cco g é o v

t t

Février 2011

La fréquentation hôtelière a pâti d’une vague de froid exceptionnelle en décembre

Résultats de décembre 2010 (consolidés)

1. Évolution des nuitées dans l’hôtellerie de tourisme selon le pays de résidence en %

Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

Pays de résidence

Janv. à déc. 2010 /

janv. à déc. 2009

Poids des clientèles (nuitées de

décembre 2010)

Déc. 2010 / déc. 2009

Total 4,4 -1,3 2,2 100,0 France 4,8 0,6 2,0 71,1 Étranger 3,2 -5,6 2,8 28,9 100,0Europe 1,5 -10,0 -0,2 70,8dont Royaume-Uni -4,7 -10,5 -6,7 16,2 Italie 0,4 -12,9 -1,8 10,9 Allemagne 8,9 -2,1 1,7 6,6 Espagne -7,9 -7,7 3,3 8,5 Belgique 0,2 -23,2 -1,9 7,5 Pays-Bas -10,6 -16,5 -7,1 5,0 Suisse -2,6 -8,5 -1,3 3,7 Danemark, Suède, Norvège, Finlande, Islande 14,0 0,6 9,6 1,6 Russie 35,6 13,5 28,3 2,7Amériques 3,4 6,0 9,1 12,3dont états-Unis 1,7 4,7 3,4 7,4 Amérique centrale et du Sud 8,2 9,0 28,4 4,0Asie et Océanie 13,5 7,8 15,7 14,4dont Chine 23,7 22,2 44,8 2,2 Japon 16,3 2,9 3,3 6,0 Proche et Moyen-Orient (y c. égypte) 18,6 15,0 22,8 2,2

Nov. 2010 / nov. 2009

En décembre 2010, l’enneigement exceptionnel sur l’ensemble de l’Europe a pénalisé la fréquentation hôtelière, en baisse de 1,3 % par rapport à décembre 2009. Les clientèles étrangères sont à l’origine du recul (- 5,6 % par rapport à décembre 2009), plus précisément les clientèles européennes (- 10,0 %), contraintes d’annuler ou de reporter leurs séjours d’agrément. Les clientèles lointaines ont maintenu une progression soutenue (+ 7,0 %). La clientèle française, davantage tournée vers le tourisme professionnel, a légèrement augmenté sa fréquentation (+ 0,6 %). La grande majorité des régions ont subi la baisse de fréquentation. Le taux d’occupation des hôtels est en légère baisse à 49,9 %, toutes les catégories étant touchées sauf le haut de gamme (55,9 % soit + 1,5 point).La baisse de décembre n’a eu qu’un impact limité sur la fréquentation hôtelière en 2010, en progression de 2,2 % (contre - 4,9 % en 2009).

Évolution de la fréquentation hôtelière depuis 2007

Note de lecture : en décembre 2010, par rapport à décembre 2009, les nuitées des clientèles étrangères ont diminué de 5,6 %.Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

II

Alors que depuis février, la fréquentation hôtelière augmentait en glissement annuel (+ 4,4 % en novembre), au mois de décembre 2010, les nuitées ont reculé de 1,3 %, atteignant leur plus bas niveau pour ce mois depuis 2006. Des conditions climatiques particulièrement défavorables, avec un enneigement exceptionnel sur une grande partie du pays, ont pesé sur la fréquentation hôtelière de décembre. En particulier, les nuitées d’agrément sont en recul de 6,0 % par rapport à décembre 2009.

En décembre 2010, les conditions climatiques ont fortement pesé sur la fréquentation hôtelière des clientèles européennes

Dans ce contexte peu propice aux déplacements, les clientèles étrangères ont pu reporter ou annuler en partie leurs séjours : leurs nuitées reculent de 5,6 % par rapport à décembre 2009, revenant à leur plus bas niveau pour un mois de décembre depuis 2005.

