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Fais Danser La PoussièRe Dpbd 1

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Dossier de presse de la fiction "FAIS DANSER LA POUSSI7RE3", diffusion le 9/02 à 20h35 sur France 2. A ne pas rater...

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ELEVÉE PAR SA MÈRE BRETONNE, MAYA,

PETITE MÉTISSE, PART À LA RECHERCHE

DE SON HISTOIRE…

A TRAVERS SES RENCONTRES, SES

EXPÉRIENCES, ET MALGRÉ CE MONDE

SANS INDULGENCE, SANS COMPLAISANCE

NI GÉNÉROSITÉ À SON ÉGARD, ELLE PARVIENT

À SE HISSER AU SOMMET DE SON ART : LA

DANSE. LE PLUS GRAND CHORÉGRAPHE DU

MOMENT L’EMMÈNE À NEW YORK…

Une programm

ation

e

xceptionnelle

suivie d’un débat

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Un fi lm de Christian Faure

Scénario et dialogues

de Bruno Tardon et Marie Dô

Adaptation de Bruno Tardon

D’après le roman autobiographique

de Marie Dô Fais danser la poussière

aux Editions Plon

Une production Eloa PROD

Une production de France Zobda et

Jean-Lou Monthieux

En coproduction avec Expand

Drama, BE-Films, RTBF

Avec la participation de France

Télévisions, pôle France 2

et du Centre National de la

Cinématographie

Avec le soutien du Fonds Images de

la diversité et de l’ACSE, Région Ile

de France

Responsables artistiques

Marie Dupuy d’Angeac

France Camus

Directeur de la fi ction

pôle France 2

Vincent Meslet

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UN HYMNE À LA VIE,AUX COULEURS DE LA VIE

Fais danser la poussiere est un hymne à la vie...e

En lisant ce roman autobiographique, ce qui m’a

sauté aux yeux, c’est l’émotion qui se dégage de

cette histoire bouleversante, pleine d’humanité,

de générosité, de survie d’une “résiliente”, car

Maya, notre héroïne a commencé à se battre dès

son enfance pour survivre à sa différence et à ses

différences.

Qui n’a pas eu à se battre dans son enfance ou son

adolescence contre quelque chose ou quelqu’un ?

L’avantage d’un personnage tel que Maya, c’est le

regard rebelle mais toujours positif que pose cette

petite fi lle sur la vie et les gens qu’elle croise. Elle

n’est jamais dans la plainte, ni la complainte ou la

victimisation, mais se pose en observatrice ou en

gagnante... Cette petite fi lle devenue adolescente

aborde tout de même chaque virage de sa trajectoire

avec sa franchise, son instinct animal et plus tard,

son intuition, pour obtenir ce qu’elle désire. Elle se

construit sa propre identité à travers la danse.e....

Par ailleurs, cet univers de danse classique,e,

moderne, contemporaine m’a séduite, carar j’j aiiai aai ai ai aa étéétéétééététéété

moi-même danseuse classique, contemmpoorarararaineinei , ,

modern’jazz, de danses traditionnelles ccrééoleoleoleoleo s es es es et t t

de salon…Mettre donc en scène quelquues s beabeaeabeab ux uxux ux

ballets d’Alvin Ailey, qui représente pourr momooooi ui ui ui ui nenene ne

troupe emblématique, était un challengege.

Faire le parallèle entre Paris et le New YYororkrkrkrk de ded

l’époque ( avec la Black Connection) poour r r monmontretretreer r rr

les différences de niveaux de vie, de rytthmmesmeesme et et de dedede

cultures, faisait partie des atouts qui m’oontttt po popooussussusssusss ée ée éeeéeee

à aller vers un tel sujet...

