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Rapport de stage
d’ingénieur
Stage effectué de
12/08/2015 au 12/09/2015
Dans la société :
Tunisie Télécom Direction régionale de la Manouba
École : École Supérieur de communication de Tunis
Réalisé par : DAKHLAOUI Issameddine Encadrant: M. Bben Youssef Makrem
Mm. Hammemi saida
2015
Rapport de Stage d’ingénieur
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Plan
Introduction…………………………………………………….. 4
I. description de l'entreprise ………………………………….5
I.1. Histoire. ……………………………………………………….5
I.2. Activité .…………………………………………………….....6
I.3. Statistiques ..…………………………………………………..6
I.4. Identité visuelle .……………………………………………….7
II. Description des systèmes d’information géographique..7
II.1. Définition ……………………………………………………..7
II.2. Les composantes du SIG ………………………………….8
II.3. Utilisations …………………………………………………..9
III. Microstation-Modular GIS Environment …………………10
III.1. Présentation de Microstation ………………………………10
III.2. Structures et caractéristiques du système d’information
géographique ……………………………………………………...11
III.3. Différentes étapes de configuration d’un projet MGE …..14
Conclusion ……………………………………………………….18
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Remerciements
Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de
commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au
cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très
profitable.
Aussi, je remercie M. Ben Youssef Makrem et Mm. Hammemi Saida, qui m’ont formé et
accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de
pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des employés de l’entreprise Tunisie Télécom pour les
conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ce stage..
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INTRODUCTION
Ce stage est donc une occasion de confronter mes acquis sur le terrain, sans oublier
que c’est un passage qui facilite mon insertion professionnelle.
Ainsi, mon stage s’est déroulé au sein de l’entreprise Tunisie Télécom, pour la période
d’un mois.
Mon choix s’est reposé sur plusieurs critères :
L’immense intérêt que je porte au domaine de télécommunication.
Le rôle et la place qu’occupe cette société dans le domaine de communication et des
réseaux.
Voici ci-dessous, toutes les informations concernant le déroulement de ce stage, toutes
les conclusions que j’en ai retenues.
En effet, la première partie de ce rapport sera consacrée à une présentation de l’entreprise
Tunisie Télécom. Puis, dans une seconde partie, je vais décrire les systèmes d’information
géographique en général. Ensuite je vais décrire le systéme Microstation-Modular GIS
Environment (MGE).
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I. Description de L’entreprise :
I.1. Histoire :
La loi portant création de l'Office national des télécommunications, dont le nom commercial
est Tunisie Télécom, est promulguée le 17 avril 1995 et entre en vigueur le 1er janvier 1996.
Devenu société anonyme de droit public fin 2002, il change de statut juridique, par un décret
du 5 avril 2004, pour devenir une société anonyme dénommée « Tunisie Télécom ». Elle
connaît une privatisation partielle en juillet 2006 avec l'entrée dans son capital, à hauteur de
35 %, du consortium émirati ETI (Emirates International Telecommunications).
Tunisie Télécom met en place, exploite et commercialise le premier réseau GSM en
Mauritanie (Mattel) à partir de mai 2000. Elle conclut également une convention de
coopération technique avec Djibouti Télécom pour le développement de ses réseaux de
télécommunications.
À partir de 2008, Tunisie Télécom offre la possibilité aux détenteurs de cartes bancaires
nationales d'alimenter le solde de leurs lignes prépayées via les distributeurs automatiques de
billets de l'Arab Tunisian Bank (service Mobilink).
Le 21 mars 2009, Tunisie Télécom lance une nouvelle marque, Elissa, avec des offres
spécifiquement conçues pour les jeunes de moins de 25 ans ; elle devient accessible à tous
sans limite d'âge dès le 10 mars 2012.
Au printemps 2011, à la suite de la révolution tunisienne, la société est secouée par un
important conflit social entre les représentants de l'Union générale tunisienne du travail et
ceux de son actionnaire émirati au sujet du sort d'une soixantaine de contractuels (sur 8 500
employés) représentant 3,5 % de la masse salariale ; il est marqué par des grèves et sit-in
affectant le bon fonctionnement de l'opérateur. Il s'achève avec la fin de ces contrats de
travail, à l'exception de dix contractuels gardant leurs fonctions.
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I.2. Activité :
Tunisie Télécom propose des services dans le domaine des télécommunications fixes et
mobiles. En juin 2006, il est fort de 1 259 000 abonnés au réseau fixe (RTCP), dont il détient
le monopole, et de 3 265 000 abonnés au réseau GSM, la première ligne ayant été inaugurée
le 20 mars 1998. Avec une part de marché de 35,4 % en décembre 2014) sur le marché de la
téléphonie mobile, Tunisie Telecom est le second plus gros opérateur mobile du pays, derrière
Ooredoo, leader avec 45,7 % de part de marché. L’opérateur historique affiche en 2014 un
taux de croissance mensuel moyen de 4,2 %, ce qui lui a permis de franchir la barre des cinq
millions d’abonnements.
