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08/05/2013 1 Formateur : Nobel El Houssine BOUBAKER Polyclinique TAOUFIK - Avril 2013 Le 11/04/2013, 12/04/2013, 03/05/2013 et 08/05/2013 E-commerce et E-business Échange de données informatisées (EDI) E-business : La Démarche Exportation Contrat : outsourcing et Application Service Provider (ASP) Contrat Trading Partner Agreement (TPA) E-procurement et Appels d’offre Moyens de paiement sur Internet Les techniques de sécurité

Présentation E-Business

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Formateur : Nobel El Houssine BOUBAKER

Polyclinique TAOUFIK - Avril 2013Le 11/04/2013, 12/04/2013, 03/05/2013 et 08/05/2013

� E-commerce et E-business� Échange de données informatisées (EDI)� E-business : La Démarche Exportation� Contrat : outsourcing et Application Service Provider (ASP)� Contrat Trading Partner Agreement (TPA)� E-procurement et Appels d’offre� Moyens de paiement sur Internet � Les techniques de sécurité

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� E-commerce et E-business

� Échange de données informatisées (EDI),

� E-business : La Démarche Exportation

� Contrat : outsourcing et Application Service Provider (ASP)

� Contrat Trading Partner Agreement (TPA)

� E-procurement et Appels d’offre

� Moyens de paiement sur Internet

� Les techniques de sécurité

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Le e-business (pour electronic business) parfois traduiten affaires électroniques, et parfois traduisible parcommerce électronique, correspond à une notion trèsvaste que l'on pourrait synthétiser par l'utilisation demoyens électroniques (particulièrement des techniquesde l'information et de la communication) pour réaliserdes affaires (business en anglais).

Ce sont souvent les techniques de l'internet etle Web qui viennent à l'esprit, mais en fait presquetoutes les techniques informatiques etde télécommunications interviennent dans le domainedes affaires électroniques. Les affaires électroniquesexistaient d'ailleurs bien avant l'apparition de la toile,même si celle-ci a permis une meilleure visibilité de cedomaine par le grand public.

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Le commerce électronique ou vente en ligne, désigne l'échangede biens, de services et d'informations entre deux entités surles réseaux informatiques, notamment Internet.Le commerce électronique ne se limite pas au seul réseau Internet.Des transactions électroniques se réalisent également sur lesréseaux téléphoniques mobiles. On parle de m-commerce (mobilecommerce). Plus précisément, en France, depuis les années 1980, leminitel a permis le développement de transactions électroniquesprémices des services proposés à ce jour sur internet.

En pratique, l'utilisation du commerce électronique conduit àde nouvelles sources de revenu, à l'amélioration des relationsavec les clients et partenaires, et à une meilleure efficacité parl'emploi des systèmes de gestion des connaissances. Lesaffaires électroniques peuvent se déployer à travers le réseauInternet public, des réseaux internes (Intranet) ou externes(Extranet) privés et sécurisés, ou plus généralement toutmoyen de communication électronique.

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L'e-business ne se réduit pas au commerce électronique. Ilcouvre également tous les processus impliqués dans la chaînede valeur : les achats électroniques (e-procurement en anglais), la gestion de la chaîned'approvisionnement avec le traitement électronique desordres, le service à la clientèle, et les relations avec lespartenaires.Cela s'applique aux organisations traditionnelles et virtuelles.Les standards techniques propres à l'e-business facilitent leséchanges de données entre les entreprises.

L'Échange de Données Informatisées (EDI) ou en versionoriginale Electronic Data Interchange, est le terme génériquedéfinissant un échange d'informations automatique entre deuxentités à l'aide de messages standardisés, de machine à machine.L'EDI a été conçu à l'origine dans l'optique du « zéro papier » etafin d'automatiser le traitement de l'information : disposerrapidement d'une information exhaustive et fiable. Dans lapratique, l'EDI permet de réduire notablement les interventionshumaines dans le traitement de l'information, et donc de le rendreeffectivement plus rapide et plus fiable.