Dans ce roman, j’ai aimé le passage de la a dououououod ceuceuceuceucce r r r r

de vivre à la campagne à la brutalité des mmégggapoapoapoapoapoapoapa leslesleslese , , , ,,

issue moi-même des Antilles et ayant dû vevenirnirr vi viviviviv vrevrevrevrevree à à à à àà

Paris. De mon cocon des îles à la brutalité dé de Pe Pe PPPPPariariariariarriiis, s, s, s,s,s, je je jeje je

me suis sentie concernée…

Le tempérament des gens semble dépendredre de dde leleeurssursu

lieux de résidence, engendrant une violencce de des es s

mots et des maux...

Par France Zobda, productrice

.../...

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La transmission de sa génitrice se fait malgré elle, avec ses

névroses, sa force, ses handicaps de départ, mais celle

de son géniteur, même inconnu, se fait aussi malgré elle :

l’Afrique résonne inconsciemment en elle et ce métissage

donne une belle plante “hybride” que le public ne sera

pas près d’oublier...C’est une “ Reine de Saba”, comme

l’appelait son grand-oncle, mais quand une Reine porte

une couronne de diamants, les épines ne sont jamais loin !

La collaboration de Bruno Tardon avec Marie Dô (quoique

contractuelle), auteure du roman nous a semblée judicieuse

et utile, car d’un côté il a su restructurer l’histoire et ellipser

les passages du roman qui auraient pu paraître essentiels

(il fallait faire des choix et des grands écarts de temps) et

de l’autre, elle a pu nous emmener au plus près des vrais

personnages. Nous ne sommes donc ni complaisants

ni juges, nous décrivons des personnages avec leurs

ambiguïtés, leur complexité et posons les situations qui se

comprennent par rapport à une époque donnée. Par ailleurs,

l’accompagnement de France Camus, conseillère de

programme à la Fiction du pôle France 2, tout au long de ce

travail d’écriture a été très bénéfi que.

La participation de Marie Dô en tant que chorégraphe,

(quoique contractuelle), était essentielle : de son exigence

dans le choix des danseurs à la sensualité de ses

chorégraphies, son professionnalisme est indéniable.

Il me paraissait évident de choisir un réalisateur à la hauteur du

sujet, et là, Christian Faure était pour moi incontournable. S’il

avait refusé, j’avoue que j’aurais été déstabilisée. Le résultat

le prouve, car largement à la hauteur de ce que nous avions

espéré…

Ma rencontre avec Marie Dô - personnalité forte à l’énergie

positive et à fl eur de peau - a été déterminante dans mon

choix de faire ce projet car elle est à l’image de son récit et de

ses propos : Fais danser la poussière est un hymne à la vie aux

couleurs …de la vie ! Nous croyons fort en ce beau sujet, qui se

révèle être, à nos yeux, universel, tous publics et si actuel !

France Zobda

Productrice

.../...

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“Si j’étais blonde, tu m’aimerais plus ?”

Maya à Rose

“Quand c’est dur, on ne lâche pas,

on recommence !”

Ludo à Maya

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“Il faut t’imposer sinon on va t’écraser”

Tim à Maya

“C’est à travers

la danse que tu

te construis une

identité, pas celle

qu’on t’a donnée”

Ludo à Maya

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Le téléfi lm peut se prêter

à diverses interprétations.

Quelle est la vôtre ?

France Zobda, la productrice,

y a perçu, en premier lieu, le

thème de la diversité, ce qui

n’est pas mon propos essentiel.

Je suis métisse, certes

- j’ai du sang russe, africain

et breton - mais je ne veux

pas de communautarisme. Le

véritable propos de Fais danser

la poussière n’est pas la place

qu’on vous donne mais celle

que vous choisissez d’avoir. La

pratique d’un art, d’une passion

est un facteur merveilleux de

résilience. Et Maya personnifi e

la résilience. Elle aurait dû

mourir avec ce qui lui est arrivé

mais son histoire a fait d’elle

quelqu’un de très fort et de

joyeux.

Maya trouve son identité à

travers un art…

C’est pour cette raison que le

fi lm peut aussi être considéré

comme un divertissement et pas

seulement comme un fi lm “prise

de tête” sur le racisme. D’ailleurs,

il ne rendra pas les gens moins

racistes, loin de là ! Quand j’étais

petite, je me disais : “Pourquoi on

ne m’aime pas comme je suis ?”.

