-1821, Paris, il nait.- Il a six ans: son père meurt.-Mariage de la mère: trahison.-Il est majeur: conseil judiciaire à cause de sa vie dissipée.-Il commence à vivre plus misérablement et à travailler.-1864, Bruxelles: il a une crise qui le paralyse.-1867, Paris , il meurt.

Jeanne Duval

-Actrice;-Femme Vampire;-Belle, mais vide;-Maitresse. Marie Daubrun

-La fille aux yeux verts;-Soeur.

Mme Sabatier.

-Muse;-Ange;-Madone;-Femme spirituelle;-Mère.

-Art pour l’art, culte de la beauté pure;-Mélange de rigueur et sensibilité;-Vocabulaire et métrique: classiques;-Alexandrin et sonnet;-Images originales;-Symboles, correspondences, comparaisons.

-Les fleurs du mal (recueil de verses);-Le spleen de Paris (petits poèmes en prose);-Paradis artificies;-Mon coeur mis à nu (son journal intime);-Les limbes;-Les biens;-Articles critiques.

-Structure précise;-Six chapitres de longueur inégale.-Le livre subit un procès pour immoralité.

-Dualisme:Bien et Mal sont en rélation.

SPLEEN ET IDEAL.“Spleen” signifie “état dépressif” et il est tout ce qu’il y a de négatifdans le monde et dans l’ame, il a mille visages. Le spleen est la malédixtion eternelle de l’homme. “Idéal” est tout ce qui permet d’ échapper au spleen.

TABLEAUX PARISIEN.On chante la ville de Paris, au contraire des romantiques qui se refugent dans la nature.

LE VIN, LA DROGUE DES PAUVRES.Le vin est un moyen d’évasion.

LES FLEURS DU MAL.On profite de tout ce que la ville offre pour échapper à la dualité de la vie.

LA REVOLTE.Baudelaire ce révolte contre Dieu et éloge Satan.

LA MORT.Inconnue, elle est la dernière solution.

Baudelaire illustre la double condition du poète: homme de gènie et homme de tous les jours. Le poète est comme un albatros,un oiseauextraordinaire dans le ciel, mais quand il est sur le navire (la vie de tous les journes), les hommesd’équipage (la societé) se moquent de lui et ne comprennent pas sa grandeur et sa souffrence, aussi. C’est la puissance de l’albatros, la grande ouverture de ses ailes qui le rend infirme sur la terre,comme la sensibilité surhumaine du poète, ne lui permet de vivre parmi les hommes stupides.

Le poète est le seul qui peut dècifrer le langage etles symboles de la nature grace à son pouvoirmagique: il partage de la divinité et, grace à la correspondence verticale, il peut comprendrel’existence de quelque chose qui va au de la desapparences, où il y a une autre realité. Grace auxsensations, aux parfums en particulier il trouvel’inspiration, imagine et se dedie à la créationpoètique. La correspondence horizontale, aucontraire, se base sur la synestesie (mélange dessensations materielles et des organs de sense), etelle est pour tous les hommes.

Dans ce poème nous avons une bataille entre l’Angoisse etl’Espoir. La nature est vue comme une prison,qui symbolisel’oppression. Le poète voudrait échapper au spleen, la malédiction eternelle de l’homme, mais il n’est paspossible. En effet, l’Angoisse triomphe et plante son drapeau noir sur la tete du poète. Donc nous avons la défaite de l’Espoir.

Dans ce poème on fait reference à la Hollande. On a une correspondence entre la femme, Marie Daubrun, et le paysage. Vu quela Hollande faisait des commerces avecl’Oriente, on parle de la splendeur orientale, qu’on voit surtout dans le décor et les objectsde la chambre. En particulier, dans le refrain, on a l’évocation des ideaux de Baudelaire: il aspire à l’ordre, à la calme, à la volupté, auluxe, à la beauté.

Ce poème est dedié à Mme Sabatier. Baudelaire est plongé dans la religiosité pour échapper à la réalité. Le soir est magique parce qu’il est un moment de calme etd’harmonie, le moment dans lequel on se souvient dupassé, mais avec beaucoup de serenité. On a l’absencedu spleen parce que le souvenir du passé est lumineux.

Ce poème est dedié à Jeanne Duval, qui a un caractèredouble qui charme le poète puisqu’elle est la reunion descontraires. On dit souvent que les yeux sont le miroir de l’ame mais Jeanne rien révèle. Nous voyons deselements de l’animalité (le serpent et l’elephant): lesfemmes ont toujours continué à server l’irration commeles animaux , au contraire des hommes qui se basentseulement sur la raison.

Il se compose de cinquant poèmes en prose et il s’agit d’un redoublement de “les fleurs du mal” parce qu’on a encore destableaux parisiens. Les thèmes de la vieillesse et de la pauvreté occupent une grande partie du recueil.

Ici on parle d’une vielle femme décrépite qui veutcaresser un joli enfant. Elle lui fait des risettes mais l’enfant s’epouvante et commence à pleurer. La bonnevieille voulait plaisir à l’enfant, qui était comme elle: sansdents et cheveux, fragile. Mais elle va pleurer dans un cion parce qu’elle comprend que l’age de plaire est passéet donc elle doit vivre emarginée,vue qu’elle est vielle.