Ars présentation du prs v5

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Présentation du Premier Plan Régional de Santé en Ile de France.

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  • 1. Prsentation du Projet Rgional de SantDpartement de Seine-et-Marne1

2. Projet rgional de santLe plan stratgique a tarrt le 11 octobre 2011.Il dfinit les lignesdorientations des diversschmas et programmes.Lensemble constitue leprojet rgional de santqui sera arrt en findanne.2 3. Les objectifs du plan stratgique1. Assurer chaque Francilien un parcours de sant lisible, accessible et scuris.2. Amliorer la qualit et lefficience du systme de sant.3. Conduire une politique de sant partage avec tous les acteurs au plus prs de la ralit des territoires. 3 4. La phase de concertation du PRSAprs ladoption du PSRS, la concertation de la suitedu PRS se droule en deux temps : Une priode informelle durant laquelle lesconfrences de territoire ont rendu des contributionssur les schmas au fur et mesure de leurlaboration (novembre 2011 juin 2012). Une priode de concertation officielle que nousdbutons le 27 septembre 2012 : aprs publicationde lavis de consultation au registre des actesadministratifs, la CRSA, le Prfet de rgion et lescollectivits territoriales disposent de deux moispour transmettre leur avis lARS.4 5. .Prsentation territorialise du PRS5 6. .Le diagnostic territorial6 7. Caractristiques du territoirePopulation suprieure 1 300 000 habitants(218h/km2 vs 966h/km2 en IDF) ; dont moins de 20 ans 27,4 %, dont 75 ans et plus : 5.3 %.Progression dmographique forte (1,3 Mdhabitants aujourdhui contre la moiti seulementen 1968) et urbanisation rapide. Perspectives depoursuite du dveloppement dmographiquenotamment Marne-la-Valle et Snart ; Ruralit dans la frange nord/sud lest : 75% descommunes recensent moins de 2 000 habitants ; 50% de la surface francilienne, 43 cantons et 514communes, et 10 dpartements frontaliers.Confrence de territoire Seine-et-Marne 11 octobre 2012 7 8. Etat de santIndicateurs de sant plutt dfavorables Esprance de vie hommes et femmes la naissance et 60 ans la plus faible de la rgion 77 IDFFranceEsprance de vie H la naissance77,478,0 77,5Esprance de vie F la naissance83,584,9 84,3Esprance de vie H 60 ans21,622,9 21,9Esprance de vie F 60 ans25,927,3 26,7 Confrence de territoire Seine-et-Marne 11 octobre 20128 9. Etat de sant (2) Taux standardis de mortalit par cancer pour hommes et femmes le plus lev de la rgion (nbre de dcs pour 100 000)77 IDF FranceTSM par cancers Hommes 249,6 225,1243TSM par cancers Femmes 127,6 120,8118Taux standardis par cancer du sein le plus lev de largion77 IDF FranceTSM par cancer du sein Femmes 28,126,324,8Taux de suicide suprieur la moyenne rgionale Confrence de territoire Seine-et-Marne 11 octobre 20129 10. Etat de sant: Indice de dveloppement humain infrieur la moyenne rgionale Indicateur de Dveloppement IDH2 Seine-et-Marne Humain 2 (IDH 2)0,54 vs 0,57 IDF vs 0,51 France IDH2 : 3 dimensionsEsprance de vie en Seine-et-Marne :H : 77,4 ans vs 78 IDF- Sant : esprance de vie la naissance.F : 83,5 vs 84,9 IDFPart (en %) des personnes de 15 ans et plus- Education : part de la population des non scolarises ou scolarises jusquenplusprimaire ou jusquau collge sans diplme en de 15 ans sortie du systme scolaire 2007sans diplme. 