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Dossier de presse 17 Septembre 2014 Creative Commons : 350.org 2013 QU’attendre de la France ? Sommet de Ban Ki Moon sur le climat

Dossier Sommet de Ban Ki Moon

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Page 1: Dossier Sommet de Ban Ki Moon

Dossier de presse

17 Septembre 2014

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QU’attendre de la France ?

Sommet de Ban Ki Moon sur le climat

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Les enjeux

Non seulement il est urgent d’agir, mais cela sera aussi bénéfique pour la société !

Le 5ème rapport du GIEC est sans équivoque. Il y a urgence à agir contre les changements climatiques qui menacent la survie de nos économies nationales, de nos territoires, de notre patrimoine. Heureusement, celui-ci et tous les rapports publiés ces dernières années sont très clairs sur le fait qu’il existe des solutions face à la crise climatique. Ils rappellent aussi que ces solutions sont plus que bénéfiques pour nos économies, pour améliorer la santé publique, pour la paix internationale et la sécurité énergétique, pour lutter contre la pauvreté et créer une société de la prospérité.

Malgré cette évidence, nous sommes trop loin du compte. La France et l’Europe se fixent des objectifs bien trop faibles pour répondre à l’urgence climatique et n’investissent pas dans les solutions qui sont pourtant déjà mises en œuvre localement. Au contraire, la plupart des Etats continuent de financer massivement l’exploration et l’extraction d’énergies fossiles responsables du dérèglement climatique.

Le sommet organisé par Ban Ki Moon, le secrétaire général des Nations Unies, le 23 septembre prochain à New York doit être un moment clé dans la préparation des deux conférences des Nations Unies qui se dérouleront à Lima fin 2014 et à Paris fin 2015. L’objectif est clair. Nous devons réussir là où le sommet de Copenhague à échoué : adopter un accord mondial pour lutter efficacement contre les causes et les impacts des changements climatiques. Et le sommet de Paris ne fera pas de miracles si d’ici la, les Etats n’enclenchent pas de transitions écologiques au niveau national.

Le 23 septembre doit être le signal adressé à la communauté internationale, à l’économie réelle, au secteur financier et aux citoyens que oui, les chefs d’Etat sont prêts.

Prêts à enclencher une transition énergétique vers les énergies renouvelables et à enterrer définitivement les énergies fossiles. Prêts à tenir tête à ceux qui bloquent l’action climatique. Prêts à faire preuve de solidarité avec les pays pour qui cette transition exige un appui international. Prêts à agir et investir mais pas n’importe comment: dans la transition écologique sobre en gaz à effet de serre, il ne peut y avoir de place pour les fausses bonnes solutions au nom de l’urgence climatique (du nucléaire, aux OGM en passant par le charbon «propre», les agro-carburants et la géo-ingégniérie).

En tant qu’Etat, la France doit agir au niveau national pour une vraie transition écologique. En tant que présidente de la conférence qui doit sceller un accord à Paris, fin 2015, elle se doit d’être crédible et exemplaire. Le sommet de Ban Ki Moon, c’est le moment d’engager la France – son président, son gouvernement et ses citoyens - sur un agenda des VRAIES solutions aux changements climatiques. En arrêtant définitivement de subventionner et d’investir dans les énergies fossiles. En s’engageant notamment fortement à investir dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables. En finançant l’adaptation aux changements climatiques au sud. En défendant des politiques européennes suffisamment ambitieuses. La société civile sera fortement mobilisée de New York à Paris, en passant par le triangle de Gonesse en Ile de France, pour appeler le gouvernement français et les citoyens à refuser tout projet inutile, tout projet climaticide et déployer - enfin - de vraies solutions locales et globales face aux changements climatiques.

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A New York, la France met en jeu sa crédibilité et sa capacité à piloter l’adoption d’un accord mondial contre les changements climatiques. Dans ce contexte, il est impératif qu’elle démontre d’une part son exemplarité, et d’autre part sa détermination à déployer les véritables solutions : celles qui permettront la transition vers les énergies renouvelables et la maîtrise de l’énergie. Or, le compte n’y est pas, tant au niveau national qu’européen.

En France, le projet de loi sur la transition énergétique, en débat à l’Assemblée nationale, ne permet pas, en l’état, le changement de modèle énergétique espéré. Le nucléaire, principal verrou politique et technologique à la transition, est toujours présent. A l’exception de l’objectif de ramener à 50% la part de l’atome dans le mix électrique d’ici 2025, aucune feuille de route n’est tracée. Pire, la clé de l’évolution de ce mix pourrait rester entièrement aux mains d’EDF qui mise sur l’extension de vie de ses réacteurs au-delà de 40 ans et sur l’accroissement de la consommation électrique. Cette mainmise de l’électricien sur les ambitions françaises met en danger l’atteinte des engagements en matière d’économies d’énergie et de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui figurent dans le projet de loi.