Tunisie Télécom est également un fournisseur d'accès à Internet (Frame Relay, ADSL, X.25,
LS, RNIS et WLL pour la téléphonie rurale).
En novembre 2014, Tunisie Télécom signe un partenariat avec le groupe Khechine qui
consiste pour l'entreprise de télécom d'offrir des avantages sur les services du groupe de
tourisme, en échange d'une offre de télécommunication avantageuse pour les établissements
hôteliers et touristiques du groupe Khechine.
I.3. Statistiques :
Effectif : 8200
Chiffre d’affaire : Son chiffre d'affaires est de 882,756 millions de dollars en 2013.
I.4. Identité visuelle :
1er logo de Tunisie Télécom Logo de Tunisie Télécom à partir de
septembre 2010
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II. Description des systèmes d’information
géographique :
II.1. Définition : Un système d'information géographique (SIG) est un système d'information conçu pour
recueillir, stocker, traiter, analyser, gérer et présenter tous les types de données spatiales et
géographiques. L’acronyme SIG est parfois utilisé pour définir les « sciences de l’information
géographiques » ou « études sur l’information géospatiales ». Cela se réfère aux carrières ou
aux métiers qui travaillent avec des systèmes d’information géographique et dans une plus
large mesure avec les disciplines de la géo-informatique. Ce que l’on peut observer au-delà du
simple concept de SIG a trait aux données de l’infrastructure spatiale.
Dans un sens plus général, le terme de SIG décrit un système d’information qui intègre,
stocke, analyse, et affiche l’information géographique. Les applications liées aux SIG sont des
outils qui permettent aux utilisateurs de créer des requêtes interactives, d’analyser
l’information spatiale, de modifier et d’éditer des données au travers de cartes et d’y répondre
cartographiquement. La science de l’information géographique est la science qui sous tend les
applications, les concepts et les systèmes géographiques.
Le SIG est un terme général qui se réfère à un certain nombre de technologies, de processus et
de méthodes. Celles-ci sont étroitement liées à l’aménagement du territoire, la gestion des
infrastructures et réseaux, le transport et la logistique, l’assurance, les télécommunications,
l’ingénierie, la planification, l’éducation et la recherche, etc. C’est pour cette raison que les
SIG sont à l’origine de nombreux services de géolocalisation basés sur l’analyse des données
et leur visualisation.
Les SIG permettent également une mise en relation de données qui peuvent sur le papier
sembler très éloignées. Quelle que soit la façon d’identifier et de représenter les objets et
événements qui illustrent notre environnement (coordonnées, latitude & longitude, adresse,
altitude, temps, médias sociaux,etc.), les SIG permettent de réunir toutes ces dimensions
autour d’un même référentiel, véritable colonne vertébrale du système d’information.
Cette caractéristique clé du SIG permet d’imaginer de nouvelles applications et de nouveaux
débouchés en matière de recherche scientifique.
II.2. Les composantes du SIG :
Un système d'information géographique est constitué de cinq composants majeurs :
Les logiciels
Ils assurent les six fonctions suivantes (parfois regroupées sous le terme des « 6A ») :
saisie des informations géographiques sous forme numérique (Acquisition)
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gestion de base de données (Archivage)
manipulation et interrogation des données géographiques (Analyse)
mise en forme et visualisation (Affichage)
représentation du monde réel (Abstraction)
la prospective (Anticipation).
Les données
Les données géographiques sont importées à partir de fichiers ou saisies par un opérateur. Une
donnée est dite « géographique » lorsqu'elle fait référence à un (ou plusieurs) objet(s) localisé(s) à la
surface de la Terre. Ses coordonnées sont définies par un système géodésique (ou système de
référence spatiale). Voir le paragraphe suivant.
Les matériels informatiques
Le traitement des données se fait à l'aide des logiciels sur un ordinateur de bureau ou sur un
ordinateur durci directement sur le terrain. L'ordinateur de terrain avec GPS et laser télémètre
permet la cartographie et la collecte des données. La construction de la carte en temps réel et
la visualisation de la carte sur le terrain augmente la productivité et la qualité du résultat. La
tendance depuis les années 2000 est à une cartographie précise et interactive, où l'analyse des
données se font de plus en plus in situ, sur le terrain, de même que la validation. Des systèmes
client-serveur en intranet, extranet voire via Internet facilitent ensuite, et de plus en plus, la
diffusion des résultats.
Les savoir-faire
Un système d'information géographique fait appel à une connaissance technique et à divers
savoir-faire, et donc divers métiers, qui peuvent être effectués par une ou plusieurs personnes.
