloppe, ses rapports avec la structures et les milieux intérieurs et extérieurs qu’elle délimite. Ce refuge de haute montagne a été conçu par les étudiants du studio «ETH Monte Rosa», monté et dirigé par Andrea Deplazes. Le climat extrême, la topographie et l’isolement ont été des contraintes particulièrement prises en compte, de la conception architecturale à l’organisation du chantier. Le résultat est un bâtiment optimisé spatialement, énergétiquement (autonome à 90%) et économiquement. Devenue un véritable repère dans l’immensité du massif montagneux, l’expérience de la nouvelle cabane du Mont Rose est aussi devenue une référence pour de nouvelles constructions, y compris en plaine. Les aspects écologiques et énergétiques, au coeur des préoccupations actuelles, sont ici traitées avec finesse sans que la qualité architecturale ne soit mise à mal, bien au contraire.
Architecturebioclimatique extrême
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a - Photos personnelles prises lors de l’ascension - visite, août 2012.
b - Schéma des interactions extérieures climatiques et géologiques.
c - Développé de façade - une enveloppe unitaire.
d - Coupe topographique de situation du refuge.
e - Détail du plan d’une chambre visiteur, comparaison avec un bâtiment en ossature bois classique.
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c - Comparaison d’échelle (de la maisonnette aux grands ensembles Nantais) d - Façades éclectiquese - Organigramme lors du montage de l’opération
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a - Multiples expressions architecturales en façade b - Relevé habité : Mr B. : arrivé en 1990, habite un T2 au RDC, retraité handicapé sans enfants
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c - Comparaison d’échelle (de la maisonnette aux grands ensembles Nantais) d - Façades éclectiquese - Organigramme lors du montage de l’opération
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a - Multiples expressions architecturales en façade b - Relevé habité : Mr B. : arrivé en 1990, habite un T2 au RDC, retraité handicapé sans enfants
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« Le logement social: Héritages & stratégies de mutation » - Elisabeth Pasquier / Claire Beauparlant
Travail avec Thomas Bourdaud, Éric Dugué et Mathilde Milosévitch.
L’exercice proposait l’étude d’une opération de logement social de l’après « grands ensembles » à Nantes. Le but était de constituer à terme un grand réper-toire du logement social nantais. L’opération étudiée a été construite dans les années 80 et présentait toutes les caractéristiques d’une résidence: situation dans un tissu urbain dense, implanta-tion en «plots» autour d’une placette, entrées différen-ciées, éclectisme de façade... Le travail consistait donc à analyser, depuis l’échelle urbaine jusqu’à l’intérieur des logements, le fonctionnement social du bâtiment et sa gestion par le bailleur ainsi que les conditions socio-politiques lors de la construction du bâtiment. Il s’agissait aussi de comprendre les relations locataire-bailleur, les trajectoires résidentielles des occupants et les représentations qu’ils se font de leur logement. La question de l’image du logement social dans la ville et dans les mentalités a particulièrement orienté la réflexion.
L’OPÉ-RATION LAENNECUn manifeste de résidentialisation
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« Le logement social: Héritages & stratégies de mutation » - Elisabeth Pasquier / Claire Beauparlant
Travail avec Thomas Bourdaud, Éric Dugué et Mathilde Milosévitch.
L’exercice proposait l’étude d’une opération de logement social de l’après « grands ensembles » à Nantes. Le but était de constituer à terme un grand réper-toire du logement social nantais. L’opération étudiée a été construite dans les années 80 et présentait toutes les caractéristiques d’une résidence: situation dans un tissu urbain dense, implanta-tion en «plots» autour d’une placette, entrées différen-ciées, éclectisme de façade... Le travail consistait donc à analyser, depuis l’échelle urbaine jusqu’à l’intérieur des logements, le fonctionnement social du bâtiment et sa gestion par le bailleur ainsi que les conditions socio-politiques lors de la construction du bâtiment. Il s’agissait aussi de comprendre les relations locataire-bailleur, les trajectoires résidentielles des occupants et les représentations qu’ils se font de leur logement. La question de l’image du logement social dans la ville et dans les mentalités a particulièrement orienté la réflexion.