En outre, alors que la question du signal prix de la pollution sera débattue entre les chefs d’Etat à New York, la France fait pâle figure. Sa fiscalité environnementale est l’une des plus faibles en Europe. Malgré l’entrée en vigueur d’une

composante carbone dans les taxes sur la consommation d’énergie, le signal prix est encore loin d’y être suffisant. Pour inciter à la maîtrise de la consommation d’énergie et à l’essor des renouvelables, François Hollande devrait s’engager sur une trajectoire ambitieuse jusqu’à 2030, avec un point d’étape en 2020, pour une véritable contribution climat-énergie qui n’exclut aucun secteur ni aucune énergie polluante. La réforme du marché européen du carbone pour assurer l’émergence d’un véritable signal-prix est également indispensable.

A Bruxelles, la France demeure également très frileuse. Alors que les chefs d’État de l’Union doivent adopter les 23 et 24 octobre un nouveau cadre politique sur le climat et l’énergie pour 2030, l’hexagone défend des objectifs a minima qui ne permettront pas d’enclencher la transition énergétique de l’Europe, ni de remédier rapidement à l’explosion de sa facture d’importations de gaz, de pétrole et de charbon. La France défend un objectif non contraignant de 27% d’énergies renouvelables, au lieu des 45% qui seraient économiquement et techniquement possibles. Elle souhaite que l’UE réalise 30% d’économies d’énergie d’ici à 2030, quand elle pourrait atteindre 40% en augmentant les retombées économiques. Ségolène Royal n’a pas soutenu le caractère contraignant de cet objectif. Enfin, la France a décidé de ne pas se battre pour un objectif de baisse d’émissions de gaz à effet de serre.

Nos demandesEn France et en Europe, être exemplaire

Le charbon est l’énergie fossile la plus émettrice de gaz à effet de serre au niveau mondial. Pourtant, il fait l’objet de soutiens massifs qui empêchent une véritable transition vers les énergies renouvelables. Dans son dernier rapport, le GIEC souligne la nécessité de réduire dès aujourd’hui les investissements internationaux dans le charbon à hauteur de 30 milliards de dollars par an entre 2010 et 2029. L’Agence Internationale de l’Energie estime qu’il faut laisser dans le sol au moins 2/3 de nos réserves en énergies fossiles pour maîtriser le réchauffement climatique en deçà de 2°C. Or, la France soutient de nombreux projets de développement du charbon au niveau international au travers des banques de développement dont elle est membre, de son agence de garanties à l’exportation (la Coface), et des entreprises françaises dont elle est actionnaire et qui investissent dans de tels projets à l’étranger. Par ses soutiens accordés de 2007 à 2013, la Coface fait partie des 10 agences de crédits à l’exportation les plus gourmandes en charbon, après notamment le Japon, les Etats-Unis et l’Allemagne. Outre enfermer les pays du sud dans une trajectoire de

développement non soutenable, ces soutiens réduisent nos chances de maîtriser le réchauffement climatique en deçà de 2°C.

En mars 2013, la France avait pourtant bien enclenché le mouvement, avec l’arrêt des financements des projets charbon par l’Agence française de développement. Mais elle s’est arrêtée là. A l’instar d’un certain nombre de pays comme les Etats-Unis et les pays nordiques qui sont allés plus loin, le président de la République doit s’engager dès le sommet de Ban Ki Moon à mettre fin à tous les soutiens publics au développement du charbon à l’international. A l’intérieur de l’Europe, l’utilisation accrue du charbon menace l’atteinte des objectifs climatiques européens d’ici à 2050. Grâce au développement des énergies renouvelables et à des gains d’efficacité énergétique, l’Europe peut et doit mettre fin au charbon. C’est pourquoi les Etats membres et les institutions européennes doivent cesser immédiatement leur soutien au charbon en Europe. En particulier, il doit être exclu des soutiens public décidés dans le cadre du Paquet énergie climat européen pour 2030.

Mettre fin aux soutiens de la France au charbon

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Une contribution française d’un milliard d’euros au Fonds vert pour le climat.

