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WWreKwæwwææe& Æw ffiffiwæKffi pgsse ou tout numérique en-résequ L'Université du Mirail à Toulouse {UTM) a entrepris la reconstructisn totaie du campus. Ën octobre zoog a été inaugulré le nouveau bâtiment des langues. Four. l'aménagement des laboratoires de langues et des salles de cours, rur r*spo*siblut ont fait le choix d'un équipement audiovisuelèt nrultlmédia basé sur les technologies numériques dans une architecture intégrée en réseau lP. ! T - b ù o = ! :) a Le nouveau batiment des langues de I'université du Mirail a une surface de Tooo m repartis sur j étaqes. hilippe Dedieu, directeur des T.l.C.E. (Technologies de I'lnfor- mation et de la Communication pour l'Enseignement) à I'UTM nous détaille les grands principes qui ont conduit aux choix des équipements et à leur architecture : << Pour ce nou- vea u bôtiment de I UFR des longues, I'u ni - versité souhoitait un maximum de so I I e s m ut u a li sées et i d enti q u es. L'usog e des lobos de longues foit portie de I'héritoge d u Miroil et de Io DTICE, mai s avec des techniques onalogiques sur co ssettes. Lo co n structio n d u n o uveo u bôtiment nous offroit I'occasion de posser o u n u mé rique et o ussi ouvri r I bc- cès vers des ressources multimédios externes comme I nte rnet ou lo TV. > Pour offrir cette souplesse et permettre le travail en autonomie des étudiants, il ne fallait pas simplement déployer des laboratoires de langues indépen- dants et juxtaposés. Leur mise en réseau et leur connexion sur un stoc- kage centralisé étaient la seule archi- tecture possible. Ious les équipementc sonl en réseou Les futurs matériels se situent à la convergence des technologies audio- visuelles, multimédias et informa- tiques. Devant l'ampleur du projet, I'université du Mirail avait besoin de compétences et de ressources en temps dont elle ne disposait pas en interne. La DTICE souhaitait un regard extérieur de professionnels sur les projets et les usages envisagés. C'est pourquoi elle a fait appel à un grou- pement de cabinets d'études (P.A.Tau- four, Play&Pause, Oria et Scenarchie) pour leur confier une mission d'ATMO (Assistance Technique à la Maîtrise d'Ouvrage). Après une phase d'ana- lyse des besoins, ces prestataires ont proposé les solutions techniques et l'architecture générale du sys- tème. lls ont ensuite rédigé les cahiers des charges et assisté la direction de I'université pour les négociations avec les fournisseurs dans le cadre d'un appel d'offres public. L'acquisition des équipements a été répartie en quatre lots en tenant compte à la fois des technologies déployées et de la typologie des salles. Les quatre lots sont les suivants : laboratoires de langues, réception TV sur satellite, salles de cours et amphi- théâtre. Les trois premiers lots ont été remportés par l'agence IEC de Tou- louse tandis que le dernier, l'amphi- théâtre a été attribué à Soft Toulouse. Avec l'obligation faite aux étudiants de I'enseignement supérieur de réus- sir un module de langue quelle que soit la nature de leur diplôme, les UFR de langues accueillent deux catégories d'étudiants: certains qui se spécia- lisent en civilisation, grammaire ou linguistique, et les étudiants des autres UFR qui demandent un ensei- gnement pratique et dont le niveau est très disparate. Lors de l'analyse des besoins réalisée par la mission ATMO, il est apparu que la taille des groupes d'étudiants varie de r z à 4o personnes et que pour les plus impor- tants toutes les fonctions habituelles des laboratoires de langues (inter- communication, parlage d'écrans, prise en main du poste par le pro- fesseur) n'étaient pas indispensables. ll a donc été décidé que les labora- toires de langues seraient organisés de deux manières: des laboratoires de langues multimédias complets L'une des treize salles multimédias, ici une capacrté de jo postes tnformatiques. 501'|0lll5l0N BR0A0G5T . 76 . N"547 - IANVIER 2010

