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Dossier de presse de la fiction "FAIS DANSER LA POUSSI7RE3", diffusion le 9/02 à 20h35 sur France 2. A ne pas rater...
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fais danser la poussiere.indd 2fais danser la poussiere.indd 2 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
ELEVÉE PAR SA MÈRE BRETONNE, MAYA,
PETITE MÉTISSE, PART À LA RECHERCHE
DE SON HISTOIRE…
A TRAVERS SES RENCONTRES, SES
EXPÉRIENCES, ET MALGRÉ CE MONDE
SANS INDULGENCE, SANS COMPLAISANCE
NI GÉNÉROSITÉ À SON ÉGARD, ELLE PARVIENT
À SE HISSER AU SOMMET DE SON ART : LA
DANSE. LE PLUS GRAND CHORÉGRAPHE DU
MOMENT L’EMMÈNE À NEW YORK…
Une programm
ation
e
xceptionnelle
suivie d’un débat
fais danser la poussiere.indd 3fais danser la poussiere.indd 3 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
Un fi lm de Christian Faure
Scénario et dialogues
de Bruno Tardon et Marie Dô
Adaptation de Bruno Tardon
D’après le roman autobiographique
de Marie Dô Fais danser la poussière
aux Editions Plon
Une production Eloa PROD
Une production de France Zobda et
Jean-Lou Monthieux
En coproduction avec Expand
Drama, BE-Films, RTBF
Avec la participation de France
Télévisions, pôle France 2
et du Centre National de la
Cinématographie
Avec le soutien du Fonds Images de
la diversité et de l’ACSE, Région Ile
de France
Responsables artistiques
Marie Dupuy d’Angeac
France Camus
Directeur de la fi ction
pôle France 2
Vincent Meslet
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UN HYMNE À LA VIE,AUX COULEURS DE LA VIE
Fais danser la poussiere est un hymne à la vie...e
En lisant ce roman autobiographique, ce qui m’a
sauté aux yeux, c’est l’émotion qui se dégage de
cette histoire bouleversante, pleine d’humanité,
de générosité, de survie d’une “résiliente”, car
Maya, notre héroïne a commencé à se battre dès
son enfance pour survivre à sa différence et à ses
différences.
Qui n’a pas eu à se battre dans son enfance ou son
adolescence contre quelque chose ou quelqu’un ?
L’avantage d’un personnage tel que Maya, c’est le
regard rebelle mais toujours positif que pose cette
petite fi lle sur la vie et les gens qu’elle croise. Elle
n’est jamais dans la plainte, ni la complainte ou la
victimisation, mais se pose en observatrice ou en
gagnante... Cette petite fi lle devenue adolescente
aborde tout de même chaque virage de sa trajectoire
avec sa franchise, son instinct animal et plus tard,
son intuition, pour obtenir ce qu’elle désire. Elle se
construit sa propre identité à travers la danse.e....
Par ailleurs, cet univers de danse classique,e,
moderne, contemporaine m’a séduite, carar j’j aiiai aai ai ai aa étéétéétééététéété
moi-même danseuse classique, contemmpoorarararaineinei , ,
modern’jazz, de danses traditionnelles ccrééoleoleoleoleo s es es es et t t
de salon…Mettre donc en scène quelquues s beabeaeabeab ux uxux ux
ballets d’Alvin Ailey, qui représente pourr momooooi ui ui ui ui nenene ne
troupe emblématique, était un challengege.
Faire le parallèle entre Paris et le New YYororkrkrkrk de ded
l’époque ( avec la Black Connection) poour r r monmontretretreer r rr
les différences de niveaux de vie, de rytthmmesmeesme et et de dedede
cultures, faisait partie des atouts qui m’oontttt po popooussussusssusss ée ée éeeéeee
à aller vers un tel sujet...
