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CRÉATION GRAPHIQUE

CREATIONS PERSONELLES ET DESSINS

IDENTITÉ VISUELLE

Si groupon et un site de vente en groupe déjà bien installe dans le mondes de la toile comme une référence Yingo se distingue par son geste responsable et engagé. le site pro-pose la vente en groupe, en gros ça parle de business, le point importent c'est la valeur rajouter au concept de la ventes en groupe c que 10 pour seque 10 pour sent des ventres subventionne des œuvres caritatives et des fondations d'où " L'ACHAT QUI FAIT DU BIEN ".

YINGO

PARCOURS INSPIRANTS

carrières

UNE FOIS PAR MOIS, MÉTRO ET RADIO CANADA INTERNATIONAL PROPOSENT, EN COLLABORATION AVEC LE PROJET ALLIÉS MONTRÉAL DE LA CONFÉRENCE RÉGIONALE DES ÉLUS (CRÉ) DE MONTRÉAL, DES PORTRAITS DE PERSONNES IMMIGRANTES QUI ONT RÉUSSI DANS LEUR MILIEU DE TRAVAIL.

Grace Aghbashian

Émigrer par tradition

JULIE [email protected] Publié le 15 octobre 2009

ENTREVUE. Le père de Jean-Philippe Guidibi, un Béninois, a fait ses études au Québec avant de retourner au Bénin élever sa famille. Heureux de son expérience, il a toujours voulu que ses enfants viennent vivre et étudier à Montréal.

Jean-Philippe a donc suivi les traces de son père et de ses frères et, à 18 ans, a débarqué au Québec, en plein mois de décembre, pour faire des études aux HEC de Montréal. «Comme j’avais de la famille ici, ça a facilité mon intégra-tion.» Il avait également entendu parler de la neige et du froid, ce qui a atténué le choc. Mais on ne peut jamais savoir ce que c’est avant de l’avoir vécu... «J’arrivais d’un endroit où il faisait 37°C deux jours avant!»

Au Bénin, pas besoin de s’inquiéter de la météo : il fait toujours soleil. Peut-être cela explique-t-il son optimisme. Selon lui, c’est un des apports de sa culture à la vision des gens d’ici. «Chez nous, on dit souvent : demain sera meilleur! Ici, au Québec, les gens ont parfois tendance à se décourager.»

Il aime beaucoup le milieu multiculturel de Desjardins, où il travaille maintenant comme conseiller, service aux mem-bres. «J’aime beaucoup apprendre sur d’autres cultures.»

«J’aime l’ouverture qu’il y a ici.»

«Ailleurs, c’était bien aussi, mais je ne sais pas si je pourrais retourner dans un environnement moins diversifié.»

D’ailleurs, il a réalisé son rêve en deve-nant employé de cette coopérative, après son baccalauréat et une expé-rience d’une année comme agent finan-cier dans une autre entreprise d’ici. «J’ai toujours été impressionné par la réussite de ce modèle coopératif financier et ça rejoint mes valeurs. Je viens d’un pays où on a des problèmes de développe-ment et je suis convaincu que ce genre de modèle devrait être reproduit.»

Heureux sans bémolAu Bénin, une jeune démocratie, l’accès aux études n’est encore réservé qu’à une partie de la population. Quand on veut travailler dans le domaine fi-nancier, le Québec est un meilleur choix, selon Jean-Philippe.

Il n’a pas eu de difficulté à s’intégrer au marché du travail, notamment grâce au réseau qu’il s’est créé. «La tendance, c’est de rester avec les siens, en terrain connu, mais j’ai très vite réalisé qu’il fallait sortir de ce cocon-là et rencontrer d’autres personnes pour savoir ce qu’il y a au-delà.»

Est-ce une manifestation de son opti-misme? Rien ne semble le déranger ici. Même le froid, dont il s’accommode. Il est retourné au Bénin une seule fois depuis son arrivée ici. «C’est sûr que ça me manque parfois, mais comme une partie de ma famille est ici, je vis moins difficilement l’éloignement.»

Jean-Philippe Guidibi

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ENTREVUE. Il y a quelques années déjà, Benoît Picard quittait la France pour suivre sa dulcinée, une Québécoise de Laval, sans bien savoir à quoi s’attendre puisqu’il n’était venu dans la Belle Province qu’un mois en touriste. «Ayant beaucoup voyagé avec mes parents dans ma jeunesse, l’inconnu ne me faisait pas peur.» Vingt ans et deux amoureuses plus tard, il y est toujours, et pour de bon.