Ces condi t ions c l imat iques défavorables ont surtout pesé sur la fréquentation des clientèles européennes, qui chute de 10 % en décembre 2010 par rapport à décembre 2009. Les nuitées des clientèles « traditionnelles », venant des pays proches de la France, sont toutes en recul : les plus fortes baisses de fréquentation sont celles des clientèles belge (- 23,2 %), néerlandaise (- 16,5 %), italienne (- 12,9 %) et britannique (- 10,5 %). La fréquentation des clientèles des pays du Nord se maintient à son niveau de 2009 (+ 0,6 %). Seules les nuitées de la clientèle russe sont en hausse (+ 13,5 %).

En forte croissance depuis plusieurs mois, les clientèles lointaines des continents asiatique et américain restent en progression en décembre (+ 7,8 % et + 6,0 %). Les contraintes climatiques ont moins de prise sur les voyages à longue distance, plus difficiles à reporter. Les plus fortes hausses sont celles de la Chine (+ 22,2 %), du Proche et Moyen-Orient (+ 15,0 %) et d’Amérique centrale et du Sud (+ 9,0 %).

P a r c o n t r e , l ’ e n n e i g e m e n t exceptionnel ne semble pas avoir affecté la fréquentation hôtelière pour motif professionnel (+ 4,4 % par rapport à décembre 2009), vraisemblablement en raison du caractère plus contraint des déplacements professionnels (réunions, formations, salons, etc.). Aussi, la clientèle française, moins axée sur le tourisme d’agrément que les clientèles étrangères, est davantage présente dans les hôtels en décembre 2010 avec des nuitées en hausse de 0,6 % par rapport à décembre 2009.

En 2010, la fréquentation hôtelière a augmenté de 2,2 %

Sur l’ensemble de l’année 2010, la fréquentation hôtelière a augmenté de 2,2 %. Les nuitées des Français sont en hausse de 2,0 % et celles des étrangers de 2,8 %, sous l’impulsion des clientèles lointaines (+ 12,0 %) : + 15,7 % pour l’Asie (dont + 44,8 % pour la Chine, + 22,8 % pour le Proche et Moyen-Orient), + 9,1 % pour l’Amérique (dont + 28,4 % pour l’Amérique centrale et du Sud) et + 28,3 % pour la Russie.

À contrario, les clientèles européennes sont plutôt en légère baisse (- 0,2 % sur l’année) et même en recul d’un point hors la clientèle russe. La baisse de fréquentation de la clientèle britannique, première clientèle étrangère, est particulièrement forte (- 6,7 %), liée entre autres à plusieurs mois de dépréciation de la livre sterling par rapport à l’euro.

Les nuitées d’affaires (+ 4,6 % en 2010) ont été le principal moteur de la hausse de fréquentation hôtelière, les nuitées personnelles ayant contribué à hauteur de 0,5 % seulement.

En décembre 2010, la grande majorité des régions ont subi la baisse de fréquentation

Affectant une grande partie du territoire en décembre 2010, les mauvaises conditions climatiques ont pénalisé la fréquentation hôtelière dans seize régions. Le recul est particulièrement marqué en Limousin (- 10,3 %) et en Basse-Normandie (- 10,0 %). Les marchés de Noël alsaciens ont également pâti du froid hivernal (- 6,2 % par rapport aux nuitées de décembre 2009) et, avec Rhône-Alpes, la région est l’une des principales contributrices à la baisse (- 0,3 point). Le recul de fréquentation est plus contenu en Île-de-France (- 0,1 %). Seule la région Aquitaine a enregistré une hausse supérieure à 5 %, dopée par l’afflux de la clientèle étrangère (+ 24,7 %).

L’espace urbain, habituellement à la hausse, est lui aussi concerné par la baisse des nuitées en décembre (- 0,7 %), malgré la présence accrue de la clientèle française (+ 1,9 %).