L’OPÉ-RATION LAENNECUn manifeste de résidentialisation
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« Le logement social: Héritages & stratégies de mutation » - Elisabeth Pasquier / Claire Beauparlant
Travail avec Thomas Bourdaud, Éric Dugué et Mathilde Milosévitch.
L’exercice proposait l’étude d’une opération de logement social de l’après « grands ensembles » à Nantes. Le but était de constituer à terme un grand réper-toire du logement social nantais. L’opération étudiée a été construite dans les années 80 et présentait toutes les caractéristiques d’une résidence: situation dans un tissu urbain dense, implanta-tion en «plots» autour d’une placette, entrées différen-ciées, éclectisme de façade... Le travail consistait donc à analyser, depuis l’échelle urbaine jusqu’à l’intérieur des logements, le fonctionnement social du bâtiment et sa gestion par le bailleur ainsi que les conditions socio-politiques lors de la construction du bâtiment. Il s’agissait aussi de comprendre les relations locataire-bailleur, les trajectoires résidentielles des occupants et les représentations qu’ils se font de leur logement. La question de l’image du logement social dans la ville et dans les mentalités a particulièrement orienté la réflexion.
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« Le logement social: Héritages & stratégies de mutation » - Elisabeth Pasquier / Claire Beauparlant
Travail avec Thomas Bourdaud, Éric Dugué et Mathilde Milosévitch.
L’exercice proposait l’étude d’une opération de logement social de l’après « grands ensembles » à Nantes. Le but était de constituer à terme un grand réper-toire du logement social nantais. L’opération étudiée a été construite dans les années 80 et présentait toutes les caractéristiques d’une résidence: situation dans un tissu urbain dense, implanta-tion en «plots» autour d’une placette, entrées différen-ciées, éclectisme de façade... Le travail consistait donc à analyser, depuis l’échelle urbaine jusqu’à l’intérieur des logements, le fonctionnement social du bâtiment et sa gestion par le bailleur ainsi que les conditions socio-politiques lors de la construction du bâtiment. Il s’agissait aussi de comprendre les relations locataire-bailleur, les trajectoires résidentielles des occupants et les représentations qu’ils se font de leur logement. La question de l’image du logement social dans la ville et dans les mentalités a particulièrement orienté la réflexion.
L’OPÉ-RATION LAENNECUn manifeste de résidentialisation
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« Le logement social: Héritages & stratégies de mutation » - Elisabeth Pasquier / Claire Beauparlant
Travail avec Thomas Bourdaud, Éric Dugué et Mathilde Milosévitch.
L’exercice proposait l’étude d’une opération de logement social de l’après « grands ensembles » à Nantes. Le but était de constituer à terme un grand réper-toire du logement social nantais. L’opération étudiée a été construite dans les années 80 et présentait toutes les caractéristiques d’une résidence: situation dans un tissu urbain dense, implanta-tion en «plots» autour d’une placette, entrées différen-ciées, éclectisme de façade... Le travail consistait donc à analyser, depuis l’échelle urbaine jusqu’à l’intérieur des logements, le fonctionnement social du bâtiment et sa gestion par le bailleur ainsi que les conditions socio-politiques lors de la construction du bâtiment. Il s’agissait aussi de comprendre les relations locataire-bailleur, les trajectoires résidentielles des occupants et les représentations qu’ils se font de leur logement. La question de l’image du logement social dans la ville et dans les mentalités a particulièrement orienté la réflexion.
L’OPÉ-RATION LAENNECUn manifeste de résidentialisation
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a - Relevé habité : Mr B. : arrivé en 1990, habite un T2 au RDC, retraité handicapé sans enfantsb -Multiples expressions archi-tecturales en façadec - Organigramme lors du montage de l’opération
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Paysage commun
« On dirait que c’est réservé à des initiés, ça ne devrait pas être réservé à des initiés, on devrait mettre en valeur les entrées. »
« Comme c’est un quartier un peu ancien, y’a de la végétation donc ça fait un environnement assez agréable. (...) Puis bon y’a des perspectives de maisons,
mais là comme y’a des jardins un petit peu devant, ça donne de la verdure. »
« Quand on regarde par dessus c’est encore plus
spectaculaire parce que dans les rues bon y’a les façades, mais par contre là on voit bien, c’est vraiment un quartier vert.Il reste encore beaucoup beaucoup de végétation parce que y’a des jardins on voit bien qu’il doivent être très grands. »
«Je trouvais que cette avenue Massenet était
intéressante parce qu’elle est assez large, y’a aussi de belles habitations avec du terrain donc de la verdure. Alors c’est vrai que c’est pas le meilleur moment parce que c’est l’hiver!»