18,5% en Seine-et-Marne18,1% IDF- Niveau de vie : calcul partir de laLe revenu imposable mdian des mnages parmdiane des revenus fiscaux des unit de consommation est demnages par Unit de20 644 en Seine-et-MarneConsommation. et 21 234 en IDFConfrence de territoire Seine-et-Marne 11 octobre 201210 11. Loffre globale de santUne offre librale peu dense pour les omnipraticiens et plusencore pour les spcialistes. Loffre de psychiatrie estparticulirement insuffisante avec seulement 69 praticiensinstalls. La permanence des soins en ambulatoire est peustructure et laccessibilit, y compris, financire, ingale.Une offre mdico-sociale dveloppe, notamment pour lespersonnes ges explique en partie par un effet terredaccueil ; elle reste ingalement rpartie pour les personneshandicapes selon le type de handicap.Une offre de prvention qui repose sur une prsence associativelimite et fragilise et les tablissements sanitaires.Une offre hospitalire clate avec un nombre dacteursimportant : 9 centres hospitaliers et 11 tablissements privs. Ceconstat est particulirement vrai pour linfra territoire sud.Confrence de territoire Seine-et-Marne 11 octobre 2012 11 12. 12 13. I/ Densifier et structurer loffre de sant 1.1 Structuration de la sant dans le territoire - Structuration des structures hospitalires dans les territoires : services cliniques et mdico-techniques - Structuration des urgences et de la mdecine de proximit - Etude sur lorganisation de la mdecine : passer dune mdecine dorgane une mdecine de parcours 1.2 Ressources humaines - Gestion de la dmographie mdicale et paramdicale en lien avec les universits - Appui la mobilit - Appui au dispositif de formation en amont et en aval - Promotion des actions de formation (DPC) et de la coopration entre professionnels - Gestion du temps mdical et non mdical en tablissement13 14. II/ Amlioration des prises en charge Gestion des filires de soins et de sant : - HAD/SSIAD - Filires neurologiques - Filires cardiologiques - Filires diabto - Etc. Mise en uvre de la coordination territoriale => plateforme de coordination Dmarche qualit et scurisation des soins : - ESMS => radar - Etablissements sanitaires => EIGS - Iatrognie mdicamenteuse14 15. III/ Innover et transformerAmliorer la connaissance des territoiresLe parcours du patient cancreuxLe parcours de la personne geLa tlmdecineLes autres actions :- Prcarit- Mdecine prventive et soins- Education thrapeutique-15 16. Levier 1 : la formation des mdecinsActionsConcertation avec les universits : quels mdecins pour quelspatients demain ? Sminaire en janvier, Confrences hospitalo-universitaire / rvision des effectifs (nominations PUPH)104 internes accueillis en Seine-et-Marne Renforcer les liens entre services des CH de couronne et lesservices universitaires : assistants spcialistes, dveloppement desstages et harmonisation avec la PDSES, modes de recrutement desPH Politique de recrutement de jeunes mdecins ds la fin delinternat pour les tablissements recrutement difficile : affectationsur des postes de contractuels pour passer ensuite le concours dePH 16 17. Levier 2 : la formation des paramdicauxActions Mieux cerner les besoins et faire voluer lappareil de formation : dmarche stratgique pluriannuelle et territorialise, en concertation avec le Conseil rgional Le plan infirmier : 4 axes - Attractivit : information, communication - Formation : LMD, pdagogie, stages, capacit de formation - Conditions de vie des tudiants (diminuer les abandons) - Conditions de vie des jeunes professionnels (non trait) Prparer les professionnels de demain - Cooprations : accompagnement, impulsion - nouveaux mtiers (en attente dorientations nationales)17 18. Les priorits 2012 2015 pour loffreambulatoire3 priorits : Favoriser le dveloppement et laccessibilit dune offre ambulatoire de proximit - installation des professionnels de sant en ambulatoire - dveloppement, soutien et prennisation des structures dexercice collectif - observatoire de laccs aux soins - faciliter laccs aux soins non programms : aux heures douverture des cabinets et aux horaires de la PDSA Amliorer la coordination et la fluidit des parcours de soins - favoriser lappui la coordination