Le dérèglement climatique a des conséquences au quotidien pour des populations qui ne disposent pas des moyens techniques, humains et financiers pour s’y adapter. Les estimations du coût global de l’adaptation aux changements climatiques varient de 27 milliards de dollars à plus de 100 milliards par an. Sans financements additionnels pour l’adaptation, la lutte contre la pauvreté et la sécurité alimentaire continueront d’être remises en question. Ainsi, d’ici à 2050, les changements climatiques devraient entraîner une augmentation de 10 à 20 % de la population mondiale en situation d’insécurité alimentaire.

A la conférence de Copenhague, en 2009, les pays développés ont promis d’engager 100 milliards de dollars par an, d’ici à 2020, pour aider à l’adaptation

et la réduction des émissions de GES des pays en développement. En 2013, les financements publics pour le climat étaient estimés par Oxfam à 16,4 milliards, donc ni à la hauteur des besoins ni à la hauteur des engagements existants. Dans ce contexte, la première capitalisation du Fonds vert pour le climat est une échéance des plus importantes. En tant que future Présidente de la COP21, et en tant que bailleur majeur de la lutte contre les changements climatiques, la France se doit de montrer l’exemple en annonçant au Sommet des chefs d’Etat une contribution financière d’un milliard d’euros. Au-delà du chiffre, il est essentiel que la contribution française au Fonds Vert respecte 3 critères : 1) Additionnalité par rapport aux financements déjà promis au titre de l’APD ;2) Contribution sous forme de dons et non de prêts, comme la France y a traditionnellement recours ;3) Déboursement sur 3 ans afin de permettre au Fonds Vert de financer des projets concrets au plus vite.

Nos demandesSolidarité et responsabilité vis-a-vis des pays pauvres

«Alliance pour l’agriculture intelligente» face au climat : attention aux fausses solutions !

Le Sommet Climat de l’ONU sera l’occasion de lancer de nombreuses initiatives multi-acteurs visant à accélérer la lutte contre les changements climatiques. Mais qu’est-ce qui se cache vraiment derrière certaines de ces initiatives ? Au nom de l’urgence climatique, certains acteurs, notamment privés, mettent en avant des « solutions » qui, sans répondre sérieusement au défi climatique, pèsent de surcroît sur les droits des populations locales et leur environnement.

La « Global Alliance for Climate-Smart Agriculture », qui sera lancée à l’occasion du Sommet, illustre bien ce risque. Oui, il est essentiel que la communauté internationale relève le défi d’une agriculture adaptée à un monde de contraintes climatiques et au défi de la sécurité alimentaire, mais la « Global Alliance for Climate-Smart Agriculture » pourrait faire tout le

contraire. En effet, cette initiative tolère des pratiques agricoles aux impacts sociaux et environnementaux négatifs, comme les OGM ou l’usage massif de pesticides et d’intrants chimiques. Elle n’apporte aucune garantie en termes de respect des droits humains, à commencer par le droit à l’alimentation, y compris des populations les plus vulnérables. Elle fait une grande place aux entreprises qui promeuvent et financent des modèles agro-industriels. Elle occulte la priorité qui doit être donnée aux agricultures familiales paysannes, pour répondre tant au défi climatique qu’à l’enjeu de sécurité alimentaire et nutritionnelle.

Pourtant, les solutions existent : des pratiques mises en œuvre chaque jour par les organisations paysannes et les mouvements sociaux, comme l’agro-écologie, ont fait leur preuve. Au sommet de Ban Ki Moon, nous attendons que François Hollande n’engage pas la France dans cette Alliance et défende, en revanche, l’agro-écologie.

Renoncer aux fausses solutions

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Alternatiba IDF

Le problème : encore un projet inutile et climaticide !

Sur l’un des derniers espaces agricoles proches de Paris, dans le Val d’Oise à Gonesse prés de Roissy, le groupe Auchan souhaite construire EuropaCity « le plus grand centre commercial et de loisirs du monde » comprenant 500 boutiques, hôtels, restaurants et un domaine skiable couvert sur près de 680.000 m2.

La COP21 se tiendra dans la commune voisine du Bourget. Dans cette perspective, les Francilien(ne)s engagé(e)s dans les alternatives concrètes ont créé le collectif Alternatiba Île-de-France. Ce rassemblement s’inscrit dans la dynamique née à Bayonne en octobre 2013 pour faire converger des initiatives autour des enjeux climatiques et de justice sociale.

Les citoyens se mobilisent pour proposer des alternatives

Sur la route qui mène au Bourget, l’association Collectif pour le Triangle de Gonesse et Alternatiba Île-de-France avec le soutien de nombreuses associations et organisations, appellent à se mobiliser à Gonesse les 20 et 21 septembre 2014 pour le premier Alternatiba d’Île-de-France :• Contre les projets d’urbanisation qui participent à la destruction du climat.• Pour des villes de banlieue conservant leurs commerces en centre ville et non des villes dortoirs.• Pour des lieux d’animation, qui ne soient pas des temples de la consommation.• Pour développer une agriculture de proximité menacée par l’urbanisation sauvage.