En 2010, les régions Île-de-France et Bourgogne ont été les plus dynamiques

En cumul sur l’année 2010, les régions Île-de-France et Bourgogne ont été les plus dynamiques. La région capitale a bénéficié d’un attrait particulier vis-à-vis de la clientèle française (+ 8,5 %), tandis que la

Bourgogne a été plébiscitée par les étrangers (+ 7,8 %). La hausse de fréquentation a plutôt bénéficié aux régions de la moitié Est du pays, à l’exception de Rhône-Alpes. La fréquentation a baissé dans les régions de la moitié Ouest, sauf en Aquitaine et en Basse-Normandie.

En décembre 2010, seul le haut de gamme a maintenu un taux d’occupation en hausse

Le taux d’occupation des hôtels, qui rapporte le nombre de chambres occupées au nombre de chambres offertes, est de 49,9 % en décembre (- 0,1 point par rapport à décembre 2009). Il s’agit du plus bas taux d’occupation en décembre depuis 2006.

L’Île-de-France bénéficie du taux d’occupation le plus élevé (68,2 %) devant l’Alsace (64,6 %). Le taux d’occupation moyen hors Île-de-France est plutôt faible, à 42,2 %. C’est dans les espaces touristiques urbains que la part des chambres occupées est la plus élevée en décembre (57,3 %), en légère hausse par rapport à décembre 2009 (+ 0,2 point).

Toutes les catégories d’hôtels sont touchées par la baisse sauf les 4 étoiles, 4 étoiles luxe et 5 étoiles (55,9 %, soit une hausse de 1,5 point), toujours prisés par les clientèles étrangères. Le taux d’occupation reste stable pour les 0 et 1 étoile, qui parviennent à rester au-dessus du seuil de 50 % de chambres occupées. Il diminue dans les autres catégories.

En 2010, le haut de gamme affiche le taux d’occupation le plus élevé

Sur l’ensemble de l’année 2010, le taux d’occupation, en hausse pour toutes les catégories d’hôtels, s’établit à 59,4 % (+ 1,3 point par rapport à 2009). Il reste toutefois nettement en dessous de celui de 2007 (61,9 %). L’essor du haut de gamme est marqué sur l’ensemble de l’année : cette catégorie d’hôtels affiche le taux d’occupation le plus élevé (65,1 %) et la plus forte hausse par rapport à 2009 (4,1 points). Le volume de nuitées y a fortement augmenté (+ 12,0 %). L’hôtellerie 3 étoiles dégage aussi des résultats au-dessus de la moyenne tant au niveau du taux d’occupation (+ 2,1 points par rapport à 2009) que du volume des nuitées (+ 3,7 %). L’évolution est moins favorable pour l’hôtellerie économique (2 étoiles) ou très économique (0 et 1 étoile), le volume des nuitées sur les 2 étoiles ayant même baissé de 0,7 %.

Séverine FRANCASTEL

III

France

Étranger

Europe

dont Royaume-Uni

Italie

Espagne

Allemagne

Belgique

Amériques

Asie et Océanie

Île-de-France Rhône-Alpes PACA Alsace Aquitaine Pays de la Loire Autres 33,4 11,4 7,5 5,4 4,3 3,7 34,3 Île-de-France Rhône-Alpes PACA Alsace Nord - Pas-de-Calais Midi-Pyrénées Autres 66,3 8,7 5,7 4,6 2,3 1,5 10,9 Île-de-France Rhône-Alpes PACA Alsace Nord - Pas-de-Calais Lorraine Autres 59,3 10,9 6,5 5,9 3,2 1,8 12,6 Île-de-France Rhône-Alpes Nord - Pas-de-Calais PACA Champagne-Ardenne Bourgogne Autres 56,0 14,1 8,1 4,4 2,4 2,2 12,8 Île-de-France PACA Rhône-Alpes Alsace Lorraine Bourgogne Autres 64,7 15,2 6,6 4,0 1,3 1,3 6,8 Île-de-France Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées Aquitaine PACA Rhône-Alpes Autres 69,8 6,0 4,7 4,5 4,0 3,8 7,2 Île-de-France Alsace Rhône-Alpes PACA Lorraine Midi-Pyrénées Autres 57,6 10,9 7,8 6,7 2,8 2,1 12,2 Île-de-France Alsace Rhône-Alpes Nord - Pas-de-Calais Lorraine PACA Autres 44,7 17,3 8,9 5,0 4,8 4,3 14,8 Île-de-France Rhône-Alpes PACA Midi-Pyrénées Alsace Lorraine Autres 83,0 4,2 4,0 1,6 1,4 1,0 4,8 Île-de-France PACA Rhône-Alpes Centre Alsace Bourgogne Autres 83,9 3,5 3,1 1,6 1,4 1,2 5,3