Avec un diplôme de finances en poche, il s’attendait tout de même à des débuts plus faciles. «On se dit : ça parle français, c’est le pays des rêves, et tout ça... mais la réalité est autre.» Parmi les obstacles, certains problè-mes d’équivalence dans les diplômes (différents au Québec et en France) ne lui ont pas permis d’exercer sa profes-sion comme il l’espérait au cours des premières années où il a vécu ici.

La langue anglaise, qu’il faut maîtriser davantage à Montréal qu’en France dans le milieu professionnel, était une autre barrière. «Comme plusieurs Fran-çais, je n’étais pas très doué pour les lan-gues», ironise-t-il. Il décide donc d’ouvrir un restaurant, Le Globetrotter, en 1996. L’aventure dure trois ans. Puis il bifurque vers l’immobilier avant de revenir à ses premières amours, la finance.

Ce détour professionnel lui a permis de rencontrer son amoureuse actuelle, et c’est en côtoyant la famille de cel-le-ci que l’intégration s’est accélérée. La clé, c’est la famille, selon lui, et de se mêler aux gens.

L’ONU de la financeAprès avoir suivi une formation com-plémentaire en informatique, il a tra-vaillé pendant 10 ans dans des firmes de comptabilité avant d’atterrir chez

Bell, où il est devenu vérificateur in-terne principal en avril 2009. Son milieu de travail est très mixte, comp-tant des gens de toutes origines, et, selon lui, on n’y vit aucun sentiment d’exclusion. «Entre nous, on appelle notre département l’ONU!»

Il dit n’avoir jamais dû faire face à des problèmes de comportement à son égard. «Le fameux “maudit Fran-çais”, on ne me l’a jamais dit, sauf à la blague, et je réagissais à la blague aussi. Bien sûr, il faut avoir de l’humour. C’est le secret.» Il note par ailleurs une évolution des mentalités au fil des ans. «J’ai toujours eu des supérieurs très ouverts, mais cette tendance se répand.»

Il se rend en France environ tous les deux ans pour voir ses proches, mais n’a aucune intention de retourner vivre là-bas.

«J’ai autant d’attaches au Québec qu’en France maintenant.»

Et contrairement à plusieurs Québé-cois «pure laine», il assure qu’il aime l’hiver... pendant lequel il fait beau-coup de ski et un peu de raquette, tant sur la Rive-Sud, où il habite, qu’à Bro-mont, où il va régulièrement? «Il faut aimer l’hiver au Québec; sinon, c’est long!»

Suivre l’amour jusqu’au Québec

JULIE [email protected] Publié le 12 novembre 2009

Benoît Picard a décidé d’ouvrir un restaurant, Le Globetrotter, en 1996. L’aventure a duré trois ans. Puis il a bifurqué vers l’immobilier avant de revenir à ses premières amours, la finance.

Benoît Picard

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N COCKTAIL-VERNISSAGERENDEZ-VOUS DES ALLIÉS :

Madame Manon Barbe, présidente de la Conférence régionale des élus de Montréal, vous invite à participer au « Rendez�vous des Alliés : Des solutions d’a�aires, des parcours inspirants ».

Alliés Montréal célébrera le lancement de l’exposition itinérante « Parcours inspirants », 24 portraits témoignant des succès de Montréalaises et Montréalais issus de l’immigration, en collaboration avec le journal Métro et Radio Canada International.

Ce Rendez-vous soulignera l’engagement des partenaires d'a�aires et des partenaires institutionnels pour Alliés Montréal. Il se fera en la présence de :

DES SOLUTIONS D’AFFAIRES, DES PARCOURS INSPIRANTS

MME GENEVIÈVE BROUILLARD

VICE-PRÉSIDENTE, RÉGION SUD-OUEST DE MONTRÉAL

BANQUE ROYALE DU CANADA

M. RENAUD CARON

VICE�PRÉSIDENT PRINCIPAL, DÉVELOPPEMENT STRATÉGIQUE

CGI

Ce cocktail-vernissage sera animé par M. Daniel Campbell, directeur du recrutement - région du Québec, de la Banque Royale du Canada.