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La rapidité et la meilleure fiabilité des échanges par EDIpermettent de fluidifier les flux d'informations échangés, etde réduire considérablement les coûts de traitement tout enaméliorant la sécurisation des transactions.

Ceci est maintenant indispensable selon la politique degestion en « juste à temps » qui augmente le nombre detransactions à traiter dans un temps de plus en plus court.

Les objectifs assignés au système SINDA étaient les suivants :� Fournir à la douane un moyen efficace pour le contrôle des marchandises à

l’importation et à l’exportation;� Simplifier et accélérer les procédures de dédouanement, sans faire perdre aux

opérations de contrôle leur efficacité;� Appliquer correctement et d’une manière uniforme la législation et la

réglementation que la douane est chargée de faire respecter;� Améliorer les relations et l’échange d’informations entre la douane et ses

partenaires;� Obtenir une information exacte et actualisée, permettant aux différents

niveaux de la hiérarchie une bonne gestion et une prise de décision efficace.

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SINDA est conçu pour assurer les fonctions suivantes:Prise en charge physique et documentaire des marchandises depuis leur arrivée aubureau des douanes jusqu’à leur enlèvement ou exportation;Dédouanement automatique des marchandises;Constitution d’une base de données du tarif intégré actualisée de chaquenomenclature douanière,Gestion automatique des partenaires de la douane (commissionnaires en douane,transporteurs, opérateurs économiques, etc.);Gestion automatique des comptes crédits; des agréments et des recettesdouanières;Édition automatique des états de suivi et de contrôle

Votre site relève-t-il le défi international?Information claire, précise et aisément accessible Adapté auxmarchés extérieurs :� Langue� Fuseaux horaires� Taux de change� Inscription à l’étranger� Traduction des mots-clés

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Un site orienté vers les marchés internationaux a sesexigences� Frais de traduction et d’adaptation� Capacité de répondre dans la langue de l'interlocuteur� Capacité de recevoir les paiements en plusieurs devises� Site informatif du milieu d’affaire� Bonnes communications d’affaires

Communications d’affaires adéquates

Réussir le premier contact :Mentionner les nom et coordonnées, texte sur entreprise, but de lacorrespondance, liste de fournisseurs ou clients actuels, référencesbancaires.

NétiquetteSignature électronique, pas de fichiers joints, être bref, discours simple,salutations et formules de politesse, pas d’images lourdes.

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Méthodes proactives de développement de marchés

� Les portails

� Foires virtuelles

� Recrutement proactif d'agents ou de

� Distributeurs par Internet

Méthodes proactives de développement de marchés

� Les portails

� Foires virtuelles

� Recrutement proactif d'agents ou de

� Distributeurs par Internet

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Les portails : Un portail web (de l'anglais Web portal) estun site web qui offre une porte d'entrée commune à un largeéventail de ressources et de services accessibles sur l'Internetet centrés sur un domaine d'intérêt ou une communautéparticulière� Les identifier� Les choisir� S’en servir Les portails

Foires virtuelles : www.foire-virtuelle.com

� Trouver sa clientèle

� Trouver ses concurrents

� Négocier avant la foire

� Visiter la foire pour finaliser la vente Les identifier

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Recrutement proactif d'agents ou de distributeurs parInternet :� Site Internet avec extranet� Listes de clients potentiels� Qualifier les listes (qui décide…)� Envoi de lettres personnalisées pour inviter à visiter

l’extranet (mot de passe fourni)� Suivi téléphonique / Email / Réseaux Sociaux

Les Utilitaires :� Places de marché virtuelles� Répertoires de foires commerciales� Organismes et regroupements sectoriels� Autres ressources :

– Fret et navigation– Transitaires et courtiers en douane– Institutions financières, financement et gestion du Risque

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� Place de marché virtuelles• Africa Trade Forum• World Bid• Global sources

� Répertoire de foires commerciales• Calendrier des activités à l’exportation• FITA Trade Shows & Trade Fairs• Trade Show Week

En conclusion� Il n’y a pas de modèle, mais des stratégies plus efficaces

que d’autres� On peut sauver beaucoup de temps� Il faut être imaginatif et curieux� Il faut se servir des outils existants pour créer SA

solution!