des soins par la mise en place de plateformes pluri thmatiques (volution des rseaux de sant) - favoriser larticulation et la coordination des parcours entre la ville et lhpital : entres/sorties Hospit., rfrent soins de ville lhpital, consultations avances18 19. Les priorits relatives aux ES Les perspectives de dveloppement : en capacits en cancrologie une filire en PMA sites de soins palliatifs (3) lHAD Lappui des tablissements du centre de la rgion aux tablissements priphriques pour le recrutement des effectifs Les cooprations hospitalires territoriales19 20. Amliorer et structurer loffre de soins en tablissementsLes recompositions Ces dmarches en cours doivent tre amplifies et sont soutenues par lARS. Dans le Nord, le GHEF regroupe les Centres Hospitaliers de Coulommiers, Lagny et Meaux. Le projet mdical en cours de finalisation instaurera une gradation et une complmentarit des soins entre les 3 sites et les autres oprateurs dans le cadre de filire de prise en charge (A.V.C., cancrologie, hmatologie, prinatalit, imagerie .) ;Dans le Sud, les acteurs publics et privs se sont engags dans une dmarche de mise en cohrence des projets dtablissement et des projets de plateforme hospitalire public-priv Fontainebleau, Melun, Provins. 20 21. Les quatre hpitaux publics, Fontainebleau, Melun, Montereau etNemours laborent un projet mdical commun.Ce processus pourrait tre lopportunit de crer une communauthospitalire de territoire et de dcliner une gradation des soins, descomplmentaritsetlorganisationdquipes territoriales(prinatalit, A.V.C., imagerie, ranimation-surveillance continue ).21 22. Les parcours de sant, graduation, scurisation et rduction desingalitsCes axes du P.R.S. doivent se traduire dans le SROS par lastructuration de filires de soins identifies et scurises principalementpour : la prinatalit, 2 filires -Nord GHEF (maternit niveau 3 au CH de Meaux), -Sud avec un recours assur par la maternit de niveau 3 du C.H.S.F. ; les filires griatriques devront tre toffes en terme de prise en charge psychiatrique et darticulation avec le secteur mdico- sociale ; la cancrologie pourra sappuyer sur une offre renforce et largie sur les sites de Jossigny et de Meaux en partenariat avec les oprateurs privs. Sur le Sud, la constitution dun ple de rfrence Melun associant les operateurs privs et publics largi ceux de Fontainebleau est un objectif du SROS.22 23. En chirurgie, lmergence de ples associant public-priv, attractifs en termes dquipes mdicales, est indispensable au maintien dune offre durable et accessible y compris financirement. Les soins palliatifs doivent tre renforcs et structurs par limplantation de deux units(une au Nord et une au sud).La psychiatrie est un axe majeur du SROS compte tenu de la fragilitet de la faiblesse actuelle de loffre. Le 77 est un des 3 territoiresprioritaires de lARS en ce domaine.Devront tre ainsi impulss : le recrutement de psychiatres par partage de poste avec les CHS du centre de la rgion, 23 24. le renforcement des ples de Nemours et Melun conjointement la modernisation des infrastructures immobilires,linitialisation pour le Sud et le renfort pour le Nord de filires adolescents en lien avec le C.M.P.A. de Neufmoutiers-en-Brie,le renforcement des inter-secteurs et de leur capacits rpondre leurs partenaires,le dveloppement de filires gronto-psychiatriques.24 25. Les priorits mdico-sociales personnes ges Pour diversifier loffre et organiser les synergie domicile,et le soutien domicile :Cration 2012 de 68 places de SSIAD Appel projet, 75 placesde SSIAD prvu pour 2012-2013, ESA : 6 projet retenus 2011,2012 : 3 quipes spcialise Alzheimer domicilePour soutenir les aidant et dvelopper les structures derpit : 9 places AJ HT, Plateforme de rpit : 3 projet en