Protice - L'université du Mirail s'équipe en TV sur IP

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WWreKwæwwææe& Æw ffiffiwæKffi pgsseou tout numérique en-résequL'Université du Mirail à Toulouse {UTM) a entrepris la reconstructisn totaie du campus. Ën octobre zoog a été inaugulréle nouveau bâtiment des langues. Four. l'aménagement des laboratoires de langues et des salles de cours, rur r*spo*siblutont fait le choix d'un équipement audiovisuelèt nrultlmédia basé sur les technologies numériques dans unearchitecture intégrée en réseau lP.

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Le nouveau batiment des languesde I'université du Mirail a unesurface de Tooo m repartis sur jétaqes.

hilippe Dedieu, directeur des

T.l.C.E. (Technologies de I'lnfor-mation et de la Communication

pour l'Enseignement) à I'UTM nous

détaille les grands principes qui ontconduit aux choix des équipementset à leur architecture : << Pour ce nou-vea u bôtiment de I UFR des longues, I'u ni -

versité souhoitait un maximum de

so I I e s m ut u a li sées et i d enti q u es. L'usog e

des lobos de longues foit portie de

I'héritoge d u Miroil et de Io DTICE, mai s

avec des techniques onalogiques surco ssettes. Lo co n structio n d u n o uveo ubôtiment nous offroit I'occasion deposser o u n u mé rique et o ussi ouvri r I bc-cès vers des ressources multimédiosexternes comme I nte rnet ou lo TV. > Pour

offrir cette souplesse et permettre le

travail en autonomie des étudiants,il ne fallait pas simplement déployer

des laboratoires de langues indépen-dants et juxtaposés. Leur mise en

réseau et leur connexion sur un stoc-kage centralisé étaient la seule archi-tecture possible.

Ious les équipementc sonl enréseouLes futurs matériels se situent à laconvergence des technologies audio-visuelles, multimédias et informa-

tiques. Devant l'ampleur du projet,I'université du Mirail avait besoin

de compétences et de ressources en

temps dont elle ne disposait pas en

interne. La DTICE souhaitait un regard

extérieur de professionnels sur les

projets et les usages envisagés. C'estpourquoi elle a fait appel à un grou-pement de cabinets d'études (P.A.Tau-

four, Play&Pause, Oria et Scenarchie)

pour leur confier une mission d'ATMO(Assistance Technique à la Maîtrised'Ouvrage). Après une phase d'ana-lyse des besoins, ces prestatairesont proposé les solutions techniques

et l'architecture générale du sys-

tème. lls ont ensuite rédigé les cahiers

des charges et assisté la direction de

I'université pour les négociationsavec les fournisseurs dans le cadre

d'un appel d'offres public.

L'acquisition des équipements a étérépartie en quatre lots en tenantcompte à la fois des technologiesdéployées et de la typologie des

salles. Les quatre lots sont les suivants :

laboratoires de langues, réception TV

sur satellite, salles de cours et amphi-

théâtre. Les trois premiers lots ontété remportés par l'agence IEC de Tou-

louse tandis que le dernier, l'amphi-théâtre a été attribué à Soft Toulouse.

Avec l'obligation faite aux étudiantsde I'enseignement supérieur de réus-

sir un module de langue quelle que

soit la nature de leur diplôme, les UFR

de langues accueillent deux catégories

d'étudiants: certains qui se spécia-lisent en civilisation, grammaire ou

linguistique, et les étudiants des

autres UFR qui demandent un ensei-gnement pratique et dont le niveauest très disparate. Lors de l'analysedes besoins réalisée par la missionATMO, il est apparu que la taille des

groupes d'étudiants varie de r z à 4opersonnes et que pour les plus impor-tants toutes les fonctions habituellesdes laboratoires de langues (inter-

communication, parlage d'écrans,prise en main du poste par le pro-fesseur) n'étaient pas indispensables.

ll a donc été décidé que les labora-toires de langues seraient organisés

de deux manières: des laboratoiresde langues multimédias complets

L'une des treize salles multimédias, ici une capacrté de jo postestnformatiques.

