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COMMENT CONQUÉRIR BONHEUR INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES

Fernando Alcoforado *

La psychologie positive et l'éducation sont les moyens à la réalisation du bonheur

individuel. La psychologie est l'un des scientifiques les plus importants dans la

construction de l'avenir de l'humanité. L'une des tâches les plus importantes de la

psychologie est d'établir comment atteindre le bonheur. Le psychologue est le

professionnel le plus qualifié pour la fonction de humaniser la humanité, pour apporter

le bien-être des personnes. Le mouvement de la «psychologie positive» vise à faire plus

que de résoudre ou d'atténuer les perturbations psychologiques, qui est, a l'intention de

nous rendre heureux. Le bonheur individuel est acquise grâce à l'éducation elle-même.

L'un des objectifs de l'éducation, peut-être le plus important, est d'offrir aux gens des

occasions et des moyens d'être plus heureux.

La pensée dominante est que le rôle principal de l'éducation est de préparer les gens

bien pour le travail. Une autre pensée est que l'éducation a pour objectif premier de

développer la pensée critique. Le but de l'éducation devrait être de rendre l'individu

d'acquérir des compétences, développer la pensée critique, de prendre possession de

l'héritage scientifique et culturel historiquement construit par l'homme, mais surtout, il

devrait être un instrument pour promouvoir le bonheur. L'un des objectifs de

l'éducation, peut-être le plus important, est d'offrir aux gens des occasions et des

moyens d'être plus heureux.

Pour être heureux, l'individu doit chercher la connaissance de soi, même avec l'aide d'un

psychologue. Devrait développer des techniques de sensibilité et d'affection, que ce soit

par la louange, un sourire ou d'empathie avec les autres. Effectuer le travail bénévole ou

pratiquer la charité, et d'adopter des habitudes saines telles que la pratique de la

méditation et l'activité physique peut aussi aider. Ils sont des moyens pour ceux qui

veulent être complètement heureux. Le bonheur est une réalisation qui est faite par

l'éducation de lui-même. Et elle ne sera jamais trouvée en dehors de l'éducation. Pour

être heureux, il faut compter sur l'éducation et la psychologie positive.

Article de Desiderius Murcho sous le titre A Conquista da Felicidade: Os Contributos

da Sabedoria Antiga e da Ciência Moderna (La conquête du bonheur: la contribution

de la sagesse antique et de la science moderne) de Jonathan Haidt (Sinais de Fogo

Publicações, 2007, 436 pp.), disponible sur le site

<http://criticanarede.com/lds_happiness.html>, discute le mouvement de la

«psychologie positive» que cela fait plus de que de résoudre ou atténuer des troubles

psychologiques, qui est, nous rendre heureux. Ces psychologues étudient ce qui est

véritablement les gens heureux, et non pas les troubles psychologiques qui nous

touchent. Pour ceux qui connaissent la littérature philosophique sur le même thème - le

eudemonia, comme il l'appelait Aristote - il est étonnant de voir comment les résultats

expérimentaux de la psychologie positive rencontrent les idées aristotéliciennes et, plus

récemment, les philosophes des idées comme Peter Singer et Susan Loup.

Fondamentalement, le bonheur consiste dans la prestation active pour les projets ayant

une valeur objective.

Articuler exactement quels sont les projets avec la valeur objective est le problème de la

philosophie. Expliquez quel genre de projets effectivement rendre les gens heureux, et

quel genre d'attitudes conduisent au bonheur ou rendent impossible, il est l'objet de la

psychologie que comme discipline descriptif et non normative, simplement enregistrer

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ce qui rend effectivement des gens heureux (nous soulignons). Pour ceux qui

recherchent la clé du bonheur, le livre cité ci-dessus offre dix, un par chapitre. Dans

chaque chapitre, l'auteur explore "insights" traditionnelles de religions et de la

littérature, que en quelque sorte capture des vérités, cependant, confirmées (et parfois

invalidés) par la psychologie moderne. Dans le premier chapitre, "Le Je Divisé ",

l'auteur présente un ensemble de résultats sur plusieurs parties qui constituent notre Je.

La métaphore préférée de l'auteur est d'origine indienne: pour bien faire il faut une

certaine sagesse, car la force brutale ne fonctionne pas.

Le deuxième chapitre, "Moving Ideas", explore l'importance de savoir comment

interpréter correctement le monde et nous-mêmes. Une partie du malheur est le résultat

de mauvaises façons d'interpréter les choses, et voilà pourquoi l'appel de la psychologie

cognitive a beaucoup de succès, en particulier dans la lutte contre certains types de

dépression (nous soulignons). Ce qui se passe est que, dans certaines situations, le

malheureux deviennent que nous entrons dans une spirale auto-destructrice des pensées

subtilement fausses sur nous-mêmes et d'autres - pensées qui dépriment nous de plus en

plus (nous soulignons). «Attraper» et neutraliser ces pensées, en reconnaissant que ce

sont simplement des exagérations et des interprétations erronées des choses, il est une

étape clé du bonheur (nous soulignons).