Jeudi 7 avril 201117 h à 19 h

Banque Royale du Canada1, Place�Ville-Marie41e étage

RSVP avant le 31 mars 2011Mme Suzanne Perreault514�842�2400, poste [email protected]

EN COLLABORATION AVEC :

Je voudrais exprimer ma satisfaction d’avoir participé au succès de l’évènement par la création et le développement du visuel de l ’exposition itinérante « Parcours inspirants ».

PARCOURS INSPIRANTS

carrières

UNE FOIS PAR MOIS, MÉTRO ET RADIO CANADA INTERNATIONAL PROPOSENT, EN COLLABORATION AVEC LE PROJET ALLIÉS MONTRÉAL DE LA CONFÉRENCE RÉGIONALE DES ÉLUS (CRÉ) DE MONTRÉAL, DES PORTRAITS DE PERSONNES IMMIGRANTES QUI ONT RÉUSSI DANS LEUR MILIEU DE TRA VAIL.

JULIE [email protected] Publié le 16 avril 2009

ENTREVUE. Au hockey comme dans la vie, Claudel Polifort n’envisage pas la défaite. «Mes parents nous ont tou-jours dit : “Faites ce que vous avez à faire et vous serez récompensés un moment donné.”»

Né à Camperin et arrivé à Montréal à six ans, il se rappelle la curiosité des gens. «Il y avait deux familles haïtien-nes dans l’école. Des enseignants ve-naient à tour de rôle dans la classe pour nous voir. Et quand on marchait dans la rue, tout le monde nous regar-dait. C’est sûr qu’au début, c’est très intimidant.»

Ce sentiment d’être un étranger l’a suivi jusque sur les bancs du cégep. À ce moment seulement, il a senti que les temps avaient changé et que les gens ne le voyaient plus comme une curiosité.

L’accent lui a également posé pro-blème pendant sa première année, mais malgré tout, il s’est rapidement intégré au voisinage en jouant au hockey. «J’aimais le sport, et tout le monde jouait au hockey ici, alors...» Il a été arbitre pendant 16 ans et joue toujours dans une ligue les jeudis soirs. «Presque tous les ans, j’organise un tournoi avec les gens du bureau.»

Gravir les échelonsClaudel Polifort est entré chez Xerox comme technicien après l’obtention

de son diplôme à l’institut Teccart en technologie de systèmes ordinés. Il a ensuite tenté sa chance dans le dépar-tement du télémarketing et des ventes, et aujourd’hui, 20 ans plus tard, il est directeur du développement de la clientèle. «Au début, j’ai saisi l’occasion qui s’est présentée, mais la plupart des autres postes que j’ai eus, je suis allé les chercher.» Il a toujours eu l’ambition de grimper les échelons.

«Ici, chez Xerox, je n’ai pas eu de dif-ficultés à obtenir mes postes et je n’ai jamais ressenti du rejet. Mais dans les premiers emplois que j’ai occupés, je sentais que j’avais davantage à prou-ver. Les gens avaient peur de l’inconnu.» Il constate un changement radical dans les entreprises ces dernières années, une ouverture plus grande.

«Mes enfants n’auront pas

moi.»

«Ils ont tellement d’occasions compa-rativement à moi qui ne suis pas né ici! C’est à eux de saisir la chance et d’en profiter. Tout est possible.»

Claudel Polifort est aujourd’hui directeur du développement de la clientèle chez Xerox.

Claudel Polifort

Du soleil d’Haïti aux patinoires de Montréal

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Quitter Rio en quête de tranquillité

JULIE [email protected] Publié le 14 mai 2009

ENTREVUE. C’est en 2004 que Marcio Leibovitch a quitté le Brésil pour venir s’installer à Montréal avec sa femme. «À Rio, il y a près de 10 millions d’habitants. Il y a trop de monde, du trafic partout et de la violence. Nous voulions un endroit plus tranquille pour élever notre enfant.»

Venus une première fois en 2002 pour quelques mois, ils ont apprécié la ville, appris le français et décidé de refaire leur vie au Qué-bec. «On a tout laissé. Tout le monde nous disait que nous étions fous. Nous avions des postes assez élevés là-bas.»

«L’argent et la position dans la hiérarchie, ce n’est pas tout.»

«Il faut être heureux dans son quoti-dien.»

Marcio a une formation d’ingénieur électronique et a toujours travaillé en in-formatique. D’abord en programma-tion, puis en design d’interface. «J’avais fait une recherche avant. Je savais qu’à Montréal, il y avait un grand développe-ment technologique et qu’on y trouvait plusieurs compagnies dans le domaine de l’ergonomie de logiciels.»

