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2. Alors que je me saisissais de luf, le dragon se rveilla et avec le peu de force qui lui restait, il me cracha une norme gerbe de flammes. Je posai luf et sautai sur l'normedragon. Mon cuyer n'en revenait pas. Je lui donnai un coup d'pe dans la tte.Le dragon tomba terre et je l'achevai d'un dernier coup d'pe. Me remettant de mesmotions jhsitai garder luf. Bon... Un dragonnaux ne me tuera pas. Alors je demandai calmement mon cuyer encore abasourdi de l'incroyable combat de me suivre. Au bout de quelque heures, jarrivai dans le village d'Ubu. Lorsque j'entrais dans la taverne, je vis un homme avec une bouteille dans la main et une dizaine de corps tals ses pieds, vraisemblablement morts. Je brandis mon pe et le menaai. Qui tes-vous? criai-je. Quavez vous fait ces hommes ? -Je me suis seulement dfendu! S'excusa-t-il -En tuant des innocents ?- Ce n'taient pas des innocents ! C'est eux qui ont essay de me tuer ! - Comment pourrais-je vous croire ? C'est vous qui avez leur sang sur les mains.-Je suis un chevalier , messire, et voici Cur Dragon pour le prouver. A cet instant, le fier chevalier brandit son pe.- Alors, cela change tout dans ce cas ! Je m'appelle Balgruf De Sombreloup Dit Le Sanglant. Chevalier la cour de Cohak. Rcemment adoub.-A moi de me prsenter. Je me nomme Farengar De Feu-Sacr. Matre dans l'art du combat.- Ce serait un honneur d'tre votre apprenti. O avez-vous t adoub ? - Dans la cit de Pendragon - Quand?- Euuh... N'avez-vous pas une qute hroque mener ? - Votre sac bouge!- Ho a, ne vous affolez pas, ce n'est qu'un dragonNous entendmes des hurlements bestiaux un peu plus loin dans la fort. Pendant ces vnements, une meute d'normes loups tait entre dans le village eten menaaient les habitants. Alerts par les cris terrifis, nous brandmes nos pes et 3. nous nous rumes sur les btes enrages par la faim. Les dragonnaux sortirent de nos sacs de et brlrent des loups.Moi, Farengar, je repeignis l'auberge du sang des loups mais l'un d'eux se jeta sur moi. Heureusement, Balgruf avait vu la bte arriver et pu me porter secours et d'un puissantcoup il trancha le loup en deux. Pendant que les deux dragonnaux faisaient connaissance, un loup gigantesque sortit des bois. Il tait noir cendre, telle l'ombre de la nuit, des cicatrices lui marquaient le corps. Ses crocs, telles des lames d'pe nousmenaaient. Prenant exemple sur nous, nos deux nouveaux compagnons ails neressentirent aucune crainte, et lorsque la bte bondit Alecin arriva pour tuer la bte et l'attaqua plusieurs reprises mais ses efforts furent vains et il se prit un froce coup degriffe de la bte qui le mit terre. Balgruf enfona son pe dans la gueule de l'animal, mais le loup n'abandonnant pas avana jusqu' la garde pour lui arracher le bras. Je luicoupai son lan en lui tranchant le corps en deux. Les loups restants fuirent devant le corps de leur chef tranch en deux. Balgruf s'agenouilla aux pieds de son cuyer terre et lui mit amicalement la main sur l'paule mais le flon lui enfona sa dague dans le ventre. Pourquoi as-tu fait a?-C'tait ma mission, Balgruf - Qui t'envoie ?-Le duc Janno me l'a demand car tu es un obstacle -A quoi? Quels desseins ?- Trop tard, Balgruf, je me meurs Lorsque je m'avanai pour aider mon ami, je vis le corps sans vie de son cuyer et dcouvrai avec stupeur que Balgruf avait t poignard. Il fallait faire vite car Balgruf venait de s'vanouir. Il allait mourir. Je me htai et l'emmenai dans l'auberge. L, jel'allongeai sur une table. Je pris une bouteille d'hydromel et la lui versa sur sa plaie. Je trouvai des linges et le pansai avec. 4. Deux jours plus tard je me rveillai aux cots de Farengar. J'tais allong dansune barque porte par le courant O allons-nous?