Une autre clé du bonheur est la réciprocité que l'auteur explore dans le troisième

chapitre. Comme beaucoup d'autres espèces, les humains sont grégaires et ont des liens

de confiance et d'amitié avec les autres est une partie importante du bonheur (nous

soulignons). Nous vivons dans une ère axée sur la vie privée et subjective, érigée en

valeur absolue. Cependant, l'auteur (Jonathan Haidt) fait valoir que cela est une illusion

contemporaine: sans préoccupations plus larges au-delà des limites immédiates de soi,

de la famille et les amis proches, ne peut guère être vraiment heureux (nous soulignons).

Le bonheur, après tout, pas vraiment tout vient de l'intérieur - est également la livraison

dans le monde (nous soulignons). Et, plus surprenant encore, la vertu - agir

correctement et ne pas façon égoïste ou intéressé ou amoral - est également un élément

clé du bonheur (nous soulignons). Après tout, l'une des routes vers le bonheur est

véritablement chercher à contribuer au bonheur des autres (nous soulignons).

Le bonheur collectif d'une nation ne peut résulter que de la volonté politique de ses

dirigeants et son peuple. Dans les temps anciens, les philosophes considérés le bonheur

comme d'un sujet lié à la politique. Il était la Constitution des États-Unis, que en 1787

inclus la poursuite du bonheur entre les droits de l'homme, sur la base des réflexions

philosophiques qui sont originaires de la pensée de David Hume et les idées des

Lumières. Bertrand Russell fait évident que «le bonheur doit toujours être considéré

comme un bien poursuivi par tous» [RUSSELL, Bertrand. A Conquista da Felicidade

(La Conquête du bonheur). Rio: Editora Nova Fronteira, 2015]. Cela signifie que le

bonheur individuel est pas atteint sans la réalisation du bonheur collectif.

Dans le monde, le Bhoutan, se distingue parmi tous les pays de faire un effort vers la

réalisation du bonheur collectif de la nation parce que, depuis 1971, a rejeté le PIB

(produit intérieur brut) comme le seul moyen de mesurer les progrès accomplis. A sa

place, il a adopté une nouvelle approche du développement, qui mesure la prospérité

grâce à des principes formels de Bonheur National Brut (BNB) et la santé spirituelle,

physique, social et environnemental de ses citoyens et de l'environnement naturel.

Depuis plusieurs décennies, cette croyance que le bien-être devrait chevaucher la

croissance matérielle reste une particularité au niveau mondial. A la recherche du

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bonheur collectif de la nation, il se distingue avant tout le modèle nordique ou la social-

démocratie scandinave qui est ni pleinement capitaliste ni pleinement socialiste, et la

tentative de fusionner les éléments les plus désirables des deux dans un système

«hybride».

En 2013, The Economist a déclaré que les pays nordiques sont probablement le mieux

gouverné dans le monde. Le rapport mondial de l'ONU World Happiness Report 2013 montre que les nations les plus heureuses sont concentrées en Europe du Nord, avec le

Danemark en haut de la liste. Les Scandinaves ont la cote la plus élevée du PIB réel par

habitant, la plus haute espérance de vie en bonne santé, une plus grande liberté de faire

des choix dans la vie et une plus grande générosité. La Scandinavie est la maison de

modèle plus égalitaire que le monde ait jamais connu. Le soi-disant modèle scandinave

est une référence importante dans la formulation des politiques économiques

hétérodoxes (progressistes) à travers le monde. Le succès de ce modèle est due à la

combinaison d'un grand Etat providence avec des mécanismes réglementaires strictes

des forces du marché, capables de mettre l'économie sur une trajectoire dynamique,

alors qu'il a atteint les meilleurs indicateurs de bien-être social entre les pays.

* Fernando Alcoforado, 77, membre de Bahia Académie de l'éducation, ingénieur avec doctorat en

planification du territoire et du développement régional pour l'Université de Barcelone, professeur

d'université et consultant en planification stratégique, la planification régionale et la planification des

systèmes énergétiques, est auteur de livres Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a

FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o

Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia

(Tese de doutorado. Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003),

Globalização e Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século

XVI ao Século XX e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The

Necessary Conditions of the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM

Verlag Dr. Müller Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e

Catástrofe Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia

Sustentável- Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica,

Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico

e Social (Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática

Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015) et As Grandes Revoluções Científicas,

Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016). Propre blog sur Internet

(http://fernando.alcoforado.zip.net). E-mail: falcoforado@uol.com.br.