cours instructionPour amliorer la qualit de laccueil et des soins eninstitution : Crdits de Mdicalisation EHPAD pour 18conventions tripartites renouveler 2012 (1,2 M), et 14 pour2013 (3,1 M)PASA : objectif de 33 pour le 77, 20 dossiers dposs dont 4ouverts en 2012, 12 en cours de labellisationUHR : 2 projets 25 26. Parcours de la personne ge Pour renforcer la coordination des intervenants, favoriser la coopration 3 MAIA retenus pour 2012 La coordination des acteurs et la graduation dans le parcours de sant : Les filires griatriques devront tre toffes en terme de prise en charge psychiatrique et darticulation avec le secteur mdico social Exprimentation de la prsence dinfirmire de nuit pour diminuer les hospitalisation des rsidents (exprience pour 3 ans sur des EHPAD ) 26 27. Les priorits mdico-sociales personnes en situation de handicap Suite au groupe de travail dpartemental SROSMS sur la problmatiquedes troubles du comportementI - Amliorer la couverture du Dpartement en augmentant loffre dedispositif sur la partie du territoire dpourvue :- renforcement de la coordination inter-tablissements, et cration deplaces de SESSAD, de places dITEP (redploiement de placesd IME) :26 places de SESSAD : 10 places PROVINS (6 - 16 ans),coordination avec lITEP de CHANCEPOIX, 6 places de SESSADITEP (14 - 18 ans) Agglomration de MEAUX, pays de la Gole, paysde lOurcq, 10 places de SESSAD (6 - 17 ans) - DAMMARIE LESLYS.25 places dITEP : 15 places dITEP (CLAYE-SOUILLY), coordinationinter-tablissements IMED / ITEP Frot (hbergement lITEP etaccompagnement en externat sur lITEP Frot), 10 places dITEP(externat) (MONTEREAU) - zone entre CHANCEPOIX et leProvinois. 27 28. Adapter loffre des Etablissements etServices pour les personnes handicapes 17 M soit 28 % de lenveloppe francilienne lONDAM PH 2012-2013 sont rservs au dpartement de Seine-et-Marne pour financer notamment : 7 FAM (cration de 170 places) entre 2011 et 2013 (autistes, Alzheimer, mentaux et physiques vieillissants,...) - 1 IME (extension de 20 places dexternat en 2011 etcration de 20 places d internat en 2012)(polyhandicap) Une Rflexion est porte sur du redploiement plus adapt en fonction des besoins dpartementaux ainsi : - 8 Services (restructuration ) ( Autiste, TED, Dficientsauditifs et ITEP) en 2012 et 201328 29. La prvention a renforcer et structurer29 30. La prvention : 1) le Dveloppement de la prvention car : Au del de loffre, Investir dans la prvention pour rduire les facteurs de morbidits vitables Conscience que ltat de sant dpend des dterminants sociaux, conomiques, culturels et environnementaux : mettre de la sant publique dans les autres politiques 2) Concertation et territoire : le liens avec les acteurs : Les dcideurs notamment CT => CLS Les acteurs concertation (association EN, social) Les approches populationnelles Les approches territoriales30 31. Approche populationnellela concertation lors de la prparation du schma de prvention aabord lapproche par population compte tenu descaractristiques de la population :PrinatalitSant des jeunes,Sant mentale noter le PRAPS destins aux publics prcaires 31 32. DES PARCOURS DE SANT AMLIORER Prinatalit Sant des jeunes La prise en charge en sant mentale publics prcaires 32 33. Amliorer le parcours de sant en prinatalit Sant de la femme et de lenfant* PrinatalitDvelopper en lien avec les rseaux de prinatalit, le Conseil Gnral, les Ehospitalierslentretien du 4 mois dans le suivi des grossesses, un meilleur suivi de la grossesse pour les femmes vivant dans la prcarit(rseau SOLIPAM rgional) pour les femmes enceintes et addictions (rseauDAPSA) : question du dveloppement de cette approche avec des rseaux ayantun savoir faireLutter contre le saturnisme :Mise en place en 2012 en lien avec le