501'|0lll5l0N BR0A0G5T . 76 . N"547 - IANVIER 2010

avec unecapacitéde 18 o! 2c ; :::savec 1o postes de trava. e: :-:- :=des salles multimédias r1 3 sa .s :.::une capacité de 3z ou :: c::escomposées de micro-ordlnater.s en

réseau avec le logiciel d'apDrent,ssage

de langues Logolab.

23 loborotoires de longuesreliés en réseouDans I'enseignement secondaire, les

laboratoires de langues multimédiafonctionnent en réseau mais selon une

architecture fermée limitée à la seule

salle de classe (le serveur étant sou-

vent installé sur place). Dans le cadre

de l'université du Mirail, les enseignants

ont souhaité que les étudiants puis-

sent travailler partiellement en auto-nomie. Vingt-six postes multimédiasavec le logiciel Logolab et 8o PC de

consultation individuelle sont en

libre-service dans l'espace documen-

taire. L'ensemble des 7oo micro-ordi-nateurs Dell installés dans les

laboratoires de langues et les salles

multimédia sont reliés à un réseau

informatique unique et fonctionnenten mode client serveur. Les exercices

vidéo et audio des étudiants sont

L'espoce documentaire avec ses Bo postes de consultation en libre-service. lls offrent I'accès à lnternet, loconsultation de CD RO M et DVD en langues étrangères et la réceptton de 8o chaînes TV.

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stockés sur un serveur unique de quellesalle.Unmoduled'exportleur

manière à ce qu'ils puissent y accé- permet même de les transférer sur

deret les reprendre depuis n'importe une clé USB et de les retravailler cher

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L ,nterfoce de novigotion de lo réception TV. Cette poge offiche à droite lesc^oînes disponibles dons une longue choisie, à gouche la prévisuolisotion dup.cgromme et en bos les données du guide électronique (EPC).

Vçnefie ry

lnfo guidepfogramm€

eux avec une version simplifiée du logi-ciel. L'un des enjeux de I'opérationreside dans l'intégration de tous cespostes informatiques dans le réseau

informatique gênêral de I'universitéet de lier les procédures d'accès auxlogiciels des laboratoires de langueset aux salles multimédias avec celles

de l'ENT (environnement numériquede travail)qui gère l'accès aux diverses

ressources et outils d'information etde gestion de l'université.Frédéric Van der Meulen, directeurde I'agence IEC de Toulouse expliquelapproche de ce vaste projet: <PourEt les loborotoires de longues restentun sujetun peu marginal.Nousovons

foit quelques instollotions de petitshboratoires. Malgré celo nous ovonsétudié Ie dossier cor nous ovions unebnne con noissonce d u client et de ses

bsoin s, et su rtout i I y ovo it une syne r-gie importonte outour du réseou etde monde de llP et des équipementsoudiovisuels des autres lots. Pournous, c'est un axe stratégique deilével op peme nt et i I con stitue la bo se

du déploiement des solutions AV de

demoin. Enfin, lo toille du projet en

tetmes de postes insto llés etoit u n chol -

knge importont pour nos équipesou niveou des méthodes de déploie-m e nt. Pou r la po ft i e st ricte me nt lo bode longues nous ovons noué un par-tenoriot avecTecnilob qui o de nom-breuses onnées dbxpérience dons ce

domoine. >

l0 rhoînes W distribuéet en lPOn retrouve I'importance de cettecomposante réseau dans le systèmede réception TV par satellites. Philippe

Dedieu revient sur cet élément duyojet : < Pour I bnseig nement protique

Programm€ en

-.,'

cours (le conbur* mmptzrl est vert torsque te

Direc{ A la Cartex[ 4!È24--:':' €stdisponible.)Ê,*,, ",,.",,:1".. l

erço5W

ATMO avait recommandé de pré-voir une distribution TV en mode lP.