Ces sujets seront abordés au cours de débats sur le climat, et autour d’un concert, d’un marché paysan et d’un village des alternatives citoyennes

Rendez-vous à Gonesse les 20 et 21 septembre pour un premier Alternatiba francilien

Côté pratique

Plus d’infos et programme détaillé : www.voe95.fr/alternatiba/?page_id=22

Pour s’y rendre : RER D station Villiers-le-Bel /Gonesse – Arnouville (zone 4 carte orange) 25 mn depuis Chatelet puis bus n° 23 jusqu’à la station “Hôtel de ville de Gonesse” puis 10mn à pied vers la Patte d’Oie de Gonesse

Pour tout contact : Alain Lennuyeux (CPTG) : 06 28 06 63 27 Bernard Loup (Val d’Oise Environnement ) : 06 07 80 62 49

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Paris marche pour le climat

Le 21 septembre, le mouvement citoyen mondial Avaaz et des centaines d’autres organisations de la société civile coordonnent la Marche mondiale pour le Climat, la plus grande mobilisation citoyenne jamais organisée sur l’enjeu climatique. Des centaines de milliers de participants sont attendus à travers le globe pour ce moment historique.

L’objectif : organiser une mobilisation grand public sans précédent, à deux jours du Sommet spécial des Nations unies sur le changement climatique qui posera les jalons de la COP 21, afin d’exiger des mesures ambitieuses de la part des chefs d’Etat sur le climat.

Plus de 2.000 organisations représentant près de 100 millions de personnes dans le monde soutiennent cet événement, ainsi que de nombreuses personnalités telles que Brad Pitt, Leo Messi, Mélanie Laurent, Peter Gabriel, Edward Norton, Matthieu Kassovitz, Omar Sy, Brian Eno, Angelique Kidjo, Fernando Meirelles, Moby et bien d’autres.De New York à Berlin, de Bogota à New Delhi, de Londres à Rio et de Paris à Melbourne, près de 400.000 personnes ont déjà signé en ligne à l’appel à se joindre à la Marche. Des milliers de citoyens se coordonnent également pour organiser des actions dans d’autres villes: près de 3.000 événements sont prévus dans le monde à travers 136 pays, de Lagos au Nigéria à Alep en Syrie.

A New York, près de 100 000 participants défileront dans Manhattan parmi des gilets de sauvetage géants (20m) et une statue inca (6m de haut). A Rio, des messages seront projetés cette semaine dans plusieurs langues sur la statue géante du Christ pour appeler à rejoindre la Marche au Brésil et dans le monde.En France, plus de 50 organisations de tous horizons participent à l’initiative « Paris Marche pour le Climat » --

cohortes de vélos, rollers, tambours, batucadas, banderoles, pandas, pingouins, coeurs verts -- où des milliers de personnes sont attendues pour appeler le gouvernement français à faire preuve d’un leadership fort en vue de la COP21.

La marche mènera les participants de la Place de la République au parvis de l’Hôtel de Ville, où une scène accueillera des personnalités comme Nicolas Hulot venues témoigner leur soutien et rappeler l’urgence de la question climatique, ainsi que Morgane Créach, directrice du Réseau Action Climat. Le chanteur Patrice partagera en musique son engagement pour la protection de la planète. L’artiste digitale Naziha Mestaoui, fondatrice d’Electronic Shadow, conduira une performance sonore interactive au rythme de tambours et battements de mains qui fera battre à l’unisson les coeurs du public.

Le dispositif “Marche propre” assurera que les participants ne laisseront dans les rues de Paris que la trace de leurs pas. Le collectif Solar Sound System animera la marche à l’aide d’une sonorisation fonctionnant à l’énergie solaire.Plus de 120 volontaires participent à l’organisation de l’événement. Des milliers de citoyens coordonnent également des actions dans leur ville à travers toute la France.

A New York lors du sommet de l’ONU, l’économiste Jeffrey Sachs remettra aux chefs d’Etat la pétition mondiale d’Avaaz déjà signée par plus d’un million de citoyens pour demander une action concrète et urgente afin d’en finir avec les énergies fossiles et d’enclencher une transition vers des énergies 100% propres d’ici à 2050.

Contact : Aldine Furio, [email protected] 06 86 92 93 30

Le 21 septembre, le monde se met en marche pour le climat !