2. Évolution régionale des nuitées dans l'hôtellerie de tourisme

Décembre 2010 / décembre 2009

Total Français étrangers Total Français étrangers

Contributionà l’évolutiontotale des nuitées

Janvier à décembre 2010 /janvier à décembre 2009

Contributionà l’évolutiontotale des nuitées

France -1,3 0,6 -5,6 -1,3 2,2 2,0 2,8 2,2Alsace -6,2 -5,0 -9,3 -0,3 1,4 -0,2 4,2 0,0Aquitaine 6,9 5,2 24,7 0,2 2,1 1,3 6,4 0,1Auvergne 4,8 4,6 7,1 0,1 1,1 0,7 5,0 0,0Basse-Normandie -10,0 -8,4 -25,0 -0,2 1,0 0,3 3,1 0,0Bourgogne 1,0 2,0 -3,5 0,0 5,2 4,1 7,8 0,1Bretagne -0,5 -0,1 -5,6 0,0 -1,0 -1,8 3,0 0,0Centre -4,2 -4,7 -0,4 -0,1 -0,3 -0,8 1,4 0,0Champagne-Ardenne -4,6 0,6 -18,8 -0,1 0,8 0,8 0,8 0,0Corse -1,3 -0,4 -10,7 0,0 3,3 5,5 -2,6 0,0Franche-Comté -1,0 0,6 -15,1 0,0 1,7 1,9 0,6 0,0Haute-Normandie -5,1 -4,1 -12,4 -0,1 -3,8 -4,2 -2,0 -0,1Île-de-France -0,1 5,2 -6,1 -0,1 5,7 8,5 3,1 1,9Languedoc-Roussillon -4,4 -5,3 1,2 -0,1 1,5 1,2 2,6 0,1Limousin -10,3 -9,2 -24,6 -0,1 -0,8 -0,2 -5,7 0,0Lorraine -3,7 -5,8 6,1 -0,1 1,8 -0,4 10,5 0,0Midi-Pyrénées -4,8 -4,4 -6,8 -0,1 -2,2 -3,9 1,5 -0,1Nord - Pas-de-Calais -5,1 -3,8 -9,5 -0,2 -1,1 -0,5 -2,8 0,0Pays de la Loire 3,9 4,2 -1,6 0,1 -1,2 -1,5 1,6 0,0Picardie 3,1 8,8 -23,6 0,0 -0,5 1,5 -7,3 0,0Poitou-Charentes -2,1 -2,9 14,1 0,0 -2,9 -4,1 8,8 -0,1Provence - Alpes - Côte d'Azur 0,4 1,8 -3,7 0,0 2,7 1,9 4,2 0,3Rhône-Alpes -3,0 -3,4 -1,5 -0,3 -0,6 -0,6 -0,8 -0,1

Note de lecture : la contribution d'une région à l'évolution totale des nuitées est obtenue en multipliant son taux d'évolution par son poids en nuitées. En décembre, le nombre de nuitées en Île-de-France a diminué de 0,1 % par rapport à 2009 et la région contribue à 0,1 point de baisse. A contrario, le nombre de nuitées a augmenté de 6,9 % en Aquitaine et la région contribue à 0,2 point de croissance.Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