Maintenant, je pose sans cesse

la même question : “Pourquoi

je ne peux pas être comme j’ai

envie d’être ?”. Je refuse tout ce

qui m’enferme.

Fais danser la poussière

évoque la danse, un

univers peu familier au

téléspectateur ?

La danse est un art merveilleux,

un peu élitiste parce qu’il faut se

déplacer à l’opéra, au théâtre et

que les places coûtent cher. Et

si, par le biais de la télévision, on

peut amener les gens à voir de

la belle danse avec de beaux

interprètes, ce sera formidable.

Au-delà de l’histoire de Maya,

c’est aussi l’histoire de la danse,

véritable colonne vertébrale du

fi lm. Du classique au moderne,

Fais danser la poussière montre

la danse dans ce qu’elle a de

plus beau : le travail, l’authenticité

et la reconnaissance. Un

danseur ne peut pas prétendre

être bon s’il ne l’est pas. Les

danseurs sont des personnes

très fortes mais aussi très

fragiles ! Un danseur fait six

pirouettes, il est sublime ; il se

tord la cheville, il n’est plus rien.

Comment avez-vous vécu ce

tournage qui n’était pas anodin

pour vous ?

Imaginez qu’on fi lme votre

histoire ! Je ne soupçonnais

pas un instant la violence que

ça allait provoquer. Sans arrêt,

j’étais obligée de signaler qu’il

s’agissait de ma vie parce que

chacun voulait se l’approprier

d’une façon ou d’une autre.

Parfois, c’était diffi cile de devoir

MAYA C’EST ELLE : MARIE DÔ, ÉCRIVAIN, DANSEUSE ET CHORÉGRAPHE, A PARTICIPÉ

À L’ADAPTATION TÉLÉVISÉE DE SON ROMAN AUTOBIOGRAPHIQUE, FAIS DANSER LA

POUSSIÈRE. L’HISTOIRE D’UNE VIE À TRAVERS LES RÊVES ET LES (DÉS)ESPOIRS D’UNE

JEUNE FEMME DÉTERMINÉE À VIVRE DE SA PASSION, LA DANSE.

“JE REFUSE

TOUT CE QUI

M’ENFERME”

MARIE DÔ

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revivre des moments intimes,

ma mère et d’autres membres

de ma famille ne sont plus là.

Après le tournage, j’ai eu un

gros coup de mou, je pleurais,

j’étais épuisée et on a dû me

“récupérer”.

N’était-ce pas vertigineux de

vous voir démultipliée !

Répéter avec les Maya m’a

permis de leur transmettre

qui j’étais, j’ai eu beaucoup

de contacts avec elles et

chacune porte un peu de mon

histoire. Ambre (Maya 6 ans)

me ressemble peut-être un

peu plus, nous avons le même

caractère. Nastasia (Maya

9-12 ans) partage la même

détermination que moi quand je

dansais en classique. Tatiana

(Maya 15-25 ans) se rapproche

plus de ce que je suis, au fond,

physiquement. Elle a un aspect

guerrier mais elle est très douce

et très disciplinée à l’intérieur,

tout l’inverse de moi.

Pourquoi avoir accepté que

votre roman soit adapté

à la télévision ?

Je voulais que cette histoire

touche tout le monde : des

petits ados aux jeunes et moins

jeunes qui se sentent mal dans

leur peau ou qui sont en mal

d’identité. La télévision était le

vecteur le plus approprié pour

y parvenir. J’aime à imaginer

le soir de la diffusion de cette

histoire qui n’est pas seulement

la mienne et qui doit aussi servir

à d’autres. Et pour que les gens

puissent s’identifi er, il ne faut

surtout pas résumer l’histoire au

destin d’une petite métisse. Je

n’ai pas besoin de mettre mon

métissage en étendard pour

briller.