-nous suivons le fleuve jusqu'au prochain village pour en savoir plus sur le dnomm duc Janno-Pourquoi memmnes-tu l-bas ? - Parce que tu lui dois cette mchante plaie et ces deux derniers jours de fivre - Comment sais-tu que je les dois au Duc Janno ?- C'tait crit sur un parchemin que j'ai trouv sur Alecin.- Qu'elle incroyable bataille ! Sans les dragons, je ne crois pas qu'on s'en serait sorti ! - A ce propos... Tu as un dragon ?- Oui, je l'ai nomm Swear. Je l'ai trouv dans une clairire ou un loup allait le dvorer. Mais toi aussi tu en as un- Oui, il se nomme Kondor. Je l'ai dcouvert... Nous nous tmes devant l'imposante forteresse qui se dressait le long de la berge.c'est srement la demeure du duc Janno. Dit Farengar -oui srement, mais allons voir plus avant.Nous entrmes dans l'antre du duc o des guerriers lourdement quips, brandissant leur arme, nous barrrent le passage.Farengar sortit son pe de son fourreau et trancha la tte du premier assaillant. Je suivis le mouvement tranchant un garde en deux. Les deux dragonnaux sortirent de leursac et brlrent l'intgralit des soldats restants. Une grande porte s'ouvrit et nous vmes apparatre un homme portant une armure imposante recouverte d'une cape noire. L'homme lana d'un ton sombre :Vous n'arrterez pas la rbellion contre le roi.Puis il partit vers la plus haute tour du chteau, laissant derrire lui des guerriers armsjusqu'aux dents. Nous ne fmes qu'une bouche de cette arme ridicule. Nous gagnmes la tour et y trouvmes le duc.Nous nous avanmes et le menames de nos pes. Il se dfendit avec frocit. Leduc recula au bord de la tour, chacun d'entre nous lui trancha un bras. Il perdit lquilibre et tomba du haut de la tour. 5. Nous rentrmes glorieux au palais et contmes nos exploits autour d'un magnifique et grand banquet. Quand les festivits battaient leur plein nous entendmes des tamboursaux loin. Nous regardmes par les fentres et nous vmes une grande arme. Tous les soldats du chteau sortirent pour se battre. La bataille fut grande et sanglante. Lorsque nous sortmes les ennemis tirrent une pluie de flches qui l'uneatteignit l'paule de Balgruf et une autre ma jambe, m'immobilisant au sol. Pourtant, malgr nos handicaps, nous continumes nous battre.La bataille prit fin. Plus un seul soldat ne respirait. Les dragons se posrent sur le champ de bataille sanglant et nous menrent ensemble jusqu' l'antre d'une sorcire quinous appliqua ses onguents et ses potions pendant de longues semaines. En change de ses soins elle nous confia une qute secrte que nous acceptmes. C'tait le dbut d'une longue vie d'aventures. 6. Nous rentrmes glorieux au palais et contmes nos exploits autour d'un magnifique et grand banquet. Quand les festivits battaient leur plein nous entendmes des tamboursaux loin. Nous regardmes par les fentres et nous vmes une grande arme. Tous les soldats du chteau sortirent pour se battre. La bataille fut grande et sanglante. Lorsque nous sortmes les ennemis tirrent une pluie de flches qui l'uneatteignit l'paule de Balgruf et une autre ma jambe, m'immobilisant au sol. Pourtant, malgr nos handicaps, nous continumes nous battre.La bataille prit fin. Plus un seul soldat ne respirait. Les dragons se posrent sur le champ de bataille sanglant et nous menrent ensemble jusqu' l'antre d'une sorcire quinous appliqua ses onguents et ses potions pendant de longues semaines. En change de ses soins elle nous confia une qute secrte que nous acceptmes. C'tait le dbut d'une longue vie d'aventures.