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� Depuis quelques années, les entreprises tendent à remettre en cause les schémas traditionnelsd’acquisition et d’utilisation de systèmes informatiques. Les critiques ne manquent pas : coûtimportant d’acquisition et d’utilisation des systèmes informatiques, difficultés liées à unemaintenance complexe, services insuffisants quant aux logiciels d’application, etc.

� Face aux nouvelles attentes des entreprises, l’avènement de l’Internet a permis de proposer denouveaux services reposant sur un nouvel acronyme : l’ASP ("Application Service Provider" ouFournisseur d'Applications Hébergées).

� Au lieu d’acquérir du matériel informatique (ordinateurs, stockage de données, équipements réseau,etc.), d’obtenir une licence d’utilisation d’un logiciel prestigieux et de requérir des experts pour mettreen œuvre et maintenir l’ensemble du système informatique, l’entreprise s’adresse désormais à un seulinterlocuteur, le prestataire ASP, qui lui concède simplement un droit d’utilisation de ce mêmelogiciel, paramétré par le prestataire ASP suivant les exigences de l’entreprise, et accessible par unesimple liaison Internet. A charge pour l’ASP de disposer des infrastructures nécessaires.

� La mise à disposition d'un logiciel ne saurait résumer la mission de l'ASP. En effet, le prestataire ASP héberge et gère effectivement le logiciel et ses différentes versions, réalise les opérations de maintenance classique, applique les mises à jour éditeurs, et plus généralement effectue toutes les tâches habituellement réalisées par les services informatiques d'une entreprise.

� Le prestataire ASP fournit l'application, toute l'infrastructure informatique et les services de support nécessaires. La valeur ajoutée réside alors dans la maîtrise et l'expertise du prestataire ASP dans une application donnée.

� Les logiciels d’applications, et les services qui les accompagnent, proposés par le prestataire ASP se révèlent très variés (logiciels de gestion de la paie, de comptabilité, etc.) et sont destinés à faciliter le travail de l’entreprise.

� Le modèle économique de l’ASP vient des États-Unis où le recours à ce type de prestations se révèle deplus en plus fréquent. En France, le marché de l’ASP tend à se développer sans toutefois que le modèleéconomique de l’ASP ne soit totalement stabilisé, compte tenu de la variété des offres actuellesprésentées sous l'appellation ASP.

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Le mécanisme contractuel de l’ASP :

� Comme précédemment exposé, le modèle ASP ne repose pas sur la seule mise à disposition delogiciels d’application. Un certain nombre de services périphériques sont rendus par le prestataireASP.

� L'entreprise souhaitant bénéficier d’une application (ou d’une suite logicielle) s’adresse directement àun interlocuteur unique, le prestataire ASP (a).

� De son coté, le prestataire ASP se charge de mettre en place la demande de l'entreprise en organisantl’ensemble des services nécessaires à la réalisation de la prestation globale ASP (b) . Pour ce faire, lemodèle ASP est construit autour de plusieurs contrats mettant en relation différents partenaires ayantune mission définie :

� un éditeur de logiciel,

� un prestataire de service (ASP),

� parfois, un centre de données (AIP ou fournisseur d'infrastructures d'applications).

1. Le contrat d'infogérance est établi à l'issue d'une phase préalable :

� étude d’opportunité de réalisation de l’opération par rapport aux orientations stratégiques de l’entreprise et aux besoinsdes utilisateurs du SI ;

� étude de faisabilité (évaluation des contraintes, des coûts, des risques…).