Avez-vous participé au

tournage ?

Je n’ai cédé mes droits

qu’à deux conditions : être

coscénariste et chorégraphe.

Je me suis rendu compte à

quel point il était important que

je le sois : on parle d’une vie

mais surtout du milieu de la

danse qu’on ne connaît pas. Je

suis une danseuse, j’ai travaillé

dans des grandes compagnies

et j’étais très ambitieuse sur

ce projet.

Quelles étaient vos relations

avec le réalisateur ?

Christian Faure est arrivé

assez vite dans l’écriture et on

s’est très bien entendus. Il a

beaucoup axé l’histoire sur la

danse - c’était un choix intelligent

- et on a obtenu un résultat

que l’on ne voit pas souvent en

France. Christian n’est pas un

faiseur : il est passionné, aussi

exigeant et caractériel que moi !

Les étincelles ont été artistiques

entre lui et moi mais de là est

née une superbe harmonie.

Christian, qui ne connaissait

rien à la danse, en est tombé

amoureux.

La partie danse est

phénoménale, comment vous

êtes-vous préparée ?

Tous les danseurs étaient des

grosses pointures, issus de

compagnies prestigieuses

comme le Conservatoire

national ou le Royal Ballet de

Londres, certains venaient

vraiment de la compagnie d’Alvin

Ailey ! – la même compagnie que

Maya intègre à New York. Quand

je n’étais pas sur le plateau, je

me trouvais en studio pour les

répétitions avec les danseurs et

lorsque j’étais sur le tournage,

je gérais les chorégraphies.

Il n’était pas question que

j’intervienne sur le travail de

Christian, il avait besoin d’être

libre et il n’était pas question que

Christian intervienne dans mon

boulot ! J’ai créé une quinzaine

de ballets, c’était un travail

énorme pour un fi lm qui retrace

le parcours d’une danseuse des

années 70 aux années 90 ! Mais

je me suis régalée !

Pourquoi un roman

autobiographique ?

Ma mère voulait écrire un livre

retraçant sa vie et je lui avais

promis de le faire avant qu’elle

ne meure. La rédaction a pris

sept ans car j’ai commencé par

une biographie de ma mère,

pour passer ensuite à celle de

ma grand-mère - que je n’ai

pas connue - pour fi nalement

arriver à la mienne. C’était

une promesse familiale faite

à ces femmes qui n’ont pas

eu la parole et je l’ai tenue. A

l’occasion de la diffusion du

fi lm, Plon, ma maison d’édition,

ressort le roman et j’en suis ravie.

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TA

REPÉ

DE MBOUL

CO

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Vous êtes-vous reconnue dans le

personnage de Maya ?

J’étais émue par son histoire car, contrairement à

elle, j’ai eu la chance, dans ma petite vie, de ne pas

souffrir de mon métissage. Dans ma vie, je n’ai

jamais eu à lutter contre quoi que ce soit. Bien sûr,

j’ai conscience des problèmes que le métissage

engendre ou peut engendrer. Mais si je réponds en

fonction de mon vécu - il n’y a que ça dont je suis

sûre - je n’ai que de belles choses à raconter !

Du coup, je dois paraître moins intéressante (rires) !

Et dans son parcours de danseuse ?

Là, effectivement, c’est différent puisque mon

parcours professionnel présente certaines

similitudes avec le sien malgré la vingtaine

d’années d’écart. J’ai, par exemple, intégré

l’école d’Alvin Ailey et j’y suis restée six mois.

L’acharnement, le travail, le monde de la danse

sont des côtés de Maya que je connais.

Pensez-vous que le milieu de la danse

puisse être le refl et de la société ?

Le travail d’Alvin Ailey a été énorme parce que,

à l’époque, il n’y avait pas de compagnie noire,

ou avec des gens de couleur de peau différente.

