avance automatique Marie du vert pays Il est un coin de terre dAuvergne. Lair y sent le foin, la...

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Marie du vert pays

Il est un coin de terre d’Auvergne.

L’air y sent le foin, la fougère, le résineux.

Il est un coin de terre d’Auvergne.

L’air y sent le foin, la fougère, le résineux.

Il est un coin de terre d’Auvergne.

L’air y sent le foin, la fougère, le résineux.

L’or y ruisselle plein les genêts de mai, le granite y est

sûr et le ciel plus profond que partout ailleurs.

L’or y ruisselle plein les genêts de mai, le granite y est

sûr et le ciel plus profond que partout ailleurs.

Pont de Massélèbre

L’or y ruisselle plein les genêts de mai, le granite y est

sûr et le ciel plus profond que partout ailleurs.

Et si le vent peut y souffler âpre et sauvage,

les ruisseaux y sont restés clairs.

Et si le vent peut y souffler âpre et sauvage,

les ruisseaux y sont restés clairs.

Et si le vent peut y souffler âpre et sauvage,

les ruisseaux y sont restés clairs.

Sainte Elidie

Tel est le vert pays du Livradois au Forez.

Tel est le vert pays du Livradois au Forez.

source miraculeuse de Sainte Elidie

Tel est le vert pays du Livradois au Forez.

la Dore

J’y ai vu des prairies vides, des landes désertes, des bois

désolés, des villages abandonnés, des chemins où la ronce, insidieuse, s’est nichée.

les pentes du Forez

J’y ai vu des prairies vides, des landes désertes, des bois

désolés, des villages abandonnés, des chemins où la ronce, insidieuse, s’est nichée.

J’y ai vu des prairies vides, des landes désertes, des bois

désolés, des villages abandonnés, des chemins où la ronce, insidieuse, s’est nichée.

J’ai souhaité retrouver tous ceux qui, de leurs bras, de leur âme, avaient façonné ce pays. Ils en avaient été la

moelle, le sang, la vie.

la montée au col des Supeyres

J’ai souhaité retrouver tous ceux qui, de leurs bras, de leur âme, avaient façonné ce pays. Ils en avaient été la

moelle, le sang, la vie.

J’ai souhaité retrouver tous ceux qui, de leurs bras, de leur âme, avaient façonné ce pays. Ils en avaient été la

moelle, le sang, la vie.

Sur les hautes chaumes qu’ils hantent, par tous les

temps, je les ai cherchés et même au fond des bois noirs où planent leurs ombres.

les hautes chaumes

Sur les hautes chaumes qu’ils hantent, par tous les

temps, je les ai cherchés et même au fond des bois noirs où planent leurs ombres.

Sur les hautes chaumes qu’ils hantent, par tous les

temps, je les ai cherchés et même au fond des bois noirs où planent leurs ombres.

De les avoir traqués, d’avoir vécu leurs peines et leurs joies m’a fait vivre plus fort un bel été de ma

vie.

De les avoir traqués, d’avoir vécu leurs peines et leurs joies m’a fait vivre plus fort un bel été de ma

vie.

De les avoir traqués, d’avoir vécu leurs peines et leurs joies m’a fait vivre plus fort un bel été de ma

vie.

Au pays de mes chimères est né l’esprit d’un autre

temps. L’esprit du vert pays, l’esprit de Marie.

descente vers Valcivières

Au pays de mes chimères est né l’esprit d’un autre

temps. L’esprit du vert pays, l’esprit de Marie.

Au pays de mes chimères est né l’esprit d’un autre

temps. L’esprit du vert pays, l’esprit de Marie.

souvenir de Marie

Texte : Nicole Voilhes

Photos : Jean Pierre Voilhes

consulter : www.nicolevoilhes.com

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