2. Puis la direction générale prend une décision sur la poursuite du projet avec la rédaction d’un cahier des charges.

3. Ensuite, un appel d’offres est lancé, puis on effectue une « short list » (liste restreinte d’infogérants susceptibles d’êtrechoisis).

4. L’entreprise choisit le prestataire le mieux qualifié.

5. Puis les deux parties mettent au point le contrat et les conditions de prise en charge pendant la phase de « protocoled’accord ». Pour cela, on procède à différents audits. Un audit technique permet au prestataire d'obtenir une descriptiontechnique complète du système, de ses performances et d'apprécier les moyens qui devront être mis en œuvre dans le cadredes opérations d'externalisation ; un audit juridique clarifie les droits de propriété notamment intellectuelle (licencesd'exploitation) dont l'entreprise dispose sur les différents éléments de son système.

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� 6. On conclut le contrat.

� 7. Ensuite, on prépare le transfert de responsabilité entre le client et le prestataire au cours de la phase de prise en charge (ou phase d’intégration). Le prestataire récupère la connaissance du SI et effectue un transfert de propriété, de droit d’usage et du personnel, ainsi qu’un transfert physique ou géographique. Le client s’assure que la reprise des connaissances est suffisante etque la maîtrise de l’ensemble confié au prestataire est assurée.

� 8. Une phase de mise à niveau permet de parvenir à un niveau de service supérieur si la qualité de service du contrat est insuffisante. L’écart entre l’état des lieux du SI et le niveau d’exigence qualité du contrat peut ainsi entraîner une mise à niveau.

� 9. Le contrat s’exécute en une phase opérationnelle entrecoupée de périodes d’évolution ou d’optimisation. Elle concerne les prestations définies dans le contrat.

� 10. Enfin à l’échéance du contrat, ce dernier peut être reconduit, renégocié ou prendre fin. Le cycle peut également s’interrompre en cas de résiliation anticipée à l’initiative du client selon des conditions définies dans le contrat ou à l’initiative du prestataire. À la fin du contrat, il convient de respecter les modalités de fin de prestation d’infogérance et plus particulièrement celles concernant la réversibilité.

En conclusion� Il n’y a pas de modèle, mais des stratégies plus efficaces

que d’autres� On peut sauver beaucoup de temps� Il faut être imaginatif et curieux� Il faut se servir des outils existants pour créer SA

solution!

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� L'e-procurement est un module de la gestionélectronique des approvisionnements dans lesentreprises ou les organisations. Il fait partie de lagestion électronique des achats qui comprend, enamont, les actions de sélection de fournisseurs (e-sourcing), en aval, le passage et suivi des commandes,le e-procurement.

� Dans le cadre du e-procurement, les commandes sontpassées électroniquement sur des catalogues ou descatalogues privés préalablement négociés dans une phasede sourcing et négociation classique. Les achats sont engénéral centralisés ou regroupés.

� C'est une catégorie de commerce électronique en modeB2B, c'est-à-dire Business to business, ou encored'entreprise à entreprise.

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� Gestion de structures des services, des centres de coûts et des budgets ;

� Procédures d’autorisation à définir librement sur la base des services, des centres de coûts ou des familles deproduits ;

� Intégration facile de plusieurs fournisseurs grâce à des catalogues multi-fournisseurs ;

� Gestion des contrats ;

� Moindre risque de mauvais achats ou d'achat pirates (plus de transparence entre l'acheteur et sa direction)

� Les commandes sont en général, après approbation, suivies par le demandeur lui-même, l'acheteurprofessionnel peut ainsi se concentrer sur son métier.

� Auto-facturation (émission de la facture par le client, article 289 du CGI).

