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“Droit des étrangers à l’usage des CPAS et des services sociaux” Denis FERON, 2015 Editions KLUWER À paraître dans le courant du 1er semestre 2015 Texte de couverture (dos) Nos services sociaux reçoivent quotidiennement des hommes, des femmes qui ont tout laissé, ont pris la route, le chemin de l’exil, vers des contrées parfois très lointaines, dans l’espoir d’un monde meilleur pour eux-mêmes et les membres de leur famille. Tous citoyens du monde, égaux en droits en tant que personne devant la justice des hommes. Qu’en est-il de ce principe universel lorsqu’il s’agit d’examiner les droits sociaux, l’accès au monde du travail, aux programmes d’insertion ? C’est là que naîtront les différences, qu’apparaîtront des notions telles la nationalité, l’étranger, celui qui n’a pas notre nationalité. En effet, ces droits sociaux, l’accès au monde du travail, aux programmes d’insertion sont organisés par la communauté, l’Etat d’accueil. Nous verrons que l’Etat d’accueil ne se reconnaîtra de devoirs particuliers de prise en charge, de protection qu’à l’égard de ses nationaux, des étrangers qu’il a autorisés au séjour ou en vertu d’accords, de conventions internationales. Qu’en est-il en Belgique ? C’est à l’ensemble de ces questions que tentera de répondre l’auteur.

Droit des étrangers à l'usage des CPAS et services sociaux, Texte de couverture

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Page 1: Droit des étrangers à l'usage des CPAS et services sociaux, Texte de couverture

“Droit des étrangersà l’usage des CPAS et des services sociaux”

Denis FERON, 2015

Editions KLUWERÀ paraître dans le courant du 1er semestre 2015

Texte de couverture (dos)

Nos services sociaux reçoivent quotidiennement des hommes, des femmes quiont tout laissé, ont pris la route, le chemin de l’exil, vers des contrées parfois trèslointaines, dans l’espoir d’un monde meilleur pour eux-mêmes et les membresde leur famille. Tous citoyens du monde, égaux en droits en tant que personnedevant la justice des hommes. Qu’en est-il de ce principe universel lorsqu’ils’agit d’examiner les droits sociaux, l’accès au monde du travail, auxprogrammes d’insertion ?

C’est là que naîtront les différences, qu’apparaîtront des notions telles lanationalité, l’étranger, celui qui n’a pas notre nationalité. En effet, ces droitssociaux, l’accès au monde du travail, aux programmes d’insertion sont organiséspar la communauté, l’Etat d’accueil. Nous verrons que l’Etat d’accueil ne sereconnaîtra de devoirs particuliers de prise en charge, de protection qu’à l’égardde ses nationaux, des étrangers qu’il a autorisés au séjour ou en vertu d’accords,de conventions internationales.

Qu’en est-il en Belgique ? C’est à l’ensemble de ces questions que tentera derépondre l’auteur.