«C’est vrai que y’a pas mal de verdure mais on la voit pas
donc il n’y a que cette rue Massenet où il y a un peu plus d’espace, les terrains sont un peu plus grands et là on la voit mieux.»
«Cette rue là elle pourrait être plantée d’arbres, les trottoirs sont tellement larges! Ça pourrait être
une allée. (...) Tout le monde, tout public pourrait profiter des jardins qui sont en retenue (...)et là on pourrait offrir dans le quartier une partie agréable et accessible.»
« Et c’est là que je me suis rendue compte que quand on prend la route de Rennes, ce sont que des maisons anciennes, c’était vraiment des maisons sur la rue et toute la vie de la maison est
derrière. Tous les jardins sont derrière et là c’est vrai qu’on les voit pas...»
« Et c’est vrai que depuis que je vous ai rencontré, je fais beaucoup plus attention! J’ai regardé en l’air et je me suis
rendue compte que y’avait des terrasses où les gens ont pris soin de mettre des arbres, pour se mettre un peu de verdure.»
«J’ai pris deux fois la rue de l’Epine parce que je la prends énormément et je trouve que c’est joli comme tout. Et ce sont que des petites maisons avec des jardins. Y’a pas de grillage, donc on voit le jardin et la maison. Et y’a même un endroit où y’a un jardin
potager.(...) Et les odeurs! Parce que y’a des fleurs : y’a du lilas, de la glycine...»
« Sur la vallée, l’accès est réservé à ceux qui connaissent ou ceux qui viennent de la ville en longeant l’Erdre.(...) Donc si on avait un accès, pas pour moi, je parle pour les Nantais, s’il y avait un accès plus agréable côté école d’archi, côté Mulotière, côté Procheryie - parce que c’était le nom - ça serait agréable.»
« Cet arbre, c’est vrai qu’il est superbe. Il y a peu de gens qui le connaissent,
parce que c’est la Mulotière, on a l’impression qu’on est dans une propriété privée. C’est vrai qu’il ne faut pas monter sur les branches mais c’est vrai que c’est tentant.»
coulée verte rue méthode
« Le deuxième élément structurant marquant dans le quartier, c’est de l’espace vert caché, c’est-à-dire qu’on est dans du
jardin individuel en pleine ville (...) On est en ville mais on peut en sortir, on peut aller dehors, il y a une terrasse derrière, il y a un jardin, un potager. Il y a des arbres fruitiers (...) pommiers, poiriers, ça c’était un truc très caractéristique qu’on retrouve encore dans les vieux jardins. »
« On s’aperçoit que chacun a un peu de végétal en fond de parcelle et on a toute une, ce que j’appelle, « coulée verte ». »
« Quand on regarde les photos aériennes, vous voyez bien, il y a du vert. Les façades, quand on passe dans la rue, effectivement il n’y a que de la maison mais, derrière ,
de jardins à jardins il y a quand même des grandes surfaces. Et ça c’est vraiment important. Ce qu’on retrouve, après, plus difficilement dans la densification, et qu’on a tendance à perdre. »
« Pour moi, les oiseaux, c’était un sujet important. Ça me tenait à cœur, pour la bonne raison c’est que dans la propriété où j’habite, il s’est construit tout autour pas mal d’immeubles (...) C’est vrai qu’on a tout un ensemble boisé, ça fait vraiment un rideau de verdure. Donc on s’inquiétait pour les arbres, et pour les oiseaux aussi (...) C’est surtout qu’on se rend compte que, par exemple, notamment les chardonnerets, ils mangent les graines des érables. Et, pour
moi, les essences d’arbres sont importantes pour pouvoir conserver les espèces, pour qu’ils se nourrissent l’hiver. »
« Vous vous retrouvez avec deux rues parallèles. On a les maisons de ville, côte à côte, mitoyennes sur la rue
et derrière chacun a un petit jardin. Et à l’endroit où les jardins se rencontrent, vous vous retrouvez à avoir une coulée de verdure. Et ça, je pense que c’est superbe.»