Dans ce roman, j’ai aimé le passage de la a dououououod ceuceuceuceucce r r r r
de vivre à la campagne à la brutalité des mmégggapoapoapoapoapoapoapa leslesleslese , , , ,,
issue moi-même des Antilles et ayant dû vevenirnirr vi viviviviv vrevrevrevrevree à à à à àà
Paris. De mon cocon des îles à la brutalité dé de Pe Pe PPPPPariariariariarriiis, s, s, s,s,s, je je jeje je
me suis sentie concernée…
Le tempérament des gens semble dépendredre de dde leleeurssursu
lieux de résidence, engendrant une violencce de des es s
mots et des maux...
Par France Zobda, productrice
.../...
fais danser la poussiere.indd 5fais danser la poussiere.indd 5 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
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La transmission de sa génitrice se fait malgré elle, avec ses
névroses, sa force, ses handicaps de départ, mais celle
de son géniteur, même inconnu, se fait aussi malgré elle :
l’Afrique résonne inconsciemment en elle et ce métissage
donne une belle plante “hybride” que le public ne sera
pas près d’oublier...C’est une “ Reine de Saba”, comme
l’appelait son grand-oncle, mais quand une Reine porte
une couronne de diamants, les épines ne sont jamais loin !
La collaboration de Bruno Tardon avec Marie Dô (quoique
contractuelle), auteure du roman nous a semblée judicieuse
et utile, car d’un côté il a su restructurer l’histoire et ellipser
les passages du roman qui auraient pu paraître essentiels
(il fallait faire des choix et des grands écarts de temps) et
de l’autre, elle a pu nous emmener au plus près des vrais
personnages. Nous ne sommes donc ni complaisants
ni juges, nous décrivons des personnages avec leurs
ambiguïtés, leur complexité et posons les situations qui se
comprennent par rapport à une époque donnée. Par ailleurs,
l’accompagnement de France Camus, conseillère de
programme à la Fiction du pôle France 2, tout au long de ce
travail d’écriture a été très bénéfi que.
La participation de Marie Dô en tant que chorégraphe,
(quoique contractuelle), était essentielle : de son exigence
dans le choix des danseurs à la sensualité de ses
chorégraphies, son professionnalisme est indéniable.
Il me paraissait évident de choisir un réalisateur à la hauteur du
sujet, et là, Christian Faure était pour moi incontournable. S’il
avait refusé, j’avoue que j’aurais été déstabilisée. Le résultat
le prouve, car largement à la hauteur de ce que nous avions
espéré…
Ma rencontre avec Marie Dô - personnalité forte à l’énergie
positive et à fl eur de peau - a été déterminante dans mon
choix de faire ce projet car elle est à l’image de son récit et de
ses propos : Fais danser la poussière est un hymne à la vie aux
couleurs …de la vie ! Nous croyons fort en ce beau sujet, qui se
révèle être, à nos yeux, universel, tous publics et si actuel !
France Zobda
Productrice
.../...
fais danser la poussiere.indd 8fais danser la poussiere.indd 8 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
“Si j’étais blonde, tu m’aimerais plus ?”
Maya à Rose
“Quand c’est dur, on ne lâche pas,
on recommence !”
Ludo à Maya
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“Il faut t’imposer sinon on va t’écraser”
Tim à Maya
“C’est à travers
la danse que tu
te construis une
identité, pas celle
qu’on t’a donnée”
Ludo à Maya
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Le téléfi lm peut se prêter
à diverses interprétations.
Quelle est la vôtre ?
France Zobda, la productrice,
y a perçu, en premier lieu, le
thème de la diversité, ce qui
n’est pas mon propos essentiel.
Je suis métisse, certes
- j’ai du sang russe, africain
et breton - mais je ne veux
pas de communautarisme. Le
véritable propos de Fais danser
la poussière n’est pas la place
qu’on vous donne mais celle
que vous choisissez d’avoir. La
pratique d’un art, d’une passion
est un facteur merveilleux de
résilience. Et Maya personnifi e
la résilience. Elle aurait dû
mourir avec ce qui lui est arrivé
mais son histoire a fait d’elle
quelqu’un de très fort et de
joyeux.