Le spécialiste doit mobiliser des compétences en géodésie (connaissance des concepts de
système de référence et de système de projection), en analyse des données, des processus et de
modélisation (analyse Merise, langage UML par exemple), en traitement statistique, en
sémiologie graphique et cartographique, en traitement graphique. Il doit savoir traduire en
requêtes informatiques les questions qu'on lui pose. Toutes les compétences techniques se
retrouvent dans le métier de géomaticien, compétences auxquelles viennent se greffer des
compétences "métiers" thématiques.
Les utilisateurs
Comme tous les utilisateurs de systèmes d'information géographique ne sont pas forcément
des spécialistes, un tel système propose une série de boîtes à outils que l’utilisateur assemble
pour réaliser son projet. N’importe qui peut, un jour ou l’autre, être amené à utiliser un SIG.
Le niveau de compétences requis pour la conduite des opérations les plus basiques (voir
géomatique), est généralement celui de technicien supérieur. Mais afin d'assurer une bonne
qualité d'interprétation des résultats de l'analyse des données et des opérations avancées,
celles-ci sont généralement confiées à un ingénieur disposant d'une bonne connaissance des
données manipulées et de la nature des traitements effectués par les logiciels. Enfin, des
spécialistes sont parfois amenés à intervenir sur des aspects techniques précis.
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II.3. Utilisations :
Les SIG sont utilisés essentiellement pour :
l'analyse spatiale ;
la gestion de données et de bases de données géographiques ;
l'aide à la décision, notamment pour l'aménagement du territoire ;
les définitions de zones de chalandise, implantations de points de vente, aides au
mediaplanning notamment en affichage, optimisation de la distribution d'ISA
(imprimés sans adresses) ;
la cartographie ;
la cartographie réglementaire, destinée à représenter et à rendre opposables les droits à
construire sur un terrain particulier. En France, elle permet d’élaborer graphiquement
les plan locaux d'urbanisme (PLU) et de les éditer sous forme de documents papiers ou
informatiques. La cartographie réglementaire doit permettre de faire le lien entre les
différents acteurs de l’immobilier en partant des collectivités publiques compétentes
en matière d’urbanisme en passant par les professionnels de la construction
(promoteurs immobiliers et maîtres d’œuvres) sans oublier le public non
professionnel.
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III. Microstation-Modular GIS Environment :
III.1. Présentation de Microstation :
Présentation :
MicroStation est un logiciel d'ingénierie collaborative, ou anciennement de conception
assistée par ordinateur (CAO). MicroStation est édité par la société Bentley Systems. De
nombreux modules développés par Bentley ainsi que par des sociétés tierces permettent
d'utiliser MicroStation dans des domaines d'application variés (ingénierie des procédés,
infrastructures routières et urbaines, architecture, cartographie, etc.)
MicroStation a été élaboré à l'origine par les frères Keith et Barry Bentley. Ils ont ensemble
fondé la société Bentley Systems Inc. en 1984. En janvier 2006 Bentley comptait plus de 2500
employés dans le monde. L'équipe de direction comprend Greg Bentley, CEO, Bhupinder
Singh SrVP Bentley Software, Malcolm Walter COO, John Riddle Plant et Building, Ted
Lamboo Geo et Civil, Jean-Baptiste Monnier Asia-Pacific, et David Hollister CFO.
MicroStation est la plateforme commune aux applications de Bentley dans les quatre métiers
qu'elle sert, à savoir ingénierie des procédés, génie civil, architecture/bâtiment, et géospatial.
L'analyste Daratech rapporte que MicroStation est la plateforme la plus utilisée dans le monde
en ingénierie des procédés.
Format des fichiers graphiques :
Les fichiers portent normalement l'extension .dgn.
Grâce à la bonne optimisation du format de fichier ISFF (Intergraph Standard File Formats)
commun avec IGDS (Interactive Graphic Design Software), MicroStation a conservé pendant
vingt ans le même format, en n'y faisant que des ajouts, et en permettant une compatibilité
ascendante et descendante entre les versions (un dessin fait avec MicroStation 7 est lisible
avec MicroStation 3 ; seuls les nouveaux éléments graphiques sont ignorés). Ce format de
fichier permettait également d'optimiser les accès sur disque.
Depuis la version 8, un nouveau format permet d'encapsuler des fichiers vers :
l'ancien format dit V7 le format DWG d'AutoCAD dans ses différentes versions que MicroStation gère maintenant
nativement. le nouveau format dit V8
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Nouvelles fonctionnalités
MicroStation V8 permet de gérer l’historique de toutes les modifications apportées par les participants aux projets.
MicroStation V8 permet de protéger les données en utilisant la technologie PKI (Public Key Infrastructure), soit pour introduire une signature électronique authentifiée, soit pour restreindre l'accès aux informations.