un paysage entre public et privé
Arbre remarquable
« Elle est très belle et puis bon, l’environnement ça fait rêver aussi. Et derrière je crois qu’il y a un parc privé. Je pense qu’il y a un château derrière qui a été vendu en appartements, et qui est quand même resté, du coup
il y a une impression de profondeur de verdure »
Belle demeure
Des jardins vus depuis la rue
Fleurir l’espace public
une nature présente mais peu visible
La Vallée du cens : une nature difficilement accessible
« Tout est privatif. Et moi je trouve qu’on devrait presque obliger à laisser une partie de jardin devant, moi je trouve.
Parce que je trouve qu’on est frustrés de verdure dans les rues. »
« Alors y’a un autre endroit qui me plaisait bien dans le quartier mais j’ai pas pu prendre de photos parce que ça rend rien en ce moment, c’est avenue de Longchamp, où ils ont, au pied de chaque arbres et des poteaux (...) D’ailleurs j’ai vu dans Nantes Passion que je crois que la ville avait lancé ça, est ce que ça a été fait volontairement je sais pas comment ça s’est fait.. Et donc chaque pied avec des choses différentes,
alors est ce que ce sont les riverains qui ont planté, est ce que c’est la ville ?»
« Et au pied des arbres, ils ont mis des graines, c’est joli oui. Mais c’est à un moment bien précis.»
«Ce que j’adore c’est ce boulevard de Longchamp, mais ça dure 3 semaines quand les cerisiers sont en fleurs. Ça doit être un souvenir d’enfance de Mary Poppins! Parce que quand j’en ai parlé à mon voisin qui habite pourtant le même quartier il avait jamais remarqué que y’avait des cerisiers en fleurs. Comme quoi, c’est un homme, les hommes ne doivent pas regarder la même chose!»
« La rue de l’Epine pour l’instant, elle est protégée, enfin, elle a échappé au massacre pour le moment.Oui parce qu’en fait on a des petits jardins
donc ça correspond quand même à un quartier qui fait aéré. Je trouve
ça plutôt plaisant quand vous passez au printemps, il y a pleins de fleurs partout et c’est joli à voir. »
« Il faut que la mairie laisse cette capacité aux gens d’introduire du végétal sur l’espace public. [Évoquant les plantations des habitants le long du
boulevard de Longchamp] Moi je plante des trucs devant chez moi, les voisins plantent aussi: des roses trémières, … Mais par contre, de temps en temps, il y a des jardiniers
de la ville qui viennent et qui coupent tout. Il faut que les gens se réapproprient l’espace public. (...) Laisser du vert. »
« Les cerisiers fleurs, c’est vrai que ça a été une très bonne initiative. C’est vrai que c’est très joli, bon, ça ne dure pas mais
c’est magnifique. Quand c’est en fleurs, ça permet de mettre le boulevard en valeur. »
Un joli coin
Les cerisiers du boulevard de Longchamp
Accès à la Vallée du Cens fond de la rue Massenet en traversant le terrain actuellement en friche
« Pour moi, le volet espace vert, qui peut être privatif ou qui peut être public, il est vraiment aussi essentiel.Le public je l’ai mis, avec l’école d’archi. Parce
qu’en fait quand on est dans le fond, on ne le voit pas. Avec la rupture de pente, on descend dans la vallée du Cens, et après on repart où on veut. On descend en vélo ou quoique ce soit. Ça je l’ai mis ça, dans « éléments à revaloriser ». »
Rue massenet
« En souvenir, ce qui est caractéristique du quartier, c’est les vieux murs de pierre, avec des grands portails (...)
