La physiocratie

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La physiocratie

Présenté par : Soukaina dalhi

Bassma el khallZineb habitou

PLAN Introductiondéveloppement:

1.définition de la physiocratie.2.idée principale de ce courant.3.Les physiocrates.4.Les avantages/les limites.5.La physiocratie chez les pays

sous développée.Conclusion

INTRODUCTION

DEFINITION La « physiocratie » est le « gouvernement par

la nature ». Le terme est associant deux mots grecs :physis (la Nature)

et kratos (gouverner). La physiocratie est une école de pensée

économique et politique, née en France vers 1750, qui contribue de manière décisive à forger la conception moderne de l'économie et à placer la réflexion et la pratique de la « chose économique » dans un cadre de référence plus autonome que celui offert par la Religion

LES IDEES PRINCIPALES DU PHYSIOCRATIE:

La richesse d’un pays consiste en la richesse de tous les habitats.

La seule activité productive est l’agriculture.

PRESENTATION DES CLASSES Le

s paysansPropiétaire

s fonciers

La classe stérile

Les principaux physiocrat

es

Le Tableau économique est une représentation synthétique et graphique du fonctionnement de l'économie, première du genre, conçue par François Quesnay et parue en 1759 à Versailles.

En 1763, dans Philosophie rurale ou économie générale et politique de l'agriculture, Quesnay commente son tableau : « Le Tableau Économique est la première règle d'arithmétique que l'on ait inventée pour réduire au calcul exact et précis la science élémentaire et l'exécution perpétuelle de ce décret de l'Éternel : Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front... ».

Richard Cantillon, né à Ballyheigue (Irlande) vers 1680 et mort à Londres le 14 mai 1734, est un financier et économiste irlandais qui a fait fortune en France

Auteur influent de la physiocratie, il passe la plus grande partie de sa vie à Paris, où il exerça la profession de banquier. Il a laissé une œuvre théorique, Essai sur la nature du commerce en général, qui le place au rang des grands précurseurs de l'économie politique classique avec l'abbé de Condillac et William Petty1. Il est l'un des auteurs les plus significatifs qui marquent la transition du mercantilisme vers l'économie classique.

LES APPORTS :

Les apports du

physiocrates

Précurseurs de

libéralisme.

Représentation du

tableau economique

LES APPORTS DU PHYSIOCRATES

PRÉCURSEURS DE LIBÉRALISME.

L’économie doit uniquement fonctionner selon les lois du marché, sans que l’Etat n’intervienne par ses politiques.« laissez faire les hommes, et laissez passer les marchandises »« laissez faire, laissez passer ».

ORDRE NATUREL

Selon les physiocrates, il existe un ordre naturel gouverné par des lois qui lui sont propres, et qui repose sur le droit naturel . Par exemple, chaque homme a droit à ce qu'il acquiert librement par le travail et l‘échange. Le rôle des économistes est de révéler ces lois de la nature. La liberté et la propriété sont des droits naturels que le souverain doit respecter et protéger en les consacrant dans le droit positive. Le rôle du pouvoir est de garantir l'application du droit naturel.

LES LIMITES :

VISION LIMITÉ DES SOURCES DE LA RICHESSE.

On peut reprocher au courant physiocrate d’avoir restreint les sources de la richesse à un seul

facteur (la Terre), à un seul secteur d’activité (secteur primaire) et à une seule activité (l’agriculture).

VISION LIMITÉE DES MODES DE RÉPARTITION DES RICHESSES L’analyse physiocrate de la répartition ignore l’importance

d’une redistribution des richesses par l’Etat. L’Etat providence doit

assurer l’équité sociale en prélevant les impôts sur les revenus des

ménages les plus nantis (impôts sur les revenus, sur le patrimoine etc.)

pour les distribuer aux plus démunis, souvent sous la forme

d’une production de biens publics (écoles publiques, hôpitaux publics

etc.).

notre

Après l'indépendance, deux stratégies économiques ont dominé l'économie des PVD, à savoir les stratégies de développement industriel et agricole. Etant donné que l'agriculture est le secteur prioritaire de l'économie nationale, ce secteur doit bénéficier des moyens de financement efficaces. Par conséquent, il devient évident d'instaurer une politique d'investissement du secteur agricole. Toutefois au Maroc, ce secteur souffre encore de l'absence d'un établissement efficace de financement fait par les agriculteurs et pour eux.

CONCLUSION

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