Les partenairesLes organisations suivantes ont rejoint Paris Marche pour le Climat:Action Contre la Faim, Agir pour l’environnement, Amazon Watch, Art of Change 21, AVAAZ, Blue Energy, CARE France, CCFD - Terre Solidaire, Centre d’information sur l’environnement et d’action pour la Santé, Chrétiens unis pour la Terre, Climates, Comité 21, Coordination Sud, Ecolo Info, Fédération Protestante de France, Fondation France Libertés, Fondation Nicolas Hulot, France Nature Environnement, GERES, Greencross France, Greenpeace France, Greenraid, Jeûne pour le Climat, Koom, La Ruche, Les engraineurs, Mouvement Colibris, Mouvement de la Paix, Mouvement Générations Cobayes, Oxfam France, Planète Amazone, Plateforme Océans et Climat, Pari Roller, REFEDD, Réseau Action Climat, Secours Catholique - Caritas France, Sherpa, Singa, Sum of Us, Surfrider Foundation Europe, URD Groupe, Vélorution Paris Ile-de-France, Vignerons Franciliens Réunis, WWF France, Youth Diplomacy, 350.org, 4D.

Avec le soutien de:Europe Écologie Les Verts, Jeunes écologistes, Nouvelle Donne, SUD solidaires Paris

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Contacts et TROMBINOSCOPEA Paris et Gonesse le 21 Septembre

Marie YAREDChargée de campagneAvaazMob : +33 6 86 92 93 30 (Aldine Furio)@ relation médias : [email protected]

Célia GAUTIERPolitiques européennes Réseau Action Climat - FranceMob : +33 (0)6 72 34 00 27@ : [email protected]

Élise RODRIGUEZResponsable plaidoyer Action Contre la FaimMob : +33 7 77 98 71 55@ : [email protected]

Sarah FAYOLLEChargée de coordination, en charge du suivi du dossier «climat»CCFD-Terre SolidaireMob : +33 6 66 12 33 02 (Karine Appy)@ : [email protected]

Nicolas VERCKENDirection du plaidoyerOxfam FranceMob : + 33 7 87 49 59 26 @ : [email protected]

Malika PEYRAUTChargée de campagneLes Amis de la TerreMob : +33 6 88 48 93 68@ : [email protected]

Catherine CHABAUD AmbassadricePlateforme « Océan et Climat »Mob : +33 6 80 45 62 68 @ : [email protected]

Alain LENNUYEUX Président CPTG (Collectif pour le Triangle de Gonesse)Mob : +33 6 28 06 63 27@ : [email protected]

Bernard LOUPPrésidentVal d’Oise EnvironnementMob : 06 07 80 62 49@ : [email protected]

Jean-François JULIARDDirecteurGreenpeace France Mob : +33 6 88 88 18 27 (Axel Renaudin)@ relations médias : [email protected]

Matthieu COGETChargé de communicationWWF France Mob : +33 6 14 56 37 39 (Marion Delros)@ relations médias : [email protected]

Aurélie CEINOSChargée de mission Changement ClimatiqueCARE France Tel : +33 7 61 34 57 16@ : [email protected]

Jean-Baptiste PONCELETCoordinateur COP21 France Nature EnvironnementMob : +33 6 79 21 31 14@ : [email protected]

Simon COQUILLAUDInformation / CommunicationRéseau Action Climat FranceMob : +33 (0)6 66 28 95 06@ : [email protected] Tw : @RACFrance

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Contacts et TROMBINOSCOPE

A New York dès le 19 septembre

Alix MAZOUNIEPolitiques internationales Réseau Action Climat - FranceMob : +33 6 83 21 36 04 @ : [email protected] Tw : @ClimatAlix

Pascale QUIVYDéléguée Générale du CRIDPorte parole de la campagne post 2015 - transitions pour un monde justeMob : +33 6 15 44 13 44

Émilie JOHANNResponsable du plaidoyer internationalSecours CatholiqueMob : +33 6 80 67 16 [email protected]

Juliette ROUSSEAUCoordinatriceAlternatibaMob : +33 7 77 05 68 22@: [email protected]

Céline CHARVERIATDirectrice des campagnesOxfamMob : +33 6 51 15 54 38 @ : [email protected]

Pierre CANNETResponsable de programmeWWF France Mob : +33 6 14 56 37 39 (Marion Delros)@ relations médias : [email protected]

Martin KOPPDélégué de la Fédération Luthérienne Mondiale au Sommet interreligieux sur les changements climatiques Mob : +33 6 89 04 90 50@ : [email protected]