Conseil Gnral dun dpistage desplombmiesEnfants risque en lien avec la veille sanitaire et environnementale.33 34. Sant des jeunes : Dvelopper les partenariatsSant de lenfant, de ladolescent, du jeune adulteConstruire le partenariat avec lEducation Nationale partir de la convention signeavec lARS autour des priorits daction en faveur de la sant des lves notammentsur : - le dveloppement du reprage de la souffrance psychique pour une orientationadapte-le dveloppement des comptences psychosociales ds le plus jeune ge- la promotion de la formation aux questionnaires de reprage prcoce et dinterventionbrve (adolescent, jeune adulte)-la promotion : des comportements alimentaires favorables la sant, de l activitphysique, de la lutte contre lobsit. Promotion d une bonne hygine de vie en gnral 34 35. La sant mentale souligner la dmarche de partenariat avec les missions locales autour de lcoute et de lorientation pour rpondre la situation de souffrance psychique des jeunes adultes dans le champ de linsertion, en lien galement avec les CSAPA pour les problmatiques daddictions. Reprer et rduire les souffrances psychologiques de la population en gnral et vers les publics prcaires, isols, (personnes ges), en situation de vulnrabilit sociale35 36. La sant mentale : une proccupationparticulire de la CT Une proccupation particulire de la confrence de territoire de Seine et Marne, qui a labor des constats et fait des prconisations, Nombre dlments du diagnostic sont partags Constat sur loffre, manque de coordination, besoins daccompagnement, Prconisations de la CT : renforcer loffre, capacit et moyens mais aussi renforcer la coordination, instance de concertation, rponses lurgence, accompagnement : formation, rfrentiels partags, ETP, outils aux professionnels36 37. La sant mentale: la Seine-et-Marne dans leSROS psy Un des trois dpartements prioritaires de la rgion (avec le Val dOise et la Seine-Saint-Denis) Utilisation de la marge de manuvre rgionale et appui partir des zones les mieux dotes (ex : le projet de temps mdicaux partags en lien avec la CHT psychiatrique de Paris) Rduction des dlais de premire consultation en CMP enfants et adolescents. Crdits FMSPP. Appel candidature en 2013 avec appui du ple performance et appui la qualit de lARS. Renforcement gnral des quipements, des moyens de la sectorisation de lexistant notamment en infanto-juvnile Organiser un dispositif gronto-psychiatrique articul entre les acteurs de la psychiatrie et de la griatrie Organiser une rponse aux urgences psychiatriques 37 38. Amliorer le parcours des publics prcaires Porter des rponses aux populations en difficult particulireDtenus : Poursuivre et laborer des programmes dducation pour la sant dansles centres pnitentiaires (CD Melun, Rau, Meaux) vers les publics dtenus (en lien avecladministration pnitentiaire et le SPIP) autour de problmatiques telles que la souffrancepsychique, les addictions,lhygine de vie. Migrants : Poursuivre le dveloppement des actions en direction des migrants visant les populations en difficult particulire (migrants en foyer et en habitat diffus), contribuer au dveloppement dactions intgrant le Programme Rgional dAccs la Prvention et aux Soins. Personnes sans chez soi, gens du Voyage et ROMS : Dvelopper une prvention spcifique auprs des grands prcaires (sur les pathologies les plus frquentes) Les actions de sant publique recentralises portes par les Centres Hospitaliers de Meaux, Lagny (Jossigny dans un un futur proche) et Melun concernant les Centres de Lutte Anti Tuberculeuse, les Centres dInformation et de Dpistage des Infections Sexuellement Transmissibles et les Consultations de Dpistage Anonyme et Gratuit seront accentues auprs des publics en grande difficult notamment les publics en Foyer de Travailleurs Migrants, ROM, Gens du Voyage. 