MicroStation V8 génère directement des fichiers PDF en 2D ou 3D qui peuvent être visualisés ou tracés par plus de 500 millions d’ordinateurs dans le monde (cela sert aux propositions commerciales ou aux appels d'offre, par exemple).
La V8i Fr est sortie en décembre 2008, elle a été labellisé par l'IGN pour la conversion de données vectorielles depuis et vers le Lambert 93 et les projections coniques conformes.
III.2. Structures et caractéristiques du système d’information géographique :
a) Structure matérielle
Les protocoles utilisés dans le réseau informatique GIS sont :
TCP/IP (Transmission Control Protocole/Internet Protocole): C’est le protocole utilisé
dans le réseau local du GIS, ce protocole se base sur l’adressage IP c’est à dire il
fournit une adresse IP a chaque machine du réseau afin de pouvoir acheminer des
paquets de données.
La suite de protocoles TCP/IP répond à un certain nombre de critère parmi
lesquels :
♦ Fractionnement des messages en paquets
♦ Utilisation d’un système d’adresse
♦ Acheminement des données sur le réseau (routage)
♦ Contrôle des erreurs de transmission de données
Frame Relay : C’est la méthode utilisée pour communiquer avec le centrale de Tunis,
on a pu utiliser le protocole TCP/IP pour réaliser cette opération longue distance
mais on a préféré le relay de trame parce qu’il nous permet de gagner beaucoup de
temps, ce gain de temps viens du fait qu’on n’effectue pas le contrôle d’erreur et le
contrôle de flux dans les commutateurs mais on les pousse aux extrémités de la
connexion.
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Dans ce protocole on ne remonte pas dans le troisième niveau du modèle OSI ou on
permet de réaliser le contrôle d’erreur, le contrôle de flux et l’adressage.
Les grands principes déterminés par cette recommandation sont les suivants :
♦ Délimitation, alignement et transparence des trames
♦ multiplexage et démultiplexage des trames
♦ inspection de la trame pour vérifier qu’elle n’est ni trop langue ni trop courte
b) Structure logicielle :
Le système d’information géographique présente une architecture modulaire. Le logiciel est
hiérarchisé sur six niveaux fonctionnels :
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• MGAD (MGE Base Administration) : C’est le mode administrateur ou notre administrateur
peut
créer et modifier les différentes entités graphique utilisées dans les différentes cartes a
créer, c’est le
mode qu’on trouve sur le serveur.
• MGMAP (MGE Base Mapper) C’est le mode modification ou le mode mise ajour , il permet
d’ajouter des entités graphique sur les cartes a crées et de les définir.
• MGNUC (MGE Base Nucleus): C’est le mode vérification il permet de rechercher les erreur
éventuel sur les différentes cartes et il vous donne la possibilités de les corrigées.
• RIS (Relation Interface Système): C’est une interface qui communique directement avec la
base de données relationnelle que l’on utilise avec MGE. Il assure le transfert des données
entre un projet MGE et la SGBDR du projet.
L’utilisation du RIS permet la transparence entre la base de relationnelle et l’utilisateur, il
permet ainsi la cohérence des données quelle que soit la base de données utilisées.
• Microstation : C’est le moteur graphique du système, il offre des capacités graphique
complète d’un logiciel de PAO et CAO qui permet de dessiner une géométrie vectoriel de
l’information.
• SGBDR : c’est Le système de gestion de base de données relationnelle.
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III.3. Différentes étapes de configuration d’un projet MGE : a) Différentes étapes de configuration :
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b) Création d’un projet MGE :
chaque projet MGE doit comporter :
• Une carte fond : comportant le fond du plan vectorisé de la zone géographique.
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• Une carte rue : comportant les entités graphique des nom de rues ,immeubles, numéros
des maisons, résidences, numéros de lots .
• Une carte SR: comportant les entités graphique Sous Répartiteur SR, Point de
Concentration PC , et les gains de paires .
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• carte génie civil : Un plan de génie civil d’un sous répartiteur SR comporte les entités
graphique des chambres et des canalisations.
• carte d’association : chaque plan d’association d’un sous répartiteur SR comporte les
entités graphique des câbles , des attentes et des zéro .
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CONCLUSION
Ce stage a parfaitement répondu à mes attentes car je souhaitais découvrir le
domaine de télécommunications. Il m’a permis de découvrir un univers que je ne
connaissais finalement que très peu mais pour lequel je porte un immense intérêt.
J’ai également découvert la vie industrielle dans une dimension internationale.
Je souhaite encore remercier l’équipe du Tunisie Télécom de m’avoir accueilli
au sein de leur groupe et de m’avoir intégrer si rapidement.
Ce stage a vraiment confirmé mes ambitions futures d’exercer dans le
domaine de télécommunication. Ce stage m’a été très instructif et m’a permis de
renforcer mes choix vis-à-vis de ma future carrière professionnelle.