Application d’un outil d’aide a la decision (MA2 PMTR) dans le cadre d’une reorganisation...

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Séance organisée par la SIGU

Modérateurs: Catherine Roy, Olivier Hélénon

Durée: 20 minutes16 h 20

IMAGERIE DES TUMEURS RARESET DES PSEUDOTUMEURS DE LA VESSIELRocher (1), M Claudon (2), G Cluzel (1), C Roy (3),MF Bellin (1)(1) Le Kremlin-Bicêtre - France,(2) Vandœuvre-lès-Nancy - France,(3) Strasbourg - FranceCorrespondance: laurenceJocher@bct.aphp,fr

Messages à retenir: La TDM reste l'examen de choix pour le bilandes hématuries macroscopiques et pour le bilan d'extension destumeurs de vessie.Les techniques d'uroscanner avec injection de Lasilix augmentent lasensibilité de détection des polypes vésicaux.L'IRM pondérée en T2 etfou les séquences d'acquisition dynamiquepourraient améliorer le bilan d'extension intra-pariétal des tumeurs.Dans le bilan des infections urinaires et l'exploration de plaies vési­cales, l'imagerie en coupe est limitée à des situations particulières.Résumé: La TDM reste l'examen de choix pour le bilan des héma­turies macroscopiques et pour le bilan d'extension des tumeurs devessie. Ses deux inconvénients principaux sont sa faible sensibilitédans la détection des polypes vésicaux et la difficulté, voire l'impos­sibilité, de préciser le degré d'extension intra-pariétale des tumeurs.Les techniques d'uro-scanner avec injection de Lasilix, par l'opacifi­cation homogène de la vessie qu'elles induisent, augmentent la sen­sibilité de détection des tumeurs de vessie. De même, l'IRM pourraità l'avenir aider au diagnostic local grâce à l'amélioration de sa réso­lution spatiale et à l'utilisation de séquences dynamiques. Dans lebilan des infections urinaires, les indications d'imagerie en coupe dela vessie restent limitées à des cas particuliers: sepsis sévère, pneu­maturie, signes péritonéaux associés, infections multirécidivantes,etc. Dans la recherche des plaies vésicales, la cystographie reste l'exa­men de référence. La TDM, dont la technique devra être particuliè­rement soignée, ne joue qu'un rôle d'appoint.

Mots clés : Vessie, tumeur - Vessie, inflammation

Objectifs: Connaître la nature et l'aspect des tumeurs rares de la ves­sie, c'est-à-dire des lésions tumorales en dehors des carcinomes à cel­lules transitionnelles.Connaître les pathologies qui peuvent simuler des tumeurs.Messages à retenir: Les tumeurs non épithéliales de la vessie for­ment un groupe hétérogène de tumeurs rares (= 3 % de l'ensembledes tumeurs vésicales), qui peuvent être bénignes ou malignes.Les signes d'appel sont les mêmes que pour les tumeurs épithéliales:hématurie, pollakiurie, dysurie.Le paragangliome vésical, exceptionnel, doit être suspecté avantl'intervention, sur des critères cliniques, biologiques et d'imageriepour préparer la libération per-opératoire de catécholamines.Résumé : Les tumeurs non épithéliales occupent 3 % de l'ensembledes tumeurs vésicales. Le leiomyome est la plus fréquente destumeurs bénignes mésenchymateuses et siège le plus souvent sur letrigone. Il apparaît sous la forme d'une masse bien limitée, lisse,homogène, en hyposignal T2. Elle peut siéger en endoluminal, inters­titiel ou extra pariétal. Les sarcomes sont rares et correspondentmajoritairement à des léïomyosarcome chez l'adulte et des rhabdomyo­sarcomes chez l'enfant. Ils sont plus hétérogènes. Le phéochromocytomevésical, ou plus exactement le paragangliome, se manifeste par des mani­festations paroxystiques per ou post-mictionnelles à type de céphalées,malaises, sueurs. Il s'agit classiquement d'une tumeur hypervasculaire,bien limitée, fixant à la scintigraphie au MIBG. La préparation pré-opé­ratoire est indispensable. Les lymphomes vésicaux sont l'apanage dusujet âgé, la forme sessile est la plus fréquente. Certaines rares métastasesvésicales (carcinome mammaire) simulent une cystite chronique. Lamalakoplakie et les pseudo-tumeurs inflammatoires, la cystite à éosino­philes, la cystite glandulaire ou hypertrophique sont responsables d'épais­sissement non spécifiques pouvant simuler une tumeur. Ce sont souventdes découvertes histologiques.

Mots clés: Vessie, tumeur - Vessie, inflammation

Durée: 20 minutes

Durée: 20 minutes

Durée: 10 minutes

Durée: 20 minutes

Durée: 20 minutes

16 h 40

16 h 20

17 h 00

17 h 20

Objectifs pédagogiquesDéfinir le rôle des méthodes d'imagerie TDM et IRM pour lespathologies du bas appareil urinaire.Donner la démarche diagnostique pour les pathologies rares.Citer les techniques en développements.

DISCUSSION GENERALE: TABLEAU DE BORDET PILOTAGE D'UNE STRUCTURE D'IMAGERIE

Quels rôles pour l'imagerie en coupedans l'exploration du bas appareil urinaireen 2009

MODIFICATIONS DES REGLES DE FACTURATIONSDES ACTES D'IMAGERIE: IMPACTPOUR UNE STRUCTURE PRIVEEFOlliaroGrenoble - FranceCorrespondance: francois,olliaro@groupe-du-mail.com

AMELIORATION DES INDICATEURSDE PERFORMANCES D'UN SERVICE D'IMAGERIECONSECUTIVE A L'ACCOMPAGNEMENT MEAHRVan EislanderVannes - FranceCorrespondance : rene.van_elslander@ch-bretagne-atlantique.fr

Responsables: Catherine Roy, Marie France Bellin,Nicolas Grenier

APPLICATION D'UN OUTIL D'AIDE A LA DECISION(MA2 PMTR) DANS LE CADRED'UNE REORGANISATION D'UN SERVICE D'IMAGERIEEFrémont N DenotFougères - FranceCorrespondance: efremont@ch-fougeres,fr. ndenot@ch-fougeres.fr

PATHOLOGIES VESICALES: L'IMAGERIE EN COUPES(TOM, IRM) A-T-ElLE REElLEMENT UNE PLACE?o RouvièreLyon - FranceCorrespondance: olivier,rouviere@netcourrier.com

16 h 00

Objectifs: Comprendre la place et les limites de la TDM dans ladétection et le bilan d'extension des tumeurs vésicales.Connaître les perspectives ouvertes par les améliorations techniquesen TDM et en IRM dans la détection des tumeurs vésicales et dansle bilan d'extension local.Comprendre la place de l'imagerie en coupe dans le bilan des infec­tions urinaires et des plaies vésicales.

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