Maya trouve son identité à
travers un art…
C’est pour cette raison que le
fi lm peut aussi être considéré
comme un divertissement et pas
seulement comme un fi lm “prise
de tête” sur le racisme. D’ailleurs,
il ne rendra pas les gens moins
racistes, loin de là ! Quand j’étais
petite, je me disais : “Pourquoi on
ne m’aime pas comme je suis ?”.
Maintenant, je pose sans cesse
la même question : “Pourquoi
je ne peux pas être comme j’ai
envie d’être ?”. Je refuse tout ce
qui m’enferme.
Fais danser la poussière
évoque la danse, un
univers peu familier au
téléspectateur ?
La danse est un art merveilleux,
un peu élitiste parce qu’il faut se
déplacer à l’opéra, au théâtre et
que les places coûtent cher. Et
si, par le biais de la télévision, on
peut amener les gens à voir de
la belle danse avec de beaux
interprètes, ce sera formidable.
Au-delà de l’histoire de Maya,
c’est aussi l’histoire de la danse,
véritable colonne vertébrale du
fi lm. Du classique au moderne,
Fais danser la poussière montre
la danse dans ce qu’elle a de
plus beau : le travail, l’authenticité
et la reconnaissance. Un
danseur ne peut pas prétendre
être bon s’il ne l’est pas. Les
danseurs sont des personnes
très fortes mais aussi très
fragiles ! Un danseur fait six
pirouettes, il est sublime ; il se
tord la cheville, il n’est plus rien.
Comment avez-vous vécu ce
tournage qui n’était pas anodin
pour vous ?
Imaginez qu’on fi lme votre
histoire ! Je ne soupçonnais
pas un instant la violence que
ça allait provoquer. Sans arrêt,
j’étais obligée de signaler qu’il
s’agissait de ma vie parce que
chacun voulait se l’approprier
d’une façon ou d’une autre.
Parfois, c’était diffi cile de devoir
MAYA C’EST ELLE : MARIE DÔ, ÉCRIVAIN, DANSEUSE ET CHORÉGRAPHE, A PARTICIPÉ
À L’ADAPTATION TÉLÉVISÉE DE SON ROMAN AUTOBIOGRAPHIQUE, FAIS DANSER LA
POUSSIÈRE. L’HISTOIRE D’UNE VIE À TRAVERS LES RÊVES ET LES (DÉS)ESPOIRS D’UNE
JEUNE FEMME DÉTERMINÉE À VIVRE DE SA PASSION, LA DANSE.
“JE REFUSE
TOUT CE QUI
M’ENFERME”
MARIE DÔ
fais danser la poussiere.indd 11fais danser la poussiere.indd 11 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
revivre des moments intimes,
ma mère et d’autres membres
de ma famille ne sont plus là.
Après le tournage, j’ai eu un
gros coup de mou, je pleurais,
j’étais épuisée et on a dû me
“récupérer”.
N’était-ce pas vertigineux de
vous voir démultipliée !
Répéter avec les Maya m’a
permis de leur transmettre
qui j’étais, j’ai eu beaucoup
de contacts avec elles et
chacune porte un peu de mon
histoire. Ambre (Maya 6 ans)
me ressemble peut-être un
peu plus, nous avons le même
caractère. Nastasia (Maya
9-12 ans) partage la même
détermination que moi quand je
dansais en classique. Tatiana
(Maya 15-25 ans) se rapproche
plus de ce que je suis, au fond,
physiquement. Elle a un aspect
guerrier mais elle est très douce
et très disciplinée à l’intérieur,
tout l’inverse de moi.
Pourquoi avoir accepté que
votre roman soit adapté
à la télévision ?
Je voulais que cette histoire
touche tout le monde : des
petits ados aux jeunes et moins
jeunes qui se sentent mal dans
leur peau ou qui sont en mal
d’identité. La télévision était le
vecteur le plus approprié pour
y parvenir. J’aime à imaginer
le soir de la diffusion de cette
histoire qui n’est pas seulement
la mienne et qui doit aussi servir
à d’autres. Et pour que les gens
puissent s’identifi er, il ne faut
surtout pas résumer l’histoire au
destin d’une petite métisse. Je
n’ai pas besoin de mettre mon
métissage en étendard pour
briller.