Un ensemble de 7 antennes para-boliques est raccordé à une baie de

z4 démodulateurs lP. En jouant surles combinaisons des multiplex DVB,

ce sont 8o programmes TV qui sontdistribués dans le bâtiment. Dans les

laboratoires de langues et les salles

multimédias, ils sont reçus sur uneset top box de marque Amino (c'est

le professeur qui décide ou non si unprogramme TV est diffusé aux étu-diants) et dans l'espace documentaireils sont décodés directement sur le

PC grâce à un logiciel. Une interfacespécifique a été dessinée pour faci-liter la navigation par langues etnon par numéro du canal. Au niveaude la baie de réception TV, des ser-veurs ont été mis en place pourassu-rer une fonction de u time-shifting ",l'étudiant peut remonter dans les 6odernières minutes du programmeregardê, s'il bute sur une expres-sion. Un autre serveur est affecté à

I'enregistrement démissions pour une

diffusion ultérieure. L'accès à cettefonction est limité aux professeursqui programment les enregistre-ments directement de chez eux viaune interface web dédiée.Frédéric Van der Meulen poursuit :

<Pour lo portie réception TV, nousovions plus d'expérience sur cette

question cor nous ovons déjà réolisédes systèmes équivalents. Pour ce

projet nous ovonstrovoillé ovec lpsoTV. Nous ovons sensibilisé dons nosdifférentes ogences les personnesqui nous ont apporté leur compé-tence et leu r sovoi r-foi re. Po r exe m ple,

Gilles Lorenzi,bosé à I'ogence de Lyonet qui o une expertise dons le mondedes réseoux et de Io vidéo sur lP. "

Ioutes les solles multimédiosruperuitées en lPLe troisième dossier traité par IEC

concerne l'équipement des salles de

cours. On y retrouve un systèmetraditionnel de vidéo-projection (pro-jecteur NEC NP 4oo XGA d'une puis-sance de z 6oo lumens installé en

plafond). llest alimenté par un sélec-

teur de sources Extron MLS4o6auquel est raccordê le micro-ordi-nateurfixe installé dans le bureau duprofesseur, un lecteur mixte DVD/VHS

Samsunget un câble de raccordementen attente pour un PC portable. Pour

regrouper et harmoniser les com-mandes de tous ces appareils, un

pupitre à touches Crestron est ins-tallé sur le bureau du professeur. En

cas de difficulté le professeur dispose

d'un interphone Extron lPl zor pourappeler un technicien à la DTICE. Là

encore le réseau informatique de

I'université est mis à contribution,

S:&&.

È

s

des I o n g u es, les en sei g n o nts de mo n -

dent de plus en plus des occès directsà I'expression outhentique et naturelle .

ll fout donc donner accès depuis les

salles de cours et I'espoce documen-toire à lnternet (prévu de base dons

les loborotoires et les salles multi-m éd ia s ) et o u s si déve I op pe r I o réce p -

tion TV par sotellite qui étoit restéeembryonnoire jusquelà ". Dix-septlangues différentes sont enseignées

à I'UFR et la réception TV par satel-lites offre un accès facile à de nom-breux programmes. Pour multiplierfacilement le nombre de points de

diffusion et conserver beaucoup de

souplesse, sans installer un câblagepropriétaire en coaxial, la mission

!.E

o)!f,a

L'omphithéÔtre de zoo ploces ovec ou fond lo régie et les 4 cobines de traduction. Sur les murs lotéroux, z des 4coméros robotisées utilisées pour l'enregistrement des cours et lo visioconférence.

50}{0lll5l0}{ BR0ÀD(ÂST o 78 o N"54/ - IANVIER 201 0

puisque celui-ci peut, grâce au logi-ciel Clobal Viewer, prendre la mainsur les équipements de la salle. lloffre également une supervisioncomplète de I'ensemble des matérielsaudiovisuels du bâtiment.