L’intégrationIl a quand même eu besoin de 10 mois pour trouver un travail permanent dans son domaine. Lui et sa femme ont parti-cipé à une session d’intégration organi-sée par le gouvernement, ce qui les a beaucoup aidés. «C’est difficile, car il y a certaines différences culturelles, et on ne sait pas toujours ce qu’il convient de dire ou pas et quelle atti-tude adopter. Ma première entrevue s’est faite par téléphone. Ça, c’est quel-

que chose qui n’existe pas au Brésil.» Il a finalement trouvé du travail chez Yu Centrik, où il est maintenant direc-teur de l’expérience utilisateur.

Pas de regretsDes amis brésiliens et montréalais qu’ils avaient connus il y a quelques années ont grandement facilité leur inté-gration et ont pesé dans la balance lorsqu’ils ont pris la décision d’émigrer. «Mais ça reste quand même difficile pour nous d’être éloignés de la famille et des amis de longue date qui sont restés au Brésil.»

Marcio ne regrette cependant pas sa décision. «Ici, à Montréal, la plage est loin, mais au moins, il y a des parcs et des piscines publi-ques partout, et on est plus tranquilles.» Il s’est dit agréa-blement surpris aussi de l’ouverture des gens. «Je ne me suis jamais senti comme un étranger ici. Et en général, les gens sont toujours prêts à aider. À donner des renseignements pour nous orienter, par exemple. Au Brésil, les gens sont très chaleureux, mais plus méfiants. Le premier hiver, quand des voitures étaient prises dans le banc de neige et que je voyais les gens aller aider à pousser la voiture, je trouvais ça incroyable!»

Ah, l’hiver... Une grosse adaptation lorsqu’on vient d’une ville où il fait toujours chaud et où la plage est à cinq minutes à pied... Mais Marcio s’y fait: «S’il ne faisait pas froid ici, ce serait trop parfait! Et il y aurait trop de monde!»

Marcio Leibovitch, qui a toujours travaillé en informatique, a une formation d’ingénieur électroni -que. Il est aujourd'hui directeur de l’expérience utilisateur chez Yu Centrik.

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Marcio Leibovitch

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MODASUITE (www.modasuite.com), entreprise intégrée verticalement spécialisée dans la vente en ligne de vêtements pour hommes à la coupe personnalisée et faits sur mesure, dispose d’un nouveau capital de démarrage garanti par Real Ventures, Anges Québec et Bolidea. Ce financement va être investi dans la mise en œuvre de l’expansion stratégique de l’entreprise ainsi que dans le développement de ses objectifs de croissance à grande échelle. Mark MacLeod au nom de Real Ventures et Martin-Luc Archambault, représentant Anges Québec et Bolidea, vont, tous deux, siéger au conseil d’administration de Modasuite.

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HISTORIQUE - HISTORIC

L’histoire d’Augustin Lebel remonte aux années 1930. Il fabriquait alors de la crème glacée pour laiterie de Kenogami au Saguenay. Son �ls, Gaëtan Lebel, a conservé la recette originale. Animé du même désir d’o�rir aux amateurs de crème glacée un produit de qualité supérieure, il fonde en 1986 Les Aliments Lebel Inc. L’usine moderne actuelle fut construite en 2000 dans les bâtiments de la laiterie Lowe, à Lachute dans les Laurentides. C’est alors que Les Aliments Lebel Inc. devient fabricant de crème glacée et est �er d’être le seul producteur indépendant de friandises glacées sur bâton au Québec. De plus, tous les produits sont sans noix ni arachides.

The history of Augustin Lebel started in the 1930’s. Back then, he made ice cream for the Kenogami Dairy in the Saguenay region. His son, Gaëtan Lebel, kept the original recipe. Driven by the same desire to o�er ice cream enthusiasts a premium quality product, Gaëtan Lebel founded Les Aliments Lebel Inc. in 1986. The current state-of-the-art plant was built in 2000 in the legendary Lowe Dairy buildings of Lachute. Since then, Les Aliments Lebel Inc. has become a renowned ice cream and novelty manufacturer and is proud to be the only independent producer of frozen stick novelties in Quebec ! In addition, all the products are nut and peanut free.

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UN ENVIRONNEMENT SAIN POUR TOUS

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ÉVÉNEMENTIEL

ILLUSTRATIONS

Dans un souci de confidentialité,les travaux fini ne sans pas disponible

Sortie 2012


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