Mais on ne sait pas ce qu’il y a derrière, et il y a ce côté, je trouve, inconnu, assez sympa. Et de temps en temps, de voir sur une photo aérienne, on voit, on n’avait pas imaginé des choses qui existaient derrière, on ne soupçonne pas. »
Propriété vieux mur, rue de la Perverie
Héron mésangeVerdiers
« Les hérons, c’est souvent qu’ils passent là, au-dessus de l’immeuble, on les voit ils passent même assez ras, assez bas. Une fois, on a vu aussi un faucon crécerelle. Et paraît-il qu’ils viennent jusqu’aux abords des villes, et, effectivement, on en a constaté. Et je crois aussi qu’il y a une chouette qui vient. Et puis, il y a des chauves-souris, l’été, le soir. »
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« Je ne suis pas certaine que les gens savent réellement qu’on a tous ces types d’oiseaux.»
PAYSAGE ET SCIENCES SOCIALES
- Stage en Paysage, 3 mois, agence Phytolab, Nantes. Participation au projet de prolongement de l’aménagement du front de mer à St Nazaire. - Stage 5 mois, Laboratoire LAUA (Langages Actions Urbaines Altérités), Nantes. Contributions à l’atelier citoyen «Diagnostic sensible du paysage», commande de Nantes Métropole.
Ces deux stages, effectués en 2013, m’ont fait découvrir le travail avec les professionnels du paysage. et ont confirmé mon attrait pour la discipline.
Lors du stage au LAUA, le laboratoire de sciences sociales de l’ENSA Nantes, nous avons travaillé en collaboration avec deux agences de paysage (MAP et De Long en Large) dans le but d’élaborer un «diagnostic sensible du paysage» sur le quartier de Breil Barberie à Nantes. Notre rôle était d’effectuer des entretiens et d’accompagner les habitants du quartier dans l’élaboration de ce document à destination des élus. Le stage effectué au sein de l’agence Phytolab m’a permis de partciciper à un autre type de diagnostic, professionnel et complet, allant de l’histoire du lieu au relevé des chaussées, sans oublier la dimension humaine et sensible de la discipline. Ce travail intégrait en effet «un diagnostic en marchant» réalisé avec les habitants, qui venait alimenter et compléter le diagnostic des professionnels.
La découverte d’un nouveau domaine
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a - Extrait du dossier de diagnostic pour la requalification du front de mer de St Nazaire - Phase III - Phytolab
b - Exemple de planches réalisées comme support des ateliers citoyens «Diagnostic sensible du paysage» - élaboration à partir d’entretiens avec les habitants - LAUA
c - Photo de la restitution finale du diagnostic faite par les habitants aux élus de quartier - LAUA
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a - Illustration réalisée à l’agence Devillers , concours «New TAif City» (Arabie Saoudite)
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DEVILLERS&ASSOCIÉS
PARIS
- Stage 1 mois, Participation aux études préliminaires à la construction d’un éco-quartier à Chatenay Malabry.- Stage 2 mois,Participation au projet de requalification du secteur de la caserne Raby à Bron (69), contribution au concours «New Taif City», une ville nouvelle en Arabie Saoudite.
Ces 2 stages a été très enrichissants car j’ai pu travailler sur des sujets et des échelles assez diversifiées. Le travail sur le projet de la reconversion de la caserne de Bron et les études de l’écoquartier de Chatenay-Malabry m’ont permis d’approcher le métier avec un regard assez pratique, mon rôle étant essentiellement d’assister les chefs de projet dans leur production graphique.Le projet New Taif City m’a permis d’expérimenter le travail à l’échelle du territoire mais surtout d’être vraiment impliquée dans le processus de conception. Ce projet, par son côté mégalomaniaque et hors d’échelle, était un peu effrayant au premier abord mais a finalement été très intéressant car il posait des questions primordiales sur la fabrication
Initiation au projeturbain dans une agence pluridisciplinaire
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de la ville contemporaine (forme urbaine, réseaux, énergie, mixité, proximité, densité...). Cette expérience en projet urbain m’a permis de rencontrer les nombreux acteurs de tels projets : cotraitants, bureaux d’étude, maîtres d’ouvrages... Et de travailler avec des professionnels aux profils pluridisplinaires (architectes, ingénieurs, urbanistes et paysagistes) du pôle urbanisme de l’agence .
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b - Schéma réalisé dans le cadre du concours «New Taif City» représentant les trames verte et bleue et leur fonc-tion pour l’extension de la ville.c - 3D réalisée pour les études pré-liminaires d’un écoquartier à Chate-nay-Malabry
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