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LA BELLE FRANÇOISE Louis, Enzo,Grégoire

La Belle François, Enzo, Louis & Grégoire

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LA BELLE FRANÇOISE

Louis, Enzo,Grégoire

• Bonjour matelots, je suis le capitaine Lebarca. C’est moi qui dirige ce bateau au cours de l’expédition. Avec moi cette caravelle va filer droit. Ici les règles sont strictes: c’est moi qui commande et on ne conteste pas sinon le fouet

Avec ce bateau nous allons effectuer un tour du monde. Par contre je ne sais pas qui a fait cette carte mais il mérite la planche, cela te fais rigoler matelot ? Pour la peine, tu sera de corvée de vaisselle tout au long de ce voyage

LA BELLE FRANÇOISE

STOP ! DEMI TOUR

Le Voyage

Départ

Arrivée

Les yeux fixés sur l’horizon, je regardai mon bateau partir. Sur le port, les familles pleuraient car mes matelots partaient pendant des mois. Il faut rester honnête, c’est émouvant mais l’on doit partir découvrir le monde, plus tard on nous remerciera.Je repris mon rôle de capitaine et je pense à ces voiles virevoltantes.

Je mis ma main dans ma poche et je ressentis une chose ronde. Une pièce. C’était mon fils Charles, il l’avait glissé dans ma poche pendant le dîner, je me demandai ce qu’il faisait. Il y avait un mot. « Je t’aime père ».Je commençais à verser une larme moi aussi. J’étais fatigué et je rentrai dans ma cabine et m’endormis.

Un bruit court dans le bateau qu’un monstre aurait dévoré plusieurs bateaux. Ceux qui sont revenus, des naufragés disent qu’il y a un monstre avec de grandes dents énormes il se situerait au cap de Bonne Espérance il ne laisserait passer aucun bateau.

En fin de journée, le ciel se dégrade et de gros nuages arrivent vers nous.L’équipage et moi pensons à une pluie qui arrive, ce qui n’est pas rare à cette saison.Au loin, je vis une tempête grande et violente.

Je sentais qu’elle arriverait vers nous.Je dis à mon équipage de se protéger de cette violence absolue. Je vis que nous nous trouvons à 100km du Cap de Bonne Espérence.

Depuis 10 à15 minute, une violente force secoue le bateau, nous nous sommes réfugiés dans la couchette des marins.

On entendait les animaux hurler et nous pensons que les bêtes sont en train de mourir et que nous n’arriverons pas à terminer ce voyage.

Au bout d’un moment, le bateau heurta un rocher et une fuite d’eau se trouvait dans la couchette. Nous avons rebouché le trou avec une planche de bois, un marin l’a fixée avec un clou.

La tempête se calma et se déplaçea au sud, nous continuons notre voyage.

Au loin, je vis une sorte d’îlot, il bougeait, c’était une sorte de baleinière. Nous comprimes qu’il y avait une civilisation car on voyait de plus en plus de pagayiste. Nous nous rapprochames de plus en plus du port. La plupart des hommes étaient tatoués et les femmes portaient leur colliers de fleurs. Arrivés sur le port, les pêcheurs déchargèrent leurs poissons.Nous eûmes un accueil digne de ce nom. Pendant quelques jours, ils nous logèrent puis nous repartîmes à l’aventure en passant tous les caps du sud avec fierté et enthousiasme. En buvant du Rhum à volonté, le capitaine levait les voiles puis lança des chants en et en riant.

Après avoir chantonné plusieurs chants marin. Les harponneurs installèrent des tonneaux de Rhum vide et mirent des planches de bois par dessus cela formait une longue table. Tout l’équipage s’y installa, nous vidions les dernières bouteilles de vin et tuons le dernier cochon.Ensuite, nous nous rapprochions du port, tout les matelots commencèrent à baisser les voiles et nous vîmes le port avec toutes nos femmes et nos enfants qui nous acclamaient.

Fin

POUR VOTRE