Un amphithéôtre de 200 ploresEnfin, dernier maillon des équipementsaudiovisuels et multimédias, I'am-phithéâtre prévu pour accueillir zooétudiants. Ses activités ne se limitentpas uniquement aux cours magistrauxtraditionnels. L'université avait besoin

d'un lieu d'accueil confortable etéquipé de manière moderne pourorganiser des colloques ou recevoirdes réunions internationales. Parmiles nombreuses formations, il existeau sein du campus un IUP (lnstitutUn iversitaire Professionnel) consacré

aux métiers de la traduction et deI'interprétation. Pour permettre auxétudiants de se mettre dans les

conditions réelles de travail, l'am-phithéâtre a été équipé de 4 cabinesde traduction simultanée. À côtédes outils classiques (sonorisation avec

mélangeurYamaha LS-9 et enceintesTurbosound et Meyersound, vidéo-projection Sanyo de 9 ooo lumens pourun écran de 5 m de base), se trouventdes outils donnant accès aux réseaux

numériques de communication.Un ensemble de 4 caméras roboti-sées Sony BRC ZToo HD/SD sert à la

fois au système de visioconférence(codec Aethra HD raccordé en lP) età I'enregistrement des cours. Pour per-

mettre I'accès à distance aux conte-nus des enseignements (formationcontinue, étudiants immobilisés,conférences événements,. . ) la DTICE

souhaitait mettre en place un outild'enregistrement, qui préserve la

qualité des images informatiquesprojetées par les enseignants et sanspartir dans la lourdeur d'un systèmeclassique avec mélangeur, conver-tisseurs et enregistreurs vidéo. Soft,avec son agence de Toulouse, a pro-posé le VGA Recorder Pro du construc-teur Epiphan, un système quienregistre en parallèle une sourcevidéo/audio et la sortie VGA d'unmicro-ordinateur. Patrice Douet,

ingénieur commercial à I'agence deToulouse explique : <Nous ovonspro posé I E pi pha n co r i I offre u ne très

bon ne q u o I ité d'e n reg i stre m ent VGA

et il dispose de port RS-4zfocilitontson pilotoge par un automote. Le

client insistoit sur ces points dans Ie

cohier des chorges ".L'autre challenge du projet résidaitdans I'association de matériels SD etHD. La mission ATMO avait conseilléqu'une partie des équipements soitfournie en HD, en particulier les

caméras de prises de vues, maisbeaucoup de sources et d'exports sont

encore en SD. Laurent Salaberry,

chefde projet chez Soft Toulouse, a

conçu le noyau de base en SD avecdes éléments de conversion en HD

pour obtenir un ensemble cohérentet simple à exploiter, tout en restantdans un budget raisonnable. PatriceDouet poursuit : < Nous ovons menétoutes les études ici sur ploce àTou-louse. Nous evons une bonne expé-rience à lo fois dons le broodcost etdo n s I e corpo rote. N ou s éq ui pon s pa rexemple toute la portie montoge de

TLT.Celo no usfou rnit u n e expé rie nce

sur les z segments de morché et per-met d b n richi r n os propositi ons.Ai nsipou r l'o m phi de I UT M, nous fou rnis-sons des grilles Nevion et des quod-splitHorris. ,Le dernier point fort de

I'installation concerne le systèmepilotage, basé sur un Crestron reliéà I'ensemble des équipements. Àpartir d'un écran tactile placé sur la

chaire, le professeur sélectionne le

scénario correspondant aux types dematériels utilisés : cours avec sono.risation seule, cours avec vidéo-pro-jection informatique, cours avecenregistrement ou cours avec visio-conférence. Au niveau de la chaire,il dispose aussi d'une tablette inter-active r7 pouces Smart pour anno-ter les images informatiques qu'ilprojette à ses étudiants. L'architec-ture a été conçue de manière ouvertepour faciliter I'installation d'un mélan-geur Sony Anycast que les techniciensde la DTICE exploitent pour I'enre-gistrement de colloques avec denombreux conférenciers.

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