� Dans les faits, un utilisateur s'identifie sur une plate-forme électronique par le biais de son réseau interne ouvia le réseau internet et consulte les articles mis à sa disposition dans les catalogues. Il sélectionne ceux qu'ildésire commander, les ajoute à un panier virtuel, puis soumet sa commande. Cette dernière ne sera expédiéeau fournisseur qu'à partir du moment où elle aura suivi le circuit de validation prévu dans l'entreprise.

� Le paiement sur Internet prévoit les moyens de paiementmis en œuvre pour payer sur Internet. Outre la carte depaiement classique, on trouve aussi des moyens plusspécifiques comme les transactions entre particuliers(C2C).

� Le commerce électronique se développe rapidement depuisquelques années enregistrant de 35 à 40 % de croissancedonnant ainsi une importance de plus en plus grande à cequi est parfois appelé l'ePaiement.

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� Lors d'un paiement sur internet, la plupart des sites internetchiffre la connexion entre l'ordinateur du particulier et du servicede paiement. Ils utilisent alors le protocole HTTPS et la grandemajorité des navigateurs Web affiche un petit cadenas dans undes coins de l'écran.

� Le "s" présent derrière http signifie que la connexion entre votreordinateur et le serveur de paiement est chiffré par le protocoleSSL : si un pirate intercepte des données, il ne verra qu'une suitede symboles incompréhensible, indéchiffrable.

� Payer par carte bancaire

L’acheteur utilise sa carte bancaire classique pour payer. Il faut bien sûr vérifier que le site de e-Commerce sur lequel on fait sesachats est équipé d’un système de paiement sécurisé. C’est un mode de cryptage des données personnelles (nom, adresse,coordonnées bancaires) qui les rend invisibles, inatteignables et donc qui ne peuvent pas être récupérés par les hackers.

Dès que l’on passe sur un espace sécurisé, le navigateur web l’indique avec un message très clair. La présence du petit cadenas en basà droite de l’écran lors du paiement (et dans la barre d’adresse) symbolise la sécurisation des communications entre vous et le siteweb.

Attention: le cadenas ne présage en rien de la fiabilité, de l'honnêteté ou de la sécurisation du site lui-même, mais seulement de lasécurisation des communications entre vous et le serveur.

Une fois certain de la sécurisation du site, le payeur communique ses coordonnées :Nom. Coordonnées bancaires :

� Le numéro à 16 chiffres de sa carte.

� Les 4 chiffres de la date de validité (mois et année).

� Les 3 derniers chiffres du pictogramme au dos de la carte de paiement.

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� Payer par e-numéro de carte

C’est un moyen de paiement rattaché à la carte bancaire qui permet de payer sans donnerson numéro de carte bancaire. Des e-numéros sont attribués, des numéros de carte bancairetemporaires. e-carte bleue : Disponible à la Société générale, Banque Postale, LCL, BanquePopulaire, Caisse d’Epargne, Axa banque Virtualis : Disponible au Crédit Mutuel

� Payer par Compte Paypal

Ce sont des services très appréciés des internautes : ils permettent de régler ses achats sanscommuniquer son numéro de carte bancaire. Ils offrent aussi des tas de services connexestrès intéressants pour un chef d’entreprise.

Le fameux service Paypal et son concurrent Google CheckoutCes solutions de paiement en ligne nécessitent une adresse email et un numéro de cartebancaire (vous le communiquez uniquement à Paypal lors de l’inscription)

Comment se servir de Paypal Ouvrir un compte (enregistrer votre adresse email, votreadresse postale et les informations sur le compte bancaire)

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� Payer par Compte Paypal

Suivre la procédure de paiement sur le site marchand (en choisissant le mode de paiementPaypal). Sur Ebay, les paiements se font d’un compte Paypal à un autre et les vendeurs sontprévenus par email du paiement réalisé. Il peut ensuite s’il le désire faire transférer votrepaiement depuis son compte Paypal vers son compte bancaire.

Suivre ses transactions sur son compte.