Aujourd’hui, la compagnie s’est diversifi ée et s’est

adaptée. En France, l’arrivée de nouvelles

tendances musicales a également apporté de la

mixité qui n’existait pas forcément dans la culture

de la danse. Cependant, dans le milieu artistique,

le talent prime avant tout. La danse n’est pas un

milieu facile parce qu’il y a beaucoup de monde

et peu de place. Cela impose à tout danseur

ambitieux de lutter pour imposer sa créativité.

Aviez-vous joué auparavant ?Je n’avais jamais joué de ma vie !

La comédie était une expérience toute nouvelle

et c’est devenu une passion.

J’ai eu la chance de me trouver dans ce fi lm qui

a mêlé deux univers que l’on voit rarement à la

télévision : la comédie et la danse. Avec la danse,

le corps s’exprime mais là, il s’agissait de mettre

les mots et d’être dans la peau d’un personnage,

c’était extraordinaire pour moi.

TATIANA SEGUIN

REPÉRÉE DANS LE SPECTACLE CLÉOPÂTRE, TATIANA SEGUIN DÉCROCHE LE RÔLE DE MAYA À L’ÂGE ADULTE. LA JEUNE DANSEUSE ÉVOQUE UN PERSONNAGE QUI L’A BOULEVERSÉE.

COMÉDIENNE POUR LA PREMIÈRE FOIS

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FICHE TECHNIQUE Un fi lm de Christian Faure

Scénario et dialogues de Bruno Tardon et Marie Dô

Adaptation de Bruno Tardon

D’après le roman autobiographique de Marie Dô Fais danser la poussière aux Editions PlonMusiques originales Charles Court

Thèmes musicaux originaux composés par Thierry Bazin

Chorégraphies de Marie-Dô

Directeur de la photographieJean-Pierre Hervé

Chef monteurJean-Daniel Fernandez Qundez

Chef décorateurSébastian Birchler

Créatrice de costumesChristine Jacquin

CostumièreSylvie Gluck

Ingénieur du sonJean-Pierre Fenié

ScripteNathalie Alquier

Une production Eloa PROD

Une production de France Zobda et Jean-Lou Monthieux

En coproduction avec Expand Drama, BE-Films, RTBF

Avec la participation de France Télévisions, pôle France 2 et du Centre National

de la Cinématographie

Avec le soutien du Fonds Images de la diversité et de l’ACSE, Région Ile-de-France

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FICHE ARTISTIQUE Tatiana Seguin (Maya 15-25 ans)Nastasia Caruge (Maya 9-12 ans)

Ambre N’Doumbé (Maya 6 ans)

Marie Denarnaud (Rose)Xavier De Guillebon (François-Xavier)

Benoît Marechal (Tim)Anne-Elisabeth Blateau (Marceline)

Cédric Brenner (Ludovic)

Avec les participations amicalesde Michèle Bernier (Alice, grand-tante

de Rose)Michel Jonasz (Camille, grand-oncle de Rose)

Eriq Ebouaney (Suleyman)

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france2.fr

Retrouvez l’intégralité des photos sur notre serveur Extranet :https://pro.france2.fr Rubrique Photopress

Attachées de presse :

France Télévisions / pôle France 2Isabelle Delecluse > 01 56 22 46 [email protected]ée de Djeneba Sangaré > 01 56 22 41 [email protected]

Eloa Prod-CommunicationRégine Larcher > 01 58 17 50 [email protected]

Edité par la Direction de la Communication de France 2 7, Esplanade Henri de France - 75907 Paris CEDEX 15 Photo France 2 / Christophe RusseilProd / Gil Zobda Eloa Prod 09Directeur artistique des Éditions : Philippe Baussant Conception et réalisation : Louisa Lahcen Rédaction : Mona GuerreChef du service des Éditions : Marie-Jo Fouillaud Chef du service Photo : Violaine PetiteDirecteur de la Communication : Stéphane Bondoux Chef du service de Presse : Anne-Laure Mosser Directeur de la publication : Patrick de Carolis Impression Expagina - N° ISSN 1764 1608Janvier 2010

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