38 39. Approche territoriale 1 - Maintenir loffre existante assurer une continuit de loffre territoriale (Frange ouest - Autres villes couvertes ) 2- Impulser des rponses vers des territoires peu ou non couverts vers toutes les populations, 3- Impulser des rponses visant des populations fragilises 39 40. Approche territorialePoursuivre loffre existante sur la frange Ouest qui bnficie dune couvertureimportante.Couvrir la frange ouest du dpartement, dont une part de la population est constituede personnes en grande difficult (...Val Maubue, Snart, Melun) mais galementde personnes en difficults particulires Au nord de cette bande tenir compte des mouvements de populations en grandedifficult de la Seine Saint Denis mitoyenne du dpartement (Chelles, Mitry Mory, ClayeSouilly)Concernant encore cet ouest seine et marnais, poursuivre le Contrat Local de SantDammarie les Lys.Au del de cette frange ouest, poursuivre l offre existante sur les autres villes deSeine et Marne notamment via les CLS Meaux, Montereau, Nemours,Coulommiers, ...40 41. Apporter des rponses sur des territoires peu ounon couvertsFavoriser le dploiement dactions sur la frange Est et les zones rurales (LaFert sous Jouarre, La Fert Gaucher, Nangis, Provins)Dvelopper des projets vers des territoires connaissant une volutiondmographique importante (Lagny, Noisiel, Snart, Tournan, Mitry Mory,Chelles... ) sur des problmatiques telles que la Sant des jeunes, Sant de lafemme et de lenfant, Sant mentale (reprage de la souffrance psychique),laccs aux soins vers des populations fragilises, en situation de prcarit.41 42. Les leviers de coordination Les CLS : Une dynamique de sant locale Une mobilisation et une coordination des acteurs La mise en cohrence des plans dactions Le suivi et lvaluation des actions En vue de loptimisation du parcours de sant Les instances de coordination : La commission de coordination des politiques publiques Les partenariats sur les territoires: EN, MDPH,CG, Politique de la ville 42 43. Les CLS outils de coordinationLes villes ayant signes un CLSDammarie les Lys, Nemours, Montereau, Coulommiers, MeauxLes collectivits en cours de prparation :CA de Marne & ChantereineLes villes avec lesquelles des contacts informels sont ou vonttre engagsNangis, La Fert Gaucher, La Fert sous Jouarre, Melun,Provins, Noisiel,...A noterun besoin important de dmarches participatives localesDes lments de diagnostic consolider l chelle des communes43 44. Structurer loffre de prventionDvelopper la coordination et le partage dexprience desacteurs engags dans la prvention au del des runions dinformation des acteurs bnficiant desactions PPS, et des institutionnels associs, (Education,Assurance Maladie, CG, DDCS, PJJ, 115, etc) la concertationlors de la prparation du schma de prvention a montr toutlintrt des changes : prenniser ces changes par uneanimation priodique (comit dpartemental des acteurs dela prvention et de la promotion de la sant), prolongeantlaction des groupes de travail initis,Echanges de pratiques : partager des savoirs faire de structuresdont lexprience reprsente une relle plus value en terme de suiviet daccompagnement et dans la capacit de mettre en rseau lesintervenants outre les associations, (MDS, Centre Hospitalier)Cela permettrait de renforcer les acteurs de sant publiqueconfronts des situations pour lesquelles ils peuvent se sentirdmunis 44 45. ConclusionLe premier PRS de lhistoirePremire tentative pour faire voluer une offre de sant lchelle de la plus peuple des rgions de FranceUn focus sur quelques traductions sur le territoire seine-et-marnais, qui illustre une dmarche par dfinition rgionale,mais qui doit intgrer les spcificits territoriales45