3. Répartition des clientèles françaises et étrangères par régionen % des nuitées par région en décembre 2010

Évolution du nombre de nuitées dans les régionsDécembre 2010/décembre 2009 Janvier à décembre 2010/

janvier à décembre 2009

Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

en %

Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

IV

SourceL’enquête de fréquentation hôtelière (EFH) est effectuée mensuellement auprès des établissements hôteliers de toutes catégories, de chaînes ou indépendants. Représentative de l’activité hôtelière des différentes régions, l’enquête est réalisée en partenariat entre l’Insee et la DCGIS, et bénéficie dans la plupart des régions d’une extension d’échantillon, financée par les acteurs locaux du tourisme.La loi de développement et de modernisation des services touristiques du 22 juillet 2009 définit des nouvelles normes de classement pour les hébergements touristiques, en particulier pour les hôtels de tourisme et renouvelle les catégories de classement, avec la création de la catégorie 5 étoiles et la suppression des catégories 0 étoile et 4 étoiles luxe. Le déploiement en cours du nouveau classement hôtelier sera achevé en juillet 2012.

DéfinitionsNuitées : nombre total de nuits passées par les clients dans un hôtel ; ainsi, un couple séjournant trois nuits consécutives dans un hôtel correspondra à six nuitées, de même que six personnes ne séjournant qu’une seule nuit.Taux d’occupation : rapport obtenu en divisant le nombre de chambres occupées par le nombre de chambres « effectivement » disponibles (en excluant les fermetures saisonnières).

Directeur de la publication Luc Rousseau

Rédacteur en chefFrançois Magnien

Secrétaire de rédactionNicole Merle-LamootComposition par PAO

Nathalie Palous

Direction générale de la compétitivité,

de l'industrie et des services

5. Évolution du taux d’occupation et des nuitées, par catégorie d’hôtels

Avertissement : l'ancienne et la nouvelle nomenclature du classement hôtelier (respectivement "de 0 à 4 étoiles et 4 étoiles luxe" et "de 1 à 5 étoiles") continuent d'exister en parallèle jusqu'à la fin de la mise en place du nouveau classement, prévue en juillet 2012. Aussi pendant la période transitoire, il convient d'être prudent sur les commentaires portant sur des évolutions.Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

0 et 1 étoile 51,7 0,0 60,4 0,7 19,5 -0,7 18,3 0,32 étoiles 47,6 -0,8 56,7 0,3 37,8 -4,4 39,5 -0,73 étoiles 49,5 -0,5 60,5 2,1 28,3 -1,4 29,4 3,74, 4 luxe et 5 étoiles 55,9 1,5 65,1 4,1 14,4 7,2 12,8 12,0Ensemble 49,9 -0,1 59,4 1,3 100,0 -1,3 100,0 2,2

Décembre2010

(en %)

évolutiondéc. 2010/déc. 2009

(en points de %)

Répartitiondéc. 2010

(en %)

évolutiondéc. 2010/déc. 2009

(en %)Catégories d’hôtels

Taux d’occupation Nuitées

Janvier à décembre

2010 (en %)

évolutionjanvier à

décembre2010/2009

(en points de %)

Répartitionjanvier à

décembre 2010

(en %)

évolutionjanvier à

décembre2010/2009

(en %)

Taux d’occupation des hôtels au mois de décembre depuis 2007

Taux d’occupation des hôtels de janvier à décembre (12 mois) depuis 2007

4. Évolution et poids des nuitées par espace touristique

Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.

Poidsdes nuitées (déc. 2010)

en %évolution des nuitées

janvier à décembre 2010/2009 (12 mois) Poids

des nuitées 2010 (12 mois) Total Français étrangers Total Français étrangers

Littoral -3,8 -2,9 -7,6 10,3 0,8 -0,4 4,2 17,4Montagne -2,4 -1,9 -3,7 7,3 -2,1 -2,3 -1,5 6,4Rural -2,7 -2,5 -3,9 8,5 -0,4 -1,3 2,4 11,2Urbain -0,7 1,9 -5,6 73,9 3,5 4,0 2,8 65,1Ensemble -1,3 0,6 -5,6 100,0 2,2 2,0 2,8 100,0

évolution des nuitées(déc. 2010/déc. 2009)

Sources : Insee, DGCIS, partenaires régionaux.