Avez-vous participé au
tournage ?
Je n’ai cédé mes droits
qu’à deux conditions : être
coscénariste et chorégraphe.
Je me suis rendu compte à
quel point il était important que
je le sois : on parle d’une vie
mais surtout du milieu de la
danse qu’on ne connaît pas. Je
suis une danseuse, j’ai travaillé
dans des grandes compagnies
et j’étais très ambitieuse sur
ce projet.
Quelles étaient vos relations
avec le réalisateur ?
Christian Faure est arrivé
assez vite dans l’écriture et on
s’est très bien entendus. Il a
beaucoup axé l’histoire sur la
danse - c’était un choix intelligent
- et on a obtenu un résultat
que l’on ne voit pas souvent en
France. Christian n’est pas un
faiseur : il est passionné, aussi
exigeant et caractériel que moi !
Les étincelles ont été artistiques
entre lui et moi mais de là est
née une superbe harmonie.
Christian, qui ne connaissait
rien à la danse, en est tombé
amoureux.
La partie danse est
phénoménale, comment vous
êtes-vous préparée ?
Tous les danseurs étaient des
grosses pointures, issus de
compagnies prestigieuses
comme le Conservatoire
national ou le Royal Ballet de
Londres, certains venaient
vraiment de la compagnie d’Alvin
Ailey ! – la même compagnie que
Maya intègre à New York. Quand
je n’étais pas sur le plateau, je
me trouvais en studio pour les
répétitions avec les danseurs et
lorsque j’étais sur le tournage,
je gérais les chorégraphies.
Il n’était pas question que
j’intervienne sur le travail de
Christian, il avait besoin d’être
libre et il n’était pas question que
Christian intervienne dans mon
boulot ! J’ai créé une quinzaine
de ballets, c’était un travail
énorme pour un fi lm qui retrace
le parcours d’une danseuse des
années 70 aux années 90 ! Mais
je me suis régalée !
Pourquoi un roman
autobiographique ?
Ma mère voulait écrire un livre
retraçant sa vie et je lui avais
promis de le faire avant qu’elle
ne meure. La rédaction a pris
sept ans car j’ai commencé par
une biographie de ma mère,
pour passer ensuite à celle de
ma grand-mère - que je n’ai
pas connue - pour fi nalement
arriver à la mienne. C’était
une promesse familiale faite
à ces femmes qui n’ont pas
eu la parole et je l’ai tenue. A
l’occasion de la diffusion du
fi lm, Plon, ma maison d’édition,
ressort le roman et j’en suis ravie.
fais danser la poussiere.indd 12fais danser la poussiere.indd 12 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
TA
REPÉ
DE MBOUL
CO
fais danser la poussiere.indd 13fais danser la poussiere.indd 13 06/01/10 19:2006/01/10 19:20
Vous êtes-vous reconnue dans le
personnage de Maya ?
J’étais émue par son histoire car, contrairement à
elle, j’ai eu la chance, dans ma petite vie, de ne pas
souffrir de mon métissage. Dans ma vie, je n’ai
jamais eu à lutter contre quoi que ce soit. Bien sûr,
j’ai conscience des problèmes que le métissage
engendre ou peut engendrer. Mais si je réponds en
fonction de mon vécu - il n’y a que ça dont je suis
sûre - je n’ai que de belles choses à raconter !
Du coup, je dois paraître moins intéressante (rires) !
Et dans son parcours de danseuse ?
Là, effectivement, c’est différent puisque mon
parcours professionnel présente certaines
similitudes avec le sien malgré la vingtaine
d’années d’écart. J’ai, par exemple, intégré
l’école d’Alvin Ailey et j’y suis restée six mois.
L’acharnement, le travail, le monde de la danse
sont des côtés de Maya que je connais.
Pensez-vous que le milieu de la danse
puisse être le refl et de la société ?
Le travail d’Alvin Ailey a été énorme parce que,
à l’époque, il n’y avait pas de compagnie noire,
ou avec des gens de couleur de peau différente.