� Payer par Compte Paypal

� Avec un compte Paypal, vous pouvez également recevoir de l’argent : vendre un objet,demander un transfert d’argent…

Les avantages : Pas de numéro de carte bancaire à donner au cybercommerçant

� Rapidité de la transaction

Les inconvénients : Paypal est régulièrement victime de Phishing (voir plus bas)

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Globalement, tout système sécurisé de paiement doit répondre à ces critères de base :

� Identifier et authentifier le vendeur et garder l’anonymat de l’acheteur vis à vis ducommerçant :

Il s’agit de garantir que le catalogue de produits diffusé sur la toile appartient bien à un marchand dontl’identité est validée par tiers de confiance. Il faut donc que le commerçant propriétaire du site marchandsoit référencé auprès d’un organisme digne de foi, qui se porte garant vis à vis de l’acheteur et offre unevoie de recours en cas de litige.

Vis à vis du commerçant, l’acheteur ne souhaite pas nécessairement se faire connaître. Cela permetd’éviter que le commerçant exploite un registre de ces clients. Il y a également un enjeu légal, car unproblème crucial de liberté publique se pose sitôt qu’un organisme s’arroge la prérogative d’identifier lespersonnes physiques.

Cet enjeu est décuplé avec le passage à la télématique, qui permet de collecter et fusionner lesinformations en provenance de sources multiples. La législation de certains pays, tels les États de l’Unioneuropéenne est à cet égard explicite et impose un monopole de l’état civil.

� Confidentialité de la transaction et desrenseignements bancaires :

La substance de la transaction ne doit être connue que de l’acheteur et du commerçant. Mais, il est impératif quel’acheteur doit être en mesure de conserver un document valable juridiquement ‘ Trace de la commande ’,certifiant de façon définitive toutes les caractéristiques de la transaction : identité des parties, substance, montantet dates.

Le seul souci légitime du commerçant est d’être payé. Le système doit donc être en mesure de fournir cettegarantie tout en masquant la situation du compte de l’acheteur. La position des organismes internationaux decarte bancaire est ici avantageuse, car ils peuvent masquer jusqu’à la provenance géographique des fonds.

Pour des raisons de sûreté, l’acheteur ne souhaite pas non plus que son identité bancaire soit révélée aucommerçant. Les systèmes électroniques peuvent présenter à cet égard un avantage sur les systèmes actuels decartes et de chèques et procurer la même confidentialité que l’argent liquide.

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� Intégrité du procédé :Les acheteurs et les commerçants doivent avoir confiance dans le procédé qu ’ils utilisent. Dans lecontexte d’Internet et de l’informatique domestique, il faut compter avec des fréquentesdéfaillances des systèmes informatiques.

Il est impératif que les transactions soient atomiques, c’est à dire qu’elles s’effectuent en totalité et àl’entière satisfaction des parties ou pas du tout. Toute entorse à ce principe ; souvent désigné intégrité dela transaction ; ruinerait la crédibilité du procédé.

L’intégrité assure aussi qu’aucune modification est apportée aux données et surtout à la trace de lacommande. Le mot modification englobe en fait, la duplication, l’insertion, l’effacement d’une partie del’information et le changement dans l’ordonnancement des informations.

�Non-répudiation :Elle permet d’éviter à ce que l’une des deux parties nie la transmission ou la réception de l’information lors de procédé decommande d’échange de données ou de paiement électronique sur le Web.

� Contrôle d’accès :Assure que seulement des personnes autorisées peuvent obtenir accès lors du paiement. L’objectif de ce critère est deprotégé les informations.

Un problème se pose à ce niveau puisque les organismes financiers opérant à l’international ont quelques obligations, enparticulier dans la lutte contre le blanchissement d’argent. Certains États (en fait, les organismes de contre-espionnage)désirent également être en mesure de surveiller tous les échanges qui s’effectuent au travers de leurs frontières !

Mais quels sont les mécanismes et les techniques utilisées pour garantir la sécurité du paiement électronique sur Internet ?

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