Aujourd’hui, la compagnie s’est diversifi ée et s’est
adaptée. En France, l’arrivée de nouvelles
tendances musicales a également apporté de la
mixité qui n’existait pas forcément dans la culture
de la danse. Cependant, dans le milieu artistique,
le talent prime avant tout. La danse n’est pas un
milieu facile parce qu’il y a beaucoup de monde
et peu de place. Cela impose à tout danseur
ambitieux de lutter pour imposer sa créativité.
Aviez-vous joué auparavant ?Je n’avais jamais joué de ma vie !
La comédie était une expérience toute nouvelle
et c’est devenu une passion.
J’ai eu la chance de me trouver dans ce fi lm qui
a mêlé deux univers que l’on voit rarement à la
télévision : la comédie et la danse. Avec la danse,
le corps s’exprime mais là, il s’agissait de mettre
les mots et d’être dans la peau d’un personnage,
c’était extraordinaire pour moi.
TATIANA SEGUIN
REPÉRÉE DANS LE SPECTACLE CLÉOPÂTRE, TATIANA SEGUIN DÉCROCHE LE RÔLE DE MAYA À L’ÂGE ADULTE. LA JEUNE DANSEUSE ÉVOQUE UN PERSONNAGE QUI L’A BOULEVERSÉE.
COMÉDIENNE POUR LA PREMIÈRE FOIS
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FICHE TECHNIQUE Un fi lm de Christian Faure
Scénario et dialogues de Bruno Tardon et Marie Dô
Adaptation de Bruno Tardon
D’après le roman autobiographique de Marie Dô Fais danser la poussière aux Editions PlonMusiques originales Charles Court
Thèmes musicaux originaux composés par Thierry Bazin
Chorégraphies de Marie-Dô
Directeur de la photographieJean-Pierre Hervé
Chef monteurJean-Daniel Fernandez Qundez
Chef décorateurSébastian Birchler
Créatrice de costumesChristine Jacquin
CostumièreSylvie Gluck
Ingénieur du sonJean-Pierre Fenié
ScripteNathalie Alquier
Une production Eloa PROD
Une production de France Zobda et Jean-Lou Monthieux
En coproduction avec Expand Drama, BE-Films, RTBF
Avec la participation de France Télévisions, pôle France 2 et du Centre National
de la Cinématographie
Avec le soutien du Fonds Images de la diversité et de l’ACSE, Région Ile-de-France
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FICHE ARTISTIQUE Tatiana Seguin (Maya 15-25 ans)Nastasia Caruge (Maya 9-12 ans)
Ambre N’Doumbé (Maya 6 ans)
Marie Denarnaud (Rose)Xavier De Guillebon (François-Xavier)
Benoît Marechal (Tim)Anne-Elisabeth Blateau (Marceline)
Cédric Brenner (Ludovic)
Avec les participations amicalesde Michèle Bernier (Alice, grand-tante
de Rose)Michel Jonasz (Camille, grand-oncle de Rose)
Eriq Ebouaney (Suleyman)
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france2.fr
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Attachées de presse :
France Télévisions / pôle France 2Isabelle Delecluse > 01 56 22 46 [email protected]ée de Djeneba Sangaré > 01 56 22 41 [email protected]
Eloa Prod-CommunicationRégine Larcher > 01 58 17 50 [email protected]
Edité par la Direction de la Communication de France 2 7, Esplanade Henri de France - 75907 Paris CEDEX 15 Photo France 2 / Christophe RusseilProd / Gil Zobda Eloa Prod 09Directeur artistique des Éditions : Philippe Baussant Conception et réalisation : Louisa Lahcen Rédaction : Mona GuerreChef du service des Éditions : Marie-Jo Fouillaud Chef du service Photo : Violaine PetiteDirecteur de la Communication : Stéphane Bondoux Chef du service de Presse : Anne-Laure Mosser Directeur de la publication : Patrick de Carolis Impression Expagina - N° ISSN 1764 1608Janvier 2010
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